Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityonce upon a time i was falling in love but now i'm only falling apart ♔ OLIRREN
Le Deal du moment : -28%
-28% Machine à café avec broyeur ...
Voir le deal
229.99 €


once upon a time i was falling in love but now i'm only falling apart ♔ OLIRREN

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Au sol, les cadavres de quelques canettes de bière, une bouteille de vodka et trois bouteilles de vin. Posée là contre un arbre, tu grelottes de froid. Tes lèvres ont légèrement bleuis. Si les journées sont plutôt agréables, les nuits sont fraîches et un tee-shirt ne suffisait pas. Mais tu t’en foutais. L’alcool t’avais réchauffé de l’intérieur, tu le ressentais même pas ce froid. Seul ton corps réagissait. Tes yeux sont rouges tant ils ont pleurés et tes joues aussi, tant tu as bu. A quelques pas de toi, ton téléphone. Tu ne veux plus le voir, tu veux rester sur cette idée que Warren va venir te chercher pour te reconduire chez toi. Chez toi.. ça n’veux plus rien dire. Tu ne te sens plus chez toi nulle part ! Une nouvelle brise de vent s’abat sur le parc et tu grelottes de plus belle, repliant tes jambes contre ta poitrine, posant ton front sur tes genoux. Cette sensation de destruction intérieure n’était pas si désagréable…
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Non, non, et encore non. T'étais qu'un con, Warren. Pourquoi t'avais succombé à ses supplications? Car malgré ta haine, malgré ta colère, ton incompréhension encore bien vive dans ton esprit, t'avais pris peur pour elle. Peur qu'elle soit en danger, seule dans le parc, peur qu'il lui arrive malheur. Mais bien sûr, il n'arriverait rien de ça. C'est seulement ton instinct qui te poussait à agir ainsi, et ça ne faisait que te rendre plus pathétique encore. Olive t'avait envoyé plusieurs sms. Elle était bourrée.. Ça t'surprend qu'elle n'ait pas pris la décision de coucher avec le premier venu, ce soir. C'était ce qu'elle faisait, avec quelques verres en trop, pas vrai? T'essaies du mieux que tu peux de chasser ta haine en sortant de ta voiture, lorsque t'arrives au parc. Il fait noir, il est une heure du matin. Tu soupires avec ta lampe de poche, celle que t'as choppé avec la couverture, pour te faciliter la tâche... Après une bonne dizaine de minutes à chercher en silence, c'est lorsque tu vois un amas de bouteilles de toute sorte, éparpillées sur l'herbe, que tu finis par trouver ton ex-femme, assise, le front sur ses genoux repliés contre elle. Tu soupires encore, t'approchant d'elle. Tu n'sais pas quoi dire. Tu ne veux rien dire. Tu sens tes poils se hérisser partout. Pas à cause du froid, mais... Voilà, vous comprenez. Elle tremble, tu le remarques tout de suite. Tu te penches vers elle, sans trop lui porter attention personnellement, mais tu lui déposes la couverture sur les épaules. "C'est moi. Enroule-toi dans ça, au moins, tu vas crever de froid ici, sinon." Tu te relèves, regardant autour de vous. Ça te désespère... Tu ramasses toutes les canettes et les bouteilles attentivement pour les regrouper toutes ensemble. Au moins, ça faisait moins... sale. "T'aurais pu appeler un de tes amants, pour faire le sale boulot de te ramasser dans cet état.. C'est plus le mien, maintenant.", dis-tu, cachant cette tristesse et cette colère dans ta voix...