I'm not afraid of you ! # ALEXANDER

« Même pas en rêve ! J'suis sûr j'peux faire carrément dix fois mieux que toi DAAAAH » Punaise, on dirait deux gosses qui se chamaillent. C'était pas possible de faire mieux que moi, j'maitrisais Queen mieux que personne. Puis il avait applaudit, il voulait pas essayer de sauver son honneur j'suis sûre ! Je lui piquais un de ses t-shirt trop cool tandis qu'il essayait de me trouver un nouveau prénom. « CALIEEEENTE » Okay, alors plutôt chaude que froide. L'inverse m'aurait étonné. « Oh on peut t'appeler Louisiane, Texas, ARIZONA ! Fais ton choix, ça sera ton nom d'été » Mon nom de l'été ? Genre, il y a que lui qui m'appellera comme ça t'façon. J'hausse les épaules en le regardant. « J'crois qu'Arizona... on pouvait pas tomber mieux ! » C'est vrai quoi. On était en Arizona, il faisait chaud... Alors si ça peut lui faire plaisir ! Moi j'm'en foutais à vrai dire. Alexander arrive vite sur le lit pour reprendre son t-shirt... et le mettre pas dessus celui qu'il portait. Il est tout serré et ça m'fait rire. Ouais, la comparaison avec la saucisse était parfaite. D'ailleurs, je lui claquais son t-shirt contre sa peau et celui ci s'effondra une nouvelle fois face à moi. Fallait crois que je faisais de l'effet aujourd'hui, aha. « Eh ! C'est bon les saucisses, t'as quoi contre les saucisses ? HEIN HEIN ! Ça s'trouve je suis délicieux tu sais même pas » dit-il en se redressant pour tirer les deux t-shirts. « J'ai pas envie de savoir si ta saucisse est délicieuse ! » m'exclamais-je en riant. Bah ouais, il me tendait la perche lui aussi... Je me laissais tomber à genoux sur le lit, face à lui. De mon index, je pointais son ventre. « Aaaaah, mais c'est quoi ça ?! Mais mais... ce sont des bourrelets ! Haaaaaaaaan t'es gros en fait ! » m'exclamais-je avec un large sourire. C'tait pas vrai, mais si ça pouvait l'emmerder un peu !

Non mais j'avais carrément plus de talent qu'elle, c'était indéniable. Et je n'hésitais même pas à le lui dire pour le coup puisqu'il fallait qu'elle s'améliore si elle voulait me battre ne serait-ce qu'un jour. « Va pour Arizona alors ! » J'allais prendre un malin plaisir à la surnommer de cette façon tout l'été juste pour l'emmerder. Et là, pour la faire chier, j'avais récupéré mon t-shirt que j'avais enfilé par dessus le mien et j'avais clairement l'air d'être un abruti fini. Quand elle le fit claquer sur ma peau, je retombais dans le lit, prétendant avoir mal, alors que pas du tout. Et même que je parlais de saucisse. Enfin, elle avait commencé et forcément, quand j'enchainais elle le prenait de façon perverse. C'est bien une Mather elle. « J'ai jamais dit ça! Obsédée » Même si.. Ouais non, c'est Alaska merde. Torse nu sur le lit, elle me rejoignait, à côté de moi à genoux tout en pointant son doigt sur mon ventre. « Héééé j'te permets pas ! C'est pas des bourrelets c'est... des réserves pour l'hiver qui sont là que quand je plie mon corps » Me rallongeant sur le dos, on pouvait voir que je n'avais plus rien. Ouais ouais, torse parfait dudes. Et puis pour me venger, je me redressais encore une fois pour venir lui faire des chatouilles sur ses flancs, dans le but de l'achever de cette façon. « T'en as toi aussi, t'as vu, t'as vuuuu! »

