Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityonce upon a time i was falling in love but now i'm only falling apart ♔ OLIRREN - Page 2
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once upon a time i was falling in love but now i'm only falling apart ♔ OLIRREN

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T'as pas à m'remercier. Tu sais bien que j'viendrai toujours te sauver, mais.. Faut qu'ça cesse. J'commence à peine à me faire à l'idée que t'es plus là.. Si j'dois te voir tout le temps, ça sera pas possible. Tu comprends? Vous étiez tous les deux dans la même putain d’école, vous aviez tous les deux des cours dans le même putain de bâtiment. Vous passerez votre temps à vous voir. Du moins, vous apercevoir. Mais ce n’est pas le plus important. Ce que tu retiens c’est qu’il se fait à l’idée que tu n’es plus là. Toi, non. Tu n’y arrives pas. Tu pleures chaque soir, seule dans ton lit. Tu regrettes amèrement tout c’que t’as pu faire, dire. Tout ! Te pinçant les lèvres, tu tournes la tête pour le regarder, essuyant tes joues noyées de larmes d’un revers de la main. Puis timidement, tu hoches la tête. Ouais.. Tu m’manques Warren. Moi j’y arrive pas. prononces-tu difficilement en sentant un nouveau nœud au fond de ta gorge. Un nœud qui s’amplifie à la suite des paroles du Winthrop. C'est la seule fois. Après, tu... tu t'trouves un endroit à toi, ok? La voiture accélère, te donnant un haut le cœur. Tu plaques ta tête contre l’appui-tête, remontant la couverture sur tes épaules. Les yeux fermés, la gorge sèche, tu n’arrives pas à répondre, soulagée à l’idée de rentrer chez toi. Chez lui. Chez vous. Non, chez lui. On est d'accord, cette fois? Il ne veut pas de ton silence mais bel et bien une réponse concernant ce point-là. Tu hoches de nouveau la tête. Ok. murmures-tu en serrant les poings fort contre toi. La voiture prend encore de la vitesse et tout reste silencieux. Tu ne sais pas combien de temps le trajet prend.. tu n’as toujours pas retrouvé la notion du temps. Tu n’as rien retrouvé du tout, de toute façon. La voiture s’immobilise enfin dans l’allée de l’immense maison, juste à côté de la piscine. Tu ouvres aussitôt la porte et sors du véhicule, pensant pouvoir faire quelque chose seule. En vain. Tu te prends les pieds dans la couverture et t’étale sur le sol, gémissant en peinant à te soulever. Putain d’sa mère ! grognes-tu en posant ta main sur ta joue légèrement éraflée qui avait rencontré le sol caillouteux.
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Ouais.. Tu m’manques Warren. Moi j’y arrive pas. Toi non plus, t'y arrives pas. Ce serait un mensonge que de dire que tu l'as oubliée, qu'elle ne te manque pas, que t'es passé à autre chose en l'espace de si peu de temps. Mon dieu, elle te manque. Mais tu lui en veux, c'est un fait indéniable. Bien à contre coeur, tu te retiens de réagir lorsque tu la vois essuyer les larmes qui perlent sur ses joues. Putain.. si tu t'retenais pas, tu les lui aurais essuyés toi-même. Mais lui avouer qu'elle te manque, que tu l'aimes, que tu lui pardonnes alors que ce dernier point n'est pas vraiment le cas, ce serait te laisser paraître faible. "Tu.. tu vas m'oublier." Tu insistes alors pour qu'elle se trouve un endroit à elle, après cette nuit, afin que... afin que tu ne la vois pas toujours et encore, tous les jours. Ça te serait bien trop difficile à endurer, à supporter. Ok. Elle s'est mise d'accord, ce qui te fais pousser un soupir de soulagement, rassuré par son accord. Ouf. Une chose de faite. Tu accélères la vitesse pour oublier qu'elle est là, à côté de toi, et que tu pourrais.. arrêter la voiture pour la prendre dans tes bras, ou bien serrer doucement sa cuisse, ou bien l'embrasser. C'est un silence de mort qui dure entre vous, depuis quelques instants. Putain d’sa mère ! T'as arrêté la voiture, vous êtes enfin arrivés chez toi. Chez vous...? Enfin, c'est là qu'tu vivais maintenant, seul et... abandonné. Tu descends d'la voiture en l'entendant sacrer, te précipitant vers elle, alors qu'elle s'est retrouvée au sol. "Putain!" Tu aperçois quelques gouttes de sang qui dégoulinent sur ses joues, remplaçant les larmes. Tu prends timidement, maladroitement son visage pour voir si l'entaille est profonde. Non. "Allez." Tu la reprends dans tes bras en princesse, comme tout à l'heure. Elle est plus facile à transporter ainsi. Tu entres chez toi après avoir ouvert la porte, et sans même ouvrir les lumières, tu vas en direction de la salle de bain. Tu déposes ton ex-femme sur le comptoir, en silence, et tu attrapes la trousse de premiers soins non loin de là. "J'vais juste désinfecter... au cas où.. Ça te dérange, ou ça va?", dis-tu en appliquant un peu de désinfectant sur une éponge..