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu ne sais pas combien de temps tu as attendu lorsque tu aperçois à tes pieds un faisceaux lumineux. Peut-être cinq minutes ? Peut-être un quart d’heure ? Une heure ? La notion du temps te semble disparue. C'est moi. Enroule-toi dans ça, au moins, tu vas crever de froid ici, sinon. Tu ne réagis pas, tétanisée par le froid. La couverture que Warren pose sur tes épaules sent agréablement bon. Une odeur rassurante : celle du linge propre, la lessive que tu utilisais, et le parfum du Winthrop. Tu réussis néanmoins à attraper les pans de la couverture pour le refermer autour de toi. Mais tu n’arrives toujours pas à dire un mot. Le bruit des bouteilles vides qui jonchaient le sol te parvient, rien que de penser à une seule goutte d’alcool de plus te donne envie de vomir, putain. T'aurais pu appeler un de tes amants, pour faire le sale boulot de te ramasser dans cet état.. C'est plus le mien, maintenant. Tu te remets à trembler sous la couverture, ne quittant pas des yeux une petite fleur refermée qui se tenait là, seule, dans toute cette herbe. Arrête ! siffles-tu entre tes dents. T’avais envoyé chier Alexander, t’avais supprimé le numéro d’Hardin. Tu les détestais tous autant qu’ils étaient pour t’avoir séparé de ton Warren. Ils auraient pu t’arrêter, ils savaient que tu ne répondais plus de toi-même, ils savaient que tu étais une femme mariée. Non j’aurais p..pas pu. J’les déteste Warren, autant que j’me dé..déteste ! Y’a que toi putain, que toi ! Je t’aime J..Jay Warren Cooper ! réponds-tu en essayant au mieux de ne pas claquer des dents, relevant enfin la tête vers le Winthrop que tu distinguais dans le noir. Le savoir si près et en même temps si loin te brisait le cœur, encore une fois. Alors tu replonges ta tête dans tes jambes et ferme les yeux, pleurant silencieusement, encore.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Arrête ! Tu ramassais encore les bouteilles jonchant le sol lorsque tu l'entends te siffler ça, presque rageusement. Arrête? Toi, arrêter? Non, hors de question. T'avais assez souffert dans ton silence en lui accordant une deuxième chance suite à son aventure avec Hardin. Et t'avais encore plus souffert durant ce divorce imprévu. Tu t'adosses contre l'arbre pour prendre une ou deux bonnes respirations, te calmant ainsi du mieux que tu le pouvais. Elle enchaîne, tu maugrées. Non j’aurais p..pas pu. J’les déteste Warren, autant que j’me dé..déteste ! Y’a que toi putain, que toi ! Je t’aime J..Jay Warren Cooper ! Secouant la tête, tu fermes les yeux pour oublier ses dernières paroles. Elle n'a PAS le droit de te dire ça. Comme elle n'a plus le droit d'utiliser ce foutu tatouage comme preuve d'amour. Ça ne l'avait pas empêché de recommencer! "Toi, arrête! Tu ne peux pas me dire des trucs pareils. Je n'y crois plus, malgré toutes tes bonnes intentions. Tu sais ce qu'il m'a dit au bal, Alexander? Que tu criais son nom pour recommencer. Qu'il te faisait jouir comme pas possible, et que t'en voulais encore. Je vous ai VUS au bal, après l'avoir cogné, quand j'ai voulu marcher un peu dehors, faire les 100 pas. J'vous ai vu. Encore." Elle ne t'aime pas. Toi tu l'aimes. Et maintenant, tu t'en rends compte, réellement. Et elle se met à pleurer. Non, tu peux pas supporter ses larmes. Tu peux pas supporter sa peine. Mais tu l'dois, parce que ça fait de toi un faible, un soumis, un p'tit con. Et tu t'es promis d'être fort, maintenant. Alors, tu tentes d'oublier. Tu passes outre. "Allez, debout. Ils jetteront tout ça plus tard." Tu ne lui laisses pas trop le temps de se remettre debout, que tu viens la chercher. Elle est trop bourrée pour s'tenir debout toute seule sur ses jambes. Alors, tu passes tes bras sous la couverture, derrière son dos, et l'autre sous ses cuisses. Puis tu la soulèves. Elle se fait lourde, dans son état, mais pour toi, c'est toujours une plume. "J'te ramène à la voiture. On te trouvera un endroit où dormir après.."