Me voilà rebaptisée pour l'été. Quelle idée stupide ! J'étais certaine que ça allait me taper sur le système avant la fin du summer camp. Arizona en plus ? Bon, c'était moi qui avais choisi, mais disons que c'était le moins pire. Je trouvais qu'Alaska m'allait très bien, j'étais la reine des glaces comme ça. « Va pour Arizona alors ! » Mes yeux montèrent automatiquement en direction du ciel. Ouais, un peu comme une fille désespérée. Alexander me vola le t-shirt que je lui avais volé. Oui, oui, il a fait ça le coquin. Me faisant un peu mal au passage parce qu'il était pas vraiment délicat comme mec. Il passa le t-shirt par dessus celui qu'il portait déjà et je ne pus m'empêcher de me moquer de lui, le traitant alors de saucisse. Je ne pouvais pas m'empêcher de prendre les choses sous un autre angle, en riant bien sûr. « J'ai jamais dit ça! Obsédée » Il retirait alors ses deux t-shirts pendant que je me laissais tomber en face de lui. « Tu l'as pensé tellement fort que c'est moi qui l'ai dit ! » Ouais, transmission de pensé. Je pointais alors son ventre avec mon doigt, lui indiquant qu'il avait des bourrelets et donc qu'il était gros. Je savais très bien que ça allait l'embêter et ça me faisait rire. En même temps, fallait pas grand chose pour me faire rire. « Héééé j'te permets pas ! C'est pas des bourrelets c'est... des réserves pour l'hiver qui sont là que quand je plie mon corps » Je ris toute seule en le regardant s'allonger pour me montrer son ventre plat. « Est ce que tu fais partie de la famille des... marmottes ou des ours ? » lui demandais-je alors avec des gros yeux et un sourire en coin. Bah, il hiberne l'hiver, nan ? Il se redresse alors et me prend par surprise en me chatouillant les flancs alors que je ne porte rien d'autre qu'un haut de bikini. « T'en as toi aussi, t'as vu, t'as vuuuu! » Impossible pour moi de faire celle qui n'est pas chatouilleuse ou de rester accroupie en face de lui. Non, les chatouilles c'est l'attaque suprême. Du coup, j'me mets à gigoter dans tous les sens et à rire en poussant des petits cris bizarres. Je finis par m’effondrer à côté de lui, sur le dos en essayant de le repousser. « M'EN FOU, J'SUIS PAS CHATOUILLEUSE STRUDWICK, J'SUIS JUSTE UNE SUPER ACTRICE ! » criais-je en fermant les yeux. J'allais pas avouer à l'ennemi que j'étais vaincue !

Ouais, je suis un génie. J'allais l'appeler Arizona et personne n'allait comprendre. Normal, c'était notre délire, pas celui des autres. Non mais ouais, j'aimais avoir des délires incompréhensibles, c'était clair. En plus avec Alaska, c'était marrant, fun et totalement barré. Cette meuf était barrée, peut-être plus que moi même, je pouvais en mettre ma main à couper, même si elle est du genre à le nier. « Mais n'impooooooorte quoi ! J'pense pas assez fort pour que tu puisses le dire, c'est faux, t'as pas le cerveau assez développé. Genre à force de t'appeler Alaska il a même du geler ! » Ouais, j'allais continuer à la taquiner sur son prénom pendant encore un bon bout de temps. Je pouvais pas m'en empêcher, c'était trop facile. J'étais un mec qui aimait la facilité faut dire aussi. Puis son doigt touchait un bourrelet créé par la pliure de mon corps et maintenant, elle m'accusait d'être un ours ou une marmotte, au choix. « Ouais, ça t'pose un problème humaine ? Rwaaar » imitais-je l'ours en faisant un coup de griffes en sa direction. Ouais ok, ça fait plus félin qu'autre chose, mais elle a compris le fond de ma pensée. Mais j'avais envie de me venger sur cette petite insulte à la Arizona - muahaha. J'avais préparé mon offensive en l'attaquant de chatouilles, ce qui la pliait en deux, allongée à côté de moi. Ouais ouais, j'étais trop fort en vrai. J'en profitais pour me mettre à califourchon sur elle alors que je continuais de la torturer avec mes doigts. De cette façon, je pouvais bloquer son corps, ses jambes, et j'étais tout simplement le dominant. « OUAIS OUAIS OUAIS À D'AUTRES ! Ça te dérange pas si je continue alors » Et j'y allais encore une fois de plus belle, l'entendant alors pousser des cris, ce qui me faisait d'autant plus rire.

