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Guess it's true, i'm not good at a one night stand | ft. nemo

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« La prochaine fois. Peut-être. » Tu roules des yeux, jouant le mec exaspéré. Il est un peu comme toi, en fait. C'est peut-être ce qui t'étonne tant de lui, ce qui t'impressionne le plus. C'est lui qui faisait planer le suspense, le mystère. Peut-être. Peut-être... Rah. Et dire que c'est lui qui détestait les réponses vagues. Tu aimais cela autant que de te faire arracher une dent sans avoir été gelé au préalable. « Je suis d'accord. Toi tu aimes juste beaucoup te vanter. » Tu hoches la tête en haussant les épaules. Mais... tu ne vas tout de même pas nier, alors que c'est vrai. Enfin, avec lui, tu le fais surtout pour le taquiner et voir ses réactions chaque fois. En temps normal, tu ne te promènes pas avec un écriteau sur le front qui dit : JE SUIS LE MEILLEUR, hein. Quand même pas.. "Et toi, tu ne te vantes pas assez..", souffles-tu en rigolant, bien amusé de la discussion que vous entretenez, qui est tout sauf intelligente, et qui ne sert strictement à rien. Mais sans même que tu ne t'en rendes compte, ça te fait un peu décompresser de tous les soucis que tu as à l'extérieur de cette chambre. Tu penses à quitter ton boulot sous peu, dès le retour à Harvard : c'est le Spring Break qui t'a éclairé à ce sujet. « Tu ne me l'as pas demandé ! » Oh-oh, il n'a pas aimé que tu gardes le secret, toi aussi, de ton côté. Tu comptes bien t'en amuser encore un peu, pourquoi pas..?

« Quand tu te prenais pour Dracula et que tu dévorais mon cou ? Tu as un sourire en coin qui se veut malicieux et coquin. "Je crois que tu as bonne mémoire.." Tu t'approches de lui tel un roi lion qui guette sa proie depuis de longues minutes. C'est peut-être ce que tu faisais, en l'observant, l'analysant bien gentiment, pour ensuite te jeter sur lui, tel un animal affamé. Tu étais affamé... Affamé de lui. Tu n'étais pas rassasié de la veille, faut croire. Pas contre du tout... » Oh, oh. Alors profitons. Il t'agrippe au niveau de la nuque, et ni une ni deux, t'attire à lui pour t'embrasser langoureusement. Tu plonges ta langue pour aller à la rencontre de la sienne. Tu dévores ses lèvres avec un immense plaisir que tu taisais jusqu'ici, pour les hommes. Enfin, tu ne te l'étais pas vraiment avoué, peut-être, ne cherchant pas à le faire nécessairement. Tu n'es encore qu'un amateur, et tu ne cherches qu'à t'améliorer. Comment faire l'amour à un homme? Enfin, dans le sens externe du terme. Une femme... tu caresses sa poitrine, tu passes ta main sur l'intimité, dans l'intimité, où des milliers de zones érogènes sont prêtes et n'attendent qu'à procurer le plaisir, qu'à le lui faire ressentir. Mais avec un homme... Comment devais-tu t'y prendre? Y avait-il plusieurs façons? Ou une seule? Tu quittes ses lèvres, glissant vers le cou, déposant ici et là quelques chauds bisous, l'autre fois, laissant simplement glisser tes lèvres contre sa peau froide. Tes mains, quant à elles, se dirigent vers le bas de son corps, sur les hanches, puis... sous le corps, pour attraper ses fesses, que tu malaxes avec une sensualité que tu ne te reconnais pas. Tu as un sourire concentré, alors que tu t'appliques à lui procurer du plaisir rien que par tes baisers et tes mains... Relevant ta tête vers lui, les yeux brillants, tu murmures : "C'est un secret, mais.. Même moi, le grand Viktor, froid et distant.. même moi, j'ai besoin d'un peu de tendresse, le matin.." Oui, même toi tu en demandais, même toi tu en voulais. Mais ça, peu de gens le savaient et peu de gens se prenaient la peine de vraiment comprendre tes besoins et désirs, souvent.