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Toi, arrête! Tu ne peux pas me dire des trucs pareils. Je n'y crois plus, malgré toutes tes bonnes intentions. Tu sais ce qu'il m'a dit au bal, Alexander? Que tu criais son nom pour recommencer. Qu'il te faisait jouir comme pas possible, et que t'en voulais encore. Je vous ai VUS au bal, après l'avoir cogné, quand j'ai voulu marcher un peu dehors, faire les 100 pas. J'vous ai vu. Encore. Ses paroles te font l’effet de flèches glacées te pénétrant en plein cœur. L’entendre parler de toi et un autre homme, même si c’était arrivé, te donnait envie de vomir. Tout te donnait envie de vomir en ce moment, de toute façon. Tu relèves la tête, les joues ruisselantes de larmes et secoues la tête plusieurs fois, cherchant tes mots. Non.. Non… et tu l’as cru ! J’n’ai rien fait au bal que d’le soigner et... Tu m’détestais Warren et.. et j’avais besoin d’me sentir vivante ! J’contrôle plus rien quand t’es pas là, quand tu m’détestes comme ça ! Tout aurait été tellement plus simple si tu t’en étais tenue à ton mode de vie et n’étais jamais tombée follement amoureuse de Warren. Allez, debout. Ils jetteront tout ça plus tard. Il glisse ses bras sous la couverture et te soulève dans ses bras. Tu te blottis contre lui, posant ta tête et tes mains contre ton buste chaleureux. C’était là, ton chez toi. C’était… Tu trembles un peu plus à cette idée alors que Warren commence à marcher. J'te ramène à la voiture. On te trouvera un endroit où dormir après. Tu secoues doucement la tête contre lui. Tu refusais qu’il te laisse seule. Tu voulais qu’il reste, tu voulais qu’il t’enveloppe de ces bras réconfortant encore. Est-ce que tu m’aimes ? Réponds moi j’t’en pris ! murmures-tu contre lui, serrant un bout de la couverture dans ton poing.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Non.. Non… et tu l’as cru ! J’n’ai rien fait au bal que d’le soigner et... Tu m’détestais Warren et.. et j’avais besoin d’me sentir vivante ! J’contrôle plus rien quand t’es pas là, quand tu m’détestes comme ça ! Tu la détestais? Elle le soignait? Tu ne peux pas t'en empêcher, t'empêcher de rire, un rire jaune et douloureux. Tu secoues la tête, fuyant son regard, car tu n'as pas envie de voir ses yeux, ses beaux yeux. "À ce que je sache, si j'ai bien fait le compte, t'as couché avec Alexander au road trip, Olive. Bon sang, là-bas, j'étais là, tu t'souviens? J''étais là avec toi, j'étais là dans ton lit, j'étais là partout. Et t'as quand même trouvé le moyen de me tromper!" T'étais cru, rude dans tes paroles, mais c'était la pure vérité. Une vérité que tu avais encore du mal à assimiler, à comprendre parfaitement. Puis, c'est le silence. Un silence de mort, alors que tu la transportes dans tes bras, jusqu'à ta voiture qui n'est pas très loin, mais à quelques minutes de marche de là où ton ex-femme se trouvait. Tu la sens grelotter, trembler contre toi. Le froid. Elle aurait pu mourir là d’hypothermie, en plus avec tout l'alcool qu'elle avait pris, t'sais même pas si fallait que tu la transportes à l'hosto, quoi. Est-ce que tu m’aimes ? Réponds moi j’t’en pris ! Face à cette question qui te sert le coeur, tu restes de marbre. Oui, tu l'aimes. Plus que tout, plus que n'importe quoi. Et pourtant, c'est trop tard. T'as fait bien trop d'efforts qui ont été vain, qui ont été anéanti par tout ça, par ces trahisons qui seront venues à bout de toi. "Tu connais déjà la réponse." Tu serres les dents jusqu'à ce que vous arriviez à ta voiture. Tu ouvres la portière avant côté passager, pour l'y installer Olive. Tu l'attaches, tu l'enveloppes de nouveau dans sa couverture, et t'attrapes une bouteille d'eau fraîche que t'avais emmené rien que pour elle. "Bois ça, Olive." Tu la lui ouvres, sors de la voiture, puis referme la portière. Tu prends une pause, aspirant l'air frais, car tu commences à sentir tes poumons se resserrer pour t'empêcher de respirer. Putain que c'est dur... Tu vas de ton côté, entre dans la voiture, t'attache et met la voiture en marche. "Tu veux bien me dire ce que tu faisais en plein parc, avec autant d'alcool, toute seule? T'aurais pu mourir là, Olive!"