« Mais n'impooooooorte quoi ! J'pense pas assez fort pour que tu puisses le dire, c'est faux, t'as pas le cerveau assez développé. Genre à force de t'appeler Alaska il a même du geler ! » Je lui fais des gros yeux, mais je ne peux pas m'empêcher de sourire. « Haaaaan j'hallucine, comment t'es un connard ! » Je fais celle qui est choquée, mais en réalité ça m'amuse. D'ailleurs ses derniers temps, le soleil me tapait trop sur le haut de la tête, du coup, c'était pour ça que j'étais complétement frappée, c'était le temps que mon cerveau redevienne normal. Si, si, c'est vrai ! Je sentais que j'allais prendre cher avec mon prénom et du coup, j'me demandais si j'allais pas l'éviter pendant deux mois. Mouahaha. J'lui demandais alors s'il était plutôt un ours ou bien une marmotte. Ouais parce qu’apparemment, il hiberne l'hiver. « Ouais, ça t'pose un problème humaine ? Rwaaar » Il imitait l'ours là ? Nan, parce que ça ressemblait surtout à une marmotte russe. Du coup, j'explosais de rire pour la dixième fois en même pas une heure. « C'est un ours ça ? » lui demandais-je en haussant mes sourcils et en me foutant de sa gueule. Du coup, il ne perdit pas de temps pour me le faire payer en me chatouillant les côtes. C'est horrible, je déteste les chatouilles. Je me mets vite à rire et je m'effondre à ses côtés, je ne peux plus répondre de rien. Et la, le mec venait de me grimper dessus alors que moi, je pleurais de rire. Ouais, il y avait vraiment des larmes qui coulaient le long de mes joues. J'essayais de le dégager de sur moi, mais je n'avais que le haut de mon corps de libre. Je poussais des cris dont moi seul avais le secret. C'était terrible, mais rien comparé à ce qui m'attendait. « OUAIS OUAIS OUAIS À D'AUTRES ! Ça te dérange pas si je continue alors » Il partait de plus belle et moi, j'allais juste mourir sous lui si ça continuait. Je crois que je n'avais jamais autant ris de ma vie. Alors avec mes mains j'essayais de le repousser tant bien que mal, mais j'avais une force de mouette. « STOPPPPPP ! » hurlais-je et riais-je en même temps. Je finissais par attraper un des oreillers pour le frapper en pleine tête avec.

« J'm'en suis jamais caché ! » Ce qui valait que son étonnement n'était pas forcément acceptable. Elle devait le savoir que j'étais un connard, non ? Depuis le temps qu'on se fréquente elle et moi, ouais ouais, ça devait être gravé dans sa tête maintenant. Mais bon, là, elle avait de quoi se foutre de ma gueule quand mon imitation de l'ours fut complètement... ratée. Non mais genre, on aurait dit un tigre ou un chat même, mais pas un ours. En même temps, si je me base sur la pub Lion, ça allait pas faire un ours hein. « Dans mon monde, ouais » Autant sauver les meubles comme on peut hein. Alors que j'avais repris de plus belle les chatouilles sur son corps, carrément installé à califourchon sur elle, je sentais qu'elle craquait, elle en pouvait plus. Après tout, c'était le but. J'avais envie limite qu'elle se fasse sur elle... ouais bon non. On est dans mon lit quand même et c'est totalement dégueulasse. Mais l'idée est là. L'entendant me supplier d'arrêter, j'ai même pas le temps de relever mes mains qu'un coussin vient à la rencontre de ma tête et me fit balancer sur le côté avec la force qui lui a été soumise. Bim! Dans ta gueule Alex. Me retrouvant alors allongé sur le flanc opposé à l'arrivé de l'oreiller, j'avais pas eu le choix que d'arrêter de la chatouiller. J'étais pas sonné, heureusement, mais je pouvais toujours prétendre que je l'étais. Ouais non, pas drôle. « Violeeeente la Hamilton, j'savais pas que t'avais ça en toi ! » Je me défaisais de son corps et puis, mes jambes toujours sur elle, je restais allongé sur le dos, regardant le plafond.

