« Surpises me » ♥ Joam

« Surpises me »

" Et que je te tiens chaud, c'est ça ? Ca va être problématique en été... " Bah oui si je lui tiens chaud en hiver, ça va être le cas en été aussi, non ? Et autant quand il fait froid, on arrive à se réchauffer, mais quand il faut chaud, c'est vraiment dur de dormir et de se rafraichir. Joey voulait faire la grande roue, et bon finalement je craquais, c'est quand même vachement romantique comme manège. " On y va alors. " Je rigole pour l'entrainer avec moi à la caisse de la grande roue pour pouvoir acheter un ticket, et qu'on puisse monter dans une cabine, que tous les deux bien évidemment. " Je ne serais pas contre de t'avoir tous les soirs avec moi, autant profiter que je sois seul dans ma chambre... " J'avais eu un coloc', mais il était partit, et depuis je n'avais personne, donc faut bien en profiter, en plus sa colocataire a du mal à me voir en peinture, donc autant éviter que je la croise quand même. La grande roue commence à tourner, nous faisant monter petit à petit.

« On ira dormir tout nus dans le jardin ! » Je le regardais en gardant mon sérieux puis je me mis à rire : sa tête était tellement drôle d'un coup. « Je rigole voyons ! Je suis pas encore devenue nudiste. » Il avait bien vu l'autre jour dans la douche j'avais eu du mal à me déshabiller comme ça devant lui alors faire du naturisme c'était contre nature pour moi. On se dirigeait tout en parlant vers la caisse de la grande roue et cette fois je fus plus rapide pour prendre les deux tickets. Très vite on s'installait dans une nacelle rien que tous les deux et on montait doucement, vraiment très doucement. Ca faisait des bruits bizarres ce truc, j'allais vraiment prendre peur... Assise tranquillement à côté de Priam je vins finalement passer mes jambes sur les siennes. Lorsqu'il déposa ses bras sur mes jambes, je pris ses mains, ses yeux dans les miens, là j'avais l'impression d'être seule au monde malgré ma frousse grandissante dans ce manège. « Autant profiter qu'on soit déjà tous les deux maintenant... »

« Surpises me »

Je la regarde surpris quand elle me dit qu'on ira dormir nu dans le jardin. Bien sûr, je ne la crois pas du tout, ce n'est pas son genre de se mettre nu devant des inconnus. Devant moi c'est mieux. Il n'y a que moi qui puisse la voir nu maintenant. " J'espère parce que je veux être le seul à pouvoir voir ton fabuleux corps. " Répondis-je en rigolant légèrement, alors qu'au final on montait dans la grande roue. On s'installe l'un à côté de l'autre, et lorsqu'elle pose ses jambes sur les miennes, je pose mes mains sur ses jambes en souriant. " Et à quoi tu penses Mademoiselle Montgomery ? " Demandais-je en souriant amusé, alors que je la regardais droit dans les yeux pour ensuite me pencher en avant et pouvoir l'embrasser tendrement.

« Fabuleux à ce point ? » Il n'est pas sûr de lui mais je ne suis pas sûre de moi non plus, encore un point commun, que de points communs en fait c'est un peu comme si nous étions faits pour nous trouver. Je m'installe confortablement et il m'embrasse en me demandant quelle idée je peux bien avoir derrière la tête. « Je pense à tout ce qui pourrait me faire oublier que ce manège me fou la frousse ! » Je l'embrasse à nouveau, plusieurs petits baisers déposés brièvement sur ses lèvres avant de ne plus les lâcher et l'embrasser fougueusement en me rapprochant de lui et passant mes mains dans son cou. Qu'est ce que je ne ferais pas pour oublier mon sentiment d'insécurité et ma peur du vide.

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" Oui fabuleux... " Répondis-je en souriant amusé. Je n'ai pas confiance en moi, mais elle non plus et pourquoi elle a juste un corps parfait. Je pourrais la regarder des heures quand même. Bref, Joey veut penser à autre chose qu'à cette grande roue qui lui fou la frousse, alors je ne peux m'empêcher de rigoler quand même. La grande roue lui fait peur ? C'est elle qui m'a demandé de la faire, et ça m'amuse quand même. Je prolonge son baiser avec cette même fougue, alors que je caresse sa cuisse doucement. " J'espère que m'embrasser comme ça te fait penser à autre chose... " Demandais-je en souriant amusé, alors que je retourne l'embrasser une nouvelle fois. Je crois que je vais vite devenir accro à cette jeune femme, parce que je ne peux m'empêcher de l'embrasser encore et encore, sans cesse.