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Tu riais doucement quand tu le voyais rouler des yeux, amusé de le voir avec son expression exaspérée sur le visage. En quelque sorte vous jouiez, répondant parfois avec franchise aux questions ou insinuations de l'autre, et puis quelque fois vous vous plaisiez à devenir mystérieux, comme pour piquer la curiosité de l'autre, pour le titiller, ou peut-être tout simplement pour ne pas tout dévoiler de soi tout de suite histoire de ne pas perdre l'intérêt de la personne en face de vous. Histoire qu'elle ne se dise pas qu'en une matinée elle ai tout cerné de toi et que ça ne lui servirait à rien de plus de te revoir, si ce n'est le plaisir physique de la chair et du sexe. Il soufflait l'idée que tu ne te vantais pas assez, et tu haussais tes épaules, souriant en coin en le regardant. S'il savait que tu étais Eliot et que tu commençais à te vanter devant lui, tu n'étais franchement pas sûr qu'il te sorte cette même requête. « Ça t'excite les mecs qui se vantent ?» Tu demandais avec un grand sourire.

« Je crois que tu as bonne mémoire... » Comment aurais-tu pu oublié ça ? Ça avait été court, mais très très appréciable. Il avait l'air bien plus sauvage, comme s'il avait du mal à résister de ne pas te dévorer là sur place, et t'aimait lire ça dans ses yeux. Tu l'agrippais afin de pouvoir l'embrasser, ta langue jouant avec la sienne sensuellement, et tes mains caressaient ses muscles et ses abdos dont tu ressentais la forme sous la pulpe de tes doigts. Tu lâchais une petite plaintive quand il délaissait tes lèvres pour aller s'occuper de ton cou, et l'une de tes mains glissait dans ses cheveux bruns, massant quelque peu le cuir chevelu sous le plaisir et les frissons qu'il te procurait. Tu aimais sentir ses lèvres et son souffle contre ton cou, et puis il s'attaquait à tes fesses et tu laissais échapper le plus petit des gémissements, venant mordre ta lèvre inférieure alors que tu passais tes jambes autour de sa taille, pour que ce soit plus aisé pour lui. Tu venais griffer très légèrement son dos pour lui montrer que tu aimais ce qu'il faisait, mais tu venais un peu appuyer ton bas-ventre contre son torse car tu sentais que ton membre lui ce sentait seul et excité. Tu le regardais dans les yeux quand tu sentais qu'il relevait sa tête, et tu souriais en l'entendant dire, reprenant ses lèvres contre les tiennes pour un court instant. Tes baisers s'étendaient sur sa mâchoire, puis tu le regardait de nouveau, reniflant un petit rire amusé. « Je n'aurais pas appelé ça tendresse, surtout avec les yeux avec lesquels tu me regardes. Tout sauf de la tendresse... » Tu murmurais, caressant un instant sa joue avant de l'embrasser passionnément de nouveau, ondulant un peu sous lui.