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Tu.. tu vas m'oublier. Tu ne voulais pas l’oublier. Oublier Warren serait comme oublier une partie de ta vie, une partie de toi-même. C’était même pas humain d’oublier l’homme de sa vie. Tu ne pourrais jamais l’oublier. Seul le temps guéri les blessures, mais il ne les efface pas. Alors c’était pareil. Et encore, tu refusais d’atténuer la passion que tu avais pour lui, là maintenant. J’en suis pas si sûre. te murmures-tu à toi-même tandis que la voiture fonce tout droit jusqu’à ton ancienne demeure. En sortant du véhicule, tu avais chuté, tellement t’étais bourrée. Un déchet, bon à jeter. Y’avait plus rien à tirer de toi de toute façon. Putain! Il s’agenouille à tes côtés et touche doucement ton visage pour regarder la plaie. Tu grimaces. Non pas de douleur mais parce que sentir ses doigts sur ton visage te fait mal là, à l’intérieur. Allez. Et en deux temps trois mouvements, tu te retrouves de nouveau dans ses bras. Tu fermes tes yeux, te recroquevillant contre lui, encore. De nouvelles petites larmes coulent silencieusement sur tes joues, se mêlant au sang de ton égratignure. T’étais une vraie fontaine putain. Warren entre dans la maison et ne prend pas le temps d’allumer les lumières. Tu l’en remercie silencieusement, t’es pas prête à voir le salon, la cuisine. Là où vous avez passé tellement de bon temps. Trop peu, finalement. J'vais juste désinfecter... au cas où.. Ça te dérange, ou ça va? Tu étais assise sur un petit meuble dans la salle de bain. Sans la couverture, tu te sentais sans défense, mise à nue. Et tu te remis à grelotter, regardant le Winthrop mettre un peu de désinfectant sur une compresse. Je.. ça va. Vas-y. réponds-tu en te pinçant les lèvres et en fermant les yeux. Dès qu’il pose ses doigts sur ta joue, des flashs t’apparaissent. Deux corps qui dansent l’un contre l’autre. Puis alternativement, les visages de Warren, Hardin et Alexander. La boule dans ta gorge ne fait que s’intensifier un peu plus et tu as tout juste le temps de repousser Warren et de courir jusqu’au toilette à côté de toi pour vomir. Classe.
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J’en suis pas si sûre. Tu serres les dents. C'est plus fort que toi. T'as des répliques sanglantes qui te viennent à l'esprit, des trucs horribles... Ça te fait mal, de l'entendre te dire qu'elle ne va pas t'oublier. Car tu la crois manipulatrice, maintenant. Un peu, du moins. C'est pas ce qu'elle a fait, avec toi? Te manipuler, pour avoir ton coeur, et ensuite le broyer en petits morceaux? C'est pas ce qu'elle fait là, maintenant, en pleurant, en buvant, en étant dans cet état pitoyable, lamentable, pour que tu viennes la secourir, et ensuite retourner dans le lit d'un autre, les jambes bien ouverte, en criant, jouissant un nom qui n'est pas le tien? "Pourtant, tu arrives à l'faire, quand y'a un autre homme en toi." Ça te serre le coeur, tu as envie de tout dégobiller rien qu'à l'image que tu as, encore. Mon dieu, faites que ce mal s'arrête et s'acharne sur quelqu'un d'autre que toi. Tu n'en pouvais tout simplement plus, de tout ça.. Tu la ramènes pourtant à la maison, maso comme tu l'es. Putain, tu te détestes. Tu la détestes. Tu les détestes, ses bonhommes qui l'ont satisfaite. Tu déteste tout ça, vraiment! T'aurais dû la laisser à l'hôtel. Elle est dans tes bras, jusqu'à ce que tu la déposes sur le comptoir de la salle de bain. Enfin, tu la lâches, t'échappant de son emprise. Elle sent bon, malgré l'alcool qui fait disparaître son doux parfum. Arrête, Warren. Tu vas te reprendre les pieds dans ses filets. C'est Médusa. Elle n'attends que le moment opportun, le moment où tu planteras tes yeux dans les siens pour qu'elle te transforme en pierre. Le processus était déjà enclenché. Je.. ça va. Vas-y. Tu commences à désinfecter d'une précieuse douceur. Mais à peine as-tu eu le temps de retirer cette mince couche de sang sur sa joue qu'elle se précipite vers la toilette à côté et vomi. Putain.. C'est pas joli. Tu laisses tomber l'éponge que tu tiens, t'approches d'elle et te penche, en silence, regroupant ses cheveux dans ta main pour l'empêcher de se vomir dessus. "Ça va.. mieux?", demandes-tu, lorsqu'elle semble avoir terminé de vomir ses tripes dans ta toilette. "J'vais te chercher un autre verre d'eau. Avec des aspirines. Et une pomme. Tu vas manger juste un peu, ça devrait te faire du bien. Assieds-toi près de la toilette, respire et... calme-toi, Olive." Et tu disparais de la salle de bain, en profitant pour, une fois rendu dans la cuisine, t'adosser contre un mur et respirer.. respirer profondément pour te calmer, toi aussi.
