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I GOT MY EYES ON YOU ₪ ECHO

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Grrrr. Voilà ce qui sortit de la bouche de Martin quand Echo commença à sympathiser avec Enrico le ventilo. D’ailleurs, il fronça les sourcils, style le Sharpei de sa grand-mère maternelle à moitié slovaque, comme pour menacer le ventilo d’arrêter d’accaparer l’attention de son plan-cul de la soirée. Non non, Echo ne devait avoir d’yeux que pour lui. Puis, Martin s’auto-baffa, réalisant les vertus hallucinatoires du produit qu’il commercialisait. Non mais en fait, il se rendit compte qu’il était un génie, son produit était magique, Echo allait devenir accro à ça et un peu à lui aussi. Enfin il espérait. Parce qu’il aimait toute cette désinvolture qu’elle communiquait par ses éclats de rire qu’elle enchaînait après de fougueux baisers, un genre de bipolarité émotionnel. Elle était sauvage, elle s’en fichait de tout, et sûrement de lui, mais il n’en demandait pas plus. Il s’apprêtait peut-être à passer la meilleure soirée – nuit – de sa vie depuis son arrivée aux USA, et j’peux vous dire que ce n’était pas peu dire. « Tu arrêtes de causer à mon ventilo et tu viens me réchauffer moi, s’il te plaît ? » Poli en pluuuus, on voit que sa mère lui a inculqué les bonnes valeurs huhu. Puis après lui avoir retiré son maillot – d’ailleurs c’était à se demander pourquoi elle portait des soutifs celle-là, y avait rien à retenir, elle était aussi volumineuse qu’une planche à repasser – il explicita très clairement qu’il avait envie d’elle. Et sa réponse le fit éclater de rire. « Explique-moi ouais. Mais j’aime pas trop les cours théoriques, j’suis plutôt travaux pratiques, faire des expériences et tout. » Le scientifique en lui s’exprimait. Et elle ne tarda pas à sacrifier son corps pour la science en se dessapant, sous l’œil admiratif de Martin. Décidément, son absence de gêne, de pudeur et surtout de bonnes manières lui plaisait de plus en plus. Alors qu’elle revint sur lui, il se redressa pour prendre possession de ses lèvres, chaudement, ses mains parcouraient sa croupe pour trouver refuge entre les galbes de ses fesses, attirant davantage Echo contre lui. C’est à contre-cœur qu’il délogea ses lèvres pour se lever. Mais c’était se décoller pour mieux régner, puisqu’il s’empressa de répondre à la requête de l’Ecossaise et retira ses fringues vite-fait bien-fait pour revenir sur le lit, là où il poussa Echo pour qu’elle se couche sur le dos. Et maintenant, petit entracte musical pour chanter la chanson préférée de Whitney Echouston ; Danger Danger, it’s high voltage ! I GOT MY EYES ON YOU ₪ ECHO - Page 3 1116103942 et là ça veut surtout dire qu’on va pas tarder à passer en hide, donc profitez bien de vos dernières secondes de pas crypté hein. Martin se coucha sur Echo, happant furieusement ses lèvres avant de les poser, ardentes, brûlantes, dans le creux de son cou. Mais leur présence ne fut que de courte durée, puisqu’enclins à voir du pays, elles parcoururent le corps de la jeune femme, accompagnées des mains du Tchèque qui forçaient Echo à se cambrer sous ses caresses labiales. Bon par contre, avec Echo, faut pas rêver de tour du monde ; on visitait plutôt la Belgique, aka le plat-pays. Mais Martin s’en fichait. C’était peut-être seulement la drogue, mais une étrange frénésie l’attirait à elle. Il revint l’embrasser non sans une certaine passion, prêt à se damner pour elle. Il avait démesurément envie d’elle.
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Ca devenait chaud là, non? Oui, bon, pour être sûre que c'était pas une hallucination créé par cette drogue qui faisait des merveilles. Je m'étais retrouvée dans cette situation des centaines de fois depuis que je prenais de la drogue et que j'avais cédé mon hymen à un mec dont le prénom me revenait même plus en tête. Je me sentais vachement légère pourtant. Presque trop enjouée d'ailleurs. Je voulais même pas penser à ce qui allait se passer après ça. Je m'en foutais totalement. Peut-être qu'il me jetterait dehors et très franchement, ce serait pas la première fois que ça m'arriverait. J'étais peut être pas au goût de tout le monde une fois consommée ... Ils savaient pas ce qu'ils rataient ces cons. J'étais trop bonne le matin, la chevelure en pagaille et l'haleine aussi fraîche que celle d'un chien ayant bouffé de l'ail. Bref. La perfection! Je revenais à la réalité en entendant Martin me demander d'arrêter de parler à un ... ventilo. Ok lui aussi, il était totalement perché. Mais c'est qu'il est jalouuuuuux ! d'une voix aussi haut perchée que celle d'un bébé. J'étais totalement chéper aussi, remarquez. On pouvait donc m'excuser ma façon un peu bipolaire de passer de l'état d'aguicheuse à celle de la meuf un peu débile.
