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KISS ME HARD IN THE POURING RAIN ₪ ALASKA

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Alors alors, qu’est-ce qui définissait les Gryffondors ? Le courage, la bravoure. Le Choixpeau magique n’y intégrait que les gens hardis, pas ceux qui flippent parce qu’ils pensent croiser le Loch Ness au milieu d’un lac en Arizona. En plus, Alaska était plus branchée Hardin la sardine que HARDI, ‘fin on ne joue pas à Motus là mais y a quand même une lettre en trop. Du coup, Cody explosa de rire et s’empressa de lui faire remarquer ; « Attends, si toi tu vas à Gryffondor, moi j’vais à Serdaigle chez les têtes d’ampoule. » Cody, aka le gars qui a failli refaire une troisième première année à Harvard, SVP. Ceci dit, leur discussion à propos de Harry Potter passa vite à la trappe quand Alaska se la jouait tellement koala autour de son tronc que le Lowell faillit se noyer. Une cascade plus tard, ils retrouvèrent prisonniers sous la barque, là où un silence de mort régnait. Ou de gêne. Ou d’un soupçon de désir. En effet, Alaska joint ses lèvres aux siennes pour une seconde qui semblait s’éterniser, et ce fut seulement quand il remarqua qu’il était à présent seul sous le bateau qui se rendit compte qu’elle s’était jouée de lui. Ou alors, il se demandait s’il ne fabulait pas, si c’était vraiment arrivé. Il demeura encore un petit instant ici, dans son havre de quiétude, avant de plonger et revenir à la surface à l’extérieur. « T’as triché, encore. » grogna-t-il en se tournant vers Alaska, agitant doucement ses bras sur l’eau pour ne pas couler. « Dans ’sept minutes au Paradis’, la règle c’est de rester sept minutes dans le placard. Toi, t’es partie au bout de dix-sept secondes. Tu triches. » OK, ils n’avaient jamais dit qu’ils jouaient à un quelconque jeu, mais vous connaissez Cody. La vérité, c’est qu’il aurait aimé un baiser plus long, tout comme il aurait aimé rester contre elle un peu plus longtemps. La vérité, c’est qu’il n’était pas capable de lui dire ces choses-là, donc il préférait inventer des raisons, des jeux, des règles, qui justifieraient qu’ils puissent s’embrasser encore et encore, sans avoir de compte à rendre à qui que ce soit.
 
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« Attends, si toi tu vas à Gryffondor, moi j’vais à Serdaigle chez les têtes d’ampoule. » Nooooon, j'adorais les Serdaigles, il ne pouvait pas dire ça ! Et il était pas une tête d'ampoule. Par contre, ce que j'aimais l'entendre rire, vous savez de manière spontanée comme si cela était l'une des choses les plus simples à faire et qu'elle était libératrice. Je ne pouvais d'ailleurs pas m'empêcher de rire avec lui alors qu'il nous emmenait en direction de la barque pour qu'il puisse se maintenir à la surface. Mais le petit bateau se renversa pour nous tomber dessus, nous faisant un toit au dessus de nos têtes. Nous n'allons pas rester longtemps là dessus, car nous allions très vite manquer d'air. Je ne le voyais pas, mais pourtant, il y avait une chose dont j'avais envie depuis le début et qui l'impliquait. Alors je vins poser mes lèvres sur les siennes pour lui voler un baiser chaste et plein de retenu. Il fut très bref parce que je repartie très vite dans l'eau pour ressortir quelques mètres plus loin, hors de la barque. J'attendis quelques minutes avant que Cody fasse son apparition. « T’as triché, encore. » m'accusa t-il en ronchonnant. Vraiment, j'ai triché ? « Dans ’sept minutes au Paradis’, la règle c’est de rester sept minutes dans le placard. Toi, t’es partie au bout de dix-sept secondes. Tu triches. » Je ne pus m'empêcher de sourire en m’avançant prêt de lui. « Si je veux aller dans le placard avec toi... je peux rester plus de sept minutes ? J'trouve ça trop court ! » lui demandais-je doucement en venant glisser ma main sur sa joue puis dans ses cheveux.
