KENYA ▬ back to home :'(

Des sous-vêtements, bleu ma couleur préférée sur Anya après le rouge, je n'en revenais pas, j'étais sur les fesses complètement. D'abord la surprise venait prendre possession de moi puis la colère m'envahissait, les photos se retrouvaient écrabouillées dans mes mains qui restaient contracté alors qu'Anya se justifiait. "Ta pas à te justifier, ce mec te suis partout ! Y a un pervers qui achète des sous-vêtements, Anya ça nous dépasse clairement cette histoire, il est hors de question que tu cours un danger si je ne suis pas là, c'est pas possible, vraiment pas." Je me levais, j'avais calmé ma voix depuis le début de ma phrase alors qu'elle s'obstinait à tout faire rentrer dans la poubelle comme si par magie notre souci serait parti. "Ok Vickor est avec Alessia, elle est en sécurité mais toi, toi faut qu'on se décide à faire quelque chose." Je n'avais pas vraiment conscience de la haine que cet inconnu pouvait avoir à mon égard, les photos étaient toutes barrées mais sans plus, je ne voyais juste qu'un peu de jalousie. "T'enfermer à mon plus grand malheurs ce n'est pas possible." J'approchais d'Anya plus tendre dans ma voix, un peu amusé parce que je me voyais parfaitement l'enfermer dans une tour d'ivoire et la garder rien que pour moi. "Alors je sais pas tu pourrais bosser à la bibliothèque le temps de mon partiel, on déjeunerait ensemble à midi, je te donne même la permission de m'accompagner jusqu'à ma salle d'examen et aussi me donner un dernier cours de Russe à ta manière pour la position de la langue tu vois." Je plaisantais parce qu'il fallait le faire, Anya était apeurée, sur les nerfs, elle était inquiète aussi, mon devoir était de la protéger, de la rendre heureuse et surtout de m'occuper des soucis de ce genre alors oui je reconnais que mon visage était encore rouge sous la colère à cause du coup des sous-vêtements mais on ne devait pas s'arrêter à ça, pas après tout nos efforts pour avoir cette vie là.

C'est assez flippant de ce dire, que ce fou furieux était présent. Qu'il était dans le même magasin que moi, peut être bien à côté de moi. Je levais mon regard dans celui de Kenny en me pinçant un peu les lèvres J'arrive pas à me souvenir si y'avait un mec près de moi ... dis-je sans vraiment écouter ce qu'il me disait. Comme il me le faisait remarquer, j'étais rassurée que Vikor soit avec Alessia, je préférais que la petite soit suprotéger. Tu veux qu'on fasse quoi Kenny ? On sait même pas qui s'est ! je veux bien qu'on fasse quelque chose, mais quoi ? Je souriais tout de même un peu lorsqu'il me disait que la solution serait surement de m'enfermer, mais il ajoutait bien rapidement que ce n'était pas possible, il me connaissait. Je n'avais pas envie de rester cloitrer entre 4 mûrs à cause d'un inconnu. Je le ferais .. dis-je en hochant la tête, sans même protester, parce qu'au fond, je ne voulais pas me séparer de lui, je me sentais protégée et en sécurité. Cependant, je ne pu, m'empêcher de rire en l'entendant me parler de cour de langue. Je lui donnais même une petite tape sur le biceps avant de justement, prendre ses bras pour qu'il les passe autour de mon corps, afin de me blottir contre lui. T'es nul dis-je toute niaise en posant ma tête dans son cou. Je déposais un baiser contre sa peau avant de lever les yeux dans les siens mais si tu te sens pas prêt pour ton exam de Russe, je peux te faire réviser j'attrapais son menton pour l'embrasser légèrement et surtout amoureusement Je me sens en sécurité avec toi et tes gros muscles

