Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDON'T LET THE SUN GO DOWN ON ME ❋ CALYPSO - Page 3
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DON'T LET THE SUN GO DOWN ON ME ❋ CALYPSO

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Leo ne demandait que ça, disons qu'il n'allait pas se plaindre de ce genre d'initiatives bien au contraire. Le jeune homme lui lançait une petite remarque, mais c'était plus pour le plaisir qu'autre chose, vraiment comme si Calypso avait douté un seul instant de l'attirance du Mather pour sa petite personne. Il s'attendait aussi à ce qu'elle réponde, c'était inévitable, elle avait beau être un peu plus gentille, elle restait Thomspers la sorcière. La blonde commença à déboutonner un à un les boutons de son chemisier, et lorsqu'elle commença à descendre un peu trop bas, Leo releva aussitôt le regard pour fixer la jeune femme, comme s'il ne comprenait absolument pas ce qu'elle était en train de faire et qu'il n'avait aucune envie de regarder. Il ne tint pas longtemps et fut bien obligéééé de regarder. Non vraiment elle le tentait à peine, pfu un chouilla, que dalle, pas de quoi en faire tout un plat. « Je crois que ça revient un peu presque rien. » Il n'était pas dans l'obligation de lui dire, elle le sentait bien de toute façon que son petit jeu marchait complètement, comme à chaque fois, ça devenait vraiment une habitude, dont il ne se plaignait pas tant que ça, il était faussement insensible comme d'habitude mais elle lui faisait de l'effet. Elle l'embrassa de nouveau et franchement s'il avait eu un délire bizarre avec les grottes remplies de vers, Leo l'aurait bien aidée à quitter sa chemise entièrement, mais il se contenta d'y jeter un petit coup d’œil de temps en temps. « Oui une véritable torture t'imagines même pas, je devrais recevoir une médaille du courage, une récompense quelque chose quoi, pour te supporter il en faut. » Il ne répondit rien ensuite, il avait clairement sauté sur l'occasion pour la voir mais pas de quoi en faire tout un fromage, ça arrive à tout le monde. Bon lui ça lui arrivait … assez souvent de vouloir la voir. « C'est toi qui as de la chance tu veux dire ! » dit-il avec un petit sourire moqueur avant de replonger dans un énième baiser, ne pouvant que comprendre la frustration de madame Thomspers même s'il était clair qu'elle en avait plus envie que lui, bah oui ça paraît évident. « On va rectifier le tir. » dit-il en souriant. Caly était bien trop proche, il allait pas tenir ce rythme longtemps. Il se détacha doucement, reboutonnant un ou deux boutons de sa chemise, en profitant pour caresser tout ça discrétos personne a rien vu. « Je te rappelle qu'il y a pas de couloirs calme tes ardeurs, je vais pas résister pendant deux heures comme ça. » Il lui sourit de nouveau avant de reprendre leurs baisers passionnés.
