KENYA ▬ Le début du reste de notre vie...

Des messages qu'on avait échangés pour ne pas changer me faisaient rire. Après avoir nettoyé le jacuzzi j'avais été dans le garage pour bricoler ma voiture que j'avais toujours réparé depuis des années entière, j'aimais bien le faire ça me rappelait des souvenirs tellement particulier qui me ramenait à l'Angleterre. Un autre bip. Je m'essuyais les mains sur un chiffon coincé dans la poche arrière de mon jean qui me tombait bien bas sur mes hanches. Anya voulait que je l'attende torse nu, elle se faisait de plus en plus coquine avec le temps, j'aimais bien, je la trouvais moins complexé, plus libre, plus sur de sa personne ce qui me faisait croire qu'elle appréciait la moindre parcelle de moi y comprit la plus salace. Retirant mon débardeur, je le posais sur le coté, je crevais de chaud, le soleil tombait sur la porte du garage ouvert sur notre grand jardin, de loin Alessia me regardait de temps en temps par la vitre, je lui faisais un coucou jusqu'à ce qu'elle parte avec Manuela faire sa sieste dans les alentours de 15h, une petite heure avant le gouter. Jay quant à lui s'amusait avec… Bien tiens Milo il était ou? Je le cherchais rapidement des yeux mais rien du tout, il devait être à l'intérieur en tout cas ce qui captait mon attention c'était la venue de mon épouse alors que j'avais le nez dans le moteur, la clé à molette dans la main. "Salut." Dis-je en la regardant descendre de voiture. Je prenais mon chiffon pour m'essuyer les mains, mon boxer était dévoilé alors que mes fesses se posaient légèrement sur le rebord du véhicule sur lequel je bossais. "Vous venez pour une petite révision?"

J'étais passé voir ma filleule, Beth, à l'hôpital mais aussi tenir compagnie à Candice. Elle était inquiète et j'essayais d'être là pour elle, autant que je le pouvais et autant qu'elle me voulait, parce que je pouvais très bien comprendre qu'elle avait également besoin de se retrouver avec Dorian et Beth ou bien seule avec sa magnifique petite princesse, qui n'était pas aussi belle que celle de Kenny et moi (aa) Oui, notre Alessia en même temps, c'est la perfection, vu les parents (aa) Je passais prendre macdo, comme Kenny me l'avait demandé même s'il était presque 15heures, cependant, lorsqu'il m'avait dit qu'il avait bricolé toute la matinée, je me doutais qu'il n'avait pas mit les pieds dans la cuisine ou bien dans la maison, sous peine de réprimande de Manuela. Il devait avoir de l'huile de moteur de partout ... que calor. Je me dépêchais de rentrer, j'avais envie de le voir dans son habit de bricoleur, surtout le nez dans le moteur, je sais pas ... je trouvais ça sexy. Une fois garée dans l'allée de la villa, je descendais de la voiture, remontant mes lunettes de soleil sur le sommet de ma tête et baissant un peu ma robe qui était remonté sur mes cuisses lorsque je conduisais. Elle était toute nouvelle, elle était toute moulante aussi et devenait qui l'avait choisis ? Le bel apollon qui était entrain de me saluer. J'avançais vers lui, sachet de nourriture à la main en lui faisant un clin d'oeil J'ai ramené de quoi déjeuner ... une petite pause, ça ne fait de mal à personne, mon mari ne rentrera pas avant ce soir dis-je avec un petit sourire en coin. Je posais mes lunettes de soleil dans le garage, puis j'avançais vers Kenny, laissant mon regard trainé sur son corps de rêve. Je crois qu'il va falloir revoir la voiture entière, elle fait un bruit étrange .. tu penses que t'en auras pour longtemps ?

