I thought we were friends ? # CODY

« Je-je… Mmmh. » Là, il gagnait le prix de la réplique de l'année. Je lui fis des gros yeux en laissant retomber mes bras le long de mon corps. J'aimais pas du tout ce Cody là. Il semblait un peu à côté de ses pompes et moi, j'préférais quand il me faisait rire. Je le regarde en lui disant clairement qu'il me fait chier quand il est comme ça. « Toi aussi tu m’emmerdes ! » Au moins ça a le mérite d'être clair et je ne peux pas m'empêcher de sourire en le regardant. La situation est débile. On est débile de se crier dessus sans savoir pourquoi. Je commence à bouder comme une petite fille en lui demandant où était partie le Cody avec qui j'aimais être. « J’en sais rien. Il est encore là. C’est juste que tu me prends les tripes, tu me prends la tête, là. Et puis laisse tomber. Ça passera. J’suis juste pas en forme en ce moment. » Oh. Alors il a des problèmes ? Je culpabilise un peu de lui prendre la tête d'un coup. Alors pour m'excuser, je ne trouve pas mieux que de foncer sur lui et de l'entourer de mes bras, emprisonnant les siens au passage. « Je suis désolée désolée désolée Cody ! » m'exclamais-je rapidement. « J'ai cru pendant un instant que j'avais fait quelque chose de mal... » dis-je dans un soupir. « Sur une échelle de 1 à 10, je t'emmerde comment ? J'veux dire... j'peux rester avec toi ? » lui demandais-je avec un large sourire sur les lèvres en le regardant d'en bas, (ouais il est plus grand) sans pour autant le lâcher.

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Ouais bon hein, parfois Cody communiquait en onomatopées, en monosyllabiques ou en grognement. Un vrai ours ce mec. Ou un bison. Je crois qu’il y en a beaucoup en Arizona, après j’me suis pas spécialement intéressée à la faune et la flore. La seule chose qui était sûre, c’est qu’il y avait pas mal de parasites. En particulier Alaska qui le ceintura sans qu’il n’ait eu aucun réflexe. Déjà qu’à la base il est deux de tension, mais là elle l’emprisonnait carrément. « Tu m’étouffeeees, j’ai pas d’oxygène, de l’air, je veux de l’O2 de l’O2 de l’O2 et viiiiiteee. » Mais deux secondes après, il fut assez content. Ouais, vous avez vu les bras de crevettes d’Alaska ? Elle arrivait à entourer Cody. C’est qu’il n’était pas si gros finalement, finis les complexes. « Onze. » répondit-il du tac-au-tac en fronçant les sourcils. Qu’elle n’aille pas croire que Cody arrêtait de lui en vouloir si facilement. Ben ouais, parce qu’une part de lui en voulait à Alaska malgré tout. Sa fierté en avait pris un coup quand, d’un coup de pied psychologique au cul, elle l’avait envoyé direct en friendzone. « Mouais. Tu veux faire quoi ? Et lâche-mooooi, tu comprimes ma graisse, c’est pas bon pour mes abdos. » Il était toutefois moins ronchon qu’il y a cinq minutes.

Alaskaaaa

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J'le serrais pas si fort que ça en réalité. Mais Cody, il aimait bien en rajouter un peu. Il était bon acteur, il avait la blague facile et c'était certainement ce qui lui donnait un charme fou. « Tu m’étouffeeees, j’ai pas d’oxygène, de l’air, je veux de l’O2 de l’O2 de l’O2 et viiiiiteee. » Je ris doucement, mais je ne le lâche pas pour autant. Je profite qu'il soit un peu moins en colère pour le garder près de moi. J'ai réellement l'impression qu'il me fait la tête et je déteste ça, je déteste ne pas savoir ce qu'il se passe. « Onze. » Je fais une légère grimace qu'il ne peut pas voir. Tant que ça ? « Bon, alors j'ai décidé que 0 je t'emmerdais beaucoup et proche de 10, tu adorais ma compagnie ! » Bah quoi ? Il veut pas juste me faire un petit sourire ? Je le regardais alors tandis que mes bras semblaient vraiment le gêner. « Mouais. Tu veux faire quoi ? Et lâche-mooooi, tu comprimes ma graisse, c’est pas bon pour mes abdos. » Je ris une nouvelle fois en le lâchant. « Tu n'es pas gros ! Tu es très bien comme tu es ! » lui affirmais-je dans un haussement d'épaule. Je fronce un peu les sourcils en le regardant. « Tu comptes me dire ce qu'il ne va pas ? »

