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DON'T LET THE SUN GO DOWN ON ME ❋ CALYPSO

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Jour 7

Heure : vers 17h on va dire aucune idée face
Lieu : Waitomo
Contexte : Caly peut pas se passer de Leo ça paraît évident :sifle:
Participants : Calypso Thomspers-Leroy et Leo Halberstam



Leo avait été sage, vraiment très sage pour un Spring Break. Rien de ce qu'il avait fait jusque là le poussait à redouter le retour aux États-Unis avec les possibles emmerdes qui allaient avec. Il avait même réussit à obtenir des excuses de la part de l'abruti qui lui avait écrasé le nez. C'était pas satisfaisant ça ? Et forcément en parlant de son nez, il pensait presque de suite à Calypso, il y pensait pas beaucoup, un petit peu de temps en temps … enfin voilà il y avait pensé et il n'y avait pas de quoi en faire tout un plat. De toute façon même quand elle n'était pas là, il y avait soit son tapé d'ex soit sa folle dingue de femme pour lui rappeler que le méchant Leo avait refilé une méchante IST à la pauvre Caly qui n'avait pas besoin de ça, qu'il ferait mieux d'aller jouer ailleurs. C'était peine perdue pour ces pauvres naïfs, même si le Mather décidait paf comme ça de plus jamais revoir la blonde, elle reviendrait à la charge, c'était clair et net. Prenez là de suite, le jeune homme était posté à l'entrée – ou la sortie c'est pareil – des grottes de Waitomo, naviguant dans la boutique de souvenirs, comparant le prix des vers luisants pétrifiés avec les reproductions en plâtre. Il n'aimait pas les grottes en plus, il était totalement claustrophobe, il s'imaginait la grotte s'écrouler avec tous les vers luisants sur lui, beurk dégoûtant. Et il attendait Calypso, tiens ça pour une blague ! Il avait clairement pris son message pour un 't'attends quoi là bouge tes fesses', c'était pas faute de pas avoir cherché à la voir, elle ne pouvait que s'en prendre à sa rousse de femme. Il pouvait dire ce qu'il voulait quand il la vit pas trop loin mais un peu, il se mit à sourire et bousculant une pauvre vieille pour sortir rapidement. C'était à vomir. Une fois à hauteur de la jeune femme, il reprit une attitude nonchalante, posée, comme si de rien était. « Je suis content de te voir Caly. » L'entrée en matière la plus pourrie qu'il ait pu faire depuis longtemps, il allait pas non plus commencer par 'ça m'a fait quelque chose de voir ton ex et ta meilleure amie en l'espace de deux jours qui m'ont cassé les pieds pour que je me rende finalement compte que je voulais pas passer pour un odieux connard qui t'a filé la syphilis à leurs yeux et surtout pas aux tiens', non catastrophique tout ça.
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Je n'étais pas le genre de personne à aimer les sorties en groupe, ça m'ennuyait. Le paysage pouvait être extraordinaire, cela venait gâcher mon plaisir. Je préférais partir à deux, voir seule, je me sentais plus libre et surtout mois victime d'un pôle touristique. Néanmoins, j'avais décidé de suivre le mouvement lors du Spring Break et je me retrouvais à visiter des grottes. Elles étaient assez particulières mais pas de quoi en faire toute une histoire, c'était assez touristique en plus. Je décidais de faire une pause et j'allais m'asseoir sur un banc afin de fumer une cigarette. Je sortais mon téléphone afin de passer le temps lorsque, en me baladant dans mes messages, je décidais d'envoyer un message à Halberstam. Comme ça, non pas qu'il me manquait. Enfin. Il répondait rapidement et j'avouais lamentablement que j'avais envie de le voir. Parce que ses lèvres, elles, elles me manquaient. Sa réponse me rassurait, il avouait qu'il avait également envie de me voir et il me donnait rendez-vous à la sortie des grottes, à côté de la boutique de souvenirs - et oui, c'était touristique à ce point -. Je finissais ma cigarette et je me dépêchais de terminer la visite, non pas que j'avais hâte de le voir, non non... J'avais juste envie de terminer la visite. C'était plus simple de penser ça. Puis franchement, les grottes ce n'était pas ma priorité, c'était trop petit, trop... ce n'était pas assez, point. J’aimais me perdre dans un paysage, pas dans du calcaire. Je l’apercevais, et j’accélérais le pas, j’étais ridicule vraiment. Je ne savais même pas comment j’allais l’aborder, j’avais envie de l’embrasser, vraiment, mais je ne pouvais faire ça. Pas aussi facilement, il allait être fier comme un pape si je faisais ça. Puis, il y avait du monde et je ne voulais pas être la cinquantième à l'embrasser pendant le Spring Break. Certes, ça ne m’avait pas empêché à la piscine, mais c’était différent à cette époque-là, il ne représentait rien. À présent… non chut. Je souriais avant de répondre. Moi aussi, tu as aimé les grottes ? C’était bidon hein comme introduction ? Mais j’étais perturbée, par ses petites lèvres qui me faisaient de l’oeil. Je me mordais la lèvre inférieure. Je… tu as l’air en forme. OK ridicule Caly là, next. Puis, je me rapprochais de lui, sûrement trop.

