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i can't let you destroy yourself, marlen.

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la situation est tellement meilleure quand tu fais pas ta glaciale, quand tu te laisses rire, quand tu affiches ce petit sourire adorable sur tes jolies lèvres. ta presque oublié sa cavalière, mais c’est parce que là c’est toi qu’il serre contre lui, c’est avec toi qu’il danse en sifflotant un petit air de musique. t’as l’impression d’être comme dans les films à l’eau de rose que tu regardes avec skye, ta meilleure amie. et même si dans ce genre de film les garçons ne sont pas couverts de sang. mais c’est pas si grave. tu ris un peu en l’entendant « enchantée jay warren cooper, mais je continue de penser que modeste est un prénom qui te sied à merveilles » tu ris doucement, pas trop fort. pour pas gâcher la tendresse du moment. parce que même si c’est à sens unique tu le trouves tendre et vraiment appréciable cet instant. tu fais pendre ton bras, pour qu’il puisse voir ton cou, c’est vraiment pas si grave le sang, un coup d’eau et ce sera fini, plus rien, de toute façon t’as pas mis de maquillage, à part un peu de mascara sur les yeux et du rose sur tes lèvres t’es pas trop maquillage. il te notifie qu’il reste une petite trace, alors il s’approche, pour l’enlever, avec ses doigts. du moins c’est ce que toi tu penses. puis il s’approche vraiment. beaucoup. beaucoup. contact. ses lèvres sur ton cou et là t’as l’impression de ne plus tenir debout, t’as le cœur qui se décroche de ta poitrine, dans des frissons dans les joues, le ventre, les bras, même sur ton crâne. tu rêves c’est pas possible autrement. tu vas te réveiller dans ton lit. toute seule, à la quincy. tu le sais. t’as pas tellement envie de te réveiller de ce rêve qui prend des allures de réel. alors tu te pinces, discrètement, histoire de savoir si c’est la vraie vie ou pas. il semble bien que ça le soit. tu bouges pas, tu restes immobile, stoïque, totalement sonnée. tu te retiens de passer ta main dans ses cheveux. t’oses pas montrer que t’apprécie. même si c’est carrément le cas. et puis il continue il s’arrête pas. mais là tu peux plus faut que tu mettes un terme à tout ça. toi qui t’étais mis dans la tête de ne pas craquer, voilà qu’il te pousse à le faire. t’essayes de t’éloigner un peu mais t’y arrives pas, t’es comme ensorcelée. « warren … » dis-tu dans un murmure. faut qu’il s’arrête, avant que tu crèves. avant que ton cœur lâche. heureusement que t’es pas cardiaque.
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Tu fais peut-être une erreur, en posant tes lèvres sur la peau douce de son cou. Une erreur, peut-être, car tu n'étais pas le bon garçon d'il y a encore quelques semaines. D'il y a quelques années, même. Tu étais fraîchement divorcé d'Olive, et toujours amoureux d'elle, même si par la haine que tu éprouvais à son égard, c'était loin d'être évident. Et puis... c'était une erreur, car tu ne pouvais pas faire cela à Marloes. Enfin.. tu ne voulais surtout pas qu'elle s'imagine des trucs, du moins.. Enfin, même ton cerveau ne parvient pas à s'exprimer correctement, t'es ridicule. Sauf que c'est plus fort que toi. Avec l'alcool, et l'appel de la belle peau blanche, fraîche, douce de Marloes, tu ne résistes pas, et tu l'embrasses. Dans le cou, contre l'épaule, doucement, longuement.. T'es comme dans un rêve, ça te fait tellement de bien, c'est comme une vrai thérapie, même si tu ne devrais pas.. « warren … » Tu ouvres les yeux sur ton geste, et cessant de parsemer sa peau à l'odeur si agréable, tu t'éloignes de son cou attrayant pour plonger ton regard dans le sien. Tout est encore si flou, t'as l'impression que tu vas t'effondrer pour dormir. "Marlo.. Ouah.. j'suis vraiment désolé.. Je-j'aurais pas dû, j'crois.." Et pourtant, ta main se trouve toujours nichée au même endroit, dans le creux de son bas de dos, et tu restes là. Tu ne te décolles pas, et tu devrais. Vous êtes amis, putain. Tu ne veux tout de même pas ruiner ça! Merde, Warren. Tu peux être tellement con..
