Celui ci quand il partait dans un délire on ne pouvait pas l'arrêter. Il restait buté et aveuglé. « Bien sûr que si ! Pourquoi crois-tu qu'il se soit ramener chez moi avec ta cousine ? Il était prêt à te raconter la première connerie qu'il croyait vraie juste pour que tu t'éloigne de moi. Ouvres les yeux, Elia. Pitié. » Non c'était à lui d'ouvrir les yeux. Lui qui voyait absolument le mal en Priape alors que ce n'était pas nécessaire. Il a fait ça pour voir si tu étais de confiance, s'il comptait saisir la première occasion et faire n'importe quoi pour me faire rompre, il m'en aurait parlé avant que tu le fasses. Il aurait pu mentir si c'était vraiment son but mais il a vu qu'il c'était trompé et il n'a rien fait. Parce que quand on veut à tout prix faire rompre quelqu'un, souvent les gens utilisent des mensonges pour arriver à leur fin. Mais pas le dunster. & malgré mes arguments constructifs je savais qu'il allait rester sur son opinion. Enfin on a assez parlé de lui, je veux profiter de la fin de notre soirée avec toi. & j'allais bien en profiter avec la suite qui se préparait. En effet, il m'avait emmené derrière un immense arbre et il m'avait attiré à lui tout en m'embrassant. J'avais aussitôt sauté sur l'occasion en prolongeant le baiser, y incorporant ma langue. J'étais si prise dans le moment que mes mains se mirent à le tripoter. Elles avaient envie de lui tout comme j'en avais envie. Je le désirais tellement que je le prévenais qu'on devrait rentrer car sinon j'allais le dévêtir jusqu'à qu'on est fait des bêtises. Soit il avait pas entendu mes paroles, soit il s'en moquait et il ne voulait pas rentrer car nos positions avaient changés. Je me retrouvais désormais contre l'arbre et ma robe se soulevait le long de mes cuisses. Un sourire se dessina sur mes lèvres contre celle du winthrop. Le coquin. J'agrippais mes jambes autour de sa taille avec son aide et je continuais mes baisers. « Sinon quoi ? » Sinon c'était un peu trop tard pour repartir au bal, il était en train d'attiser encore plus mon désir pour lui. J'étais une allumette qu'il était en train de chauffer pour qu'elle flambe et il y arrivait très bien. « Sinon...Je peux tout aussi bien te faire le mioche que tu désires tant tout de suite... » Oui c'est bien ce que je pensais qu'il comptait faire et j'y étais pas contre. Je balançais ma tête en arrière quand ses lèvres se posèrent sur la peau de mon cou. Une main dans ses cheveux, je profitais du moment et de ses baisers qui me brûlaient la peau tellement j'aimais ça. Notre dispute peu avant avait eu le don de donner plus d'excitation à ce qu'on allait faire et ça me mettait plus en feu de terminer cette dispute sur une aussi bonne note que des ébats. Mettant mes mains devant son torse, je m'occupais de déboutonner son smoking et sa fermeture éclair afin de glisser ma main dans son sous vêtement, tout comme lui avait la sienne dans le mien. Je déposais quelques baisers sur son visage tout en profitant des mouvements qu'il faisait et en me concentrant sur les mouvements que je lui faisais pour qu'il éprouve du plaisir. J'avais envie de lui. Là. Tout de suite, maintenant. Tu as quelque chose dans ta poche ? Bien que j'étais pas contre qu'on fasse un bébé, je savais que ce n'était pas son choix pour maintenant, alors il valait mieux prendre des précautions. Mais en avait-il sur lui ? Je continuais tout de même mes baisers et mes mouvements tout en lui donnant de temps en temps des petits coups de bassin car je le voulais.
