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Guess it's true, i'm not good at a one night stand | ft. nemo

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Jour 14

sous-titre

Heure : 06h50 du matin
Lieu : Suite d'hôtel de Viktor
Contexte : Après une nuit torride, qui se trouve à être la première expérience homme à homme de Jaafar, les deux amants sont toujours dans le même lit au petit matin..
Participants : Nemo et Jaafar (saluuut les disney!)



Tes yeux clignotent enfin, signe que le réveil s'annonce. Le cadran tout prêt du lit t'annonce qu'il est 6h22, tout précisément. Le temps de regarder le plafond, de te demander où tu es, puisqu'il est loin de ressembler à celui de ta chambre à Cambridge, et de réaliser que c'est parce que tu n'es pas à Cambridge, il est déjà 6h30. D'habitude lève-tôt, tu n'as aucun problème à te sortir du lit, de cette chaleur réconfortante, et de replacer tes draps, machinalement. Oh. Quelqu'un est dans le côté droit de ton lit. Mais.. C'est vrai. Les souvenirs te reviennent en tête, maintenant. Tu avais plutôt bien bu la veille, mais pourtant, tu ne manquais jamais un détail de ce qui avait bien pu se passer. Peut-être est-ce l'habitude? Depuis quelques soirs, tu le croisais à ce bar de l'hôtel, au rez-de-chaussée. Depuis quelques soirs, il t'approchait, te faisait ce qu'on dirait communément, des avances. Un homme, te faire des avances? Tu n'as jamais envisagé la chose et pourtant, c'est hier soir que tu as succombé sans trop réfléchir, à cette soudaine attention masculine hors de l'ordinaire. Hier soir, ce fut ta première fois avec un homme. Que dire de ça? Que penser de ça? Tu n'en es pas dégoûté, bien loin de là. Cet homme est un très bel homme, il faut se l'avouer. Mais.. as-tu aimé ça? As-tu aimé ça autant qu'avec une fille? Là est la question qui te passe et repasse en tête depuis une quinzaine de minutes, alors que tu prends tranquillement ta douche, sans trop faire de bruit. Étrange, qu'il n'ait pas pris la fuite au petit matin. C'est souvent ce que tu faisais, avec des femmes qui ne t'intéressaient guère, ou qui s'étaient acharnées sur toi la veille pour que tu leur fasses des trucs romantiques. Tu ne sais même pas quelle est la définition de ce mot, en fait. Mais qu'est-ce que la romance? L'eau chaude tombe sur ton corps, ce besoin d'être frais dès le matin te suit depuis l'enfance, allez savoir pourquoi. Après un long moment passé sous la douche, tu en ressors, attrapant une serviette sèche que la femme de chambre a pris la peine de changer dans la journée d'hier. Tu l'enroules autour de tes hanches, te passant une main dans les cheveux pour les ébouriffer un peu, les laissant ainsi sécher. Ouvrant la porte de l'immense salle de bain, tu sors de là discrètement, afin de ne pas réveiller ton... invité. Ton amant de la veille? Comment l'appeler? Simplement Nemo, peut-être? Puisque c'est son prénom. Tu ne te rends même pas compte qu'il est réveillé, puisque te la jouant dramatique, tu te sert un fond de vodka dans un verre propre, afin de mieux te réveiller et, ironiquement, pour ôter le goût d'alcool de la veille. Ah, les matins..