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Thomspers la sorcière apparut, il avait presque attendu longtemps. Non en fait, il était sur que s'il vérifiait sur son téléphone l'heure de son sms, elle n'avait pas du mettre tant de temps que ça pour venir. Il ne savait pas trop quoi lui dire, enfin si mais non, pas comme ça, puis il voulait la voir toute seule, pas avec des gens autour, parce que … c'est tout, il n'avait quand même pas à se justifier pour tout ! Non mais pourtant il s'en faisait un devoir. Après le salut le plus pitoyable qu'il aurait jamais pensé lancé, il l'observa attendant qu'elle réponde. Il mit quelques secondes à répondre, franchement il avait vu plus passionnant et s'il était d'humeur et aurait bien expliqué à Calypso qu'il avait horreur des petites bêtes, d'être privé d'air libre et que là-bas dedans c'était humide et propice à la prolifération des champignons. Mais il sourit, répondant le plus superficiellement du monde que « Oui, c'est pas quelque chose qu'on voit tous les jours. » Il acquiesça à ce qu'elle disait sans vraiment l'écouter, bien trop perturbé par la distance entre eux. Elle était trop loin pour qu'il puisse y voir une véritable invitation à se lancer dans un baiser comme ça direct, ou en tout cas qu'il puisse parler de … plein de choses, mais elle était trop prêt pour qu'elle mette une vraie barrière entre eux, il n'aimait pas les demi-distances, demi-mesures, demi-messages, demi-tout, il ne savait jamais avec elle, comme d'habitude, elle était vraiment chiante. Mais en même temps, elle était pfiou. « Toi aussi, tu as pris des couleurs. » Il songeait vraiment à aller faire un tour et revenir quand il aurait quelque chose d'intéressant à dire. Elle se rapprocha de lui, là en revanche elle était trop proche pour qu'il ne fasse rien. Il inspira, sa main glissa le long du bras de la jeune femme, venant se poser ensuite doucement sur sa joue. « Je suis pas passé que pour te dire que ton ex s'était excusé, ni même pour me faire engueuler par ta femme d'ailleurs. » finit-il par dire avec un sourire en coin, une façon de lui dire qu'il était quand même venu pour la voir elle même si c'était mieux comme ça. Pas franchement dit, c'était plus simple. Il la regarda encore un peu, hésitant, d'un côté il en avait terriblement envie, et d'un autre côté il n'y avait pas grand chose pour le retenir. Leo réduisit totalement l'espace entre eux, embrassant longuement la blonde, encore un petit peu … là c'était bien. Il relâcha ses lèvres, restant tout de même tout proche.