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« Ça t'excite les mecs qui se vantent ?» Ha-Ha! Son sourire te nargue, tu hausses un sourcil. "C'est toi qui m'excite, là.", dis-tu pour légèrement détourner la conversation, sans pour autant aller complètement ailleurs. Puisque c'est vrai, qu'il t'excite, là. Le plaisir avec un homme était bien différent de celui partagé avec une femme, et pourtant, il y avait toute cette sensualité masculine, cette virilité, ce besoin mutuel. Vous ne connaissez rien du corps de l'un et de l'autre et pourtant, vous êtes déjà à l'aise avec celui-ci. Tu te sens bien, réellement bien. Et tu t'assures qu'il se sente aussi bien que toi, ce que tu ne tardes pas à comprendre. Son corps tout entier réagit sous tes caresses, tes baisers. Tu sens des doigts s'entremêler dans tes cheveux, encore légèrement humides par la douche que tu as prise tout à l'heure. Lui, de son côté, te procure quelques frissons, à sa manière, en caressant du bout des doigts ton torse. Ah.. Comme c'est agréable. Voilà l'explication qui justifie ton besoin urgent de l'avoir de nouveau contre toi. Il te retient contre lui, tu sens son excitation, sans même avoir y toucher de ta main. Il te la fait sentir, et tes yeux, se glissant entre vos deux corps, le remarquent bien assez vite, aussi. "Hmm..." C'en est de même pour toi. Il a un drôle d'effet sur tes réactions corporelles, sur ton excitation, sur ta virilité, sur ta libido. Tu veux faire durer le plaisir, ton regard de braise se pose à nouveau sur lui. Il va tellement prendre son pied.. « Je n'aurais pas appelé ça tendresse, surtout avec les yeux avec lesquels tu me regardes. Tout sauf de la tendresse... » Fronçant les sourcils, tu n'as même pas le temps de répondre quelque chose qu'il t'embrasse de nouveau, avec une passion difficile à reconnaître. Connais-tu vraiment la passion, la tendresse? À croire que non, avec ce qu'il vient de te dire. Pourtant, mordillant sa lèvre au passage, dès le moment où il cherche à reprendre les tiennes, tu murmures contre lui, le souffle court et chaud : "Tu m'apprendras la tendresse, aussi?", dis-tu avec une pointe d'humour dans la voix. Tu quittes sa bouche, redescendant d'une manière se voulant sensuelle, posant des bisous à tous les deux-trois centimètres le long de son corps, passant par le menton, le cou, le long du torse, jusqu'au bas ventre... Mais tu n'y touches pas. C'est dans à l'intérieur des cuisses que tu t'arrêtes, mordillant, pinçant, bécotant les zones sensibles, pour qu'il te supplie, pour qu'il ait envie de toi, mais aussi pour te permettre de découvrir ce qui lui plaît. C'est un peu comme un cours pratique, que tu as. Et dieu sait comment t'aimes ça, ce genre de cours. "Ça... c'est de la tendresse?"
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Tu riais, levant tes yeux au ciel quand il te disait que c'était toi qui l'excitait à ce moment-là, et puis il venait réunir vos corps ensemble, apaisés par le contact de l'autre. C'était bon de ne penser à rien d'autre qu'au plaisir à procurer, et tu aimais encore plus le fait qu'il était celui qui prenait pour le moment les rênes, et que tu 'avais presque qu'à le laisser faire et écouter les propres agissements de ton corps qui parlait pour toi. Tu riais un peu en lui répondant avant de prendre à nouveau possession de ses lèvres que tu aimais tant, puis tu l'entendais parler contre ta bouche, et ce fut à ton tour de te stopper légèrement, réfléchissant quelque peu. « Ce n'est pas vraiment ce que deux hommes qui couchent ensemble font, mais pourquoi pas... » Ce n'était pas que tu n'en avais pas envie mais eh, tu faisais attention à toi, et tu te prenais à avoir peur que ça devienne un petit peu trop dangereux comme relation d'un coup. Tu ne le connaissais pas, et malgré les choses que tu apprenais sur lui dans vos discussions légères, il n'en restait pas moins qu'un homme rencontré