« J'm'en suis jamais caché ! » C'est peut-être ça le problème ? Mais bon, j'l'aimais bien le p'tit père. Heureusement d'ailleurs, parce que des fois, à supporter il est coriace ! Bon en même temps, c’est la poêle qui se moque du chaudron. J'étais pas forcement mieux non plus. Mais, c'était une question d'habitude, comme pour Alex. Il se met à rugir et moi à rire. Parce que c'est tellement drôle que c'est pas possible de rester sérieuse plus que quatre secondes en face de lui. « Dans mon monde, ouais » Je ris tellement, que c'est plus possible de parler. Nan, c'était tout sauf un ours ça ! Fallait qu'il regarde des vidéos d'ours. « Dans le mien, ils sont plus virils tu vois... » m'exclamais-je alors en lui faisant comprendre qu'il était tout sauf viril en ce moment. Du coup, j'prends cher quand la seconde qui suit. Et sérieux, s'il s'arrête pas, c'est avec mon odeur de pipi qu'il va dormir ce soir. Je ris et je cris, j'ai juste l'air débile. Et surtout je pleure, mes joues sont humides et j'le vois flou. Il est sur moi, il me bloque les jambes pour que j'arrête de taper des pieds, mais j'ai toujours mes mains de libres. Alors j'attrape le coussin qui se trouve à mes côtés pour lui donner un gros coup en pleine tête. Aussitôt, il s'effondre à côté de moi. Parce que ouais, appelle moi hulk bébé ! « Violeeeente la Hamilton, j'savais pas que t'avais ça en toi ! » J'étais enfin libre, mais si ses jambes étaient sur les miennes. « J'crois qu'tu m'connais toujours pas Alexander ! » dis-je avec une moue déçu. Ouais, j'avais envie d'le bouder tien. Mais j'sentais un truc dans mon dos et c'était pas vraiment agréable. Je passe ma main et je sens le portable d'Alexander. Il a dû tomber de sa poche pendant qu'on faisait les fous. Alors rapidement, je fais un bon pour sauter du lit et je cours à l'autre bout du chalet avec son portable dans les mains. Ouais, j'allais regarder ses messages. J'passais de la gamine de 7 ans à celle de 15 ans les gars ! J'ouvre les messages et avant le mien, il y a ceux d'Olive. Haaaaaaaaaaaaan. Mes yeux vont fondre, mais c'est pas grave, je lis quand même. « Juste pour le plaisir de te retrouver dans ton lit... hannnnnnnn tu sors avec Olive ? » Ouais direct les grands mots, j'voulais le faire chier et j'savais qu'il arrivait et j'en riais d'avance. « Goût toi, c'est le meilleur de toute façon!... Mais, Alexander... je croyais que c'était moi la femme de ta vie ?! Qu'on allait se marier et avoir des bébés ! » Je fais la tête la plus triste au monde. Ouais, si j'tourne le truc au ridicule, peut-être qu'il va oublier que j'ai pris son portable pour lire ses sms.

