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Tu ne pouvais que te tendre, que de contracter de plaisir tout ton corps alors que tu venais après de longues minutes d'ébat intense. C'était bon d'apprendre à connaître un nouveau corps, d'apprendre pour une nuit ou deux les différences que cette personne pouvait avoir avec celles passées avant elle, et finir tout de même la tête dans les nuages. Il était bon l'idiot, il semblait déjà avoir mémorisé les endroits qui te faisaient frémir et les coups de reins qui t'électrisaient de bonheur plus que d'autres. Il venait d'ailleurs lui aussi quelques secondes après toi en gémissant ton nom comme une douce musique à tes oreilles, et tu soupirais d'aise en le sentant faire, l'une de tes mains caressant avec paresse et lenteur le long de son bras. En deux secondes, t'étais parti de en forme pour continuer des heures à épuisé, l'esprit dans un monde parallèle qui ressemble quand même vachement à ce que l'on pouvait appeler paradis. Tu te sentais vide, vide et tellement repus, et tellement bien là, dans ce lit étranger. Ton autre bras enlaçant vainement avec peu de force la taille de Viktor, et tes yeux se fermaient à moitié quand tu sentais ses baisers sur ton visage et ton cou. Tu tentais de reprendre ta respiration, les battements de ton coeur essayant de se calmer à chaque seconde qui passaient, et tu soufflais un rire contre ses lèvres lorsqu'il osait te dire qu'il recommencerait s'il pouvait. « Calm down cow-boy, j'vais d'jà d'voir me goinfrer une seconde fois s'tu comptes me voir enfin sortir de cette chambre un jour. » Tu plaisantais, n'avouant pas encore que tu n'aurais pas dit non si tu étais plus en forme toi aussi – de toute manière, ce n'était pas comme s'il croirait le contraire. Tu hochais doucement ta tête à sa question, mordant légèrement ta lèvre en le sentant disparaître de toi, et tu frottais un instant ton visage sur l'oreiller, baillant. « Au paradis. Il va m'falloir du temps pour redescendre. » Tu avouais d'une petite voix, venant passer une main sur tes fesses doucement avant de rire, jetant un coup d'oeil pour les regarder. « Comment je vais expliquer ça hein ? Que c'est mon chien qui a voulu jouer ? » Tu demandais en montrant tes fesses un peu griffées de ses ongles pendant l'acte. Surtout que t'avais même pas de chien – enfin, pas pour l'instant, mais t'avais bien l'intention de t'en acheter un une fois le Spring Break fini.
« Calm down cow-boy, j'vais d'jà d'voir me goinfrer une seconde fois s'tu comptes me voir enfin sortir de cette chambre un jour. » C'était soulageant, de faire l'amour comme ça, d'aussi délicieuse façon. Ce n'était pas que de la baise. Un amant, voilà tout, un amant qui savait s'y prendre de la plus parfaite des manières. Et tu disais vrai : tu recommencerais plusieurs fois, si seulement t'en avais l'énergie. "C'est vrai que j'vais bien devoir te laisser partir à un moment ou à un autre.", dis-tu en souriant, respirant un coup, alors que tout retombe. Tu as l'impression d'avoir couru un marathon, d'où ta respiration saccadée. Tu le voyais se mordre la lèvre inférieure. Tu maugrées. "Arrête de faire ça.", souffles-tu en passant un doigt sur sa lèvre, le regard féroce, mais amusé. Tu t'retrouves avec le regard posé sur le plafond, les couvertures te recouvrant jusqu'au milieu du torse. Toujours nu sous la couverture, ton pied caresse doucement sa jambe. Rien de provocateur, juste une petite caresse. « Au paradis. Il va m'falloir du temps pour redescendre. » Pareil pour toi, ça c'est clair.. Tu souris, comme toute réponse. « Comment je vais expliquer ça hein ? Que c'est mon chien qui a voulu jouer ? » Tu poses tes yeux sur ses fesses - délicieuses, soit dit en passant. Puis, tu te mets à rire de bon coeur. "Ça te va bien, les griffures.. J'aime bien l'effet que ça fait. Pas besoin de trouver d'excuse pour justifier que t'as pris un peu de plaisir, pas vrai..?", dis-tu, la voix rauque et charmeuse. "Avais-tu quelque chose de prévu, aujourd'hui? J'veux pas te retenir trop longtemps, si tu as d'autres occupations."
