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Thélia ღ
Le voyage des dunsters étaient finis, je m'étais bien amusée, on avait eu droit à un cours de potions, faire du quiddich en quelques sortes et on était vraiment dans l'univers. Chacun dans une maison, avec la tenue, la baguette et tout ce qui va avec. Pourtant je n'avais pas cessé d'avoir la boule au ventre, ni de regarder mon téléphone sans cesse pour ne pas rater un quelconque sms ou appel de mon bien aimé. Rien. J'avais aucune nouvelle depuis plus d'une semaine et c'était pas faute d'avoir envoyé des tonnes de sms, de l'avoir appelé aussi. Il c'était fait passé pour mort et je m'inquiétais. Il m'en voulait vraiment à ce point là ? Pourtant dieu sait que j'aurais eu besoin de ses messages le premier soir dans la salle commune. J'avais tout de même profité à fond et surtout de mon meilleur ami. J'étais rentrée chez moi triste mais heureuse de retrouver mon fils. Malgré l'annonce de mon retour toujours aucune réponse. Même pas un "je m'en fous", "je veux pas te parler", non rien juste de l'ignorance. & c'était la meilleure des armes et la pire dans mon cas. Le lendemain, j'avais donc décidé d'aller chez lui. Quitte à ce qu'il n'y soit pas, j'attendrais devant la porte toute la journée guettant son retour. Il faudrait bien qu'il rentre chez lui pour manger, se changer, se doucher vu qu'il était du genre à prendre très soin de son apparence et son hygiène. Devant la porte, je stoppais ma main avant de taper. J'hésitais. J'avais peur, peur qu'il me claque la porte au nez en me voyant, peur qu'il est réfléchi et qu'il m'annonce la rupture. Bordel, je sentais les larmes monter rien qu'en y pensant. On restait jamais autant sans se parler, sauf quand il avait disparu du jour au lendemain. & si je retrouvais son appartement vide ? Je soufflais un grand coup. Calme toi Elia, ça va allait tentais je de me convaincre. Je toquais et aucune réponse. Je toquais à nouveau mais rien. Faisait-il le mort auprès de tout le monde ? J'entendais aucun bruit non plus, je tentais donc d'appuyer sur la poignée. La porte allait s'ouvrir ou m'empêchait de passer et celle ci déclencha un petit bruit qui signifiait qu'elle s'ouvrait. Je passais ma tête la première puis je glissais mon corps à l'intérieur. Toujours aucun bruit, le silence total. Fermant celle ci derrière moi, j'avançais sur la pointe des pieds. On aurait pu croire que j'allais lui faire une surprise d'un point de vu extérieur mais pas vraiment. Théo appelais je. Il serait bien obligé de venir à moi pour me foutre dehors au pire. Sauf que toujours rien. Je commençais à m'inquiéter, s'il était pas là sa porte aurait été fermé à clé et non ouverte pour que n'importe qui rentre et puisse y prendre ce que bon lui semble. J'avançais alors dans le salon où j'apercevais des bouteilles d'alcools sur la table basse, d'autres sur le sol, une même contenant du liquide qui s'était vidé sur le carrelage. Remettant celle ci droite sur la table, je continuais mon chemin à sa chambre. Chambre où je retrouvais mon fiancé allongé sur son lit mais pas comme pour un bon sommeil. Allongé du genre affalé dans le lit. C'était du propre pensais je en me mettant sur le bord du matelas tout en secouant un peu son bras. Théoooo dis je une fois pour le réveiller en douceur. Je continuais jusqu'à qu'il ouvre les yeux.