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Tu n'avais pas envie d'ouvrir les yeux. Tu étais trop bien, entouré dans les draps comme dans un burrito, profitant de la chaleur de Nouvelle-Zélande en sachant, dans un petit coin de ta tête, que bientôt tu prendras l'avion pour Cambridge et que le climat te manquerais. Tu poussais un soupir d'aise alors que tu étirais délicatement tes membres encore tout endormis, ton esprit embrumé décidant malgré toi que bientôt ton état comateux s'éclaircirait, toi qui pourtant aimait dormir. Le cliquetis lointain de l'eau parvenait à tes oreilles, un bruit répétitif et calmant, qui trop longtemps en continu ne faisait que te réveiller encore plus. Tu restais immobile pendant encore de longues minutes, faisant durer l'instant, avant d'entendre des pas qui se rapprochaient de la chambre où tu étais. Là tu te tournais un peu, restant tout de même calme, comme si tu savais au fond de toi que la personne qui arrivait n'était pas une intrus et que tu n'avais pas à être en alerte. Tu baillant fortement tout en forçant tes yeux à s'ouvrir, et tes paupières papillonnaient, l'air encore complètement paumé. T'avais la chevelure brune en bataille sur ta tête, tes yeux un peu gonflés de fatigue, et tu observais - l'air un peu déconnecté – l'homme au corps de mannequin qui entrait. Putain... Sa seule vue te renvoyait des images de la veille dans ton cerveau et bravo Nemo, tu t'étais vraiment envoyé ça cette nuit ?  Tout portait à croire que oui. Tu baillais une nouvelle fois, venant frotter le sommeil de tes petits yeux  avec tes poings, fronçant les sourcils légèrement en le voyant se prendre ce qui avait l'air de l'alcool. « Me dit pas que je suis tombé sur un alcoolique. » Tu disais, la voix enraillée de ne pas l'avoir utilisée pendant plusieurs heures, avant de faire un grand sourire béat. « Quoi que, c'était tellement bien hier que je crois que j'm'en foutrais. » Tu riais doucement en te redressant un peu, le dos contre le moelleux oreiller tout blanc, tes doigts glissant un instant sur les confortables draps qui recouvraient ta peau nue. Tu reposais ensuite tes yeux sur l'homme de la pièce, et – non Nemo, ça faisait très mauvais genre de baver dès le matin comme ça. Tu détournais alors légèrement tes yeux, tes sourcils se fronçant une nouvelle fois alors que tu remarquais l'heure sur le cadran. « Il n'est même pas sept heures du matin ? Pourquoi tant de haaaaaine ?! » Tu grognais un peu, une moue triste et contrariée sur ton visage.
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« Me dit pas que je suis tombé sur un alcoolique. » En une fraction de seconde, tu pivotes la tête, puis le corps suit, de sorte à te retrouver face au lit, face à cette voix masculine qui en provient. Tes yeux, déjà habitués à l'obscurité de la chambre, trouvent le jeune homme assez facilement, emmitouflé dans les couvertures. Un verre d'alcool, au petit matin, te réveillait assez pour le reste de la journée. Alcoolique? Non. Seulement, ça t'éclaircissait les idées, et tu en avais pris une habitude, assez que tu tenais chez toi un bar dans ta propre chambre, bien assez grande pour le contenir. Avant que tu ne puisses répondre quoi que ce soit, Nemo enchaîne, se redressant dans le lit, par le fait même. « Quoi que, c'était tellement bien hier que je crois que j'm'en foutrais. » Sans dire un mot, tu fronces les sourcils, déposant ton verre maintenant vide sur le rebord du comptoir qui t'arrive à hauteur de la taille, puis tu te racles la gorge. Il semble si à l'aise par rapport à ce qui s'est passé la veille. L'es-tu, toi aussi? En tous les cas, tu n'es pas mal à l'aise. Et tu ne regrettes pas, mais.. Qu'est-ce? "Les alcooliques ne sont pas doués au lit. Alors, tu t'es répondu toi-même." Un très léger sourire en coin se dessine sur ton visage, mais il y a peu de chance qu'il le remarque, dans ce noir matinal. Tu t'approches du lit, ton lit, enfin celui de l'hôtel, que tu partageais avec un autre. Pas une autre, mais un autre. Un homme, Viktor. Ça t'étonne encore. Et putain, c'était bien. Il était bien. Il est bien, le mec. « Il n'est même pas sept heures du matin ? Pourquoi tant de haaaaaine ?! » Cette fois, tu rigoles vraiment. Il se plaint de l'heure, ce qui a le don de t'amuser, quoi. "Je ne voulais pas te réveiller. Je suis très matinal, alors.. j'ai pris une douche." Tu détestes puer le matin, en fait. Tu te glisses dans le lit, à côté de lui, et de biais, de sorte à le voir. "Je n'étais pas trop mauvais?", demandes-tu sans gêne, plutôt par curiosité que par crainte. Il est clair que tu aimes être doué dans tout. Tu es déjà doué au lit, mais avec un homme, ce n'est pas exactement la même chose. Pas tout à fait.