Ou les deux. Puis Martin finit par se mettre à poil à son tour ! Les choses sérieuses pouvaient enfin commencer ! J'avais l'impression d'accomplir un but que j'avais jamais osé m'avouer. Ouais, parce que de base c'était juste un mec que j'avais rencontré en boîte et à qui je voulais acheter de la came. Qu'est ce que j'étais pas prête à faire pour avoir une dose ? A presque tout. Je tombais bien bas parfois ... Quoi que, alors qu'on se rouler des pelles à en perdre le souffle, je ressentais pas du tout un sentiment de triomphe ou e culpabilité. Non, c'était carrément plus profond ... Comme autre chose. J'étais follement attirée par lui. Comme une émotion que j'avais jamais remarquée jusqu'ici. J'allais pas tomber dans le mièvre non plus. C'était vachement sauvage et excitant ce que je ressentais ... Rien de plus!
Je me cambrais, laissant ses mains parcourir mon corps, ressentant son propre désir du mien contre moi. Puis fallut bien qu'on passe à l'acte. On allait pas se peloter pendant quarante ans ... Je laissais mes mains errer, à leur tour, sur son corps, faisant doucement monter la température, laissant échapper des soupirs et quelques gémissements. J'étais tellement en feu que ça m'aurait presque donnée envie de chanter Hän on Macho Fantastico  I GOT MY EYES ON YOU ₪ ECHO - Page 3 1116103942  De l'art cette chanson. Des paroles aussi profondes que mon ... Enfin passons. Je reprenais les lèvres de Martin matin et me laissait emporter dans un monde bien trop érotique pour les moins de 18 ans.

:sex1:  :sex1:  :sex1:  :sex1:  :sex1:

Je retombais sur le lit, haletante, pimpante, bandante, flippante. Tout ça. Devais-je dire que c'était le meilleur orgasme de toute ma vie? Non? Bah tant mieux parce que ce serait pas vrai. J'avais jamais connu l'orgasme ultime dont parlait mes potes comme le St-Graal. Je me contentais parfaitement de ce que je pouvais ressentir depuis quelques années et parfois, je l'atteignais même pas ce paroxysme tant attendu. Ils étaient pas tous des amants de compet'. Je jetais un regard en coin à Martin, toute souriante mais bordel que j'avais vraiment chaud maintenant. Je repassais sur lui, en mode "On remet ça?" avant de tendre le bras vers Mr Enrico et de l'allumer. Je souriais malicieusement en ajoutant J'ai vraiment besoin d'Enrico maintenant! C'est pas de tout repos de faire des cochonneries en fait ! Je chipais au passage la bouteille rempli d'alcool trop bon pour mon foie et en buvait une gorgée, m'asseyant sur le matelas, observant, réellement les lieux. Puis, je me rendais compte que j'avais pas envie de partir. Je me tournais vers lui, presque un peu sur mes gardes avant de demander Tu me jettes dehors de suite ou tu me laisses le temps de finir ta vodka? Fallait bien que je trouve une excuse pour rester hein! Oui ... Il m'amusait, il me faisait sourire. Contrairement à un certain con qui me donnait plus des boutons qu'autre chose depuis quelques jours. Je pensais même plus à cette meuf qui partager sa piaule avec Martin. Elle allait peut-être débarquer comme un boulet de canon et m'en foutre une ... Elle serait pas la première à me taper une crise de jalousie alors que j'étais juste de passage dans le lit de son ... même pas de son mec en fait. J'en ressentais aucune culpabilité d'ailleurs. Bref, je me fichais bien de ces gens pour le moment. J'étais sur mon petit nuage post-coïtal. Soudain, mon cerveau se ralluma et je me tournais vers lui Au fait! Tu dessinais quoi sur ton carnet quand j'suis arrivée? Oui, j'étais curieuse et j'avais une mémoire sélective qui triait aucune information. Puis les gens qui aimaient dessiner me fascinait toujours pour une raison qui m'était encore tout à fait inconnue.