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« Théo » Humf ? Je remuais difficilement avachi d'une façon peu solennelle sur ce que je me souvenais comme étant mon lit. La voix me sembla lointaine et un mal de crâne colossale me ravageait l'esprit. Bordel de merde, qu'avais-je bien pu faire pour me mettre dans un état pareil ? Je n'avais nullement l'envie d'ouvrir les yeux bien qu'une voix dans ma tête me disais que c'était la chose à faire. Je pu sentir un poids s'asseoir à mes côtés mais bien trop plongé dans mon sommeil alcoolique, je n'y fis pas attention. Quelle heure pouvait-il bien être ? N'étais-je pas de garde moi aujourd'hui ? Comment une simple annonce et une simple absence pouvait à se point me faire perdre les pédales. Puis soudain, le séisme. «  Théoooo » Quelque chose encore inconnu pour mon cerveau de retardé me secoua le bras et je grognais, ayant subitement l'envie de me boucher les oreilles mais ayant un bras posé sous ma tête et l'autre qui traînait sur mon dos, étant allongé sur le ventre, l'action me paraissait bien compliqué. Une force inconnue me força alors à ouvrir un œil puis un autre et à papillonner ceux-ci pour que la lourdeur du sommeil, ne les quitte un peu. Une odeur que je connaissais bien me fouetta les narines et mon entrejambe me sembla bien étroite dans mon jean encore vieux de la veille car comme tous les gars au réveil, j'avais la gaule. Qu'est-ce que je foutais comme ça et pourquoi j'étais pas à poil dans mes draps ? Et pourquoi Elia me regardait-elle comme ça ? « Ah...S'toi... » dis-je alors d'une voix d'homme des cavernes endormi, remuant difficilement sur le matelas, ma chemise à carreaux de bûcheron me serrant étroitement mes biceps contractés. Roulant sur le dos, j'arrivais à me relever difficilement, me détachant de son contact, me rendant compte que j'avais la bouche pâteuse et l'envie de boire un truc. Heureusement pour moi, il restait un fond de bière posé sur la table de chevet. Je m'en emparais donc avant de le boire d'une traite. « J'vais bien... » disais-je alors à moitié dans le flou plus pour moi-même, tandis que j'avais plus laissé le liquide coulé le long de ma bouche que dans ma gorge. Je l'essuyais donc d'un revers de manche avant de me tourner vers Elia, la découvrant comme si c'était la première fois que je la voyais. « Et...qu'est-ce que tu fais là ? C'est déjà fini ? » demandais-je en plissant les yeux, la voyant flou car je n'avais ni lentilles ni lunettes sur le nez. « Il est passé où ton chéri ? T'as déjà fini avec ? » disais-je sans vraiment comprendre moi-même ce que je disais avec un sourire et putain ce que c'était le bordel chez moi. Bref, fallait que je me déshabille et que  j'aille me doucher.

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J'appelais mon fiancé alors qu'il était sur son lit dans je ne sais quelle position. Je me demandais comment il avait réussi à tenir plus de deux minutes comme ça. Rien que m'imaginer dans la position j'en avais mal à mon bras. C'était pas confortable mais vu les bouteilles dans le salon, il devait surement rien sentir et dormir à point fermé. Il se mit à bouger puis à ouvrir les yeux. Je le voyais mettant légèrement penchant pour voir son visage. Je m'attendais pas à un super bienvenue et des retrouvailles joyeuses, mais son « Ah...S'toi... » me refroidit grandement. Je ne répondais rien, regardant juste le jeune homme dans un état lamentable. La gueule de bois ne lui allait pas vraiment et comme s'il avait pas assez bu, il continuait en prenant le peu de bière qu'il restait. J'avais pas eu le temps de le stopper dans son élan, je constatais juste qu'il était si éméché qu'il était incapable de viser correctement l'intérieur de sa bouche. Tel un enfant il s'en mettait plus sur lui qu'autre chose. « J'vais bien... » J'attrapais la bière et la reposa sur la table un peu fortement mais pas trop, histoire de marquer mon mécontentement. Non j'allais pas lui donner raison car il avait pas aimé que je parte avec Priape. « Et...qu'est-ce que tu fais là ? C'est déjà fini ? » Il avait encore un peu de jugeote. « Il est passé où ton chéri ? T'as déjà fini avec ? » Ou pas apparemment. J'étais à la fois mal de le voir comme ça et déçu. Mais était ce à cause de moi qu'il avait vu ou il avait juste profité de mon absence pour faire la fête avec des amis ? Oui c'est déjà fini, c'était pas si long pour toi apparemment. Il avait du bien s'occuper et avec l'alcool et la fête on voit pas forcément les jours défilés. Moi par contre, j'avais vu les heures tournaient. Les minutes aussi. Je m'étais amusée mais pas autant que si entre nous ça aurait été la joie et l'amour fou. T'es sorti avec Hardin hier soir ? Son meilleur ami était le principal qui me venait en tête. Peut être qu'il s'en était foutu complet de mon absence au final. Tu veux manger quelque chose ? J'étais contrariée tout comme lui, surtout vu son silence radio, mais je l'aimais et le voir ainsi me faisait de la peine. Ca m'inquiétait également et mon côté mère poule protectrice prenait le dessus. J'étais prête à lui chercher à manger et ensuite qu'on discute. Il devait se nourrir et même se rafraichir, ça lui ferait un grand bien, pour lui comme pour son cerveau. Va prendre une douche si tu veux, je te prépare à manger. Je déposais malgré son envie un bisous sur ses cheveux et je me leva du lit ne lui laissant pas le temps de rejeter mon baiser. J'étais contente de le retrouver, de sentir sa présence près de moi même si c'était dans ces conditions. Je me dirigeais alors vers le salon et faisant comme chez moi je pris un sac poubelle que je remplissais des bouteilles d'alcools vides que je trouvais. Un peu de rangement ne ferait pas de mal à son appartement et pendant qu'il irait sous la douche je faisais du ménage. Ca n'allait rien arranger je sais mais il n'allait pas continuer à vivre dans cette débauche.


