Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDON'T LET THE SUN GO DOWN ON ME ❋ CALYPSO - Page 2
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DON'T LET THE SUN GO DOWN ON ME ❋ CALYPSO

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Calypso éternelle emmerdeuse, en même temps elle pouvait continuer, si elle l'emmerdait à coup de baisers, il finirait bien à s'y habituer. En fait il s'y était déjà habitué, il avait appris à souffrir en silence. Tu parles de souffrance ! Il la regarda en souriant aussi, parce que de toute manière il avait cessé d'essayer de ne pas sourire. Leo s'était fait avoir une fois et maintenant il avait toujours le même air neuneu quand elle lui disait quelque chose. « Tu devrais en tout cas. » Toute cette situation le mettait mal à l'aise, ils échangèrent quelques baisers, il avait l'impression en faisant ça de lui rappeler pourquoi il était là, qu'il n'y avait qu'une seule raison motrice dans leur espèce de relation. Leo ne voulait pas parler de Roméo ou pas Roméo, de bien aimer ou pas. C'était trop intime, enfin de toute façon ils étaient déjà trop intimes. Le jeune homme savait aussi qu'il y avait des solutions toutes simples, il pouvait décider de plus voir Caly du tout ou trop la voir. C'était simple, il était un roi de la fuite, des disparitions du jour au lendemain, il avait déjà expérimenté. Il ne voulait pas qu'elle parte comme ça, si elle partait maintenant c'était mort, il la reverrait plus jamais c'est certain. Qu'est-ce qu'il pouvait lui dire ? À part qu'elle avait raison, il ne voyait pas. C'est vrai, même s'il avait des raisons de rester sage dans son coin, il y avait toujours de la tentation. Caly elle-même était la preuve de l'inconstance de Leo. Ce n'est pas non plus une raison pour qu'il lui dise qu'elle avait raison, il n'avait pas tout à fait envie qu'elle ait raison. Le jeune homme n'aurait jamais du lancer ce sujet, il était en train de tout casser. Il ne savait même pas ce qu'elle avait vraiment envie d'entendre. « Et tu le savais déjà avant. Ça veut pas dire que je suis d'accord avec ce que je fais. » Leo détourna le regard un instant. Il s'enfonçait de plus en plus, c'était catastrophique, il faisait n'importe quoi et il n'en était pas fier pour le coup. Il avait la sensation de tout gâcher. « Je veux pas te promettre des choses que je serai incapable de réaliser. Enfin pas incapable, il y a plein de choses que je peux faire mais que je peux faire mal ou pas comme tu voudrais. » Il s'embrouillait, et c'était la faute de Calypso, entièrement, la faute à sa bave maléfique. Leo se détendit un peu, souriant un peu, en profitant pour se rapprocher un peu. « Vraiment bien ? » Son sourire s'élargit un peu, puis il se ravisa doucement, son regard s'accrochant de nouveau à celui de la blonde.
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Et en plus de me dire ce que je devais faire, il me conseillait d'écouter ce qu'il aimait. Ah, il ne manquait pas d'air celui-ci, je vous jure. J'étais prête à l'écouter pour des conseils qui servaient à quelque chose, mais pour me dire de me taire, non merci. De toute manière, il disait ça juste pour que je l'embrasse, et le pire, c'est que ça marchait puisque j'avais échangé bien plus que deux baisers avec le jeune homme depuis le début de notre conversation. J'étais persuadée qu'il y avait plus de baisers que de paroles. Mais ça ne me dérangeait pas, au contraire. Peut-être que oui, peut-être que non dis-je en éternelle insatisfaite. Je n'allais pas perdre mes petites habitudes quand même. J'avais l'habitude d'avoir une certaine confiance en moi lorsque j'étais à côté de lui, prête à jouer, à lui sortir des remarques désobligeantes mais à présent j'étais complètement déstabilisée par sa question. Et par sa réponse. Je venais de lui dire que j'avais conscience du genre de garçon qu'il était, à aller à droite puis à gauche, ce n'était pas une coïncidence s'il avait chopé la syphilis. Mais surtout s'il n'était même pas sûr de la manière avec laquelle il l'avait attrapée. Et comme une idiote, j'avais préféré passer l'éponge sur cette partie, parce que c'était plus facile que de se dire que Leo était quand même un mec pas fréquentable. Je devais me rendre à l'évidence, notre relation, nos baisers, ça ne représentait rien pour lui. Il « m'aimait bien » ok, mais ça n'allait pas plus loin. Je ne savais pas quoi penser, j'avais envie de continuer à le voir, mais je ne savais pas si j'étais prête à me lancer dans ce genre de relation, enfin « d'habitude » disons. Après Priape j'avais préféré mettre mes sentiments de côté et ma vie avait également décidé de devenir compliquée, à présent je cherchais juste la tranquillité et j'avais l'impression de chercher les problèmes en fréquentant le jeune homme de cette manière. Tu as raison, d'ailleurs je te blâme pas que je sache, je te dis juste que oui ça me dérange un peu. Voilà, c'était dit. Il pouvait le prendre pour son égo, cela m'était égal. Il parlait de promesses... je ne lui demandais pas ça, vraiment pas. J'avais appris avec ma dernière relation qu'il ne fallait jamais promettre, jamais. Ecoute Leo, je n'aime pas les promesses, j'suis consciente qu'on est pas dans un conte de fée, j'veux pas des promesses, des blabla, je suis pas comme ça et tu le sais. Mais je sais pas si j'ai envie de continuer comme ça, c'est vrai. J'étais complètement honnête d'un seul coup, et ça semblait si facile de dire tout ça. À ton avis ? dis-je en souriant au jeune homme. Puis je donnais un petit coup dans son épaule. Mais pas de quoi en faire toute une histoire hein !