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Boum. Ta gueule. Boum. Ta gueule. BOUUM. TA GUEULEEE. OK, ce que vous entendez – ou lisez, parce qu’on fait pas encore des rps avec du bruit – ce sont les battements du cœur de Cody quand Alaska lui souffla que sept minutes au paradis avec lui, ce serait beaucoup trop court. Cœur qui, pris d’une schizophrénie certaine, criait sur lui-même pour arrêter de s’exciter comme ça. Merde, mais pourquoi ça lui faisait ça ? Bleeker grimaça en fait, pris au dépourvu par tout son corps qui criait Alaska. Il avait l’impression d’être plongé dans un bain d’eau à cent degrés et de s’habituer étrangement rapidement à cette température anormale, à cette sensation anormale. En fait, ouais, il s’habituait à ce que ce soit tout le temps ambigu avec Alaska, il s’habituait à ne pas savoir s’il avait le droit de lui mater le cul et de le lui dire fièrement, il s’habituait à hésiter entre l’embrasser ou lui éclabousser la figure quand elle était avec lui dans l’eau. Il s’habituait, et le plus étranger, c’est qu’il ne voulait changer ça pour rien au monde. « T’aurais besoin de combien de temps ? » murmura-t-il le souffle coupé, remerciant intérieurement le sort d’avoir fait qu’ils se trouvaient dans l’eau à ce moment précis. Sans quoi, Alaska aurait senti ses frissons dès qu’elle posa sa main sur sa joue. Alors profitant de cette proximité avec elle, il pressa ses lèvres aux siennes pour un tendre baiser, avant fourrer son visage dans son cou. Il enlaça la Mather, la serrant contre lui comme si sa survie dans cette eau en dépendant. En fait, d’aussi loin que ses souvenirs remontaient, c’était la première fois qu’il faisait un câlin à Alaska. Ils n’avaient jamais été ce genre de potes quoi, y a rien qui les prédestinait à finir un jour à oilpé dans un lac en plein milieu de l’Arizona, à s’embrasser dans le noir et quémander des minutes supplémentaires au paradis.  
 
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« T’aurais besoin de combien de temps ? » Je crois qu'à ce moment précis, j'aurai pu simplement lui répondre que je le voulais pour une éternité. Mais il aurait certainement trouvé ça trop long. Connaissant Cody, il aurait retrouvé quelque chose à redire là-dessus. Il me parlait doucement et ça me changer des minutes précédentes. Je venais glisser ma main sur sa joue, me rapprochant alors de lui. Je ne prêtais même plus attention au fait que nous étions nus dans un lac en Arizona. Non, tout ça je l'avais oublié pour ne voir que Cody en face de moi. Je sentais à ce moment précis la tension qu'il pouvait y avoir entre nous, rien de mauvais bien sûr. J'avais des papillons dans le ventre et un sourire pendu aux lèvres que je n'arrivais pas à effacer. Nous nous rapprochions de plus en plus jusqu'à ce que Cody vienne poser ses lèvres sur les miennes une nouvelle fois. Ce que je pouvais aimer quand nous nous laissions aller de cette manière. Je lui rendais son baiser en venant mettre mes mains de part et d'autre de son visage. C'était un baiser tendre et agréable, peut-être trop court... mais j'étais agréablement surprise de trouver ensuite refuge dans ses bras. Je m'accrochais doucement à son cou et je venais poser ma tête sur son épaule. Je laissais échapper un soupir de bien être et nous restions ainsi pendant des longues minutes dans le calme. Quand je me redressais enfin, je ne quittais pas ses bras pour autant. Je vins frotter le bout de mon nez contre sa joue. « On est pas obligé de se chronométrer ou de se fixer une limite dans le temps... peut-être que l'on peut changer les règles, ne pas se prendre la tête et prendre le temps que l'on a envie de prendre. » lui dis-je calmement. Après tout, on pouvait faire ça quand on voulait, pendant le temps qu'on voulait... « J'aime bien être au paradis avec toi... » lui avouais-je dans un chuchotement alors que je le regardais désormais dans les yeux. J'étais bien là, autant qu'il le sache.