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J'étais presque gênée, ça ne me ressemblait tellement pas. J'avais l'impression d'être une petite fille qui venait de faire une bêtise et j'hésitais presque à baisser les yeux. En fait, je venais de faire une bêtise, ou plutôt j'étais en train de la faire, à l'instant présent et depuis un moment. Je plongeais mes yeux dans les siens, essayant de le comprendre, d'examiner ce qu'il pouvait penser mais c'était comme si je ne captais pas la bonne fréquence. Je ne cherchais même plus à le comprendre. C'était peine perdue. Apparemment il avait apprécié la visite même si se retrouver aussi vite à la boutique de souvenirs était preuve d'une visite plus que rapide, je ne disais rien. Enfin si quand même, parce que j'étais madame Thomspers et que j'étais une éternelle insatisfaite. Ouais bon c'est pas non plus les chutes du Niagara. Y'a mieux. Voilà, c'était dit, tant pis s'il devait me prendre pour une capricieuse. C'est ce que j'étais de toute manière, et je n'étais pas du genre à me cacher. Enfin, pour l'instant ça m'arrangeait bien de cacher ce que je voulais lui dire, ou plutôt lui avouer. Je souriais à sa remarque, comme une enfant j'vous disais. Ce n'était pas vraiment un compliment mais cela voulait dire qu'il faisait attention à moi... ou alors il mentait, ouais, ça devait être ça. En plus je ne bronzais pas vraiment, j'étais abonnée pour le reste de ma vie à la couleur « cachet d'aspirine », magnifique. Je ne savais pas quoi répondre, regrettant presque d'avoir décidé de venir le voir... C'était étrange, l'ambiance qui régnait entre nous était... différente. Puis, il m'expliquait qu'apparemment il avait décidé de venir me voir et qu'il était tombé sur ma femme. Enfin, c'était ce que j'en déduisais. La petite cachotière, elle ne me l'avait pas raconté ça. Je culpabilisais vraiment là, si tout mon entourage commençait à lui tomber dessus, il allait partir en courant. Je ne voulais pas qu'il parte. Sérieux ? dis-je en rigolant. Elle t'as dit quoi ? demandai-je. De toute manière ils me faisaient des cachotteries tous les deux, Priape et Elizabeth, puisque c'était même ce dernier qui avait décidé de mettre au courant ma femme par rapport à Leo. De vraies commères. Je suis désolée, que veux-tu... elle m'aime énormément ! Elle aime moins la syphilis. Je n'étais pas en colère, cela partait d'une bonne intention et je ne pouvais être en colère contre Elizabeth. J'avais décidé de réduire l'espace qui se trouvait entre nous et suite à cela Leo venait déposer ses lèvres sur les miennes, pendant un certain temps. Mais donc tu as cherché à me voir... Pourquoi tu m'as pas envoyé un message avant ? Je déposais un nouveau baiser sur ses lèvres avant de jouer avec ses cheveux. La naturel avec lequel je faisais ça était surprenant.

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Ça en devenait légèrement déstabilisant, la regarder ne lui demandait pas trop d'effort, elle piquait pas les yeux, mais il se sentait complètement troublé par la situation. Leo n'avait pas vraiment réfléchi à ce qu'il ferait quand il la verrait, mais il ne pensait pas à ça non plus. Il sourit, Calypso râler, ah voilà les choses revenaient dans l'ordre. C'était une impression qui allait vite passer, il s'en rendait bien compte, il ne la cherchait plus comme avant et elle ronchonnait moins, l'embêter pour de vrai, c'était plus sa première préoccupation. « Que d'exigences ! Tu peux pas juste profiter Thomspers au lieu de faire ta râleuse? » Mais il souriait toujours, il trouvait ça moins difficile à supporter qu'avant, de toute façon ça se voyait qu'elle faisait ça dans l'unique but de lui montrer qu'elle était toujours aussi chiante. Cependant elle paraissait quand même moins relou depuis qu'il avait eu à faire à sa folle dingue de meilleure amie et accessoirement épouse. Le jeune homme réfléchit à la manière de prendre les choses, à vrai dire rencontrer Elizabeth avait été moins douloureux physiquement que rencontrer Priape. Il finit par hausser les épaules avant de rire un peu. « Des choses banales, qu'elle me réduirait en miettes si je te refilais une infection en tout genre, j'ai l'habitude de ce genre de conversations maintenant. Je ne peux m'en prendre qu'à moi. » Ce n'était même pas un reproche, ni à l'égard de Lizzie, qui avait finalement le mérite de vouloir l'étriper, ni à Caly parce que c'était Caly et qu'il savait parfaitement qu'elle n'y était pour rien cette fois-ci. Pour une fois il la croyait, qu'elle en soit satisfaite. Il l'embrassa sans trop se demander s'il avait son accord pour de vrai ou si elle s'était rapprochée juste pour laisser passer quelqu'un. Leo passa autour de la taille de la plus insupportable des blondes, tout en réfléchissant à sa question. « C'était pas calculé, totalement improvisé. » commença-t-il, avant de se raviser, l'embrassant une courte fois avant de la lâcher, remettant de nouveau un peu d'espace entre eux. Il voulait ajouter que ça lui était venu comme une envie d'aller aux toilettes, qu'il s'ennuyait et qu'il passait par là, qu'il avait rien à faire d'autre, mais il trouvait ça un peu réducteur. Halberstam n'avait pas cherché à la voir comme ça, il voulait la voir, tout bêtement. Sauf que lui dire c'était autre chose, il voulait la voir sans justification particulière, sans raison, le dire c'était moins aisé.