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t’as envie de mourir là tout de suite, t’es qu’un pauvre cœur d’artichaut, incapable de résister au moindre geste de tendresse. tu t’emballes, bien trop vite des fois. t’as même pas conscience que c’est l’alcool qui lui fait faire ça, qu’il se contrôle pas, t’as même pas conscience qu’il va finir par tout arrêter. t’aurais pas dû le laisser faire, non t’aurais pas dû. mais putain t’es tellement faible. puis il s’arrête et c’est le dur retour à la réalité, évidemment qu’il n’aurait pas dû. il est toujours raide dingue amoureux de son olive, puis toi, bah toi t’es son amie. son amie voilà tout. « t… t’en fais p…pas c’pas g..grave » dis-tu en begayant à moitié, tu te défais de son étreinte parce que ça vaut mieux et tu t’éloignes un peu de lui. « tu devrais rentrer, prendre une douche et dormir » c’était clairement la meilleure chose à faire pour lui. qu’il se remette les idées en place. tu gardes la face, même si t’as bien compris qu’il regrettait. tu t’effondreras chez toi. cachée. t’es pas bien. mais t’essayes de faire mine de rien. t’as juste l’impression que votre relation c’est le yoyo, un moment tout va et l’instant d’après tout s’écroule. t’as le chic pour te mettre dans les pires situations, comme si ça te plaisait. c’est peut-être ça qui t’attire aussi au final, l’impossible. « je … je vais aller chercher mickaela, vaut mieux que tu rentres, reste-là, j’arrive. » puis tu commences à t’éloigner, tu te diriges vers l’entrée du gymnase.
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Tu étais dans un rêve éveillé, où l'appel des sens était omniprésent depuis l'instant où tes lèvres se sont posées sur la peau de son cou. Tu te préoccuperas des conséquences après, penses-tu pendant que ta bouche parcoures son cou, sa peau, son épaule.. Ça prend vite fin : c'est toi qui stoppe tout, réalisant ce que tu es en train de faire. Tu ne te serais pas arrêté, mais.. tu ne peux pas faire cela. Pas que tu n'en aies pas envie, bien loin de là.. Pourtant, ce n'était pas correct de ta part. Profiter de ton état lamentable pour attirer une fille dans tes bras, ça ne se faisait pas. « t… t’en fais p…pas c’pas g..grave » Tu fermes les yeux à l'entente de sa voix, de ses mots. Tu te sens coupable, sans pourtant regretter quoi que ce soit. "Non, Marlo..", souffles-tu en rouvrant les yeux, pour chercher les siens, qui te fuient pourtant. « je … je vais aller chercher mickaela, vaut mieux que tu rentres, reste-là, j’arrive. » Tu secoues la tête, mais déjà elle s'éloigne. Alors, tu te précipites - bien que ça t'ait pris un moment de réflexion, ton cerveau est au ralenti, ce soir. Tu l'attrapes par le poignet. "J't'ai dit de laisser tomber, pour Mickaela.. Elle est occupée, je la verrai plus tard.. Tu veux pas rester encore un peu?", demandes-tu, tête baissée, tristounet du mal que tu ne te rendais même pas compte que tu lui faisais..
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t’as juste envie que tout ça s’arrête, de retourner t’asseoir à ta table et espérer que plus personne ne s’y dispute. t’as envie de voir le sourire de ta meilleure amie, de rire avec elle aux éclats, comme si rien de tout ça ne s’était passé. en fait t’as juste envie de te réveiller de ce mauvais rêve. « quoi non ? » dis-tu en levant les yeux vers lui, espérant qu’il ne rende pas la chose encore plus compliqué, tu prends les devant. « y a pas de non, c’est pas grave je te dis » t’espères qu’il n’insisteras pas, parce que t’aimerais bien qu’il te préserve un peu, qu’il préserve ton cœur un peu trop fragile. t’as bien compris que son geste était une erreur alors tu vas l’effacer de ta mémoire, c’est sûrement la meilleure chose à faire. puis de toute façon, y olive dans sa tête, et y a la fameuse mickaela qui doit l’attendre pour finir sa soirée avec son cavalier, ou son gain, tu sais pas trop. ouais, après tout elle l’a gagné, ça veut bien dire ce que ça veut dire non ? t’es à deux doigts d’aller la chercher d’ailleurs quand il t’attrapes le poignet, il te dit de laisser tomber, mais c’est l’seul truc qui te fais penser à autre chose, ou le seul truc qui t’aides à te détacher de lui. parce que c’est clairement ce qu’il faut que tu fasses. t’en détacher. vite. avant que ton cœur explose, pour de vrai cette fois. puis il te demande de rester, et là tu te dis que ça va être tellement plus compliqué que ce que t’as prévu. comment refuser quand il te regarde de cette façon. quand il fait sa mine d’enfant triste. « c’est un peu compliqué pour moi là warren » t’as pas envie de faire foirer toute votre relation avec tes révélations, mais tu te dis que c’est le meilleur moyen pour qu’il te laisse prendre un peu de distance.
