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i can't let you destroy yourself, marlen.

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je le vois faire alors je ris avec lui, puis tout d’un coup y a ce bruit dégueulasse qui sort de sa bouche je m’arrête deux secondes, le regarde avec des grands yeux choqués puis explose de rire une nouvelle fois « t’as pas osé ? » dis-je en riant encore un bon moment. « t’es dégueu cooper, vraiment, vraiment dégueu » j’essaye de calmer mon fou-rire, au bout de quelques secondes c’est fini. puis il dit qu’il arrête, alors je souris, tant mieux parce que ça me mettait vraiment mal à l’aise. quand je ris avec lui je cache le fait que j’suis en train de le trouver beau, que j’suis en train de craquer sur lui comme une pauvre idiote. j’essaye de me rentrer dans le crâne que c’est mon ami, et que j’peux pas craquer sur mon ami. quand il dit qu’il vaudrait mieux prendre une douche, j’hoche la tête, pour le taquiner, un peu. « tu veux que j’te raccompagne ? » parce que clairement, j’me vois pas le laisser rentrer tout seul comme ça, j’ai pas envie qu’il tombe sur des mecs qui avec qui il pourrait se battre aussi, vraiment pas, ça suffit pour ce soir les bagarres. il a les yeux fermés et j’le regarde, j’ai un petit sourire sur mes lèvres, j’espère qu’il me voit pas à travers ces cils j’dois vraiment avoir l’air idiote alors j’me reprends rapidement et change mes yeux de direction. « on peut dire que oui, c’est un peu mieux » ou même beaucoup mieux mais je ne l’avouais pas, puis je le taquinais toujours, mais parce que j’étais le genre de personne qui cachait son attirance par des taquineries. c’était ma façon d’être quand quelqu’un me plaisait mais que je n’osais pas me l’avouer. de toute façon c’était la meilleure chose à faire, il devait sûrement avoir envie de s’amuser depuis sa rupture avec olive et ça se comprenait. d’ailleurs qui mieux que moi pouvait le comprendre, j’avais débarqué chez les mathers à cette occasion, parce que je m’amusais beaucoup trop, je dépassais bien souvent les limites, juste pour oublier deon. « si tu veux je me mets un sac sur la tête comme ça y aura pas de souci » dis-je en riant « si c’est ce qu’il faut .. » je souriais un peu, c’était ma façon d’accepter « mais d’abord on passe par les toilettes d’accord ? faut que tu te nettoie un peu.. » pas que j’en avais honte, mais c’était mieux sans sang sur le visage.
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« t’as pas osé ? » T'essaies vraiment de te retenir de rire, mais c'est plus fort que toi. "M'en veux paaaas", fais-tu pour la supplier, collant tes deux mains devant toi, feignant de prier. « t’es dégueu cooper, vraiment, vraiment dégueu » Tu fais une moue triste, désolée même, mais son rire est contagieux, et tu lui réponds par un large sourire, dévoilant tes dents blanches. "C'pas de ma faute, c'est sorti tout seul ! " C'est l'excuse que tu donnes chaque fois que ça t'arrive, car.. c'est pas comme si t'avais pu le contrôler. Tu n'étais pas du genre à jouer à celui qui pousse le rot le plus fort, non plus. « tu veux que j’te raccompagne ? » Tu lui souris, voyant que son fou rire commence à s'estomper. Le rire, c'est bon pour la santé, comme on dit. C'est gentil d'ta part, ma belle, mais je vais sûrement raccompagner ma cavalière chez elle.. ou c'est moi qu'elle va raccompagner. Peu importe.", dis-tu en riant toujours, haussant les épaules. « on peut dire que oui, c’est un peu mieux » Encore une fois, tu fais la moue, lui faisant les yeux doux, tu cherches à en avoir plus : "Juste un peu mieux, tu dis?" Tu prends sa main qui glisse et caressait ta joue pour déposer un baiser à son dessus. La peau est douce, agréable.. « si tu veux je me mets un sac sur la tête comme ça y aura pas de souci » En faisant semblant de réfléchir, un doigt sur le menton, tu secoues vivement la tête, ce qui te donne le haut-le-coeur. Tu te calmes un instant. "Non, ce serait du gâchis. J'ai envie de t'admirer un peu, moi.", souffles-tu entre tes lèvres, alors que tu lui proposes de t'accompagner danser. Tu ne peux peut-être plus retourner à l'intérieur, mais dehors, il n'y a aucun problème, si? « mais d’abord on passe par les toilettes d’accord ? faut que tu te nettoie un peu.. » Tu souris tristement, cette fois. "J'peux pas entrer.. on m'refuser catégoriquement l'entrée. Mais.. c'est pas grave, enfin.. je sais que j'suis moins beau, mais ça m'empêchera pas de te faire valser comme une reine.", dis-tu en riant. Tu ne voulais pas gâcher un moment de sa soirée, une danse que tu lui réservais, avec ce visage horrible et ensanglanté, quoi..