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Pour résumer, on assistait à un moment hors des manières, hors des règles, hors des étiquettes, hors du temps. Cody serrait Alaska dans ses bras sans même concevoir que les aiguilles de sa montre défilaient à une vitesse fulgurante. En fait, il oubliait qu’en dehors de ce lac, ils avaient chacun une vie, des amis, des personnes qui comptaient sur eux. C’est vrai quoi, à quelques tentes de chez lui, il y avait l’ex de Cody qui bâtissait de grands espoirs pour que leur relation redevienne ce qu’elle était.  Et ben vous voyez de quelle façon lui, il s’impliquait vachement là-dedans. Il lui avait dit qu’il n’était pas prêt à se remettre avec elle, et c’est sûrement pas en fréquentant Alaska de la sorte qu’il se motivera. Mais il n’y pensait même pas, ou plus. La caresse voluptueuse du nez de la jeune femme sur sa joue l’anesthésia totalement de toute pensée à l’égard de son ex. Comme un chat réclamant un peu d’attention, il pencha la tête sur le côté, se frottant tendrement à elle. L’écoutant attentivement, il se crut un peu dans une chanson de Jenifer, vous savez ’tu auras le teeeemps de prendre ce que tu veux prendre tu auras le teeeeeeeeeempppps’ ouais la chanson où elle crie comme une chèvre là. Sauf qu’Alaska ne criait pas, elle était bizarrement calme en fait. « Faisons ça. » En fait, Cody n’aimait pas s’étaler sur ce genre de choses, trop d’émotions, de sentiments, trop de tout. Puis elle avoua être bien avec lui, et en réponse il posa ses lèvres sur son front, demeurant ainsi paisiblement. Mais quand on connait Cody, on sait que ça ne dure jamais bien longtemps avec lui. « Si je reste trop longtemps dans l’eau, Bleekosaure va rentrer dans sa coquille et quand tu me materas à la sortie – parce que je sais que tu vas le faire – tu vas croire des choses fausses alors que c’est juste une question de perspective et de bouleversement climatique. » Voilà pourquoi il était impossible d’avoir cinq minutes de romantisme avec Cody. Ne cherchez pas.
 
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J'étais tellement bien, que ça me faisait presque peur. Vous savez, quand vous avez l'habitude que tout aille de travers... Là, Cody était sorti de nul part avec ses histoires de cœurs et voilà, que je me mettais à le suivre. C'était imprévu et ça tombait bien. Oui, parce que je sortais d'une "rupture" et j'avais clairement besoin de penser à autre chose et avec Cody, je ne pensais à rien ou plutôt juste à lui et moi et à la tournure que prenait notre relation. Nous étions toujours au milieu du lac, alors qu'il faisait nuit. Et après un tendre baiser, je m'étais réfugiée pendant des longues minutes dans les bras de Cody, posant ma tête sur ses épaules et ne pensant à rien d'autre qu'à cette étreinte. Je m'étais finalement redressée pour venir caresser doucement sa joue avec le bout de mon nez, répondant doucement à la question qu'il m'avait posé plus tôt. On était pas obliger de tout calculer ? J'm'en sentais capable si je sentais que je l’intéressais autant qu'il m’intéressait. Je ne voulais simplement pas reproduire les mêmes erreurs. Le jeune homme pencha alors sa tête vers moi pour accentuer ma caresse. Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire. Cody avait de multiple facette et j'aimais aussi celle qui était d'humeur câline. « Faisons ça. » dit-il doucement. Il ne s'éternisait pas à ce sujet et c'était très bien. Pour ma part, je ne pouvais pas m'empêcher de lui dire que j'étais bien avec lui. Je me sentais réellement bien dans ses bras. Et j'aimais aussi à ce moment sa façon d'être tactile. Et j'aimais aussi sa façon douce qu'il avait de me faire revenir à la réalité. « Si je reste trop longtemps dans l’eau, Bleekosaure va rentrer dans sa coquille et quand tu me materas à la sortie – parce que je sais que tu vas le faire – tu vas croire des choses fausses alors que c’est juste une question de perspective et de bouleversement climatique. » Je ne pouvais pas m'empêcher de rire, m'effondrant dans ses bras, mon front sur son épaule. Il avait vraiment dit ça ? Je lui déposais un baiser sur sa joue avant de l'éloigner de lui, un sourire sur les lèvres. « Promis, je ne porterais aucun jugement sur la bête ! » m'exclamais-je en secouant légèrement la tête et en nageant jusqu'au rebord. C'est en me retrouvant sur le terre ferme que je me souvenais que nous étions nu et aussi que quand nous étions trempé, il faisait bien plus froid qu'on ne pouvait le penser. Je venais alors me frotter les bras en grelottant un peu. « Cody, tu as prévu de quoi se sécher ou bien ? » lui demandais-je en me retournant vers lui. C'était plus fort que moi, pas possible de le regarder dans les yeux. Je le regardais de la tête aux pieds sans me gêner.