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De leurs ébats ne demeuraient plus que deux corps chauds et luisants par la sueur, complètement vidés de toute présence humaine. ‘fin Martin le vivait comme çaaaa, il était aussi vide physiquement que psychologiquement, à croire que sa meth le plongeait dans un véritable état léthargique, à moins que ce ne soit les courbes d’Echo contre les siennes qui dézingue son cerveau. Martin n’était pas à son premier tour d’essai, mais jamais il n’avait vécu une telle symbiose entre deux corps, comme si elle était sa brique lego qui complétait son mur lego. Mais faut pas s’emballer, ça ne voulait qu’elle remportait toutes les étoiles au guide du Queutard, juste que le Martin devait recoucher avec Echo en étant totalement sobre afin d’être plus objectif et donner une note comme à Danse avec les Stars. A bout de souffle, il éclata de rire quand Echo remonta en selle, comme si elle espérait maintenant un second tour à cheval. Mmmh, repoooos avant. Finalement, elle jeta son dévolu sur Enrico le ventilo, ce qui soulagea Peček qui acceptait maintenant la concurrence avec un objet vibrant. Ouais parce que son ventilo a une fonction vibreur, sait-on jamais si ça peut inspirer Echo. « C’est toi qui ne pratique pas assez, c’est pour ça que t’es épuisé. » pouffa-t-il en se penchant pour attraper, lui, une bouteille d’eau. Ouais non faut pas déconner, la vodka c’est fini pour lui. Mais pas pour Hamilton, c’est une sauvage celle-là. Il se rallongea sur le dos et monta le drap jusqu’à sa taille, laissant Martin-Piqueur se reposer en paix. RIP. Après tant d’années de bons et loyaux services, c’est au sein d’une terre écossaise que tu as rendu les armes. Amen. « Non, reste, j’aime bien te regarder. » avoua-t-il en caressant du bout des doigts son dos guindé par ses vertèbres saillantes. Puis, elle le questionna sur ses notes en disant le mot qu’il ne faut pas dire. « Je ne dessinais pas ! » Il aimait pas qu’on appelle ses schémas des gribouillages, c’est comme ça. Et puis la meth excitait un peu trop son cerveau, si bien qu’il ne tarda pas à se relever et s’asseoir dans le dos d’Echo, la couverture pour seule et unique barrière. Il attrapa un de ses nombreux carnets sur la petite table de nuit et le tendit à la Mather ; « C’est pas des dessins, c’est de la chimie. Rien à voir. » En effet, des dizaines de molécules et d’atomes recouvraient chacune des pages, avec des formules chimiques à n’en plus finir. Il posa ses lèvres contre l’épaule encore brûlante d’Echo, avant d’y poser son menton et d’expliquer, pointant du doigt divers schémas et tournant les pages aussi vites que les mots quittaient sa bouche ; « ça me fascine de décortiquer comment tout est fabriqué, ce que contient chaque matière. Toi, là, tu ne vois qu’une table, qu’un lit, qu’un drap, qu’un emballage de capote. Moi, j’vois des centaines de milliards d’atomes les uns imbriqués dans les autres. Et ils forment ce que nous voyons, sentons, vivons chaque jour. Toi aussi, t’es qu’un ensemble d’atomes. Un ensemble d’atomes super sexy, mais rien de plus qu’une molécule comme tant d’autres, en réalité. » Sur ce, il entoura ses bras autour de la taille de la jeune femme et réfugia son visage dans son cou, totalement accro à elle pour la nuit.
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M'étais-je déjà sentie aussi apaisée après ce genre d'expérience? Sûrement pas. Quoi que ... Ma soirée avec Shae avait été légèrement similaire bien que nous n'avions pas couchée ensemble. Je n'avais ressenti qu'une vague agitation mais surtout l'envie de ne plus bouger et de profiter du moment. Je tombais dans le niais total digne de la comédie romantique que la ménagère de base aimait mater en bouffant des guimauves. C'était ridicule mais c'était pas trop ce qui m'intéressait, là, de suite. J'aurais pu penser qu'il me ficherait dehors comme un connard en me disant seulement "Merci pour ce moment, chérie" et hop la porte claquée au nez. Même pas. Lorsqu'il avoua aimer me regarder je lui jetais un regard surpris. Ouais ... C'étais pas tous les mecs avec qui je couchais qui me disaient ça. Aucuns, en fait. Je détournais les yeux et observait la bouteille d'alcool que j'avais dans les mains en me disant "Putain, fais que je sois assez torchée pour oublier mon trouble". Oula, une Echo troublée, une! Il faisait chier à me dire ça lui. Enfin, un peu. Je me raclais la gorge prête à dire un truc totalement bateau avant qu'il ne me réponde que c'était pas des dessins. Il se releva comme si on venait pas de faire le marathon de la baise et je lui jetais un coup d’œil un peu ... interloquée. Il lui prenait quoi? J'attendais sagement une explication et fut stupéfaite de découvrir des centaines de ... formules chimiques. Waw. C'est tout ce que je pus dire alors que je le sentis se coller contre moi. J'écoutais attentivement chacune de ses paroles, avide d'en savoir plus. J'y comprenais rien, vraiment et pourtant, lorsqu'il acheva sa tirade, j'avais l'impression d'avoir pénétrée dans une autre dimension. Sa dimension. Je restais un instant immobile avant de murmurer C'est ... pas des dessins. Bravo