« Il a fait ça pour voir si tu étais de confiance, s'il comptait saisir la première occasion et faire n'importe quoi pour me faire rompre, il m'en aurait parlé avant que tu le fasses. Il aurait pu mentir si c'était vraiment son but mais il a vu qu'il c'était trompé et il n'a rien fait. » Si elle voulait croire cette version, c'était à sa guise mais moi, je savais parfaitement qu'il y avait comme anguille sous roche. « En quoi cela lui aurait servit de mentir ? J'aurai été là pour te prouver le contraire. Il attend juste le moment ou il pourra mieux m'enfoncer pour que tu me laisses. Et ça Elia... » Je désignais la photo que j'avais rangé dans la poche de ma veste d'un geste évident. « Je serais prêt à parier qu'il pourrait y être pour quelque chose. » Enfin, après la colère j'avais envie de fouetter d'autres chats et de tout oublier. Du moins passer à autre chose pour les cinq minutes à venir. « Enfin on a assez parlé de lui, je veux profiter de la fin de notre soirée avec toi. » Avec cette phrase là, les choses devenaient beaucoup plus intéressantes... (…) Derrière un arbre, l'on pouvait faire beaucoup de choses, surtout lorsqu'il était touffu, il rendait les choses intimes. J'avais inversé les positions de la jeune femme et moi-même, plaquant son bassin contre le mien, ses jambes entourant mes hanches, tandis que mon intimité batifolait avec la sienne et que l'une de mes mains caressait sa cuisse et son intimité sous le bout du tissu de sa robe. Malgré l'impatience et la maladresse de mes gestes face à la précipitation du moment, ma fiancée arrivait à déboutonner mon pantalon et la fermeture afin d'y introduire sa main dedans. Je grognais de plaisir en enfonçant mon nez dans son cou, humant son odeur, tandis que je tentais comme je pouvais de lui procurer du plaisir même si j'étais pris de tournis à cause du mien. « Tu as quelque chose dans ta poche ? » Hein ? Je relevais mon visage afin de croiser son regard. Comment caser le délire en cinq secondes. « Non... » répondis-je haletant car elle me privait de mon souffle. « J'ai arrêté de me trimballer avec des capotes depuis que je t'ai rencontré. » Oui j'avais the passé volage et je l'avais troqué pour elle depuis longtemps. « Tant pis non ? » demandais-je alors en retirant progressivement son sous-vêtement comme je pouvais le faisant glisser d'une cuisse à l'autre. « On fera ce qu'il faut plus tard.. sauf si tu ne veux plus. » On prenait un risque et j'en étais conscient mais peu m'importait les conséquences en fait et ça c'était le plus flippant. « On peut vraiment le faire cet enfant. » Un sourire peignait mes lèvres tandis que j'attendais juste son feu vert pour la pénétrer.
« En quoi cela lui aurait servit de mentir ? J'aurai été là pour te prouver le contraire. Il attend juste le moment ou il pourra mieux m'enfoncer pour que tu me laisses. Et ça Elia... » Il n'avait pas tord, mentir n'aurait servi à rien car Théo avait une bonne explication, mais mon meilleur ami n'était pas de ce genre là. Priape n'avait aucun intérêt à me faire rompre. Il n'aime pas Théo mais ça ne lui servira à rien de faire ça. Il n'avait aucune intention de me voler au winthrop, sauf que le jeune homme était persuadé de ça. « Je serais prêt à parier qu'il pourrait y être pour quelque chose. » Ah non, là c'était trop. Il ferait pas une telle chose alors qu'il risquerait de s'en prendre plein la gueule. Il se doutait bien que Théo irait lui foutre son poing dans la tronche s'il voyait cette photo. Priape était pas maso, enfin je crois. Je ne répondis pas, optant pour finir la soirée bien