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only mama knows ✗ zoiel

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Le lendemain de la soirée mexicaine, Zoya se réveilla avec un mal de crâne hallucinant. Il fallait dire qu'elle avait une quantité de mojito et de tequila plutôt impressionnant accompagnée des filles au cours de la soirée qui devait l'aider à faire un choix entre Warren et Gabriel. Ces dernières avaient dut la retenir de force à l'appartement pour ne pas qu'elle aille les voir complètement bourrée une fois qu'elle eut prit sa décision. Elle avait donc dormit comme un bébé jusqu'à 13 heure pour récupérer, mais une fois réveillée, elle ne put se rendormir, trop impatiente d'en finir avec la corvée qui l'attendait. Elle aida tout d'abord Desdemona à ranger l'appartement, et une fois tout rentré en ordre, elle alla descendre la poubelle. En bas de l'immeuble, elle sentit une main sur son épaule et se retourna vivement pour faire face à un de ses gardes du corps. C'était bizarre de le revoir de près, d'habitude il ne s'approchait pas d'elle, pour lui donner l'illusion d'avoir un semblant d'intimité : " Salut Hektor ! Tu vas bien? " dit elle, la voix enrouée par la gueule de bois. L'ami de son père ne prit pas la peine de répondre à sa question et dit de sa voix grave : " D'après nos informations, ta mère biologique serait dans le coin. " Un pur russe, pas du genre à tourner autour du pot. Zoya resta un moment bouche bée avant de se frotter le front et de répondre : " Quoi? Mais c'est absurde, qu'est-ce qu'elle foutrait ici? " Hektor l'amena un peu à l'écart de l'immeuble pour ne pas que Desdemona les observe, et il répondit : " Apparemment, elle aurait été aperçu avec ton ami Gabriel. On en sait pas plus. " Zoya nageait dans l'incompréhension. Pourquoi Gabriel aurait-il incité sa mère à venir à Cambridge? Et dans l'hypothèse où c'était le cas, comment aurait-il fait pour la retrouver alors que son propre père n'avait pas réussit? La russe poussa un soupir et ajouta : " Mais comment tu peux être sûr que c'est elle, tu l'as déjà vu? Et puis depuis le temps qu'elle a disparu ça m'étonnerait que tu la reconnaisses ! " Son ange gardien répondit d'un ton très sérieux à sa question : " Aussi sûr que je m'appelle Hektor. " Zoya ne put s'empêcher de pouffer de rire devant cette punchline toute pourrie. Hektor avait l'air de trouver ça moins drôle lui. " Désolée, ça doit être les nerfs. J'vais aller le voir, c'était prévu t'façon. " Elle qui était à la base partie pour aller le voir pour lui faire part de sa décision allait finalement devoir avoir une conversation toute autre avec lui.

Une fois devant le bateau de Gabriel, Zoya s'exclama : " Ça marche comment pour signaler sa présence sur un bateau? Y'a pas de sonnette, j'suis perdue. " Elle ne voulut pas monter sur le pont avant qu'il ne soit là de peur de ce qu'elle verrait si elle le prenait par surprise. Elle resta donc sur le port et remit rapidement sa robe et ses cheveux en place pour ne pas avoir trop folle allure. Elle ne savait pas trop encore comment elle allait réagir face au beau brésilien vis à vis de ce qu'il avait manigancer dans son dos, elle n'arrivait même pas à discerner ce qu'elle ressentait à ce moment là. Elle savait juste qu'elle avait hâte de le revoir.