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« y a pas de non, c’est pas grave je te dis » Tu ne la crois toujours pas. Et comment le pourrais-tu? Elle te ment en plein visage, et ça se sentirait à des kilomètres à la ronde. T'aurais bien aimé être naif au point de laisser passer et de croire à un malaise, ou un truc du genre. Mais non. Alors qu'elle souriait et riait tout à l'heure, maintenant sa binette triste te serrait le coeur, et avec raison. Tu sais que tu as fait quelque chose de travers. Que c'est de ta faute. Mais tu ne comprends pas totalement, ton cerveau parvient à peine à analyser tout et n'importe quoi. « c’est un peu compliqué pour moi là warren » Comme un réflexe, tu fronces les sourcils, lui lâchant le poignet. Ton minuscule sourire disparaît, pour laisser place à l'incompréhension, au malaise, à l'appréhension.. Tu stresses un peu, pour dire vrai, même si tu ne sais pas de quoi il faut stresser. "Qu'est-ce qu'il y a de compliqué, Marloes? J'comprends pas.."
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il te lâche le poignet et là t’as un milliers de choses qui te passe par la tête. et si il avait compris ? et si d’un seul coup il avait compris qu’il devrait prendre ses distances. mais non il te demande. quoi que c’est peut-etre pour qu’il soit certains. « j’veux pas que tu flippes… »  tu lèves les yeux « j’veux pas que tu te dises que je suis incapable de faire la part des choses, je veux pas qu’on se voit plus à cause de ça mais… » tu passes ta main sur ton visage terrorisée par sa future réaction, mais faut que tu lui dises. « je sais que c’est compliqué pour toi, je sais que ton cœur est pris, je sais que t’as mal…j’sais bien qu’il est brisé ton cœur… et j’aimerais tant pouvoir le réparer. » tu te mordilles l’intérieur de ta joue parce que t’as peur de dire la suite, mais t’es lancée, tu peux plus t’arrêter. pas maintenant, ça serait tellement lâche de ta part. « j’aime tellement de chose chez toi warren… mais j’sais que j’ai pas le droit. du moins pas maintenant … je me dis que peut-être plus tard. quand tu iras mieux… mais si ça se trouve non même pas. si ça se trouve jamais. mais c’est pas grave. tu sais je peux le comprendre. » tu fermes les yeux un court instant « je crois que je pourrais te rendre heureux… mais j’crois aussi que t’es pas prêt pour ça. » tu tords un peu ta bouche « mais tu sais, même si tu crois que ça sera jamais possible… bah je serais toujours là pour t’épauler, parce que t’es avant tout mon ami, et que je sais que t’as besoin de tes amis, surtout en ce moment. » puis tu repenses à tout à l’heure à ton cou, à sa bouche « et puis pour tout à l’heure … j’avais des papillons dans le ventre c’est vrai… mais je sais aussi que j’ai pas le droit de ressentir ça, alors j’m’interdit de le faire, parce que je veux pas que tu te sentes obligé de quoi que ce soit… tu sais warren moi j’veux juste que tu te sentes bien.. » tu lui énumèreras pas tout ce qui te rend dingue chez lui, quand il te regarde, quand il sourit, quand il te tient, quand il te serre dans ses bras. tu lui diras pas parce que tu veux pas le perdre. t’es prêtes à faire des concessions. parce que c’est ton ami et bien plus encore, parce que tu préfères son bonheur au tien.
