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I thought we were friends ? # CODY

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Je débitais un nombre de mot incalculable, un peu comme Cody, mais pas non plus autant. C'était lui le maitre dans ce domaine, j'avais aucune envie de lui voler sa place. Mais généralement, quand il fallait que j’argumente ou que je me défende, j'étais du genre à le faire au point de saouler les gens. J'avais besoin de parler, j'avais besoin que l'on me parle. Il fallait que je comprenne les choses, parce que j'étais pas douée avec les sentiments, alors j'avais besoin que l'on m'explique, comme à une petite fille. Je parlais alors, j'avais compris que si je parlais dans son langage c'était tout de suite plus simple, j'avais l'impression qu'il était plus à l'aise. Et du coup, nous étions dans notre bulle parmi les tentes. Comme deux autistes. La situation était plutôt bizarre d'un coup. Ouais, parce que Cody j'l'aimais bien. C'était pour ça que j'étais venue le voir aujourd'hui, parce qu'il me manquait et que je voulais passer du temps avec lui. Alors quand il change tous vos plans pour dire qu'il aurait aimé avoir plus que de l'amitié... j'avais saisi la perche qu'il m'avait tendu et j'avais tiré un grand coup vers moi. Je m'étais pas non plus faite prier pour me faire embrasser. Le truc, c'est que maintenant, il allait occuper mes pensées et je n'avais aucune idée de si c'était une bonne ou une mauvaise chose. « Ou … » Il m'avait tiré de mes pensées. J'avais relevé mes grands yeux sur lui comme si il avait dit quelque chose d'important. Pas de sourire sur le visage, non, j'étais trop stressée pour ça. « Ou tu restes en Alaska et moi au Canada. Tu sais, ce n’est pas si loin. Y a jamais qu’une frontière à franchir. Et puis niveau climat, on est un peu pareil. Mais c’est mieux qu’on reste dans nos pays respectifs. C’est pas que j’ai pas envie d’aller en Alaska, c’est juste que j’ai peur qu’à force de voyager, j’ai envie de m’y installer. » Je n'ai aucune idée de comment je dois le prendre. J'ai l'impression de m'être fait rembarrée de manière poétique. Question d'habitude pour moi maintenant. « Je suppose que ça demande beaucoup de réflexion... » lui dis-je avec un pointe de déception dans la voix. Toute façon, il fallait que j'me calme. J'en demandais trop tout de suite apparemment. Je laissais échapper un petit soupir. « Saches qu'en Alaska, ils aiment la pizza et la bière ! » La petite pointe d'humour obligatoire pour dédramatiser un minimum. « J'ferais mieux d'y aller... » lui dis-je avec un faible sourire. J'étais certaine que s'il avait envie de passer la frontière, il saura où me trouver.
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OK. Mauvaise idée ce baiser. En fait, ça weirdifiait les choses. Parce que ça avait été agréable. Cody aurait dû saboter ce baiser, genre se mettre à baver abondamment comme le teckel de sa grand-mère, ou bien accrocher sa montre par mégarde dans ses cheveux et se faire une perruque pour poignet. Enfin un truc bien foireux totalement digne de Cody Bleeker. Au lieu de çaaaa, il fallut EVIDEMMENT qu’ils réussissent ce baiser. Mais c’est pas vrai, mais c’est pas vrai. Du coup, Cody n’osait même plus regarder Alaska dans les yeux sous peine de se faire exterminer par son regard laser. Il a vu des centaines de milliers de fois la saga Star Wars et savait qu’il fallait à tout prix se méfier des lasers. Ils peuvent te couper un bras en un rien de temps. D’une certaine manière, Cody se sentait descendant des Skywalker et c’est un peu de famille de se faire couper les poignets par le sabre laser. Ceci dit, Luke perd sa main à cause de Dark Vador, ce qui voudrait dire en l’occurrence qu’Alaska serait Dark Vador et donc aussi son père. Mmmh. Voilà Cody, même par tes pensées tu rendais la situation de plus en plus weird. Arrête de penser. OKOK, c’est à moi d’arrêter d’écrire aussi. « T’en as même pas idée. » Des réflexions ? C’est clair. Si elle apprenait à cet instant qu’il s’imaginait embrasser son père qui était en fait Dark Vador et qu’elle allait lui couper le bras … Ahalala, les réflexions Codyenne. « OK. J’irais faire un tour en Alaska. Souvent. » affirma-t-il, inconsciemment plus convaincu par la fille que par la bière et la pizza. Chose incroyable de sa part. Puis elle déclara qu’elle allait y aller, et là, préparez-vous. Cody fit le truc le plus con de l’histoire des trucs cons dans le Guinness des trucs cons. « Moi aussi, j’ai un bœuf bourguignon sur le feu. On s’appelle ? » Et là, ce fut deux bises, une sur chacun des joues d’Alaska qui conclurent cette échange. Des BISES. Déjà, ils ne se bisaient jamais à la base, plus adeptes des accolades et des high five. Mais Cody était tellement pressé de partir qu’il ne réfléchit pas et s’en alla vers sa tente. Voilà voilà.

Alaskaaaa
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« T’en as même pas idée. » Ouais, j'avais pas vraiment idée de la réflexion que ça devait lui demander. Son cerveau devant chauffer et bientôt de la fumée allait sortir de ses oreilles et sa tête allait exploser. Comme dans les dessins animés, que je regarde trop apparemment. Je crois que je ne voulais définitivement pas être dans sa tête, je préférais qu'il reste une énigme pour moi, ça lui donnait beaucoup de charme. Je sentais qu'il était bientôt l'heure pour moi que je parte. Je crois que nous avions eu notre moment, que ça avait été agréable au point de me -nous?- chambouler. Maintenant, il fallait prendre du recule, se torturer l'esprit et essayer de ne pas mourir en pleurant au fond de sa tente. J'essaie de faire une blague et la réponse de Cody me satisfait assez pour agrandir mon sourire. « OK. J’irais faire un tour en Alaska. Souvent. » L'idée me plaisait. De toute façon, il était trop amusant avec son air grognon pour que j'arrête de le lâcher. Sauf pour aujourd'hui. « Moi aussi, j’ai un bœuf bourguignon sur le feu. On s’appelle ? » Je fais un nouveau sourire et j'hausse les épaules en lui tournant le dos pour commencer à partir. « J'croyais que t'avais plus mon numéro ? » Bah quoi, il se souvient plus ? Moi oui. Alors il l'avait encore ou non mon numéro ? En attendant, j'étais déjà partie.

FIN DU RP
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