lors de fêtes au Spring Break, et avec qui tu avais baisé. Lui apprendre ce que c'était la tendresse... C'était d'un tout autre niveau d'intimité que vous n'aviez pas – et qui sait, que vous n'aurez peut-être jamais. Tu ne pensais pas que c'était quelque chose que tu pouvais tenter de lui apprendre sans que la relation change ou que des sentiments présentement inexistants commencent à émerger. Peut-être que lui ne voyait pas cela comme toi, et tu donnerais surement tout pour avoir un peu de sa naïveté dans ces moments-là, mais tu ne pouvais que te faire des films et voir apparaître ce panneau rouge criant danger dans ton esprit quand tu l'entendais poser cette question avec tant d'innocence qui te faisait mal au coeur. Peut-être que c'était de ta faute aussi. Tu gigotais trop dans ta tête et tu n'entendais pas la pointe d'humour qu'il pouvait avoir. Tu ne sentais pas la blague. Tu essayais d'oublier tout ça quand monsieur se mettait à vénérer chaque parcelle de ton corps, et tu profitais juste de ses douces lèvres contre ta peau brulante qui descendait, et descendait encore. Tu lâchais un soupir tremblant d'envie non dissimulée quand il s'arrêtait près de ton membre sans le toucher, et tes yeux se fermaient alors qu'il te torturait sans remords, et qu'une boule d'anticipation se formait au creux de ton ventre. « Viktooooor... » Tu te plaignais, ouvrant à nouveau tes paupières pour l'observer de tes yeux vitreux. « Je m'impatiente... » Tu disais en essayant de reprendre un peu de contenance, ta voix rauque ne cachant pourtant rien du plaisir que tu ressentais de ses lèvres, mais tu tentais vainement de lui montrer comme si ça en devenait presque ennuyeux, ne voulant déjà le laisser gagner et le supplier pour qu'il cesse ses tortures à l'intérieur de tes cuisses. Il te demandait si ça c'était de la tendresse, et tu glissais une main dans ses cheveux. « C'est mieux... » Tu lui assurais, car ça y ressemblait déjà plus que précédemment.
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« Ce n'est pas vraiment ce que deux hommes qui couchent ensemble font, mais pourquoi pas... » Tu doutes qu'il ait bien interprété ce que tu cherchais à dire spécifiquement, tout à l'heure. Ce que tu veux, c'est qu'il t'apprenne à y bien t'y prendre, avec les hommes. Ta première fois avec une fille, en bas âge, tu n'avais pas été spécialement doué. Mais ça s'apprend, et avec le temps, l'expérience, les conquêtes, tu avais réussi à découvrir les points faibles du corps féminin. Tu savais jouer avec, tu savais t'y prendre pour que le plaisir dure de longs moments, et qu'il ne cesse pas dès les premières vingt minutes passées. Tu ne voyais, dans ce que tu avais fais comme requête, aucun problème concret. Alors, plutôt que de persister sur la question et d'avoir à t'arrêter, tu préférais de loin continuer. Rien de mieux que le sexe pour n'avoir à penser à rien et faire ce que l'on avait envie de faire, demander ce que l'on cherchais à ressentir, apprécier chaque instant, chaque baiser, chaque coup de rein, chaque caresse.. C'est ça, le bon sexe. Ne pas se torturer l'esprit et prendre son pied. « Viktooooor... » Oh, tu sens l'impatience lorsqu'il prononce ton nom d'une voix torturée par l'attente et le plaisir déjà ressenti. Mais ça te plaît, de jouer avec le feu, de faire grimper aux rideaux, avant de laisser retomber la pression au dernier moment. C'est ta façon de provoquer ton ou ta partenaire. Les supplications te font de l'effet, tu ne résisteras pas très longtemps encore, toi non plus. Il est beau, le Nemo. Il a un corps dont tu as envie de goûter chaque parcelle, chaque recoin. Un visage angélique aux traits masculins qui t'impressionne et te fait voir la gente masculine d'une autre façon. En plus? Il est bien monté. « Je m'impatiente... » Tu souris, arrêtant tout d'un seul coup pour le faire languir encore plus. Toujours un peu plus. "Oh, mais je sais..." Ton