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Leo était persuadé qu'elle devrait vraiment se préoccuper de ce qu'il aimait bien ou pas. Ça la concernait un peu quand même. Ou peut-être pas, il s'était mis à parler et ça virait au désastre, du moins il le sentait comme ça. Le jeune homme la regardait, un peu honteux, il se sentait fautif, mais pour rien au monde Leo ne reviendrait en arrière pour agir autrement, il ne lui avait pas menti, au moins elle savait à quoi s'attendre. Lui aussi d'ailleurs, il savait comment il était, et comment il ne gérait pas certains aspects de sa personnalité. Mais il l'aimait bien, comme une fille qu'il voulait revoir, pas comme une fille avec qui il voulait passer la soirée. Ça c'était plus inhabituel, ce n'était pas quelque chose qui lui arrivait toutes les semaines, il évitait le plus possible. Il écoutait Caly, ça la dérangeait, tout ça, l'instabilité de Leo, dans un autre contexte il en aurait ri, il l'aurait embêter avec ça, cependant pour l'instant, c'était pas le moment. Le Mather resta de marbre, il n'avait rien à ajouter, il n'avait pas à se défendre, il ne pouvait pas la contredire elle avait raison. La suite lui fit un peu plus peur, il la regarda surpris, mais pas tant parce qu'il s'y attendait il avait fini par comprendre là où elle allait en arriver. Ça y est, la jeune femme était en train de signer l'arrêt de mort du peu qu'ils avaient, c'était fichu, Leo savait que sa réaction, ce qu'il s'apprêtait à dire jouait un rôle crucial. Il avait presque envie de la laisser partir, il passerait à autre chose bien rapidement, elle-même elle l'avait dit. Pourtant il avait envie de s'accrocher encore un peu, elle le mettait devant le fait accompli et pour une fois Halberstam ne voulait pas jouer les dégonflés, s'en sortir avec un sourire et une soirée plus tard trouver une autre fille qui lui demandait un peu moins d'efforts. « Si on continue pas comme ça on fait quoi ? On arrête ? Je l'envisage même pas, c'est nul. Peut-être que je dois pas me laisser influencé par ton ex, mais toi non plus, tu peux pas m'imposer ça. » C'était Calypso le bonhomme oui ou merde ? Elle était où celle qui l'avait plaquée contre le mur du couloir ? Celle qui lui avait affirmé qu'elle se serait chargée de son cas si elle avait voulu le taper ? Il était peut-être trouillard, mais lui c'était de nature, alors qu'elle arrête de faire la mauviette. « Tu veux pas être chiante comme tu sais faire ? M'imposer un truc ? Je sais pas, dis-moi ce que tu veux je vais pas deviner tout seul je suis nul à ça. »
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Je venais d’être complètement honnête à l’égard du jeune homme, j’étais étonnée moi-même, je n’avais pas prévu de faire preuve d’une telle franchise. Parce que oui, je venais quand même d’avouer ouvertement que premièrement, ça m’embêtait qu’il soit un coureur de jupons, du moins cela m’embêtait si on devait continuer à se voir de cette manière puisque ça allait de toute évidence poser un certain problème. À la base, le voir de temps en temps, ça ne me posait pas vraiment de problème, il était un emmerdeur de première et même notre baiser à la piscine était une surprise, mais il ne signifiait rien et je ne pensais jamais à en arriver là. Alors oui, inévitablement, je n’avais pas pris en réelle considération la tendance volage de monsieur puisqu’il n’était rien à mes yeux. Ou du moins, il n’allait jamais devenir quelque chose, or aujourd’hui il était quelque chose. Cela ne servait à rien de mentir, je n’allais pas me voiler la face pendant quarante ans, je n’étais plus une gamine. Enfin si, un peu, mais j’avais eu l’occasion de grandir grâce à ma super dernière relation. « Super » était ironique bien évidemment. Même lorsqu’il m’avait redonné la syphilis, je n’avais jamais pensé à notre relation de cette manière, le genre que j’ai envie que ça soit plus que deux personnes en train de coucher ensemble ou en train d’échanger de la bave. Ça m’embêtait de ressentir ça au fond, parce que Leo n’était clairement pas la bonne personne… enfin si. Mais d’une certaine manière il ne représentait pas un idéal de stabilité. Moi