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Guess it's true, i'm not good at a one night stand | ft. nemo

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« Est-ce que ça veut dire oui ? » Est-ce que ça veut dire oui...? Rien que cette question te laisse présager que le jeune homme que tu as devant toi déteste lorsque tout est dans une zone grise. Tu es pareil. Tu as besoin de savoir lorsque c'est blanc. Et si lorsque ce n'est pas blanc, alors il faut que ce soit noir. Pas un entre-deux. Des réponses claires, nettes et précises, rien de mieux. Peut-être as-tu développé ce trait caractériel en raison de ton travail entrepreneurial, de ta tendance à chercher les réponses dans les plus brefs délais. "Ça veut dire oui." Et tes lèvres se retroussent vers le haut pour former un sourire sincère. « Mh c'est presque ça. J'suis Nemo, Prince des océans. » Tu roules des yeux en rigolant, arborant une moue amusée. Puis, un détail pique ta curiosité. "Dis-moi.. ton vrai nom, c'est pas Nemo, pas vrai? À moins que tes parents aient décidé de taper dans l'originalité.." Il te fait rigoler, ce petit. Enfin, ce bonhomme, qui est plus petit que toi, et qui pourtant, n'a aucunement l'air d'un gamin, si ce n'est que son innocence qui te touche particulièrement, bien que ce soit étrange. « Pas vraiment. J'imagine que c'est plutôt moi qui drague. Et qui me prend des vestes parfois. » Haussant un sourcil, tu es particulièrement étonné par sa remarque. Ah bon? Il doit blaguer, là. "Ça s'peut pas. Tu te prends des vestes? Tu es bien trop attirant et charmant pour qu'on te mette de côté, c'est moi qui t'le dit.", dis-tu avec une pleine sincérité qui ne cesse de t'étonner. On dirait bien que ces vacances en Nouvelle-Zélande auront fait de toi un homme fraîchement nouveau. Du moins, un peu. Sans pouvoir te retenir de jouer ton petit jeu et de continuer ta provocation, qui ne semble ne pas le déplaire plus que toi, tes lèvres viennent s'accrocher avec délice à son cou, si bien que tu n'as aucunement envie de le lâcher. C'est plutôt de continuer, que tu as envie. Mais les coups à la porte te ramènent dans une réalité qui t'arrache un grognement de mécontentement. « Serais-je tombé sur un Cullen ? » Te reculant, délaissant avec une légère déception ses mains qui s'étaient accrochées dans ton dos, son pied glissant contre ta jambe. Et si vous délaissiez les repas, un moment? Le serveur les laisserait sur le devant de la porte, de toute manières. Mais Nemo te poussait à y aller, avec un humour qui t'arracha un nouveau sourire. Va ouvrir, ô mon Edward, je pourrais pas être au top de ma forme sans avoir mangé. » Attrapant ta serviette, tu l'enroules de nouveau autour de ta taille. "Edward est déjà en pleine forme. Il n'a pas besoin de se nourrir, tu te rappelles?", dis-tu, allant ouvrir la porte à.. une serveuse, qui te dévisage, te manges du regard. Tu attrapes le plateau des mains, lui offrant un sourire empli de charme, et referme la porte sur elle sans plus attendre. Retournant vers le lit, tu déposes le grand plateau qui contient tout ce que tu as commandé - des fruits, des jus, de l'eau, des pancakes, des muffins, et un peu d'autres choses -, sur les draps. "Allez, régales-toi.", finis-tu par dire en attrapant une pomme dans laquelle tu croques, à moitié affamé, alors que tes yeux, eux, se plaisent à le regarder, encore et encore, à la dévisager, à se perdre sur lui. Le gênes-tu? Toi, en tous les cas, tu te plais bien à cette tâche, bien agréable pour les yeux.
