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CEREALES KILLERS ₪ NATALINA

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Donc maintenant, Martin pouvait compter Natalina parmi ces nouveaux amis arbres. Cooooool. Bon, il lui épargna le couplet ’dis-moi un arbre et je te dirais qui tu es’ parce que visiblement, Natalina complexait des bananiers. En fait, il réalisait qu’elle devait être bien jeune pour être gênée par un fruit contondant. Une chance que Martin ne soit pas très porté fruits et légumes, sinon y aurait des aubergines, des concombres, des courgettes peut-être même des noix de cocos. L’enfer pour Natalina, elle se croirait dans la chambre rouge de Christian Grey, alors qu’en fait elle serait juste face à une corbeille à fruits. VDM. « J’y suis allé deux ou trois fois oui, en vacances. La dernière fois, c’était l’été dernier. De bonnes vacances. De très bonnes vacances. » Oui oui, il avait visité l’Italie très en profondeur, si vous voyez ce que je veux dire huhuuhu hashtag gros lourd. « Tu connais la République Tchèque ? » Bon, c’est pas la destination touristique par excellence, mais il savait que les gens adoraient visiter Prague. Donc sait-on jamais. Une fois qu’elle eut fini sa banane de l’enfer, Martin la vit se rapprocher. Mais puisqu’il y avait une poubelle non loin de lui, il supputait qu’elle allait juste faire son devoir de conchita et déposer sa peau là-dedans. Manque de peau – téma le jeu de mots stpppp – c’est plutôt le sommet de son crâne qu’elle visait. Il resta quelques secondes immobiles, une moue se dessinant progressivement sur son visage. « Mmh. » grommela-t-il doucement avant de pivoter la tête en avant et faire glisser le reste de banane sur ses cuisses. Lui, j’vous rappelle qu’il tartinait son pain d’une booooonne grosse couche de Nutella, le genre de couche qui déborde un peu sur les doigts, si vous voyez ce que je veux dire. Il n’hésita donc pas à se pencher sur elle et poser sa main sur sa joue, qu’il caressa comme une mamie gâteau caresse celle de son petit-fils ; « Comme elle est mignonneeee, elle fait joujou avec la banane, ooooohwww. » Et des traces circulaires de Nutella se dessinèrent sur la pommette de Natalina, alors que Martin se redressa, prêt à se défendre quand l’Italienne réalisera ce qu’il venait de faire.
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Depuis que je suis Harvard, j'ai appris que la plupart des étudiants qui y travailler étaient friqués. Alors ça me paraissait justifié que Martin ait pu visiter l'Italie ou encore mieux, faire le tour du monde. Et j'ai visé dans le mil, l'Italie n'avait plus l'air d'avoir de secrets pour le beau brun. Quant à moi, la République Tchèque était une énigme. Sa question sur mes connaissances à propos de son pays me parue déplacée parce que mon compte en banque n'était pas le favori des banquiers. C'était donc logique que je ne puisse pas avoir eu l'opportunité de visiter n'importe quel pays. " Non. Enfin, juste de nom, ça doit être beau. " répondis-je rêveuse avant de revenir sur Terre pour créer un couvre-chef sur mesure à Martin. Ai-je réussi à réveiller le démon ? Le grommellement de Martin ne présage rien de bon. Je ne pense pas qu'il est dû genre à se laisser faire. J'allais sûrement vivre sa vengeance quand je m'y attendrais le moins. Et ça ne tarda pas, après m'être couchée sur le dos, je sentis la main du jeune homme me caressait le visage avec une substance collante. Une grimace se dessina sur mon visage, une grimace de dégoût. La sensation est assez déplaisante et étrange. Je dévisage Martin qui ajoute à sa connerie de l'ironie qui réveille mon sang chaud. " Qu'est-ce que tu... " prononçais-je tout en me redressant et tâtant de mon index la substance qui recouvrait ma joue. La couleur n'est pas charmante mais l'odeur l'est. C'est du chocolat. Le lâche s'est redressé, il est sur la défensive. Il a bien raison. Je suis en colère, très en colère. " Tu me le paieras " lançais-je froidement avant de m'enfuir dans la salle de bain minuscule et sombre. Je tire sur un fil et allume l'ampoule. Je retrouve mon reflet tâché. Je n'avais plus rien sous la main pour une vendetta. Mais je n'oublie pas, je me dédommagerai bientôt. J'ouvre le robinet et frotte mon visage pour me débarrasser de la pâte à tartiner étalée sur ma pommette. " T'as des plans pour aujourd'hui ? " demandais-je en montant le volume pour que Martin puisse m'entendre.  
