Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityonce upon a time i was falling in love but now i'm only falling apart ♔ OLIRREN - Page 3
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once upon a time i was falling in love but now i'm only falling apart ♔ OLIRREN

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Qu’il reste un peu, tu n’en demandais pas plus. Pourquoi faire ? T’en savais rien, juste qu’il soit là, avec toi. S’il le voulait ? Ca non plus t’en savais rien. T’espérais jusque que oui, un peu, il voulait rester avec toi ce soir. Euh... tu devrais dormir dans le lit, à l'étage. J'vais dormir ici, moi. fini-t-il par répondre. Non. réponds-tu du tac au tac. Il était hors de question qu’il se tape le canapé. Et puis t’avais pas le courage de dormir dans le lit où vous dormiez tous les deux, dans le lit où vous aviez fait l’amour de si nombreuses fois. Bien le canapé n’y ai pas échappé non plus mais c’est.. moins dure. Et je... uhm, je peux rester un peu, mais.. Pourquoi? Tu dors mal? Tu te retournes, lui tournant ainsi le dos. T’as encore envie de pleurer et tu t’étais promis en sortant de cette douche de ne pas recommencer. Pas devant lui, du moins. J’prends des somnifères. Le double de la dose prescrite, sinon j’dors pas. avoues-tu en serrant les poings contre ta poitrine, lui faisant face de nouveau. Mais ça va. T’inquiète pas. Va dormir, il est tard. Je.. ça va. dis-tu avec ce qui ressemble de loin à un sourire. Tu te balances nerveusement sur tes pieds. Tu meurs d’envie d’aller dans ses bras, mais tu ne supporterais pas d’être rejetée. Alors tu fais juste un pas, te hisses sur la pointe des pieds et pose tes lèvres sur sa joue, les effleurant à peine. Merci.. murmures-tu en tournant vite des talons pour rejoindre le canapé dans lequel tu t’assois, passant la couverture sur tes genoux. Souffle Olive, souffle.
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Non. Non? Alors où t'allais dormir, toi? Si c'est pas le canapé, ni ton lit... Tu te sortirais un groupement de couvertures et tu te ferais un lit improvisé sur le sol de votre ancienne chambre à coucher. Pathétique, mais nécessaire. Encore une fois, tu la regardes, elle et le canapé à tour de rôle. Putain.. Au moins, elle ne faisait plus de conneries, tu pouvais compter sur son bon sens. Elle n'ira pas s'foutre dans de mauvais draps, ce soir. Enfin, plus maintenant. J’prends des somnifères. Le double de la dose prescrite, sinon j’dors pas. Fronçant les sourcils, tu la regardes presque honteusement. C'est de ta faute, ça? Non, putain. Faut que t'arrête de tout mettre sur toi, sinon tu vas encore t'écraser, et peut-être même te tuer sous la pression que tu te mets toi-même, suite à toute cette histoire.. Elle te tourne le dos, et tu recules de deux-trois pas, ne sachant pas quoi répondre. T'as peur de lui voler trop d'espace, trop d'intimité, d'être trop... là, quoi. "J'espère que... ça va s'arranger. C'est pas bon, prendre la double dose." Tu avales avec difficulté ta salive en la voyant, la sentant s'approcher de toi pour déposer sur ta joue un mince, rapide, bref baiser. Ton sang se glace, tu te crispes, tu fermes les yeux. Mais ça va. T’inquiète pas. Va dormir, il est tard. Je.. ça va. Tu secoues la tête, contre toute attente, la laissant prendre place sur le canapé qu'elle s'est préparé pour dormir. "Mais non.. J'vais m'asseoir juste là, et rester un peu.", murmures-tu en pointant le canapé à une place juste devant, soit derrière toi. Merci.. Tu hausses les épaules, un mince sourire aux lèvres. Ah... Olive. "Y'a pas de quoi.." Tu ajoutes alors nerveusement : "Allez... endors-toi, Ça devrait aller mieux demain matin. J'reste là un peu, d'accord? Tu te sens mieux, vraiment?" Et tu prends place sur le canapé de derrière, face à elle, en manquant tomber tellement tu te dépêches à t'asseoir.