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Bourré ? Non je ne l'étais pas. Ou du moins plus vraiment. Mais ce que j'avais c'était la gueule de bois. En effet, je venais de me réveiller avec une tête belle et bien amochée et le regard rempli de reproches de ma fiancée. Je m'étais alors redressé péniblement avant de boire le fond d'un reste de bière qui trônait sur la table de chevet mais, au lieu d'en boire j'en foutais plus partout qu'autre chose. La compagnie d'Elia me déstabilisait, d'autant plus que j'avais exceller dans l'art de faire le mort pendant toute la durée de son voyage avec les Dunster et que, à sa place, si jamais elle avait osé me faire un tel coup, je l'aurais probablement très mal prit. Je lui posais alors pas mal de questions, avec une voix tantôt froide tantôt moqueuse. Trop étroit dans mes vêtements de la veille, je n'avais qu'une hâte: tout retirer. Mais la présence de la jeune femme me déstabilisait beaucoup, surtout que je m'attendais au moment où elle commencerait à me crier dessus. « Oui c'est déjà fini, c'était pas si long pour toi apparemment. » J'haussais les épaules. Alors quoi ? Elle, elle devait s'amuser comme une folle et moi je devais me lamenter car je me retrouvais seul ? Non ça ne marchait pas comme ça. Je me passais alors une main sur le visage, me sentant réellement dans un piteux état. « Et alors.. ? » demandais-je pour engager la conversation tandis que je déboutonnais ma chemise progressivement. « C'était...bien ? » Je n'étais pas un grand fan d'Harry Potter mais je présentais qu'elle avait bien dû bien d'amuser. «  T'es sorti avec Hardin hier soir ? » Je secouais alors la tête, faisant tomber la chemise sur mes épaules, me retrouvant torse nu. Putain ce que je pouvais avoir mal au crâne et d'ailleurs, pourquoi ma chambre tournait-elle aussi vite ? « Ouais, mais pas hier. Hier j'étais avec Tyler. » Ouais mon cousin fraîchement débarqué d'il y a un mois. « Tu veux manger quelque chose ? » Hein ? Tournant mon visage vers la jeune femme, je la regardais comme si en un millième de secondes, elle s'était transformée en E.T. J'étais dégueulasse, avec la gueule de bois, je ne l’accueillais pas dignement et ça faisait une semaine que je lui donnais plus signe de vie, elle était pas sensé me faire un pétage de plombs là ? « Va prendre une douche si tu veux, je te prépare à manger. » Elle se leva et déposa un baiser sur le sommet de mon crâne et je papillonnais des yeux, c'était le monde à l'envers. Mais même pas le temps de riposter quoique ce soit que la jeune femme était déjà partie en direction du salon. Donc, je me levais avec difficulté et titubais jusqu'à un rayon de cent mètres près d'elle. « Qu'est-ce que tu fais ? » dis-je alors en la voyant ramasser les bouteilles qui décoraient mon charmant appartement. Elle n'avait pas à faire ça. D'ailleurs son comportement de fille trop calme commençait à bien me faire flipper. « Écoutes Elia, je préfère que tu t’énerves et que tu me frappe plutôt que tu te la joue en mode femme de ménage. » Tandis que je lui parlais, mes mains avaient commencés à déboutonner le bouton de mon pantalon, lequel glissa jusqu'à mes chevilles et que je retirais d'un coup de pied. Je me retrouvais donc en boxer devant ma fiancée qui me faisait flipper à cause du tempérament calme qu'elle me montrait et je me dirigeais même vers elle afin de lui retirer le sac poubelle des mains. « C'est pas à toi de ranger. »


