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ALEKHAR ✱ do you hate me?

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Quand je pense que Tim m'avait assuré que Zakhar, c'était un con avant que je ne parte pour Toronto. Quand je pense que Leevy avait presque réussi a me convaincre d'abandonner, de lâcher l'affaire. Je savais qu'ils voulaient mon bonheur mais, je n'avais pas envie de lâcher, de tourner la page. J'avais envie d'y croire, d'écouter mon cœur et non ma tête. Ça n'allait sûrement pas plaire, ni de son côté, ni du mien. Surtout du sien parce que même si Alex n'était pas favorable, je savais qu'il voulait mon bonheur. Quant à Briony, elle attendait que ça et c'est grâce a elle que je n'avais jamais baissé les bras. Maelys attendait que ça évidemment et j'étais certaine que May et Mattheo seraient tout autant heureux. Et puis en y réfléchissant bien, je m'en foutais pas mal de ce que pensait les autres. Mon bonheur comptait, pour une fois. Et celui de Zakhar aussi. Le notre voilà tout. J'étais bien, j'avais envie de partager ce sentiment avec lui, de le retrouver et cette fois-ci, il était lui-même et non un fantôme ivre qui ne savait pas vraiment ce qu'il faisait au final. Là au moins, je savais qu'il allait pas se tirer comme un voleur, regretter son acte et puis, c'était officiel maintenant. Sa main contre ma joue, je penchais légèrement la tête pour l'embrasser avant de reporter mon regard sur son magnifique sourire. Comme quoi parfois, il n'est pas ce gars froid, mystérieux et distant. Je l'aime bien ce Zakhar, j'aime son sourire innocent et sincère. Parfaite ? Je n'irais pas juste là mais, ça fait plaisir à entendre. J'ai enchainé les conneries, je l'ai blessé involontairement et il arrive encore a dire que je suis parfaite. Comme quoi c'est vraiment lui qu'il me faut et pas un autre. Il m'accepte et m'aime avec mes défauts aussi nombreux soient-ils. Moi aussi je l'accepte comme il est même si ses défauts sont moindres et pour la plupart des qualités a mes yeux. J'aime bien les hommes qui ont du caractère. Je voudrais pas d'un gars qui se laisse faire, qu'on entend pas et qui n'a pas d'avis en réalité c'est lui ou personne en quelque sorte. Il s'accroche a mes lèvres de nouveau et je n'ai plus envie de les quitter. Mes mains glissent le long de ses épaules pour venir se poser sur son torse. Je m'active pour défaire les boutons de sa chemise les uns après les autres avant de bouger légèrement pour dégager les bras des bretelles de ma robe. Ma respiration s'accélère pourtant, j'ai le souffle court, très court et ça, c'est uniquement de sa faute et aussi parce que j'ai du mal à me détacher de ses lèvres.
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Je ne contrôlais plus rien, j'avais l'impression de sortir complètement de mon corps, que je n'étais plus qu'un spectateur extérieur de la scène. Mon sang battait dans mes veines, réchauffant chaque partie de mon corps et une plus particulièrement.. j'étais ailleurs, aux anges pour faire simple. Alexys était à moi, il n'y avait plus que nous, tout semblait être clair entre nous. Je me sentais tellement léger ce soir, une aubaine que la vice-présidente est accepté d'être ma petite amie.. ! On avait assez tourné autour du pot, on avait aussi assez souffert tout les deux.. il était normal que je lui redonne une chance, je ne voyais pas d'autre solution. J'aimais cette fille, plus que n'importe qui ici.. je n'avais pas le droit de tout gâcher à cause de ma fierté et de mon sale caractère. J’ôtais la jolie robe de Alexys pendant qu'elle déboutonnait habilement ma chemise.. j'avais l'impression que c'était une évidence entre nous, les gestes étaient fluide. Je connaissais son corps comme personne, son odeur, ce qu'elle aimait.. j'étais heureux de la retrouver, de la toucher. Je faisais rouler mes bisous dans son cou pour finir dans son décolleté.. une de mes mains venait dégrafer habilement le soutien-gorge de la jeune Mather. Je me pinçais la lèvre inférieur à la vu de ce magnifique spectacle.. le clou de la soirée, la cerise sur le gâteau. Je souriais tel un enfant de quinze ans.. avant de faire tomber son soutien-gorge au sol, elle se retrouvait rapidement en petit shorty devant moi.. j'étais incontrôlable, j'embrassais avidement sa délicieuse poitrine avant d'avoir fait tomber ma chemise un peu plus loin dans la chambre. Je commençais concrètement à avoir chaud et la présence de Alexys n'arrangeait rien du tout.
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Comme quoi parfois, il ne fallait écouter rien ni personne d'autre, juste son cœur. Il ne fallait jamais baisser les bras, abandonner mais bel et bien croire en ses rêves. Car oui, je pense que le fait de sortir officiellement avec Zakhar, c'était un peu comme un rêve a mes yeux. Je m'attendais pas à cela, c'est le genre de chose qu'on rêve la nuit, on ne pense pas que ça va se réaliser et pourtant, c'était bel et bien le cas. Je sortais avec Zakhar et c'est bien la première fois car même si je l'aimais depuis une éternité déjà, on avait jamais rien officialiser parce que c'était compliqué entre nous et puis, il y avait nos confréries ennemies également. Mais a vrai dire maintenant, j'en avais plus rien a faire. Le regard des autres m'avait jamais trop importé et aujourd'hui encore moins parce que comme il le disait si bien, il fallait que je profite un peu, que je m'occupe de moi, de ce que je veux, de mon bonheur au lieu de materner tout le monde. Alors si ce que je voulais c'était Zakhar, j'allais l'avoir et j'allais être heure un petit peu. Il fit glisser ma robe et je la repousser en bougeant légèrement mes jambes et mes pieds pour m'en débarrasser alors qu'il commençait a faire une chaleur a crever ici. Ses baisers descendirent finalement dans mon décolleté tandis qu'un frisson électrique parcourait mon corps de la tête aux orteils. Y avait vraiment que lui qui pouvait me procurer une telle décharge. J'avais l'impression d'être bien loin de la réalité, a des milliers de kilomètres de tout et tout le monde. Il y avait juste nous et ses baisers qui me coupaient le souffle. En moins de deux, mon soutien gorge avait disparu sur le sol, ainsi que sa chemise qui le rejoint très rapidement. Alors que mon corps tout entier se raidit, allant à sa rencontre naturellement, comme s'il n'attendait qu'une chose, comme s'ils se connaissaient trop bien, qu'ils se désiraient l'un et l'autre, je fermais les yeux savourant chacun de ses baisers alors que mes mains descendaient sur son torse puis plus bas, allant jusqu'à attraper brusquement le bouton de son pantalon de costard.
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