Cette robe j'avais attendue qu'elle l'enfile je peux vous le dire quand je l'avais vu dans le magasin tout ce que j'avais pensé c'était Anya. Je la voyais parfaitement dedans, ses courbes parfaitement moulées, la couleur qui ferait ressortir ses yeux et une fois devant moi je peux vous dire que je prenais encore plus chaud. Ma température venait d'avoisiner les 40 degrés. "Tant mieux alors, je vous remercie." Je posais le sac sur le coté, j'avais faim certes mais pas forcément de nourriture vu la déesse devant mes yeux. "Je pense oui, on sait jamais ou les bruits peuvent venir tu sais." Je m'avançais vers elle un peu prédateur, j'avais chaud, ma peau brillait mais très légèrement disons que je ne collais pas ou je ne sentais pas mauvais, je crois que je l'aurais complètement dégouté dans ce cas là. Manuela passait, je souriais en lui disant au revoir, seul, Alessia qui dormait, le babyphone allumer, je me retournais pour fermer le capot de la voiture pour attraper Anastasiya et la poser dessus, sur ma voiture de collection, mon bébé, je posais ce qui était le plus précieux dessus. Je poussais un peu ses jambes pour me glisser entre elle afin d'embrasser ses lèvres délicatement. Quatre jours étaient passés depuis cette fameuse soirée, j'avais essuyé des jours assez difficile, le traitement encore plus fort m'épuisait de plus en plus je n'avais pas décollé du lit ou même de la maison depuis tout ce temps c'était le premier jour ou j'arrivais à me sortir des draps avec difficultés mais pas autant que je l'aurais cru, en plus j'avais poussé Anya dehors car je lui parlais désormais. Le premier jour du reste de notre vie tous les deux ici dans ce garage à embrasser sa peau, à vouloir la manger sur place, commençait aujourd'hui. "Je vais devoir vous retirez ceci…" chuchotais-je après avoir glisser mes mains sous sa robe pour lui faire glisser son bas.

Kenny était incroyablement sexy comme ça. Torse nu, le jean légèrement baissé laissant apparent son boxer, ce chiffon taché d'huile de moteur dans sa poche arrière, son corps légèrement brillant sous l'effort et le soleil qui tapait aujourd'hui et les légères tâches noires qu'il avait sur le torse. Je le regardais un instant, en posant une fesse contre l'une des tables, faisant tout de même attention de ne pas me tâcher. C'est vrai, vaut mieux prévenir que guérir dis-je avec un petit sourire en coin, alors que je le regardais droit dans les yeux, laissant tout de même mon regard allait sur son torse de temps en temps, en me mordillant la lèvre tandis que je croisais mes jambes mais c'était sans compter Kenny qui venait me prendre pour me déposer sur son capot après l'avoir fermé. Doucement il venait écarter mes jambes pour se poser entre celles-ci, je les serrais autour de lui, c'est bien, au moins j'étais entrain de travailler l'intérieur de mes cuisses comme ça, autant dire que tout mes muscles étaient bien entretenus et travaillés souvent avec le bellâtre que j'avais face à moi. Ses lèvres venaient se poser contre moi, je passais un bras autour de son cou, laissant l'autre en appui sur le capot puisque la seconde d'après il était entrain d'embrasser ma peau. Sous mes doigts, je pouvais sentir le léger film de sueur et ça ne me faisait rien bien au contraire, sur le moment, dans la situation, je trouvais ça plutôt sexy. Je pense qu'étant donné le travail que tu vas devoir faire sur ma voiture .. tu peux me dire tu dis-je avec un petit sourire en passant une mèche de cheveux derrière mon oreille cependant, il me retirait déjà ma petite culotte , je tapais sur ses doigts, arrêtant la descente de mon sous vêtement Hey ça va un peu vite ... et on a le temps, mon mari ne rentre pas avant ce soir ... je vais te regarder un peu faire avant, histoire de savoir si je suis prête à te céder ma carrosserie un petit clin d'oeil et je descendais du capot en me collant contre lui en tout cas, je vois que t'as les outils nécessaire dis-je contre son oreille, mon bras toujours autour de son cou pour finalement me glisser sur le côté, oui, j'avais aussi un peu envie de le voir aller sous la voiture, mettre le nez dans le capot. Je trouvais ça terriblement sexy, puis je ne trouvais pas ça inintéressant