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Depuis ce jour où je suis retourné chercher ma moto en bas de l'immeuble de Zoya, tout a changé. Certes, je reste confus mais peu à peu mes idées se remettent en place, peu à peu je me sens prêt à pouvoir avancer.  De l'espace, je lui en avais laissé comme elle me l'avait demandé afin qu'elle fasse le point, mais ce n'était pas dérangeant, j'en avais moi aussi besoin. De cet espace, de ce temps de réflexion. Cependant, je n'en ai pas tellement eu l'occasion, puisque depuis notre retour de Los Cabos, j'avais commencé mes petites recherches sur sa mère biologique et j'avais eu des réponses, de s réponses plus que satisfaisantes, puisque c'était un contact. J'ai donc pris sur moi pour la faire venir à Cambridge, cette femme qui a abandonné Zoya alors qu'elle n'était qu'un bébé. Surement avait-elle eu ses raisons et d'après ce qu'avait pu me raconter celle qui m'avait fait changer d'avis, le métier qu'elle exerçait avant tout ça n'était pas facile et ce milieu était le dernier endroit pour élever un enfant et lui inculquer les valeurs qu'elle a su tiré de son éducation auprès de son père. Mais elle avait envie de la voir, alors pourquoi pas. J'avais passé quelques jours avec cette femme tout aussi belle que Zoya. Elles se ressemblaient, énormément. La même couleur de cheveux, les mêmes yeux pétillants et ce même sourire qui illumine votre journée et vous contamine.  Quand bien même je ne l'avais jamais connu, rien qu'en la voyant, je savais que c'était elle. Elle m'avait donc raconter tout ce qu'il s'était passé. L'argent, la fuite, les menaces, la mafia ... à côté de ça, ma vie était triste et inintéressante. Cette histoire intéresserait surement Scorsese pour l'un de ces films.

Alors que je devais rejoindre cette femme un peu plus tard, l'ayant mis en sécurité dans mon ancien appartement se fut la voix de Zoya qui vint me tirer de mes songes. Ses mots me firent rire. Je sortais de la cabine, torse nu (aa) sous ce soleil de plomb de cette fin de moi de mai.  J'enfilais rapidement une chemise, ne prenant pas la peine de la déboutonner pour me dresser devant elle. Un peu interdit C'est une bonne question, en général, les gens montent sans se poser la question, mais une sonnette c'est à envisager dis-je en regardant un endroit propice. Peut être une cloche juste ici   dis-je en lui montrant le surplus d'un pique planté dans l'eau. Je suis un peu surpris de te voir ici ... tu veux rentrer ?   dis-je en relevant mon regard dans le sien bordel, ce qu'elle est belle et cette robe qui la met en valeur. Levant mon bras à son niveau, je lui tendais la main pour réduire l'espace qui nous éloigné et surtout pour la faire monter sur le bateau sans qu'elle ne tombe dans l'eau.
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Le premier son venant de Gabriel que Zoya entendit fut son rire. Elle ne put s'empêcher de sourire en entendant cet agréable bruit, puis elle l'aperçut monter sur le ponton torse nu avant d'enfiler une chemise. Mais pourquoi fallait il toujours qu'il porte des habits?? A sa remarque, Zoya répondit d'un ton tout aussi désinvolte : " Les gens sont mal élevés. " Un bateau restait une propriété privée non? Les gens ne voulaient probablement pas retrouver des gens dans leur salon en sortant de la douche, qu'ils appliquent eux mêmes cette règle. Lorsque Gabriel l'invita à monter sur son bateau, elle mit sa main en visière pour pouvoir le regarder dans les yeux et elle rétorqua : " Ça dépend, c'est ici que tu séquestres ma mère? " Elle ne voulait pas lancer une nouvelle dispute entre eux mais elle voulait quand même comprendre pourquoi il avait fait ça, comment il avait fait ça et surtout.. où elle se trouvait. Cependant, elle ne savait pas encore si elle voulait la voir. Elle avait peur de ce qu'elle allait découvrir, peur que la réalité soit encore pire que ce qu'elle s'était imaginée. Elle prit tout de même la main que Gabriel lui tendait, ne voulant pas le repousser une fois de plus, et elle alla s'adosser aux bords du bateau : " Comment t'as fais? " dit elle, allant droit au but
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La plupart du temps ouai d'ailleurs, c'est comme ça que j'avais connu Teddy. Elle s'était invité chez moi, sur mon bateau, pour se protéger de cette averse diluvienne. Doucement, je m'approchais de Zoya, lui tendant la main pour la faire monter sur le bateau, mais ses mots me la firent bien vite baisser. Je soufflais un peu, bonjour tu connais ? ça dépend, t'aimerais que se soit ici ?   si elle me pose une question sur sa mère, c'est que bien évidemment, elle est courant, comment ? Je n'en sais rien. Comment tu sais ?   moi aussi je peux être très direct, d'ailleurs, je préfère ça, que tourner autour du pot. Finalement, elle rattrape ma main pour la prendre et monter, ce simple contact arriva à me faire sourire tout de même, bon, c'est qu'elle n'est pas si énervée que ça. Parce que dans le cas inverse, elle n'aurait pas enjambé cette petite barrière d'eau qui nous séparés.  Je la regardais s'adosser contre l'un des bords du bateau, je l'imitais, en face d'elle. Zoya peut se montrer bien violente par moment j'ai pas envie qu'elle me pète le nez, vous m'voyez ? Cependant, elle était plus interrogative qu'autre chose. Je connais des gens, qui connaissent des gens ...   c'est pas le moment de se foutre d'elle si ?  J'ai un ami qui m'a déjà aidé par le passé et il me devait un petit service, alors je l'ai utilisé dis-je en haussant une épaule Elle était en Europe, elle a pas mal bougée à vrai dire et ... et elle a changé d'identité   devrais-je lui dire que c'est pour échapper à son père ?
