Edby Laisse moi faire

Je venais de quitté la table j'étais incapable de regardé Eden dans les yeux. Je n'arrivais pas a le voir. J'avais été froide parce que je crois bien que je suis entrain de tombé amoureuse de lui... Cette sensation est a la fois un délice et une souffrance. Il était parti pendant une semaine, c'étais attroce... Rien que de savoir que je n'avais pas pu l'appelé, pas lui envoyé de message ou encore pouvoir lui faire un calin... J'étais mal. J'allais dans la direction des toilettes quand un mec relouuu et bouré venais se collé a moi. Il était trop près, beaucoup trop près. Il venais me seré contre le mur ses mains venais se posé sur mon cul. Oh lala sa allait pas le faire j'étais téntanisé par la peur, je commencais a grave paniqué....

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Le bal de fin d’année, c’est censé être une fête joyeuse, elle l’était pour moi, jusqu’au moment où il a fallu aller à table. Je me trouve à la table d’Abby, heureusement qu’il y avait mon amie Zora qui me permettait de fuir du regard Zed et Abby qui était magnifique ce soir, mais si distante encore. Malgré tout, nous étions à la même table. Mais bon sang, comment ne pas la fixer quand madame s’amuse à se coller à ce type, ce Zed, heureusement que Zora est là, et qu’elle pose sa main sur ma cuisse sous la table pour me calmer sinon j’aurais déjà dégommé ce type, je ne sais pas qui il est mais bon sang, ce type me fait perdre mon sang froid alors que c’est Abby qui s’y colle. Je marmonne par moment entre mes dents des mots en norvégiens, heureusement quasiment inaudible et couvert par le vacarme de le la salle.
Abby fini par filer de la table, les première secondes je ne bouge pas mais Zora, me donne des coups sous la table en me faisant signe d’y aller, elle a bien cramer que je dévorais cette file du regard, je grogne avant qu’elle me pousse limite de ma chaise et je me résous à y aller, d’abord prenant mon temps mais lorsque je vois la scène, je vois rouge, mon pas s’accélère jusqu’à arrivé derrière le mec que je chope par le col et je l’envoie assez violemment valsé en arrière, l’homme était près a y retourner pour finir ce qu’il veut, mais je le rattrape au passage, le fixant d’une colère noir en lui disant de se barrer tout de suite s’il ne veut pas se retrouver à l’hopital tellement défiguré que même sa petite maman ne le reconnaitrai pas !
L’homme s’en va, titubant, oui j’étais dans une colère noire entre ca et Zed qui avait Abby avec lui tout le repas. Je suis dos à Abby, je tourne un peu la tête, essayant de me détendre. Et je demande, sans vraiment poser totalement mon regard sur elle, la regarder vraiment me ferai devenir faible.
« Cava Abby… ? »

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J'avais fui la table.. Je le suis retrouvé seré par un homme contre un mure i lavait commencer a me ploté. J'étais terrorisé, j'avais pali je tremblais. J'étais incapble de réagir. Eden débarquait pour le faire fuire. Eden me regardais pas. Il me demandais si sa allait. Non sa allait pas du tout, j"était trop mal, j'arrivais a peine a respiré. J'eu un seul reflexe c'est m'ecrasé dans ses bras. J'avais besoin de lui a cette instant juste de lui j'était suer mal je tremblais. Je n'en revenais pas de se qui venais de se passé.

(Invité)

Je n’arrivais pas à la regarder car je sais que si je la regarde, je vais encore perdre tous mes moyens et le message avait été clair au téléphone, mais voilà qu’elle plonge dans mes bras, je ne peux résister et je la serre dans mes bras, fort, comme pour la protéger de la muraille de mes bras, je me sentais a la fois heureux de l’avoir de nouveau dans mes bras mais de l’autre dans un état second de ses derniers évènements.