sourire s'élargit encore un peu à l'entente de sa réponse, de son avis. Alors, juste après, ton visage, ton corps tout entier remonte, se collant, se frottant contre le sien au passage, pour que tes lèvres rejoignent à nouveau les plis délicieux de son cou, qu'il t'offre sans trop de réticente. Tu y plantes gentiment tes dents, tes lèvres se posant sur la peau, aspirant la chair, comme un vampire. Tu restes ainsi une bonne minute, aspirant telle une sangsue, pour lui faire un suçon. Peut-être ton côté légèrement possessif qui ressort.. Tu te mords la lèvre en remontant, pour planter ton regard ténébreux dans le sien. Ton bassin se colle au sien. Puis, dans un élan fougueux, volontaire, excité, impatient, le soulevant légèrement - pour le confort, tu unis une nouvelle fois ton corps au sien, poussant un rauque soupir de soulagement et de plaisir. Cette fois, c'est toi qui tente l'expérience. Mais tu y vas doucement, très doucement. Comme il l'a fait avec toi, la veille. Bien qu'il soit certainement plus habitué et à l'aise dans le "domaine" que toi, tu ne cherches pas à lui faire mal. "Nemo..", souffles-tu, enfouissant ta tête dans le creu de son cou, ne sachant pas trop quoi faire, tel un novice. Tu veux qu'il te guide, bien qu'il t'ait guidé la veille. Tu te sens étrangement bien. Vraiment bien, même.
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Il te faisait tourner la tête, il te rendait presque fou avec si peu de choses, et malheureusement pour toi – ou heureusement ? - il semblait y prendre un malin plaisir à continuer sa douce torture sans pour autant entrer dans le vif du sujet ou soulager un peu ton membre qui était douloureusement prêt contre ton bas ventre. Tu lui disais bien que tu t'impatientais, que ça allait maintenant trop lentement pour ton bien, et l'idiot ne trouvait rien de mieux que de s'arrêter complètement pour te narguer en te disant à quel point il était au courant de tout ça. Et il avait ce sourire sur son visage que t'avais envie de lui faire ravaler... « Tu t'accordes un petit peu trop de pouvoir sur moi... » Tu murmurais en le regardant et il revenait vers toi, et tu penchais ton visage afin de lui laisser l'accès libre à ton cou. Tu soufflais de plaisir en le sentant insister de ses lèvres et ses dents, tes doigts se baladant sur sa peau alors que tu profitais enfin du fait qu'il soit collé à toi pour appuyer ton membre sur le bas de son torse afin de créer de petites frictions qui te soulagent. Tu finissais par sentir de mieux en mieux le fait qu'il était en train de te procurer un gros suçon, et tu lâchais un petit rire. « Tu me marques ? » Tant que ça ne faisait pas marquage du bétail comme si tu n'étais rien, ça allait, t'aimais les frissons et les sensations que ça te procurait, ça faisait longtemps qu'on ne t'en avait pas fait. Tu gémissais tout doucement alors qu'il te soulevait un peu et te collais mieux à lui, et lorsqu'il murmurait ton nom, son souffle contre ton cou, te te sentais défaillir. L'une de tes mains venant caresser ses cheveux, et tu venais entourer sa taille de tes jambes, afin qu'il ai un meilleur accès à tes fesses. Tu cherchais à l'aveuglette de ta main libre le petit flacon de lubrifiant à terre que tu avais utilisé la veille afin d'éviter au mieux de lui faire mal, et tu le posais à côté de toi une fois trouvé pour pas qu'il l'oublie, avant d'attraper l'une de ses mains et de la poser sur ton postérieur. Tu tirais tout doucement sur ses cheveux afin que tu puisses voir son visage, et tu venais l'embrasser longuement comme pour lui faire passer tes encouragements et lui dire que tout allait bien se passer. Après tout, c'était plutôt pour ce dont vous aviez fait hier qu'il aurait dû être très inquiet. Tu venais te frotter avec envie contre lui, et tu lâchais un petit « Alleeeer... » afin qu'il commence à te préparer.
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