Echo, tu veux une médaille? Je reprenais en soupirant et laissait un sourire étirer mes lèvres C'est pas quelque chose auquel je m'attendais. Je te pensais limite ... con. Désolée hein, ça sort comme je le pense. Mais c'est ... fascinant, achevais-je en lui prenant le carnet des mains. Je feuilletais les pages, n'y voyant rien d'autres que du charabia. J'étais une artiste, pas une chimiste. Je n'osais pas me retourner, profitant de son corps collé contre le mien. Alors c'est tout simplement que je continuais à parler, laissant mes mains exploraient une partie de lui, en soi. Désolée d'avoir dit que tu dessinais. Je voulais pas te vexer. C'est juste que chaque fois que je vois quelqu'un avec un crayon et un calepin, je m'imagine tout de suite que c'est un artiste. Et en quelque sorte, tu es un artiste. Tu crées quelque chose. Comme moi, je crée des trucs en dessinant. Quoi que ... je crée plus de la merde qu'autre chose en ce moment. je lâchais le calepin, perdant un peu de ma bonne humeur, pensant encore et encore à ses visages que je m'obstinais à dessiner. Je crachais ma haine à travers de la peinture ou un fusain. Mais ça, j'allais pas le lui dire. Je préférais alors changer de sujet avant de tomber dans le mode "ma vie c'est de la merde, je me confie à toi parce que je kiff l'osmose qu'il y a entre nous" ... Je me retournais complètement, mettant mes jambes de part et d'autre de sa taille et entourant son cou de mes bras Alors champion de la chimie? Ca t'as fait quoi de tester le roulage de pelle façon Echo? Tu vois que personne ne peut me résister ! J'suis un assemblage d'atomes bien trop sexy pour toi et sur ces simples mots, je m'appliquais à lui remontrer un de mes talents : le  carwash de la bouche façon Hamilton.
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OKKKKK, les compliments version Echo ’j’m’attendais pas à ce que tu sois un mec intelligent en fait lalalalaaaaa’. Et ben siiiii. Si on devait comparer Martin à un dessin animé, il tiendrait plus de Dexter et de son laboratoire que de Johnny Bravo. Il était plus branché machines ultra géantes et sœur Dee-Dee envahissante que ’c’est un beau jour aujourd’hui … Mais pas aussi beau que moi /sbafff/’. D’ailleurs, vous savez comment on pouvait être jalouse d’Echo ? Suffisait qu’elle soit à côté de lui. Wesh, je ferme ma gueule maintenant et je reprends le RP. Du coup, il éclata de rire quand elle lui balança ça au travers de la tronche. Elle se croyait sur Instagram, elle était carrément #nofilter.  Il calma son éclat en plaquant son front contre son omoplate, avant de reposer son menton sur son épaule et écouta son blabla. Alors comme ça, il avait affaire à une artiste ? Intéressant. « Et tu ne sais pas encore tout ce que je crée. » Et d’ailleurs, tu ne le sauras jamais, heeeeinnn Martin, c’est pas parce que tu es sous meth que tu ne dois pas fermer ta gueule. Il préférait passer pour le petit dealer de bas étage qui se fait fournir sa meth et qui doit rembourser un gros caïd que montrer qu’il était en réalité le producteur de ce qu’elle avait fumé juste quelques heures plus tôt. « Espèce d’artiste incomprise. » lâcha-t-il machinalement avec une petite moue, reposant ses lèvres sur son épaule. Puis, elle se retourna et ré-activa la position du kamasutra n°17363, c’est-à-dire le ’Koala autour de son eucalyptus en plein ménage de printemps’, d’où le carwash à la Hamilton. Prolongeant ce baiser avec une fougue qu’il n’aurait pas imaginé l’autre soir en la rencontrant à la sortie de boîte de nuit, il fourragea ses cheveux dégoulinant de sueur en étouffant un soupir d’aise contre ses lèvres. Il ne résistait plus à ses courbes ondulant contre les siennes comme si elle était à présent une partie intégrante de lui-même. « Ils ne sont pas sexy mes atomes ? » OK, venant d’un mec, c’était un peu ambigu, genre oouuuuh monsieur Fantastique montre-moi tes gros atomes ouhouhouhouuu. Pouuuurtant, on ne parlait que de chimie. Bon, maintenant qu’ils étaient dans la période post-orgasme, que les effets de la meth se dissipaient petit à petit et qu’Echo le regardait avec les yeux de la junkie amoureuse de son dealer, le timing était parfait pour que Martin fasse la promotion de sa dope. Avec Echo, il avait tiré le ticket d’or à la chocolaterie de Charlie. Et il allait la gaver de chocolat sans modération. « Le roulage de pelle façon Echo Hamilton m’a convaincu. Je suis prêt à l’essayer, à le ré-essayer jusqu'à épuisement du stock de pelle. » C’est qu’elle avait un petit goût de miel elle aussi *siffle* où est la sortie ? Il posa son index sur ses lèvres pulpeuses, puis le fit vagabonder sur sa mâchoire, son cou, sa peau, dessinant des cercles sur ses membres pelviens (MDRRR) supérieurs, fixant avec une petite moue ses gribouillages invisibles. « Et si les pilules magiques version Martin Peček t’ont amenée là où tu voulais, c’est-à-dire dans mon lit et loin loin au pays des merveilles, tu sais où me trouver. » Par contre, cette fois, elle passera à la caisse. Martin c’est pas Groupama, il fait pas crédit. Et Martin, c’est un peu Pretty (Wo)man aussi. Il ne se donne pas n’importe comment, ni pour n'importe quoi.