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« Ça veut dire oui. » Tu matchais son beau sourire à l'entente de sa réponse, ravis d'entendre enfin une réponse claire à cette question qui te taraudait l'esprit. Puis s'il avait dit non... Tu savais que le harcèlement était condamnable mais si t'avais réussi à force de persévérance pour sa première fois, peut-être aurait-il fini par accepter de la même manière sa second fois avec toi. Mais tu n'avais même pas besoin de tenter d'échafauder un plan, et ça c'était bien. « Tu vois, ce n'était pas si difficile à dire. » Tu répondais en lui lançant un regard en coin, avant qu'il ne finisse par te demander ton prénom – ton vrai prénom. Dira, dira pas ? T'hésitais encore. « Non, bien au contraire. Mes parents ont tapés dans les anciens noms déjà portés par d'autres personnes de la famille. » Tu avais d'ailleurs un beau IV à la fin de ton titre, montrant que tu étais la quatrième personne de la lignée à s'appeler Rainier Grimaldi – paie ton originalité. « J'sais pas si j'peux te le dire. J'devrais te tuer après. » Tu avouais, l'expression de ton visage la plus sérieuse possible, avant que tes lèvres ne se fendent en un grand sourire amusé. Mais ce n'était pas si faux, tu détestais qu'on t'appelle comme ça et quand les gens étaient au courant et le faisait pour t'énerver... Une horreur. Tu racontais ensuite tes déboires, et tu souriais à sa réponse, qui te touchait assez. « Flatteur va. Ça arrive. Je n'fais pas vraiment attention qui je drague, et je tombe parfois sur des hétéros purs et durs. Certains sont cools et remballent en douceur, mais ça compte toujours comme une veste. » Tu avouais en haussant tes épaules. Ça allait, t'avais appris à pas prendre ce genre de choses trop à coeur – à part si c'était quelqu'un que tu souhaitais ou qui te plaisait vraiment. Puis tu goutais avec plaisir à ses lèvres dans ton cou, mais déjà le serveur toquait à la porte avec son service express qui avait intérêt d'être complet. Tu le poussais à aller ouvrir, puisque la faim de tenaillait déjà un peu le ventre et tu riais à sa réponse, levant tes yeux au ciel. « C'est vrai. Urk, ça fait de moi Bella, j'suis dégoûté quoi. » Disons que sa personnalité ne te ressemblait pas du tout – t'as jamais compris pourquoi elle ne supportait pas de recevoir des cadeaux. Elle allait pas bien ou quoi ? Des cadeaux. Bref. Viktor allait ouvrir et tu remettais un peu mieux les draps blancs sur le bas de ton corps, t'asseyant en tailleur sur le lit alors qu'il revenait, déposant le plateau devant toi. « La serveuse a dû prendre peur, avec ton sourire creepy elle à dû penser que tu voulais faire un threesome. » Tu disais avec un grand sourire en avançant l'assiette de pancakes, mettant du sirop d'érable et commençant à manger un bout sans tout tacher. Tu te concentrais un instant sur ton assiette, avant de relever quelques longues secondes plus tard tes yeux vers lui, le voyant t'observer un petit peu trop. Tu mordillais ta lèvre, pensant qu'il allait arrêter maintenant que tu l'avais surpris à la tâche, mais il continuait, et tu fronçais tes sourcils. « J'ai un bouton sur la gueule ? » Tu demandais de la manière la moins classieuse du monde, buvant une gorgée de jus d'orange. T'aimais qu'on te regarde mais là, c'était légèrement trop pour toi. Dans ta conception des relations, c'était plutôt ce que deux amoureux faisaient, ce que vous n'étiez clairement pas.
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« Tu vois, ce n'était pas si difficile à dire. » Inévitablement, c'est cette moue un peu insultée et crispée qui se forme sur ton visage. Plutôt par réflexe, puisque tu as soudainement l'impression qu'il te croyait incapable de répondre quelque chose de sensé, de lui donner un fait clair et précis. Enfin, tu te calmes en te répétant qu'il ne pensais pas à mal. Il n'avait même pas l'air de contenir une once de méchanceté en lui, v'voyez le genre? Il t'explique alors d'ou vient approximativement son prénom. Nemo. Alors, là.. les parents, ils avaient envie. Et pourtant, Nemo n'existait pas, à sa naissance? C'p'têtre eux qui avaient inventé le concept du film, qui sait? « J'sais pas si j'peux te le dire. J'devrais te tuer après. » Tu hausses un sourcil en retenant un sourire, bien que tu te forces réellement pour ne pas le laisser paraître. Ah, ce gentil bonhomme.. "Dis-moi, et tue-moi, alors. Je veux savoir.", dis-tu, comme une affirmation, alors que c'est également une question. C'est la curiosité, qui ressort. « Flatteur va. Ça arrive. Je n'fais pas vraiment attention qui je drague, et je tombe parfois sur des hétéros purs et durs. Certains sont cools et remballent en douceur, mais ça compte toujours comme une veste. » Tu fronces les sourcils, ne comprenant pas trop comment on peut seulement le remballer. Enfin.. Tu l'avais remballé, toi aussi. Du moins, les premières fois. Si ça peut être considéré comme un vent? Tu souris, compatissant. Tu avais rarement vécu des rejets, face aux femmes. Aux hommes, ça pouvait être différent, pour dire vrai. Mais tu ne tenterais pas tout de suite. Tu en avais un en avant de toi qui t'apprenais les plaisirs