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« j’veux pas que tu flippes… » Tu fronces les sourcils. Tu flippes déjà. « j’veux pas que tu te dises que je suis incapable de faire la part des choses, je veux pas qu’on se voit plus à cause de ça mais… » Et là, elle te fait carrément flipper, même. T'es effrayé, littéralement. Tu la vois être rongée dans un dilemme important. Te dire ce qui lui passe par la tête, ou pas? « je sais que c’est compliqué pour toi, je sais que ton cœur est pris, je sais que t’as mal…j’sais bien qu’il est brisé ton cœur… et j’aimerais tant pouvoir le réparer. » Tu commences petit à petit à comprendre ce qui se passe, ce qu'elle s'apprête à te dire, t'annoncer, t'avouer. Et ça te fait flipper, mais tu restes là, t'as envie de la rassurer, de lui dire de se lancer, et qu'après, ça ira mieux. Mais... est-ce que ce sera vraiment mieux? T'as peur. Et en effet, tu as raison. Elle te dit qu'elle aime tellement de choses chez toi, qu'elle éprouve, en quelques sortes, quelque chose à ton égard, et toi tu la regardes, subjugué, mais aussi pétrifié. Tu t'approches d'elle, cette fois. Oh, tu ne vas tout de même pas la couper dans sa lancée, dans ses aveux. Ça te touche, mais t'effraie aussi. Tu ne voudrais tellement pas la blesser, Marloes. Trop douce, trop belle, trop importante, trop... bien. Tu lui souris faiblement, silencieux, comme pour la rassurer. Et tu te risques à venir prendre sa main pour la rassurer aussi. "Ouah... Marloes.. Tu serres gentiment sa main dans la tienne, glissant tes doigts entre les siens. "J'flippe un peu.", murmures-tu en riant. Mais tu te râcles la gorge, reprenant ton sérieux. "J'm'attendais pas à ça. Tu sais quoi? J'ai aimé ce que j'ai fait. J'l'ai pas fait par... provocation. J'ai aimé t'embrasser dans le cou, te prendre dans mes bras et.. j'le fais pas pour oublier Olive. C'est que... je tiens énormément à toi." Tu lâches finalement sa main, pour plonger ton regard sérieux dans le sien. "Tu pourrais rendre heureux n'importe quel homme de cette planète, Marlo. Oh si, j'te jure.. Et tu m'fais du bien, là tu sais, mais..." Tu baisses la tête, avant de la relever, posant ta main sur son épaule, tu l'attires à toi, pour la prendre dans tes bras. "Mais t'as raison. Du moins.. dans l'instant présent. Moi, j'pourrais pas te rendre heureux, je suis pas.. je suis pas assez bien pour ça. Et ça m'tuerait de pas savoir te rendre heureuse. J'suis trop lamentable pour ça, présentement.. Mais je vais me redresser. J'te jure, j'te promets. Je.. Mon dieu, tu sais que j't'aime, Marlo." Oui, tu l'aimes beaucoup. Peut-être pas.. peut-être pas comme ça. Pas maintenant. T'en es incapable. Ça te fait trop peur. Avec Olive, t'as pas su la rendre heureuse suffisamment - c'est ce que tu te répètes. C'est pour cette raison qu'elle est allée voir ailleurs : deux fois, en plus. "Tu l'sais, hein...", répètes-tu, comme pour avoir une confirmation. Tu ne voulais tellement pas la décevoir. Tu ne voulais pas qu'elle parte, non plus. Tu ne voulais surtout pas la perdre. Tu voulais qu'elle reste là.. Tu voulais tellement de choses, en fait..
