MARC ≡ Attention à cette silhouette envoûtante... On croit voir passer un ange, mais c'est l'enfer qui vous tente.

Personnellement, j'en ai rien à faire de cette guerre quasi ancestrale entre les Eliots et les Mathers, enfin je ne tolère pas le mode des vie des verts et c'est vrai que j'ai du mal à les supporter tellement "je m'en foutisme" que parfois les voir me donne envie de leur faire une belle morale mais je ne perds pas mon temps avec l'infériorité, je suis dans l'excellence et je compte y rester. Nikki à beau être une verte, elle a beau adopter ce mode de vie de débauche, je passe au-dessus parce qu'elle reste une femme avant tout, une femme qui me plait et je n'aurais jamais pris la peine d'accepter qu'elle vienne vers moi si ce n'était pas le cas. J'arrêtais de l'ennuyer avec les paroles, elle voulait passer à l'acte, qu'il en soit ainsi, ce qu'elle semblait apprécier grandement vu le sourire sur ses belles lèvres pulpeuses « Je suis un fonceur dans la vie, tout simplement. » lui lâchais-je lâchant un petit rire avant de me rapprocher dangereusement d'elle et de venir l'embrasser en posant une main sur sa joue, elle semblait apprécier, partageant ce baiser avec moi, qui n'aime pas les french kiss sérieusement ? Etant français, c'est ma spécialité, ce qu'elle a vite remarquée « Si je peux me rendre utile, avec plaisir. » dis-je entre deux baisers, j'aimais dominer mais qu'elle prenne l'initiative de passer à la vitesse supérieure me plaisait, elle venait se mettre sur moi, ses bras entouraient mon cou, ses lèvres se collaient aux miennes et je souriais sans lâcher ses lèvres, la sentant se frotter à moi. Mes mains venaient palper ses fesses et je quittais ses lèvres pour venir embrasser sa nuque.

Aaliyah se tapait un anglais, Nicki se taperait un français, c’était décidé. La jolie jeune femme avait pris la situation en main en allumant clairement Marc et maintenant elle passait à l’action. Si il y avait bien quelque chose que Nicki avait compris c’était que les hommes étaient faibles lorsqu’il s’agissait du corps des femmes. Coucher avec Marc, c’était le soumettre en quelque sorte et c’était exactement ce dont la belle russe avait besoin : un mec qui ferait tout ce qu’elle veut sans trop poser de question. À califourchon sur lui, la jeune femme frémît de plaisir lorsqu’elle sentit les mains du beau français descendre sur ses fesses, il faisait exactement ce qu’elle attendait de lui et c’était merveilleux comme sensation. Il embrassait divinement bien et le rythme s’intensifiait, elle commençait à avoir réellement envie de lui et le faisait savoir en l’embrassant dans le cou, mordillant sa lèvre inférieure, glissant sa langue à la rencontre de la sienne. « Tais toi maintenant. » souffla t-elle en s’écartant légèrement de lui. Elle se souleva quelques peu, prenant sa robe à pleine main et la fit glisser par dessus sa tête, se retrouvant ainsi en boxer à dentelle sur le bel Eliot. Interdit de mettre un soutien-gorge à moins que cela soit nécessaire, c’est ce qu’elle avait toujours pensé et c’était une sensation exquise. « Passons aux choses sérieuses… » murmura t-elle en passant ses mains sous sa chemise, lui adressant un regard brûlant de désir.

Bien que je puisse la manipuler comme elle avait pu le faire avoir moi, elle gardait le dessus car tout simplement, c'était une femme attirante qui me plaisait et m'attirait. S je voulais lui tenir tête, la provoquer et j'en passe, ça ne serait que dans un but d'amusement parce qu'en vrai je ne pourrais pas lui résister, c'est là où se trouve toute la différence, ce petit brin de pouvoir qu'elle s'octroie sur moi, je ne peux rien y faire. Elle décide qu'on devaient passer aux choses sérieuses, je n'étais pas contre lui montrant ce qu'elle voulait que je lui montre, l'embrassant divinement, elle embrassait parfaitement bien, j'avais rien à redire sur ce point. Assise à califourchon sur moi, dès que ses lèvres se plongèrent dans ma nuque, mes mains prenaient place sur ses fesses, les caressant, les palpant, je sentais de petits soupirs écumer entre ses lèvres qui venaient juste de mordiller ma lèvre inférieure, je souriais quand elle me demandait de me taire, à croire qu'elle ne voulait entre que le son de nos soupirs de plaisirs, de nos gémissements, je me taisais donc, la laissant se redresser légèrement pour qu'elle retire sa robe,la faisant passer au-dessus de sa tête, une fois celle-ci au sol, c'était dur de ne rien prononcer, sa poitrine si galbée naturellement sans soutien-gorge, mon dieu, une perfection, ses lèvres me disaient qu'elle voulait passer aux choses sérieuses, dans la seconde qui suivait, je sentais ses mains passer sous ma chemise, sentant ses ongles caresser chaque parcelle de mon torse, mes mains poser sur ses fesses, remontaient légèrement pour elles aussi caresser chaque parcelle de sa peau, là elle m'excitait de fou et j'avais envie de l'envoyer au septième ciel.