« C'est vrai que j'vais bien devoir te laisser partir à un moment ou à un autre. » Tu hochais doucement ta tête à ses paroles, même si tu semblais fonctionner par automatisme, trop fatigué pour vraiment penser ou faire des choses difficiles mentalement parlant. Pour ainsi dire, il n'était vraiment pas temps qu'on te pose des questions philosophiques de tout genre ou encore moins qu'on t'interroge sur l'économie du pays de 1789 à vos jours. Il t'avait jute épuisé, et c'était à peine si tu arrivais à garder les yeux ouverts après ça. « Oui. Ne soit pas un dangereux psychopathe qui séquestre ses coups d'un soir, je t'en pris. » Tu demandais presque, sur le ton de la plaisanterie - surtout parce que s'il était un vilain et dangereux psychopathe, tu ne saurais rien faire face à lui, tu ne saurais pas te défendre, étant donné que l'homme qu'il était avait vidé tes dernières ressources physiques. Tu reprenais peu à peu ta respiration, redescendant avec difficulté sur terre, mais jamais tout à fait. Tu mordais ta lèvre inférieure au manque de son membre en toi, et puis tu relevais tes yeux sur le demi-dieu allongé maintenant à tes côtés, lorsque tu entendais sa voix. Un doigt glissais sur tes lèvres que tu entrouvrais légèrement, avant de sourire doucement en coin, déposant un baiser sur la pulpe de son pouce. « Quoi, ça ? » Tu demandais, avant de te détendre sous les draps, soupirant d'aise en le sentant caresser ta jambe. Puis tu te souvenais que tes fesses avaient elles aussi eu droit à un cadeau de la part de Viktor extérieurement, et tu les lui montrais en te demandant ce que t'allais bien pouvoir dire pour ça – heureusement que c'était le genre de chose qui était bien plus facile à cacher que son suçon. Et en plus, il riait en te disant que ça t'allais très bien. « T'aimes bien l'effet que ça me fait ? T'aimes les griffures toutes rouges ? » Tu souriais doucement amusé, avant d'hausser tes épaules. « C'est surtout que si certains voient ça, ils vont me demander qui est passé par-là afin d'essayer de se retrouver dans ton lit. » Tu avouais, lui faisant un petit clin d'oeil, puis tu secouais ta tête négativement à sa question, te redressant un peu. « Non non, j'ai rien de prévu. J'vais profiter tranquillement de ce dernier jour à rien faire. » Tu avouais en passant une main dans tes cheveux, avant de te forcer à enfin te lever pour récupérer tes habits un peu partout par terre dans la chambre.
