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HARSKA ✰ fire meet gasoline

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desire the pleasure's pain and fire, burn me

HARDIN & ALASKA.

Je savais que si elle restait là encore longtemps, les choses allaient se compliquer. Je me sens pas à l'aise dans uns situation comme celle ci même si j'essaye de montrer le contraire. Et je me sens pas mal à l'aise parce que je suis à poil non mis parce que je me démerde toujours pour ne pas me retrouver dans ce genre de situation et là j'ai mis les deux pieds dedans. Du moins j'ai essayé d'en retirer un le soir du bal, mais l'autre resté bien planté. « Non. c'est pas vrai. La dernière fois qu'on s'est parlé, tu m'as clairement rembarré... là tu fais le mec qui en a rien à foutre, alors que la dernière fois c'était pas le cas. » Je ne disais rien, j'écoutais juste ce qu'elle disait, en frottant le corps de savon. Quelle carte je devais jouer ? Le connard qui s'en fou ou le mec qui veut parler posément, une bonne fois pour toute ? J'savais pas quelle carte tirer, et si j'avais eu la possibilité de le faire, je me serais éclipser. « Tu passes ton temps à me défier et t'arrives pas à décrocher quand je suis dans la même pièce que toi ! Tu veux plus qu'on s'voit mais t'as aucune volonté... » Ca commençait à me monter. Tout ça, tout ce bordel. Tout ce qu'elle disait, c'était vrai. J'pouvais, j'y arrivais. J'me suis mis à penser à elle depuis ce bal, alors que c'était pas le cas avant. Et là, j'arrives juste pas à l'ignorer alors qu'elle est à quelques mètres de moi et que je lui ai demandé de ne plus s'approcher de moi. Elle me déstabilise et je devrais me casser maintenant avant qu'elle ne le fasse de trop. Je me rinçais, coupai le jet et quittai les douches. Je m'enroulais la taille d'un serviette et m'asseyait sur un banc entre les casiers. Qu'est-ce qui m'arrives putain ?
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Je parle à un mur. Une fois de plus. Hardin ne me répond pas, pire, il s'enfuit. Je prend mon temps pour finir ma douche. Je me shampouine méticuleusement chaque partie de mon corps et je termine par mes cheveux. Je dois avoir mis dix bonnes minutes à tout casser. J'étais pas le genre de fille à traîner sous la douche ou dans la salle de bain. Je finis alors par m'enrouler dans la serviette de bain que j'avais laisser quelques mètre plus loin. Je glisse mes cheveux en arrière et je vais enfin m’asseoir sur un banc, juste en face de celui d'Hardin. Il avait l'air dévasté par ce que je lui avais dit. Moi, j'avais tendance à rester un peu j'm'en foutiste. En fait, j'essayais de ne pas trop me poser de question pour une fois. Oui, j'apprécie Hardin plus que je ne le pensais. Mais qu'est ce que je pouvais y faire ? Qu'est ce que je devais faire ? Est ce que je devais le forcer à réfléchir parce qu'égoïstement je ne voulais pas souffrir seule ou bien fallait-il que j'lui foute la paix ? C'était pas de ma faute si là nous étions dans la même pièce en même temps. On est des vrais aimants. On s'attire et on se repousse, on s'fait autant de bien que d'mal. Je sens ma mélancolie revenir au galop. Je pose mes mains sur mes genoux en le regardant. « Si j'avais su que tu étais là, je serais pas venue ! » dis-je en pinçant mes lèvres. « Alors, j'vais m'habiller, sortir si la porte le veut bien et puis on recommence à s'oublier... » dis-je en tournant le regard sur mes affaires.