et laisser le sujet Priape Zacharias dans un coin. C'était notre bal, personne allait nous le voler comme ça. La preuve, à peine le sujet terminé on était en train de se bizouter contre un arbre, se caressant l'un l'autre et en arrivant jusqu'à se faire des bébés. J'avais envie de lui, mais je ne perdais pas la raison et lui demanda s'il possédait un préservatif. « Non... » « J'ai arrêté de me trimballer avec des capotes depuis que je t'ai rencontré. » Une question me brûla les lèvres. Durant notre séparation il avait fait ça avec d'autres filles, il avait bien du avoir des préservatifs, ou alors il ne s'était pas protégé ? Non il n'était pas aussi inconscient quand même et lui demander allait casser toute la chose. « Tant pis non ? » me dit-il en faisant glisser mon sous vêtement du bas. Vraiment un coquin celui ci. « On fera ce qu'il faut plus tard.. sauf si tu ne veux plus. » Si je voulais toujours et c'était pas la première fois qu'on oubliait de se protéger. Je pouvais toujours me procurer une pilule du lendemain pour ne rien craindre. Je hochais donc la tête pour approuver. « On peut vraiment le faire cet enfant. » Je stoppais le baiser que je lui donnais, le regardant un court instant. Vraiment ? demandais je toute sérieuse, croyant presque qu'il était sincère. Presque car une part de moi pensé que ça devait être une de ses blagues, une bien pourrie. J'irais à la pharmacie demain matin dis je entre ses lèvres tout en l'embrassant et resserrant mes jambes autour de sa taille pour qu'il soit encore plus proche de moi. Je plaquais un peu plus mes lèvres contre les siennes, tenant l'arrière de sa tête avec une de mes mains pour approfondir le baiser. Je sentis à cet instant qu'il me pénétra et je bougeais la tête en le sentant entrer. Une fois en moi, il donna des coups de bassin et je mordillais sa lèvre inférieure pour ensuite déposer des baisers dans son cou histoire de l'exciter un peu plus. Je soufflais sur sa peau tout en gémissant au rythme des coups qu'il donnait. Il allait doucement puis rapidement et selon la cadence, je gémissais un peu plus fort, bloquant mes lèvres contre son épaule pour qu'on n'entende pas mes bruits.
« Vraiment ? » Faire un mioche ou ne pas faire un mioche ? Telle était la question. La chose était que oui là, tout de suite, maintenant j'avais envie d'elle et que peu m'importait les conséquences et ça c'était certes, très inquiétant. Je lui jetais un regard rempli de désir tandis qu'un sourire coquin flottait sur mon visage alors que je lui retirais son sous-vêtement avec une délicatesse feinte. Ouais, j'avais envie de tout lui arracher mais bon j'allais pas non plus la faire pleurer car je lui avais déchirer sa superbe robe le soir du bal. « Pourquoi pas ? » Soyons fous, devenons parents ! Ou attendons encore des années... « Puis ça s'trouve je suis peut-être stérile et là, tu seras pas dans la merde. » disais-je alors plus pour elle que pour moi, riant dans ma barbe tandis que mon membre s'échappait progressivement de mon boxer face à sa positive attitude. « J'irais à la pharmacie demain matin » Entre trois baisers, j'arrivais alors à marmonner un : « Je...t'y...emmènerais...ou...pas » Ayant donc compris un certain feu vert, elle resserra ses jambes autour de mes hanches, plaquant encore plus ses lèvres contre les miennes, j'y vis là comme le départ à nos ébats plus poussés. Je la pénétrais alors rapidement sans crier gare, étouffant mes grognements de plaisir contre sa peau, l'embrassant comme je pouvais sur chaque centimètre de son épiderme. Mes mouvements de bassin se firent