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Une lueur de défi dans les yeux, Zoya répondit :" Pas vraiment non. Mais à vrai dire ce serait mieux de la croiser ici que demain au supermarché. " Une fois installée à bord du bateau, la jeune russe s'exclama : " Un de mes gardes du corps est venu me le dire cet matin, j'aurais préféré l'apprendre de toi mais bon.. " Elle se tut un moment puis ajouta : " J'pense qu'un des gars de mon père doit te garder à l'oeil, désolée. " C'était une fâcheuse habitude de son père qu'il avait déjà en Russie. Elle n'avait jamais put ramener de copain à la maison, car avant même qu'elle en parle à Daniel, il savait déjà tout sur lui. Insupportable. Encore un peu barbouillée de la veille, Zoya aurait préféré s'assoir pour être plus à l'aise, mais elle ne voulait pas laisser l'occasion à Gabriel de penser qu'ils allaient s'éterniser ici. Celui ci lui dit qu'il avait retrouvé sa mère sous une nouvelle identité en Europe. Sentant qu'il était embarrassé, elle le pressa : " Balance tout ce que tu sais Batista, j'suis pas en sucre! " Et bien qu'elle se montrait forte en apparence, son coeur se resserrait dans sa poitrine, battant de plus en plus fort. Parle qu'on en finisse.
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L'un de ses garde du corps était venu lui dire ? Je fronçais un peu les sourcils en me demandant bien pourquoi il le savait. Pourquoi savait-il le moindre de mes faits et gestes ? Peut-être que c'était simplement sa mère qui était surveillée et non moi. Cependant, Zoya venait confirmer que j'étais tenu à l'oeil. Oh d'accord, c'est tellement banal ce genre de chose dis-je en haussant les épaules, comme-ci de rien était. Oui, elle me disait ça comme elle m'aurait demandé du sucre dans son café. Puis, elle me demandait de tout lui dire. Je jouais avec mon pied, faisait des ronds sur le bois du plancher, les mains dans les poches, me demandant comment j'allais faire. Petit à petit, j'ai appris à la connaître, je sais que d'apparence, elle semble forte, elle semble être libre et n'avoir aucune attache, mais au fond, elle est fragile, même si elle ne veut pas le montrer. Alors d'un pas un peu maladroit, je m'approche d'elle, prenant ses mains dans les miennes. Je sais pas si c'est à moi de te dire tout ça Zoya cependant son regard me disait de tout lui dire, je passais derrière elle pour passer mes bras autour de ses bras, les nouant sur sa taille, face à la mer. Ta mère t'a abandonné en sachant que ce n'était pas un monde pour une petite fille, elle ne voulait pas que tu grandisses là-dedans, ton père semblait être un homme bien, alors elle t'a confié à lui. En contre-partie, il lui a donné une certaine somme d'argent qui lui faisait perdre tout droit sur toi. Elle ne pouvait pas reprendre contact avec toi, réclamer ses droits de mère. C'était comme si elle n'avait jamais existé. Elle est donc partie en Europe pour commencer une nouvelle vie, elle a tout de même essayé de prendre contact avec toi, mais l'un des sbires de ton père devait l'avoir à l'oeil, parce qu'il l'a ramené à l'ordre en lui rappelant leur pacte, elle a changé d'identité pour tenter de lui échapper, mais appremment, on échappe pas à la mafia russe oui, cette dernière phrase faisait référence à ce garde du corps qui avait prévenu Zoya qu'il m'avait vu auprès de sa mère. Ma voix avait été douce et assuré, se voulant un peu lointaine pour lui laisser le temps d'assimiler tout sa. Mes bras quant à eux, se serraient un peu plus autour d'elle, lui laissant tout de même l'occasion de se défaire de cette étreinte, j'étais juste-là, au cas ou, elle aurait besoin de quelqu'un sur qui s'appuyer.
