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S&A ► «La jalousie rend féroce quand elle est impuissante.» 

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Vitor, la pute aux gros seins, les gens qui se déchaînaient autour de nous, tout, j'oubliais tout, profitant seulement du moment d'être aussi proche de Sandro. J'oubliais tout ce qui s'était passé et ce qui se passait, notre rupture, la tension qui existait entre nous: j'avais juste l'impression que toutes ces histoires n'avaient jamais existé et que nous reprenions seulement là nous nous étions arrêtés. Sandro avait remonté sa main sur mon dos et tout en m'embrassant avait murmuré: « Je ne sais pas du tout..» J'avais envie de rire, mais la situation n'était pas trop propice à ça, et j'avais trop peur qu'il redescende sur terre d'un coup et qu'il se rende compte de ce que nous étions en train de faire. Bien. Il ne savait pas, je ne savais pas non plus, mais en tout cas, j'étais plus heureuse que je ne l'avais été depuis longtemps, et cette euphorie n'était pas liée à l'alcool que j'avais ingurgité quelques instants auparavant. Je lui pris finalement la main, l'obligeant à se lever de son tabouret, puis le tira vers moi. «Viens..» Je commençai à faire n'importe quoi, mais bon, j'improvisais clairement là. Je l'entrainai vers moi vers la sortie, un énorme sourire aux lèvres, espérant secrètement que la fausse Angelina Jolie nous ait vus. « On rentre..» Je l'embrassai encore, une fois que nous avions mis un pas dans la rue.
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Sandro se laissait entraîné par Alys qui l'emmenait dehors. Il avait un énorme sourire aux lèvres, et ne réfléchissait même pas deux secondes à ce qu'il était en train de faire. L'italien attrapa la main d'Alys, et l'entraîna d'un pas rapide jusqu'à l'hôtel, s'arrêtant toute les trente secondes pour l'attirer à lui et l'embrasser. « Je t'aime..» lui murmura-t-il à l'oreille une fois dans l'ascenseur de l'hôtel, avant de déposer des baisers dans son cou. C'était sûrement la première fois depuis une semaine que Vitor lui sortait de la tête, et qu'il pensait à autre chose que cette soirée qui avait mal tournée. Non, il ne pensait à rien de tout ça, et il fallait avouer que ça faisait un bien fou. Il avait tout simplement l'impression qu'ils étaient redevenus Alys&Sandro, rien de plus, rien de moins. Dans sa chambre, Sandro la plaqua doucement contre le mur, l'embrassant encore et toujours, tout en commençant à enlever la veste d'Alys et de la laisser tomber par terre.

***

Il devait être environ 10 heures du matin. Sandro était endormi à plat ventre, comme à son habitude, une simple couverture cachant plus ou moins son corps. Un de ses bras entourait Alys, qui était dans le même lit que lui. Ce fut les bruits des klaxons dehors qui lui firent ouvrir les yeux. L'italien mit un temps fou à comprendre où il était. A Paris, dans un lit, à côté de son ex-petite amie. Et même si tout ces mots rimaient, la situation n'avait rien de poétique.

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Les mouvements d'une personne à coté m'avait réveillée. Une personne? J'ouvris les yeux brusquement. Pitié, faites que je n'ai pas ramené un bouffon, pitié.. La seule chose dont je me rappelais, c'était qu'hier j'étais allée dans une boite..Donc si on fait le raisonnement, j'avais forcément du me faire un petit français pour tenter d'oublier Sandro. Quelle conne, j'avais envie de me frapper. En plus, je sentais son bras sur mes épaules. Je levai les yeux au ciel. Aha, si il croyait que c'était parti, qu'on allait commencer une histoire d'amour, et que j'allais devenir sa meuf, il se foutait le doigt dans l'oeil, qu'il s'agisse de Marc, de Léon ou de Mathieu, ou de je ne sais quel autre type que je m'étais tapée. Bon. Il était urgent que je mette les points sur les i, et que je le foute dehors au plus vite, même si le garçon en question est un pur beau gosse. Je me retournai violemment pour faire face à..Sandro, à poil, lui aussi réveillé, et clairement abasourdi. Putain. Mais qu'est-ce qu'il s'était passé? Qu'est-ce qu'on avait fait? Je ramenai la couverture sur moi (pas qu'il ne connaisse pas la moindre parcelle de ma peau par coeur, mais bon..par pudeur quoi.), puis me posai sur le dossier du lit, à coté de lui. Je le regardai avant de dire: « Euh..il s'est passé quoi?» C'était super gênant putain! Jamais j'aurais cru que me retrouvée nue dans un lit avec Sandro me mettrait aussi mal à l'aise, mais là c'était horrible. Je touchai mes cheveux de ma main, nerveusement. « Tu regrettes? » Il fallait que je sache.