lents puis de plus en plus rapides, se coupant et revenant comme au départ, telle une vraie moto qui cherchait à faire gonfler le moteur. Puis quand le moment fatidique arriva à son comble, j'attendais avec impatience à ce que ma fiancée soit au même stade que moi avant de catapulter la sauce (en mode gore, soyons folles) et d'haleter, à bout de souffle. « Tu...es..toujours aussi merveilleuse Elia. » murmurais-je les lèvres posées contre sa tempe, tandis que je me détachais d'elle très lentement, la reposant au sol avec délicatesse bien que mes propres membres tremblaient et que j’essayais de me rhabiller, ainsi qu'elle, comme je pouvais. « Je sais pas si je vais avoir la gnaque de danser là. »
« Pourquoi pas ? » « Puis ça s'trouve je suis peut-être stérile et là, tu seras pas dans la merde. » Je fis une mine choquée tout en lui donnant une tape. C'était pas sympa de me sortir ça alors qu'il sait combien je veux un enfant et un de lui. Si lui ou moi étions stérile je serais anéanti. Je voulais porter notre enfant un jour. Un qu'on avait conçu ensemble, pas un adopté comme Matys. Stérile ou non, je ferais tout pour qu'on en est un. La fécondation invitro par exemple pouvait être une solution. Fin bon, je donnais mon accord pour qu'on fasse sans protection, le rassurant en disant que dès le lendemain matin j'irais à la pharmacie pour me procurer ce qu'il faut. « Je...t'y...emmènerais...ou...pas » Mon esprit y vit comme une proposition pour avoir un enfant. Oui foutu envie d'avoir un bébé que j'en devenais folle et que j'en comprenais n'importe quoi. Ou n'importe quoi que je voulais. Il entra en moi et on fit ce qu'il faut, ce que deux personnes qui s'aiment font quand elles brûlent de désir pour l'autre. Après quelques minutes ont arrivé au bout du tunnel et je sentais que le jeune homme allait craquer, tout comme moi. On termina en même temps et je lâchais un soulagement tout en soufflant car j'étais à bout de souffle. C'est qu'il m'avait épuisé le coco. Je me demandais comment on avait fait pour ne pas attirer l'attention vers nous et ne pas nous faire griller par des étudiants qui passeraient par là. Ou pire par des profs. « Tu...es..toujours aussi merveilleuse Elia. » Un sourire se dessina sur mes lèvres alors que mes pieds retrouvaient le sol. Mes jambes tremblaient suite à ce que je venais de vivre mais aussi à force d'être restées autour de la taille du jeune homme. Je t'aime soufflais je à son oreille alors que je déposais un tendre baiser sur sa joue puis un autre sur ses lèvres. Un court mais un sincère et qui en disait long sur mes émotions. « Je sais pas si je vais avoir la gnaque de danser là. » Je riais tout en me baissant pour remettre mon sous vêtement du bas et ainsi me r'habiller du genre ni vu ni connu. Tu n'as pas le choix mon amour. Je la voulais cette danse. Une danse en amoureux, aux yeux de tous. Je passais mes mains dans mes cheveux de façon légère afin de remettre les mèches qui avaient du s'échapper de mon chignon. Il fallait pas que j'ai l'air d'une folle, on se poserait trop de questions et j'avais pas envie de crier que je venais de faire l'amour dans un coin de la terrasse au loin. Je peux te poser une question ? Je glissais mes mains dans les siennes tout en le regardant. T'as changé d'avis pour.. ? Je terminais pas ma phrase, plaçant juste mes mains sur mon ventre pour lui faire comprendre que je parlais d'un futur enfant. Il avait fait quelques remarques me laissant croire qu'il était prêt mais je ne voulais pas me bercer d'illusions. Je préférais savoir que croire bêtement du faux.