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Pourtant, tu arrives à l'faire, quand y'a un autre homme en toi. Tu serres la mâchoire, les poings, les cuisses. Tout. Et tu ne réponds pas. Que répondre à ça ? T’as rien à dire, rien. T’as juste à fermer ta gueule, accusant le coup. Tu pouvais même plus te défendre face à ce genre de paroles, tu les laissais t’atteindre en plein cœur. Et c’était super dur. Tu n’arrivais pas à te faire à l’idée que c’était terminé, tu n’y arriverais certainement jamais ! T’es complètement vidée d’énergie, c’est peut-être à cause e ça que tu te retrouves dans la salle de bain, avec Warren qui se lance dans la désinfection de la plaie sur ta joue. Mais il ne te faut pas plus que quelques flashs ajouté à tout ce que tu accumules depuis le début de la soirée pour tout régurgiter dans les toilettes. Tu sens les mains de Warren t’attraper les cheveux et t’as envie de l’envoyer valser, qu’il ne te voit pas dans cet état. Mais t’as pas la force, ni le courage, et une nouvelle vague arrive. Ça va.. mieux? Tu tires la chasse, rabat le couvercle et croise les bras sur le toilette, plongeant ta tête à l’intérieur. T’as honte de tout : de toi, de ce que t’as fait. Oui. articules-tu en grimaçant. Tu puais le vomi maintenant. J'vais te chercher un autre verre d'eau. Avec des aspirines. Et une pomme. Tu vas manger juste un peu, ça devrait te faire du bien. Assieds-toi près de la toilette, respire et... calme-toi, Olive. Et il t’abandonne. Tu donnes un coup de poing sur le couvercle du toilette, un coup de rage. Tu ne mérites pas tous les efforts de Warren, putain. Reviendra-t-il seulement pour t’apporter ce qu’il t’as dit ? Tu n’entends pas l’eau couler, tu n’entends pas les placards s’ouvrir. Tu te relèves difficilement et te débarrasse de tous tes vêtements, gardant seulement ta culotte. Puis d’une enjambée, tu t’installes en boule dans la baignoire et actionne l’eau qui coule le long de ton corps. Elle est froide au début, et tu n’en trembles que de plus belle. Mais de seconde en seconde, l’eau se réchauffe et te procure une sensation de bien-être. Comment t’en ai arrivée là putain ? Tu colles ton front contre tes genoux et laisses tes dernières larmes se mêler aux gouttes d’eau de la douche.
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T'étais dans la cuisine, les bras sur le comptoir, penché vers l'avant, respirant par grands coups, pour aller chercher le plus d'air possible. T'avais du mal, tellement de mal à te faire à l'idée qu'elle puisse être là, dans ta maison. Non, la vôtre. Mais elle n'y vivait plus. C'est toi qui devait endurer tous les souvenirs, tous les flashbacks, tous les bons moments passés en sa compagnie qui te revenaient en tête comme des bombes destructrices. Tu respires, tu te calmes. Ah... Si tu pouvais encore frapper sur ce mec, tu l'ferais. Sur ces connards qui avaient détruit ton mariage. Enfin, c'est Olive qui l'avait détruit, et rien qu'elle. Mais... ils ne l'y avaient pas aidée, à le préserver. Putain.. T'attrapes le fameux verre d'eau, avec dans tes mains deux aspirines, puis tu passes vers la chambre à coucher, celle où vous dormiez dans le même lit, du temps où vous étiez encore heureux. Tu ouvres l'un des tiroirs, lui attrapes des sous-vêtements propres encore à elle, ceux qu'elle avait préféré laisser ici. Puis, tu retires un jean, et un sweat-shirt confortable, ni trop chaud, ni trop "froid". Elle grelottait, après tout. Au pire, elle avait la couverture. Tu retournes vers la salle de bain, presque en te trainant les pieds, tel un zombie. Qu'est-ce que c'est dur... En t'approchant, tu entends de l'eau couler. Le bain...? Tu t'approches un peu plus et l'aperçois dans le bain. Tu fermes les yeux un instant, ne voulant pas la voir nue. Non, vraiment pas.. Alors, regardant sur le côté, tu t'approches, lui tendant les trucs que tu as apporté pour elle. "Tiens... voilà.. Prends ça, et d'ici une heure ça devrait aller mieux.. Je vais sortir, pendant que tu prends un bain.." Et tu te sauves, sans attendre sa réponse. Tu te sauves de là, au plus vite, refermant la porte derrière toi, tétanisé à l'idée de lui succomber... encore une fois.