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OK, c’est officiel, Alaska Hamilton est une tricheuse. Oui oui. Déjà, elle bat sans cesse des cils quand elle parle à Cody et son regard à la Audrey Hepburn lui faisait perdre ses moyens. Il chavirait comme un cargo de nuit en pleine tempête. Maintenant, elle trichait en retournant l’échelle de l’emmerdeuse à son avantage. Mais c’était son truc ça, de retourner les choses. Elle lui retournait la tête, le cœur, elle devrait même postuler l’année prochaine pour retourner les clepsydres à Fort Boyard, elle serait prise direct. « Tu triches. Tu peux pas changer les règles du jeu au cours du jeu. C’est pas du jeu. » ça fait beaucoup de jeu jeu jeu jeu. Whatever. Nevermind. Elle le perdit définitivement quand elle le complimenta, lui disant qu’il n’était pas gros. Nonnn, elle disait juste ça pour être gentille, comme elle voulait se rattraper et tout. « Arrête de me draguer. » lâcha-t-il en guise de réponse, roulant des yeux. Il finit par se défaire de son emprise avant de reculer d’un pas, distance de sécurité oblige. D’ailleurs, machinalement, il frotta ses mains contre ses avant-bras, droite puis gauche, comme s’il cherchait à faire disparaître toute trace d’Alaska de son corps. « Y a quelque chose qui ne va pas ? Non tout va bien, la vie est belle, il fait chaud, le ciel est bleu, l’herbe est verte. Bon, y a pas d’herbe mais le sable est très orange et ça me rend heureux. » Voilà, on ne pouvait pas lui reprocher d’en faire des caisses.

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« Tu triches. Tu peux pas changer les règles du jeu au cours du jeu. C’est pas du jeu. » Je lui offre un grand sourire. J'aimais que les choses soient à mon avantage. Normal en même temps, qui n'aimait pas ça ? Je le regardais alors avec mon large sourire telle un gamine qui obtenait tout ce qu'elle voulait. « Sauf... si c'est moi le maitre du jeu ! » m'exclamais-je en haussant les sourcils. J'aimais bien faire mon emmerdeuse, surtout avec quelqu'un qui n'était absolument pas d'humeur pour ça. Oui, c'était beaucoup plus drôle de cette manière. Je finis alors par le libérer et je le contredis quand il me parle de ses "rondeurs" inexistantes. Cody était la seule personne à ne pas être au courant du charme fou qu'il pouvait avoir. Et autant le dire, il était loin d'être moche, non, il était assez attirant. « Arrête de me draguer. » Je ris alors, ne pensant pas que je puisse faire ça sans m'en rendre compte. C'était ma façon d'être c'est tout. Je décide alors de ne plus rien dire. De toute façon, il avait l'air de me détester aujourd'hui et à trop le couvrir de compliment, il allait vite m'envoyer bouler. Il y avait réellement un malaise, ça se voyait à sa façon de se comporter et je perdais mon sourire rien que d'y penser. « Y a quelque chose qui ne va pas ? Non tout va bien, la vie est belle, il fait chaud, le ciel est bleu, l’herbe est verte. Bon, y a pas d’herbe mais le sable est très orange et ça me rend heureux. » Je pince mes lèvres et je deviens presque gênée de me trouver ici. Je me sens de trop. « De toute évidence, il y a un truc qui ne va pas depuis quelques jours et si tu ne me dis pas ce que c'est... je ne risque pas d'arranger les choses. J'ai fait quelque chose de mal ? Je t'ai fait du mal ? » Je le regardais alors et je laissais mes bras tomber le long de mon corps.

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Elle ? Le maître du jeu ? Ouais, ça, Cody avait pu s’en rendre compte, particulièrement à cette soirée où elle l’avait gentiment recalé lorsqu’il lui fit quelques sous-entendus … Bon, honnêtement, de ce soir-là ne demeure qu’un vague souvenir flou à base de beershot, de tequila en veux-tu en voilà et de ’les mecs sont tousss des connaaaards, pendons-les par les *censored* t’es vraiment parfait Cody, j’aimerais bien avoir la copie de toi mais en petit copain’, géniaaaaaaaal. Mais le pire, c’est quand il comprit qu’Alaska n’avait rien capté de ses intentions, comme si, en fait, elle ne concevait même pas qu’il se passe quelque chose entre elle et Bleeker. Et vous savez, le Bleecoeur, il se froisse pour un rien, c’est une de ses particularités. Maintenant, n’en restait qu’un doute qui éprenait Alaska, l’entraînant dans un tumulte de questions. Seulement, Cody savait pas s’il se sentait prêt à lui expliquer le fond du problème aujourd’hui. Il soupira. « Arrête Alaska. » s’agaça-t-il en fronçant les sourcils. « Bon. » Finalement, il se résolut à tout dire, ou presque. « Tu sais, moi j’ai jamais été un pro du rangement. Mon linge, c'est la foire du trône un jour de soleil. Un jour, je suis allé à IKEA et j’ai acheté deux boîtes ; une pour ranger mes chaussettes, l’autre pour mes caleçons. Au début, les chaussettes vivaient leur vie avec leurs sœurs et pareil de l’autre côté. Puis au fil du temps, mes chaussettes se sont un peu mélangées avec mes sous-vêtements et moi je m’en fichais un peu, je suis comme ça, j’mélange tout parce que je me dis que c’est rien de mal, que c’est en quelque sorte une aventure même si je sais pas où tout cela pourrait mener. Puis toi t’es arrivée, t’as tout remis à sa place ; chaussettes avec chaussettes, caleçons avec caleçons et bam, t’as refermé les deux boîtes et tu les as glissé sous le lit. Affaire close. » J’ai dit qu’il expliquerait. J’ai pas précisé qu’il utiliserait le langage Cody Bleeker. Bref, il croisa les bras, jetant un regard ferme à Alaska.