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Fallait bien qu'à un moment ça m'arrive. A force de jouer avec toutes les filles qui me passaient sous le bras comme ça, il fallait bien qu'un jour je tombe sur une  qui ferait plus que les autres. Et c'était finalement tombé sur elle. Enfin je pense que je le savais mais que j'attendais qu'elle s'en rende elle aussi compte pour que ça me fasse un déclic. Bordel de merde, quoi. Pourquoi ça me tombait dessus maintenant ? Je suis attaché à elle. Je ressens un truc bizarre sur   lequel j'ai pas envie de mettre de mots parce que c'est trop compliqué après si je le fais. « Si j'avais su que tu étais là, je serais pas venue ! » J'étais tellement paumé que j'avais même pas remarqué qu'elle venait de se poser en face de moi. Je devais être ridicule, c'est rare ces moments où je perds le contrôle de moi même. « Alors, j'vais m'habiller, sortir si la porte le veut bien et puis on recommence à s'oublier... » J'écoutas, sans rien dire une fois de plus. J'pouvais pas la retenir, c'était pas moi. J'faisais jamais ça d'habitude, je retiens pas les filles mais faut aussi dire que j'en ressens jamais l'envie aussi. Mais là, non, j'peux pas me résoudre à la laisser s'en aller parce qu'on va de nouveau s'ignorer et j'serais pas capable de pas la provoquer. Voyant qu'elle se levait vers ses affaires, je posais mon regard sur elle. Attend. Je pouvais pas détacher mon regard parce que si je le faisais je risquais de fuir encore une fois, et c'était pas possible. J'aurais pas du te dire que j'voulais plus te voir, l'autre soir. T'as raison j'suis incapable de pas t'emmerde dès que je te crois et c'est fatiguant ce besoin de toujours devoir te provoquer Je passais une main dans mes cheveux, putain ça me ressemblait tellement pas tout ça. C'est pas mon genre tout ces trucs tu vois, j'sais pas ce que je suis censé faire Alaska
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Un seul mot et il me glace le sang. Attendre ? Pourquoi ? Je m'arrête pour le regarder à nouveau et mon regard cherche aussitôt le sien pour en savoir plus. Que veut-il de moi ? Je m’assois de nouveau, sagement. Un frisson me parcourt le corps quand j'entends ses premières explications. Je ne m'attendais pas à un revirement de situation. J'étais pas du genre à faire dans le sentiment, pourtant, j'étais certainement la fille la plus sensible du campus en ce moment. Puis il continue. Bien sûr que j'avais raison. Je commençais à le connaitre, assez pour savoir ce qu'il pense parfois et comme il agit en fonction de certaine situation. Puis, je suis moins débile qu'on ne le pense. Je suis capable de reconnaître quand les choses évoluent, ça ne sert à rien de le cacher. Je lui adresse un faible sourire. « Tu es fatigué ? C'est dommage... moi, j'aime bien quand tu me provoques... » dis-je doucement. Sa dernière confession me fait pouffer de rire. Je ne peux pas m'en empêcher. « Tu crois que c'est mon truc ? » lui demandais-je un sourire aux lèvres. J'étais tout de même soulagée. « On est comme deux cons ! »
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Je me sentais grave ridicule de me dévoiler comme ça. Je crois bien que je ne l'avais pas fait de cette façon depuis des années. Enfin si mais avec mes potes, mes meilleurs amis comme Riley ou Briony. Pas avec une fille quoi. C'était bizarre et un peu flippant aussi fallait l'admettre. Je savais pas tellement comment parler de tout ça alors je l'avais juste fait comme ça, c'était sorti tout seul. « Tu es fatigué ? C'est dommage... moi, j'aime bien quand tu me provoques... » Fallait le dire, elle avait pas garder son air petit et de côté qu'elle avait quelques minutes auparavant. Non je reconnaissais bien ce côté d'Alaska là. Tu vois c'que je veux dire. dis-je en en arquant un sourcil. J'suis pas fatigué de l'emmerder mais plutôt d'avoir besoin de le faire. Je lui jetais un regard mauvais quand je la voyais pouffer, quoi, elle trouve ça drôle que j'me sente paumé comme ça ? Erm. « Tu crois que c'est mon truc ? » Ouais ok disons qu'on était tous les deux pas doués pour ça, des vrais handicapés dans un domaine pareil. J'sais même pas quel domaine, je sais pas, j'sais plus. « On est comme deux cons ! » C'était à mon tour de rire, franchement on faisait pitié là. Assis sur des bancs, enfermés dans des vestiaires. On est pire que des cons J'inspirais un grand coup, avant de me lever. J'avais besoin de relâcher la pression de ce que je venais de dire. Je chopais mes affaires propres dans mon casier avant de jeter un coup d'oeil par dessus mon épaule. Vas-y, te gênes pas pour me mater surtout
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Je me sentais bizarre. Mise à nue. Je ne sais pas si c'est parce que je suis simplement vêtue d'une serviette de bain ou parce que je me suis ouverte un peu plus à Hardin. Nous étions deux idiots qui ne savaient absolument pas comment y faire avec l'attachement. Personnellement, ça me faisait vraiment peur. J'avais peur maintenant que je m'étais attachée à lui de le voir disparaître. Il est vrai que je n'avais pas hésité une seule seconde à me faire oublier, mais maintenant que lui aussi s'était ouvert... Il ne fallait pas que j'y pense. Je devenais déjà dépendante et ce n'était absolument pas une bonne chose. Qu'allons nous devenir ? Qu'allons nous faire désormais ? Je lui dis alors en riant que nous sommes comme deux cons. Il joint ses rires aux miens. Je crois que je ne pouvais pas expliquer mieux la situation. La situation était ridicule en plus de cela. Au moins, nous étions seuls et pour moi, c'était le plus important. Mais se n'était pas si facile que cela de me montrer proche de lui. Certainement parce que nous n'avions jamais vraiment été des amis ou autres. Nous nous sommes pourris la vie, nous avons partagé des nuit, mais rien de plus. Alors est-ce que j'avais le droit de continuer à lui pourrir le crane avec mes questions ou bien fallait-il que je le laisse respirer ? Hardin se lève dans un soupir. Voici la réponse à ma dernière réponse. Je le laisse tranquille. Sa remarque me fait sourire quand il attrape ses affaires. « Je me suis déjà rincée l'oeil sous la douche ! » m'exclamais-je avec un demi sourire, « Mais j'avoue qu'il n'y a pas grand chose à voir ... » finissais-je avec une moue faussement agacée.