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je ris, il rit aussi, on rit en cœur. evidemment j’me doute qu’il n’a pas fait exprès, du moins j’espère alors je continue de rire. puis je finis par m’arrêter. et là je l’entends, qu’il me parle de sa cavalière. et là j’ai l’impression de me transformer en verre qui tombe au sol et se brise, ou c’est peut-être mon cœur qui se brise. j’ai toujours eu le chic pour être attirée par ceux avec qui j’aurais jamais aucune chance, c’était tout le temmps comme ça de toute façon. j’ai pas le droit de lui montrer que ça me brise le coeur, c’est pas légitime. il n’y a rien d’autre qu’une grande entre lui et moi, c’est tout. je garde ma peine pour moi, j’ramasse les morceaux de cœur et j’affiches un sourire sur mes lèvres. « oh d’accord » j’me déteste de tout renier comme ça, mais j’ai le droit de rien dire, j’peux pas lui parler, pas alors qu’il est toujours amoureux d’olive, pas alors qu’il va passer la nuit dans le lit de sa cavalière. « elle sait que t’es là ? tu veux que j’aille la chercher » bien sûr que je parle de sa cavalière. c’est vrai, ça se fait pas de la laisser toute seule à l’intérieur. puis là, j’arrive pas à me retenir, j’deviens froide, je m’éloigne un peu. « y a rien à admirer, cooper » dis-je sans la moindre expression sur mon visage, j’arrive pas à faire semblant, pourtant j’essaye, j’me force, à faire comme si tout était parfaitement normal. mais là j’ai juste envie de m’enfuir, de partir en courant et d’aller me taper le premier homme qui passe pour savoir si c’est vraiment parce que j’suis pas désirable qu’il s’en tape d’autre et pas moi. puis au pire si l’homme qui passe accepte ça m’fera oublier un peu cette fin de soirée désastreuse. « tu devrais faire valser ta cavalière … elle doit se demander où tu es… c’est qui ? j’peux aller la chercher, ça prendra pas trop de temps… dis-moi juste à quelle table elle est » j’étais vraiment trop bonne trop conne.
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Tout allait bien. Jusque là. Vous riiez aux éclats, vous vous tapiez des délires, car t'étais en mode bourré depuis le début de la soirée, et tu disais n'importe quoi, tu la complimentais, tu lui rotais en plein visage. Bref, t'étais con. Et t'avais été encore plus con par la suite, sans même le remarquer, lorsque Marloes s'est proposée pour te raccompagner chez toi dans une bonne volonté d'esprit et toi... comme un vrai con, tu lui as dit que c'était bon, que t'allais raccompagner ta cavalière chez elle ce soir. « oh d’accord » Au début, tu ne remarques rien. Car tu es un peu naïf sur les bords, en fait. Tu ne sens pas la déception dans sa voix, tu ne sens pas la soudaine colère qu'elle éprouve envers toi. Non, c'était peut-être plus de la jalousie, mais tu ne le sens pas tout de suite, t'es aveugle. « elle sait que t’es là ? tu veux que j’aille la chercher » Fronçant les sourcils, tu réfléchis un moment, puis fini par secouer la tête vivement de gauche à droite. "Non c'est bon. T'es gentille.. J'lui enverrai un sms en fin de soirée." C'est tout. Vous ne vous êtes pas vraiment parlé de la soirée, toi et Mickaela. C'était surtout à la table, à vrai dire. « y a rien à admirer, cooper » Ouah. T'as beau être en mauvais état mentalement et physiquement, ça n'empêche pas ton cerveau de ressentir ce froid évident dans le ton de sa voix. Tu es comme choqué, ne sait pas trop quoi répondre, mais tente le coup quand même. "Si, y'a tellement de choses à admirer, chez toi." Et tu le penses sincèrement. Comment penser autrement? Tu le lui avais dit maintes et maintes fois, qu'elle était belle, qu'elle a du charme. « tu devrais faire valser ta cavalière … elle doit se demander où tu es… c’est qui ? j’peux aller la chercher, ça prendra pas trop de temps… dis-moi juste à quelle table elle est » Tu avales ta salive. Putain... est-elle jalouse de ta cavalière? Ça doit pas être vrai. Tu crois plus qu'on puisse t'apprécier, en fait. Comme ça, du moins. Tu te lèves alors sur tes deux jambes. Tu lui tends la main, attrape la sienne sans lui laisser le temps de réfléchir, puis tu la forces à se lever, pour l'attirer contre toi. Tu lui souris faiblement. "Arrête de te soucier de Mickaela. C'est la fille qui m'a gagnée aux enchères Winthrop, et comme je devais passer une journée avec elle mais que je ne l'ai pas fait, je l'ai appelée de un pour ça, et de deux pour faire chier Olive. Et ça a marché. Autrement.. Tu ne vas nulle part, c'est toi que j'ai envie de faire valser, tu comprends? Toi, Marloes. Alors tu danses avec moi, ou pas?", murmures-tu, inquiet qu'elle se sauve.