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Lorsque je l’entendais prononcer mon nom de famille, cela me rappelait presque notre relation « d’avant ». Enfin du moins la manière avec laquelle on s’abordait. « Halberstam » c’était froid, moins intime, plus direct. Il fallait se rendre à l’évidence : notre relation était complètement différente à présent. Je souriais donc malgré sa petite critique implicite. J’étais une râleuse, il le savait, et je m’aimais bien dans ce rôle de capricieuse. J’étais une princesse après tout. Puis, il disait ça également en souriant, chose qui avait changé également depuis le début de notre relation. On souriait plus, on était plus « gentils » dans nos propos et on jouait moins. Enfin si, mais de manière différente. Tu veux vraiment que je râle ? Je suis très forte dans ce domaine dis-je sur un ton espiègle, car s’il voulait vraiment voir mes talents d’enfant gâtée j’étais prête à lui faire une scène. Même si je n’étais pas une enfant gâtée, je n’avais pas de parents pour l’être, m’enfin. Il venait de m’expliquer qu’il était passé me voir mais qu’il était tombé sur ma femme, ce qui me donnait envie de rire. Oui, je trouvais ça comique d’imaginer ma femme et… le mec que j’aimais bien ensemble. Oui, j’venais de dire « le mec que j’aimais bien », et je n’avais même pas envie de retirer cette phrase. Je l’aimais bien, point. Pas de quoi me mettre à ses genoux pour le demander en mariage ni de lui demander de me faire un gosse. Je n'aimais plus les gosses, enfin m’imaginer procréer, non merci, terminé, aucun petit être vivant ne sortira de mon utérus, et c’était très bien comme ça. C’est vrai, tu es le seul fautif dans cette histoire, à me faire tomber dans tes filets… vraiment, c’est moche, et en plus tu triches en me refilant une infection… Je soutiens toujours ma femme. puis je m’arrêtais, je disais ça ironiquement, enfin pas pour Elizabeth. Néanmoins ça me rappelait la manière dont il avait attrapé cette cochonnerie, via une autre fille avec qui il avait couché. Il avait sûrement eu l’occasion de copuler à gauche à droite pendant ce spring break et j’avais l’impression d’être seulement une occupation. Enfin il l’était pour moi aussi mais… je ne savais pas, ça me dérangeait. Mon sourire disparaissait pendant une dizaine de secondes et je me mordais la lèvre, puis je retrouvais son regard. Je ne voulais pas lui dire, pas lui montrer, je n’étais pas faible. J’étais un bonhomme, une pierre. Je l’embrassais délicatement avant de lui répondre. Une envie passagère ? Tu as bien dû trouver quelqu’un pour me remplacer va dis-je en lui souriant, genre « je m’en fiche moi », en plus je ne savais même pas pourquoi il avait décidé de venir me voir. Il s’écartait légèrement et je décidais d’attraper une cigarette.