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Après traversé son appartement tel un champs de bataille, j'avais retrouvé mon fiancé dans son lit affalé. Je l'avais réveillé et il avait trouvé rien d'autres que me parler de Priape comme mon chéri. Je m'étais donc pas gêné pour lui faire sous entendre que lui avait eut l'air de bien s'amuser pendant mon absence vu les bouteilles et son état. « Et alors.. ? » Dans un premier temps je pensais que c'était un et alors qui veut dire je m'en fous ou qu'est ce que ça peut te faire. Je m'apprêtais d'ailleurs à répondre mais il me devança. « C'était...bien ? » Je fermais aussitôt ma bouche. Il avait pas donné signe de vie pendant plus d'une semaine et il me demandait là comment ça c'était passé ? C'était un test ou juste pour faire genre ? Je haussais les épaules comme simple réponse, enchainant avec une question à mon tour sur s'il était sorti hier soir. « Ouais, mais pas hier. Hier j'étais avec Tyler. » Il avait enlevé sa chemise, laissant son torse apparaitre. Est ce qu'il s'amusait à jouer avec mes nerfs ? Je lui avais pas parlé depuis une semaine, j'étais en manque de lui, de sa présence, son amour, son affection et comme si c'était pas suffisant il s'exposait à moi. Il voulait ma mort. J'en profitais donc pour lui demander s'il voulait manger quelque chose et qu'il devrait se doucher. Je pourrais au moins fuir loin de lui et de son corps qui m'appelait tant et qui allait me rejeter si je l'approchais trop. Je m'éloignais sans regarder derrière moi pour voir ce qu'il faisait. Je pensais qu'il allait se jeter sous la douche vu la terrible envie qu'il avait de me voir.. Mais non, pendant que je ramassais le bordel qui trainait dans son salon, j'entendis sa voix. « Qu'est-ce que tu fais ? » « Écoutes Elia, je préfère que tu t’énerves et que tu me frappe plutôt que tu te la joue en mode femme de ménage. » Si au début je l'avais écouté et que je le regardais, mes yeux avaient été distrait par ses mains qui déboutonnaient son pantalon. Le regard baissé sur son intimité, je continuais à le voir défaire son pantalon pour le balancer avec son pieds. Il était en boxer sous mes yeux et c'était un crime. Il faisait ça alors que j'avais qu'une envie de le prendre dans mes bras, de le toucher mais que je savais que j'y avais pas droit. Tout ça car il était furax, tout ça car il m'avait rejeté pendant une semaine alors pourquoi là il ne continuerait pas ? Je continuais à ranger pour penser à autre chose que son corps super musclé et sexy. « C'est pas à toi de ranger. » Le sac désormais dans ses mains je le lui arrachais à mon tour. & si c'est pas moi c'est qui qui va ranger hein ? Toi ? Mon oeil vu qu'il l'avait pas fait jusque là. Je commençais à être un peu moins calme, il me faisait perdre mon sang froid et ma zenitude avec son corps dénudé. Il me perturbait. Il me défiait. Va à la douche Théo dis je d'un ton plus doux. Ou rhabille toi continuais je en me tournant pour m'éloigner et aller ranger un peu plus loin. C'était clair que j'étais faible face à lui et son corps, il comprendrait très bien pourquoi je lui demandais une telle chose. Que veux tu manger ? Salé, sucré ou les deux ? C'était le matin mais bon c'était un mec, un grand mangeur et il pouvait très bien avoir envie de salé dès l'aube. Je me dirigeais vers la cuisine et m'appuyant contre l'évier avec mes deux mains, je regardais droit devant. Je contemplais son produit vaisselle, son éponge à faire la vaisselle, son lavabo puis son égouttoir à ustensiles. Des choses inutiles mais pour essayer de prendre sur moi. Je sentais que j'allais craquer devant tant de froideur et d'ignorance de sa part, mais je ne devais pas. Il avait mal agit à même pas me donner une seule nouvelle. Pouvait-il vraiment croire que je m'éclatais à fond avec tous les sms que j'avais envoyé en demandant de ses nouvelles, en lui disant que j'avais besoin de lui, que je l'aimais, que j'arrivais pas à dormir le soir, que je guettais mon téléphone dans l'attente d'un de ses messages, que j'étais triste et j'en passe ? Je me demandais si lui ne c'était pas plus amusé que moi au final alors que ça aurait du être le contraire. Je pris une grande respiration et me dirigea vers le frigo pour voir ce qui s'y trouvait, fouillant aussi dans les placards si jamais il voulait du sucré.