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quand il m’dit qu’il lui enverra un sms en fin de soirée j’hoche la tête de haut en bas une fois « comme tu veux » même si ça m’aurait arrangé, j’aurais pu m’enfuir, prendre mes jambes à mon cou, puisque de toute façon c’est bien la seule chose que je souhaitais faire actuellement. partir en courant. loin. puis non, parce que j’voulais pas qu’il fasse n’importe quoi non plus. j’voulais pas qu’il se sente abandonné. mais si je lui ramenait sa fameuse cavalière il ne serait plus seul. j’aurais tellement préféré ne pas voir cette bagarre, ne pas accourir dehors à sa recherche, ne pas me prendre ça dans la face. j’ferme un peu les yeux quand j’l’entends dire qu’il veut m’admirer, qu’y a tellement de chose à voir, et moi j’comprends pas. j’comprends pas qu’il puisse dire ça. j’me vois peut-être pas comme je devrais, j’me vois peut-être pas comme je suis vraiment. parce que oui j’le pense quand j’dis qu’y a rien à admirer. « si tu l’dis » j’baisse les yeux. c’pas à lui que j’en veux. c’est bien à moi. à moi pour être si faible, si cœur d’artichaut. a moi de craquer toujours sur les garçons sur qui je ne devrais pas craquer. a croire que j’aime me faire du mal. à croire que j’aime ça essayer de recoller mes bouts de cœur. puis il se lève il m’attrape les mains, puis je l’écoute, puis je baisse les yeux et me mordilles la lèvre, il me pense jalouse. non c’est pas vraiment que je le suis, c’est juste que j’ai compris qu’il finirait sa soirée avec elle et pas avec moi. j’suis pas du genre à me battre pour un garçon, même si il en vaut la peine. parce qu’il en vaut la peine. mais c’est juste que j’ai pas les armes pour. je lâches juste un petit « ok » parce que de toute façon il m’laisse pas trop le choix de rester, pas trop le choix de danser non plus.
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« comme tu veux » Tu es inquiet, alors que tes yeux plongent dans les siens. Mais... pourquoi semble-t-elle t'en vouloir? C'est l'impression que tu as, et tu n'aimes pas ça du tout. Oh non, pas du tout. Vous passiez un très bon moment, là. Et là, ça déboule. "Hm." Tu ne sais pas quoi dire. T'as pas envie de parler, de peur que ça parte en couille et qu'elle t'en veuille encore plus que maintenant. Tu voudrais bien retrouver son joli sourire, celui qu'elle arborait quelques minutes seulement plus tôt. « si tu l’dis » Là, ton regard se fait sévère. Pas méchant, mais un peu triste, disons. Déçu. Même si t'as plus toute ta tête - bien que ça se calme, t'essaies d'enligner une phrase où les mots sont justes et ont du sens. "Marlo, vas-tu le voir, que t'es sublime? Dans cette robe.. Rah, pas juste dans cette robe. T'es tout l'temps belle. Tout l'temps. Et c'est l'homme en moi qui parle, pas l'ami. C'est Warren, l'Homme." Tu lui prends sa main, pour la mettre sur ses pieds et l'attirer à toi. Allez, Marloes, regardes-moi et passe une belle soirée, as-tu envie de lui dire. Mais tu gardes le silence, et tu commences à enchaîner des pas de danse tranquillement, doucement, sans presse, bien qu'il n'y ait pas de musique. Ah si. Il y a le fond de musique du gymnase, derrière vous. Mais tu l'oublies, et tu crées ta propre musique. "Tu veux bien me dire ce qui te tracasse, d'un coup? J'suis peut-être bourré et naïf, mais j'suis pas aveugle." Elle ne te parlait pas par monosyllabes, tout à l'heure. T'as pas envie qu'il y ait un froid, là. Tu vas trouver le moyen de la faire rire, quoi qu'il t'en coûte ce soir.