La braquer c'est surtout ce que je ne voulais pas faire, je sais qu'il était compliqué d'avancer ainsi quand j'avais essayé de faire revenir mes souvenirs rien ne se passait quand je restais bloqué sur mes échecs alors pour Anya c'était pareille. "C'est pas grave qui se souvient d'une personne à ses cotés franchement." Je souriais doucement, je voulais qu'elle se sente bien, je voulais la voir heureuse, elle avait veillé sur moi pendant deux ans, je prenais le relais. "On ne sait pas mais y a des solutions, laisse moi réfléchir." Je proposais la première l'enfermer était vraiment celle qui me plaisait le plus dans le lot mais Anya n'était pas destiné à être une princesse en haut d'une tour à la Raiponce, non elle était destiné à gouverner la Russie, à faire des grandes choses alors je continuais à parler appréciant qu'elle ne rechigne pas quand je lui disais de venir avec moi demain. Ouf. Je voulais pas batailler vraiment pas, j'avais l'impression en plus qu'elle comprenait peu à peu que je voulais son bien avec son accord, je m'imposais pas. Rieur à son coup, je la serrais dans mes bras, posant ma joue sur le sommet de son crâne, je fermais un peu les yeux en étant secoué par des petits soubresauts du à sa dernière réflexion. "Je suis ton nul à toi." Riais-je doucement. "Je…" pas le temps de répondre elle m'embrassait, j'appréciais réellement la douceur de notre baiser c'était si doux, léger, j'en avais même des frissons. "Un compliment Kovalevski, je ne rêve pas tu viens de m'en faire un." Je la taquinais amusé, je déposais des milliers de bisous sur son visage. "Si moi et mes gros muscles on a envie de te défier en boxe, madame veux bien?" On avait bosser pas mal pendant les vacances, on avait aussi prit du temps en famille et le soir pour nous deux, c'était incroyable désormais notre bulle se formait en quelques secondes même après ce retour spécial qu'on venait de vivre ensemble. "Je me souviens d'un combat entre nous y a deux ans presque ou j'avais lamentablement perdu à cause de…" Ma tumeur, le mot ne sortait pas de ma bouche, toujours pas. "… enfin du truc maintenant que je suis en forme, je veux vous réduire en poussière Kataieva, plus question de faire jouer la close de mariage ici. Après si tu as la frousse je peux comprendre..." sifflotais-je.

Je t'en fais des compliments ... souvent quand tu dors, mais tu les entends pas, tu ne peux en vouloir qu'à toi dis-je en haussant une épaule. J'appréciais ses baisers, je fermais les yeux, en me laissant aller contre lui, simplement parce que je me sentais en sécurité avec lui. Puis tout à coup, au lieu de continuer à me faire des bisous, il me proposait de faire un match de boxe. Je le regardais, en arquant un sourcil tout en continuant de l'écouter. Tu parles, c'était pas à cause de ta tumeur j'osais dire le nom. C'est à cause de ça ... dis-je en ouvrant le haut des boutons de ma chemise dévoilant mon soutient gorge en dentelle noire qui bombait ma poitrine , puis je me tournais, pour lui montrer mes fesses et ça dis-je en claquant mes fesses en lui faisant un clin d'oeil

Mon rire envahissait la pièce presque instantanément quand elle me montrait les causes de ma défaite d'il y a deux ans, c'est vrai je crois que ses charmes avaient eu raison de moi plus d'une fois faut dire qu'elle savait comment me vendre les choses rien que son sous-vêtement noir en dentelle me plaisait énormément alors que je n'étais pas très fan de cette couleur sur elle. "Je le confesse c'est vrai. J'aime surtout eux." Dis-je en claquant ses fesses. Je laissais ma main glisser sur son ventre pour qu'elle vienne se coller en arrière contre moi, mes lèvres glissaient sur sa chevelure puis son oreille lentement que j'attrapais entre mes dents quand je voyais nos livres de cours pas très loin surtout celui d'Anya qui dépassait de son bagage à main qu'elle avait eu dans l'avion. "L'examen…" soupirais-je en passant ma main libre sur mon visage, j'étais trop nerveux je crois que je n'avais jamais été ainsi pas confiant sur ce que j'allais faire demain parce que je ne maitrisais pas assez bien l'écriture des caractères en russe, ça avait beau ressembler à des petits dessins, ça me perturbait de temps en temps ce qui rendait une phrase incompréhensible en une fraction de seconde. "Faut que je me détende tu masses ton gentil et adorable et fort mari?" Le mec qui poussait à fond les choses c'était moi. "Je suis super stressé." Bon un mensonge à moitié, heureusement qu'elle ne voyait pas mon visage je pense que j'aurais éclaté de rire.