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J'espère que... ça va s'arranger. C'est pas bon, prendre la double dose. Non c’était pas bon, mais c’est ça ou tu dormais à peine. Des micros siestes, c’est tout juste c’que ça te faisait une dose normale. Tu hausses les épaules, comme si c’était inévitable de toute façon. J’espère aussi. On récolte ce que l’on sème, Olive. Y’a qu’à toi qu’tu peux t’en prendre de pas dormir la nuit. Tu t’étais quand même risqué à l’embrasser sur la joue parce que t’en avais eu envie, et besoin. Et tu étais bien contente d’avoir tourné la yeux pour ne pas voir sa réaction.. Tu l’avais déstabilisé ? C’que tu peux être conne. Tu priais pour qu’il s’en aille dormir. C’que tu pouvais être contradictoire. Un coup tu voulais qu’il reste, un coup tu voulais qu’il parte. L’alcool te fait définitivement perdre la tête ma pauvre fille. Ou bien est-ce seulement Warren ? Mais non.. J'vais m'asseoir juste là, et rester un peu. dit-il en pointant la fauteuil juste à côté. Non putain, non. S’il restait, si l’atmosphère se faisait lourd et le silence pesant, tu perdrais le contrôle de toi-même et te détruirait encore plus en allant vers lui pour te faire rejeter. Non, putain. Euh, d’accord.. Tu te facepalm intérieurement, pourquoi s’faire tant d’mal l’un à l’autre ? Y'a pas de quoi.. Allez... endors-toi, Ça devrait aller mieux demain matin. J'reste là un peu, d'accord? Tu te sens mieux, vraiment? Tu te laisses tomber sur le côté, plongeant ta tête sur les coussins, te recouvrant de la couverture. Si tu t’sens mieux ? Comment tu pourrais aller mieux ? Il est là et tu peux même pas te lover contre lui, tu peux même pas lui caresser le bras comme t’en avais l’habitude, tu peux même pas l’embrasser chastement juste pour voir son sourire sur ses lèvres. Tu peux plus rien faire de tout ça putain. Tu peux pas non plus lui dire à quel point c’est un homme merveilleux, à quel point il t’as donné goût à l’amour, le vrai, le véritable ; à quel point ta vie à changer grâce à lui. Tu n’as plus qu’le droit de rester blottie dans ton coin, comme un tas d’ordure, et d’attendre que tout ça passe. Mais ça passera jamais. Jamais. Oui, vraiment. murmures-tu. C’est pour donner bonne figure, parce que tu n’le penses pas le moins du monde. Et tu te met à prier silencieusement. Prier pour qu’il s’en aille rejoindre votre ancienne chambre. Ou bien qu’il te rejoigne sur ce canapé pour te prendre dans ses bras. Tu pris, pourquoi pas, pour qu’il te porte jusqu’à la chambre et s’endorme à côté de toi. Mais tout ça, t’y crois pas. Ca n’arrivera plus. Alors tu pris pour t’endormir. Mais là non plus, ça n’arrive pas.