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Il s'en bouchait les oreilles d'avance. Même s'il disait qu'il regretterait presque leur ancienne relation beaucoup plus simple à gérer parce que beaucoup moins compliquée de base, c'était un petit mensonge, voir très gros mensonge. Ça allait bien cinq minutes les prises de bec dans l'unique but d'obtenir un petit rien, c'était ridicule. Pourtant il se trouvait tout aussi ridicule de faire les jolis cœurs et Leo était content que Caly ne soit pas au courant de sa petite visite car ça voulait dire qu'Elizabeth ne lui en avait pas parlé et qu'elle n'avait pas évoqué l'horrible tentative de bouquet de fleurs. Il se sentait obligé de s'excuser, ça partait d'un bon sentiment, à coup sur la rousse aurait transformé ça. « Non, je vais être obligé de te faire taire après, ça demande un effort considérable. » répondit-il aussitôt avec un sourire malicieux. Il avait déjà plein d'idées pour l'empêcher de parler, là tout de suite il en avait envie, mais il la laissa parler un peu. Pour une fois qu'elle disait des choses censées … ah non pas du tout, ça l'aurait étonné aussi qu'elle dise quelque chose qui avait un sens. « Tu m'as facilité la tâche aussi, je ne pensais pas que mon charme aurait tant d'effet sur toi. » Il sourit avant de reprendre plus doucement. « J'avoue que j'aurais pu trouver plus glamour pour que tu ne m'oublies pas. » Une envie passagère … Non pas vraiment, il savait exactement ce qu'il voulait lui dire mais ça sortait pas, c'était trop facile pour elle, elle allait être trop fière, trop contente. Il avait envie de se mettre une ou deux claques, toujours réfléchir à qui aller gagner ou perdre la manche, Leo n'était pas d'accord avec ça, il ne voulait pas jouer sur ça, mais il n'avait pas non plus la garantie que la jeune femme était dans le même état d'esprit. Il ne voulait pas se mouiller. Puis il n'avait pas tout à fait chercher quelqu'un pour remplacer Calypso à ce moment-là, ce n'était pas la première fois à laquelle il avait pensé. Si ça avait été le cas, il en aurait été gêné, là de suite, même si après avoir vu Lizzie il n'avait pas fait grand chose, il était gêné qu'elle pense ça. C'était légitime, il n'avait jamais caché qu'il était rare qu'il soit l'homme d'une seule femme, mais ça lui faisait tout de même bizarre. « Pas vraiment. Puis c'est pas pour ça que je voulais te voir Caly. J'ai besoin que tu m'éclaircisses quelque chose. » Il fit une pause tendant son briquet à la blonde avant de reprendre. « Il y a un truc qui revient souvent que ce soit ton malade d'ex ou Elizabeth, il faut pas que je te fasse du mal blablabla. Enfin pas sur le plan physique c'est trop tard, je vois pas ce que je pourrais faire de pire, seulement mis à part ça … Je sais pas comment je pourrais te faire du mal et outre le fait que ta femme va me crucifier, je préfère autant savoir ce que tu attends vraiment de … tout ça, je sais pas comment toi tu vois ça, comment tu me vois tout court, mais mon but c'est pas de te faire du mal. » Il se racla la gorge, s'humecta les lèvres et conclut finalement par un « Je crois, 'fin c'est sur. »
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J’avais décidé d’expliquer à Leo que non, les grottes ce n’était pas vraiment mon truc, donc je râlais et il me le faisait remarquer. Jusque là, tout était à peu près normal. Il me narguait avec sa réponse et je levais les yeux au ciel, monsieur Halberstam était toujours là avec une bonne petite réplique. Mais j’aimais ça. Un effort considérable ? Il faudrait éviter alors oui… mais tu sais bien que outre râler, je suis très forte pour ne pas écouter les gens dis-je avant de l’embrasser une nouvelle fois. Qu’importe la distance qu’il venait de mettre entre nous, je restais un moment sur ses lèvres avant de retrouver ma place. Tu vois, même pas besoin de me faire taire pour faire un effort. Puis il pensait avoir du charme sur moi, la blague ! Je le disais : ce garçon était égocentrique, c’était triste à voir. Ou mignon, parce que c’était relativement vrai, j’avais été assez docile lorsqu’on avait eu