Je sursautais un peu lorsqu'il me claquait les fesses avant de rire puis me laisser aller contre lui. Sa main sur mon ventre m'apaisait totalement, tout comme son torse contre mon dos, son odeur, sa voix. Tout. Je penchais la tête sur le côté, les yeux fermés lorsqu'il mordillait mon oreille jusqu'à ce qu'il ne me parle d'examen. Il me demandait de le masser, j'étais la fille sous pression, celle qui avait ses examen, qui se faisait suivre, poursuivre et traquer par un fou furieux, mais je devais être celle, qui lui faisait un massage. Ce n'est pas l'inverse qui aurait dû se passer. Je me retournais vers lui, une petite moue sur le visage, mais finalement, je respirais bien fortement pour lui faire un signe de la tête. Va t'installer alors dis-je en roulant des yeux. J'allais me laver les mains, le temps que Kenny s'installe, peut être dans le salon, sur le nouveau canapé qu'on avait acheté ou bien en haut, dans notre chambre, je n'étais pas certaine. Je regardais la poubelle, les colis qui étaient tombés sur le côté et tout à coup, je sentais mon coeur battre un peu plus fort. Détournant rapidement les yeux, je préférais me concentrer sur mon mari qui m'attendait quelque part dans la maison, attendant son massage. Bébé ? pas de réponse, il était surement en haut, dans notre chambre, alors je montais rapidement pour le rejoindre et lui faire son massage, dont il avait tant besoin

Je ne sais pas pourquoi je demandais un massage, je me sentais stressé mais j'avais vu pire cependant je trouvais au fond que c'était une bonne idée de prendre du temps pour nous et je m'attendais à ce que mon épouse me fasse des petits yeux de chien battu pour que je puisse lui faire un massage à ma place. Seulement contre toutes mes attentes, elle acceptait, ma surprise se lisait sur mon visage. "Euh d'accord." Dis-je en avançant dans le salon, je refusais de rester ici, j'avais encore l'image des colis en tête ce qui me rendait fébrile totalement alors je montais en haut retirant mon débardeur noir une fois dans la chambre. Je prenais la peine de me laver les mains parce que je savais que je terminerais par m'occuper d'elle, je rapportais aussi une huile de massage au Monoï de la salle de bain jusqu'à aller sur le lit m'installer. Je regarder la table de chevet, amusé par un souvenir qui revenait bien rapidement dans ma tête, j'ouvrais celle d'Anya. Il y avait très peu de chose dans le tiroir, des crèmes pour les mains, des gels de massage, un bouquin mais aussi le fameux objet que je lui avais offert y a longtemps. "Hum." Dis-je en lui montrant la boite quand elle débarquait dans la pièce. Je tournais mes yeux vers elle, son visage était marqué par l'inquiétude de la situation, des examens aussi, elle avait plus besoin de se détendre que moi. "Approche." Je lui tendais un bras, quand elle arrivait, je la calais entre mes jambes pour la serrer fortement l'espace d'une seconde. "Je vais te masser mais j'ai des conditions." Dis-je en laissant mes dents glisser sur son oreille. "Musique, bougies et tenue légère de rigueur. Acceptes-tu?"

Tandis que je montais à l'étage pour masser Kenny, je restais là un instant contre la chambranle de la porte à le regarder se déshabiller. A regarder ses muscles bouger à chacun de ses mouvements, ses tatouages.... après m'être satisfaite du regard un petit instant, je lui faisais part de ma présence en avançant et en faisant du bruit. Je le voyais penché dans ma table de nuit, une boite dans les mains. OHMONDIEU. Il avait mis la main dessus. Hey ! dis-je en attrapant la boite pour la remettre dans ma table de nuit. Tout ce qui est dans ma table de nuit, reste dans ma table de nuit dis-je en lui donnant un petit coup de fesse pour que sa tête tombe sur le matelas, mais il vint me surprendre en m'attrapant au passage, après s'être relevé. Encore une fois, il laissait glisser ses dents contre mon oreille en me proposant un nouveau petit deal. Tenue légère pour qui ? demandais-je en riant légèrement alors que je me retournais, les bras autour de son cou, le regard mutin.