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Je voyais son regard se diriger vers les boutons que j’avais décidé de détacher un à un, seulement, il décidait de quitter cette vue de mon anatomie afin de retrouver mes yeux. Etonnant. Je ne pouvais m’empêcher de sourire au jeune Leo qui essayait de cacher l’intérêt même mineur qu’i portait à ce qu’il se passait juste dessous de ma tête. Néanmoins, je continuais à les détacher. Seulement je m’arrêtais à une hauteur raisonnable, j’étais prête à exagérer dans les limites de l’acceptable en société. Enfin, j’disais ça mais j’avais quand même couché avec ce monsieur dans un couloir, ce n’était pas vraiment la chose la plus acceptable lorsqu’on vivait en communauté. Mais ça n’enlevait rien du moment que j’avais passé. Seulement, après un instant, il dirigeait de nouveau son regard sur mon décolleté. Ah, quand même. Je le reconnaissais mieux là. Presque rien, tu es sûr de toi là ? La fierté du jeune homme était vraiment impressionnante, et encore ce n’était pas la peine d’aborder le sujet « égocentrisme Halberstamien » parce que pour le coup c’était vraiment sans une seule limite. Je m’approchais de lui, écartant légèrement ma chemise de la main gauche afin de laisser une vue plus ample sur ce que je voulais lui montrer. S’il devait recevoir une médaille de courage, moi, c’était une statue en mon honneur. Parce que le supporter c’était un réel défi et outre cet aspect s’il était dans cette situation c’était à cause de sa propre personne : il m’avait refilé la syphilis, impossible de profiter donc. Le calcul n’était pas bien compliqué. Mais encore une fois il trouvait le moyen de se valoriser, incorrigible, enfin surtout ce qu’il aimait c’était me rabaisser ou plutôt me provoquer. J’étais déjà désespérée mais ça ne faisait que s’empirer de jour en jour. Qu’est-ce que j’allais bien pouvoir faire de lui ? Rien, voilà, quedal. Enfin, pour l’instant j’avais bien envie d’en faire des choses de lui. Tu vas arrêter de te plaindre ou c’est ton passe-temps favoris ? demandai-je avant de reposer une nouvelle fois mes lèvres sur les siennes. Quelle chance, franchement, j’en reviens toujours pas ! dis-je avec ironie, j’aimais gonfler son petit égo, ça le rassurait et il était fier comme un pape. Enfin, non, car il savait qu’au fond je me foutais ouvertement de sa petite tête. Je souriais à sa remarque, j’avais bien envie de rectifier tout ça, là, maintenant, mais ce n’était pas possible. Je n’allais pas mentir : intérieurement, je n’en pouvais plus, le voir en face de moi et me sentir bloquée, c’était… c’était voilà quoi. J’espère bien. Il se détachait avant de refermer les boutons de ma chemise, je fronçais les sourcils au même moment. Mais arrête, je fais ce que je veux… puis j’ai jamais dit que je voulais que tu résistes. Je me mordais la lèvre inférieure. Tu préfères quoi, que je baisse ma culotte en public ? Tu sais bien que c’est mon truc de faire ça dis-je sur un ton espiègle.  
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Bien sur que non il était pas sur, ça se voyait non ? Il en pouvait plus là, il avait vraiment du mal à gérer la pression, elle n'était pas obligée de faire tout ça, si ? Le jeune homme voulait juste la lui arracher sa chemise, en finir avec toute cette couche textile qu'elle s'était sentie obligééeee de porter. Finalement c'était pas mal la piscine, elle portait moins de tissus partout, il aurait du lui donner rendez-vous à la plage. Tout ça car Thomspers était en confiance, ça y est, Leo l'aimait bien, fallait plus jouer mais pfu un instant d'inattention et elle reprenait ses petites provocations. Et c'était jamais un petit bout de peau qui apparaissait un instant, un petit regard. Non, elle ne s'amuserait pas assez, tout de suite c'était de l'excitation de maillot, baisser sa culotte dans un couloir, déboutonnage de chemise et poitrine presque apparente. Oh pour ça elle ne faisait pas dans la demi-mesure, d'un côté … ça lui plaisait, il aimait bien tout ça. « Tu as vraiment besoin que je te le dise pour savoir si tu me tentes ou pas ? » Il sourit, Leo aimait bien l'embêter, ça n'était plus méchant maintenant, pas dans le but de la provoquer pour le fait de la provoquer, ça en était devenu presque affectif, il la provoquait