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Que les choses soient claires ; Cody ne faisait que soulever un problème de société. C’est un fait avéré que même les hommes les mieux membrés ne sont pas à leur avantage après un bain froid. Sous l’eau, un baobab prend éminemment des allures de roseau et on ne peut rien y faire. La nature est parfois super mal faite. Donc Cody clarifiait juste les choses, pour pas qu’Alaska lui fasse une remarque ’hannn le proverbe grand pied grande … est faux olololooo comment c’est possible tu es gros partout sauf là t’as fait des implants de graisse ou quoi’ bon OK, elle n’était pas aussi tordue maaaaais héhé pas loin. Pour craquer sur Cody Bleeker, t’étais obligée d’avoir un grain. En tout cas, il kiffait le rire d’Alaska. C’est peut-être ça qui l’incitait à raconter des conneries, à casser les moments de silence, juste parce qu’il savait qu’il serait récompensé par son rire qui le transcendait. « Merci beaucoup. » souffla-t-il humblement, regagnant par la suite la terre ferme. Cody fut bien content de retrouver bien vite son short de bain, parce qu’il ne voulait pas sentir ses bagages à main balloter trop longtemps, même s’il vit qu’Alaska ne se gênait pas pour le mater en se retournant. Bref, il enfila le plus à l’aise possible son short, avant de répondre, signalant ainsi le retour du Schtroumpf Grincheux au village ; « Attends, j’ai fait toute la logistique, j’ai amené un plaid, des bières, des pizza, j’ai organisé une activité bain de minuit et observation du Loch Ness dans son état naturel, et en pluuuus, il faudrait que je pense à prendre des serviettes pour nous sécher ? Rappelle-moi ce que tu as fait pour nous, toi ? » Ouais, non mais c’est Cody, il piquait des fards pour rien, fallait pas faire gaffe. Il se pencha en avant et tira sur la couverture pour la récupérer et la posa sur les épaules d’Alaska. Puis comme Dracula refermant ses ailes sur sa proie, il l’enlaça dans le dos, la cajolant de ses gros bras. « Voilà, t’auras pas mieux. Donc ne te plains pas. » Elle ne s’était pas vraiment plainte, mais bon, on s’en fout.
 
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Nous ne perdons pas de temps pour regagner la terre ferme. J'ai moyennement envie de mettre mes vêtements alors que je suis trempée de la tête aux pieds, alors je me retourne pour demander à Cody s'il a pensé à prendre des serviettes de bain, le mâtant par la même occasion alors qui était en train de remettre son short de bain. « Attends, j’ai fait toute la logistique, j’ai amené un plaid, des bières, des pizza, j’ai organisé une activité bain de minuit et observation du Loch Ness dans son état naturel, et en pluuuus, il faudrait que je pense à prendre des serviettes pour nous sécher ? Rappelle-moi ce que tu as fait pour nous, toi ? » dit-il en mode "grincheux le retour" en se penchant pour attraper le plaid sur lequel nous étions installés avant d'aller dans l'eau. « J'ai accepté de venir à ce rencard alors que je ne savais même pas que ça en était un et j't'ai laissé tout faire parce que j’appréciais plutôt bien l'idée de me faire chouchouter. » avouais-je en riant. Il était clair que j'avais rien fait, mais bon, pas la peine de râler pour autant. Il déposa alors le plaid sur mes épaules et le referma autour de moi en m'encerclant avec ses bras. J'me calais contre lui et je laissais échapper un nouveau soupir. On était bien, non ? Tous les deux ? « Voilà, t’auras pas mieux. Donc ne te plains pas. » Je souriais. J'avais rien dit, mais j'en prenais quand même plein mon grade. « J'demande rien d'autre Cody... je suis bien là ! » Qu'est ce que j'étais en train de faire ? J'étais pas certaine que ce soit un bonne idée... j'avais surtout peur de souffrir par la suite. Alors j'me tournais dans ses bras pour lui faire face. Mais en final c'était toujours la même position. « C'est quoi la suite du programme ? Tu vas me laisser rentrer toute seule ou j'ai la chance de passer ma nuit avec toi ? » lui demandais-je simple. Il m'avait donné envie de rester dans ses bras toute la nuit et j'étais trop faible pour ne pas lui demander de faire durer le plaisir.