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j’aurais dû rien dire, j’aurais tellement pas dû lui proposer de le raccompagner, j’aurais dû rester muette. j’aurais dû continuer de rire comme une bécasse ça aurait été tellement plus simple. plus agréable. son ‘hm’ est juste fatal parce que je sais ce qu’il veut dire. j’sais que j’ai tout fait foiré en devenant aussi glaciale. si seulement j’pouvais me contrôler, mais voilà, j’y arrive pas, jamais. j’ose pas lever les yeux parce que j’ai un peu honte d’avoir agi comme ça, je sais pas ce qu’il croit. sans doute que j’suis jalouse ou que j’lui en veut. mais c’est pas tout à fait ça. ça m’gène. j’ai aucun droit. pas le droit de lui en vouloir. pas le droit de lui faire la tronche. puis quand j’l’entends j’ose encore moins lever les yeux vers lui. il tord mon pauvre cœur dans tous les sens. à tel point que j’ai envie de disparaître. de me fondre avec le décor. comme les caméléons. j’sais pas quoi lui répondre, qu’est-ce qu’on répond à ce genre de chose de toute façon ? rien. oui voilà. rien. j’relève un peu les yeux quand même. histoire qu’il voit que ça m’touche ce qu’il me dit. même si ça me fait chier d’être touchée par ses mots. même si j’aimerais bien être un cœur de pierre là, maintenant. j’ai attrapé ses mains et il m’a attiré contre lui, et j’suis pas à l’aise. j’suis trop prêt de lui, trop prêt par rapport à c’que je ressens. puis il m’fait doucement balancer au rythme d’une musique un peu trop lointaine. puis j’me laisse aller. et j’pose ma tête sur son épaule en le laissant guider la danse. « y a rien .. fin, c’pas important » je relèves la tête et lui adresse un léger sourire, j’veux pas lui avouer de toute façon. parce que je sais qu’il a le cœur et le cerveau assez occupé pour lui rajouter encore des nouveaux problèmes. puis j’continue de me laisser aller, d’le laisser me faire danser « j’savais pas que tu dansais bien comme ça » vaut mieux que tu te remettes à le taquiner, histoire de changer de sujet. histoire que ça se passe mieux. un peu comme tout à l’heure, avant le moment fatal.
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Si tu t'es levé et que tu lui as tendu la main pour la faire danser, c'est pour qu'enfin vous veniez à bout de cet étrange moment qui, mine de rien, te serrait le coeur. « y a rien .. fin, c’pas important » Tu en doutes. Tu ne la croies pas. Bien que tu sois naïf sur certaines choses, tu as toujours eu à peu près le flair de comprendre certains messages codés de la gent féminine qui est plutôt difficile à cerner. Tu ne les comprendras jamais totalement, même si t'essaies. Beaucoup. "D'accord.." Tu lui souris tristement, en la faisant danser comme une vraie princesse. Car oui, tu aimes qu'une femme se sente bien dans les bras de son cavalier, qu'elle ait envie et ressente l'impression de passer une bonne soirée. Tu voulais garder Marloes près de toi ce soir, car.. t'en avais besoin. Ouais, vraiment. Sincèrement. Sa tête sur ton épaule, tu te mets à siffloter une chanson sur laquelle vous pouvez librement danser dans cet état d'esprit, paisiblement. « j’savais pas que tu dansais bien comme ça » Évidemment, tu te mets à rire, en serrant ton étreinte au niveau de ses hanches, dans le bas du dos. "Clairement, je danse comme un dieu. Mais tu es pas mal non plus." Tu la taquines, riant doucement près de son oreille. "T'as un peu de sang dans le cou, par ma faute. J'espère que tu m'en veux pas trop?"