l’occasion de se croiser dans les couloirs de la dunster. Ou encore chez lui, en fait, j’étais trop docile, trop gentille, trop je ne sais quoi. Le pire dans toute cette histoire c’était que j’étais incapable de m’avouer pourquoi je l’étais. Tu parles d’un charme ! Tu veux peut-être que je t’appelle Ô mon beau Roméo ? dis-je histoire de le narguer, mais surtout d’éviter de répondre « c’est un peu ça, mais tu ne vas pas en faire toute une histoire hein ? » parce qu’il allait en faire toute une histoire. J’allais alimenter son égo. Ça tombe bien, j’ai jamais été très romantique ni glamour dans mes relations. Ouais, je venais de caser le mot romantique comme ça. Mais je regrettais aussitôt mes paroles, il allait se faire des idées. Je me sentais si nulle, je n’arrivais pas à être honnête, à me dévoiler. Au fond, j’avais sûrement peur, je m’étais tellement dévoilé lors de mon ancienne grande relation, au final, j’avais terminé bredouille, alors aujourd’hui, j’avais changé. Surtout que Leo n’était pas vraiment l’homme le plus fiable de la planète. J'en avais conscience, pourtant je me décomposais presque lorsqu'il me demandait ce que j'attendais et comment je voyais notre relation. Je retenais le fait qu'il n'avait pas cherché à me remplacer immédiatement et qu'il voulait me voir. Il allumait ma cigarette et je cherchais quoi répondre, encore sous le choc. Je ne m'attendais pas à ça, c'était si... imprévu. Je suis toujours en vie tu sais... tu aurais pu me tuer, donc y'a pire, c'est pas la fin du monde dis-je en tirant une deuxième fois sur ma cigarette. Putain, qu'est-ce que j'allais répondre moi. omment je vois notre pseudo relation ? Ce que j'attends ? Je... je m'arrêtais, ma fierté était toujours là, bien présente et elle me disait de me taire. Honnêtement, je ne sais pas comment voir tout ça, je ne sais pas quoi penser, et... peut-être qu'au final, je t'apprécie plus que je l'imaginais... et peut-être aussi que ça m'aurait dérangé que tu me remplaces vite l'autre fois. Maintenant j'me sentais sans défenses, comme toute nue. Bon euh j'vais y aller moi... J'étais mal à l'aise d'un coup.


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La jeune femme s'approcha de nouveau, posant ses lèvres contre les siennes. Doucement il l'enlaça avant de la regarder s'éloigner un peu de nouveau pour lui glisser une autre remarque. Il sourit de nouveau, tout ça les remarques, ses petites habitudes de capricieuse, il avait beau dire que ça l'embêtait, c'était tout le contraire. Leo aimait qu'elle lui réponde, qu'elle ne soit pas à bader devant tout ce qu'il disait. « J'aime bien quand tu décides de te taire. » Un petit sourire en coin trahissait ce qu'il pensait déjà cette réflexion. Il haussa les épaules, toujours tout sourire avant de lui répondre. « Moi ça me dérange pas. » Au fond ça le dérangeait un tout petit peu sur le principe. Il semblait au jeune homme qu'il avait déjà fait pas mal d'efforts dans le genre tragique, mais les relations du type tout le monde pleure et meurt à la fin, c'était pas son truc. C'était du pur égoïsme, il ne pensait qu'à sa tête, les rares tentatives d'offrir un peu plus aux filles qui en valaient la peine, celles qui avaient su se rendre beaucoup plus intéressantes que les autres, tout s'était révélé être une catastrophe. Alors au moins ils étaient identiques sur un point, Leo était loin de faire dans le romantique, quand il essayait ce n'était pas vraiment concluant. De tout façon, faire comme tout le monde ça ne l'intéressait pas. Donc peu importe s'il avait refilé une cochonnerie à Caly et qu'elle adorait lui casser les pieds, même s'il devait avoir sur le dos Priape, Lizzie et Cie, il aimait bien sa sorcière Thomspers. Il lui avait posé la question fatidique. Ou pas d'ailleurs elle pouvait aussi bien rien dire, ou alors ça pouvait ne rien changer entre eux. Elle mit du temps à introduire, du moins à ses yeux, trop long, il voulait savoir. Elle l'appréciait. Et ça l'aurait gênée qu'il est décidé de passer la soirée où il avait prévu – ou pas prévu – de la voir avec une autre. Il devait essayer de