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« Arrête Alaska. » Je m'arrêtais alors de poser des questions, surprise de voir que j'étais capable d'agacer Cody. Je le regardais et j'espérais au moins qu'il allait m'expliquer une bonne fois pour toute ce qui n'allait plus entre nous. Parce que jusqu'ici, tout allait bien, c'était un bon ami avec qui j'aimais passer du temps et j'avais pas envie de perdre cela. « Bon. » Je le regarde alors avec mes grands yeux et je l'écoute attentivement. « Tu sais, moi j’ai jamais été un pro du rangement. Mon linge, c'est la foire du trône un jour de soleil. Un jour, je suis allé à IKEA et j’ai acheté deux boîtes ; une pour ranger mes chaussettes, l’autre pour mes caleçons. Au début, les chaussettes vivaient leur vie avec leurs sœurs et pareil de l’autre côté. Puis au fil du temps, mes chaussettes se sont un peu mélangées avec mes sous-vêtements et moi je m’en fichais un peu, je suis comme ça, j’mélange tout parce que je me dis que c’est rien de mal, que c’est en quelque sorte une aventure même si je sais pas où tout cela pourrait mener. Puis toi t’es arrivée, t’as tout remis à sa place ; chaussettes avec chaussettes, caleçons avec caleçons et bam, t’as refermé les deux boîtes et tu les as glissé sous le lit. Affaire close. » C'est tout ? Il ne dira rien d'autre ? Je le fixe toujours avec mes grands yeux et je ne sais absolument pas quoi lui répondre. D'un parce que j'ai pas compris et de deux, parce que je suis du coup en train de me transformer en statue de pierre. « Qu'est ce que j'ai à voir avec tes slips et tes chaussettes moi ? Tu cherches une femme pour ton ménage ? » m'exclamais-je. Sorry mais j'avais pas le décodeur spécial Cody moi ! Bon, on y réfléchissant, je comprenais que s'était une métaphore, une très jolie métaphore. Je me redresse alors et je le regarde sérieusement et calmement. « Cody, je suis nulle pour le relationnel que ce soit amicalement ou amoureusement. Je n'y connais rien... je suis comme une vierge tu vois ?! Alors si tu m'expliques pas clairement les choses, -parce qu’apparemment, il y a quelque chose de cacher derrière ton beau monologue- je vais devenir folle, je vais me torturer l'esprit et je vais te harceler jusqu'à ce que tu craches le morceau. Crois-moi, tu n'as pas envie que ça arrive ! » lui dis-je avec une petite grimace. Alors qu'est ce que je devais comprendre ? Les choses se sont mélangées et je suis arrivée et j'ai tout remis à sa place ? « Quel rôle as-tu donné aux chaussettes et quel rôle as-tu donné aux slips ? » lui demandais-je d'un ton neutre.

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Gnagnagnaaaaaaaaa les gens à Harvard n’avaient aucune connaissance en poésie, c’est ouuuuuf. Finalement, Cody comprenait pourquoi les Lowell restaient entre Lowell ; personne ne savait décoder leur langage. Malheureusement, il n’existait pas encore de Google Translation pour Cody Bleeker. C’est bien dommage. Déjà qu’il était handicapé pour exprimer ses sentiments, mais, en plus, si quand il le faisait on ne comprenait pas ce qu’il disait, il demeurait au point mort. M’voyez, même Alaska crut pendant une fraction de seconde qu’il réclamait une femme de ménage. Mais noooon, pas du tout, il en avait pas besoin, il vivait avec Devyn Gale dans sa tente STP c’était un aspirateur humain ce mec. « Rhaaaaaaaa noooooon. » grogna Cody en s’éclatant la main sur le visage, en mode facepalm le gars. Il écouta Alaska essayer de dépiauter ses paroles, mais c’était comme demander à un manchot de t’ouvrir tes bigorneaux. Apparemment, ce n’était pas une experte dans le relationnel – et Cody alors ? – et donc il fallait qu’il détaille mieux ce qu’il racontait ; au moins, une chose est claire, heureusement qu’elle l’avait refoulé. Ben ouais, imaginez deux secondes ces deux handicapés émotionnels ensemble ? ça serait comme allumer des feux d’artifices sous la mer. Ça ne donnerait rien. A peine une étincelle. « Tu me tortures déjà l’esprit je te signale … » ronchonna-t-il une nouvelle fois dans sa barbe comme un petit vieux en lisant son journal. Ouais ouais, Cody n’arrangeait pas son image de vieux con parfois. « Mes chaussettes sont mes amies et mes slips sont mes sentiments. » lâcha-t-il finalement, prenant vraiment sur soi. Je vous l’accorde. Sortie de son contexte, cette phrase était weird à la limite du Kamoulox. Mais dans le cas de Bleeker, c’était très sérieux.