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Ce serait mentir que de dire que... Tu n'as pas envie de la serrer contre toi et de lui dire que ce n'était qu'un mauvais rêve dans lequel vous avez été malencontreusement impliqués tous les deux et dans lequel vous avez été pris au piège contre votre gré. Tu veux la serrer contre toi, en silence, dans ce canapé et t'emmitoufler avec elle sous la couverture que tu lui avais dénichée pour aller la chercher au parc. Mais c'était de loin la meilleure décision que tu pouvais prendre que de ne pas bouger, rester de marbre alors que ton coeur lui, explosait en mille morceaux. Tu ne peux tout simplement pas succomber à son charme encore une fois. Lui faire confiance une troisième fois, ce serait t'embarquer dans un plan suicidaire qui te couterait vraiment la vie, à la ligne d'arrivée. Mais tu sais que... si tu ne te retenais pas, tu serais prêt à courir ce risque de mort imminente. Elle te tromperait encore. Tu le savais. Tu le sentais. Elle t'avait dit le contraire la dernière fois, mais... Olive n'est pas comme les autres. Et si c'est ce qui t'a attiré la première fois, et qui t'a fait craquer pour elle, c'est aussi ce qui te détruit, à détruit votre mariage, et t'effraie. Quel dilemme atroce. Oui, vraiment. Tu ne la crois pas une miette. Et c'est bien parce que tu la connais, que tu as la certitude presque absolue qu'elle ne pense pas ce qu'elle vient de te dire. Qu'elle ne va pas mieux. Mais tu restes assis sur cette chaise de canapé, à te tirailler intérieurement dans ce déchirant dilemme qui va bien te faire devenir fou à un moment ou à un autre. Elle est lovée dans ses couvertures, et tu l'observes, malgré toi, malgré les promesses que tu t'es faites à toi-même. Tu te sens obligée... non pas obligé : tu as seulement besoin de la savoir en sécurité. Et si pour ça il te faut rester éveillé le reste de la nuit, tu le feras. Quoi qu'il t'en coûte. En autant que ce n'est pas pour te briser le coeur un peu plus qu'il ne l'est déjà ; et il faut savoir qu'il est en miettes. "Olive... t'aurais fait quoi, si j'avais refusé de venir te chercher là-bas?", demandes-tu d'une voix faible, fatiguée, triste, par curiosité. Tu ne veux pas l'empêcher de dormir, car comme ça, tu pourras réfléchir sans avoir à sentir sur toi ses si beaux yeux.,
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Tu essayes de faire le vide dans ta tête, de l’imaginer loin de toi le Warren, et pas à quelques pas. Tu fermes les yeux et te concentres sur ta respiration. Inspire, expire. Inspire, expire. Inspire, expire. Inspire. Olive... t'aurais fait quoi, si j'avais refusé de venir te chercher là-bas? Tu tressailles légèrement en entendant le son de sa voix. Tant d’efforts pour t’endormir réduit à néant. C’était épuisant. Tu fermes les yeux plus fort, espérant que ça t’aiderais à t’endormir plus vite. Comme par magie. Mais rien, évidemment. J’en sais rien.. réponds-tu avant de déglutir. J’me serais probablement endormie sur un banc, assommée par l’alcool. Il m’restait une bouteille de vin. continues-tu et repliant un peu plus les jambes contre ta poitrine. Ou bien je serais retournée en ville pour errer dans la nuit, attendant que le jour se lève. Ou j’aurais forcé une voiture pour y dormir. Je.. j’en sais rien. Mais je préfère m’dire qu’j’suis là. Même si c’est tout aussi dur que le reste. termines-tu en te redressant sur le canapé, posant ton menton sur tes genoux repliés.
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J’en sais rien.. réponds-tu avant de déglutir. J’me serais probablement endormie sur un banc, assommée par l’alcool. Il m’restait une bouteille de vin. Ou bien je serais retournée en ville pour errer dans la nuit, attendant que le jour se lève. Ou j’aurais forcé une voiture pour y dormir. Je.. j’en sais rien. Mais je préfère m’dire qu’j’suis là. Même si c’est tout aussi dur que le reste. Tu secoues vivement la tête de gauche à droite. Tes yeux deviennent noirs de colère, alors qu'il n'y a pas raison d'être en colère. Tu ne peux tout simplement pas t'imaginer ce qui se serait passé, dans le cas où tu ne serais pas allé la chercher. "T'aurais pu te faire agresser, ou bien violer. Tu y penses, deux secondes?", murmures-tu avec difficulté, comme ta voix s'étrangle. Tu as envie de lui poser d'autres questions. De savoir vraiment ce qui lui passait par la tête, lorsqu'elle jouissait dans les bras d'un autre. Ce qui lui passait par la tête, lorsqu'elle se plaisait à t'oublier ainsi. Tu as envie de lui demander ce qui se passe dans sa tête présentement. Tu as envie de lui dire que tu l'aimais, que t'étais prêt à tout pour elle, mais que tu ne te sens plus capable de mettre autant d'efforts pour une relation, un mariage qui sera fichu à chaque fois. Tu te prends le visage entre les mains, torturé par tant de pensées, tant de questionnements. Ce n'est plus la colère qui te gagne. C'est l'incompréhension, la déception, la douleur. Ta voix s'étrangle, tu commences à sangloter. "Je t'aime, Olive. Ou je t'aimais, j'en sais plus rien. Mais non, j'vais jamais cesser de t'aimer en fait. Tu m'as fait tellement, tellement mal. Tu m'avais promis.. et t'as recommencé. Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça? Dis-moi! Dis-moi, que j'comprenne ce que j'ai raté, ce que j'ai fait de travers, ce que j'ai manqué à te dire..." Tu sens des larmes couler sur tes joues, tes lèvres tremblent, tu renifles, et prie pour que ça cesse.
