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CEREALES KILLERS ₪ NATALINA

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Bien sûr qu’il était chou. C’en était presque vexant que Natalina doute encore des bonnes intentions de Martin. Oh. Il rangea son magnifique et tout neuf aspivenin dans son sac, puis donna un coup de tête dans le vide quand la blonde lui pinça la joue. Don’t touuuuuch. « Stoooop, on ne me materne pas, moi. » C’est booon, elle le prenait pour un gosse de cinq ans alors qu’il avait au moins un an de plus qu’elle. Il ne fallait pas oublier qu’il était l’adulte ici, enfin le plus adulte d’eux deux. Quand le sujet aspivenin fut épuisé, un certain blanc s’installa entre eux, jusqu’à ce que l’étudiante en théâtre s’intéresse à la raison qui l’avait poussé à venir aux Etats-Unis. « Je devais faire une année à l’étranger. Si ça ne tenait qu’à moi, je serais allé en France pour apprendre la langue. Et puis c’était moins loin, j’aurais pas eu besoin de me séparer de tous mes amis. Mais mon père avait des contacts à Harvard, et mes parents trouvaient que ça faisait mieux de dire que le fils prodige avait été accepté à Harvard. Alors j’ai débarqué ici. » Sa famille faisait vraiment attention à l’image qu’elle renvoyait. Pourtant, aucun d’eux n’était aussi parfait que sa mère le voudrait ; entre un père infidèle, une sœur à moitié allumeuse, un benjamin pervers et un Martin qui fabrique et vend de la drogue, on avait vu un meilleur portrait. Haussant les épaules, il renvoya la question, puisque Natalina instaura ce jeu ; « Et toi ? C’est une tradition familiale de venir à Harvard ou quoi ? » Il savait qu’elle n’était pas la seule Spinelli ici, il trouvait ça rigolo. Il ne voulait même pas imaginer ce que ce serait si sa sœur se pointait ici. Bonjour l’horreur. 
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Je suis peut être plus jeune que lui mais je peux me montrer mature. Je pouffe de rire lorsqu'il repousse mon côté maternel. Qu'il est idiot, je suis sûr qu'il a besoin d'une maman en plus, une vraie ! J'en suis encore plus certaine lorsqu'il m'énonce la cause de son arrivée. Pauvre fils de riche qui se voit contraint d'aller à Havard. Je vais le plaindre dit ! Lui au moins n'a pas a songé à financer ses études. Je détourne mon attention, la mine dégoûtée. Puis il me demande à son tour si c'est une tradition familiale de venir ici... Pourquoi ça le serait ? Il doit connaître Valentin, super, ça se trouve c'est un espion du Grand Spinelli. " Non au contraire, je voulais juste retrouver mon frère après des tas d'histoires de merde tu vois. Tu dois le connaître si tu me parles de tradition familiale non ? "  j'inspecte les expressions potentiellement signe d'espionnage sur le visage de Martin. C'est bizarre, mais je le vois tout faire sauf ça. Il a l'air plutôt détaché des autres et très...solitaire, narcissique dans le fond. Ce qui compte c'est lui et rien d'autre. " Bon à moi de poser une question, une vraie. Hmm. As-tu un secret inavouable que vas devoir m'avouer ? Parce que c'est simple, tant que tu ne me l'auras pas dit, je vais devoir te chatouiller, c'est ce que tu veux ? Que tout le bus entende tes gémissements de fillette ? " le menaçais-je en préparant mes mains vers ses côtes. Ce trajet est plus attractif qu'il n'y paraît. Pour le moment je ne vois pas le temps passé, j'espère que nous nous approchons tout de même de Phoenix. J'ai hâte de me dégourdir les jambes et de m'acheter un truc à grignoter.
© flappy bird.
