KENYA ▬ back to home :'(

"Ah désolé j'ai juste un ballon de basket et encore je sais pas si ça va pouvoir cacher tout ceci." Je faisais mon fier avant de rire et me poser sur le coté, non mais le fait qu'elle pense que tirer dessus faisait tomber le jackpot me faisait peur je reconnais, c'était un coté un peu douillet et tendre surtout maintenant. "Il a pas à frapper, il fait une visite surprise de contrôle dans son entreprise, ses terrains à lui." Je rigolais en la voyant, elle me faisait craquer quand elle allait dans mes délires comme ça. Elle retirait ma main, je la regardais avec un air suspicieux quand elle se mettait à leur parler, on nous aurait surprit comme ça je pense qu'on aurait pu croire qu'on était bourré mais pas du tout, tous les deux on était juste complètement malade naturellement, pauvre Alessia elle avait nos gênes. "Bon alors tant mieux, je suis plus rassuré comme ça, eux aussi." Je m'allongeais au coté de mon épouse sur le coté, la regardant en passant ma main sur sa joue avant de me glisser au dessus d'elle. "Est-ce que tu veux que la patron frappe? C'est envisageable ou pas du tout?"

Ah parce que maintenant c'est son entreprise, serait tu entrain de m'associer à un entrepôt ? demandais-je en arquant un sourcil, un peu surprise de cette douteuse comparaison ? Par la suite, j'entrais dans son délires, sans pour autant être bourrée. Je crois que le simple fait que nous étions de bonne humeur me plaisait et me faisait agir légèrement. Comme si je leur ai déjà fait du mal ? Je prend toujours soin de mes bijoux dis-je en hochant la tête, avant que monsieur ne se place au dessus de moi. Je fus un peu surprise par sa rapidité. Ma jambe droite remontais doucement contre sa hanche, alors que mes mains remontaient le long de son dos jusqu'à sa nuque et ses cheveux. Je pensais que le patron faisait des visite surprise, il demande la permission pour rentrer sur sa propriété ? demandais-je avec un demi sourire.

Il me rendait totalement folle. Folle de lui. Alors que nous avions tous les deux atteint le paroxysme, en même temps, je fus soulagé qu'il se laisse aller sur le côté. Pas que je ne voulais plus être en contact avec lui, mais j'avais chaud, je manquais de souffle totalement. Je tentais de reprendre mon souffle, alors qu'il me disait difficilement, que j'allais finir par le tuer. A qui le dis-tu ? Je riais un peu, en me tournant, sur le côté, posais sur ma hanche pour passer mes doigts dans ses cheveux. Ceux qui collaient contre son front, avec un tendre sourire. C'est toi qui va finir par me tuer à me prendre comme ça par surprise dis-je en riant encore un peu alors je posais ma tête contre son bras. C'était ... je sais pas différent
dis-je un peu rêveuse, en soupirant et en regardant le plafond, tandis que Kenny avait écarté son bras pour je puisse me poser avec plus de confort. Cette fois là avait été différente de toutes les autres. Il avait été si brûlant, si impliqué et résistant. Je tournais mon visage vers lui, amoureuse. Je t'aime soufflais-je yeux dans les yeux, alors que je déposais un baiser sur son biceps et que je fermais de nouveau les yeux satisfaite comme pour prolonger ce moment d'extase, sourire aux lèvres

Je cherchais de l'air, j'avais l'impression qu'il en manquait cruellement dans cette pièce, mon thorax se soulevait encore et encore mais rien n'allait ternir ma bonne humeur, je me sentais heureux encore plus que d'habitude après ce genre de câlin. Ecartant mon bras pour qu'elle vienne contre moi, je rigolais à sa phrase. Je la prenais pas par surprise enfin je pense que je l'avais prévenu, hum peut-être pas enfaite. "J'ai pas besoin ton corps était déjà prêt." Dis-je pour la chercher. Je soupirais d'aise bien avec elle. "Ouais." Je ne trouvais rien d'autre à dire parce que j'avais ressenti aussi cette différence, je me sentais plus fort, plus entreprenant, j'avais plus confiance en moi-même pour tester des nouveaux angles, je crois que le fait de savoir que mon corps ne me lâcherait pas à tout moment m'aidait énormément dans ma prise de confiance. Mes yeux étaient rivés sur elle alors qu'elle prononçait les deux petits mots que j'adorais entendre de sa bouche, ils étaient toujours aussi rare et tellement appréciable, mon cœur trouvait encore le moyen de faire des bons dans ma poitrine même si j'étais complètement épuisé. "Je sais." Murmurais-je tendrement avant de reprendre. "Je t'aime aussi plus que tout." Je lui volais un baiser tout doux cette fois. "Je te protégerais contre tous les dangers qui pourront venir au cours de notre vie à deux, je te soutiendrais jusqu'à ton dernier souffle, je t'aimerais pour l'éternité même quand je me ferais manger par les asticots au fond de la Terre mon âme sera toujours à toi. Je suis à toi, totalement jusqu'à mon derniers cheveux." Je rigolais sur la fin, un rire remplit de joie, mes yeux quant à eux brillaient de milles feux.

Oui mais ça tu l'as sentie après dis-je en lui donnant un petit coup dans le ventre avant de me poser contre son bras. Je le prenais d'ailleurs pour le mettre autour de mes épaules et comme bien souvent, je n'arrivais pas à ne pas poser ma tête contre son torse, bien que cette fois ci, c'était bien l'arrière de mon crâne qui y était posé, alors que j'étais de travers dans le lit, après avoir ramener le drap sur nos corps. Penchant un peu la tête en arrière, je lui soufflais deux mots que je ne disais pas souvent, mais deux mots que j'avais envie de lui dire, là, maintenant, tout de suite. Son je sais me faisais sourire, parce que c'étai souvent le genre de réponse que je lui servais mais bien rapidement, il me disais ce qui faisait battre mon coeur. Tu vois, avant que tu ne me parles d'asticot, je t'aurais surement monté dessus pour un second round, mais là, c'est un peu trop pour moi dis-je en riant doucement. Je tournais le visage, pour regarder dans la direction des pieds de Kenny, toujours à l'horizontale dans le lit pour caresser le ventre du Kenny, faire le tour de son nombril. je veux plus te quitter, je veux rester coller à ce corps de rêve, dans cet chambre dis-je en encerclant son torse et en fermant les yeux, mais lorsque j'ouvrais les yeux, je voyais un fantôme devant moi du moins après mon passage. Je me redressais rapidement pour prendre un ciseau sur le bureau de la chambre, qui était plus un lieu de dépôt de nos cours et je revenais sur le lit, dans la même position pour découper deux petit yeux sur le draps, qui couvrait kennytosaure encore dressé. Nous ne sommes pas seuls .... dis-je en me décalant un peu pour Kenny puisse voir mon chef d'oeuvre. Mise à part ça, je venais de faire des trous dans un draps à plus de 1500 dollars