homosexuels et qui ne te rejetait pas, alors comment dire non toi-même, maintenant? Vous rigolez un peu par rapport à Edward et Bella, les fameux vampires qui ont l'histoire d'amour la plus ridicule qui soit, mais bon. Les pré-pubères aiment bien, c'est clair. Tu vas ouvrir la porte, avant de revenir avec les mains pleines. « La serveuse a dû prendre peur, avec ton sourire creepy elle à dû penser que tu voulais faire un threesome. » Un sourire amusé et coquin aux lèvres, tu réponds, les yeux posés sur le plateau de bouffe. "Je suis quelque peu possessif. Mes conquêtes, je ne les garde que pour moi, du temps où elles sont en ma compagnie. Pas de partage.." Tu laisses le silence planer, avant de fixer plutôt intensément le jeune homme. Par admiration, intérêt, aussi. Pas intrigue. Parce qu'il est plutôt beau, et que tu cherches à analyser ses traits. « J'ai un bouton sur la gueule ? » Tu croques encore une fois dans ta pomme, secouant la tête de haut en bas. "En plein milieu du front." Puis, tu te rectifie. "Désolé.. c'était impoli de ma part." De le fixer ainsi, tu veux dire. "Mais parce que j'le réalise, et que j'ai l'impression de ne pas l'avoir vraiment remarqué hier soir.. j'dois dire que tu es plutôt mignon. Et beau. Vraiment.", dis-tu, avec la plus grande sincérité qui soit. Pas une once de malice dans la voix, rien que de la sincérité.
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Il avait l'air de ne pas avoir apprécié ta petite remarque pourtant assez anodine, sur ses capacités à répondre de suite et clairement. L'avais-tu vexé ? Tu n'en savais rien, tu ne cherchais pourtant pas à le casser ni à être désagréable, bien au contraire. De toute manière, toutes tes interventions n'étaient pas toujours forcément pertinentes et intéressantes, il ne fallait pas qu'il s'en fasse. Tu tentais ensuite de lui expliquer que tu n'étais pas sûr de pouvoir lui annoncer ton vrai prénom, sous peine d'une mort imminente, et il haussait un sourcil, comme s'il se demandait de la véracité de tes propos. Tu lâchais un rire quand il insistait, et tu secouais ton visage. « A quoi ça servirait si tu mourais après ? Tu serais mort pour un prénom dont tu ne te souviendras même plus de l'existence. » Tu essayais de le raisonner, mais c'était sûr que c'était bien plus facile pour lui de dire ça puisqu'il devait bien sentir que tu n'allais pas réellement lui donner des coups de couteau dans le coeur avant de t'éclipser de la chambre pour prendre le premier avion pour Cambridge. « Tu promets de continuer à m'appeler Nemo ? » Tu demandais plus sérieusement, parce que tu avais déjà assez de mal à tolérer le fait que les médias ne cessent de te nommer par ton titre – mais quelques fois tu avais de la chance et ils faisaient l'effort d'utiliser ton surnom ou quelque chose en ayant rapport aux poissons – mais t'aurais encore plus de mal à vivre si tes amis ou coup d'un soir s'y mettaient. « Je m'appelle Rainier. » Tu finissais par avouer, soupirant un peu. Tu avouais ensuite tes quelques mésaventures qui t'arrivaient parfois, comme tout homme à surement vécu, et il fronçait à nouveau ses sourcils comme s'il ne comprenait pas que ça puisse t'arriver : et pourtant.

Tu te jetais sur les pancakes quand il revenait avec la nourriture qu'il avait commandé, et tu lui révélais que son sourire un petit peu trop charmeur avait dû effrayer la serveuse – même si elle aurait plutôt dû s'extasier de pouvoir être prise en sandwich entre vous deux. M'enfin. Il avait un sourire en coin de tes lèvres, et le tiens grandissait en entendant sa réponse. « Possessif hein ?Intéressant. » Tu répondais en le fixant intensément, avant de manger un petit bout de muffin. « Donc tu n'as pas de fantasmes bizarres à me faire part ? » Tu finissais par demander – parce que oui, ça te rendait apparemment curieux ce genre de chose, et si threesome il ne voulait pas, tu voulais savoir ce qui lui donnait vraiment envie. Puis il te dévisageait un peu trop, pendant un peu trop longtemps, durant un peu trop de silence, et tu finissais par lui demander si tu avais un énorme bouton sur la figure et si c'était pour cela qu'il ne te lâchait plus des yeux. Tu levais ta tête vers lui et éclatais de rire quand il te répondait au tac au tac que tu en avais un en pleins milieu du front, puis il s'excusait, et tu haussais tes épaules. « C'est rien. Un peu étrange. » Tu avouais d'une voix un peu plus basse, ne voulant pas carrément lui dire tes pensées précédentes sur le sujet – il n'y avait pas mieux pour faire fuir une conquête. Mais il continuait de parler, et sur le coup, t'avais pas pu faire autre chose que rougir affreusement à ses paroles, t'étouffant un tout petit peu avec le muffin. Tu toussais légèrement, raclant ta gorge avant de boire une grosse gorgée d'eau puis tu déglutissais, essayant de reposer avec un peu plus de difficulté tes yeux sur lui. « Mh m-merci. C'est gentil... » Tu osais enfin regarder à nouveau son visage, humidifiant tes lèvres. « Et donc... Ces derniers jours où je t'ai couru derrière tu n'avais pas remarqué ? Il faisait trop sombre peut-être ? » Tu tentais, en essayant de reprendre un peu de contenance.