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Dès qu'il avait vu que c'était Alys, Sandro avait enlevé son bras d'autour de ses épaules et s'était assis. Des bribes de souvenirs lui revenaient en tête, mais rien de concret. Il était perdu, et ne comprenait pas pourquoi tout ça s'était passé. Enfin, ce n'était pas compliqué à deviner. Depuis la nuit des temps, Sandro était attiré par Alys. Il suffisait qu'il ait bu quelques verres pour qu'il finisse pas faire ce qu'il n'avait strictement pas le droit de faire : en clair, coucher avec son ex-copine qui avait failli le tromper. « Euh..il s'est passé quoi? » Sandro sortit enfin de ses pensées au son de la voix d'Alys. Il regarda l'état de la chambre autour de lui. « Je pense que c'est pas difficile à deviner..» répondit-il. Il passa sa main derrière sa propre nuque, la frottant tant il était gêné. Jamais il n'aurait imaginé que se trouver dans le même lit avec Alys aurait pu être aussi gênant. C'était à peine si Sandro ne rougissait pas. Pourquoi ? Il ne savait pas. C'était tout simplement bizarre. L'italien avait passé cette dernière semaine à se convaincre que c'était définitivement fini entre lui & Alys, et puis finalement il se retrouvait là, dans cette chambre, dans ce lit, avec la dite ex-copine.« Tu regrettes? » Sa situation était identique à celle des femmes au régime. Ces femmes qui font un régime drakonien et font des efforts inimaginable pour perdre du poids, mais qui, finalement, un jour, finissent par craquer complètement et manger un pot entier de nutella. Alys était le pot de nutella, et Sandro la femme au régime. Sur le coup, il ne regrettait pas d'avoir manger le nutella, puisqu'il adorait ça, et que c'était son péché mignon. Mais après... C'était complètement autre chose. Sandro l'aimait, ca, il en était certain. Mais il ne savait pas s'il était près à se remettre avec elle. « Je n'aurai pas dû faire ça.. ». Non, ce n'était pas bien d'avoir fait ça. Car en soit, il ne regrettait pas vraiment. C'était Alys, et.. Voilà quoi, il n'allait pas regretter d'avoir couché avec elle. Mais Sandro se savait pas près pour retourner avec elle. Du coup, il avait le rôle du connard qui couchait avec elle, puis qui la laissait tomber au final. Et Sandro n'aimait pas vraiment avoir ce rôle.
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« Je pense que c'est pas difficile à deviner..» Sans blague! Est-ce que c'était vraiment le moment de faire du sarcasme? J'étais complètement paniquée. J'avais peur qu'il dise qu'en effet, il regrettait, que ça signifiait rien pour lui et que c'était plutot une manière de se dire adieu. Alors si il me sortait un truc dans le genre j'hésiterais pas une seule seconde à le baffer. Baiser pour se dire adieu? Qui a inventé cette connerie? Sandro semblait au moins aussi gêné que moi, ce qui prouvai que je n'étais pas la seule fautive dans l'histoire et que je ne l'avais pas sauvagement violé. « Je n'aurai pas dû faire ça.. » Je retournai violemment la tête vers lui. Est-ce qu'il se foutait de ma gueule? Non non pas question qu'il se défile comme ça, c'était trop facile. Si il avait couché avec moi, c'est parce qu'il en avait envie, merde! Enfin c'est ce que j'espérais. Non parce qu'il avait eu pitié..Non. « Je te jure que si tu te défiles je te frappe. Je déconne pas Sandro. » Je lui avais parlé sur un ton super sec, certes, mais il le méritait. Il pouvait pas m'abandonner comme ça, c'était pire que mort. « Moi je regrette pas.» C'était vrai en plus. Je regrettai pas un seul instant. « Et je sais que toi aussi tu regrettes pas, alors putain je te le redis encore une fois, assume. Et arrête de trouver des excuses à tout! Tu vas dire quoi? Que c'était à cause de l'alcool? Que t'étais pas conscient? Ou que c'était une façon de finaliser notre rupture? C'est que des conneries. » Je me tus un instant, tentant de me rappeler la soirée de la veille. « Tu m'as même dit que tu m'aimais. »