parce qu'il attendait quelque chose ensuite. En l'occurrence il avait obtenu ce qu'il voulait, enfin dans le style de ce qu'il voulait, il ne s'attendait pas non plus à ce que Caly décide de faire une petite séance topless. D'ailleurs il reposa son regard sur le décolleté de la jeune femme avant de secouer la tête négativement. « Second passe-temps favori, et étant donné que je peux pas m'adonner au premier je suis obligé de compenser sur le deuxième. » Leo l'embrassa encore, encore un peu, avant de la relâcher pour reboutonner sa chemise, faut arrêter les bêtises cinq minutes, c'est lui qui le disait et il l'assumait. Voilà que la blonde faisait son caprice de princesse, pour changer n'est-ce pas. Elle ne faisait pas ce qu'elle voulait non, elle était pas toute seule là hein. « Je m'en doute, ça te plaît trop d'avoir un espèce de pouvoir suprême sur moi, mais ce n'est qu'illusion, ne rêve pas. » argumenta-t-il comme s'il était parfaitement convaincu de ce qu'il disait. C'était un principe tout con, mais plus il donnait l'impression qu'il y croyait, plus il se disait que Caly y croyait aussi. Reposant ses mains sur les fesses de la jeune femme, il fit mine de lui descendre son short, en souriant. « C'est une bonne idée, j'aime bien quand tu fais ça. » Il ricana, elle n'avait aucun intérêt à faire ça là. Il se délectait de la bave goût Thomspers quand il lui souffla. « Si tu savais comme j'ai envie de visiter ta chambre. »
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Non je n’avais pas besoin qu’il me dise mais j’aimais bien l’entendre, il était débile ou quoi ? Pour une fois qu’il était explicite, je ne voulais pas m’en priver. Non parce qu’il fallait se rendre à l’évidence : on était pas du genre très honnête lorsqu’on était l’un avec l’autre alors pour une fois qu’il pouvait dire la vérité, c’était l’occasion et je n’allais pas lâcher l’affaire. Je voulais qu’il le dise, mot pour mot que oui, je le tentais et qu’il avait peut-être envie de me mettre dans son lit là maintenant. Je disais bien « peut-être » car c’était potentiellement vrai, il ne disait rien, je ne pouvais être sûre. De toute manière même s’il le disait, ça ne changeait rien à mes incertitudes, il pouvait parler, me dire ce qu’il voulait, la confiance n’était toujours pas là. J’avais promis d’essayer mais y arriver c’était une autre affaire. Comment pouvais-je faire confiance à un tel spécimen ? Non vraiment, c’était peine perdue. Oui, j’en ai besoin dis-je simplement avec un sourire discret. J’étais franche, mais outre cet aspect, c’était une manière de marcher sur sa fierté. Monsieur devait baisser les armes et avouer quelque chose, attention quoi. Allait-il survivre à cet aveu ? Suspens. J’avais toujours la poitrine dénudée. Disons que j’étais plus proche de l’habit de plage que du pull, mais il faisait beau, cela expliquait cela. Ou pas. Je vois, et quel est ce premier passe-temps favori ? demandai-je une lueur dans les yeux. Parce que je me doutais de sa réponse, il faisait indirectement référence - du moins je le pensais - à nos différents problèmes de timing. J’aimais jouer l’imbécile en fait, celle qui ne savait pas, qui voulait des réponses explicites parce que je savais à quel point c’était dur de le dire de voix haute. C’était toujours plus facile de sous-entendre quelque chose, ça évitait le beau et grand discours, ou l’horrible, cela dépendait de la situation. Il décidait de reboutonner ma chemise et je fronçais légèrement les sourcils. Je faisais ce que je voulais et puisque ça ne semblait pas le déranger tant que ça que tout le monde regarde ma poitrine, j’avais bien l’intention de continuer ma petite séance d’exhibition. Le truc c’est que je l’ai ce pouvoir mon cher, c’est pour ça que tu veux que je referme ma chemise. Seulement je sais m’en servir, maintenant, j’te prie de bien vouloir enlever tes mains dis-je en déboutonnant de nouveau mon chemisier, mais moins que tout à l’heure. Et toc. Il déposait de nouveau ses mains sur mon fessier, je faisais la moue. T’es sûr de toi ? Tu sais que j’en suis capable. Ça serait bête que quelqu’un d’autre tombe sous mon charme. Puis je souriais, je l’embrassais longuement, mêlant encore et encore ma langue avec la sienne. Arrête, ne dis pas ça soufflai-je.