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«  & si c'est pas moi c'est qui qui va ranger hein ? Toi ? » Je soupirais. C'était mon appartement quoi, donc oui, c'était à moi de ranger mes grosses conneries pas à elle, surtout qu'elle devait bien m'en vouloir. Elle m'avait à nouveau arracher le sac plastique des mains et je capitulais. Si elle voulait jouer la boniche, à sa guise mais diable...Chaque fois qu'elle se penchait en avant afin de ramasser une bouteille qui jonchait le sol, mon regard était attiré par son sublime petit postérieur qui me faisait saliver d'avance. Non, tout cela n'allait pas aider la gaule que mon froc subissait déjà. « Va à la douche Théo. Ou rhabille toi » Je croisais mes bras en signe de défi sur mon torse dénudé. Oui, j'étais bel et bien en boxer devant elle et pour moi, je pouvais tout aussi bien me trimballer tout nu que ça ne me dérangerait pas. Non je n'étais pas pudique pour un sous, surtout pas avec elle et cela dit, ma nudité ne semblait pas le moins du monde la déranger...Peut-être même qu'elle en avait bien profiter durant son...séjour, si bien que quelque chose c'était passé avec l'autre et ô misère, je devenais fou. « Sinon quoi ? » terminai-je par lui demander en tentant de chasser les mauvaises pensées de mon esprit. Elle s'éloigna alors de moi et j'en profitais toujours pour la mater. Non pardon, je la matais pas, je l'inspectais. Je cherchais à savoir si elle était différente ou pas et pour le coup, elle semblait bien avoir penchée de ce côté là puisque, ne pas avoir de nouvelles pendant une semaine ne la mettait pas plus en colère que ça. «  Que veux tu manger ? Salé, sucré ou les deux ? » Je secouais la tête, je n'avais envie de rien et ne comprenais pas pourquoi elle s'obstinait à vouloir me faire à manger. J'étais grand, alcoolisé certes, mais je savais encore me débrouiller et elle...elle me perturbait. Elle termina par disparaître dans la cuisine et je mis un certain temps avant de l'y rejoindre, pensif, hésitant et j'en passe. Qu'allait-il se passer entre nous à présent ? Je lui en voulais certes, mais normalement, elle devait encore plus m'en vouloir. Marchant donc vers elle, je l'observais de dos, près de l'évier avant de se mettre à fouiller dans les placards. Décidément quand elle avait un truc en tête elle ne l'avait pas ailleurs... « Elia... » commençais-je alors avec une voix en manque d'assurance alors qu'elle était de nouveau de dos à moi. Je me rapprochais ensuite d'elle à pas de loup avant d'encercler sa taille avec mes bras et de coller mon torse contre son dos. Cependant, l'alcool me faisait mal calculer mon trajet et tout ce qu'elle devait sentir était mon entrejambe contre son postérieur. J’enfouissais alors mon nez dans sa chevelure, humant son odeur avec peu de délicatesse car ouais, j'avais beau avoir fait le mort, elle m'avait quand même beaucoup manqué. « Pourquoi tu réagis comme ça ? » Pourquoi ne me gueulait-elle pas dessus ? Qu'est-ce qui avait changé pour elle ? Et si ce voyage avait été décisif pour elle et qu'elle s'était rendue compte finalement que...Oh ta gueule Théophyl. Je la retournais alors brutalement, avant de l’attraper par la taille et de la soulever afin de l'asseoir sur le comptoir à tout faire. « Faut qu'on parle.... » commençais-je alors d'une voix dure. « J'suis vraiment, vraiment dégoûté par ce que tu as fais et je...putain ce que je te trouve bonne... » Niah ? Ouais, je savais même plus aligné deux phrases cohérentes et ma tête, enfin plus particulièrement mes lèvres, étaient déjà parties sous sa chevelure, embrasser la fine peau de son cou. Elle m'empêchait de penser, de me souvenir que je lui en voulais...

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Thélia ღ
La situation était bizarre, froide et tendue et lui il trouvait rien de mieux que de se déshabiller devant moi. Non mais vraiment, j'étais peut être fâchée et blasée de son comportement mais ça ne changeait pas que c'était mon petit ami, mon fiancé, mon futur mari, mon mec et que je l'aimais, que je le trouvais magnifique et sexy et que le voir dans cette si petite tenue me donnait envie de lui sauter dessus. Je pense que même en colère s'il me voyait en sous vêtement et que je ne lui faisais aucun effet, je me poserais de sérieuse question. Alors qu'est ce qu'il me foutait là ? Je lui demandais donc de se doucher ou s'habiller. « Sinon quoi ? » Sinon je vais te sauter dessus tout cru sachant que je n'ai pas pris le temps d'avaler un truc mais juste de me préparer pour venir chez toi. Chose que je n'allais pas lui dire évidement. Sinon tu vas attraper froid. Excuse bidon bonjour. Genre il allait attraper froid, il faisait bon dans son appartement et il était solide comme un roc. Il tombait rarement malade, il avait des bons anticorps le coco. Sur cette excuse nul à chier, je me rendais à la cuisine lui demandant ce qu'il envisageait de manger ou même grignoter. Je