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Il s'en voulait de ne pas avoir pu se contrôler. Même si au fond, il ne regrettait pas vraiment. « Je te jure que si tu te défiles je te frappe. Je déconne pas Sandro. » Il arqua un sourcil, étonné. Elle était sérieuse, là ? Sandro étouffa un rire, même si la situation ne le permettait pas. « Toi ? Me frapper ? N'importe quoi... » Il n'avait pas vraiment fait attention, mais Sandro s'était adressé à Alys avec ce léger ton moqueur qu'il avait l'habitude de prendre avec elle quand il voulait l'embêter, lorsqu'ils étaient encore ensemble. Comme si rien ne s'était passé. L'italien secoua la tête, pour se ressaisir. Il finit par s'asseoir au bord de lui, et attrapa son boxer qui pendait sur la lampe de chevet pour le mettre. Car oui, monsieur n'avait plus de slip depuis que Delacroix avait décrété que c'était moche et qu'elle les ait tous jeté à la poubelle. Il se leva, à la quête d'un t-shirt. Debout, au millieu de la chambre, on pouvait voir distinctement son tatouage sur la cuisse gauche qui représentait une sorte de trois bonnes fées. Bonnes fées de merde, oui. « Moi je regrette pas. Et je sais que toi aussi tu regrettes pas, alors putain je te le redis encore une fois, assume. Et arrête de trouver des excuses à tout! Tu vas dire quoi ? Que c'était à cause de l'alcool? Que t'étais pas conscient ? Ou que c'était une façon de finaliser notre rupture? C'est que des conneries. » Il n'avait franchement pas eu le courage de la regarder pendant qu'elle prononça ses paroles. Mais qu'est-ce qu'elle racontait ? Il n'avait rien dit de tout ça. Peut être qu'il avait vraiment été inconscient, en plus. Non, impossible. « J'ai dis quelque chose qui te laisserait penser ça, peut-être ? Est-ce que j'ai seulement prononcé le fait que tout ça était à cause de l'alcool, ou un quelconque complot de ta part qui voulait me violer, ou une merde dans ce genre ? Calme-toi. » Sandro daigna lever les yeux vers elle, toujours assise dans le lit, couverte pas les draps. « Tu m'as même dit que tu m'aimais. » Evidemment qu'il le lui avait dit. Tout simplement parce que c'était vrai. Et il se demandait comment elle pouvait en douter, franchement. « Sûrement parce que c'est le cas, Alys. » Sandro espérait seulement, à ce moment même, que Styx ne rentrerait pas dans sa chambre en gueulant qu'il fallait prendre le petit déjeuner. Il ne voulait pas qu'elle les voit. Même si, de toute manière, Alys allait sûrement tout lui raconter, et lui même finirait par le lui dire. Enfin bref, il était dans la merde.
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Il étouffa un rire qui manqua de m'achever. C'était vraiment le moment là..? « Toi ? Me frapper ? N'importe quoi... » J'eu un petit pincement au coeur: il avait dit ça sur ce ton enjoué et moqueur qu'il utilisait pour se foutre de ma gueule..C'était un peu en décalage avec les circonstances mais bordel ce que j'avais envie que tout redevienne comme avant. Qu'il m'énerve pour un rien, qu'il se foute de moi parce que je devenais hystérique en le voyant avec une autre fille, qu'il m'embrasse pour se faire pardonner...Pourquoi, mais pourquoi j'avais tenu à faire la conne ce soir-là? Il s'éloigna de moi et je le regardai mettre son boxer qui avait été négligemment balancé sur la lampe posée sur la table de chevet. On avait vraiment du être enragés..Et puis heureusement que je m'étais occupée vite fait bien fait de bruler tous ses slips ridicules qui le faisaient ressembler à un enfant de quatre ans et que je lui avais acheté des sous vêtements respectables et non pas honteux! Ca me fit soudainement pensé qu'avant, je me comportais vraiment comme sa petite femme. Putain. Je voulais tellement revenir à cette époque, et ça me faisait chier d'etre aussi dépendante de lui, moi la grande féministe! Féministe de mon cul ouais.