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Lorsque Gabriel s'avança vers Zoya, le regard bourré de compassion, elle comprit que tout cela n'avait rien de bon. Cependant, elle préférait devoir affronter une vérité atroce plutôt que d'être bercée par un mensonge. Cela lui faisait du bien de pouvoir toucher le beau brésilien auquel elle n'avait cessé de penser durant ces derniers jours. Elle planta son regard dans celui du jeune homme et dit : " A qui d'autre? " Puis il lui déballa tout ce qu'il savait. Sur sa naissance, sur la décision de sa mère, sur les magouilles de son père. Rien de toute cela n'était étonnant, et pourtant, cela lui donnait la nausée. Sa mère avait voulut reprendre contact avec elle, sa mère n'était pas un monstre. C'était Daniel qui l'en avait empêché, l'homme en qui elle croyait pouvoir avoir confiance. Face au chaos qui régnait dans son esprit, Zoya ferma les yeux un instant et serra fort les bras de Gabriel autour d'elle. Elle avait besoin de lui en cet instant, elle avait vraiment besoin de lui. Elle ne savait pas si elle pouvait avoir une confiance aveugle en lui, mais elle avait besoin de se reposer quelques temps sur quelqu'un de fort. Quand elle rouvrit les yeux, elle se tourna face à lui et s'exclama : " Emmène moi chez elle, j'ai besoin de la voir. Je ne les laisserai pas me l'enlever une fois de plus. " Et tant pis si elle faisait 3 fois son âge parce qu'elle s'était droguée toute sa vie, et tant pis si elle se prostituait encore ou si elle avait de la moustache. C'était sa mère, et elle avait besoin de la voir : " Par contre, il ne faut pas que mon père apprenne que t'es allé fouiné dans ses affaires, sinon t'es foutu. A partir de maintenant, je ne t'abandonne pas du regard une seule seconde, sinon il va profiter de la moindre occasion pour t'éloigner de moi. " Elle lui prit la main et le traina en dehors du bateau tout en envoyant un mail à son père depuis son portable. Qu'il lui enlève encore une seule personne qui lui était chère et elle lui ferait payer.
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A ton père ou ... à elle lui dis-je en haussant une épaule. Oui, elle m'en avait parlé autour d'un action ou vérité, mais m'en aurait-elle parlé si nous n'avions pas joué, elle et moi ? Son regard était presque suppliant, alors mes bras s'étaient enroulés autour d'elle. Je la laissais face à la mer, pour qu'elle puisse se calmer, qu'elle puisse trouver l'apaisement nécessaire au rythme des vagues. Cela marchait pour moi, peut être que pour elle aussi. Au fur et à mesure de mes mots, je sentais ses mains serrer mes bras, son corps s'appuyer d'autant plus contre le mien, comme si elle s'y reposait. Je ne la laisserais pas tomber, jamais. Je lui ai laissé mon appart oui, autant lui dire où elle était, ce n'était pas un secret, surtout pas pour elle, qui plus est, je suis pas certain que se soit ma place là-bas. Vous vous ressemblez beaucoup ... elle est belle si tu comprends pas Zoya, je suis en train de te faire un compliment indirectement, je lorgne pas sur ta mère. Sauf que je n'avais pas pansé à son père. J'ai pas envie de connaître les coutumes russes. Bordel, pourquoi c'est le genre de chose qui me viennent en tête après ? Alors que j'étais entrain de réfléchir à ce qu'il pourrait m'arriver, elle me tirait par la main pour sortir du bateau, direction, l'appartement Ne jamais m'abandonner du regard, ça implique beaucoup de chose Zoya dis-je avec un petit sourire sur les lèvres pour tenter de détendre l'atmosphère Je te préviens, on se suit pas jusqu'au toilette, je tiens à préserver l'image que je me fais des femmes sur le trône nous montions dans sa voiture, pour plus de sécurité, je conduisais, elle n'avait pas l'air bien, alors je posais ma main sur sa cuisse, serrant sa main dans la mienne. une fois garé dans le parking sous-terrains, je tournais mon visage vers Zoya, en me mordant l'intérieur de la joue, sur l'instant. Je suis certain que tout vas bien se passer, puis vous avez certainement plein de chose à vous dire, je vais t'attendre ici