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Bien que Martin constata la face qu’elle tira quand il lui demanda si elle avait voyagé en République Tchèque, il ne comprit pas trop pourquoi une telle réaction. Il se mit donc à penser que Natalina avait des genres de tics, voire des tocs, enfin quelque chose qui faisait que son visage grimaçait sans qu’elle ne s’en rende compte. Bref, il ne lui en tint pas rigueur, se disant que ça faisait partie de son charme d’avoir une sale tronche. D’une certaine manière. Il préféra de loin se venger pour la peau de banane en lui étalant du chocolat. Au début, elle ne comprit pas trop ce qui lui arrivait, jusqu’à ce qu’elle se redresse comme montée sur un piston et se presse dans la salle de bain, maugréant sa vengeance future. « Ouuuh, sois gentille avec moi. » s’esclaffa-t-il, pas mécontent de la tournure des choses. Il aimait bien quand elle se lâchait la Natalina, elle qui était bien trop souvent sur la réserve. « À la base, je comptais prendre le bus jusqu’à Phoenix mais j’ai la flemme d’y aller seul. Personne n’est motivé. » À moitié affalé sur son lit, appuyé sur son coude, il tira une moue en jouant avec ses doigts, avant d’enchaîner sur une cuillère de céréales. « Sauf si bien sûr tu voudrais m’accompagner … » Et l’intonation de sa voix tourna de manière à ce qu’il formule sa phrase comme une question. Pas sûr que ce qu’il venait de faire à Nat lui donnerait envie de l’accompagner jusqu’à Phoenix, mais osef, il proposait quand même. Qui sait, peut-être qu’elle avait une part de masochisme en elle.
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natalina & martin
Après avoir attrapé une serviette potable sans tâche inquiétante, je pointe le bout de mon nez discrètement pour apercevoir Martin allongé sur son lit. Il m'annonce ses plans en piochant dans les céréales. Il peut être adorable quand il veut, surtout quand il ne se doute pas d'être observé. Je parie qu'il joue un personnage, un peu comme moi sauf que je le fais uniquement sur les planches. Les mystères j'en raffole, alors je saute à pieds joints dans son invitation. Je sors de la salle de bain après que sa dernière phrase soit prononcée et je m'assied au bout du lit. " Je veux bien t'accompagner, je n'en peux plus de cette concentration de jeunes abrutis " avouais-je en me contorsionnant vers l'étudiant pensif. J'ai l'impression de parler comme une mère au foyer alors que j'ai à peine dix neuf ans. " Tu avais un itinéraire particulier une fois sur place ? " questionnais-je. Comment puis-je être si crédule ? Même si Martin avait des plans spécifiques et irresponsables il ne me les confierait pas, pas maintenant en tout cas. Pour une maniaque du contrôle comme moi, partir à l'aventure relevait d'un miracle. " C'est pour bientôt le bus ? Que j'aille prendre le strict nécessaire dans ma caravane vomitive " me justifiais-je pour pouvoir uniquement me faire une petite beauté avant de découvrir Phoenix.  
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Ohlaaaa. Bon. Au moins, Natalina était motivée à l’accompagner à Phoenix, c’est cool, même s’il se sentit un peu agressé par sa réponse, surpris par tant d’entrain d’un coup. A peine avait-il prononcé sa phrase qu’elle sautait limite sur le lit, prise d’un engouement certain pour la suite du programme. Au moins c’est cool, pas la peine de déballer tous les arguments possibles et imaginables pour qu’elle accepte de caler ses fesses au fond d’un bus miteux. « Tripadvisor dit qu’on devrait visiter le jardin botanique ou le zoo. Y a aussi un circuit pour les courses à grande vitesse. Enfin je suis pas encore décidé, j’pensais voir au feeling. » répondit-il en pianotant sur son téléphone, cherchant effectivement la page internet qu’il évoquait. Puis il était certain qu’en fille sérieuse qu’elle était et en touriste exemplaire, Natalina saurait exactement trouver les spots en ville. « T’façon je pense que tu t’en fous de ce qu'on fait tant que tu t’éloignes de cette concentration d’abrutis ? » Il ignorait d’ailleurs s’il devait se caser parmi les abrutis. Fallait pas croire, mais cette fille était plus sournoise qu’elle n’y paraissait. « Le prochain est dans une demi-heure, tu crois que t’auras assez de temps pour te pomponner ? J'adorais le Nutella style, mais j'peux comprendre que tu veuilles te tartiner avec autre chose. » lâcha-t-il avec un grand sourire, accompagné d’un clin d’œil. Trop prévisibles ces meufs.  