(Invité)

J'avais foncé dans ses bras y a que la que sa allait bien. Je me laissait tombé dans ses bras. Je me srais contre lui, ce qui avait pour effet de me calmé. Je m'en voulais de pas avoir fait d'éffort avec lui. Je flippais, j'avais peur...
"Je veux pas te perdre.... Je tiens bien trop a toi pour ça! JE suis désolée... J'ai peur..." Je crois que j'avais peur vraiment peur de le perdre... Je suis perdu mais je sais une chose c'est que je ne veux pas quitté ses bras. C'est le seul endroit ou je suis bien.
"Ne pars plus jamais..."

(Invité)

Quand enfin elle retrouve sa place dans mes bras, place qu’elle a utilisé si longtemps lors de la journée que j’ai passé chez elle, elle ne les avait pas quitter jusqu’à que je m’en aille et depuis, mes bras n’avaient accueillit que mes animaux ou ma famille. J’entends sa voix, ses mots brisent les dernières forces contre lesquelles je luttais pour ne pas me laisser aller. J’avais tellement souffert du froid qu’elle avait instauré entre nous si brusquement, retrouvé la chaleur de son corps dans mes bras me fait un bien fou. Elle me dis tant de chose je la serre encore plus fort dans mes bras, a cet instant, j’étais seul au monde avec elle. Je murmure au creux de son oreille.
« J’ai cru mourir tout ce temps loin de toi, j’avais l’impression de n’être plus personne sans ton intérêt, j’avais l’impression de t’avoir perdu a jamais….Oh non, plus jamais je ne te laisserai toute seule, si je dois partir…tu seras près de moi quelque sois le moyen…Ne me repousse plus…je ne supporterai pas de nouveau cela… »

(Invité)

J'étais accorché a lui, je ne voulais pas quitté ses bras, je ne voulais plus jamais le quitté, plus jamais le repoussé... Il me demandais de plus jamais le repoussé... J'ignore se qui va se passé, j'ai peur de voir ça... Avec lui je sais que je peu le faire. Je tiens bien trop a lui et plus jamais je veux m'eloigné de lui. Je suis blottie contre lui.
"Je ne pourrais pas être séparé a nouveau de toi... je ne le supporterais pas." J'étais completement paumé on est quoi, il est quoi pour moi?

(Invité)

Je la gardais tout contre moi, mes bras autour d’elle qui la collait encore plus contre moi, mon visage contre son crâne, je refusais de la lâcher mais nous étions quasiment devant les toilettes donc tous les gens qui passaient nous fixaient, mais je faisais abstraction de tout ca. Elle me dit qu’elle ne pourrait pas être séparer de nouveau de moi, qu’elle non plus ne le supporterai pas. Je pose mes lèvres sur son front.
« Alors faisons en sorte qu’on ne soit plus jamais loin l’un de l’autre… »

(Invité)

J'étais blottit contre lui. Je ne voulais plus jamais m'en séparé. Il est ma drogue, mon obssesiion. Il est celui que je veux, celui qui arrive a calmé celui qui je resent une telle sincérité. Il est lui, honnête. J'apprécie vraiment tout sa, je sais que je pourrais pas vivre sans lui près de moi. Il vien déposé un bisous sur mon front et me dit qu'il falait plus jamais. Je venais lui dire a l'oreille
"Je veu plus jamais être loin de toi, plus jamais... Je veux pas vivre sans toi" J'étais sincère, je me livrai a lui je lui lachais tout.

(Invité)

On se serre l’un contre l’autre, je respire toute son odeur si délicieusement douce. J’aime sentir qu’elle est prêt de moi, elle me dit qu’elle ne veut plus jamais être loin de moi, moi non plus je ne veux plus. Elle me dit ne plus pouvoir vivre sans moi, cela me fait sourire avec tendresse. Tout doucement je me défais de son étreinte pour me reculer d’un pas et digne d’un prince, je prends sa main et m’incline un peu, un sourire doux aux lèvres.
« Ma ravissante Abby D’orange, ma douce princesse, me feriez vous l’honneur de m’accorder ses quelques pas de danses en ma compagnie ? »

(Invité)

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