"Je suis pas habitué avec mes clientes mais pour toi je ferais une exception." Lâchais-je avec un petit sourire dans le coin. Ce jeu de rôle de la cliente me faisait rire, j'avais besoin de penser à autre chose, de penser à un truc insouciant et Anya savait parfaitement s'y prendre pour me faire oublier le quotidien. "Ah madame veux tâter le terrain." Je souriais en la faisant glisser le long du capot, j'étais encore plus excité de la voir me tenir tête que de la voir me repousser parce que j'allais plus rapidement, à croire qu'elle s'évertuait à écouter ce que le médecin nous avait conseiller. "Les outils sont importants, je suis heureux de te rassurer." Dis-je en ne cachant pas mon amusement, elle jouait avec moi, j'étais un peu paumé faut bien le reconnaitre Anya n'était pas du genre à se montrer si coquine, j'étais le mec parfaitement salace par contre moi sauf que là ça me chauffait plutôt bien surtout qu'elle allait me regarder bricoler. J'ouvrais le capot de nouveau, je reconnais que ça m'avait légèrement dérangé de laisser ce que je faisais sur le coté parce que ce n'était pas une petite réparation, il y avait une fuite que je n'avais pas colmaté et l'huile continuait à se propager. Les mains appuyées de part et d'autre, je regardais le souci prenant la clé à molette et autres ustensiles pour pouvoir régler le souci. J'oubliais presque Anastasiya sur l'instant quand je me redressais, mes yeux se posaient sur elle avançant face à sa petite personne pour attraper la bouteille d'eau et boire un peu. "cela te convient?" demandais-je alors que mes muscles se contractaient à chaque mouvements. "Je suis aussi exigeant sur mes clients, comment est-ce que je sais que tu es capable de me payer?"

J'espère bien dis-je à propos de l'exception. Oui, je fais pas les choses sans avoir toutes les cartes en main je me laissais porter par mon mari qui me posait sur le capo, ses lèvres étaient fougueuses, ses mains étaient sauvage et mes jambes le serraient davantage alors qu'il tentait d'enlever ma culotte. Je l'arrêtais dans son geste en me dégageant de son emprise. C'est vrai de bons outils ... c'est gage de qualité dis-je en sautant du capot, lui demandant de reprendre où il en était, je m'accoudais au bord de la voiture, faisant attention d'être toujours sur le bout de carrosserie pour ne pas me salir comme Kenny le faisait. Je regardais chacun de ses muscles se réveiller, bouger au moindre de ses gestes. Il revenait à moi, en me regardant de nouveau et pour une fois, je ne râlais pas pour le manque d'intérêt, j'avais aimé le regarder faire, je lui avais même passer quelques outils après qu'il m'ait expliqué leur forme. Je le regardais boire, en me mordillant un peu la lèvre inférieur lorsque de l'eau coulé sur lui merde, c'est censé être aussi caliente ce genre de chose ? Totalement dis-je en ne le regardant même pas dans les yeux, puisque je ne me cachais pas pour suivre l'au ruisseler sur son torse C'est vrai que de nos jours c'est important ... disons que je m'avançais, me collant contre lui pour me maintenir stable alors que je relevais une jambe, je faisais glisser mon sous vêtement finalement, alors que lui me retenait à sa façon. Je mettais ma petite culotte dans l'autre poche arrière de son jeans, la faisant dépasser elle aussi t'as au moins la garantis que je ne parte pas sans payer parce que j'ai besoin de ma petite culotte dis-je contre son oreille , passant mon pouce sur son front pour essuyer une petite tâche d'huile de moteur. Je posais mes fesses contre la voiture, tandis qu'il sortait la petite planche à roulette pour aller en dessous si t'as besoin de quelque chose, je suis là .. je bougerai pas dis-je avec un petit sourire

Merde quoi Anya me rendait malade. Sa manière de retirer son bas, de me parler, ses yeux en plus, j'allais mourir sur place si je ne la faisais pas mienne, elle me mettait pas mal à l'aise mais qu'est-ce qu'elle me donnait envie. Tout était balayé, les quelques jours délicats remplis de fatigue et de douleur de tête, tout partait comme si rien avait existé. "J'accepte ceci comme un escompte." Dis-je en glissant mes yeux sur elle langoureux et fiévreux, je prenais une aspiration. Plus les secondes avançaient plus je me sentais dans l'indélicatesse, tout prenait forme, tout changeait en moi, j'en étais heureux même pas dérangé cette fois comme je l'étais d'habitude, limite j'avais envie de me pavaner alors que je prenais la planche à roulette pour glisser sous la voiture et finir ce que j'avais commencé. "Passe-moi la clé à molette." Dis-je en tendant la main. Je la prenais en souriant sous la voiture, il y avait juste ma taille qui dépassait et mes jambes rien de plus. "J'espère que je t'ai convaincu parce que le trique se dresse tout seul." Je glissais à l'extérieur de sous la voiture en attrapant le chiffon pour m'essuyer les mains. "Alors madame que puis-je faire pour vous…" murmurais-je sensuellement proche de ses lèvres.