lui faire confiance, il voulait vraiment, elle ne pouvait pas jouer sur ça, il le savait mais il doutait. Leo resta un instant sans faire le moindre mouvement, plongeant son regard dans celui de Calypso bien sur qu'elle ne mentait pas. Il ne fallait surtout pas qu'elle parte, pas maintenant. Il la laissa recracher la fumée, inspira et se rapprocha d'elle, glissant une main dans ses cheveux blonds. Le jeune homme sourit, pas du genre moqueur, juste sincère. « Reste là Caly, j'ai rien dit encore. » Il se racla un peu la gorge, une prise de risque pour une fois. « Je voulais te voir toi, je vais pas chercher à trouver une autre fille à aller voir parce que tu n'étais pas là à ce moment-là. » Il fit une nouvelle pause, son regard bien planté dans celui de Thomspers, il avait l'impression de faire une énorme erreur et en même temps il trouvait absolument génial. « Je t'aime bien et je veux vraiment pas arriver au point de faire une grosse bêtise qui obligerait Elizabeth à être obligée de me casser autre chose que le nez. »
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Monsieur aimait bien quand je décidais de me taire, ou plutôt il aimait bien que je me taise pour l’embrasser, c’était cela qu’il voulait dire. Je levais les yeux au ciel, ce qu’il n’avait pas compris c’était que plus il me disait de me taire, plus j’avais envie de parler, enfin… je préférais l’embrasser, mais parler c’était pas mal aussi. Ça dépendait, sa bave était assez particulière et je commençais à développer une certaine addiction. Je devais faire attention, ou pas. Tu crois que ça m’intéresse ce que tu aimes ? dis-je avec un grand sourire espiègle à l’égard du jeune homme. Puis je me foutais de lui, proposant de l’appeler Roméo, mais apparemment ça ne le dérangeait pas, bah tiens donc, cela m’aurait étonné. C’était vraiment une catastrophe égocentrique, c’était peine perdue, je ne pouvais plus rien faire pour lui. Mais apparemment, je ne pouvais plus rien faire pour moi également, notamment lorsqu’il me posait une question… délicate. Une question que je me posais depuis bien longtemps mais que je préférais ignorer parce que répondre c’était… regarder la réalité en face et je ne voulais pas le faire. Tant mieux alors, mais je préfère Leo quand même dis-je. Roméo ça ne lui allait pas, il n’était pas un grand romantique dieu merci, et je ne voulais pas qu’on finisse comme les deux tourtereaux de la tragédie. Je venais de lui répondre en étant relativement honnête, j’en disais beaucoup sans tout dire de manière explicite. Mais c’était largement suffisant, et j’étais vraiment mal à l’aise. Je décidais même de partir, parce que je ne pouvais pas rester là ni lui dire complètement ce qu’à présent j’voulais. Je le savais au fond de moi, mais Leo… il n’était pas le genre de garçon à qui il fallait dire ça. Je ne voulais pas qu’il parte, qu’il décide de ne plus me revoir et au fond, je préférais me taire plutôt que de prendre un risque. Je tirais une nouvelle fois sur ma cigarette lorsqu'il se rapprochait de moi, mettant sa main dans mes cheveux. Il me disait de rester, oh non. Il ne pouvait pas me faire, pas maintenant que je venais de me ridiculiser. Mais, je restais stoïque lorsque j’entendais ce qu’il avait à me dire… qu’est-ce que cela voulait dire ? J’aurais bien voulu un dictionnaire Halberstam, là, maintenant. Mais apparemment, on était en train de jouer la carte de l’honnêteté, je devais donc plonger sans me poser des questions. D’un côté, je voulais partir mais de l’autre j’étais contente de faire ça, enfin, même si cela… aller peut-être signer la fin de nos échanges de bave. Et s’il partait en courant ? Arrête Leo, je sais bien que tu es comme ça, tu es ce genre de garçon, tu crois que je ne te connais pas ? Ce n’est pas la peine d’essayer de me ménager. Je voulais rajouter « et ça m’embête, genre, vraiment » mais je me taisais. Qu’est-ce que tu veux dire pas une grosse bêtise ? Il m’aimait bien, je notais ça, et je ne pouvais m’empêcher de sourire. Moi aussi je t'aime bien Leo, vraiment bien.




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