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Gabriel lui avoua qu'elle était à son appartement, qu'il l'avait déjà rencontrée et qu'il l'avait trouvée jolie. Si il l'avait trouvée jolie, c'était probablement qu'elle avait changé non? Qu'elle n'était plus une prostituée, qu'elle ne se droguait pas.. Zoya se sentit soulagée que Gabriel l'ait vu avant elle, cela lui permettait de savoir à quoi s'attendre. Sa demande très sérieuse de ne pas quitter son champ de vision fit sourire Gabriel.Cependant, elle était trop obnubilée par toute cette histoire qu'elle ne s'en rendit même pas compte : " Oublie cette image, c'est de la fiction. " S'installant sur le siège passager de sa propre voiture, elle se laissa conduire par Gabriel jusqu'à son appartement. Une fois garé dans le parking sous-terrain, le brésilien ne sembla pas décidé à l'accompagner. Complètement paniquée, elle s'exclama : " Non non non.. Tu peux pas me laisser tomber, tu dois venir avec moi. " Voyant qu'il n'avait pas l'air de changer d'avis, elle ajouta : " J'irai pas sans toi. "
Quelques minutes plus tard, ils se trouvaient devant la porte de l'appartement de Gabriel. Elle se tourna alors vers lui et sentit sa gorge se serrer : " Et si elle était plus là? Et si elle n'avait plus envie de me voir? Ou alors un des gars de mon père pourrait l'avoir enlevé, on sait pas! "
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Selon moi, je n'avais rien à faire dans l'histoire. Dans leur retrouvailles. Je ne voulais pas gâcher leur moment, mère fille être une ombre au tableau. Des choses allaient surement se dire, des choses qui ne me concernaient pas. Pourtant, elle ne voulait pas y aller toute seule, elle voulait que je monte et comme à son habitude, elle me faisait du chantage pour que je cède. Une vraie princesse cette Zoya. Alors non montions, prenions l'ascenseur. Mes yeux étaient restés rivés sur elle, je me demandais ce qu'il se passait dans cette si jolie petite tête. Elle devait s'en poser des questions, perdue. C'est ce qu'elle était. Je passais mon bras par dessus ses épaules pour l'obliger à faire face maintenant, mais une fois devant la porte, elle eut un petit sursaut de conscience. Je laissais retombé les clés dans ma poche, posant mes deux mains sur ses joues. Arrêtes de paniquer d'accord ? Tout va bien se passer. Ta mère et de l'autre côté de cette porte et aucun homme de ton père ne sera venu la chercher je te le promet. Je serais là Zoya, je serais là avec toi sur ces mots, je déposais un baiser sur son front, en la ramenant un instant contre moi. Mes bras dans son dos, l'une de ses mains caressait ses beau cheveux couleur d'or. Je ne sais pas si ça lui faisait du bien, mais en tout cas, égoïstement, ça me faisait du bien. C'était une tout autre facette de Zoya que j'avais face à moi, une femme fragile, en pleine perdition avec une tonne de question et surtout le regard d'une petite fille. Je vais ouvrir dis-je en la lâchant doucement. Ma main gauche, pourtant allait chercher ses doigts pour les serrer autour des miens et c'est main dans la main que nous entrions.

Elle était là. Tout aussi belle que Zoya, de long cheveux, un regard mutin et amusée et ce beau sourire que j'avais pu voir lorsqu'elle parlait de sa fille, surtout quand elle avait vu l'une des photos que j'avais dans mon téléphone. Elle se levait et je m'écartais automatiquement sur la droit pour aller m'adosser à la chambranle de la porte , les bras croisés contre mon torse, les laissant faire connaissance. Tu ... tu es devenue une très belle femme et tu as l'air en bonne santé. Je suis contente pour toi dit-elle nerveusement, en se dandinant sur place. Maintenant, à Zoya de ne pas péter un plomb après ces mots là.
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