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La chambre était encore plongée dans le noir de la matinée, mais tu parvenais à observer cette silhouette masculine, tes yeux s'arrêtant sur le verre qu'il prenait. Vraiment, il avait besoin de ça maintenant ? C'était tellement mauvais qu'il préférait oublié dès son réveille ? Tu ne préférais vraiment pas penser à cette dernière supposition. T'essayais de te dire qu'il était peut-être comme ces mecs qui ont besoin de fumer après l'amour – même si t'as jamais vraiment compris cette habitude non plus. Ils disaient fumer pour déstresser, mais techniquement, après avoir baisé, t'étais pas censé être en stresse avec le taux d'endorphine évacué et … Ouais, t'allais plutôt arrêter de penser à ça et te concentrer un peu plus sur les muscles que tu pouvais voir de son dos, légèrement frustré qu'il se soit recouvert le bas d'une serviette. « Les alcooliques ne sont pas doués au lit. Alors, tu t'es répondu toi-même. » Tu haussais un sourcil en entendant sa réponse, souriant en coin. C'est vrai que les alcooliques avaient peut-être une moins bonne réactivité, ou une mollesse dû à la boisson qui les rendait moins performant. Tu ne t'y connaissais pas trop en fait. « T'as couché avec beaucoup d'alcooliques ? » Tu demandais, ne sait-on jamais, que ce soit avec des filles ou des garçons. Il s'approchait du lit et tu le regardais faire, te souvenant avec plaisir de ces moments où, la nuit dernière, son torse nu fut collé contre le tien. Tu grognais ensuite en voyant l'heure qu'indiquait le réveil, et t'entendait son rire mélodieux qui se moquait ouvertement de toi. Tu croisais tes bras sur ton torse en plissant tes yeux juste pour continuer un peu à faire le mec qui boude, avant de laisser échapper un petit rire. « Matinal ? Je vois ça. T'es l'un de ces mecs qui vont faire leur jogging avant le lever du soleil aussi ? » Toi-même tu aimais le sport, mais tu avais du mal à te lever aussi tôt comme certaines personnes ne le faisait. T'aimais bien trop dormir, c'était horrible. Il venait se glisser dans le lit, et tu passais ta langue sur tes lèvres en le regardant faire, avant de sourire en coin par sa question. « Monsieur douterait-il de ses performances ? » Tu murmurais, quelque peu taquin, avant d'approcher lentement ton visage du sien et d'hausser tes sourcils de manière suggestive. « Ne t'inquiète pas... Tes fesses étaient délicieuses. » Tu répondais avant de reprendre une distance acceptable en riant, puis tu passais une main dans tes cheveux. « Et encore heureux que c'était bon, j'ai tellement galéré pour que tu acceptes... » Tu finissais par dire d'une voix légèrement plus basse, te souvenant de ces derniers soirs où tu étais allé le retrouver au bar sans qu'il ne se décide à franchir le pas.
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« T'as couché avec beaucoup d'alcooliques ? » Mine de rien, la question, bien qu'innocente à première vue, te permettait de te perdre dans une bulle rien qu'à toi, te laissant réfléchir sur les événements de la veille, qui avaient duré une légère partie de la nuit, avant que vous ne vous endormiez côte à côte, nus comme des vers. Avais-tu couché avec beaucoup d'alcooliques? Non. La réponse était toute simple, dans ta tête. Tu observes le jeune homme, qui te regarde, lui aussi. "Tu es le premier homme avec qui j'ai couché.", souffles-tu le plus simplement du monde. Tu ressens comme un léger malaise qui te prend tout le corps. Pourquoi? Parce que toi, d'habitude si à l'aise dans tout ce que tu peux bien faire, tu ne l'étais pas du tout. Cette mauvaise sensation se faisait encore plus persistante, maintenant que tu lui faisais part de ton manque d'expérimentation dans ce domaine. Tu n'as pas à avoir honte, et pourtant.. Il y a une première fois à tout, n'est-ce pas? « Matinal ? Je vois ça. T'es l'un de ces mecs qui vont faire leur jogging avant le lever du soleil aussi ? » Il te sort de ta bulle. Tu prends quelques secondes pour te repasser en tête ce qu'il venait de dire et de l'analyser, afin de répondre. "Tu as touché le mile.", murmures-tu, un sourire en coin. Oui, tu étais l'un de ces mecs. Il fallait bien prendre soin de ton corps de dieu, et tu n'avais d'autre moment que tôt dans la journée. "Tu n'es pas matinal, toi? Dommage.. Je devrais peut-être te laisser dormir, alors?", dis-tu sur le ton de la provocation, alors qu'il s'approche lui-même de toi, de ton visage, de ton corps, pour se la jouer provocant aussi. C'est qu'il t'es vraiment désirable, ce mec. Tu n'aurais pas succombé, autrement. Déjà que tu avais tourné l'idée dans ta tête maintes et maintes fois avant de te laisser aller, hier soir. "J'me ferais un plaisir de goûter les tiennes, aussi.", dis-tu alors, poussant un soupir, rassuré de savoir que tu n'étais pas un mauvais coup, avec un homme. Ça aurait pu être différent, pas vrai? « Et encore heureux que c'était bon, j'ai tellement galéré pour que tu acceptes... » Et tu as tellement galéré pour accepter, aussi. Mais en même temps, tu ne regrettes rien. Ce fut une expérience, une expérience qui t'incitait à recommencer, peut-être encore et encore, et qui te plaisait fort bien. Tu souris. "Le mal en valait bien la chandelle, pas vrai?" Tu te mets à rire alors. Puis, un silence se fait alors, tu parcoures son corps à découvert, que tu aperçois, qui n'est pas caché par les draps. Il est sacrément beau et mignon, c'est vrai. La veille, tout était un peu flou, mais maintenant, tu voyais bien clair. "T'as envie d'un truc à grignoter? Un truc à boire?", demandes-tu, te levant précipitamment du lit, accrochant au même passage la serviette qui entoure ta taille contre le coin du meuble ou se trouve le cadran. En avançant de quelques pas, tu perds ta serviette, qui tombe durement au sol. "Oh. Oups." Tu es dos à lui, puisque tu te dirigeais vers l'espèce de cuisine qui se trouve dans ta suite. Tu te penches pour rattraper ta serviette, mais ne la renfile pas. Tant pis, hein? Ne t'a-t-il pas vu tout nu, hier soir? Pas de gêne à avoir, dans ce cas..