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« Tu promets de continuer à m'appeler Nemo ? » Nemo ne semblait pas particulièrement attaché à son réel prénom. Ou plutôt, en était-il honteux? Pourtant, ce n'est pas lui qui avait choisi ce qui l'avait caractérisé en premier, dès sa venue au monde, mais bien ses parents. Et parfois, les parents, même pour ce qui est le plus important dans les premiers instants, ne prennent pas toujours les bonnes décisions. Comme pour ton deuxième réel prénom que tu avais toi-même toujours détesté plus que tout : Sergeï. Allez savoir pourquoi, mais ça te dégoûte, rien que de savoir que tu portes ce prénom. Pour l'inciter à te le dire, tu hoches la tête de haut en bas pour le lui promettre. « Je m'appelle Rainier. » Rainier? Rainier.. Comment peut-on appeler son enfant Rainier? Enfin, ce n'est pas moche. Plutôt.. original. Tu souris. "Enchanté, alors.", dis-tu pour rigoler un peu, et le détendre par rapport à ce nom qu'il semble détester. Puis, vous changez de sujet. « Possessif hein ?Intéressant. » Ton intérêt se fait plus important. Tu l'observes, intrigué par sa réaction. "Quoi? Tu aimes qu'on soit possessif envers toi?" Souvent, les femmes - puisque tu n'avais connu d'expériences qu'avec elles, avant hier soir, aimaient qu'on soient possessives envers elles. Qu'on ait envie de les garder que pour soi-même, et de ne les offrir à personne d'autre. Peut-être était-il ainsi, aussi? C'est ce à quoi tu réfléchissais, dans l'instant. « Donc tu n'as pas de fantasmes bizarres à me faire part ? » Ton sourire s'agrandit, bien qu'étonné de la question. Ahhh.. parce qu'il a envie d'en savoir un peu plus au niveau de ta vie sexuelle active, c'est ça? Tu te mets à rire. "Ne t'en fais pas, je ne vais pas sortir le fouet pour coucher avec toi." Tu n'es pas Christian Grey au niveau sexuel, soit-dit en passant. Enfin.. quelques fois, tu tentes des trucs un peu plus "hard", mais jamais à ce point là.. Tu restes vagues sur la question, peut-être pour le piquer au vif un peu, ou bien pour le laisser dans le suspense.. Tu le fixais alors avec intensité, mais tu t'excuses au passage, de peur de l'avoir rendu mal à l'aise. Là n'était pas ton intention. Plutôt, tu lui fais un compliment, qui.. contre ton gré, le rend plus mal à l'aise que tes yeux sur lui. « Mh m-merci. C'est gentil... » Tu souris, te passant une main dans la nuque, toi-même mal à l'aise. Tu n'avais jamais complimenté un homme, auparavant. "Inutile de me remercier.", souffles-tu, lançant, comme on lancerait un ballon de basket dans un panier, ta pomme, directement dans la poubelle, à quelques mètres du lit. C'est réussi. Tu souris, reportant ton attention sur le jeune homme qui déguste toujours avec appétit son petit-déjeuner. « Et donc... Ces derniers jours où je t'ai couru derrière tu n'avais pas remarqué ? Il faisait trop sombre peut-être ? » Oh-oh. Tu te sens plus que mal à l'aise, là. Tu lèves les yeux au ciel. "Je voulais me laisser désirer, je ne te l'ai pas dit?", tentes-tu, alors. "Je tentais peut-être de voir si c'était de l'attirance, ou bien si ce n'était que passager. Mais il m'a paru évident que c'était de l'attirance pour le jeune homme que tu es, clairement.", finis-tu par avouer. Ahhh, les aveux ce matin, hein. "Tu manges beaucoup, dis-donc. Es-tu toujours aussi affamé que ça?", demandes-tu en riant, le voyant presque dévaliser le plateau, sans même s'en rendre compte.