Je sais bien que c'était assez tiré par les cheveux et que c'était pas forcément plausible. Mais ouais, le rwar était un rugissement d'ours. Et si elle avait quelque chose à redire, c'était pareil. « La virilité c'est surfait tu sais » Ouais bon, pas tellement mais c'était toujours ça de dit pour pas qu'elle se foute de ma gueule. Ouais j'avoue que j'aime bien avoir raison et la contredire à longueur de journée. Quoiqu'il en soit, j'avais envie de me venger des bourrelets et j'avais commencé à la chatouiller sur son ventre, sans crier gare. Elle n'aimait pas ça, prétendant qu'elle faisait que de l'acting, mais je savais qu'elle ne jouait pas. Elle n'aimait vraiment pas ça et ça me faisait plus rire qu'autre chose. Jusqu'au moment où finalement, un coussin m'assommait presque. A présent allongé sur le lit, à moitié sur elle, elle m'prenait la confiance. « J'pensais pas que tu serais violente AVEC MOI » disais-je en rigolant alors que je reprenais mon souffle. Chatouiller quelqu'un, c'était du sport, moi j'vous le dis. Quand je la voyais se lever et partir ailleurs, je remarquais qu'elle tenait un truc dans la main. Fouillant mes poches, je devinais assez rapidement que c'était mon téléphone. Et voilà qu'elle se mit à lire mes messages. Ouais, c'était une certitude, elle avait mon téléphone. Je me relevais et je la suivais, enfin je la rejoignais plutôt, là où elle s'était mise pour lire tranquillement mes messages. « Haaaan t'es jalouse ? Faut pas, j'peux être là pour toi aussi tu sais, suffit de demander » disais-je en rigolant alors que j'avais calé mon épaule contre le mur.

« J'pensais pas que tu serais violente AVEC MOI » S'il savait... En fait, je crois que quand il s'agissait de la violence, j'avais le sang froid, plus de sentiment ou autre. J'pouvais cogner n'importe qui. Alors frapper Alex avec un oreiller pour me défendre contre ses chatouilles, ne me déranger absolument pas. « Aucune pitié pour personne mon petit ! » lui affirmais-je en agitant mes sourcils en mode loukas. Ouais, comme une débile en vrai. Nous étions tous les deux essoufflés, en vrac sur le lit. Comme si on venait de baiser, mais pas du tout. Non, il m'avait juste chatouillé et j'avais du mal à m'en remettre. Puis, j'sentais un truc dans mon dos, alors j'l'attrapais en je remarquais alors que c'était le portable d'Alex. Mouahah. Je sautais du lit comme une tarée et je courrais jusqu'à l'autre bout du chalet. Et j'me mis à lire des sms chaud chaud d'Olive haut et fort. Mon innocence en prenait un coup, j'vous l'dis. « Haaaan t'es jalouse ? Faut pas, j'peux être là pour toi aussi tu sais, suffit de demander » J'ouvris la bouche en fronçant les sourcils. « Alex t'es sérieux là ? » J'allais aussitôt vers lui pour lui redonner son téléphone. « Que fais-tu de ma pureté et de mon innocence ? » dis-je en riant. Comme si j'étais encore vierge... Je croisais les bras en le regardant. « Si là j'te dis d'me prendre contre le mur, tu l'fais ? » lui demandais-je en haussant les sourcils. Il est comme les autres mec mathers, pas possible de prétendre d'être des bonnes copines, le jour où ils peuvent vous passer dessus, ils se font pas prier les cocos !

« HAN méchaaaaante » disais-je alors qu'elle avouait n'avoir aucune pitié pour personne. Sérieux ? Bah tant pis. « Pour la peine j'vais vraiment t'appeler Arizona t'sais » M'enfin, après nos débats - qui étaient loin d'être des ébats - elle avait réussi à choper mon téléphone portable et s'était éloignée pour les lire tranquillement. Forcément, elle était tombée sur ceux que j'avais échangé avec Olive plus tôt dans le mois. Du coup, ça me faisait rire quand je lui demandais si elle était jalouse. Non mais ça pouvait se comprendre en vrai. Je couchais régulièrement avec Olive et elle avait envie de tester. Complètement et totalement normal, moi j'vous le dis. « Ta pureté et ton innocence ? » Je me mis à rire en entendant ces mots avant qu'elle se mette à croiser les bras tout en me regardant. « Bah si t'en as envie, ouais. T'es bonne, canon et sexy, pourquoi je me refuserai un tel plaisir ? » Les mecs marchent pas comme la plupart des femmes, et donc je marchais au plaisir. Si j'avais moyen de prendre mon pied avec elle, alors pourquoi pas ?