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Je devais l'admettre, vider son sac fait du bien. En fait depuis le bal, depuis notre discussion, le sujet m'était resté en tête et je n'avais pas arrêté d'y réfléchir. Ca m'avait pris la tête à un point auquel je n'aurais pas cru. Mais fallait croire que, aussi inattendu que cela puisse être, je m'étais attaché à elle. J'avais prétendu la détester alors qu'au fond ce n'était pas le cas et je pense que c'était une carapace. J'avais qu'à assumer maintenant que l'on s'était dit les choses, puis à tout casser, je sais qu'elle est comme moi. J'sais que ça la fait flipper tout comme moi, qu'on sait pas comment se comporter parce qu'on fait pas ça nous. Alors j'me dis que l'on peut pas se casser la figure si ? J'sais même pas ce qu'on peut faire, j'suis paumé et pour l'instant on est dans ce vestiaire, coincé au passage, et ça s'arrête là. Ce sera bien plus compliqué une fois que l'on aura quitté cet endroit. Faut dire qu'on est un peu déconnecté de tout là. « Je me suis déjà rincée l'oeil sous la douche ! » Je rigolais à ses mots. Ca ne m'étonne pas qu'elle l'ai fait, mais je pensais pas qu'elle le dirait. Quoi que, après tout ce qu'elle m'avait dit, je pense que ça n'était rien à côté. Mais la suite de sa phrase me fit lever les yeux au ciel. « Mais j'avoue qu'il n'y a pas grand chose à voir ... » Bouh quelle menteuse. Elle connaissait très bien mon corps, alors si elle avait voulu y jeter un coup d'oeil tout à l'heure, c'est que c'était loin d'être moche. Tu fais vraiment une très mauvaise menteuse, tu le sais ça ? dis-je en me retournant, mon caleçon à la main. Je le levais pour le mettre en évidence, avant de lancer un regard amusé à Alaska qui me fixait. Tu veux me l'enfiler ou.. ? demandai-je, voyant qu'elle ne bougeait pas d'un poil. Ptn, j'aimais trop la mettre au défi et la provoquer, c'en est presque jouissif.
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Naturellement, nous étions en train de nous chercher à nouveau. J'avais un poids en moins sur les épaules. Je ne voulais plus jouer les fugitives et lui laisser croire que je m'écrasais pour lui laisser toute la place qu'il voulait à l'université. Parce qu'en y réfléchissant... j'avais fait en sorte de ne pas le croiser, mais qu'en était-il de lui ? Avait-il essayé de fuir ou avait-il simplement continuer à faire son connard de j'm'en foutiste ? Tellement de question dont je n'aurais certainement jamais de réponse. J'essaie de faire de mon mieux pour rester calme et apaiser mes pensées. Si nous nous disputions ici, nous serions bloqué et ça ne serait pas beau à voir. Hardin se met à rire quand je lui dis que je n'ai pas perdu une miette du spectacle. Bah quoi ? Il avait été nu devant moi, j'l'avais pas forcé à se mettre à poil alors je voyais pas pourquoi j'aurais dû me retenir de le regarder. C'était logique dans ma tête. Mais pour ne pas qu'il prenne la grosse tête, je lui fais comprendre que je n'avais pas été impressionné par son physique d'Apollon. Aussitôt il me traite de menteuse. J'hésite à affiche une mine offensée par les propos, mais au lieu de ça, un large sourire vient illuminer mon visage. « Non, non, j't'assure que j'en ai vu des mieux gaulés que toi Hardin Allister ! » affirmais-je en agitant mes sourcils. J'étais une menteuse. Je voulais simplement l'emmerder toujours plus. Il se retourne vers moi, son caleçon à la main. Il veut réellement que j'lui enfile ? J'arque mes sourcils. « J'suis pas ta mère Hardin, démerde toi ! » Je laisse échapper un soupir, je me penche vers lui pour attraper le bas de la serviette de bain qui lui tombe sur les hanches. « Puis moi, les hommes, je suis plutôt du genre à les ... déshabiller ! » m'exclamais en le regardant dans les yeux et en tirant d'un coup sec sur la serviette de bain pour la faire tomber.