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C'était aussi tendu que le string à Nicky Ménage entre nous. Je voguais entre l'envie de remettre le couvert et celle de continuer à lui parler. Je m'intéressais pas du tout à mes coups d'un soir de base. Surtout, que souvent, je ne faisais pas ça dans un lit. Jamais. Même une salope avait ses principes, ses petites habitudes. Echoquine le retour, bientôt dans vos salles ! Bref. Je le laissais prendre possession de mes lèvres, mon corps, mes cheveux. Owi n'arrête pas! me dis-je au fin fond de mon esprit embrumé par l'érotisme de ce baiser. Plus j'avançais dans cette soirée moins je ressentais l'envie de partir. Woooh on se calme Hamilton. On était pas là pour chercher du love, ni s'attacher. Oublie pas "Pas de sentiments que des centimètres". Et les centimètres étaient pas trop mal dans ce cas-là. Ses mains sur moi me foutait la chair de poule -la chair de coq haha. Ok je sors- puis il mit fin à mon carwash de la mort en me parlant de ses atomes hyper sexy Oh si ! J'aime beaucoup tous les atomes qui se présentent à moi, répliquais-je en explorant l'épiderme de sa peau encore moite de nos ébats. Beh ouais. On en dépensait des calories quand on faisait des bébés licornes.
Et je ne mentais pas. J'étais amplement satisfaite de ce qui se trouvait à ma portée. Je me l'étais imaginé connard et je m'en foutiste -tiens ça me rappelait quelqu'un...- et peut être l'était-il mais au vu de mon état c'était pas ça que je voyais en premier. Je découvrais tout autre chose et c'était pas fait pour me rassurer ni rassurer les battements de mon coeur. Allez, c'était repartit pour la comédie romantique de merde "les papillons dans le ventre et le coeur qui fait boumboum".
Je me mis à rire en découvrant que mon roulage de pelle spéciale Hamilton avait porté ses fruits. J'étais fière de moi! Pour une fois ... Je remontais mes mains vers son visage ne perdant en rien mon sourire Et biennnn, je suis prête à te faire réessayer tout ça des que l'occasion se présentera. Il reprit son exploration du bout de son doigt et je me laissais faire, sans broncher bien trop heureuse de gagner des minutes avant le grand départ. Et oui Echo, tu devras bien mettre les voiles à un moment hein ! Puis il embraya sur ce qu'il m'avait gentiment donnée pour me détendre ce soir. Me faire oublier à quel point mon meilleur ami pouvait être un bouffon. Ouaiiiis ! Ca m'a énormément plu ton truc. J'en reprendrais quannnnd ... J'y penserais. Le LSD restera ma drogue préférée, ajoutais-je avec un haussement d'épaules. J'étais trop fière d'être accro à cette merde limite. Alors que ca ne faisait que me laisser dans le bad. Je changeais bien vite de sujet laissant mes mains bien trop curieuses vagabondaient dans ses cheveux et sur son visage. Je me stoppais alors découvrant trois ou quatre cicatrices -j'savais plus compter là- sur le côté de son visage. Je passais mes doigts dessus en murmurant Tu t'es fait ça comment? T'as combattu un tigre ou quoi? Ouaiiiis bien sûr. Il avait joué à Dora l'Exploratrice dans la savane en fait ... Puis j'observais un silence avant de reprendre C'est bête hein. Et on mettra ce que je vais dire sur le compte de l'alcool et la drogue mais ... J'ai aucune envie de partir. C'est grave docteur? Je me sentais trop conne là. Tellement conne que je me dégageais de ma position et retombais sur le côté, me fichant un peu qu'il voit mon boul. T'façon j'avais pas un boul digne de Kim Kardashienne, il allait pas baver dessus non plus.