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T'aurais pu te faire agresser, ou bien violer. Tu y penses, deux secondes? Non, t’y avais pas pensé. Tu pensais jamais aux côtés négatifs des choses. Tu couchais avec quelqu’un d’autres ? Tu pensais pas à Warren. Tu t’tapais une cuite dans le parc ? Tu pensais pas aux agresseurs qui rôdaient. Je sais m’défendre, Warren. grognes-tu, épuisée de passer pour une fille sans défense, fragile. Bien que tu l’étais en ce moment. T’as juste le sentiment que la carapace de femme forte que tu t’étais construite tombait en morceaux au même rythme que ton cœur. Le silence se réinstalle un instant. Mais tu n’as plus la volonté d’essayer de dormir alors que laisses ton regard de perdre sur le reflet dans la lune sur l’eau de la piscine que tu apperçevais à travers la fenêtre du salon. Le tic-tac de la pendule te semblait de plus en plus lent, de plus en plus fort. Pesant. Je t'aime, Olive. Ou je t'aimais, j'en sais plus rien. Mais non, j'vais jamais cesser de t'aimer en fait. Tu m'as fait tellement, tellement mal. Tu m'avais promis.. et t'as recommencé. Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça? Dis-moi! Dis-moi, que j'comprenne ce que j'ai raté, ce que j'ai fait de travers, ce que j'ai manqué à te dire... Non, putain, NON ! Il t’aimait.. il n’est plus sûr de t’aimer, putain ! Ton sang alcoolisé bout dans tes veines, et tu sers les poings aussi fort que tu le peux pour t’éviter de tout casser. C’est dur. Très dur. Tu sais que tout ce qu’il dit est vrai, putain, ouais. Mais c’est trop dur de l’entendre de sa bouche, de le savoir entrain de pleurer. Tu l’aimes. T’aurais donné ta vie pour lui, t’aurais fait le tour du monde pour lui, t’aurais fait n’importe quoi pour que votre bonheur dure longtemps encore, à tout jamais. Mais t’as rien fait de tout ça. Tu l’as juste trompé, deux fois. Et ça a tout ruiné. TOUT ! Tes ongles te rentrent dans la paume de tes mains tellement tu forces pour les tenir fermer. J’me déteste, ok ? J’me déteste encore plus que tu ne peux me détester moi ! T’as rien fait pour mériter ça. C’est juste.. moi ! Et j’ai beau m’poser la question un milliard de fois, Warren, j’comprends pas pourquoi j’en suis arrivée là ! Alors que j’avais tout pour être heureuse putain. Absolument tout ! J’suis folle amoureuse de toi, tu m’aimais, on avait une putain d’maison, on était mariés, on était heureux. Je.. j’envisageais d’avoir des enfans. Et j’ai tout fait merdé, parce que j’suis qu’une salope égoïste. J’mérite même pas d’avoir eu le peu de bonheur qu’on a eu ensemble, Cooper. J’mérite rien de tout ça ! J’me déteste Warren, et c’est entrain d’me tuer. Pendant ta tirade, tu t’étais levée et avait fait le tour du canapé. Tes joues s’étaient noyés de larmes. T’aurais voulu partir loin d’ici, t’enfuir dans la nuit et ne jamais être retrouvée. La vie sans Olive est tellement plus simple, after all.