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Il fallait croire que tu étais curieux, et que le nombre de personnes avec qui avait couché tes coups d'un soir t'intéressait. C'était une information comme une autre – et peut-être que ça pouvait t'aider à situer si la personne était quelqu'un de très enviée et approchée pour ce genre de plan, et si t'avais bien fait de mettre une capote parce qu'il avait du tellement en voir qu'il risquait peut-être d'avoir des maladies qui trainaient dans son corps pourtant trop sexy. Il te répondait seulement pour les garçons, et tu souriais en coin en penchant un peu ta tête sur le côté. « Je suis donc honoré d'être ta première fois. » Tu lui disais en lui faisant un petit clin d'oeil, et puis c'était très mignon le fait d'être le premier mec qu'il laissait l'approcher comme ça et qu'il laissait le toucher comme tu avais fait hier. Tu lui demandais ensuite s'il était dû genre à se lever à quatre heures du matin pour être en forme et aller courir, et il te répondait que tu avais effectivement visé juste. Tu lui lançais ensuite un grand et faux sourire quand il te provoquait, et tu venais tapoter doucement sa joue en secouant ta tête. « Noooon, c'est bon, je suis très bien réveillé là. En pleine forme vois-tu ?! » C'est surtout que t'allais surement devoir te faire une petite sieste plus tard dans l'après-midi, mais tu ne comptais pas vraiment lui dire – ce serait bête qu'il te prenne pour un mec qui n'en valait pas la peine car il tu n'étais pas capable de rester éveillé ni de te lever tôt. Puis tu le fixais un petit moment alors qu'il répondait à ta petite provocation, et ça ne te faisait que sourire plus en coin, glissant légèrement un doigt le long de son torse. « Est-ce que tu insinuerais pas très subtilement que tu voudrais recommencer ? » Tu lui demandais, observant ses réactions, parce qu'il était certains que tu n'allais pas faire ton difficile et que s'il comptait te revoir, tu n'allais pas décliner l'invitation. Tu laissais ensuite un petit commentaire sur le fait qu'il faisait assez sa diva et qu'il était difficile à convaincre – t'avais quand même dû limite lui courir derrière – et il riait. « Ouais, ouais. T'es pas facile à attraper, mais tes performances compensent. » Tu répondais, avant de remarquer avec satisfaction que même au petit matin il prenait un peu le temps de voir comment tu étais bâti – bien moins de muscle, mais t'étais pas mal non plus hein ? Tu hochais ensuite ta tête alors qu'il se levait, t'étirant sur le lit. « Si tu me fais pas dégager de suite, je vais pas dire non à des pancakes ou un smoothie. » Tu disais en baillant un peu, pensant au service de l'hôtel qui devait surement être levé à cet heure-ci et tout mettre en place. Tu le regardais ensuite perdre sa serviette, et tu ne te privais pas pour fixer ses fesses, content de voir qu'il ne remettait pas la serviette pour se couvrir. « Je suis sûr que ça te fais kiffer de savoir que les gens te matent. » Tu lançais juste, parce que ce n'était pas possible, le coup qu'il venait de te faire, il avait dû le prévoir.