Il s'était levé pour se retrouver au milieu de la chambre, et j'eu tout le loisir de détailler son corps parfaitement fait. Devait-il être obligé de toujours être aussi beau gosse,sérieux?« J'ai dis quelque chose qui te laisserait penser ça, peut-être ? Est-ce que j'ai seulement prononcé le fait que tout ça était à cause de l'alcool, ou un quelconque complot de ta part qui voulait me violer, ou une merde dans ce genre ? Calme-toi. » Bon. Je m'étais un peu trop excitée peut-etre, mais je préférais le dire direct, et le devancer. Non parce que j'avais pressenti les excuses de merde dès qu'il avait sorti son "j'aurais pas du faire ça..". Il avait levé les yeux vers moi d'un air tellement sévère... Je me sentais stupide. « Sûrement parce que c'est le cas, Alys. » Je levai les yeux vers lui pour le regarder dans les yeux. J'avais envie de me lever et d'aller l'embrasser pour lui dire que moi aussi je l'aimais, mais bon. J'étais à poil. Autant m'habiller un minimum quand même. Un silence, un de plus s'était installé entre nous tandis que je cherchais mon soutif et une culotte. Après quelques secondes, je les trouvai sans difficulté et ne tardai pas à les enfiler. Non parce que sait on jamais au cas où une femme de ménage entrait, j'avais pas envie qu'elle me trouve comme ça. Je me levai à mon tour du lit pour aller me planter devant Sandro. « Je commence à en douter. » Je détestais regarder les gens dans les yeux, et là c'était beaucoup trop horrible, c'est pourquoi je décidai plutôt de fixer mes pieds. « Parce que si tu m'aimais vraiment tu me pardonnerais, et tu supporterais pas d'être loin de moi..» Je relevai les yeux vers lui et m'approchai. « Je veux juste être avec toi Sandro. J'en peux plus de cette gêne merdique qu'il y'a entre nous maintenant. »
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Rares étaient les fois où Sandro pardonnait une personne. C'était plus fort que lui, il n'y arrivait pas, ou quasiment jamais. Ça faisait parti de son caractère, et Alys le savait sûrement. Alors qu'il était debout , a la recheche du t-shirt perdu, Alys vint se planter devant lui, en sous-vêtements. « Je commence à en douter. » Quelle idiote. Elle osait dire ça, vraiment. C'était surement la plus grosse connerie du monde.« Je t'aime tellement que ça me fait mal. » Sandro avait sorti ça tout spontanément, comme si ça lui était naturel de dire des choses aussi bizarre. C'était tellement cliché & ridicule, mais tellement vrai pourtant. Cette scène était digne d'un vieux remake d'amour gloire et beauté. Seulement, et malheureusement, ce qu'il venait de lui dire était totalement vrai... « Parce que si tu m'aimais vraiment tu me pardonnerais, et tu supporterais pas d'être loin de moi...Je veux juste être avec toi Sandro. J'en peux plus de cette gêne merdique qu'il y'a entre nous maintenant. » Elle avait d'abord les regard fixé sur ses pieds, comme une petite fille timide qui voulait annoncé quelque chose de pas bien à sa mère. Mais elle avait fini par lever la tête et se rapprocher de lui. Il avait bien envie de l'embrasser, mais c'était impossible. Du moins, il se l'interdisait. « Tu me manques ... Vraiment. Ca me rends malade d'être loin de toi, de ne pas pouvoir être avec toi. Je pense à toi genre.. Tout le temps. Et il y a des moments où je te déteste tellement d'avoir fait ce que tu as fait... J'aimerai pouvoir te pardonner, sincèrement. Mais je ne peux pas, j'y arrive pas. Pas maintenant, pas tout de suite. » C'était sans y faire attention, et avec automatisme que Sandro avait porté sa main droite au niveau du visage d'Alys afin de caresser sa joue.