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Tripadvisor ? Je crois avoir entendu ce mot à la télévision. Je relâche la pression lorsque Martin m'énonce ses éventuels plans une fois à Phoenix. Il n'y a rien de bien dangereux dans un jardin botanique ou un zoo. À moins qu'il ne me jette dans la cage aux lions. J'hoche la tête à ses propositions tout en le regardant, ébahie. Il pianote à la vitesse de la lumière sur son téléphone. Je dois être une des seules à ne savoir qu'envoyer à peine des textos. J'explose de rire lorsqu'il me parle de la bande d'abrutis que j'ai mentionné juste avant. " C'est exactement ça, j'espère seulement que je ne pars pas avec l'un d'entre eux " plaisantais-je avant de lui demander l'horaire pour le prochain bus. Et il n'allait pas tarder ! Martin use encore de son ton satisfait qui a le don de m'exaspérer.  J'attrape un oreiller et lui balance en pleine figure. " T'es qu'un enfoiré, ça ne m'étonnerait pas que tu sois seul sentimentalement " avouais-je méchamment avant de me lever. " Je vais me tartiner, on se retrouve dehors. " je fronce les sourcils mécontente et tourne les talons en direction de ma caravane. Je me demande vraiment ce qui m'attend et j'espère que Martin n'est pas rancunier ou que je ne l'ai pas blessé. De toute façon, il pourrait bien me retourner ma phrase. Une fois dans ma salle de bain, je me débarbouille correctement et me maquille légèrement. Je torsade ma chevelure blonde pour donner du mouvement et enfin je me munis d'un sac en bandoulière pour y fourrer mon téléphone. Si Valentin voulait des nouvelles et que je ne répondais pas je serais déjà signalée comme disparue. Une fois préparée, je descend les marches de mon habitation temporaire et retrouve mon compagnon d'aventure pour la journée. " Prête et toi ? Tu as bien pris ton cerveau et des couches de rechange mon agneau ? " lui demandais-je en battant rapidement des cils pour le taquiner.
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Wooooouh, c’est qu’à la distribution des cerveaux, Natalina n’avait pas été mal lotie niveau réparties. Martin la regardait amusé, surpris de minute en minute par le caractère de lionne sauvage qui se cachait sous ses allures de chaton. En fait, à la base, il ne s’enquiquinait pas des nanas qui le traitaient d’abruti et qui faisait sans arrêt la gueule. Mais avec Nat, c’était différent. Elle le traitait poétiquement d’abruti vous voyez, donc il récompensait ses efforts en lui offrant sa présence. Ouaip, parfois, le Tchèque avait une haute estime de lui-même. Il se para avec ses bras pour éviter l’oreiller dans la tronche et, hilare, se contenta de lui lancer ; « Allez, on se voit toute à l’heure ! » Et il s’empressa de lancer, sa main en porte-voix ; « Et en général, on dit célibataire, pas seul sentimentalement ! » Mais alleeeez, on va le mettre sur sa fibre artistique ça. T’façon, elle s’était déjà enfuie vite fait bien fait dans sa caravane. Martin profita de ce laps de temps pour prendre une douche rapide et se vêtir d’un short, d’un t-shirt et d’un sac à dos noir dans lequel il fourra le strict nécessaire. Une fois ready, il attendit sur les marches de sa caravane que sa voisine se pointe. « J’ai tout ce qu’il faut là-dedans, t’inquiète pas, même à Phoenix t’auras le plaisir de changer mes couches. » Il tapota son sac, avant de se lever et de se diriger vers la sortie du camping, là où un bus les attendait comme prévu. « Y a trois heures de route. J’espère que t’as pris de quoi t’occuper car moi je fais pas garderie. » lança-t-il pour la taquiner.   