Mes joues rougissent alors qu'il me complimente, je n'ai pas l'habitude mais je dois dire que cela fait du bien, et que venant de Priam c'est juste un bonheur. En fait être avec lui est simple, tout est simple et naturel et c'est bon de ne pas se prendre la tête. Lorsque sa main remonte le long de ma cuisse un léger frisson que je ne peux réprimer me parcourt le court d'un coup provocant un petit tremblement chez moi. « En t'embrassant comme ça je suis à des années lumières de penser qu'on va se scratcher au sol oui, si tu pouvais recommencer, mais ne pas plus monter ta main si tu ne veux pas que je te viole... » Réelle demande ou vrai sous entendu, c'était à lui de le décider, moi mon sourire ne me quittait pas et ma main se promener sur son torse, par dessus son tee shirt sous sa veste mais descendant de plus en plus bas pour passer au dessous et venir me poser sur sa taille pour exercer une légère pression comme si cela pouvait le rapprocher un peu plus de moi.

« Surpises me »

Ca me fait sourire de la voir rougir de cette façon quand je la complimente sur son corps. Elle m'attire et oui elle a un corps parfait. Durant le baiser, j'avais fais remonter ma main sur sa cuisse que je caressais délicatement, et je rigole légèrement à ses paroles. " Pour me violer, faudrait que je ne sois pas consentant... " Et a priori, ça ne compte pas m'arriver. Je frissonne lorsque je sens sa main passer en dessous de mon tee shirt. C'est qui veut se faire violer par moi ou bien ? " Par là si tu continue ou que ta main descend encore, c'est moi qui te viole... " Je souris amusé pour pouvoir retourner l'embrasser avec fougue un petit moment, et dire ensuite contre ses lèvres. " C'est possible d'être carrément en manque d'une personne ? Parce que là je le suis de toi... " Cinq jours quand même sans se voir, à s'éviter même, c'était plutôt dur quand même.

« Si ma main descend par là... » Dis je alors que ma bouche est tout contre la sienne et que ma main déboutonne le bouton de son pantalon pour se faufiler entre le tissu et le boxer du jeune homme. Non mais sérieusement on est vraiment en train de se chauffer dans un manège ? Où est passé la gentille petite Joey sage et le Priam timide et gêné qui m'a embrassé la toute première fois. « Je me demande lequel de nous deux est le plus en manque. » Ma langue finit par venir chercher la sienne à nouveau et je sens son désir monter tout contre ma main, il n'est pas facile pour lui de savoir ce qu'il en est pour moi mais impossible qu'il en soit différent. Après cinq jours à me tenir loin de lui, à lutter, c'était impossible de ne pas me laisser aller un peu. Non je n'avais pas envie de passer tout mon temps à faire l'amour avec Priam mais je devais bien avouer que j'adorais ces moments avec lui où il savait contenter mon désir autant que les moments où nous parlions de choses sérieuses et d'autres. La roue s'arrêta un peu, surement quelques minutes en eau pour profite du paysage, je l'espérais sinon j'allais vraiment pas réussir à rester calme.

« Surpises me »

Je sens la main de Joey déboutonner mon pantalon pour la passer sur mon entre jambe et là je ne peux pas m'empêcher de me mordre la lèvre inférieure. Elle est sérieuse là ? Elle veut vraiment faire ce genre de choses ici, dans la grande roue ? J'essaye quand même de garder un certain contrôle de moi même, mais c'est compliqué. " Nous deux tout simplement... " Répondis-je alors qu'on s'embrasse à nouveau avec fougue. Comment voulez vous que je garde un contrôle de moi même, c'est juste impossible là. Sa main est posé sur mon entre jambe, et la façon dont elle m'embrasse me donne carrément envie pour le coup. Finalement je passe mes mains sur sa taille pour pouvoir l'attirer à califourchon sur moi. Je ne pouvais pas résister pour le coup. Cinq jours sans pouvoir l'embrasser et la toucher ça avait été tellement dur quand même.

J'aime cette impression d'être seule au monde en train de partager un moment avec l'homme avec qui je vais faire un bout de chemin, oui un petit bout pour le moment je ne suis pas le genre à faire des plans on ne sait jamais ce qu'il peut se passer en allant aussi vite. Nous sommes dans un lieu public, dans une nacelle de grande roue avec le vent qui vient légèrement nous caresser le visage, seuls, en plein milieu des étoiles. Mes lèvres n'ont aucun envie de se décoller des siennes et alors que j'avais commencé à jouer, à le taquiner, je sens bien que notre désir à tous les deux va être plus fort que le simple jeu entre nous. Suivant le mouvement de ses mains, je viens me placer à califorchon sur lui alors que je sens son désir augmenter et le mien n'est pas en reste. Est ce qu'on va sérieusement faire cela ici ? Je l'embrasse encore et encore et ma main caresse son torse en dessous de son tee shirt, frôle son membre durcit par instant. « Monsieur Smith vous êtes fou... » Dis je en souriant. Dans cette position, j'ai encore plus envie que nous ne fassions qu'un, s'il trouve la combinaison idéale bien sûr.