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t’as fini, t’as tout lâché. et tu te dis que t’aurais pas du, qu’il a du flipper, tellement, qu’il doit flipper encore plus. que c’est lui qui va partir au final, s’enfuir, tu laisses les yeux bas. c’est pas que tu regrettes de lui avoir dit, non c’est surtout que tu redoutes sa réaction. et si ça l’effrayait, et si il voulait plus jamais te revoir ? tu regardes tes pieds, t’oses pas le regarder et en regardant tes pieds tu vois sa main qui entre dans ton champ de vision, sa main qui attrape la tienne. tu fermes les yeux et les réouvres, pour être sûre que tu ne rêves pas. tu releves un peu la tête et tu sens ses doigts qui se faufilent entre les tiens, t’as le cœur qui bat la chamade, t’as envie de mourir là tout de suite. de dire on arrête tout. de dire à ton cœur d’arrêter de fonctionner. mais tu peux pas laisser warren là comme ça tout seul. et puis quand tu l’entends dire qu’il a aimé ce moment de tendresse qu’il t’a offert tu fermes les yeux à peine, une nouvelle fois. en souriant un peu. tu l’écoutes toujours, te dire que tu pourrais rendre n’importe quel homme heureux. mais toi c’est lui que tu veux voir sourire. mais, mais… mais y a toujours un ‘mais’ dans ces moments-là. tu fronces les sourcils, aucune fille n’est assez bien pour lui, même pas toi, tu peux pas le laisser dire ça. mais tu comprends ce sentiment. ce sentiment d’être qu’une merde parce que de toute façon celle qu’il aime est allée voir ailleurs, alors il se dit sans doute que c’est sa faute. c’est vrai, tu t’étais dit la même chose pour deon, quand tu l’as vu, avec cette fille, dans votre chambre, dans votre lit. il te serre dans tes bras, il te dit qu’il t’aime mais tu sais bien que c’est juste une très grande tendresse, peut-être aussi grande que la tienne ou peut-être pas. tu comprends tout ce qu’il te dit et tu passes tes bras autour de lui. puis quand il te demande si tu sais, tu hoches la tête. oui tu sais. une fois qu’il a fini t’es toujours dans ses bras, et tu lâches une main pour aller caresser sa joue avant de dire tout bas « t’es un mec merveilleux warren, n’oublie jamais ça … et j’envie tellement la fille que tu voudras rendre heureuse, parce qu’elle sera la plus heureuse de toutes les femmes. » parce qu’il faut que quelqu’un lui fasse comprendre. que c’est pas lui qui a foiré. que c’est bien elle. qu’il était juste trop droit, trop bien pour elle.
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Perdu dans tes pensées, tes yeux se perdent sur la silhouette de ton amie, de la magnifique Marloes. Oh, pour être belle, elle l'est. Ses yeux pétillants, sa voix douce, son corps parfaitement moulé que tu aperçois au travers de sa robe. Du moins, que tu imagines sous le tissus. La douceur de sa personnalité, son charme.. Si seulement elle reconnaissait tout cela, tout ce que toi tu voyais en elle, elle comprendrait peut-être mieux. Tu serres sa main dans la tienne, celle que tu es allé chercher par toi-même, pour lui faire comprendre que tu es là, et que tu resterais là, en fait. Toujours. Elle fuit ton regard, mais tu décèles un sourire. Si c'est ton amie depuis un bon moment déjà, ce n'est que là que prends vraiment conscience de toute l'importance qu'elle a pour toi, et l'importance qu'elle prend aussi, peu à peu, dans ta vie. Cela t'étonne qu'à un moment, elle se rapproche de toi, entourant ton cou de ses petits bras, caressant ta joue au passage. Un sourire évident se dessine sur tes lèvres. Un sourire doux, un sourire qui lui est reconnaissante. Ce qu'elle te dit te touche et t'affecte. Ton sourire ne se perd pas, mais pourtant, tu secoues la tête de gauche à droite vivement, à quelques reprises. "Il n'y a rien à envier. Tu n'as rien à envier à personne. Je suis dans.. dans une période un peu compliquée, et.. et crois-moi, j'veux dire.." Tu ne sais même plus quels mots choisir, comment dire ta façon de pensée sur ce qu'elle t'a tout juste répondu. "Et crois-moi, si la femme que je croyais pouvoir rendre heureuse jusqu'à la fin de mes jours a réussi à me tromper deux fois, si ce n'est pas plus.. c'est que je suis peut-être incapable de rendre une femme heureuse, tout simplement.." C'est à ton tour de baisser les yeux. Tu regardes attentivement vos pieds, comme s'il n'y avait rien de plus beau au monde à admirer. Et pourtant, la fille devant toi devait bien rivaliser avec l'une des merveilles du monde, en ce qui a trait à sa beauté, et à sa personnalité..
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