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natalina & martin
C'est sans revêtement alimentaire que je rejoins Martin près de sa caravane. Il a changé de tenue, heureusement pour moi, il est enfin habillé et il sent meilleur. Je le taquine une fois de plus et il ne perd pas de temps pour répliquer. Je secoue la tête en suppliant mon dieu de m'aider dans mon périple avec ce fameux Martin. Nous nous dirigeons vers le bus qui est déjà arrivé et quand le tchèque m'annonce que nous avons trois heures de route, je me fige devant lui, la bouche grande ouverte. " TROIS HEURES ? " lui demandais-je comme si entre temps la distance aurait diminué. " Comment je vais pouvoir te supporter trois heures là-dedans ? " je passe ma main sur mon front, harassée en avance. Je ne vais pas non plus lui montrer que je suis plutôt contente de l'éternité qui va nous lier jusqu'à notre destination !  Mais cent quatre vingt minutes c'est plutôt long, j'aurais dû prendre un bouquin, quelle galère. " Je suis désolée mais tu vas devoir faire garderie Pecek ! " je me retourne furtivement, faisant balancer mes cheveux blond dans les airs puis je grimpe dans le bus et paie mon trajet. J'entend Martin me suivre, pendant ce temps je fusille  l'autocar à la recherche de deux places contiguës. Je trouve une paire vers le milieu et m'y faufile. Je suis contre la fenêtre et regarde à travers les tas d'étudiants qui se réveillent avec une sale mine. Comment vais-je réussir à m'occuper, il n'y a rien du tout et en plus la climatisation a l'air de faire des siennes. Je transpire déjà, je sens que je vais vivre un cauchemar. Je sens un frottement contre mon bras, Martin s'installe. " T'as pris un jeu de carte ? ou alors on va devoir parler mon pote et je suis plutôt bavarde... " je secoue mes sourcils pour rajouter une dose de machiavélisme. Ce n'est pas non plus la mort de discuter avec moi, je ne suis pas emmerdante, loin de là. J'ai juste peur de ce que Martin pourrait me demander, il n'a pas la langue dans sa poche celui-là.
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Oui ben OK Martin se doutait que Natalina allait râler, crier à l’arnaque, genre ’mon dieuuuu, tu m’as roulé tu m’avais pas dit que Phoenix était si loin bla-bla-bla’, mais à l’écouter, c’est comme si elle allait à la potence. Martin n’est pas non plus d’une si mauvaise compagnie, faut pas abuser quoi. Il lui lança un regard de chien battu avant d’enchaîner sur le regard du gros molosse sadique ; « C’est pas mon problème. Tu me supportes, un point c’est tout. » Puis c’était réciproque. J’vous rappelle que Martin était le gentil voisin qui invitait aimablement Nat, alors que cette dernière soupirait plus qu’une chaudière sous pression et qu’elle était parfois aussi agréable qu’un serpent dans son lit. Oh. Ils montèrent dans le bus, Natalina la première, et le Tchèque la rejoignit sur le siège d’à côté. Il n’y avait pas d’autres places libres de toute manière, il valait mieux ça que rien. « J’ai la tête de quelqu’un qui a pris un jeu de cartes ? » lâcha-t-il avec une grimace. « C’est vous les filles qui avez votre vie dans votre sac à main oooh, nous on prend le strict minimum. J’ai même pris l’aspivenin au cas où tu décides de faire l’aventurière hors de mon champ de vision. » Fier de sa machine, il sortit le sujet de son sac et pressa un peu le bouton pour montrer que ça marchait bien. Coooool coool cooool. Il avait presque envie qu’elle se fasse mordre par un python du désert juste pour le plaisir d’essayer sa machine. Donc ouais, conclusion, ils allaient devoir parler. Mais ça ne posait pas de souci à Martin. C’est sa voisine de gauche qui se braquait chaque fois qu’il disait un truc. Lui, il aimait plutôt bien bavarder.  
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natalina & martin
J'ai parfois l'impression d'être sermonné par Martin, comme une petite fille -que je suis encore-. Lorsqu'il se montre plus ferme, je me sens attaquée alors je me replie. Je suis montée dans le bus, j'ai pris mon siège et j'ai ravalé ma fierté pour lui parler de nouveau. Je lui demande s'il a apporté de quoi se divertir mais il me remballe de nouveau. Il a ses règles ou quoi. Il reprend ensuite la parole en dénigrant la gente féminine, je lève les yeux au ciel mais ma curiosité est piquée lorsqu'il me parle d'un aspivenin. Qu'il est mignon, il a pensé à prendre de quoi me sauver la vie... Je papillonne des cils et mord ma lèvre en le regardant faire joujou avec son instrument étrange. " Tu me sauverais la vie alors ? T'es trop chou quand tu veux " j'attrape sa joue entre mon pouce et mon index et la pince comme le font les grands mères. Le moteur gronde sous nos pieds et nous partons pour Phoenix avec une vitesse de croisière lente comparée à celle d'une voiture. Le paysage défile et mon compagnon de voyage est toujours là, fidèle au poste. Il est temps de creuser et d'approfondir le dossier Martin. Je plaque mon dos contre la vitre et croise mes bras. Je pose mon regard d'acier sur le jeune homme pour qu'il réagisse. J'adore l'énerver celui-ci. " Alors Pecek, qu'est-ce qui t'as amené aux États Unis et à Harvard ? " je me met à jouer avec une mèche de cheveux que j'enroule autour de mon doigt et avant qu'il ne réponde quoique ce soit y compris un mensonge je rajoute " On a qu'à faire une question chacun "   
© flappy bird.
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