« Je t'aime » Un sourire se dessina sur mes lèvres à l'écoute de ces paroles que j’affectionnais tant. Encore tremblant après ce qu'il venait de se passer entre nous, j'avais un peu les pensées qui se bousculaient dans ma tête et qui formaient une incohérence brutale. Mais je m'en fichais, tout ce qui m'importait était que c'était avec moi que la jeune femme avait choisi de vivre ce moment et la photo que l'on m'avait filé n'était à présent qu'un vaste souvenir. Non faux, elle était encore bien présente dans mon esprit mais je planais encore beaucoup pour le coup, bien que je ne savais pas si j'allais pouvoir être apte à danser comme elle le souhaitait ou pas. « Tu n'as pas le choix mon amour. » Je lui avais en effet promis et même si le fait qu'elle danse avec sa cousine ne me dérangeait pas, j'aimais bien l'idée d'être son tout premier cavalier pour ce premier bal que nous passions ensemble. « Bien...Je ferais des efforts, chérie. » dis-je alors avec une voix moqueuse alors que j'avais à peine la force d'aligner un pas devant l'autre. Terminant alors de ranger ma chemise dans mon pantalon, qui se retrouvais à présent froissée, je fus subitement pris au dépourvu par sa question. « Je peux te poser une question ? » Je fronçais les sourcils tandis que je sentais ses mains se joindre aux miennes. « Je t'écoute. » disais-je alors d'une voix pleine d'assurance, attendant la suite. « T'as changé d'avis pour.. ? » Mon regard ancré dans le sien, il se détacha néanmoins afin d'observer ce qu'elle voulait bien me montrer ayant juste prononcé une phrase énigmatique. Quand mon regard se posa donc sur son ventre, je pâlissais un peu, me rendant compte de plein fouet comme l'impact d'une baffe en pleine figure, de ce que nous venions de faire. Sans protection et moi l'encourageant à faire un enfant. « Euuh, oui ? » Merde. Le mensonge n'était pas beau mais je ne voulais pas lui gâcher sa soirée. Putain le con, dans quel merdier je venais de me fourrer ? « J'veux dire ça viendra quand ça viendra, je l'accepterais avec plaisir, normal, j'veux dire ce sera mon enfant, j'en serais que plus heureux de l'avoir avec toi mais...Fin j'veux dire je le cherche pas non plus tout de suite, tu comprends ? » tentais-je de me rattraper même si j'avais plus l'impression de m'enfoncer qu'autre chose. Trop de j'veux dire, vous voyez ? « Je ne sais pas si je m'explique...tu es vachement jeune encore ça viendra et quand ce sera le cas, je serais l'homme le plus heureux de la planète. » En gros, je veux un enfant de toi, mais attendons. Fin je voyais les choses comme ça. Si seulement je savais ce que je ne sais pas encore... « Viens, je t'emmène danser Cendrillon. » dis-je alors en lui prenant la main, après être sûr qu'elle s'était rhabillée correctement elle aussi, nous dirigeant ensuite de nouveau vers la salle du bal et plus précisément sur la piste, là où j'enroulais mes mains autour de sa taille.
Je ne lui laissais pas le choix, je voulais ma danse et je voulais qu'il soit mon premier partenaire de danse pour ce premier bal en couple. Il accepta même s'il me laissait comprendre qu'il espérait que j'oublie et qu'il n'ait pas l'occasion de me donner cette danse. C'était pas son fort mais je demandais pas qu'on reste sur la piste de danse pendant plusieurs chansons. Je voulais au moins en avoir une, ce qui n'était pas trop demandé. Puis j'avais osé lui demander s'il avait changé d'avis pour un futur bébé avec moi. Je voulais pas me tromper et croire n'importe quoi, je préférais une réponse claire et