Le rythme avait clairement accéléré dans la chambre de la Mather. La température grimpait et les gestes se faisaient plus cadencés, Nicki savait ce qu'elle voulait et elle le voulait maintenant. Le bel Eliot la suivait dans sa folie et Nicki sentait la fièvre du désir monter en elle. Elle avait toujours adoré le sexe, elle n'avait jamais fais l'amour autant se le dire mais s'envoyer en l'air était son plus gros kiff. Elle collectionnait les lieux insolites, aimait le sexe bestial, c'était une vraie croqueuse d'homme du haut de ses 20 ans elle l'assumait totalement. Elle était heureuse d'avoir attirée Marc jusque dans ses filets et la nuit s'annonçait bien meilleure que ce qu'elle ne l'avait prévue. Après avoir fait glissé sa robe par dessus sa tête, elle commença à balader ses mains et ne tint pas longtemps avant de lui enlever sa chemise d'un geste brusque, faisant péter un bouton. "Oups..." murmura t-elle d'un ton sensuel. Dévorant son cou à nouveau, la jeune femme se plaqua au torse du jeune homme et un faible râle s'échappa de sa bouche lorsqu'elle sentit la chaleur du corps de Marc contre le sien. C'était exactement ce qu'elle voulait vivre pendant ses années universitaires : la fièvre du samedi soir.

La température venait de prendre quelques degrés en plus, surtout depuis qu'elle s'est débarrassée de sa robe la laissant tomber au sol pour révéler une poitrine non couverte d'un quelconques soutien-gorge, je savais même pas quoi dire tellement je la trouvais parfaite, galbée au naturel, je dirais presque un vrai chef d'oeuvre. Elle se rapprochait de moi, se collait à moi, passant ses mains sous ma chemise, tâtant les parcelles de mon torse, je me mordais la lèvre en la regardant dans les yeux, j'avais envie d'elle et je sentais ses mains venir se retirer de mon torse pour s'attaquer à ma chemise, s'attaquer aux boutons, en pétant un au passage, je souriais l'entendant de sa petite voix sensuelle être étonnée mais ne pas s'arrêter continuer à les défaire jusqu'à ce que ce bout de tissu rejoigne sa robe, me rendant torse nu. Son corps contre le mien, cette chaleur corporelle me faisait frissonner, mes mains se posaient sur ses fesses rebondies pendant que je mordais ma lèvre inférieure, sentant ses lèvres dévorer mon cou, je soupirais d'un plaisir certain comme je pouvais l'entendre soupirer de ce même plaisir qui ne cessait de grimper.

Tout en contrôle, Nicki s’occupait de Marc comme elle savait s’occuper d’un homme. Jouant avec ses formes et le parsemant de baisers, elle savait qu’il n’y avait rien de mieux pour soumettre un homme que de le charmer avec son corps. Le sexe était quelque chose de vital chez la gente masculine tandis que Nicki s’en servait pour influencer, séduire, manipuler. Pour elle c’était égal à une double dose de plaisir. La chemise de Marc ne tarda pas à rejoindre sa robe sur le sol, et la jeune femme fut surprise de voir qu’il n’était pas si entreprenant que ça. Elle faisait tout le travail pour le moment et c’était un mauvais point pour lui mais après tout, c’était souvent comme ça. Ces hommes puissants en public aimaient être soumis en petit comité. La jeune femme s’attaqua donc ensuite à son pantalon, déboutonnant le bouton, baissant la braguette. Elle voulait faire ça vite, elle en avait envie depuis un petit moment maintenant mais la fatigue pointait le bout de son nez et ça risquait d’être malvenu si elle s’endormait en plein milieu. Quoique si Marc s’y prenait bien ce n’était pas censé arrivé. « Passons aux choses sérieuses… » déclara la jeune femme.

Je la laissais faire, je la laisser dominer parce que je sais qu'elle aime ça, c'est dans sa nature non, le contrôle sur les autres, je peux très bien lui monter que je peux me rendre très entreprenant avec elle mais je m'amuse à la laisser tout faire, juste pour savourer tant que je peux avant de lui montrer ce que je peux faire. Ses doigts laissaient les parcelles de mon torse tranquille pour s'attaquer aux boutons de ma chemise, en très peu de temps elle se retrouvait au sol avec sa robe, elle se collait encore plus contre moi, s'occupant maintenant de mon pantalon en plaquant ses lèvres dans ma nuque, je fermais les yeux souriant en me mordant la lèvre alors qu'elle venait de déboutonner le bouton de mon pantalon et de baisser la braguette, passer aux choses sérieuses ? j'étais entièrement d'accord. « J'attendais que tu le dise. » dis-je en souriant avant de la serrer contre moi pour que les positions soient inverser en basculant, c'était son dos contre le canapé et moi collé à elle, je souriais la fixant quelques instants avant de plaquer ma tête dans sa poitrine galbée naturellement et de commencer à prendre les bouts de son boxer en dentelle, elle n'en avait pas besoin.

Ce soir, Nicki se sentait pousser des ailes. Elle savait que coucher avec Marc lui mettrait un pied à l’étrier pour les autres, elle savait aussi que pour peu que Marc s’en vante sa réputation allait décoller. Elle se devait de tout donner, et alors qu’elle s’apprêtait à prendre les choses en main au sens propre du terme, Marc jouxta de position la laissant maintenant contre le canapé. Son corps plaqué contre le sien, Nicki passa ses mains autour de son cou, l’obligeant à l’embrasser avec passion. Alors que sa tête était nichée dans son décolleté, la jeune femme s’attaqua à son cou, mordant et griffant déjà au rythme que le plaisir montait. La jeune femme le laissa lui retirer son boxer en dentelle et Nicki lui adressa un sourire entendu, plein de gourmandise et de sous-entendu. Elle fit ainsi glisser le pantalon et le boxer du jeune homme, à présent nu, Nicki écarta ses jolies jambes déjà bronzée afin de sentir le poids du jeune homme. « Montre moi ce qu’un Eliot devrait me montrer. » susurra t-elle entamant des va et vient suggestif. Il avait l’air aussi excité d’elle et Nicki jubilait à l’avance. Marc était foutu comme un dieu grec, sa peau était douce. La belle brune était aux anges, décidément coucher pour réussir n’était vraiment pas une corvée.