STILL CARE OF YOU. (macsen)

Je me suis laisser entraîner par tout et n'importe quoi, les flirtes avec n'importe qui, les jeux de séductions, j'ai besoin de ne penser qu'à moi. Je me sent un peu torturer par mon envie d'être avec Kyla, bien que j'ai tout briser entre nous, je pense dur comme fer pouvoir recoller les morceaux. Mais entre-temps, je suis attiré par mille et une personnes qui m'apporter de l'intention. Et ma plus grande tentation à toujours était : Macsen. Lui était le meilleur ami de Chrissy, je n'ai jamais rien pu tenter, mais est-ce un signe de la vie que de le mettre sur mon chemin, alors que je traverse le parc ? Plus de Chrissy à l'horizon, plus d'Andrea, plus rien qui nous empêcherais de prolonger se baiser voler pendant le Spring Breaks. Je lui adresse un sourire, tandis qu'il fait son jogging. Je venais de finir un interview dans le café d'en face et traverser le parc par pure hasard, j'aurais pu prendre un taxi et être à Harvard à cette heure-ci, mais quelque chose me disait que traverser ce bout de forêt pourrais mettre bénéfique, et j'avais raison. Et le destin était avec moi. « C'est juste pour attirer les filles que tu cours, ou tu as pour but de devenir la prochaine égérie de Calvin Klein ? » dis-je en gloussant, tout en le stoppant dans sa course. Je lui adresse un sourire charmeur. « ça fait longtemps. »

Depuis le départ de Chrissy, je ne prenais plus vraiment soin de moi. Je passais le plus clair de mon temps à réviser pour les examens finaux qui sont maintenant fini et à me morfondre sur ma situation sentimentale qui n’est plus qu’une merde ambulante. Je sais qu’elle n’a pas choisi de partir et pourtant, je lui en voulais d’être parti sans me le dire alors que tout allait pour le mieux entre nous. Je me demandais même si elle avait retrouvé totalement la mémoire aujourd’hui, si elle se souvenait de moi… Je ne devais pas penser à cela et faire comme je me l’étais dis, redevenir comme avant. L’amour était clairement pas fait pour s’accorder avec moi, alors autant que je ne m’en approche pas trop. Je disais cela et pourtant, il y avait Ashe qui me perturbait à cause de sa ressemblance avec Chrissy… Et puis, j’étais plus faible maintenant… C’est ce qui me faisait le plus peur maintenant. Je devais arrêter de penser, c’est pour cela que je courais en plus de vouloir me remettre en forme. Mais ces pensées ne voulaient pas partir, comme s’il fallait que je réfléchisse simplement. Et le fait de me retrouver maintenant en face d’Alaska ne pouvait que me troubler encore plus, surtout quand je repense à ce baiser échanger durant le SB. Ma vie est clairement trop compliquée pour que cela fonctionne comme je le voudrais. J’ai besoin de me remettre en forme, je me suis trop laissé aller. dis-je en souriant légèrement. C’est vrai que le jogging est un bon moyen de rencontrer du monde mais ce n’était pas mon but du moment. C’est vrai que cela fait un petit moment, comment vas-tu ? dis-je en ressuyant la sueur qui coulait de mon front avec ma serviette.

C'était à la fois perturbant et fantastique. La dernière que nous nous sommes vu, il était fou amoureux de Chrissy et persuadé qu'elle quitterait tout pour lui. Elle l'aurait fait, j'en suis sûre, c'était de ce genre-là. Quant à moi, je repensait sans cesse au "et si" qui aurait pu se passer entre Macsen et moi ce soir-là. J'étais nue, dans l'eau. Et on s'est embrassé, et si on avait fait plus ? Et si on n'avait pas laissé nos vieux démons nous ronger ? Et si on ne se laisser pas consumer par ses spectres qui nous agacent la vie ? Et si on penser à nous, juste à nous, est-ce qu'on aurait rentré quelque chose. « C'est sûr que tu dois enlever une tonne de bourrelle ! » dis-je en gloussant, il était magnifiquement bien battit, un beau bonhomme qui a tout ce qu'il faut là ou il faut. Comment je vais ? « J'ai fêter mon anniversaire, à Végas, des choses dingues arrivent et je suis marié par accident. La procédure de divorce est plus longue que prévue, mais je compte bien redevenir Alaska Harrison. Et toi ? La fin du Spring Breaks ? Le bal ? Les amours ? » dis-je d'une voix interrogative. Tandis que je remettais une mèche derrière mon oreille. Oh oui, j'adorais les Florès, mais rester Alaska Harrison-Florès était comme obliger Coco Chanel à rajouter le nom de son amant, on ne touche pas au nom célèbre, et je devais exister pour moi, pas pour être la femme par accident après trop de tequila de Sam.