nette. « Euuh, oui ? » Je sentais que c'était pas un oui sincère. Je haussais donc un sourcil l'air de dire "tu te moques de moi ?" « J'veux dire ça viendra quand ça viendra, je l'accepterais avec plaisir, normal, j'veux dire ce sera mon enfant, j'en serais que plus heureux de l'avoir avec toi mais...Fin j'veux dire je le cherche pas non plus tout de suite, tu comprends ? » Non seulement il était pas à jeun donc l'alcool devait pas l'aider à bien trouver ses mots ni à exprimer son ressenti sans me blesser, car il savait que ça comptait pour moi, mais en plus je le sentais gêné alors ça aidait pas et il s'embrouillait lui même presque. Cependant, je voulais la vérité, j'étais pas prête à lui faire un enfant dans le dos pour me contenter moi, ni qu'il se force pour me faire plaisir. Je voulais que ça soit notre choix à nous. « Je ne sais pas si je m'explique...tu es vachement jeune encore ça viendra et quand ce sera le cas, je serais l'homme le plus heureux de la planète. » Il parlait pour moi ou pour lui concernant le vachement jeune ? Car pour moi je me trouvais pas si jeune que ça. C'était dans la limite du correct à deux ans près puisque j'avais désormais 24 ans et que je considérais 26 ou 27 ans comme un bon moment pour faire un enfant, car c'est à ce moment là qu'on a une assez bonne situation généralement. Je te comprends et je veux pas t'y pousser à tout prix, je voulais être sûre de pas mal comprendre tes propos.. Mais je préfère que tu sois honnête, si tu n'es pas prêt, si tu n'en veux pas un maintenant, dit le moi, ne prend pas de gant. Je veux pas tu te sente piégé pour me faire plaisir et que toi tu sois malheureux si ça arrive. Je voyais déjà qu'il déprime car je suis enceinte, voyant que sa vie va changer, qu'il pourra plus autant sortir car il aura des responsabilités. car il devra s'occuper de son enfant et pas me laisser la garde pendant qu'il sort avec des potes. Non je voulais qu'il en veuille un, tout comme j'en voulais un déjà. « Viens, je t'emmène danser Cendrillon. » Je le suivais tout sourire sur la piste de danse. Mettant mes bras autour de son cou, je plongeais mon regard dans ses yeux verts. J'aurais aimé que ce moment ce stop, que les gens autour de nous se figent et que nous soyons les seuls à danser. Que l'on se rendent pas compte que les minutes seraient devenues des heures. Un peu comme dans percy jackson quand ils sont dans la boîte de nuit depuis 3 jours alors qu'ils pensent y être depuis 15 minutes. Voilà c'était ça que j'aurais voulu. Je penchais ma tête sur son épaule après quelques secondes, tournant mon visage contre son cou. Je t'aime murmurais je à son oreille alors qu'on continuait de tourner sur les pas de la musique. & je resserrais mon étreinte autour de son cou afin de l'approcher un peu plus de moi. Ce moment était juste parfait pour un tel petit mot si significatif. La musique termina bien trop vite à mon goût et tandis que je me détachais de lui je déposais un baiser sur ses lèvres avant de faire une petite moue triste et déçue. C'était trop court râlais je un peu. Mais il m'avait donné ma danse au moins. Allez je te libère, on va au bar si tu veux ? Je ne souhaitais pas très bien retourner à notre table maintenant, j'y retournerais lors de la remise des prix au pire. Je glissais ma main dans la sienne pour qu'on quitte la piste de danse, l'entrainant avec moi vers le bar. On avait eut un bon moment intime ensemble mais j'étais pas contre de partager un autre instant que tous les deux, à discuter et boire quelques verres.