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Je sais m’défendre, Warren. Tu lèves les yeux au ciel, et ton geste s'accompagne d'un rire jaune. Un rire nerveux, même. "Je sais. Mais pas dans cet état là." Avec autant d'alcool dans le corps, n'importe qui aurait pu faire n'importe quoi avec elle. C'était d'une évidence certaine, et tu ne te serais jamais pardonné, advenant le cas où quelque chose du genre lui serait arrivé. Jamais. Et c'est là que tu te mets à sangloter comme un vrai con. Ce n'est pas digne d'un homme. Ton père biologique te le répétait souvent, avant de te donner ses coups de poing ou de bâton. T'avais appris à ne plus pleurer, avec le temps. Mais aujourd'hui, c'était bien plus fort que toi. Tu faiblis, devant elle. Devant cet amour si fort, devant ce besoin urgent, nécessaire de la serrer contre ton coeur, pour peut-être passer à autre chose enfin, et l'oublier. Mais tu n'y parvenais pas. Tu n'arrivais à rien. T'essayais de te bâtir un semblant de vie, sans elle, mais c'est pas chose faite. C'était si dur, que tu te forçais de ne pas abandonner si tôt. J’me déteste, ok ? J’me déteste encore plus que tu ne peux me détester moi ! T’as rien fait pour mériter ça. C’est juste.. moi ! Et j’ai beau m’poser la question un milliard de fois, Warren, j’comprends pas pourquoi j’en suis arrivée là ! Alors que j’avais tout pour être heureuse putain. Absolument tout ! J’suis folle amoureuse de toi, tu m’aimais, on avait une putain d’maison, on était mariés, on était heureux. Je.. j’envisageais d’avoir des enfans. Et j’ai tout fait merdé, parce que j’suis qu’une salope égoïste. J’mérite même pas d’avoir eu le peu de bonheur qu’on a eu ensemble, Cooper. J’mérite rien de tout ça ! J’me déteste Warren, et c’est entrain d’me tuer. Tu l'écoutes, et au fur et à mesure qu'elle avance dans ce qu'elle dit, dans ce qu'elle crie parfois, ton coeur se serre, toujours un peu plus, au point de menacer de ratatiner et de ne plus jamais fonctionner. Ta gorge est sèche, tes larmes continuent de rouler sur tes joues, en silence. Tu refuses qu'elle s'insulte, même si de nombreuses fois après le divorce, ce serait mentir que de dire que tu ne l'as pas insultée de tous les noms. Que tu as souhaité qu'elle ne soit jamais entrée dans ta vie. "Des...des enfants?" Elle mentait. Elle mentait, t'en était à peu près certain, mais tu... mensonge ou pas, tu ne pouvais pas la voir se traiter de la sorte, ni la voir pleurer comme ça. Tu la détestes. Mais parfois, y'a des pulsions qui sont plus fortes que la haine. Parfois, c'est nécessaire d'agir sur un coup de tête. Tu te lèves de ton canapé, te sentant lourd.. lourd comme de la roche. Tu traînes presque les pieds. Puis, tu te diriges vers elle.. vers le canapé. Sans un mot, tu la regardes, tristement. Et incapable de la voir se détruire comme ça, malgré toute la haine que tu lui portes présentement, malgré tous les efforts que tu mets pour te tenir loin d'elle et l'oublier, tu la prends dans tes bras. Tu l'entoures de tes bras musclés, mais si faibles, pour la serrer contre toi avec la seule force qu'il te reste dans le corps. Tu es épuisé, exténué, dévasté, mais au moins, tu te dois de faire ça. Tu as besoin de ça. Tu ne dis rien, c'est le silence total, un silence plat, mais qui sonne comme une douce mélodie à tes oreilles. Vous étiez mutuellement en train de vous détruire et fallait que ça cesse..