Ma relation avec Alaska était compliquée, je le savais depuis que je la connaissais. On se cherchait beaucoup sans pour autant tenter quelque chose. On aurait clairement pu faire quelque chose au SB, on était nu après tout. Mais rien ne s’est fait. Je ne pus m’empêcher de rire quand elle me dit que j’avais du gras à perdre. J’ai juste perdu un peu de muscle, faut juste que je m’y remette pour que tout redevienne comme avant. dis-je en tapotant mon ventre, mon sourire toujours aux lèvres alors que cela faisait un moment que j’avais du mal à l’afficher. J’arque un sourcil quand elle me dit qu’elle s’est mariée par accident à Vegas, ce n’est pas la première fois que j’entendais cela depuis que je suis aux Etats-Unis, soit depuis toujours. L’alcool fait parfois des erreurs. dis-je avec un sourire au coin. Elle avait été naïve pourtant maintenant elle est loin de l’être. Elle finit par me poser plein de question curieuse de mon état moral j’imagine, elle était l’amie de Chrissy après tout. Je préfère pas y penser, Chrissy est partie et je n’ai pas spécialement envie de retourner dans une histoire vouée à l’échec comme je l’ai vécu avec Chrissy. dis-je avec un léger sourire. Je ne voulais pas retomber amoureux ou même me mettre dans une relation. Je vais tout simplement profiter au maximum en m’occupant de mes amis et de ma filleule que je n’ai pas eu le temps de connaître à cause de toute cette merde dans ma vie. Et toi ? A part ce mariage imprévu et ton idée de divorcer ? dis-je en m’avançant vers un banc pour m’installer laissant la serviette reposer sur ma tête.

Si on devait donner un nom à notre relation, ce serait "Et si". Peut être que c'est voué à l'échec aussi, que le destin se joue de nous. Mais ma naïveté me rappel que le destin ne fait jamais rien sans raison, et que si Macsen revenait toujours sur mon chemin alors que je ne m'y attend pas, c'est qu'il y a une raison. Il tape sur son ventre, et je reste bloquer un quart de seconde sur ses abdominaux. Seigneur, même à travers son tee-shirt, ils ont l'air parfait. J'avale ma salive et revient à la terre ferme. « Parfois, je pense à faire du sport aussi, et je me rappel que je déteste transpirer. Enfin, si j'aime transpirer quand c'est pour une raison valable. » Est-ce que je parle de sex ? est-ce que je parle OUVERTEMENT de sex, en gloussant bêtement, je deviens rouge et reprend mes esprits. « J'suis une Anglaise, un anniversaire à Végas, c'était inévitable, c'est comme un rêve quand même. Fête ça sous les néons des faux Elvis et des Marilyne Monroe qui sont star le jour et prostituée la nuit. » dis-je en riant, bien que le mariage aurait pu être évité, mais j'en avais envie, c'était comme prendre ma revanche sur les gens qui me destiné à vivre seule avec 18 chats qui ont des nom de séries télé. On parle de Chrissy, inévitablement. « Notre amitié s'est perdue entre le fait qu'elle ne me dise pas qu'elle est sortie avec Priam, a tromper Priam et les cachoteries, tu sais nous les filles on a un girl code, et quand on brise plusieurs règle, on finit par se dire que c'est plus la peine. Je n'ai pas souffert de son départ, ni même de sa perte de mémoire, je me suis dis que ça nous permettrais de retrouver une stabilisé, mais elle est partit avant qu'on puisse faire quoi que ce soit. » Si un jour, elle revient, je m'excuserais de tous les pensers malsains que j'ai actuellement pour Macsen, et toutes les fringues à elle que j'ai gardée, si d'ici là elle sait qui je suis. « Je pense que le mariage c'est déjà beaucoup. J'étais partit pour manger un truc, tu veux te joindre à moi?  »