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Timing parfait, Martin ne tarda pas à lancer l’opération séduction. Et j’parle pas de l’opération séduction pour la mettre dans son lit, c’était déjà fait et ça se concluait par une victoire haut-la-main. Médaillé olympique au chopage d’Echo. Alexandre ne pourrait pas en dire autant avant son cocktail banane-kiwi. En v’là un qui s’éplucherait la banane alone dans son lit ce soir. Non, c’était l’opération séduction pour l’attirer dans les mailles de son filet. Echo était une riche toxico, donc Martin ne faisait rien de mal en lui proposant sa cam, on est d’accord ? Quitte à crever d’une overdose ou, au mieux, se payer la fraîcheur de Courtney Love au temps où elle se tapait Kurt Cobain, autant que ce soit avec de la dope pure, car le truc que Martin fabriquait, il savait au moins exactement ce qui se trouvait dedans. Alors que son LSD ? Tsssk. Il pouvait provenir de n’importe quoi. « Je finirais par te faire changer d’avis. » Parce que Martin ne couchait pas sous LSD. Et si elle voulait remettre les pieds sur le chantier Martin et son martin-piqueur, elle devrait passer à la caisse. Mon dieu, le Tchèque devenait une pute. Berk. Mais non. Coucher pour vendre de la drogue, c’est pas se prostituer, si ? Bon, on parlerait de ces réflexions philosophiques later. Le plus important, c’était qu’Echo allait réfléchir à reprendre ou pas sa meth. Et quelque chose lui disait qu’elle serait de retour assez rapidement dans cette caravane. Il représentait ses courbes du bout des doigts, effleurant son pelvis comme s’il voulait apprivoiser la moindre inflexion sur son corps. Quoiqu’elle n’avait pas des masses de forme la Hamilton. Il irait chez IKEA et caresserait les planches à pain, l’effet serait le même. Il frissonna quand du bout des doigts, elle dessina ses cicatrices sur son visage, affichant une légère grimace quand elle en demanda la provenance. « J’ai fait Fort Boyard. J’ai voulu sauter des étapes et aller directement dans la salle du trésor. Manque de bol, les tigres n’étaient pas rentrés. Règle 1 dans Fort Boyard ; toujours suivre Passe-Partout. » Sur ces belles paroles, il happa fougueusement ses lèvres, avant que bébé Koala ne se décroche et se rallonge sur le lit. Elle venait juste d’avouer qu’elle ne voulait pas partir. Encore une fois. « Mmh. Je te préconise une cure à la Martin Peček toute la nuit et normalement demain tu seras sur pieds pour reprendre ta petite vie tranquille et siroter du banane-kiwi près de la piscine. Mais si t’as peur d’être encore malade, t’as qu’à squatter plus longtemps encore. » Il se pencha sur elle et posa ses lèvres dans son cou, l’enlaçant brièvement et chaudement en passant son bras autour de son épaule. Puis il se redressa et enfila un caleçon avant de dégainer son toaster. C’est pas tout, mais il avait la dalle. Il lui fallait des trucs salés, épicés, genre des cornichons, du chorizo et du tabasco. Non mais quoi, il avait besoin d’un truc fort pour exciter ses papilles après consommation de meth. « T’as faim ? Ou tu comptes te purger à la vodka jusqu’au bout de la nuit ? » À peine si elle ne serrait pas la bouteille comme un doudou, j’vous jure. 