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Qu’elle respirait la sympathie cette Natalina, sisi. En fait, Martin se sentait à peine agressé chaque fois qu’elle lui répondait, j’vous jure. Ahalalalala, un jour il la dresserait, j’vous promets. Il haussa les épaules, répondant avec une certaine distance ; « J’ai vu son nom sur le blog de CS en fait. Je me suis dit que Spinelli à Cambridge ne doit pas être super courant. C’est tout. » Il était loin de s’imaginer qu’elle le prenait pour un sbire de son frère, alors que c’était juste sa curiosité qui l’avait poussé à lire les articles de l’autre charpie de CS. « Si je te l’avoue, il ne sera plus inavouable. Et sérieux, t’as pas trouvé mieux pour me tripoter que me menacer de chatouilles ? » En fait, il était super chatouilleux, donc il essayait de déstabiliser Nat pour pas qu’elle s’amuse à l’attaquer. Parce que son secret inavouable pourrait être ses activités illégales en matière de fabrication de meth. Du coup, quand elle commença à se préparer, il gigota sur son siège, se penchant sur le côté opposé. Et il se pencha d’ailleurs un peu trop puisqu’il s’écraser les fesses par terre au milieu du couloir, attirant l’attention des quelques rangées de sièges autour d’eux. « Tu m’as poussé ! » l’accusa-t-il pour que toute l’attention se porte sur elle et non sur lui. Ahalala, dispute conjugale si tôt …
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Comment le nom de ma famille avait pu se retrouver dans une sorte de blog à scandales. Je parie que Valentin a dû faire beaucoup de conneries durant mon absence. Je n'ai pas envie de les apprendre par Martin. Oh non, je ne veux pas lui donner cette satisfaction. J'essaie par la suite de sortir les vers du nez du tchèque à propos d'un secret qu'il pourrait garder. J'ai vraiment cru qu'il pourrait me le confesser ? Il m'énonce un speech d'avocat et termine par une provocation dont il est le roi. " Te tripoter ? Je rêve, tu te prend pour un Dieu grec " je fronce les sourcils et approche mes mains pour lui donner sa punition. Ben oui, il ne m'a rien dit, au contraire, il m'a défié. Il démarre alors une danse endiablée sur son siège et il finit par s'écraser dans le couloir du bus. J'éclate de rire et m'arrête automatiquement quand il m'accuse devant tout le monde. Je deviens rouge de honte et de colère. " C'est pas vrai, quel menteur ! " me justifiais-je en rampant sur son siège pour lui tendre ma main. " Remontes imbécile, je vais te coller les fesses tu bougeras plus " le menaçais-je comme une maman le ferait avec son enfant. Je déteste être le centre d'attention, ce type a le don de me foutre dans des positions inconfortables. Une fois de retour parmi nous, je frappe Martin dans ses parties intimes sans scrupule. J'ai bien sûr modéré mon coup, je ne veux pas le rendre stérile le pauvre, quoique... je pourrais rendre un immense service à la planète entière. " C'est quoi ta drogue sérieux ? " demandais-je furax.
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Donc le dieu grec s’écrasa lamentablement par terre, dans le couloir du bus entre les rangées serrées de siège. Martin accusa évidemment Natalina, responsable de tout ce grabuuuuge, ouuuh la vilaine mais cette dernière ne se défendit que par un ’c’est un menteur’. Alors elle, au tribunal, elle écoperait direct de la peine maximale pour une argumentation aussi pauvre. M’enfin, Martin étudiait la chimie, pas le droit, il ne critiquait donc pas. « Mais arrête de me faire des avances ! D’abord tu me tripotes, ensuite mes fesses … » C’est qu’elle était horny la petite Italienne, en vrai. Il se rassit donc confortablement à côté d’elle, restant sur ses gardes au cas où elle envisage de nouveau l’attaque chatouille. Mais au lieu de ça, elle opta pour l’écrase-merguez, ce qui fit que le Tchèque se crispa en deux sur son siège, croisant les bras sur son ventre ; « Ouuuuuuch … » Mais ça va pas. Depuis quand on tape Martin-Piqueur pour se défouler ? « T’es maladeeeee … » Et sans réfléchir, il répondit à sa question par une autre question, étonné ; « T’es au courant ? » Pour son business et touuut. Mais non c’est pas possible, non non non … Non ? Ah merde, elle demandait sa drogue, mais façon de parler ! Ah, la dissuasion frappe-zizi avait marché, si bien que Martin tenta de rattraper le coche avec le plus de crédit possible ; « Je me drogue à l’amour pour toooooi. » Sur ce, il se pencha sur elle, mimant de l’embrasser avant de se retirer juste avant qu’elle ne tente de le gifler cette fois.