Quand je vous dis qu’elle n’est plus la petite fille naïve et timide que j’ai connu, c’est qu’elle ne l’est vraiment plus. Elle n’aurait sûrement pas faire d’allusion sexuelle comme elle venait de le faire. J’eus un sourire aux lèvres en voyant ses joues devenir rouge. Le sport donne plus d’endurance, il faut transpirer beaucoup pour pouvoir transpirer plus longtemps durant des moments plus intéressant. dis-je avec un sourire au coin avant de lui faire un clin d’œil. J’arque un sourcil quand elle me dit que c’était inévitable qu’elle fasse son anniversaire à Vegas parce qu’elle était anglaise, cela voulait dire que tous les anglais faisaient cela ? Genre, tous les anglais vont fêter leur anniversaire à Vegas avec Marilyn Monroe et Elvis ? Eh bien, c’est … étrange. dis-je en haussant les épaules. Le sujet changea rapidement puisqu’on parle de moi, de moi et de Chrissy bien sûr. Elle revient à chaque fois dans la conversation, elle me hante inévitablement. J’approuvais de la tête en l’écoutant raconter son histoire avec Chrissy. Je ne savais pas qu’elles s’étaient éloignées toutes les deux, mais de toute façon, on n’avait plus besoin d’y penser n’est ce pas ? Le girls code oblige… Enfin, on n’a plus besoin d’y penser puisqu’elle n’est plus là de toute façon. Autant tourner la page. dis-je en haussant les épaules une nouvelle fois. C’était plus facile à dire qu’à faire, j’en avais totalement conscience. Je ne sentais pas spécialement bon, mais je pouvais bien manger un truc avec elle. Je ne suis pas vraiment présentable pour aller manger au restaurant avec toi, mais je peux passer rapidement chez moi me changer et te rejoindre quelque part. dis-je en prenant ma serviette pour la mettre en boule dans mes mains.

Je baisse les yeux, les joues rouges, je pensais qu'il n'avait pas entendu, mais visiblement si. Il me répond avec le même style de référence, et je lui adresse un grand sourire tandis qu'il me fait un clin d'oeil, pas discret. « C'est que tu dois être endurant. » dis-je pour finir, qui aurait dit un jour que je serais capable de faire des blagues salaces sans rires aux éclats, ou devenir rouge tomate ? Bon, ce n'est pas tout à fait gagner, mais je vais finir par y arriver un jour. ça l'étonne un peu que j'ai insister pour fête mon anniversaire à Végas, quand on est anglais, on rêve d'une grosse fête à l'américaine, et c'était l'équivalent pour moi: une grosse fête avec ceux que j'aime à Végas. « J'aime l'idée moi. Après la plupart des Anglais sont un peu cul-cul, donc forcement ils rêvent d'un dîner avec la reine et boire du thé, tu sais ses trucs basique. » dis-je en remettant une mèche derrière mon oreille. On ouvre le sujet Chrissy, mais à ma grande surprise, on le referme aussitôt. C'est comme si on avait plus besoin de faire le tour de la question, on avait notre avis, on est, tous les deux, déçus et on ne voulait plus en parler, je secoue positivement la tête. « Je suis d'accord, si tu es d'accord. » je l'invite, mais il semble gêner. Aaaah, oui la transpiration. Ce n'est pas comme si j'allais dans des hôtels de lux pour déjeuner, quoi que là, si je voulais prendre un brunch donc forcement hôtel chic. Mais je comprends, et je décide de changer mes plans. « Et bien je te donne rendez-vous chez moi, plutôt ? J'ai déménagé de la DH, pour vivre en centre-ville. J'te ferais des pancakes à la Alaska. » dis-je en gloussant, j'arrache un morceau de papier de mon agenda et y gribouille mon adresse avant de lui tendre le papier.