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Ok et sinon Echo Ainsley Hamilton, première du nom, c'était quand que tu lui disais que t'étais pas une bourge? Beh jamais. J'allais pas gâcher ce moment ok? Il le saurait bien assez tôt et dans ce cas-là, faudrait bien me trouver un autre dealer. Mais pas de suite. Pas maintenant ok? Encore un peu. Juste un peu plus quoi ! J'sais pas si c'était la meth qui faisait marcher mon cerveau à 100 à l'heure mais c'était un peu chiant. Mille trucs se bousculaient dans mon cerveau. Et ça n'était pas la partie la plus intelligente qui était en mode ON ... Déjà j'savais même pas si elle existait cette partie au vu du nombre de conneries que j'enchaînais. Genre coucher avec un dealer, c'était à ajouter dans ma liste de choses à plus faire. Ou pas. Mes états d'âmes viendraient après. Il assura alors pouvoir me faire changer d'avis sur la meth et le LSD. Waaah ... Good luck bro. J'étais assez difficile à convaincre niveau drogue mais c'était pas peu sûr que je revienne me servir chez lui. Ok, bonne chance pour me faire changer d'avis sur mes pilules magiques ! Puis il enchaîna sur la provenance de ses cicatrices. Fort Boyard? ... demandais-je d'un air sceptique. T'as vécu la vie d'Indiana Jones, 50 cents en une seule fois en fait, toi! Le mec il avait eu une existence merdique. Il allait bientôt me sortir qu'il était la réincarnation de Mickael Jackson. Puis moi et ma grande franchise on débarqua avec nos gros sabots en avouant bien tristement qu'on avait pas trop trop envie de partir hein. Beh oui, c'était rigolo et super gênant. Il allait me prendre pour une meuf sans potes, sans passes temps .... Bon bah ce dernier truc, c'était pas faux. J'avais aucun hobby à part dessiner et c'était plus qu'un hobby, je voulais en faire mon métier; Bref mes études et mes projets d'avenir n'étaient pas le sujet ici. Je fus interrompue dans mes pensées hyper profondes car il revint se coller contre moi en se la jouant médecin. Je souriais avant de me tournait vers lui le voyant se relever pour aller ... manger? Je l'observais d'un air limite blasé avant de répliquais C'est carrément batard de remettre ce cocktail à la con sur le tapis. Jte déteste et je le déteste. Je lançais un putain de regard trop méchant (vachement crédible quoi) pour souligner à quel point je le détestais. Puis je reprenais Et si je reste toute la nuit ici je vais soit tomber sur ta pote psychopathe, soit ma meilleure amie va m'appeler en se demandant où j'suis et ce que j'fous. Nazca était du genre à flipper pour tout et n'importe quoi de toute façon. Et ça me gavait légèrement d'avoir cette envie pesante de rester, je n'allais donc pas tenter le diable. Puis il me demanda si j'avais faim. Je baissais les yeux sur la bouteille de vodka et me posait la question existentielle de la mort qui tue "Devais-je manger ou garder la bouteille contenant ce qui me permettrait de finir totalement torchée?" finalement mon estomac se fit entendre et je relevais les yeux avec un grand sourire Bon bah je crois que j'vais choisir de bouffer! Mais après ça, j'te dis adieu! Je me relevais, posant la bouteille, et me rhabillait vitesse grand V. C'est pas comme si j'avais beaucoup de vêtements en même temps. Je me dirigeais vers lui avant d'enchaîner J'espère que t'as des trucs sucrés, le sucre c'est toute ma vie. Et avec la drogue que je venais de prendre, ça me donnait envie de manger des tas de choses bonnes pour le corps genre muffin, gâteaux, glaces ... J'allais finir obèse et sans mari. Je me posais beeeeh là où y avait de la place avant de demander Et t'es à Harvard depuis quand? Je t'ai jamais croisé. Bon j'y suis depuis deux ans et l'université est grande mais quand même ... Puis ça m'aurait pas étonnée qu'il soit là depuis toujours vu que j'avais même pas croisée une seule fois mon amie d'enfance en deux ans. Vive Harvard et sa superficie = au jardin du château de Versailles.
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Non mais Martin arriverait à faire kiffer la meth plus que le LSD à Echo. Sisi, il était assez confiant. Traversant le Grand Canyon des sujets de discussion, les voilà qui discutait de Fort Boyard. Tout va bien. Le Tchèque acquiesça d’un signe de tête et lança ; « Sauf que je me suis pas reconverti dans le rap et que je chante pas ’I take you to the Candy Shop lalala lick my lollypop’. » Bref, des paroles avec la profondeur du vagin d’Echo, il paraît. C’est pas moi qui le dit, relisez les rps d’avant, svp, où elle critiquait Macho fantastico, ce tube finlandais. Non parce qu’à la lire, c’est pas du sexe qu’ils font au lit, c’est de la spéléologie. Oui, il se mit à chanter 50 cents au calme en remuant du bassin, mmmh trop sexy. C’est parti pour une rumba face à Jean-Marc Généreux. Bref, elle se bougea et Martin tenta de la convaincre de rester. Mais si tu veux pas tu veux pas heinnn. Il se redressa et s’habilla du strict minimum, là où Echo annonça qu’elle pouvait pas rester parce que sa meilleure amie la fliquait. Comme la déduction était le domaine de prédilection de Peček, il demanda ; « Donc tu te casses ? » Cool. Dormir à deux dans cette caravane dans le même lit, c’est pire qu’une séance de sauna dans un sauna public avec plein de vieux Finlandais qui font chauffer le feu comme pas possible parce que ce sont des warriors et qu’ils supportent tout. Même pas ils pensaient aux petits étudiants étrangers. Bon ben apparemment elle se cassait, euuuké. Mais elle était pour un petit sandwich avant de partir. Il lui ouvrit la porte du placard où il rangeait le sucré – parce qu’il était maniaque sur le rangement, mais ça devait être des manies de laborantin ça – afin qu’elle fasse comme chez elle. Elle s’était déjà roulée à poils dans ses draps, elle était donc un peu comme chez elle. C’est là qu’elle lui fit remarquer qu’elle ne l’avait jamais vu avant. Empilant les tranches de bacon sur celles de salade sur celles de fromage sur celles de blancs de poulet, il répondit ; « J’entre officiellement à Harvard en septembre, donc non tu ne m’as pas vu. Je viens de Tchéquie, j’étudie un an à Harvard. » Il fit une petite grimace. Si ça ne tenait qu’à lui, il aurait choisi une autre université, sans confrérie, sans gosse de riche qui veulent dominer le monde. Dixit le gars qui vient de sa taper une bourge. « Je compte sur toi pour me faire visiter l’univ à la rentrée. A moins que tu commences à plus te sentir et que tu fasses la meuf qui regarde de haut les petits nouveaux qui débarquent du trou du cul du monde. » Ouaip, il ne voulait pas la perdre de vue à la rentrée parce qu’elle retrouvera ses copines bourges.