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Rien qu'à sa tête il savait qu'il allait lui dire. C'est pas qu'elle lui faisait pitié, non ça le rendait juste un peu mou du genou, il baissait la garde un instant. Ça semblait être un besoin vital, un réclamation de premier ordre, automatiquement il culpabilisait en se disant que s'il le disait pas elle allait être déçue, que leur relation n'avancerait jamais sur la voie de la communication suffisante pour faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Enfin de manière plus générale, s'il ne cédait pas il le regretterait. Il soupira avant de dire sur un ton à peu près normal même s'il le sentait pas, ça sonnait trop grosse déclaration à grosse symbolique. « Bien sur que tu me tentes, et particulièrement maintenant. C'est bon contente ? » Il roula les yeux, soupira puis finit par sourire. Ah son passe-temps préféré … Mais si elle s'attendait à ce qu'il lui dise deux choses de façons nettes et précises à la suite, c'est qu'elle était sacrément naïve. Il haussa les épaules comme si ce n'était rien de très important avant de commencer calmement, un sourire victorieux aux lèvres tandis qu'il prenait son temps. « J'aime bien aller à la piscine, et visiter les couloirs, puis j'aime bien rester chez moi de temps en temps, c'est cool. » En fait il finirait sûrement par lui dire ce qu'elle voulait entendre, ce n'était pas le fait de lui dire qui l'embêtait, il voulait juste la faire poireauter un peu, qu'elle le supplie, Leo aimait bien cette idée-là. Thomspers continuait de se donner en spectacle, au fond il aurait bien aimé ne pas avoir à partager la vue plongeante sur le décolleté de Calypso avec les autres touristes. Voilà qu'elle lui ordonnait de ranger ses mains et qu'elle déboutonnait de nouveau sa chemise, comme une gamine entêtée. Il renifla, dédaigneux, ben tiens un pouvoir sur lui ? Et en plus elle savait s'en servir ? Hum … Pas faux. « Ouais mais t'en vantes pas trop Thomspers t'as mis du temps à apprendre à t'en servir, je commençais à m'ennuyer. » Même s'il avouait à demi-mot un demi-secret il ne pouvait pas ne pas glisser un petite remarque. Si elle croyait qu'elle allait s'en sortir si facilement et qu'il allait devenir tout niais pour ses beaux yeux, c'était mal le connaître. « Oui c'est ça le problème, j'ai pas envie que tu le fasses devant tout le monde, quand on sera tous les deux tu feras ce que tu veux, pour le peu de charme que tu as je veux pas le partager avec n'importe qui. » Il voulait pas partager tout court, disons qu'il ne voulait pas en être le témoin après elle faisait ce qu'elle voulait. Tant qu'il n'était pas au courant ou spectateur de la chose. Il répondait à ses baisers, intensifiant la serrant un peu plus contre lui. « On va l'apprécier fortement ta chambre si tu veux mon avis. »
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Il venait de le dire, et je tombais presque à la renverse. Il était vraiment tombé sur la tête, j'étais partagée entre le fait que ça me faisait plaisir et par la surprise. Ça ne lui ressemblait tellement pas d'avouer une telle chose que je demandais ce qu'il pouvait bien préparer. Il ne pouvait pas avouer ça sans attendre quelque chose en retour ou sans préparer un mauvais coup, ce n'était pas possible. C'était Leo Halberstam dont on parlait, pas d'un gentil petit inconnu avec une belle gueule. Bon ok, il avait une belle gueule mais ce n'était pas le problème. Évidemment que je ne lui faisais pas confiance, ça crevait les yeux, comment je pouvais le croire ou ne pas soupçonner de la manipulation dès qu'il ouvrait la bouche ? J'étais incapable de répondre. Néanmoins, j'essayais de ne rien montrer, souriant simplement, je préférais jouer la carte du jeu, c'était bien plus facile. Contente, parce que tu me tentes aussi, et tu as même pas besoin de faire quelque chose. Voilà, il décidait de faire une concession, j'en faisais une en retour. Il essayait sûrement de me manipuler et ça marchait, qu'importe, si par une chance infiniment petite il disait ça honnêtement, je répondais de manière positive et j'étais contente. Enfin, c'était loin