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« Je suis donc honoré d'être ta première fois. » Aussi étonnant que cela puisse paraître, tu le trouves adorable, ce jeune homme. Tant de questions qui te tournent en boucle dans la tête en ce matin de pré-printanier. Lui semblait si calme, si posé. Pourquoi te torturais tant l'esprit de questions qui ne valaient pas la peine d'être posées dans l'instant présent? Tu avais tout le temps du monde pour réfléchir, lorsque tu es seul. "Tu étais un bon coup." La prendrait-il mal, cette remarque? Certains n'appréciaient pas ce genre de commentaire. Allez savoir pourquoi. Parfois trop fragiles, les femmes avec qui tu couchais te reprochaient de ne pas être assez.. compatissant. Mais que voulaient-elles de plus? Tu leur avais donné du plaisir toute la nuit, tu les avais laissées dormir dans ton lit, tu leur avais préparé le petit-déjeuner, et puis quoi encore? Tu devrais les marier? Putain, non. Mais tu n'es pas sans-coeur. Il faut simplement le voir, le comprendre, le savoir. « Noooon, c'est bon, je suis très bien réveillé là. En pleine forme vois-tu ?! » Tu te mets à rire, haussant un sourcil, roulant des yeux. Pourtant, tu te dégages subtilement du contact de sa main sur ta joue. À l'exception des contacts charnels, tu préfères... éviter les autres types de contact. C'est ainsi que tu es fait, c'est ce que tu as toujours connu, comme réaction. Alors tu fais toujours pareil, et c'est par réflexe, et non par dégoût de son contact, bien au contraire. "C'est pour ça que tu es toujours au lit, bien au chaud?", demandes-tu pour le provoquer. Bien sûr, très bien réveillé. Mais la voix rauque, les yeux un peu lourd. C'était le temps de son réveil, quoi. Malgré ta réticence à ne pas être trop touché, tu le laisses parcourir ton torse du bout de son doigt. Tes doigts serrent gentiment les draps, alors que tes yeux cherchent les siens, plongeant dedans pour le fixer, voir ce qu'il compte faire. Est-ce un jeu, ou bien il compte vraiment te pousser à recommencer? "Je n'insinue rien, voyons.. J'ai envie de recommencer." C'est que tu vas toujours droit au but, peu importe de quelle situation il s'agit. Pourtant, malgré tes paroles, tes gestes ne les suivent pas. Pas dans l'instant, plutôt. Tu l'écoutes plutôt te raconter comment tu as été difficile à "attraper", ce qui t'arrache un sourire en coin. Te raclant la gorge, tu t'expliques : "Dusuel, je suis le chasseur. Mais ce n'est pas plus mal de se faire chasser, tu sais? J'ai bien aimé tenté l'expérience." Et c'est à ton tour de venir poser ta main sur sa cuisse, qui se trouve toujours sous les couvertures. Tu serres doucement la jambe, lui faisant ressentir le contact, puis tu t'éloignes, suite à la commande qu'il te fait, pour le petit-déjeuner. "À vos ordres." Tu sais cuisiner à peu près de tout, pour être sincère. C'est ta mère qui t'as appris à être cordon bleu, dès ton plus jeune âge. Cependant, malgré tes talents, n'ayant pas d'assez grande et vaste cuisine, tu téléphonerais à celle de l'hôtel pour qu'ils vous apportent de quoi manger. Ce que tu fis dans l'instant suivant, après avoir ramassé ta serviette, maintenant nu comme un vers. Au téléphone, tu souris remarquablement à la provocation de Nemo : « Je suis sûr que ça te fais kiffer de savoir que les gens te matent. » Tu te donnes toi-même un malin plaisir de rester bien dos à lui, pour qu'il ne voit que tes fesses. Pourtant, lorsque tu raccroches, tu te retournes vivement vers lui. Maintenant, il n'a qu'à se régaler... à distance. Tu balances la serviette sur ton épaule, les bras croisés sur ton torse, un sourire provocateur en coin. "Ça me fait kiffer de savoir que TU me mattes, ce matin." Tu souris, restant planté bien là ou tu es. "Si je me retenais pas, je prendrais bien un tout autre type de petit-déjeuner que celui que je viens de commander..", finis-tu par dire, haussant les épaules, l'air bien sérieux.