On avait pas énormément de règle dans la maison quand Alessia n'était pas là mais il est vrai qu'on avait instauré des petits parties privatives, qu'on ne devait pas ouvrir sans la permission de l'autre comme mon studio en bas ou le bureau d'Anya et aussi les tables de chevets, croyez bien que si j'avais eu la permission plus tôt j'aurais mis la main sur la boite curieux comme j'étais. "Attaque de fesse et décès immédiat de la cible." Dis-je en laissant ma tête retombée sur le matelas faussement mort pendant de brèves secondes. "T'es trop prude." Je rigolais, elle avait l'air un peu gêné que je sorte ça, que je sache son petit secret alors que moi j'étais tout excité, il y avait une sacré différence. Me redressant, je calais Anya sur le lit avec moi, m'amusant avec son oreille, me demandez pas ce que j'avais avec en ce moment, j'en savais rien tout ce que je savais c'est que j'adorais tirer dessus, mordiller, passer ma langue, j'aimais bien. Elle se tournait, ses bras autour de mon cou, son petit regard brillant ainsi que ses longs cheveux blonds qui encadraient son visage si fin me faisaient fondre. "Pour toi." Dis-je au début, seulement après réflexion je me demandais si à travers cette question il n'y avait pas un désir de me voir aussi en tenue légère. "Et moi si tu es totalement sage." Ma voix était tellement tendre, rempli d'amour, de joie, le retour était pas si dur finalement. "Alors ça marche?" Je pense que oui, de toute manière Anya adorait mes massages, j'avais des doigts divins apparemment puis je voulais jouer, je voulais aussi tout faire déraper, j'avais hâte de lui montrer mon nouveau corps enfin de montrer que je n'étais plus cet homme faible, que je me reprenais doucement. "Je prends ça pour un accord puis… Je te dois une fessée." J'arquais deux fois de suite les sourcils. "Tu me l'as promis ne cherche pas des excuses là maintenant dans ta petite tête, c'est mort, je te la donnerais mais avant retirer moi tout ceci Kovalevski."

C'est du béton dis-je en donnant une petite tape dessus, ravis d'avoir eu ma cible, d'un seul coup de fesse, mais bien rapidement, se fus moi la cible, puisqu'il m'attrapait par la taille pour me faire venir contre lui. Il s'amusait avec mon oreille, je frissonnais mais bien vite il me parlait de cette petite boite. Je suis pas prude ... c'est juste que je veux pas que tu te compares à ça , puis je veux pas que tu penses que tu me satisfait pas, alors, je ne le regarde même pas dis-je en posant ma main sur ses yeux, avec un petit rire en le faisant basculer en arrière. Le coude appuyait contre le matelas, l'autre bras contre son torse, je le regardais me dire que je devais me mettre en tenue légère. J'avais bien compris, mais autant essayer de retourner la situation à mon avantage. ça marche sur ces mots, je me redressais pour m'asseoir au bord du lit et encore plus rapidement lorsqu'il se mettait devant moi, debout. Ah bon j'ai promis ça moi ? dis-je en arquant un sourcil, un brin amusé, bien entendu que je me souvenais de ce moment, c'était après les scans. A croire que les bonnes nouvelles me faisaient toujours des effets incroyables. A vos ordres un sourire s'étirait sur mes lèvres, alors que je me relevais, tout contre lui. Je posais mes mains sur le bas de son débardeur pour le retirer, doucement, laissant mes doigts toucher sa peau au passage. Mes mains descendais ensuite vers son pantalons que je tirais vers le bas après avoir enlevé la ceinture et déboutonner le jeans. J'avalais ma salive en le regardant, je tournais même autour de lui avant de me coller dans son dos en posant mes deux mains sur ses fesses galbées J'ai envie de les croquer