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L'atmosphère pesante s'était finalement apaisée et c'était devenu plus détendu. Peut être parce qu'on en avait pas fait des caisses sur ce que l'on avait finit par s'avouer ? C'état assez perturbant d'ailleurs, parce que je sentais que quelque chose de nouveau s'installait entre elle et moi. Baah ouais, habituellement quand on est sobre on se déteste alors que là, on était tous les deux dans la même pièce et qu'on se cherche. Un jeu est en train de s'installer entre elle et moi et quand bien même j'ai conscience de marcher sur du verre, ça me plait. Ca me plait que les choses soient comme ça parce que c'est naturel et que ça vient instinctivement. Et je préférais quand ça se passait comme ça entre nous plutôt que quand on se posait des questions débiles à propos des sentiments. J'voulais plus y penser. « Non, non, j't'assure que j'en ai vu des mieux gaulés que toi Hardin Allister ! » Je lâchais un soupir en roulant des yeux, pour lui faire comprendre que je m'en foutais et que je voyais qu'elle mentais. C'était cramé à dix milles kilomètres. T'en as de la chance dis moi dis-je en lui faisant des gros yeux amusé. Je me retournais ensuite vers elle, mon caleçon à la main, lui demandant si elle voulait me l'enfiler pour rire.. ou pas. « J'suis pas ta mère Hardin, démerde toi ! » Je fronçais les sourcils, en la fixant. T'es tellement vulgaire dis-je en tirant une mine dégoûtée pour la taquiner. C'est pas beau une fille vulgaire. Soudain, elle attrapait la serviette autour de ma taille... « Puis moi, les hommes, je suis plutôt du genre à les ... déshabiller ! » puis elle tirait dessus, pour la faire tomber à mes pieds. Ohh je vois lâchai-je en souriant, avant de décrocher mon regard de la serviette de bain par terre et de reporter mon attention sur Alaska. Un sourire en coin, les yeux plissés, je préparais mon cou. Si tu voulais profiter de la vue, suffisait de demander hein Finalement, pour ce que je prévoyais, j'avais pas envie de rester à poil alors j'enfilais mon caleçon, avant de sortir mon sac de mon casier. Mon plan en tête, j'attrapais rapidement le sac d'Alaska avec toutes ses affaires à l'intérieur. Sans prêter attention à ses offuscations, je le posais dans mon casier avant de fermer ce dernier. De cette façon, elle n'aurait pas accès à ses fringues, sans mon code. Et hop, plus de fringues, c'est con ça dis-je, en me rapprochant d'elle, un sourire victorieux sur le visage. Qu'est-ce que j'allais bien pouvoir lui faire faire maintenant ?
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Parfois, Hardin donnait l'impression de ne rien ressentir du tout. Je me disais cela parce qu'il m'était absolument impossible de l'atteindre. Du moins, il était fermé et il ne laissait rien paraître. Alors que moi, j'étais assez susceptible comme fille et au fond, il était assez simple de me faire réagir. En tout cas, j'avais beau dire que j'avais vu mieux que lui, il s'en foutait totalement. Échec de la mission. Il me dit que j'ai de la chance et si j'avais eu quelqu'un chose sous la main qui pouvait faire mal, j'lui aurais certainement balancé à la figure. Sa tête me fait sourire. C'est un véritable clown quand il veut. Il fait des grimaces hilarantes sans s'en rendre compte. Il me demande ensuite si je veux lui enfiler son caleçon et j'en profite pour l'envoyer balader. C'était bien le premier homme à me demander de l'habiller. J'utilise alors mon meilleur langage, comme à chaque fois. Et je lui offre un magnifique sourire quand il me dit que je suis vulgaire. Il fait genre il est choqué, mais on sait très bien qu'il est pire que moi quand il s'y met. J'attrape alors sa serviette de bain pour la faire tomber. Hardin se retrouve nu comme un verre, un sourire sur les lèvres. Il est tellement beau et sûr de son corps que ça en est presque déstabilisant. « Je ne suis pas sûre que tu sois du genre à faire ce que je te demande ! » affirmais-je alors. Hardin met fin au spectacle en se rhabillant. Je devrais faire de même. Mais, le jeune homme attrape mes affaires d'un geste vif et les enferme dans son casier. Je me rus sur lui pour essayer de maintenir la porte du casier ouvert, mais rien à faire. « Hannnnnnnnn connard ! Hardin rend moi mes affaires ! » m'exclamais-je en le fusillant du regard, choqué qu'il est fait ça et qu'il trouve ça drôle. Ce mec est un monstre. J'ai juste envie de le gifler pour qu'il ravale son sourire de petit merdeux. Au lieu de ça, j'attrape son sac de sport et je l'encercle de mes bras en fuyant un peu plus loin. « Si tu veux revoir tes affaires, j'te conseille de me rendre les miennes ! »
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