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C'était peut-être bizarre le fait que tu te sentes assez à l'aise ce matin même sans vraiment connaître l'homme avec qui tu avais couché cette nuit, même pour toi, c'était devenu une habitude si tu pouvais dire ça comme ça. Tu avais appris il y avait bien longtemps que ça ne servait à rien de se faire des frayeurs et de se poser trop de questions lorsque l'on se réveillait dans un lit qui n'était pas le sien. Les discutions awkwards au petit réveil en attendant que le mec ou la fille se décide à te foutre dehors ça n'était jamais très agréable ni pour l'un, ni pour toi, alors tu faisais comme si, et t'essayais d'être juste naturel sans te mettre à angoisser. Qui disait qu'après avoir coucher avec quelqu'un, même quelqu'un que parfois on ne reverrait plus jamais, on ne pouvait pas seulement discuter comme deux êtres humains ? Apparemment, c'était le genre de règles non-formulées que tu aimais transgresser. Il y avait toujours les machos ou personnes qui n'en avait que foutre de ce que tu disais, puis t'avais ceux qui étaient plus polis et qui souhaitait juste finir tranquillement la matinée et qui ne s'en offusquaient pas si tu squattais encore un peu. Il te disait que tu étais un bon coup, et tu lâchais un petit rire, posant tes yeux sur lui. « Merci du compliment. Ça aurait été dommage que je te dégoute du plaisir procuré d'homme à homme, non ? » Tu demandais, amusé. T'étais plutôt du genre à vouloir faire plaisir à ton partenaire et cela encore plus si c'était la première fois de la personne en face de toi. Hier tu ne le savais pas c'était vrai, mais tu ne t'étais juste pas comporté comme un gros bourrin à vouloir te faire du bien sans penser à ses ressentis à lui. Et oui, même pour les coups d'un soir t'essayais de rester un minimum respectueux et gentleman, à ne pas vouloir faire du mal à l'autre – tu préférais le rendre accroc aux relations physiques homosexuelles que de le dégoûter. Tu l'assurais ensuite à quel point tu étais réveillé – bon, tu commençais à bien mieux émerger mais ça te faisait vraiment bizarre d'avoir ouvert tes yeux si tôt – ne faisant pas trop attention à sa dégagée subtile quand tu tapotais légèrement sa joue. Il rétorquait, parlant de la chaleur du lit dans lequel tu restais, et tu haussais seulement tes épaules – même si rester au chaud était bien plus plaisant que sentir le vent froid du matin. « Je profite du fait que tu as l'air d'être un mec trèèèès gentil qui ne vire pas de suite ses coups d'un soir. » Tu répondais avec un grand sourire, espérant quelque peu qu'il ne te dise pas le contraire après cette phrase ni qu'il te demande de partir puisque tu en parlais d'un coup. Tu venais ensuite caresser légèrement son torse, d'humeur taquine ce matin, alors que tes yeux fixaient les siens. Tu ne faisait rien de plus, appréciant de regarder ses réactions bonnes ou mauvaises, et il confirmait l'envie de recommencer, ce qui ne pouvait que te plaire. « On pourra donc se revoir une fois à Cambridge ? » Tu proposais, comme si t'allais dire non à la possiblité d'avoir une sorte de sexfriend – enfin, friend était un grand mot pour une premier soir... Plan cul régulier, c'était peut-être plus adapté ? Étant donné que arriver à aller dans son lit ne s'était pas fait en une soirée, s'il voulait recommencer, c'était plutôt une vraie aubaine. Tu riais ensuite à sa remarque, alors que tu essayais de ne pas trop frissonner lorsqu'il touchait délibérément ta cuisse. « Je sens que tu vas vite t'y faire d'être courtisé... » Tu murmurais, lui lançant un petit regard. C'était toujours bon de se faire courir derrière et de se voir désirer par d'autres personnes, tu n'allais pas dire le contraire. « Allez mon capitaine, on se dépêche ! » Tu t'exclamais ensuite alors qu'il se levait, sentant déjà ton ventre un peu gargouiller rien qu'au fait d'avoir parlé de nourriture. C'était ton péché mignon, t'étais un gros cliché : il n'y avait rien qui te fasse plus plaisir que le sexe et la nourriture. Tu le laissais appeler l'hôtel, bougeant un peu pour la première fois du lit afin d'attraper la télécommande et d'allumer la télévision, histoire d'avoir un fond sonore et un petit truc à regarder alors qu'il commandait. Il était maintenant tout nu – comme si t'avais réellement besoin de ce genre de provocation si tôt le matin – et tu haussais un sourcil intéressé quand il se remettait face à toi, et que tes yeux étaient rivés sur son membre. Définitivement intéressant tout cela. Tu remontais tes yeux sur les siens qui t'observaient et tu lâchais un petit rire quand il changeait le pronom de ta phrase. Tu t'approchais ensuite un peu plus de l'autre bord du lit, le plus proche de lui même s'il restait debout à sa place. « Raconte-moi donc ça... Pourquoi te retenir ? » Tu disais d'une voix plus basse, un sourire en coin sur tes lèvres.