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Tu n'aimais pas ton premier prénom. Outre le fait que ce soit l'un de ces vieux prénoms que plus personne ne porte ou ne donne à ses enfants, tu ne le trouvais juste pas si beau que ça. Il avait un petit côté symbolique que tu aimais bien, certes – ça montrait un peu ton futur « règne » quand tu prendras la place de ton père sur le trône – mais il faisait bien trop formel et même tes camarades lorsque tu étais jeune ne savaient même pas que c'était un vrai prénom. Le fait qu'il soit peu porté pouvait être en soit une chance – ça t'évitait d'être un énième Kevin ou Matthieu – mais vraiment, il n'y avait pas grand-chose qui ressortait en bien de ce nom si ce n'était que ça faisait très sérieux lorsqu'il était écrit dans des articles ou dans la presse – et faire sérieux c'était avoir plus de crédibilité dans les yeux des gens qui compteront sur vous plus tard pour diriger la principauté. « De même. » Tu répondais un lui faisant un grand sourire, assez content de constater qu'il ne comptait pas – pour l'instant du moins – se moquer de ce petit complexe que tu avais. Tu faisais ensuite la remarque d'à quel point c'était intéressant de savoir qu'il était possessif – même avec ses conquêtes, c'était pour dire ! - et il semblait presque étonné de ta réponse, te demandant si tu aimais ça. Tu mordillais ta lèvre, prenant le temps d'actuellement considérer la question avant de répondre. « Je n'sais pas trop. Il ne faut pas dépasser un certain excès je crois, mais je me considère moi-même comme quelqu'un de très possessif quand je suis dans une relation, donc ouais, j'aime bien qu'on le soit en retour si je suis amoureux. » Tu avouais, essayant de rester compréhensible quant à tes propos. Tu ne voulais pas que quelqu'un te flique tous les jours ou qu'il soit tellement possessif qu'il t'empêche de sortir seul ou avec des amis alors que lui de son côté fait ce qu'il veut. Mais tu ne pensais pouvoir toujours donner cent pour cent de ta confiance en ton partenaire alors t'imaginais que t'étais un peu possessif à cause de ça – et qu'un peu de possessivité en retour était comme la jalousie, ça pouvait partir d'un bon sentiment, d'un trop plein de sentiments même. « C'est compréhensible c'que je dis ? » Tu demandais ensuite en rigolant avant que tu lui en demande un peu plus sur ses activités sexuelles. T'étais curieux, ce qui pouvait s'avérer comme une bonne chose et comme une mauvaise, et connaître les fantasmes bizarres des gens pouvaient te faire rire – ou te faire connaître d'autres pratiques, qui sait. Il riait à ta question, et te rassurais sur le fait qu'il ne sortirait pas le fouet pour coucher avec toi. Tu haussais tes sourcils, taquin, souriant en coin en le regardant. « Oh mais peut-être que j'aimerai ça... » Tu laissais planer pour plaisanter, puis il commençait à te faire quelques compliments que tu ne savais pas réellement comment prendre. Disons que t'avais plus l'habitude à ce genre de phrase durant l'excitation de l'acte, pas le lendemain matin quand tu allais partir dans quelques minutes ou heures. Tu le remerciais tout de même, ce à quoi il te répondait que ce n'était pas la peine, mais tu souriais en coin en le regardant mettre sa pomme dans la poubelle, applaudissant. « Champion de basket ball ? » Tu lui demandais, avant d'essayer de comprendre où il voulait en venir lorsqu'il parlait du fait qu'il venait de se rendre compte que tu étais beau comme mec. Ouais... Donc hier, t'étais semi-beau ? Passable ? C'était peut-être pour ça qu'il ne t'avait pas dit oui de suite, parce que t'avais l'allure d'un mec passable et qu'il attendait mieux, mais quand le mieux n'était pas venu et que la fin de Spring Break arrivait, il s'est dit qu'il n'aurait pas d'autres chances. L levait ses yeux au ciel, et tu riais tout de même un peu à sa réponse. « J'ai vu que tu étais une vraie diva, oui. » Tu écoutais ensuite ce qu'il te disait, et tu fronçais tes sourcils. « En quoi c'est important ? Quand les gens sortent et que quelqu'un te montre qu'il est intéressé, et si tu l'es aussi, tu t'en fous que ce ne soit que passager, au contraire. » Ou alors t'avais faux ? Tu ne savais pas. Dans ta tête, on profitait justement du fait que l'autre te trouve canon dans le moment présent, enfin. Tu le regardais une nouvelle fois, rougissant légèrement à son commentaire, avant d'hausser tes épaules en riant. « J'aime manger. J'ai le droit. Je fais beaucoup de natation pour éliminer. » Tu répondais en souriant en coin, finissant le muffin devant ses yeux, comme si tu avais besoin de te justifier.