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« Je t'aime tellement que ça me fait mal. » Bim, dans ta gueule Alys! Ca t'apprendra à dire n'importe quoi. La scène commençait à prendre des airs mélodramatique, il manquait plus que la pluie et le violon pour que tout soit parfait. En plus on était à Paris, c'était encore mieux. Sauf que là pour le coup, je m'en foutais qu'on soit niais, la seule chose qui m'importait vraiment, c'est que Sandro continue à m'aimer comme avant. Mais j'avais besoin qu'il passe à autre chose, sinon toutes ces belles paroles serviraient plus à nous faire mal qu'à autre chose. « Tu me manques ... Vraiment. Ca me rends malade d'être loin de toi, de ne pas pouvoir être avec toi. Je pense à toi genre.. Tout le temps. Et il y a des moments où je te déteste tellement d'avoir fait ce que tu as fait... J'aimerai pouvoir te pardonner, sincèrement. Mais je ne peux pas, j'y arrive pas. Pas maintenant, pas tout de suite. » Il avait dit tout cela avec un calme surprenant, tout en me caressant tendrement la joue, comme avant pour me remonter le moral quand j'étais triste. Putain..tout ce qu'il avait dit me frappait en plein coeur. J'avais juste envie de pleurer. Non Alys, non, si tu pleures tu vas juste avoir l'air d'une gamine non, je te l'interdis, arrête ça ! Evidemment, les larmes commençaient à couler sans que je puisse y faire quoique ce soit. Je détestais pleurer devant quelqu'un, et là c'était Sandro en plus. Je me détestais. Je me détestais de pleurer comme une faible, je me détestais d'avoir enchainer les conneries, parce que j'étais qu'une petite conne en fait. J'essuyais d'un geste toutes les larmes, ne voulant surtout pas que Sandro ait pitié de moi. « Je..je comprends. Je pense que j'aurais réagi pareil à ta place. Bon bah..cette nuit était une belle connerie en fait, t'as raison on aurait pas du. » J'avas envie de me flinguer: pourquoi est-ce que j'avais cette voix de merde quand je pleurais? Je tentai de lui faire un sourire tout en lui caressant très légèrement la main. « On pourra toujours rester amis. Et, chacun fera sa vie, je te laisserai tranquille, je te jure. »
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C’était sûrement la première fois de sa vie qu’il disait ce genre de choses à une personne. Preuve qu’il l’aimait vraiment. Mais ça, Sandro ne savait pas si elle le savait. Et ça avait le don de le tuer. Parce qu’il se demandait tout simplement comment Alys pouvait faire pour ne pas voir qu’il était raide dingue d’elle, et que tout ça le faisait atrocement souffrir. Voir des larmes rouler sur ses joues fut pour lui comme l’effet d’une décharge électrique. Il avait tout simplement l’impression qu’on avait prit une hache, et qu’on s’amusait à découper son cœur en tout petit morceau. Et franchement, c’était tout sauf agréable. « Je..je comprends. Je pense que j'aurais réagi pareil à ta place. Bon bah..cette nuit était une belle connerie en fait, t'as raison on aurait pas du. » Sandro l’avait à peine écouté. La voir pleurer lui faisait mal. Horriblement mal. Encore pire que d’habitude, en fait. C’était une des rares fois où le jeune homme la voyait pleurer. Même dès tout petit, voir des filles pleurer le rendait atrocement malheureux, surtout quand il s’agissait de sa petite sœur. Mais là, ce n’était pas n’importe quelle fille. C’était Alys. Celle pour qui il irait décrocher la lune. « On pourra toujours rester amis. Et, chacun fera sa vie, je te laisserai tranquille, je te jure. » Ses paroles furent pire encore que de la voir en larmes. Elle, rester hors de sa vie ? Inimaginable. Et d’un côté, Sandro savait bien que jamais, ô grand jamais, il ne pourrait être ami avec Alys. C’était tout bonnement impossible. Et malgré ce qu’elle venait de dire, ou ce qu’il avait pu annoncer précédemment, Sandro la prit dans ses bras. C’était le premier reflexe qu’il avait eu. Il ne réfléchissait même pas à l’éventualité qu’elle puisse le repousser, tout simplement parce qu’à ce moment même, Sandro avait seulement besoin d’avoir Alys dans ses bras, et rien d’autres. En la serrant contre lui, il lui murmura, son nez enfoui dans ses cheveux : « Si tu savais comme je t’aime… » L’italien resta muet quelques instants, sans la lâcher pour autant. Il prit finalement la parole, à nouveau. « J’aurai aimé que tout se passe autrement.. » Oh oui, il le voulait tellement. Si seulement Alys pouvait ne jamais quitter ses bras, Di Mancini serait sûrement un homme comblé.
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