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« Merci du compliment. Ça aurait été dommage que je te dégoute du plaisir procuré d'homme à homme, non ? » Tu te répètes inévitablement, mais... comment ne pas le trouver mignon? Rien que ses répliques, ses petits sourires rendaient ton matin un peu plus enjoué qu'à l'habitude. "Rassures-toi, dans tous les cas, tu es loin de m'avoir dégoûté." Et cette affirmation était d'une sincérité étonnante, provenant de toi. Mais lui, il ne savait pas que tu pouvais être froid, d'ordinaire. Il ne te connaissais pas, il ne pouvait savoir que tu était comme un glacier. Froid, imposant, même glacial, et forçait les autres à se tenir bien loin de toi.. « Je profite du fait que tu as l'air d'être un mec trèèèès gentil qui ne vire pas de suite ses coups d'un soir. » Tu fronces les sourcils. Clairement, si tu avais voulu l'envoyer promener, le jeter d'ton lit et de ta suite, tu l'aurais fait après la baise, même. S'il était toujours là, c'est bien parce que tu ne comptais pas le chasser de si tôt, ce qui est, en soi, un point positif pour le jeune homme. « On pourra donc se revoir une fois à Cambridge ? » Tu fermes les yeux, appréciant réellement le contact de ses doigts qui parcourent avec une sensualité innocente ton torse. Hochant la tête, mais haussant les épaules à la fois, tu réponds d'un truc on ne peut plus vague.. "On verra bien." Mais au fond de toi, tu sais que vous vous reverrez. Car tu vous y goûter de nouveau. Tu veux tenter encore une fois. Tu veux jouer différemment, avec lui. Cette idée lui plairait-il? "Courtiser? On dirait le prince des contes disney, qui parle.", dis-tu en rigolant, ne te doutant pas le moins du monde que tu avais touché en plein dans le mile, toi aussi. Cependant, tu continues sur ta lancée : "La prochaine fois, j'essaierai de te rendre la pareille. On te drague souvent, dis-moi?" Toi aussi, tu as le droit d'être curieux à l'occasion, pas vrai? « Allez mon capitaine, on se dépêche ! » Tu te presses de commander ce que vous allez déguster au petit-déjeuner à la cuisine, offrant un pourboire s'ils vous apportent le tout bien chaud, et bien vite. Lorsque tu te retournes, c'est un Nemo qui te semble tout à coup affamé, intéressé, que tu trouves, sous tes yeux. Justement, ton regard suit le sien, fixé sur le bas de ton corps. Sans gêne, tu restes là, debout, droit devant lui. « Raconte-moi donc ça... Pourquoi te retenir ? » C'est une sacré bonne question, n'est-ce pas? Pourquoi te retenir, ouais? Souriant en coin, tu t'approches du lit, de nouveau. Il est à une plus courte distance de toi, soudain, puisqu'il s'est approché du côté du lit où tu as dormi. Tu fais quelques pas, tes jambes sont assez grandes pour n'avoir à n'en franchir que trois-quatre plutôt qu'une dizaine. Et puis, sans prévenir, tu passes une jambe par-dessus lui, le poussant d'une main forte pour qu'il se retrouve dos contre le matelas du lit.  "Bonne question... je devrais réfléchir à la réponse.", souffles-tu de façon assez provocante. À califourchon au-dessus de lui, tes lèvres viennent s'amuser au coin des siennes, descendant lentement, peut-être un peu trop, même, afin d'atteindre son cou. Tu y plantes tes dents avec douceur et pourtant voracité, de sorte à démontrer ton appétit, tel un vampire. Le jeu ne durera pas longtemps, puisque les serveurs menaçaient d'arriver bientôt, certainement. Et pourtant, pourquoi pas? Il te plaît, alors... Pourquoi pas, ouais?