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De converser avec un jeune homme comme lui t’était particulièrement plaisant. Il ne te laissait pas parler seul, déjà c’était un bon point. Il t’intriguait de par ces mystères, les mystères le reliant à son véritable prénom : Rainier. Peut-être ferais-tu des recherches par rapport à ce nom. Qui sait? Signifiait-il peut-être quelque chose de réellement important, de symbolique? Peut-être même te renseignerait-il sur la provenance de ce nom? « Je n'sais pas trop. Il ne faut pas dépasser un certain excès je crois, mais je me considère moi-même comme quelqu'un de très possessif quand je suis dans une relation, donc ouais, j'aime bien qu'on le soit en retour si je suis amoureux. » C’est que vous vous confiez respectivement en donnant votre avis sur certains sujets, comme celui de la possessivité, que tu avais abordé un instant plus tôt. Ah, possessif, tu l’étais. Sans excès, heureusement, comme il t’en faisait part. Certains l’étaient vraiment trop, et tu trouvais cela plutôt… envahissant. Chaque être humain est maître de sa propre vie, de sa propre destinée, de sa propre personne. Personne ne devrait avoir le droit, ni la possibilité d’en contrôler une autre, que ce soit par une jalousie maladive, ou une possessivité excessive. « C'est compréhensible c'que je dis ? » Hochant la tête, tu te mets à rire. Il n’est pas fou, le mec. Il parle très clairement, hein. Et tu n’es pas assez con pour ne rien comprendre, non plus. « Très compréhensible, Nemo. », souffles-tu. C’est plaisant, de prononcer son nom. Nemo… Nemo, ça ne fait pas russe, il n’y a pas de « r » à rouler, et pourtant… tu aimes bien la sonorité. Le symbole lié à « Trouvez Nemo » qui te plaît bien. C’est tout de même amusant, les circonstances. « Oh mais peut-être que j'aimerai ça... » Étonné, tu hausses un sourcil, ne sachant même pas s’il plaisante ou s’il est sérieux. « Vraiment? » Ton sourire s’efface, enfin.. il n’est plus autant apparent, mais tu souris toujours, tout de même. « Champion de basket ball ? » Haussant les épaules, tu te mets alors à rire, reposant tes yeux sur lui. « Je suis champion dans tout… Ne l’as-tu pas remarqué hier? » Certes, c’était un peu vaniteux de ta part de dire cela, mais… il est vraiment que tu excellais dans à peu près tout. Pourquoi se priver de ce privilège, de ces dons que tu possèdes, de cette facilité que tu as de réussir à peu près tout, même si, contrairement à ce que les gens peuvent bien penser, il t’es souvent difficile d’atteindre tes objectifs. « En quoi c'est important ? Quand les gens sortent et que quelqu'un te montre qu'il est intéressé, et si tu l'es aussi, tu t'en fous que ce ne soit que passager, au contraire. » Il a raison sur un point ou deux, dans ce qu’il a dit. Certes, ce n’est pas tout le monde qui pense de la même façon, par rapport à cela. Tu voudrais bien te justifier sur de longues explications, et pourtant… ç quoi cela servirait-il? Tu préfères rester vague, encore une fois. Puisque souvent, c’est ce que tu sais faire le mieux. «C’est vrai. J’me fou que ce ne soit que passager.» Et tu souris. Un sourire étrange, un sourire en coin, mystérieux, un sourire que seul toi peux comprendre. « J'aime manger. J'ai le droit. Je fais beaucoup de natation pour éliminer. » Oh, oh. Alors, là, avec le sujet qui précède, tu ne peux que sauter sur l’occasion de remettre en jeu ce que tu as laissé tomber tout à l’heure, ce que tu as mis en mode « pause ». « Eh bien moi.. Ai-je le droit de manger autre chose que ce que contient ce plateau? Un autre genre de petit-déjeuner... » Était-ce déplacé, comme demande? Faisais-ce de toi un pervers? Un obsédé?