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L’eau te brûlait presque à présent et embrumait légèrement la salle de bain. D’un coup de main, tu baisses le thermostat de l’eau et passe tes mains dans tes cheveux pour les mouiller complètement. Tu te sens sale de tout cet alcool, sale de ce vomi, sale de cette relation que t’as souillé en quelques minutes. Puis la porte s’ouvre. Tu ne relèves pas la tête, tu dévies juste ton regard. Suffisamment pour voir qu’il te ne regarde pas. Tu le dégoûtes à ce point ? Tiens... voilà.. Prends ça, et d'ici une heure ça devrait aller mieux.. Je vais sortir, pendant que tu prends un bain.. Et la porte se referme derrière cet homme déchiré. Tu attrapes le verre qu’il a posé sur le rebord de la baignoire et fourre les deux cachets dans ta bouche avant de vider le verre d’eau. Tu prends la pomme, croque dedans puis la repose, mâchant doucement. Et tu pleures, encore. Tu veux te vider de toutes tes larmes pour ne plus avoir à pleurer pour lui, devant lui. Au bout de vingt longues minutes – tu le sais grâce à l’horloge parce que non, tu n’as toujours pas la notion du temps – l’eau de la douche devient froide et tu décides qu’il est temps de sortir. Tu te relèves et fait glisser ta culotte mouillée le long de tes jambes avant d’attraper une serviette propre dans laquelle tu t’enroules. Puis une autre petite pour essuyer tes cheveux. Tu sembles lâs lorsque tu enfiles tes sous-vêtement, ce jean et ce sweet que Warren t’as apporté. Parce que tu n’es pas prête de sortir de la salle de bain pour affronter Warren, tu te mets à ranger tout ce qui tombe sous tes mains. Tu rinces la baignoire, tu désinfectes les toilettes, tu regroupes toutes tes affaires, jette la pomme que tu as à peine croqué à la poubelle, étends correctement toutes les serviettes et tu réalignes comme il faut les produits de beauté de Warren avant de réaliser que, merde, tu n’étais plus sa femme. A cette idée, tu sursautes et renverses tous les produits qui tombent dans le lavabo, provoquant un vacarme infernal. Merde, merde, merde.. Tu trembles en reposant les produits n’importe comment sur la petite tablette avant de t’appuyer contre le lavabo et regarder ton reflet dans le miroir. Souffle un grand coup Shark. Souffle. Tu te diriges vers la porte et toque timidement. Warren ? T’ouvres la porte. Il était resté juste derrière pendant tout c’temps. Ca m’a fait du bien.. la douche j’veux dire. dis-tu en montrant du doigt nerveusement la baignoire. Ca t’avait au moins fait dessoûler un peu.