fouinais telle une petite souris à la recherche de quelque chose à lui concocter et non je n'envisageais pas de faire une mixture des plus étrange avec des aliments qui ne s'accordent pas du tout pour me venger. Après une gueule de bois il avait bien besoin de manger pour reprendre des vitamines et des forces, surtout s'il avait rien mangé la veille ou juste grignoter, car quand on boit selon les personnes ils mangent pas. « Elia... » Je ne me retournais pas, continuant de chercher dans les placards sauf que cette fois ci je faisais plus semblant qu'autre chose, sa voix m'ayant distraite. & c'était pas tout. Comme si sa voix était pas suffisante pour me perturber, qu'il se colla à moi, enroulant ses bras autour de ma taille. Je fermais les yeux pour mieux apprécier son contact et quand je sentis son visage proche de mon cou, je baissais instinctivement ma tête du côté où il avait la sienne. Toujours les yeux fermés, je sentais mes poils se dresser sur mes bras et je sentis des frissons dans le bas de mon dos. Il me donnait la chair de poule à se frotter de la sorte à moi. Il me donnait envie encore plus de lui sauter dessus avec sa façon de me toucher indirectement. « Pourquoi tu réagis comme ça ? » Je ne comprenais pas où il voulait en venir, cependant lui même était passé du noir au blanc en peu de temps. De sa mauvaise humeur il était venu à me serrer contre lui si tendrement que je craignais qu'il repart dans sa mauvaise humeur et qu'un excès de colère lui prenne. Je ne répondais rien, je voulais juste savourer ce délicieux moment de lui me prenant dans ses bras. Ca me semblait tellement loin la dernière fois qu'il avait fait ça, que je ne voulais pas rompre ceci. Je voulais rester comme ça encore un moment, mais il n'en décida pas ainsi. Il me retourna assez sauvagement et je craignais qu'il parte en colère devant mon silence, mais au lieu de ça il me souleva juste pour me poser sur le comptoir derrière. Action qui m'avait surprise et m'avait fait passer mes bras autour de son cou automatiquement pour ne pas partir en arrière. Je laissais alors glisser mes bras le long de son cou, positionnant mes mains entre mes jambes. « Faut qu'on parle.... » J'aimais pas cette phrase, elle annonçait jamais rien de bon. Mais il fallait qu'on parle oui, on était d'accord sur ça. « J'suis vraiment, vraiment dégoûté par ce que tu as fais et je..» Théo dis je aussitôt le coupant pour me défendre avant même qu'il n'ait fini de dire ce qu'il souhaitait. «.. putain ce que je te trouve bonne... » Mes yeux s'ouvrirent en grands devant cette phrase qui sortait du fond du coeur. Puis ses lèvres se posèrent dans mon cou et je basculais à nouveau ma tête du côté où il avait la sienne tellement ça me faisait de l'effet. C'était un endroit sensible et érogène pour moi alors je ressentais un putain de plaisir en cet instant. Passant à nouveau mes mains par dessus ses épaules, je les déposais dans son dos, l'agrippant alors que je prenais possession de ses lèvres. Mes mains se baladaient de partout sur son corps, de son dos au bas de son dos, à son torse touchant ses pectoraux et ses tétons, puis à son ventre en sentant chaque abdos qui scultaient à merveille son corps de dieu grec. Elles allaient même à son postérieur que je palpais bien fort entre mes mains, rapprochant ainsi son corps du mien. Je pouvais alors sentir son intimité contre la mienne d'autant plus qu'elle était au garde à vous. Tu m'as tellement manqué dis je entre des baisers successifs. Oh que oui il m'avait manqué, atrocement. Je le désirais comme jamais. Cette séparation physique mais aussi morale et sans nouvelle avait été une terrible torture, encore plus quand je savais qu'il m'aimait dans le fond. J'ai pensé qu'à.. toi.. continuais je entre d'autres baisers. Je suis désolée.. je.. je t'aime.. dis je entre d'autres baisers alors que mes lèvres descendaient dans son cou et que je respirais comme je pouvais tellement j'étais excitée.



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«  Sinon tu vas attraper froid. » Foutaises, je n'attrapais jamais froid moi, et si tel était le cas, ça ne me donnait qu'un prétexte pour qu'elle puisse s'occuper de moi au lieu de m'abandonner toute une semaine. Je lui en voulais et ça se voyait non ? Mais toujours en boxer et les bras croisés sur mon torse, je ne cessais de l'observer dans ses moindres faits et gestes, cherchant à comprendre en quoi elle avait changé, où se trouvait l'interrupteur à enclencher pour qu'elle s'énerve un tant soit peu après que j'eus fait le mort de façon peu courtoise. Puis je terminais dans la cuisine alors que la jeune femme s'obstinait à me faire à manger. Et alors qu'elle s'était retrouvée de dos à moi, je n'avais pu résister à l'envie de m'approcher par derrière afin de la serrer dans mes bras tout en prononçant son prénom. Si elle ne bougea pas en un premier temps et me fit penser à un mur de glace, elle