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Tu ne pouvais te retenir d'avoir ce petit sourire sur tes lèvres alors qu'il te disait que tu étais loin de l'avoir dégoûté. C'était une bonne chose et finalement, en y repensant, le fait de t'y avoir bien pris la veille avait influencé sur ses décisions d'aujourd'hui sans même que tu ne le saches. Si tu avais tout loupé, si tu avais été un peu trop brusque ou pas assez à l'écoute de ses ressentis, il n'aurait surement plus eu envie de réitérer l'expérience avec quelconque hommes – et encore moins avec toi. « Ça me rassure oui. » Tu répondais simplement, amusé par ses affirmations sans gènes. Tu aurais peut-être cru que quelqu'un n'ayant jamais eu l'occasion de passer à l'acte avec un homme auparavant se retrouverait à être bien plus réservé et mal à l'aise le matin venu, mais finalement, ça se passait assez naturellement tout ça, il semblait de plus en plus se laisser aller et te parler. Tu profitais du fait qu'il ne te dégageait pas pour continuer à lui tenir compagnie, et il fronçait les sourcils à ta réponse, comme s'il ne comprenait pas trop ce que tu voulais dire par-là. N'avait-il jamais eu de nuit sans lendemains avant ? Non, ce n'était pas possible, tu ne pouvais pas le croire. Il avait peut-être seulement eu de la chance de ne jamais se faire mettre dehors de suite après l'acte ou le matin, mais toi, t'avais plusieurs fois eu affaire à ce genre de comportement qui n'était jamais très plaisant. Tu lui demandais ensuite si vous vous reverrez alors à Cambridge, puisqu'il comptait apparemment recommencer lui aussi. Tu ne pouvais pas le revoir avant, puisque c'était votre avant-dernier jour ici, mais une fois de retour à Harvard, vous auriez tout votre temps non ? On verra, qu'il te répondait. « Est-ce que ça veut dire oui ? » Tu poussais un peu en souriant en coin, parce que toi, tu aimais avoir des réponses claires et précises quand tu le pouvais. Et surtout dans ce genre de situations. T'aimerais juste pas qu'il te dise que vous verriez, que tu te fasses ces films dans ta tête pour au final ne plus jamais le revoir car il aurait changé d'avis entre-temps – l'honnêteté c'était mieux. Il rigolait ensuite quand il entendait le mot courtiser que tu t'aimais à employer, et tu riais avec lui à sa remarque, même si tu ne comptais pas encore lui dévoiler tous tes secrets – après tout, moins il en savait mieux c'était pour vous non ? Tant qu'il ne savait pas que tu étais un prince marié, ça éviterait de le faire reculer pour une nouvelle fois avec toi ou de lui donner des envies de raconter tes infidélités à la presse. « Mh c'est presque ça. J'suis Nemo, Prince des océans. » Tu lui répondais en lui faisant un petit clin d'oeil, un grand sourire fier de toi sur ton visage, et t'avais réussi à répondre sans trop trop mentir, n'est-ce pas ? On ne pouvait pas t'en vouloir de préféré rester à plaisanter qu'à lui raconter toute ta vie. Puis tu soupirais un peu, haussant tes épaules. « Pas vraiment. J'imagine que c'est plutôt moi qui drague. Et qui me prend des vestes parfois. » Tu avouais dans un petit rire, y réfléchissant. Tu ne te faisais pas forcément très draguer – ou peut-être que c'était trop subtil pour que tu le remarques ? Peut-être. Ou alors tu ne laissais tout simplement ni les filles, ni les garçons essayer, t'avançant déjà vers eux sans qu'ils n'aient le temps de venir te voir en premier. Tu prenais souvent les devant quand t'étais en soirée ou dans un bar, te disant que beaucoup ne recherchaient que ça, sachant très bien que ce n'était pas pour vivre et te marier avec ces personnes. Peut-être que si t'essayais de draguer d'une manière plus romantique, t'aurais plus de mal. Tu le regardais ensuite commander, puis tu lui demandais en t'approchant du lit ce qu'il entendait par se retenir. Tu n'aimais vraiment pas ces vilains mots dans sa bouche, et tu fus un peu surpris quand il s'avançait de quelques grands pas, avant de venir sur toi, te rallongeant contre le matelas. Tu te laissais faire, passant ta langue sur tes lèvres pour les humidifier en voyant son visage s'approcher, mais il ne venait pas t'embrasser, préférant les glisser dans ton cou. Son souffle te faisait frissonner – il fallait dire que tu étais très sensible à cet endroit - et tes mains venant se balader le long de son dos, avant de mordre ta lèvre en fermant tes yeux quand il mordillait ton cou. « Serais-je tombé sur un Cullen ? » Tu soufflais en plaisantant, ton coeur battant un peu plus vite alors que tu glissais ton pied le long de sa jambe avant d'entendre un toquement à la porte. Tu riais, levant un peu ton visage vers le sien. « Juste à temps. tu répondais, avant de venir lui donner une petite tape sur ses fesses. Va ouvrir, ô mon Edward, je pourrais pas être au top de ma forme sans avoir mangé. » Tu assurais en lui faisant un clin d'oeil, venant lui voler un long baiser langoureux avant de te redresser quand un second toquement se faisait entendre.
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