Ca me plaisait bien ce petit jeu de rôle,j e dois l'avouer, parce que tout naturellement, ça me plaisait de voir Kenny comme ça. S'il fallait que je casse toutes les voitures ou que j'arrache des fils au hasard sous le capot pour le voir tous les jours comme ça, je suis réellement capable de le faire, quoique le plombier ou bien le jardinier, ça me tentait aussi. Attention, c'est de la lingerie française quand même un petit clin d'oeil, depuis que je suis arrivé dans le garage, je crois que je lui en avais fait pas mal, non non , je n'avais pas de poussière dans les yeux. Kenny se transformait peu à peu. Je souriais en voyant que merde, j'étais encore capable de le faire et que tout ceci était un bon signe quant à l'avancement du traitement. La clé à molette ... dis-je en me tournant vers la boite à outil ... c'est ... laquelle ? dis-je en me baissant vers la fameuse boite à outil en tirant sur ma robe, ouep, pas que mais ma culotte était dans la poche de son jeans. Une fois les indications donné et une mauvaise clé, je la lui donnais, il terminait rapidement ce qu'il avait à faire, quant à moi je contemplais ce qui avait sous mes yeux et avant qu'il ne se lève de sa planche à roulette, je me posais sur lui un petit sourire aux lèvres. Oh oui là, je suis convaincue dis-je en me dandinant un peu pour me relever, tout comme lui puisque la seconde d'après, il était si proche de moi que je manquais de tomber, heureusement que le capot était derrière moi et fermé. Pour toi, j'ai dis non au vouvoiement parce que je compte qu'on soit bien intime toi et moi dans les seconde à venir je ne sais pas trop ce qu'il me prenait à vrai dire, je n'avais jamais été ainsi, l'abstinence à du bon apparemment. Je prenais la télécommande de la porte automatique du garage pour la fermer à moitié, histoire que personne ne voit ce qu'il se passe dedans. je viens de remarquer que j'ai pas d'argent sur moi .. c'est grave ?!

Comment lui décrire la clé à molette. "C'est celle qui fait un U, assez lourde et toute grise." Seulement vu ce qu'elle me tendait je voyais bien que mes indications étaient douteuses. Amusé, je faisais rouler la planche pour tomber nez à nez avec une Anya accroupie qui regardait la caisse en métal, sa robe remontait doucement dévoilant la naissance de ses fesses. "Non c'est pas celle-là." Dis-je en la contemplant sans l'aider, je n'allais pas le faire vu ce qu'elle m'offrait. Ma main avait envie de glisser lentement sur sa peau, de voir cette dernière frissonner mais je m'abstenais. "Merci." Je prenais la clé, retournait à l'intérieur pour régler le souci puis je ressortais, en me relevant tous mes muscles se contractaient, la fine pellicule de sueur était encore bien présente sur ma peau à mon plus grand désespoir. "Je suis heureux de t'avoir convaincu alors." Ma voix était d'une sensualité affolante alors qu'elle heurtait la voiture, mes yeux la transperçaient et ma lèvre inférieure passait sous mes dents, dieu ce que je voulais lui montre sa peau. "Dis comme ça j'ai l'impression que… Laisse tombé, j'ai plus très envie de parler." Non je voulais pas gâcher la situation si chaude qui venait de se créer entre nous mais sa phrase était suspecte, si le tutoiement était un signe qui voulait dire qu'on deviendrait intime alors elle allait vouvoyer tout le monde moi je vous le dis. Mes mains se posaient de chaque coté de la voiture entourant son corps alors que la porte se baissait pour cacher ce que nous nous apprêtions à faire. "Oui c'est grave mais je pense que vous allez pouvoir me payer d'une manière différente que les autres clients." Mes doigts glissaient sur son fessier, sur ses hanches jusqu'à plaquer avec une certaine violence son corps contre le mien puis mes lèvres avec les siennes. Automatiquement ma langue trouvait le chemin se livrant à un ballet avec la sienne des plus sensuels, mes longs doigts partaient à l'assaut de sa fermeture éclaire que je n'eu pas de mal à ouvrir. Je comptais plus le nombre de jour qui avait eu lieu entre la dernière fois ou on l'avait fait et maintenant, c'était de trop, je trépignais d'impatience. Ma plus grande surprise était ma réaction physique, je n'en revenais pas, le traitement marchait il encore? J'avais des doutes sur la seconde seulement les yeux de mon épouse me ramenait à la réalité des choses alors que sa robe glissait le long de ses jambes dévoilant sa nudité parfaite.