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Il prend ses rêves pour des réalités celui-ci. En même temps, je cherche les sous entendus et çeci ne me déplaît pas. Le petit jeu qui s'est instauré entre Martin et moi me rend plus vivante. Après lui avoir asséné un coup dans les parties précieuses, il hurla à la mort en me traitant de malade. Il n'a pas répliqué mais comme une imbécile je me suis protégée la poitrine, allez savoir pourquoi. Il me donne le tournis à s'agiter dans tous les sens et tout naturellement, sur le ton de l'humour, je lui demande ce qu'il prend comme drogue. Et là, il me répond si je suis au courant. Au courant de quoi ? Je le dévisage et il reprend par une phrase mielleuse qui me donne envie de vomir. Elle sonne faux. " C'est ça, je suis sûre tu magouilles des trucs ! " m'exclamais-je avant d'être propulsée contre la fenêtre avec une force monumentale. Je ne sais pas ce qui nous arrive, Martin s'écrase contre moi et puis je ne vois plus rien à part mes cheveux qui balaie ma vue. J'essaie de m'accrocher au siège de devant, j'entend des bruits de carrosserie stridents. Le bus fait plusieurs tonneaux, lorsqu'il s'arrête, je ne suis plus assise sur mon siège puisque je l'aperçois. Je suis sur le toit de l'auto-car. De la fumée entre dans mes poumons, je m'escane. Mon coeur bat à toute allure, je ne sais plus du tout où je suis, j'ai la tête qui tourne. Mon premier réflexe est d'appeler... Martin. J'ai peur et quelque chose de chaud coule sur mon front. Je porte ma main sur mon visage, je saigne. D'autres personnes commencent à gémir et à se réveiller du choc. " Martiiiin, t'es où ? Martin ! " criais-je en rampant. Mon palpitant s'excite, et s'il était plus que blessé...
© flappy bird.
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Ils allaient à Phoenix. Ils rigolaient, se taquinaient, se tripotaient (un peu, surtout Natalina, mais si dans SPINELLI, il y a le mot PINE c’est pas que le hasard hein), mais ils se sentaient bien, ils se sentaient vivants. Martin n’eut même pas le temps de répliquer qu’un choc violent l’envoyer valser à l’autre bout du véhicule. C’était flippant. Tout son environnement se mit à tanguer d’un côté vers l’autre et Martin eut pour réflexe de se coucher au milieu du véhicule, les mains sur sa tête. Mais ce n’était pas la meilleure place, puisque toutes les valises posées dans les rangements plafonniers lui tombèrent dessus et un violent coup suffit à l’assommer jusqu’à ce que le bus s’immobilise. Puis, plus rien. Pendant quelques secondes seulement. Trop de secondes, cependant. Ce fut le cri de Natalina qui sortit le Tchèque de son trauma. Sa voix emplie d’inquiétude et de désespoir encouragea le jeune homme à sortir de son trou – parce que oui, il était dans un trou. Lui, il se trouvait à l’intérieur du véhicule, sous une pile de sac, de siège et de corps. Mine de rien, tout ceci avait formé un cocon, une sorte de havre de protection qui le protégea de tout coup mortel. Il dut rampe vers l’extérieur en traversant une vitre pétée. Les vestiges du carreau lui ouvrit le genou, mais la douleur était infime en comparaison avec la souffrance qu’il ressentait dans sa nuque. Il s’accroupit à terre et leva le nez pour voir Nat, assez mal en point. Néanmoins, un sourire s’esquissa sur son visage, heureux qu’ils soient sains et saufs. Mais machinalement, son regard se posa sur le réservoir du bus où l’essence coulait à flot, droit vers le moteur enflammé du véhicule. « Oh, putain. NON ! » s’écria-t-il en attrapant la main de l’Italienne pour qu’elle descende de son piédestal. Il fallait qu’ils partent EN URGENCE. Il courut aussi loin, aussi vite qu’il pouvait, avant de s’écrouler à terre, entraînant Natalina avec lui. Il croisa les bras sur la tête de Natalina, la forçant à bien se boucher les oreilles, sachant très bien ce qui allait se passer. Et ça n’y échappa pas. Une explosion surgit et un halo de fumée noire parvint jusqu’à eux. Le bus n’était plus qu’une carcasse, à mille années lumières de la couleur jaune qui le caractérisait tant. C’est pas possible, ils jouaient un film là. Ça n’arrivait que dans les films ça, on est d’accord ?
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J'ai été propulsé à l'extérieur du véhicule, je saigne et je ne sais plus où est celui avec qui je blaguais jusque là. C'est à cet instant là que j'ai compris. Il était un ami, un vrai, et pas n'importe lequel. Mon coeur s'est serré et j'ai forcé sur mes cordes vocales pour lui signaler ma position. Après des secondes interminables, j'aperçu enfin son minois sortir du véhicule. J'ai pu douloureusement lui faire un signe pour qu'il puisse me voir. Alors que je croyais être sortie d'affaire, Martin m'attira à lui et loin du bus. Mes jambes suivirent machinalement la trajectoire du jeune homme. Qu'est-ce qui lui prenait ? Sa main presse la mienne très fort, j'ai peur. Et puis il m'emporte à terre derrière un talus. Je sens son corps m'oppresser. Je fixe le long véhicule jaune et soudain il explose dans une énorme détonation. J'ouvre la bouche, choquée. Une flamme gigantesque était en train de consumer notre ancien moyen de transport. Tout de suite, j'ai pensé à d'éventuelles victimes. Mon cerveau me disait d'aller à leur secours mais mon corps restait immobile. Mon taux d'adrénaline a sûrement chuté car je me suis mise tout à coup à pleurer des torrents. Et si Martin était resté à l'intérieur ? Il ne resterait plus qu'une brochette tchèque à l'heure actuelle. Dans un élan d'émotions à chaud, je me jette sur lui et le serre fort dans mes bras. " Tu m'as sauvé la vie trou d'cul ! " m'exclamais-je e larmes. Après m'être reculée spontanément pour observer son visage légèrement amoché, mes lèvres se sont jetées sur les siennes et se sont écartées aussi vite qu'elles se sont posées. " Excuses moi, c'était un accident " dis-je en écarquillant les yeux, toute innocente. " On devrait alerter les autorités non ?" ajoutais-je pour faire oublier ce que je venais de commettre.  