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
À ce que je sache, si j'ai bien fait le compte, t'as couché avec Alexander au road trip, Olive. Bon sang, là-bas, j'étais là, tu t'souviens? J''étais là avec toi, j'étais là dans ton lit, j'étais là partout. Et t'as quand même trouvé le moyen de me tromper! Et c’était vrai. T’avais franchi le pas avec le président Mather sur le bord du lac, complètement assommée par l’alcool et l’herbe que t’avais fumée. Mais j’ai jamais crié son nom, c’est des mythos tout ça ! Y’a qu’toi qui m’fait sentir pleinement vivante, pleinement épanouie. Y’a qu’toi ! Warren.. Et pourtant, tu trouvais quand même le moyen d’écarter les cuisses pour un autre homme. C’est ce qu’il dirait. Tu sens une boule se former dans ta gorge, tu n’arrives plus à parler et te laisses transporter par Warren jusqu’à la voiture. Tu avais cependant réussi à articuler quelques mots, à peine audible. Tu connais déjà la réponse. Tu n’en étais plus aussi certaine qu’avant. Plus du tout. Dis le, s’il te plait. murmures-tu en fermant les yeux alors que de nouvelles larmes cherchent à s’échapper de tes yeux. Il t’installe du mieux qu’il peut sur le siège passager et tu te sens bousculée de tous les côtés alors qu’il t’attache ta ceinture. Bois ça, Olive. T’attrapes la petite bouteille d’eau mais n’en fait rien. T’étais incapable de boire quoi que ce soit là, alcoolisée ou non d’ailleurs. Alors tu revisses le bouchon et colle ta tête contre la vitre, regardant le parking désert. La porte se ferme, le clic de la ceinture retenti et le moteur vrombit quand elle démarre. Tu veux bien me dire ce que tu faisais en plein parc, avec autant d'alcool, toute seule? T'aurais pu mourir là, Olive! Tu voulais juste oublier. Oublier tout ça et peut-être croiser un gars avec qui t’oublier. Sauf que ça n’avait fait qu’accroître ta douleur, te remplissant d’une haine sans vergeure. J’voulais m’sentir bien, j’voulais plus voir ta belle gueule dans ma tête, j’voulais plus avoir mal. J’voulais juste être bien. Et j’avais nul par où aller. J’ai plus nulle part où aller. Et qui se serait soucié d’la petite peste d’Olive, morte dans le parc ? Personne, à part p’t’être CS pour faire le buzz. Tu serres la bouteille d’eau dans tes mains avant de replier tes jambes sur le siège, te mettant de nouveau en boule.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Mais j’ai jamais crié son nom, c’est des mythos tout ça ! Y’a qu’toi qui m’fait sentir pleinement vivante, pleinement épanouie. Y’a qu’toi ! Warren.. Tu marches, en silence. Toujours. Tu marches en essayant d'oublier ce qu'elle te dit. T'aurais pu la laisser toute seule ici, t'aurais pu la laisser se démerder comme elle sait si bien le fait. T'es pas son ange gardien. T'es pas son sauveur. T'es pas son bouche-trou, celui qui va toujours lui pardonner, malgré toutes ses erreurs. "T'aurais dû le réaliser avant." C'est dur pour toi. C'est dur depuis que t'as essayé d'te tuer en voiture, dans ce champ désert. C'était dur depuis le bal, depuis que t'avais affronté son deuxième amant. Et p'têtre qu'il y en avait d'autres, même? Mais tu ne connaissais pourtant pas leur existence. Dis le, s’il te plait. Tu secoues la tête, sans rien dire, l'installant de la voiture. Avant de refermer la porte, tu souffles entre tes dents, dans une plainte silencieuse : "Non, j'peux pas." Tu te sens dévasté, anéanti, et ce sentiment de détresse ne te lâches plus depuis des semaines. C'est horrible, pour toi. En faisant vibrer le moteur, tu décolles de là où tu t'étais garé, pour trouver un endroit où déposer Olive afin qu'elle soit en sécurité. Que tu la saches en sécurité, au moins. Tu pouvais pas veiller sur elle toute l'éternité. Encore moins des conneries dans ce genre là. J’voulais m’sentir bien, j’voulais plus voir ta belle gueule dans ma tête, j’voulais plus avoir mal. J’voulais juste être bien. Et j’avais nul par où aller. J’ai plus nulle part où aller. Et qui se serait soucié d’la petite peste d’Olive, morte dans le parc ? Personne, à part p’t’être CS pour faire le buzz. Ta belle gueule, ouais. Tu n'es pas capable d'entretenir avec elle une véritable conversation. Ça t'ramènes trop loin dans ton gouffre, alors que tu en sors peu à peu. C'est horrible, si vous saviez.. "Moi, j'm'en serais soucié. J'suis pas venu pour rien te chercher. Mais ça pourra pas toujours être comme ça, Olive. Tu vas devoir agir en adulte responsable, et... Fais ce que tu veux avec qui tu veux dans ton lit, mais met pas ta vie en danger comme ça." Tu actionnes la deuxième vitesse de ta transmission manuelle pour tourner à gauche. "J'te dépose où? Pas chez Skyler, t'as dit? J'connais un hôtel tout prêt, j'pourrais payer la chambre et quand t'auras déssoulé, tu sortiras de là. Le campus est pas bien loin... Ça t'va?"