« Oui. Ne soit pas un dangereux psychopathe qui séquestre ses coups d'un soir, je t'en pris. » Te mettant à rire, tu secoues la tête de gauche à droite, espérant le rassurer sur le fait que tu n'as aucun casier judiciaire, ni en "réserve", ni en vue. "Juste pour te dire.. je trouve ça cent fois plus plaisant de coucher avec quelqu'un de consentant et de conscient que quelqu'un dans les vapes qui se laisse faire du début à la fin." Autrement, ça t'ennuyait royalement. Le fait qu'il se morde la lèvre le rendait étrangement sexy, surtout dans cette position, dans ce moment de calme après "l'amour". Tu le lui fis subtilement remarquer. « Quoi, ça ? » Parce qu'il ne devinait pas? Tu te mords la lèvre inférieure tout juste comme il l'avait fait pour le lui montrer. « T'aimes bien l'effet que ça me fait ? T'aimes les griffures toutes rouges ? » Haussant les épaules, tu t'imagines bien avoir cette discussion en buvant une bière. Mais à cette heure matinale, hors de question que tu boives de la bière. Seulement de la vodka. "Je dis seulement que.. ça te va bien.", rigoles-tu entre tes dents, continuant de caresser sa jambe au passage. Il commence à fermer les yeux, signe de sa fatigue, son épuisement. Vous n'avez pas vraiment arrêté, depuis la veille. Enfin, juste un peu pour dormir. « C'est surtout que si certains voient ça, ils vont me demander qui est passé par-là afin d'essayer de se retrouver dans ton lit. » Tu hausses les épaules à ton tour, le regardant de nouveau du plus sérieux que tu peux. 'Oh. Je ne dirais jamais non à du bon sexe, Nemo." Tu souris en coin, le laissant alors se lever de ton lit pour chercher ses vêtements. Tu en profites pour t'étirer, raqué. « Non non, j'ai rien de prévu. J'vais profiter tranquillement de ce dernier jour à rien faire. » Hochant la tête, tu tires les couvertures sur toi, commençant également, il est vrai, à ressentir une certaine fatigue. "J'crois que c'est une bonne idée.. Je vais te laisser faire tes trucs, t'as l'air.. épuisé. On se re-contactera à Cambridge, j'imagine.", dis-tu dans un demi-sourire.
Tu souriais en coin alors que tu entendais son rire, puis tu faisais semblant d'être très rassuré par sa réponse, une main sur ton front tel une princesse sur le point de s'évanouir d'émotion. « Suis-je tombé sur l'homme idéal ?! » Tu lâchais ironiquement, avant qu'il se plaigne de la vilaine habitude que tu avais de te mordre les lèvres. Il te refaisait d'ailleurs, ce qui ne le rendait que plus sexy qu'auparavant, puis tu détournais le sujet sur tes fesses griffées. « Je dis seulement que... Ça te va bien. » Mouais, pour le coup tu n'étais pas trop certain, à part s'il était dans un petit trip sado-masochiste, mais pourquoi pas. Tu souriais juste doucement, soupire d'aise. « Merci donc. » Tu disais, avant qu'il continue de parler, ce qui t'interpela. « Jamais jamais ? » Tu demandais, plissant légèrement tes yeux tout en l'observant quelques secondes. Ça pouvait en dire des choses différentes, le fait qu'il ne puisse dire non à du bon sexe. T'espérais peut-être un peu au fond de toi qu'il ne soit pas si obsédé que ton meilleur ami niveau sexe – lui c'était un gros cas. « Donc si jamais t'étais en couple, et qu'une personne que tu sais est un bon coup venait à te draguer, tu te laisserais totalement aller avec elle ? » Tu continuais, l'expression curieuse. Puis tu te levais, cherchant tes affaires pour commencer à te rhabiller. Tu ne savais pas encore vraiment ce que tu allais faire, surement que t'allais te reposer pendant quelques heures dans ta chambre, avant de commencer à mettre de l'ordre dans tes valises pour repartir vers Cambridge. Tu hochais ta tête en l'entendant parler, souriant doucement en coin quand il osait dire que tu étais épuisé, et tu enfilais ton pantalon et ton t-shirt, avant de piquer le premier stylo posé sur un meuble, et de gribouiller le plus lisiblement possible ton numéro de téléphone sur un morceau de papier. « Envoie-moi un sms, hein ? » Tu demandais en te rapprochant du lit, venant un instant te pencher afin de lui voler un dernier long baiser, puis tu te décollais en posant ton papier sur son torse, lui faisant un petit clin d'oeil en te redressant. Tu attrapais rapidement tes chaussures sans les enfiler, puis tu allais vers la porte, lui lançant un dernier regard avant de disparaître dans le couloir de l'hôtel.