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Je sais. Mais pas dans cet état là. Dans n’importe quel état t’aurais pu foutre une raclé à n’importe qui. Surtout dans cet état-là. T’étais pleine de rage, pleine de haine. Tu n’aurais pas eu de scrupules à utiliser la violence. D’un simple petit caillou tu aurais fait une arme destructrice. Mais tu ne réponds pas, son rire te glace le sang. Et c’est un amas d’aveux qui s’en est suivi, tu lâches les mots comme ils viennent, sans les contenir, sans les chercher. Ils glissent sur ta langue, comme des pointes tranchantes qui font demi-tour et te tailladent le cœur, toujours un peu plus. De toute ta vie, tu n’aurais jamais cru qu’il était possible de souffrir autant. Tout ça était destructeur et c’était pire que tout. Des...des enfants? Tu relèves la tête, les yeux rougis par les larmes, déchirée qu’il n’ai retenu que ça. Ca t’fait mal putain, mal. Parce que, merde, ça n’arrivera jamais ! Tu t’étais posée la question bien avant le road trip : étais-tu prête à fonder une famille avec Warren ? A lui offrir un enfant ? A vous offrir un enfant ? Oui. Oui, oui, oui. Deux fois, trois fois même ! T’aurais foncé les yeux fermés. Mais maintenant … ? Des enfants. Des mini Shark-Cooper qui galopent dans le jardin, des mini-nous qui jouent avec leur père, avec leur mère, des mini-nous qui nous en auraient fait bavé à l’adolescence… j’y ai pensé. Je.. mais à quoi bon ? continues-tu sur le même ton, prise dans ta lancée. En parler rendait les choses si réelles, si possibles. Olive, maman. Non, ça n’arrivera jamais. JAMAIS ! T’es pas digne de ça. T’es même plus digne de Warren alors.. Tu te prends la tête dans tes mains et grognes de rage. C’est à ce moment là que tu sens les bras musclés de Warren s’enrouler autour de toi. Tu ne réfléchis même pas et entoure tes bras autour de son cou et niche ta tête contre lui, et tu te laisses pleurer. J’suis désolée, j’suis tellemeeent désolée. Tellement, tellement, tellement. Je t’aime Warren ! Je t’aime tant, putain ! dis-tu en resserant un peu plus tes bras autour de garçon, comme si tu sentais que c’était la dernière fois que ça t’arriverais. Et ça encore, te réduisait le cœur en miettes.
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Ton monde semble s'écrouler lorsqu'elle te crache tout en plein visage. Comment devais-tu réagir à un aveu de a sorte? Elle avait déjà même seulement envisagé de fonder une famille, une vraie, avec toi? Tu avais du mal à y croire, et pourtant.. ce n'était pas impossible. Quoi que ça t'étonnait d'elle. C'était une sauvage, pas cette femme prête à tomber enceinte et devoir endurer un gros bide pendant près de neuf mois pour ensuite vivre toute sa vie avec un enfant à ses trousses. Même toi, si tu y avais déjà pensé, imaginé à quoi ça ressemblerait, tu avais tellement peur d'être peur que... c'était compliqué. Et encore plus maintenant. Impossible. Des enfants. Des mini Shark-Cooper qui galopent dans le jardin, des mini-nous qui jouent avec leur père, avec leur mère, des mini-nous qui nous en auraient fait bavé à l’adolescence… j’y ai pensé. Je.. mais à quoi bon ? Tu prends de grandes respirations intérieures, pour essayer de chasser ces images que tu commences à te créer au fil de ses paroles. Tu ne sais pas quoi répondre à ça. Tu ne sais plus comment répondre ou réagir à rien. Alors, tu fais ce qui te semble le plus naturel : la prendre dans tes bras, et faire perdurer un silence qui te paraît apaisant. Le seul bruit qui sorte de ce silence de mort sont les sanglots, les reniflements de ton ex-femme. Ta main se perd dans ses cheveux, tu ne veux pas qu'elle pleure. Malgré tout ce qui a pu se passer, elle ne mérite pas de se dénigrer comme ça. Peut-être changeras-tu d'avis demain encore, mais tu préfères vivre dans l'instant présent. Et l'instant présent c'est elle, et toi, et ses larmes. J’suis désolée, j’suis tellemeeent désolée. Tellement, tellement, tellement. Je t’aime Warren ! Je t’aime tant, putain ! Tu ne bouges pas, resserrant toujours un peu plus l'étreinte pour qu'elle sente que tu es là, même si tu n'es plus vraiment là.. Tu caresses ses cheveux du bout des doigts, tentant au mieux de calmer ses sanglots. "Shhhhh.. Shhh.. Je sais, Olive, je sais.." C'est tout ce que tu trouves à dire. Car si tes larmes se sont effacées, c'est tout ton corps entier qui se consume sous la souffrance et la peine. "On va... on va passer au travers." Au travers du divorce, c'est ça? Tu ne sais plus..
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