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« Rhaaaaaaaa noooooon. » C'est déjà ça... nan parce que le ménage c'était pas non plus le truc que je préférais le plus au monde ! Mais bon, c'était évident que c'était pas ça. J'avais juste pas compris et j'avais l'impression d'être débile, du coup, j'lui disais n'importe quoi sous le coup de l'énervement et j'étais ridicule. Mais putain, si il pouvait être clair un peu, ça serait vraiment cool de sa part. « Tu me tortures déjà l’esprit je te signale … » Ouais bah c'est ça faute hein. Parce que cette fois, j'avais entendu ce que le papi avait dit. Alors dernière tentative de ma part ou plutôt, dernière chance pour lui pour m'expliquer une bonne fois pour toute ce qu'il avait sur le coeur. « Mes chaussettes sont mes amies et mes slips sont mes sentiments. » Oh. Ouais je le regardais surprise par ce qu'il venait de dire. Parce qu'avec cette traduction, c'était tout de suite plus facile de comprendre les choses. Et oui, "oh" était le premier son qui est sortie de ma bouche. Pourquoi il m'en avait pas parlé plus tôt ? Pourquoi il m'avait pas dit clairement ce genre de chose ? Ou même, pourquoi il m'avait pas embrassé pendant l'une de ces soirées... Ouais, parce que ça aurait certainement changé beaucoup de chose. « Tu voulais autre chose que de l'amitié avec moi ? » lui demandais-je d'une petite voix en le regardant. J'étais surprise qu'un garçon me dise ça et s'était assez plaisant en réalité. « Pourquoi tu as pas essayé ? J'veux dire... tu aurais pu m'embrasser et je suis certaine que ça aurait changé beaucoup de chose à ce moment là. » J'étais pas du genre à voir les signes de l'amour pour la simple raison que j'étais persuadée depuis toujours que j'étais absolument pas le genre de fille à attirer le regard des garçons.

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La bombe lâchée, Cody n’avait plus qu’à fermer les yeux et attendre l’impact sur la planète Alaska. Pas besoin de regarder, ça ferait un bruit sourd, un genre de rugissement insatiable quand elle décimera la population des neurones de la jeune femme. Non mais sérieux, Bleeker ne savait même pas pourquoi il lui disait ça. Ça changerait quoi ? À part foutre encore un petit plus en l’air leur amitié. Là, il venait clairement de foutre sa relation avec elle sur un siège éjectable et activer la machine. Et bye byyyyeee Codaska. Alady. Hamilker. Bleekilton. Pffffiouuu, ridiculous mon garçon, même vos noms ne se shippaient pas. « Non ! » répondit-il sur la défensive, comme si elle venait de l’agresser par sa question. « Enfin j’en sais rien, je sais pas, je … Peut-être bien que si mais peut-être bien que non, je me suis pas posée la question. Sur le coup, c’était plutôt ’oh je l’aime bien Alaska, et si …’ et si voilà quoi. » Dans le top 50 des réponses claires, celle-ci entrait directement à la dernière place. Félicitations ! Et elle se croyait vraiment maligne là, à lui dire qu’il aurait dû l’embrasser ? C’est clair qu’elle était vachement open à ce qui lui mettre sa langue dans sa bouche. Bon j’dis ça, mais bien sûr qu’il n’aurait pas mis sa langue dans sa bouche au premier baiser, il savait un minimum traiter les femmes. Puis j’vais pas le justifier, la question ne se posait pas et ne se poserait sans doute jamais. NEXT. « Ah ouais, pour me prendre une claque ? Pour que tu me repousses ? Pour que tu me jettes ton regard, tu sais … Ouais, voilà, reste comme ça … Exactement CE regard. Je ne l’aime pas ce regard. Je ne sais pas ce qu’il veut dire, mais je l’aime pas. » Il la pointa du doigt, accusateur.

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