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Mentalement, tu es dans un état lamentable. Adossé contre la porte refermée de la salle de bain, tu réfléchis à toute vitesse, écoutant les vagues d'eau du bain, de la douche, peu importe, derrière toi. Tu ne sais plus quoi penser. Où vas-tu la faire dormir? Comment va-t-elle réagir, après avoir dessoûler comme il faut? Comment vas-tu dormir, cette nuit? Insomnie? Questionnements? Peur? T'es amoureux, bordel. Amoureux d'elle, mais tu ne peux pas lui pardonner. Car dès que t'envisage la possibilité de lui pardonner ou de discuter de tout ça, tu vois le visage d'Alexander, ou celui d'Hardin, ou celui de tous les autres, et tu souffres atrocement. T'attends ce qui te paraît être une horrible éternité. Elle pouvait rester là toute la nuit, dans la salle de bain, comme ça, tu aurais le temps de réfléchir. Réfléchir encore, et retourner les mêmes foutues questions que tu te poses depuis le divorce, en tête. Que vas-tu faire, Warren? Et c'est là que t'entends un vacarme horrible dans la salle de bain. Tu ouvres grand les yeux, te retournant pour faire face à la porte, que tu as verouillée avant de sortir. Merde. Mais tu te tais. T'aurais pu crier et lui demander si ça allait. Et si elle s'noyait? Tu te fais trop de scénario horrible, jusqu'au moment où elle ouvre la porte. Tu la regardes nerveusement. Elle te semble timide. Elle te pointe la baignoire, tu l'entends à peine, perdu dans ses traits. Tu secoues la tête pour recouvrer tes esprits, hochant la tête. "Génial, alors." Tu souris à peine, jetant un coup d'oeil dans la salle de bain, derrière Olive. Y'a quelques trucs par terre, et dans le lavabo. Tant pis... tu rangeras plus tard. Enfin, si t'en as le courage. "Euh... t'es fatiguée? Tu veux.. quelque chose? Ça va mieux ta joue, euh..." Tu te passes nerveusement une main au niveau de la nuque en baissant les yeux vers le sol. Putain, on pourrait vous méprendre et vous croire inconnus l'un face à l'autre, tellement c'était le malaise..
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Génial, alors. Tu lui rends son mince sourire, complètement gêné. Comment en étiez-vous arrivé là tous les deux, putain ? Pourquoi avait-il fallu que tu ruines la plus belle chose qu’il ne t’était jamais arrivée ? Tu te pinces les lèvres et éteint la lumière de la salle de bain. Souffle encore, Shark. Euh... t'es fatiguée? Tu veux.. quelque chose? Ça va mieux ta joue, euh... Tu croises tes bras contre ta poitrine. Dormir est bien la dernière chose que tu veux faire, même si ton corps n’est pas de cet avis. Dormir ferait passer le temps plus vite. Et demain il te faudrait quitter la maison ainsi que Warren.. tu voulais profiter du temps qu’il t’avais accordé, aussi bizarre soit la situation. Je.. tout va bien. dis-tu en posant instinctivement ta main contre ta joue. J’vais préparer le canapé. souffles-tu en passant devant lui, plus mal à l’aise que jamais. Dans le salon, tu allumes la lampe halogène qui diffuse une lumière tamisée. Tu t’installes sur le canapé et commence à tresser tes cheveux mouillés, les attachant d’un petit élastique au bout. Puis tu déplaces tous les coussins d’un même côté pour t’en faire un coin confortable pour ta tête. Quant à la couverture, tu la plies en deux et la dépose tout le long du canapé. Voilà. Ton lit pour la nuit. Tu contournes le canapé et te plante devant Warren, la tête baissée, les mains croisées. Est-ce que tu peux… rester un peu ? demandes-tu finalement en te mordillant la lèvre inférieure. Tu voulais juste passer le plus de temps possible avec lui. L’imaginer dans une chambre à l’étage du dessus te rendrait folle.
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Je.. tout va bien. Tu poses tes yeux sur elle, puis plus précisément sur sa joue. C'est instinctif, pour toi. De vouloir prendre soin d'elle. C'est peut-être ça qui vous avait mené à la perte de votre couple. Plusieurs te disaient que tu n'avais pas su porter la "culotte" du couple. D'autres disaient que ce qu'elle voulait, c'était de la baise sauvage, et pas juste.. faire l'amour passionnément. Tu ne savais plus qui croire, quoi penser, quoi faire, sur quoi juger la situation. Tu n'arrivais plus à la comprendre, ton ex-femme, toi qui avait cru être capable de la cerner, t'étais un bel idiot. Un beau naïf. J’vais préparer le canapé. Perdu dans tes pensées, tu la regardes faire. Ça t'es douloureux. Lorsqu'elle a terminé de préparer le canapé, tu secoues la tête, en regardant le canapé, puis Olive, et encore le canapé. Tu n'avais pas prévu qu'elle dorme là, aussi peu confortablement. Est-ce que tu peux… rester un peu ? Sa question te choque. Tu fronces les sourcils, comme un réflexe. Rester? Pourquoi faire? Pour la regarder en silence, et ne pas savoir quoi dire? Pour subir cette envie constante de la prendre dans tes bras et de tout recommencer à zéro, de vous oublier, complètement? "Euh... tu devrais dormir dans le lit, à l'étage. J'vais dormir ici, moi." Parce que tu ne lui avais pas dit que tu ne dormais plus vraiment dans votre lit. Ça sent trop... elle. "Et je... uhm, je peux rester un peu, mais.. Pourquoi? Tu dors mal?"
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