d'enlever les questions que je me posais mais ça permettait peut-être de montrer que non, je n'étais pas qu'un bonhomme. Et ouais. Puis, je n'étais pas un bonhomme du tout au final, du moins pas véritablement. Oui, je l'avouais, c'est bon. Je souriais de nouveau, quel filou. Il faisait référence de manière implicite aux lieux de nos rencontres, et ça me faisait sourire inévitablement. J'étais niaise, ridicule, pathétique. C'était si facile de me mettre dans sa poche quand on s'appelait Leo Halberstam. Étrange, j'aime beaucoup faire ça aussi... Quelle coïncidence, tu aurais pas une explication par hasard ? demandai-je faussement embêtée. Comme une personne qui demandait une grande aide. Je venais d'ouvrir de nouveau mon chemisier et je voyais bien qu'il n'était pas ravis. Ça me donnait encore plus envie de continuer. L'important c'est que je l'ai, le reste, tu peux parler et dire ce que tu veux, ça ne change rien. J'avais un pouvoir sur lui... décidément, il décidait de me faire une montagne de révélations pour le coup, je ne savais pas vraiment quoi penser. Ça restait un haricot le mec. Oh, il était jaloux, c'était presque mignon. Presque hein. Je me sentais fière comme un pape. Genre monsieur montre un soupçon de jalousie... intéressant, mais gonflé quand même tu trouves pas ? Surtout après notre conversation. dis-je avec un regard provocateur. Imaginons que je réfléchisse à ta demande, j'y gagne quoi moi dans tout ça ? Il fait très chaud ici tu sais. Je continuais à l'embrasser, jouant avec ses cheveux. J'ai dis chut. C'était trop pour y penser.
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Caly lui répondait en avouant qu'il la tentait tout autant et sans rien faire. Il était vraiment flatté, ça le mettait tout en émoi le petit, mais d'un côté, il doutait de la véracité de ses dires. Il se méfiait de la blonde, elle avait beau dire qu'elle ne jouait plus avec lui comme auparavant, il en subsistait d'incessants doutes sur ce qu'elle pouvait bien avoir en tête. Peut-être qu'elle était toujours en train de se dire qu'il était un gros débile de croire à tout ça, qu'elle se frottait les mains intérieurement de le voir avouer tout un tas de petites choses. Mais au final, il s'en moquait qu'elle l'utilise tant qu'elle le faisait bien. « J'imagine pas ton état si je me mets à faire quelque chose. » dit-il un demi-sourire collé au visage. Leo avait déjà plein d'idées en tête, ça ne serait pas si difficile que ça, il commençait à connaître ses points faibles à la demoiselle. Elle sourit lorsqu'il évoqua leurs lieux de prédilection, ça en devenait presque symbolique tout ça et il lui sourit en retour. Ils revenaient de trèèès loin. « C'est un vrai mystère, mais certaines choses restent inexplicables je crois. » Calypso en était la preuve, l'exemple type des choses que le jeune homme ne pouvait pas expliquer. Et il ne voulait pas l'expliquer d'ailleurs, il voulait juste ses lèvres, son foutu caractère aussi, il aimait bien. Il se décalait en fonction des mouvements de la jeune femme, en profitant pour se tenir tout proche d'elle, histoire de masquer la vue plongeante sur sa poitrine aux yeux des voyeurs autour d'eux. Halberstam leva les yeux au ciel, ouais ouais, ils allaient pas en parler dix ans non ? Elle avait un certain contrôle ok mais on allait pas en faire un fromage. Pourquoi il avait dit ça lui aussi ? Il pouvait pas se taire sérieux, elle allait le harceler encore. Il était pathétique, vraiment pitoyable. « Je propose qu'aucun de nous ne parle c'est pas mal non ? » Question purement rhétorique, il embrassa aussitôt la jeune femme, une façon de lui occuper l'esprit qu'elle le lâche un peu avec ça. « Déjà je suis pas jaloux. » Moyennement convaincant le Leo mais bon. « Et ensuite tu y gagneras mon admiration éternelle, résister à ses pulsions ça demande un self-control que seuls les plus grands possèdent. Je me propose aussi pour t'aider à l'enlever si tu as besoin d'aide. » dit-il le regard malicieux et le ton espiègle. Il l'embrassait toujours, encore, beaucoup trop. « D'accord chut. » lui répondit-il en souriant avant de l'embrasser plus doucement.