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Non, j'peux pas. Si lui n’était pas capable de te dire qu’il t’aimais, comment pouvais-tu encore le penser ? Il te détestait tout autant que tu te détestais putain. Dans la voiture, tu te blottis et te cale contre la vitre, regardant d’un air vide le paysage défiler sous tes yeux. On t’avait pourtant toujours prévenu. « Fait gaffe Olive, un jour tu tomberas de haut. » Ou encore « Un jour tu tomberas amoureuse et y’a pas de remède pour ça. » Y’avait aucun médicament, aucun remède, aucune putain de formule magique pour soigner ton cœur meurtri. Tu savais que ça pouvait faire mal. Mais croyez le, quand vous perdez votre âme-sœur, vous perdez un morceau de vous-même, et c’est une douleur insupportable qui vous donne envie de crier, d’hurler. Moi, j'm'en serais soucié. J'suis pas venu pour rien te chercher. Mais ça pourra pas toujours être comme ça, Olive. Tu vas devoir agir en adulte responsable, et... Fais ce que tu veux avec qui tu veux dans ton lit, mais met pas ta vie en danger comme ça. Il aurait pleuré ta mort ? Evidemment. Tu visualises un instant l’image d’une grande boîte en bois au fond d’un trou, Warren à genoux, pleurant toutes les larmes de son corps, détruit, anéanti. Tu as un haut le cœur à cette idée et manque de vomir, mais tu la chasses vite et ouvre la bouteille pour boire une ridicule gorgée d’eau. Et merci. Merci d’être venu Cooper. articules-tu en collant ton front de nouveau contre la vitre froide, incapable de formuler d’autres mots. Il ne pensait pas ce qu’il disait, il ne pouvait pas te donner l’accord de faire c’que tu voulais avec qui tu voulais. Tu refusais, vraiment ! J'te dépose où? Pas chez Skyler, t'as dit? J'connais un hôtel tout prêt, j'pourrais payer la chambre et quand t'auras déssoulé, tu sortiras de là. Le campus est pas bien loin... Ça t'va? Tu secoues la tête immédiatement. Tu veux pas, tu peux pas d’un hôtel. Y’a rien de plus impersonnel qu’un hôtel. Non. J’veux aller chez nous.. chez toi. réponds-tu en fermant les yeux. Tu voulais te sentir en sécurité cette nuit. Tu voulais juste un coin de canapé, rien d’plus.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Dans ta tête, c'était ridiculement horrible. Tes neurones se connectaient et se déconnectaient à une allure fulgurante. Ton coeur, quant à lui, ne sachant plus vers quel côté aller, ralentissait parfois l'allure pour ensuite reprendre une vitesse énorme, et tu croyais que ton coeur allait te sortir par les yeux. Tu regardes ton ex-femme du coin de l'oeil pour s'assurer que bah.. elle ouvre pas la porte pour sauter en bas de la voiture, ou un truc du genre. Au moins, ça te rassure de la voir enfin ouvrir la bouteille d'eau que tu lui as amenée pour en boire une gorgée. Et merci. Merci d’être venu Cooper. Tu fixes ton regard sur la route sombre devant toi. Tu peux pas faire autrement, c'est le chaos dans ta tête et dans ton coeur. "T'as pas à m'remercier. Tu sais bien que j'viendrai toujours te sauver, mais..." Tu pousses un soupir, t'arrêtant un instant. "Faut qu'ça cesse. J'commence à peine à me faire à l'idée que t'es plus là.. Si j'dois te voir tout le temps, ça sera pas possible. Tu comprends?" Non, elle comprenait pas. Elle était bourrée. Tu proposes à Olive de la déposer à l'hôtel le plus près, pour qu'elle ait une bonne nuit de repos, au moins. Dans un lit, au chaud dans les couvertures et... en sécurité. Tu ne t'attends pas à ce qu'elle refuse. Encore moins qu'elle ait envie de venir dormir chez toi. Tu pivotes la tête une fraction de seconde vers elle, à l'arrêt du coin de rue. Non. J’veux aller chez nous.. chez toi. C'est un débat intérieur, une guerre sans fin qui se déroule dans ta tête. Que vas-tu décider? Putain.. Vous dépassez l'hôtel deux minutes plus tard, et tu ne t'arrêtes pas. "C'est la seule fois. Après, tu... tu t'trouves un endroit à toi, ok?", maugrées-tu en accélérant ta vitesse dans la rue, pour arriver chez toi le plus vite possible. Quelle situation désagréable dans laquelle tu t'es embarquée, cette nuit.. "On est d'accord, cette fois?"
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)