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Tu essayais d'expliquer tes points de vues sur le sujet, essayant de faire comprendre au mieux tes propos. Ce n'était pas forcément le plus facile de parler sur le sujet, car il pouvait y avoir de mauvaises interprétations si tu ne modérais pas tes propos. Tu ne pouvais pas seulement lui sortir un « oh oui, j'adore quand on est possessif avec moi » de manière sérieuse si tu n'expliquais pas mieux que tu ne voulais pas dire par là le fait d'être considéré comme un objet appartenant à l'autre. L'excès n'avait rien de sexy ou d'excitant, et finir par se faire séquestrer chez soi parce que ton ou ta petit(e)-ami(e) n'a subitement plus confiance en toi lorsque tu sors et qu'il ou elle prend ce côté possessif bien trop à coeur en le rendant invivable n'était pas quelque chose que tu recherchais dans une relation. T'aimais juste quelques pointes de possessivité ou de jalousie, parce que tu savais que tu pouvais en ressentir de ton côté et que ça faisait toujours plaisir de voir que l'autre peut tenir à toi. Tu finissais par lui demander si t'étais compréhensible dans tes propos, puisque tu essaies de lui raconter ça mais en beaucoup moins de phrases. Il riait en hochant la tête, et tu mordillais ta lèvre quand il acquiesçait en prononçant ton nom. « Non parce que parfois je pars dans des explications ou j'radotte, mais on comprend pas mieux. » Tu avouais, l'air légèrement embarrassé mais riant néanmoins. Tu laissais ensuite laisser planer le doute sur tes appréciations et connaissances en matière de fouet et surement de sadomasochisme en général, et il semblait ne pas savoir si tu te foutais de sa gueule ou non. Il te demandait si c'était vrai, et tu haussais tes épaules, mystérieux. « J'imagine que tu n'auras pas la réponse aujourd'hui. » Tu répondais en lui faisant un clin d'oeil, avant de le regarder jeter le tronc de sa pomme dans la poubelle, en mode grand sportif qui réussit surement toujours ses paniers. Tu lui demandais s'il était un champion au basket-ball, et tu riais de sa réponse, levant tes yeux au ciel. « T'es pas champion dans la modestie en tout cas. » Tu répondais en lui lançant un oreiller en pleine gueule avant de faire un visage angélique et de finir ton jus d'orange. C'est qu'il s'y croyait en fait le Viktor, il ne voulait pas se laisser approcher au départ et il finissait par te raconter à quel point il était doué au lit même avec les hommes - ce dont il n'avait l'habitude. T'essayais ensuite de comprendre la suite, comment il voyait les choses. Tu pouvais comprendre le fait d'être sûr que pour la personne en face ce n'était pas qu'une phase d'un soir mais une réelle attraction lorsque l'on souhaitait peut-être avoir plus qu'une nuit avec elle et ne pas se laisser avoir ni se faire des films, mais quand c'était pour une coucherie d'un soir, beaucoup s'en foutaient. Tu le regardais te répondre, et tu haussais un sourcil à son sourire un petit peu trop mystérieux. « Ça veut dire quoi, ça ? » Tu demandais en désignant ses lèvres, plissant tes yeux en essayant de comprendre pourquoi il souriait de cette manière à ce qu'il disait. Tu lui assurais ensuite que tu avais le droit de manger tout ce que tu voulais de la quantité que tu voulais puisque tu faisais du sport et que donc tu éliminais et arrivais à garder un corps svelte et un peu musclé. Tu levais tes yeux sur Viktor lorsqu'il faisait son espèce de demande – est-ce qu'il voulait dire ce que tu pensais qu'il voulait dire ? Tu savais pas trop. Mais tu souriais en coin, venant humidifier tes lèvres en haussant d'une fausse manière négligée tes épaules. « Peut-être bien... Si tu trouves mieux... » Tu murmurais.