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Ah je levais les yeux au ciel, il ne pouvait définitivement pas s'en empêcher le petit. Il voulait montrer qu'il était grand, qu'il avait un certain pouvoir sur moi même si ce pouvoir était totalement inexistant. Enfin, je préférais qu'il pense que ce soit disant pouvoir était inexistant sinon j'étais cuite, terminé. Il allait en profiter afin de me prendre pour une imbécile et j'allais terminer sur les roses, non ce n'était vraiment pas ce que je voulais. J'étais capable d'accepter le fait qu'il réalise que je l'aimais bien et qu'il m'attirait mais pas qu'il avait une quelconque influence. Même s'il l'avait. Olala dis-je en me mettant la main sur le front tout en jouant la comédie histoire de me payer sa tête et de détourner l'attention sur ce qu'il pensait savoir. Je crois que je ne pourrais survivre, tu serais obligé de me sauver d'un arrêt cardiaque dis-je en laissant tomber ma main sur mon coeur comme si une douleur venait de survenir. J'suis pas crédible hein ? C'est parce que ça ne changerait rien, arrête de rêver dis-je avec un sourire provocateur. On évoquait les endroits qui représentaient notre « histoire ». Je crois aussi... on devrait retourner à la piscine un jour. Je l'embrassais une nouvelle fois, c'était étrange ce besoin irrépressible de poser ma bouche sur la sienne, comme si... non je ne pouvais m'imaginer de ne pas l'embrasser, c'était impossible. J'en avais besoin aussi étrange que cela puisse paraître. Je voyais qu'il se rapprochait de moi, ce qui gâchait complètement ma super décolleté, le nul. Mes seins étaient collés à son torse à présent, non vraiment, il était petit joueur pour le coup. Il proposait sa petite phrase habituelle qui était de se taire, mais au final, il ne se taisait jamais. Je n'avais même pas besoin d'arrêter de parler qu'il relançait la conversation. Incorrigible. Je n'insistais pas, il venait de reconnaître un truc je n'allais pas me plaindre. Genre il était pas jaloux, j'avais vraiment envie de rire, il pouvait assumer quand même... enfin, je n'étais pas entièrement sûre, c'était ça le problème. Ça me paraissait plus simple qu'il soit honnête et je voulais qu'il reconnaisse. Mais puisque tu arrives si bien à te contrôler, je vois pas le problème, je peux continuer à laisser mon chemiser comme ça... puis tu n'es pas jaloux apparemment, alors il faut savoir partager, tu en penses quoi ? Ce serait bête que tu sois le seul à pouvoir profiter du spectacle. Je le narguais clairement, ou je cherchais à le provoquer pour qu'il dise ce que je voulais entendre, qu'importe, je n'allais pas lâcher l'affaire. Même si tu m'énerves, j'aime bien être avec toi avouai-je, comme ça, genre, normal. Vraiment, ça n'allait plus. Je l'embrassais.