« Je te comprends et je veux pas t'y pousser à tout prix, je voulais être sûre de pas mal comprendre tes propos.. Mais je préfère que tu sois honnête, si tu n'es pas prêt, si tu n'en veux pas un maintenant, dit le moi, ne prend pas de gant. Je veux pas tu te sente piégé pour me faire plaisir et que toi tu sois malheureux si ça arrive. » Je penchais mon visage sur le côté afin de l'observer sous un meilleur angle, mon torse se soulevant encore difficilement après ce que nous venions de faire. « Attends...C'est trop pour mon cerveau d'un coup mon cœur, je suis mort. » Un sourire se peigna sur mon visage tandis que je me passais une main sur le visage. Comment allais-je pouvoir assurer le reste de la soirée moi à présent ? Je posais néanmoins une main sur chacun de ses bras, la forçant à me faire face. « Je veux que tu comprennes que je ne serais jamais malheureux si jamais une telle chose arrive. Ce que je dis juste c'est que...Ouais, je veux un enfant. Mais là avec le mariage, mes gardes et notre nouvel appartement. On enchaîne vraiment tout. » Je caressais alors sa joue parlant d'une voix distraite. « Ça viendra. Si demain tu es enceinte, ok super je t'assure. Mais si tu l'es dans deux mois, c'est mieux aussi. » Qui essayais-je de convaincre ? Moi ou elle ? Aucune idée. Je nous ramenais ensuite sur la piste, enserrant mes bras autour de la taille de la jeune femme avec un grand sourire, aux anges. Je ne savais pas danser mais pour elle, je faisais des efforts. « Je t'aime. » Un nouveau sourire plus grand que le précèdent s'installa sur ma face tandis qu'un frisson parcourait l'échine du bas de mon dos. Cette femme me rendait fou. Je ne répondais rien, resserrant juste la pression de mes bras autour de sa taille. Lorsque la musique s'arrêta finalement, elle déposa un mince baiser sur mes lèvres. « C'était trop court. Allez je te libère, on va au bar si tu veux ? » Elle m’entraîna alors vers le bar sans me laisser le temps de riposter et m'arrêtant net, je ne la laissais pas franchir la fin de la piste de danse. Sa main dans la mienne, je tirais dessus pour que, séparés par la distance, la jeune femme soit freinée dans son attention et ne tombe dans mes bras, se sentant projetée en arrière. Et tel fut le cas. Elle me tomba dans les bras et un sourire charmeur s'installa sur mon visage. « Salut. » disais-je avec une voix dragueuse en abaissant la tête afin de l'observer pour voir sa réaction après l'avoir fait chuter contre moi. « Qui a dit que la danse était finie ? Pas moi. » Je l'aidais à se remettre sur ses talons, amenant une nouvelle fois ses mains autour de mon cou, descendant les miennes que je joignais sur son postérieur comme pour signifier qu'il était à moi. J'aimais bien la sentir près de moi comme ça. « Bon alors...combien de filles t'ont dis qu'elles t'enviaient pour ta beauté ce soir ? » demandais-je en regardant par-dessus sa tête d'un air absent et énigmatique comme moi seul en avait le secret.
Je voulais être clair et éviter les quiproquos, c'est pourquoi je lui demandais de me dire clairement qu'il ne voulait pas d'enfants, je ne le prendrais pas mal, je voulais juste la vérité, savoir ce qu'il souhaitait ou non, même si ça ne correspond pas avec mes envies. « Je veux que tu comprennes que je ne serais jamais malheureux si jamais une telle chose arrive. Ce que je dis juste c'est que...Ouais, je veux un enfant. Mais là avec le mariage, mes gardes et notre nouvel appartement. On enchaîne vraiment tout. » « Ça viendra. Si demain tu es enceinte, ok super je t'assure. Mais si tu l'es dans deux mois, c'est mieux aussi. » Je comprenais où il voulait en venir, c'était trop d'un coup pour lui et il préférait attendre un peu même s'il serait pas déçu que cet enfant arrive sous peu. Je répondais rien, pensant juste que je pouvais attendre encore quelques mois voir quelques années, bien que la vie est courte et que ça peut être trop tard dans quelques mois. On retourna ensuite à l'intérieur mais sur la piste de danse au lieu de notre table. Il m'offrit une danse et