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j’suis toujours là à essayer de cacher, comme si il était complètement idiot, comme si il voyait pas qu’il y a effectivement quelque chose. mais comment lui dire ? je peux pas lui dire, j’ai pas le droit de lui dire. pas alors qu’il vit un moment déjà très compliqué de sa vie. je ne réponds pas à son ‘d’accord’ je sais que j’suis bien conne, que j’me sens bien conne du moins. tout allait très bien puis il a fallu que mon cœur s’emballe. mais j’y peux rien, j’suis toujours attirée par les cœurs meurtris, ça agi comme un aimant sur moi. alors quand cet aimant me prends dans bras j’peux pas m’empêcher d’avoir le cœur qui bat la chamade, si fort que j’ai l’impression qu’il veut sortir de ma poitrine. il faut que j’arrête ça. mais ses mains sur le bas de mon dos, qui me serrent contre lui, mes bras autour de sa nuque, et ma tête contre lui, tout ça, ça m’aide pas, mais j’suis si bien comme ça. si bien que j’voudrais pas bouger. que j’voudrais rester comme ça toute ma vie. mais faut que j’arrête, parce que c’est pas comme ça que je vais m’en sortir. oui il faut que j’arrête, non je n’y arrive pas. toujours ce fichu aimant qu’a collé mon cœur contre le sien. je relève la tête en riant un peu quand il me dit danser comme un dieu « ton deuxième prénom ce serait pas modeste par hasard ? » je me remet à le taquiner, parce que je crois que c’est ce qui marche le mieux pour faire passer ce vent glacial. puis quand il me dit que j’ai du sang je pose ma main sur mon cou en lâchant sa nuque« bien sûr que non je t’en veux pas, c’est rien du tout » puis je frotte un peu mon cou « c’est bon j’en ai plus ? » dis-je en relevant la main, pour qu’il puisse voir.
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Au moins, vous dansez. Et danser, ça permet d'oublier, de laisser couler, de se sentir mieux. Ça en prend peu pour partager un bon et beau moment avec une personne que l'on apprécie. Et là, il s'agit de Marloes. C'est une super amie. Non, une super personne, tout simplement. Elle ne le voit tout simplement pas encore, mais il le faut. Car tu la trouves vraiment, vraiment bien. Elle mérite d'être connue, d'être aimée, d'être appréciée, et tu en passes. « ton deuxième prénom ce serait pas modeste par hasard ? » Tu souris, faisant mine de ne pas comprendre de quoi elle parle. Ouais, parfois tu te la joues peu modeste, mais c'est pour taquiner, surtout. Pour revoir son joli sourire, pour entendre de nouveau son rire mélodieux. La blondinette pourrait te faire craquer, comme ça. Ton sourire en coin en dit long. "Eeh.. non! Moi c'est Jay, Warren, Cooper.", dis-tu spécifiquement, toujours en riant, alors que tu serres toujours un peu plus ton emprise au bas de son dos. Confortable. Agréable. « bien sûr que non je t’en veux pas, c’est rien du tout » Tu ne supporterais pas de savoir que t'as gâché deux heures, voire plus de maquillage, à cause de tout le sang, maintenant séché, qui perlait sur ton visage, d'un peu partout. Tu souris, rassuré. Mais bien vite, tu perds ton sourire, devenant soudain bien sérieux. Un peu trop sérieux, même. « c’est bon j’en ai plus ? » T'avales ta salive presque difficilement, manquant t'étouffer. Tu vois flou, mais.. tu t'en soucies peu. Peut-être est-ce ce qui te poussa à agir de la sorte.. "Juste une petite trace.." C'est faux. Il ne lui restait pas de sang, sur le coup. Il était blanc comme la neige, son cou. Mais comme une pulsion, tu penches la tête vers elle, après avoir planté tes yeux dans les siens, le plus sérieusement du monde. Tu penches ta tête vers son cou, et doucement, même trop doucement, tes lèvres se posent dans le creux de son cou. Tu mordilles la peau gentiment de tes dents. Avec une certaine sensualité, ta langue passe là où tout à l'heure, en enfouissant ton visage dans son cou, t'avais laissé une trace de sang. Tu lèvres déposent quelques longs, puis bref baisers, en partant de son cou, jusqu'à son épaule. Tu ne t'arrêtes pas, bien trop absorbé par ce que tu fais, par le sentiment naturel, le sentiment excitant que ça te procure. Tu ne réalises pas totalement, mais ça te plait.
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