rapprocha néanmoins son visage du mien lorsque je l'avais rapproché de sa peau sucré. Puis n'y résistant plus, je l'avais retourné, l'attrapant par la taille afin de l'asseoir sur le plan de table. Situation assez cocasse mais à la fois érotique vu les antécédents et ma certaine nudité. Et tandis que je commençais par lui dire grosso modo et vraiment de manière superficielle ce que je ressentais, la jeune femme tenta de me couper mais pas le moins de deux secondes plus tard, mes lèvres se baladaient sur son cou après lui avoir avoué à quel point je la trouvais désirable. Effet de l'alcool ? Certainement pas puisqu'elle m'inspirait toujours le même sentiment aussi bien lorsque tout allait bien entre nous, que lorsque les choses étaient tendues. Si je cru qu'elle allait me repousser elle n'en fit rien et au contraire, elle commença à m'agripper comme si sa vie en dépendait. Elle glissa ses mains partout où elle pouvait, sur mon torse, mes fesses et j'en passe, tandis que je restais plutôt soft et lents dans mes mouvements, me contentant juste d'embrasser son cou ainsi que ses lèvres quand elle venait réclamer les miennes. « Tu m'as tellement manqué » Intérieurement, j'hurlais. Si seulement elle pouvait savoir ce que j'avais ressenti en la sachant à des milliards de kilomètres loin de moi avec d'autres personnes et plus particulièrement une que je détestais. Elle pouvait à partir de rien me détruire, et peut-être était-ce une sorte de vengeance après tout ce que je lui avais fais endurer ces derniers mois passés. «  J'ai pensé qu'à.. toi.. Je suis désolée.. je.. je t'aime.. » Je ne répondais toujours rien car parfois la meilleure arme pour moi était le silence et les silences chez moi voulaient parfois tout dire. Je caressais alors machinalement ses cheveux, tout en soupirant, laissant mon autre main glisser sur sa poitrine d'une façon très lentes. A cause de l'alcool, je n'étais pas maître à 100 % de mes faits et gestes ni aussi rapide que je pouvais l'être avant. J'attrapais alors sa taille et fis en sorte que ses jambes ne s'enroulent autour de mes hanches et capturant ses lèvres en un baiser passionné pour ne pas qu'elle se rende compte de ce que je faisais, je la soulevais dans mes bras, un bras derrière sa taille pour la maintenir contre moi et une main sur sa joue pour maintenir ses lèvres aux miennes. Puis, une fois dans la chambre, je la laissais tomber sur le lit. La discussion viendrait plus tard. Au moins, je la mettais toujours dans mon lit avec une facilité désarmante et...voilà que je mettais à penser comme un gros bâtard. M'allongeant sur elle, j'entrepris ensuite de lui retirer chaussures et bas, puis haut que j'arrivais sans trop savoir comment à faire voler par-dessus sa tête, la laissant en sous-vêtement sous ma personne au même stade. La comblant de caresses très lentes et de baisers à la même vitesse.

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Thélia ღ
Si j'étais venue chez lui c'était pour avoir de ses nouvelles, car une fois face à moi il n'aurait pas eu d'autres possibilités que de me parler et surtout je pouvais constater comment il allait. J'étais aussi venue en mode fâchée et blessée. Prête à lui dire tout ce que je pensais, prête à ce qu'une dispute éclate mais qu'au moins je lui dise tout ce que j'avais sur le coeur. Mais souvent les choses ne se passent pas comme prévu. Là c'était bien le cas, après le trouver ivre mort sur son lit et son appartement en bordel, j'avais opté pour une autre tactique. J'étais inquiète pour lui et j'avais choisi de m'occuper de sa personne plutôt que le descendre. Attitude qui avait du le laisser sans voix, le perturber et avait empêché lui aussi d'être plus méchant ou froid envers moi. Peut importe, les choses avaient tournées deux fois d'une façon que je n'avais pas prévu, la première avec le fait que je prenne soin de lui au lieu de le pourrir et la seconde avec nous échangeant notre salive dans des baisers remplis de fougues et de désirs. Oui on était en train de se sauter l'un sur l'autre alors qu'il m'en voulait et que moi je lui en voulais. La séparation avait été bien trop longue et nos sentiments et notre envie de l'autre était plus forte qu'une dispute, que des mots blessants et des déchirures. C'était un bon point, je préférais ce genre de retrouvailles plutôt que faire voler des vases, des bouteilles ou je ne sais quoi à travers son logement. La discussion viendrait après et suite à ce qu'on s'apprêtait à faire elle serait bien plus calme et posée que si on l'avait eu tout de suite. Je profitais donc du moment pour lui dire qu'il m'avait terriblement manqué, que j'étais désolée de l'avoir fait souffrir et que je l'aimais. J'avais passé une semaine à lui dire, mais face à lui j'avais encore plus besoin de m'exprimer. Il ne me répondit rien mais se rapprochant plus de moi il me souleva du comptoir pour que je sois dans ses bras. J'entourais mes jambes autour