©️ flappy bird.


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Un je-ne-sais-quoi poussa le Tchèque à se surpasser, à arracher Natalina hors du toi et à l’attirer à une bonne centaine de mètres du bus en une fraction de seconde. Ce je-ne-sais-quoi la jeta à terre et lui donna le réflexe de s’affaler sur elle, la protégeant de cette détonation qui lui arracha le tympan, et des fragments de la carrosserie du bus qui volèrent loin très loin de l’habitacle. Ce je-ne-sais-quoi s’appelait Adrénaline et Martin avait toujours cru qu’il s’agissait d’une légende urbaine. Lui qui dealait de la drogue sentait tous les jours ses poils frémir en pensant au fait qu’il était dans la toute illégalité. Mais jamais son palpitant n’avait bondi à ce point dans sa poitrine. Ils se redressèrent, Martin aida Natalina à remonter sur ses papattes alors qu’ils ancrèrent tous les deux leur regard sur la carcasse en flammes, jusqu’à ce qu’elle se jette dans ses bras en le traitant amoureusement de trou du cul. OK. « Euhw, OK … » Peut-être que c’était un gentil mot en Italie. Vous saveeeezzz, le choc des cultures, toussa toussaaaa, Martin ne s’y était pas encore fait. En plus, il était complètement sonné, il garda ses bras tendus alors qu’elle le prenait pour son Teddy Bear. Jusqu’à ce que ses lèvres dérapent sur les siennes, d’une manière si naturelle que c’en était déconcertante, que Peček s’imagina un instant qu’il l’avait fabulé. « Accident ? Je ne sais pas, j’ai vraiment pas vu ce qui s’est passé. Si le chauffeur a perdu le contrôle du véhicule ou quoi. Il n’y a pas d’autres voitures, camions ou même bison. Peut-être que la personne s’est enfuie juste après le carambolage. » Elle parlait de SES LEVRES SUR LES TIENNES, banane. Anyway, il était un peu paumé dans ses pensées. Il pensait à tous ces gens qui avaient perdu la vie. Et s’ils étaient les seuls encore là ? « Autorités. Oui, t’as un téléphone ? » Il espérait qu’ils n’étaient pas juste coincés au milieu de nulle part sans rien. Ce n’était pas des routes franchement très fréquentées, ils devraient se démerder tous les deux.


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C'est pas possible, je porte la poisse. Je ne peux m'empêcher de me relâcher après cette cascade de sensations fortes et tout ceci se traduit par un baiser. Un baiser à Martin l'espèce de grand nigaud. J'ai été touché à la tête, je comprend pourquoi j'ai heurté ses lèvres maintenant. Alors que je m'excuse et que je traduis mon élan d'émotions par un accident, le brun comprend complètement de travers ce que j'ai essayé de traduire. Je suis mal barrée. Au moins, il ne cherche pas à comprendre, c'est déjà ça. " Mais tu fais vraiment exprès ? Martin ! que vais-je faire de toi ? "  je me redresse et me relève en gémissant. Je dois avoir plusieurs contusions. Je propose d'appeler les flics ou un truc du genre mais pour ceci il faudrait un téléphone et mon téléphone est parti en poussière avec ma sacoche. Je gigote ma tête de droite à gauche pour avertir Martin que notre chance d'être secouru est cramée, c'est le cas de le dire. " On est foutu, au milieu de nulle part en plus ! Je vais te tuer sérieux ! " ah ben oui, c'est tellement plus facile de mettre la faute sur les autres. Si je suis là, c'est que je l'ai décidé. " Et toi le Roi des tchèques, tu n'as pas non plus TON téléphone je parie ? " criais-je rouge de colère mais surtout paniquée à l'idée de devoir marcher au bord d'une route  jusqu'à la nuit tombée.  
©️ flappy bird.


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