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I GOT MY EYES ON YOU
Waaah du sucre! C'était comme si la caverne d'Ali Baba s'ouvrait face à moi. C'était repartit pour la transe post-drogue ou quoi? Je me servais comme si j'étais chez moi, ouvrant plusieurs boîtes de gâteaux sans même me demander quel goût ça avait. C'est pas comme si j'allais chipoter sur goût chocolat, noix de coco, miel , fraise, tout ça hein. Tout en enfournant un biscuit dans ma bouche je me tournais vers lui, répondant à sa question Ouep, je me casse! Tu veux que je reste? J'sais que je vais te manquer, assurais-je avec un sourire hyper arrogant et hyper fake surtout. Les mecs et leur manière de vivre était aussi chelou que ... bon j'avais pas de comparaison mais c'était chelou. Ca voulait rester seul mais pas trop, baiser mais vas y t'attaches pas, s'il te plait, on est pas potes parce que je viens de te fourrer le vagin. Que de belles pensées dans mon esprit dérangé. J'étais aussi certaine de me prendre un vent d'Alaska que d'avoir comme réponse "Ouais, vas y reste bébé, ma maison, c'est TA maison" ... Ou pas. Bref, ça se voyait pas tant que ça que la drogue faisait plus effet. J'étais sûrement droguée de naissance. Ma mère avait dû se piquer à l'héro pendant sa grossesse pour que je sois aussi timbrée. Puis j'avais commencé à lui faire la conversation, fallait bien que je m'occupe tout en mangeant. Je me figeais, genre l'annonce de l'année qu'il venait de me faire Attend ! T'es pas d'ici? Fin Américain? Okeeeey. Donc tu repars l'année prochaine ? Pourquoi t'es venu à Harvard pour un an? Wooooh calme toi Hamilton. Tu vas pas commencer à faire ton Sherlock Holmes, pipe au bec et loupe à la main. Puis c'était pas ma faute! J'en apprenais toutes les minutes avec lui. Je me sentais limite inintéressante à côté "Ouais salut, je viens d'Écosse, parents divorcés, traumatisée par mon demi-frère, droguée. Cool la vie". Superbe. Fascinant. Puis il enchaîna sur une phrase qui me fit tilter. Je reposais mon biscuit et suçait -comment dire ce mot sans paraître coquine ...- mes doigts pleins de chocolats avant de désigner ma tête J'ai la gueule de la meuf qui prend de haut les gens? Je suis pas lunatique ni hypocrite. Alors je te ferais visiter avec plaisir! Même si je suis pas sûre qu'on se recroise, en fait ... Moooh c'était quoi ce ton tout déçu là! Beh c'était vrai. J'avais menti sur une partie de ma vie pour avoir de la drogue, j'avais pas la meilleure des réputations à Harvard si ce n'était celle d'une salope. Il allait forcément m'éviter comme la peste à la rentrée mais ça, j'allais pas le lui préciser. Je replaçais un sourire sur mes lèvres et enchaînais Eeeet ... dooonc ... T'as laissé toute ta famille en République-Tchèque ou ? Fin, tu te sens pas trop paumé ici? Les mentalités devaient être fortement différentes et le mode de vie aussi. Harvard était l'université où tous les bourges aimaient se retrouver comme une sorte de secte. Je détestais ça. J'haïssais les bourges et pourtant j'étais prête à me faire passer pour une riche juste pour de la drogue. J'étais descendu assez bas là ou je devais m'attendre à plus?
(c) AMIANTE
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