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Le plus tragique dans l'histoire de Cody et Alaska,  c'était qu'ils étaient faits l'un pour l'autre. Confectionnés dans le même moule, Cody avait trouvé son Doppelganger, sa deuxième chaussette célibataire, sa Scratina, sa Bleekerette, son ancre à son port, son Twix gauche et le Granola qu'on ne reprendrait qu'une fois. Bien sûr que si, c'est tragique. Parce que Cody aurait beau s'attacher du fond de son âme à l'Anglaise, l'embrasser comme jamais il n'a embrassé une femme, lui faire découvrir ce qu'est une symbiose entre deux corps, une osmose entre deux chairs en lui faisant l'amour le temps d'une nuit polaire au point le plus au nord de la Laponie, ils ne finiraient pas ensemble. Parce qu'elle avait Hardin en tête et les autres hommes qu'elle ne saurait refuser par peur de passer à côté de quelque chose, et il avait un déficit de confiance en lui plus gros que la dette publique grecque pour chercher à s'imposer dans l'Alaskeur. Leur histoire était condamnée. Donc Cody vivait ce moment comme si c'était le dernier, comme si demain la jeune femme le troquerait pour un autre toy. Puisque c'est, de toute façon, ce qu'elle fera un jour ou l'autre. Alors que Bleeker s'improvisa sèche-femme quelques minutes, Alaska lui fit une remarque qui l'interpella. Un rancard ? Quel rancard ? What the fuck ? Mais il n'eut pas le temps de faire de remarque qu'elle lui demandait la suite du programme, précisant qu'elle voudrait dormir avec lui. Oh, wooow. Il l'interrogea ; « Une nuit à la belle étoile, ça te dit ? » fit-il en se baissant pour ramasser le pack de bière qu'il était complètement hors de question de laisser ici. Une fois qu'elle fut rhabillée, il s'engagea en quête d'un endroit du lac plus reculé, sinon vers le camping, en fonction de la position d'Alaska sur leur endroit de dodo. Dans tous les cas, hors de question de l'amener dans sa tente. Diamantika serait capable de débarquer en petite tenue et j'vous dis pas comment ce serait mal interprété des deux côtés si elle tombait sur Alaska dans son couchage. Oulalaaaaa. Puis, Cody souhaita revenir sur quelque chose. « Attends, tout ce temps t'as cru que c'était un rancard ? Comment tu dois te sentir trop mal d'un coup ! » répondit-il en posant la main devant sa bouche, trop désolé pour elle. Ben ouais quooooi, c'était jamais qu'un repas en tête-à-tête dans un endroit calme, sous le clair de la lune hein, pas de quoi s'imaginer un rendez-vous galant ou quoi.
 
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Nous étions que tous les deux, seul au monde, au milieu de nul part. Ca aurait pu être beau si Cody ne m'avait pas parlé de ses roubignoles. Mais j'lui en voulais pas, je riais même. Ouais c'était mon genre de rire de tout, surtout des trucs débiles. Je lui promettais alors que ne faire aucune remarque et ainsi, nous regagnons rapidement la terre ferme. Cody m'enveloppe rapidement dans le plaid pour que je puisse me sécher et je me laisse faire sans rien dire, je profite simplement de ses bras encore quelque instant avant qu'il ne me lâche une bonne fois pour toute. Je lui demande rapidement la suite du programme, je voulais savoir si je pouvais profiter encore un peu de lui. « Une nuit à la belle étoile, ça te dit ? » Je souris alors en hochant vivement la tête de haut en bas pour lui répondre que oui. J'abandonne ensuite le plaid pour me rhabiller en vitesse. Puis, j'aide Cody à prendre les quelques affaires qu'il avait apporté alors que nous cherchons un endroit où passer la nuit. « Attends, tout ce temps t'as cru que c'était un rancard ? Comment tu dois te sentir trop mal d'un coup ! » dit-il l'air surpris en mettant sa main devant sa bouche. Je secoue alors la tête de gauche à droite. Mille ans plus tard, il se rappelait de mes propos. « Cody, c'est bas ce que tu fais ! Tu viens de ruiner mes rêves d'avoir passer un rencard avec Cody Bleeker ! » m'exclamais-je en riant. Un rencard avec un homme en fait. Vous savez, de base je suis la bonne copine ou bien celle qu'on baise, mais absolument pas celle qu'on invite à un rencard. Je le regardais alors. « Tu vois... tu viens de m'envoyer dans la friendzone en une seule phrase ! Je devrais te faire la tête pour ça ! » affirmais-je avec un clin d'oeil. C'était pas ce qui s'était passé il y a déjà quelques jours ? Je lui tournais alors le dos pour marcher encore un peu et trouver un endroit qui me semble correct. « Ici, ça te va ? » demandais-je finalement au jeune homme.
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