de sa taille, le laissant me porter où il en avait envie. Tout ceci en s'embrassant, on arriva à sa chambre et je me retrouvais à présent allongée sur son lit, perdant petit à petit chaque vêtement que je portais. Seuls mon soutien gorge et ma culotte m'empêchaient d'être totalement dénudée. Je profitais de chaque baiser et caresse qu'il me donnait jusqu'à venir changer nos positions. Il aimait pas ça, il aimait avoir le dessus et être le dominant, mais j'étais follement excitée alors je prenais le dessus et vu son état j'étais la mieux placé pour en faire ce que je voulais. Déposant des baisers dans son cou, je descendais le long de son torse, passa ma langue le long de son flanc, passant celle ci dans son nombril dont je déposais un baiser, je remontais vers son visage en me frottant bien à lui. Puis je redescendais en ayant ma poitrine toujours aussi proche de son corps et je vins tirer sur son boxer pour le lui retirer entièrement. Il était enfin nu et je frottais ma poitrine contre son intimité alors que mes lèvres retrouvaient les siennes. Je m'appuyais un peu sur mes bras afin de me positionner à cheval sur lui et attrapant ses mains dans les miennes, je menais celles ci vers mon soutien gorge afin qu'il le dégrafe. Nos lèvres toujours en contact je bougeais légèrement mon bassin comme s'il était déjà en moi. Oui je voulais le rendre fou et le punir un peu pour son manque de présence la semaine précédente. Mordillant sa lèvre inférieure je passais ses mains au dessus de sa tête après qu'il m'ait enlevé le tissu qui recouvrait ma poitrine. J'avais envie de lui et j'avais envie de le punir en le torturant un peu avec ce qu'on faisait.


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What's wrong with you ?
Merde...J'allais encore couché avec ma fiancé alors que je lui en voulais. Ces derniers temps c'était toujours comme ça, je réglais ma frustration émotionnelle avec la jeune femme en la séduisant et en l'emmenant dans mon lit. Bon d'accord, lors du bal, nous avions fait ça contre un arbre mais là, après avoir enroulé ses jambes autour de ma taille et l'avoir déplacé de la cuisine jusqu'à mon lit, là où je l'allongeais avant de la déshabiller, je la laissais en sous-vêtement sous mon corps tout autant dénudé. Je la touchais sensuellement et de façon très lente, pas vraiment maître de mes actes et de la vitesse de ceux-ci mais je savourais quand même l'instant, laissant ma rancœur et mon ressenti de côté. Je lui en voulais certes, mais là tout de suite, je voulais juste qu'elle soit mienne une fois de plus et comme je le prévoyais, la jeune femme inversa nos places. Se plaçant au-dessus de moi, elle déposa des baisers dans mon cou, descendant le long de mon torse avant de passer sa langue le long de mon flanc, me faisant grogner de plaisir. J'essayais de caresser son corps comme je le pouvais alors qu'elle me retirait la dernière barrière de vêtement, me laissant me plaquer une main sur les yeux. Nous avions fait des folies dans voilà les lieux publics et notre dernière fois dans un lit remontait à je ne sais combien de temps. Mais je n'étais pas au bout de mes peines car la jeune femme avait décidé de me torturer comme bon lui semblait, frottant son corps dénudé contre le mien, sa poitrine contre mon Bobby bien érigé. Puis, elle m'incita à lui retirer son soutien-gorge et mes mains s'attardèrent contre sa poitrine qu'elles caressèrent de façon lente, jouant avec elle avant qu'Elia ne décide d'encore plus me punir en bougeant son bassin contre le mien, me faisant rougir puis transpirer. J'avais limite envie de cacher mon visage sous un oreiller pour ne pas qu'elle puisse avoir accès à la vision de mon visage expérimentant la tonne de mimiques qui reflétaient bien le plaisir que je ressentais. Lorsqu'elle remonta enfin mes mains au-dessus de ma tête, ce fut le feu vert pour moi et je repris le contrôle sur ce qui se passait. J'en profitais donc pour inverser encore nos places et presque lui arracher son string. Je caressais son postérieur d'une façon rapide, embrassant sa poitrine même si je bavais plus dessus qu'autre chose, avant de laisser mes doigts vagabonder vers son intimité afin de jouer avec son morceau de chair jouissif. J'avais très envie d'elle et plus rien ne comptait. « Tu n'aurais jamais dû...partir si longtemps... » murmurais-je plus pour moi que pour elle entre quelques baisers sur la chair rosé de ses seins. Puis remontant le long de son corps, j'embrassais ses lèvres avant de mélanger sa langue à la mienne et d'écarter ses jambes d'une main, prête à entrer en elle, la sachant toute prête pour moi. Je ne lui demandais même pas son accord et mon geste s'accompagna d'un mouvement presque primitif comme si ma vie en dépendait avant de commencer des coups de bassins assez forts et très rapides, comme si j'avais réservé mon énergie pour ce moment là.


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