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Pour changer, elle se foutait de sa petite tête. Il restait perplexe, Leo ne savait jamais si elle était sincère, si elle en avait véritablement rien à faire ou si elle agissait de la sorte pour cacher ce qu'elle pensait et ressentait réellement. C'était un véritable mystère, du Calypso tout craché. D'un côté ça attisait sa curiosité, il était suffisamment têtu pour insister. Puis dans le cas où il visait juste, ça ne représentait pas rien. Il secoua la tête en souriant, en fait il ne pensait pas grand chose de tout ça, il ne savait juste pas sur quel pied danser avec elle. « Je n'ai rien contre le bouche-à-bouche et le massage cardiaque, je pense même que tu serais capable de simuler tout ça juste pour le plaisir de subir cette douce torture. » Il n'ignora pas le sourire de la blonde, ça l'amusait de faire ça, et il marchait, à chaque fois. Évidemment qu'elle l'avait son pseudo pouvoir sur lui. De nouveau son sourire grandissait un peu. « Quand tu veux, je sais pas s'ils nous laisseront entrer on a pas été très sages la dernière fois. » C'était entièrement la faute de Caly bien entendu. Néanmoins il en gardait un très bon souvenir, il ne changerait ça pour rien au monde. Ses lèvres épousaient celles de la blonde une nouvelle fois, il pourrait faire ça encore longtemps, très voire trop longtemps. Ça ne lui demandait aucun effort, ça devenait presque naturel, comme une nécessité, et ça, ça craignait. Elle reprit encore la parole, laissant Halberstam songeur un petit moment. Elle en voulait encore ? Pourtant elle avait eu un sacré lot de révélations. Mais le jeune homme éprouvait aussi le besoin de la rassurer, s'il ne lui donnait pas de raisons de rester, elle partirait, il en avait conscience. « Oh s'il te plaît ! Tu sais très bien que je contrôle rien du tout et c'est pour ça que tu fais ce que tu es en train de faire. » Il passa doucement ses doigts dans les cheveux de Caly avant de lui sourire. « J'ai toujours pas envie de partager, tu vas rester gentiment là où tu es. » Il l'embrassa avant de chuchoter au creux de son oreille. « Et je suis peut-être un peu jaloux. Un petit peu. » Il sourit à la petite remarque de Caly avant de l'embrasser longuement. « Tu flattes mon égo, mais c'est totalement réciproque Thomspers. » Il reprit rapidement leur baiser, mêlant incessamment sa langue à celle de la jeune femme, c'était pas comme si elle allait le repousser.
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Je levais les yeux au ciel, il pensait vraiment que j’étais à ses petits pieds, ou que j’étais folle de lui, les deux je supposais. Genre j’allais simuler… quoique, l’idée me traversait l’esprit, pour voir comment il allait réagir, puis je n’avais rien contre le fait de coller mes lèvres aux siennes une nouvelle fois. D’ailleurs je l’embrassais, voilà, ça me faisait passer l’envie de faire cette stupide blague, et puis il y avait mieux qu’un massage cardiaque pour me retrouver avec ses mains proches de ma poitrine, quand même. Douce torture ? Ça serait horrible oui ! Je pense que tu peux trouver un autre moyen pour te rapprocher de moi Halberstam, quand même dis-je sur un ton espiègle histoire de le provoquer. Puis j’évoquais la piscine… je ne savais même pas pourquoi, sûrement pour lui rappeler notre petite escapade mais aussi LE moment qui avait complètement changé notre relation. Sans cet épisode à la piscine, je ne serais pas avec lui à l’instant présent, je n’aurais jamais eu la syphilis… en soit rien de très grave, au contraire, mais je préférais le savoir proche de moi. Je préférais savoir qu’il m’appréciait. Au pire, j’irais toute seule qui sait j’aurais peut-être l’occasion de faire une belle rencontre… c’est cool pour ça la piscine tu trouves pas ? Okay, je le provoquais encore et encore, ce n’était pas très classe mais je ne pouvais m’en empêcher, néanmoins je préférais me raviser… partiellement. Mais ça va être dur de trouver mieux que toi dis-je en souriant, comme pour le rassurer, genre « je déconne hein, c’est toi que je veux » mais dit de cette manière ça serait… trop, tout simplement. Je le regardais comme une gamine lorsque j’entendais ses révélations et sans rien dire, ne quittant pas son regard, je le lâchais légèrement et je reboutonnais ma chemise, voilà, tous les boutons étaient fermés à présent. J’aime bien savoir que tu es jaloux, même un tout petit peu alors avouai-je sans m’expliquer sur ma chemise, il allait comprendre de toute manière. J’ai pas très envie de te partager non plus… vraiment pas Leo. Je me risquais encore à lui faire des révélations mais je n’étais plus à ça, je posais mes lèvres sur les siennes pendant un long moment, faisant durer notre baiser.
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