comme c'était déjà bien, je ne voulais pas plus le forcer à danser sur une autre chanson. Je lui proposais ainsi qu'on aille au bar et je l'entrainais sans attendre sa réponse, ne pensant pas qu'il voudrait rester sur la piste. Je pensais qu'il aurait été content de rejoindre le bar car ça l'intéressait surement plus. Sauf que je sentis mon bras se tendre et comme si on me bloquait. Il s'était stoppé et il m'avait ainsi entrainé à m'arrêter pour ensuite me tirer vers lui. Pas fort mais j'en perdis l'équilibre ne m'y attendant pas. Je tombais alors dans ses bras, son visage au dessus du mien et de mon corps. « Salut. » « Qui a dit que la danse était finie ? Pas moi. » Il voulait encore danser ? Je fis un grand sourire en mode colgate, heureuse qu'il veuille partager une autre danse avec moi sans que je le force pour le coup. Il voulait me faire plaisir et j'appréciais. C'était un amour. En me redressant je déposais un baiser sur ses lèvres pendant quelques secondes, le laissant reposer mes bras autour de son cou et sentant ses mains sur mes fesses, je chuchotais à son oreille. Coquin. On bougeait au rythme de la musique, tournant en rond. « Bon alors...combien de filles t'ont dis qu'elles t'enviaient pour ta beauté ce soir ? » Je levais les yeux au ciel avec un sourire. Aucune, mais on m'a dit que j'étais superbe. On avait rien à m'envier, j'étais juste moi et y en avait des toutes aussi belles, même plus encore. & chacune était belle à sa façon. Par contre je suis certaine qu'on doit m'envier d'avoir un aussi beau cavalier et fiancé. Ca j'étais prête à parier ma vie dessus que je devais faire des jalouses. Il était magnifique et dans son costard encore plus. Plusieurs devaient être prête à échanger leur partenaire pour le mien, mais pas question. Me détachant de lui, je gardais une main dans la sienne et je tournais sur moi même alors qu'il avait son bras au dessus de ma tête. Merci de m'offrir une autre danse mon chéri. & un autre petit baiser sur ses lèvres toutes douces et parfaites.
Ma fiancée avait eut envie de couper court à la danse, sûrement car elle pensait que je subissais une grave obligation et que le bar m'attirait bien plus. Ok, elle n'avait pas tord mais je savais faire des concessions, surtout après ce que nous avions fait contre un arbre, juste avant...J'avais besoin de me changer les idées et quoi de mieux que de le faire dans ses bras ? L'attirant donc à nouveau vers moi alors qu'elle avait voulu partir, elle tomba dans mes bras et je la rattrapais comme un prince charmant, sans aucune difficultés. Joignant ses mains autour de mon cou, je joignais les miennes sur son postérieur, ce qui me valut un ''coquin'' bien placé et ce qui attira un sourire sur mes lèvres. Mais moi je ne faisais que toucher ce qui m'appartenais après tout, je ne faisais rien de mal. « Aucune, mais on m'a dit que j'étais superbe. » J'abaissais mon regard afin de la fixer avec des yeux de biche. « Ce qu'on t'as dit est vrai. » Je marquais une pause, songeant à ses copines avant de perdre mon sourire. « Si c'est un mec qui t'as sortit ça par contre, j'irais lui coller mon poing, tu permets... » Fallait que je cesse d'être jaloux et possessif moi, j'allais finir par en tomber malade. « Par contre je suis certaine qu'on doit m'envier d'avoir un aussi beau cavalier et fiancé. » Je levais les yeux au ciel. J'étais colérique et super impulsif et j'avais cogné son meilleur ami devant plein de gens. Sur qu'on me prenait pour un fou furieux. « Si tu le dis. » Je n'allais pas la contrarié non plus et le charmant sourire qui s'affichait sur mon visage ne devait que lui plaire. « Merci de m'offrir une autre danse mon chéri. » J'haussais les épaules, elle se faisait des pirouettes à elle toute seule, c'était charmant à voir. « Je t'en prie... » Et ça me faisais plaisir...Mais là, là j'avais soif. « Viens on va se boire un truc...faut digérer pas mal de trucs et se...reposer surtout. » lui disais-je ensuite en lui faisant un clin d’œil, gardant sa main dans la mienne pour nous diriger jusqu'au bar...