La petite Alaska était devenu grande maintenant, je pouvais lui parler de sexe sans qu’elle ne bégaie… Bon, elle rougit toujours mais cela lui donne un petit côté adorable qui la définit parfaitement. Est-ce que je suis si endurant que cela ? Peut-être. dis-je avec un sourire au coin moqueur. On finit par parler des anglais et de leur désir de faire une soirée d’anniversaire à Vegas. C’était quelque peu bizarre, mais d’après elle c’était le cas des anglais et comme je suis américain, je n’ai pas la même vision des choses. Je ne pus m’empêcher de rire en imaginant des français boire le thé avec la reine dans une tasse avec des chats dessus… Oui, j’avoue j’ai regardé Harry Potter, il n’y a pas longtemps. Ils sont marrants les anglais, pourtant on m’a dit que les anglaises étaient plutôt très ouvertes. dis-je en reposant mon dos contre le dossier du banc. Elles ont la réputation d’être chaude et de perdre leur virginité très tôt. Le sujet de Chrissy passa rapidement et c’était tant mieux, je ne voulais pas en parler. J’en avais marre de toujours parler d’elle tout le temps, je pensais déjà tout le temps à elle, cela faisait de trop après. Elle me propose alors d’aller manger avec elle, cela me ferait plaisir en effet. Mais j’étais complètement trempé de sueur et l’odeur ne doit pas être non plus très accueillante. Je me voyais mal aller dans un restaurant ainsi vêtu et puant en plus de cela. Elle finit par changer ses plans, il fallait que je la rejoigne chez elle après m’être lavé. J’ai hâte de pouvoir goûter à tes pancakes alors. Je te rejoins dès que j’ai fini de me préparer, je ne vais pas mettre trop longtemps. dis-je en prenant le bout de papier qu’elle me tendait. Je me lève alors et dépose un baiser sur le haut de sa tête. Je te rejoins chez toi dans une heure. dis-je en souriant avant de me remettre à courir dans le sens inverse cette fois pour pouvoir rejoindre mon appartement et ainsi me préparer.

« Tu seras pas déçu du voyage, mes pancakes vaut le détour. » Il embrasse mon front, tandis qu'on clôt notre discussion sur un commun accord. Chez moi. Je rentre en vitesse, pour préparer et me préparer. C'est le bordel. Je viens à peine d'enmenager avec Beezus et rien n'étais ranger. J'utilise le peu de muscle de mes bras pour tout stocker dans la chambre de Bee et ranger correctement ma chambre, tel une chambre d'hotel dans lequel personne n'a jamais dormis, ça en fait presque peur. En vitesse, je prépare la patte à pancake. Ce que j'appel : Pancake à la Alaska, n'était rien d'autre que des pancake basique avec un peu de vanille et une salade de fruit qui le décor. C'était impressionnant la manière dont je ne présentais pas, j'avais du mal à croire moi-même que ce truc pouvait se manger tellement il était adorablement présenté. Quelques minutes après que la table soit faite, j'entends la sonnerie. J'avsi troquer mon jean et mes basket pour une robe de printemps orner de fleure, et laisser tomber les gros bijoux, me rappelant à quel point Macsen aimé la Alaska simple de la tête au pied. Je lui ouvre un grand sourire aux lèvres. « mi casa es su casa ! » lui dis-je en le laissant entrer.

Je n’étais pas vraiment compliqué quand il s’agissait de nourriture et je me doutais qu’elle était bonne cuisinière, surtout dans le sucré. Cela lui allait plutôt bien après tout. On se quitta rapidement alors que je retourne chez moi en courant pour pouvoir prendre une douche rapidement et m’habiller d’une manière plus convenable qu’un short et un marcel. J’opte pour un jean noir et un t-shirt simple. On n’allait pas dans un restaurant après tout. Je pris le temps de me coiffer, de me raser convenablement et de me parfumer avant de sortir de chez moi en apportant bien sûr une bouteille de cidre. C’était la moindre des choses et heureusement que j’en avais une au frais. Je ne mis pas longtemps à trouver son logement, même si j’ai du prendre le GPS. J’ai cru comprendre qu’elle était en colocation avec Beezus maintenant d’après ce que celle-ci m’a dit. Cela me permettra de savoir où vivait ma meilleure amie et ma filleule également. Je toque chez elle, la bouteille toujours en main. J’entre en souriant quand elle me dit que sa maison était la mienne en espagnol. Se souvenait-elle que ma mère était espagnole. Perfecto, es mi casa. dis-je en souriant alors que je dépose la bouteille sur la table qui se trouvait la plus proche. Je me retourne ensuite vers elle pour pouvoir la contempler, elle était habillée simplement et naturelle en plus de cela. J’avais l’impression de me retrouver devant l’ancienne Alaska. Cette robe te va à ravir. dis-je avec un clin d’œil. Je finis par jouer ma fouine en allant voir de plus près ce qu’elle avait préparé.