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« J'imagine que tu n'auras pas la réponse aujourd'hui. » Tu rigoles pour toi-même. Il te sortait des répliques qui te plaisaient bien. Vraiment bien, même. Car il avait de la répartie et tout un sens de l'humour. "La prochaine fois qu'on se verra, j'aurai la réponse, alors?", demandes-tu du tac au tac. Passer par quarante chemins différents pour en arriver à une destination, ce n'était pas ton genre, ça. « T'es pas champion dans la modestie en tout cas. » Et paf ! Tu reçois un oreiller en pleine figure. Tu manques de tomber par-dessus le lit, dos contre le sol, mais tu te rattrapes de justesse aux couvertures, qui bougent un peu vers toi. Tu ne peux pas la lui relancer, car il boit du jus d'orange et un lancer provenant de ton bras musclé risquerait de faire plus de dégât qu'autre chose. La femme de chambre n'apprécierait pas trop le cadeau.. Alors, tu te retins, maugréant. "C'est vrai qu'on a tous nos faiblesses... n'es-tu pas d'accord sur ça?" Son visage angélique, là dans l'moment, tu le lui arracherais avec plaisir. Enfin... même s'il le rendait tout mignon et sacrément diabolique à la fois, tu le lui arracherais volontiers. Vous partiez d'un sujet plus ou moins sérieux, à un autre, et vous jongliez ainsi dans la discussion depuis de longues minutes. Étrangement, c'était bien de socialiser comme ça avec quelqu'un qu'on ne connaît pas, mais dont on a fait connaissance des endroits les plus érotiques la veille. « Ça veut dire quoi, ça ? C'est ce qu'il te demande en désignant ton sourire tout con et légèrement hypocrite, mystérieux. "Pourquoi devrais-je t'éclairer sur les motifs de ce sourire, alors que tu ne m'éclaires même pas sur tes envies et fantasmes toi-même?", demandes-tu, l'air tout à fait innocent. Légèrement angélique, comme lui tout à l'heure. C'pour le provoquer un peu, quoiiii. T'es un vrai petit ange. Pas vrai? « Peut-être bien... Si tu trouves mieux... » Tu hoches la tête, satisfait. Bien sûr, que tu trouves mieux. Tu refais le même manège que tout à l'heure, éloignant la plateau au préalable, en le posant sur le sol, et en moins de deux, tu te retrouves à califourchon sur lui. "J'aimerais bien reprendre ce à quoi la serveuse m'a interrompu, tout à l'heure... J'imagine que tu n'es pas contre cette idée?" Ta voix est rauque, pleine d'envie. C'est lui qui t'a donné la piqûre.
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« La prochaine fois qu'on se verra, j'aurai la réponse, alors ? » C'est qu'en fait tu avais réellement éveillé sa curiosité sur le sujet, le coquin ! Peut-être que tu lui répondrais, peut-être pas... De toute manière tu ne te voyais pas, la prochaine fois, le couper en pleine phrase en te souvenant que tu devais lui répondre et ramener sur le table ce genre de sujet-là : ça devait se faire naturellement, comme maintenant. « La prochaine fois. Peut-être. » Tu répondais, un petit sourire au lèvre, avant que tu lui avoues le fait qu'il n'était pas le champion de la modestie, lui qui semblait adorer venter ses mérites dans toutes les matières – surtout sexuelles. Tu lui lançais d'ailleurs un oreiller qui s'écrasait pile poil dans sa tête, et t'étais assez fière de ton tir, il fallait l'admettre. T'écarquillais juste tes yeux en aillant un peu peur qu'il se casse la gueule par terre – et pourtant, tu n'avais pas envoyé si fort, ton but n'était pas de lui faire mal – mais finalement tu riais un peu en le voyant se retenir, et ne pas tomber. Il avait ensuite l'air de bougonner, et tu hochais la tête. « Je suis d'accord. Toi tu aimes juste beaucoup te vanter. » Tu souriais en coin d'un air taquin, haussant tes épaules en le regardant, et ce côté-là de sa personnalité te faisait plutôt assez rire en fait. Il pourrait même devenir un parfait Eliot comme ça, il trouverait d'autres vantards de sa trempe dans la maison. T'essayais après cela d'en savoir plus sur son sourire trop mystérieux pour ton bien, et il te renvoyait ton précédent air angélique à la gueule, le connard ! « Tu ne me l'as pas demandé ! » Tu t'exclamais pour te justifier quand il t'annonçait qu'il n'était pas obligé de tout te dire si toi tu ne te confiais pas sur tes envies sexuelles en retour. Tsss, qui avait commencé à établir des règles dans une conversation ? De toute manière, il n'avait même pas réellement répondu à ta question de tout à l'heure, te disant seulement qu'il ne sortirait pas de fouet : en gros, t'en savais pas plus. « C'est moi qui pose les questions ici. » Tu disais en imitant un très mauvais accent mi-italien mi-mafieux, avant de rigoler en entendant à quel point t'était pas bon quand il fallait refaire quelqu'un d'autre : tu savais déjà quoi barré dans ta liste de métier possible. Puis il éloignait le plateau, et il revenait sur toi, un frisson parcourant ton corps alors que tu le sentais à nouveau contre toi. « Quand tu te prenais pour Dracula et que tu dévorais mon cou ? Tu faisais mine de te rappeler, ta voix plus basse alors que tu glissais ta main le long de son torse lentement. Pas contre du tout... » Tu acquiesçais, avant de passer ta seconde main derrière sa nuque pour la caresser un instant, avant d'appuyer légèrement dessus pour qu'il se penche et que tu puisses attraper ses lèvres et l'embrasser langoureusement.
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