non plus quelque part. Il restait muet pendant un moment et je me sentais terriblement mal à l’aise. J’étais en train de le mettre dans une situation qu’il ne désirait pas et je pouvais clairement voir qu’il n’était pas à son aise non plus. Mais je souriais un instant lorsqu’il me disait qu’il n’envisageait pas arrêter notre pseudo relation. J’ai jamais dit que je voulais arrêter. Tu comprends rien. Et tu penses que je fais ça par rapport à mes proches ? Je dis pas ça à cause de la syphilis, je dis ça par rapport au fait que j’ai peut-être pas envie de me lancer dans une relation de ce genre, le genre tu es libre, je suis libre, on a pas de comptes à se rendre, tu vois ce que je veux dire ? Je ne te demande rien Leo, je te dis juste ce que je pense. Tu es ce que tu es et je l'accepte clairement, et je t'adore comme ça, mais... notre relation est tellement bizarre Leo. Je ne me voyais pas filer le parfait amour avec monsieur Halberstam, loin de là, c’était bien ça le problème. L’idée de tout arrêter me rendait folle, mais l’idée de continuer de cette manière, et bien, ça me rendait folle également. Tu vois, tu adores quand je suis chiante, j’le savais dis-je en souriant avant de lui répondre plus sérieusement. Je sais pas ce que je veux, j’arrive même pas à définir notre relation. Toi, tu veux quoi ? J’aime pas imposer des trucs de ce genre, ça marche pas sinon. Je soupirais avant de terminer. Mais dans ce que je veux, une chose est sûre, il y a toi... Ok Caly, honte internationale bonjour.


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La conclusion était toute simple : il avait beaucoup plus de facilité à argumenter devant son vieux prof d'amphi bedonnant, trois fois divorcés et adepte de la bouteille que devant Calypso. Lui, tout fait de paradoxes, se trouvait encore plus coincé entre des avis contradictoires quand il voulait bien réfléchir deux secondes à ce qu'il allait faire d'elle. Leo ne pouvait pas la jeter, il l'aimait trop bien, il appréciait trop sa compagnie, mais la garder pour en faire quoi ? Une amante améliorée, du style elle avait droit à un peu plus que les autres, pitié il n'était pas à la tête d'un harem non plus. Il ne voulait pas qu'elle soit la fille de temps en temps, mais plus ? C'était pas elle le problème, quoique elle était pleine de surprises il se méfiait quand même du cadeau empoisonné, mais alors lui dans le genre boulet ! Même la jeune femme s'embrouillait dans ce qu'elle lui disait, ou alors il avait sauté des passages. La blonde acceptait les frasques d'Halberstam mais ça la dérangeait. Il l'aperçut sourire et il se sentit un peu allégé, néanmoins le problème n'était pas résolu. « C'est toi qui explique mal, nuance. » râla-t-il de mauvaise foi avant de soupirer. « Bizarre c'est le mot, en même temps de la fille qui voulait me faire boire l'eau-urine d'une piscine publique c'est pas si étonnant que ça. » Il se coupa un instant, c'était pas le moment de perdre le fil, surtout pas maintenant qu'elle avait dit qu'elle l'adorait comme ça, il gardait ça dans un coin de sa tête, il lui ressortirait au bon moment. « Je peux faire des efforts, je sais que tu me demandes rien là de suite, mais tu peux pas me dire que mes … habitudes te dérangent et qu'en contre partie tu réclames rien. » Leo la regarda en souriant, allez un peu de légèreté, il inspira, se relaxant un peu, le plus dur était passé. Ce que lui voulait, vaste sujet sur lequel il aurait fallu bien plus de deux semaines de Spring Break pour arriver au bout. C'est clair que niveau définition, ils étaient loin d'arriver à quelque chose de concret. Mais est-ce qu'ils en avaient besoin ? C'était pour faire plaisir aux autres ça, définir la relation. « Je veux pas que tu me plantes, ni maintenant ni pas tout de suite, je veux pas que tu pense que je vais obligatoirement aller voir ailleurs chaque fois que tu seras pas là, regarde l'abstinence que tu m'imposes là, je tiens pourtant c'est pas les tentations qui manquent. Je veux pas que tu t'imposes quelque chose en continuant à me voir non plus. Le reste on aura le temps d'en parler plus tard. » conclut-il avec un sourire. Ce qu'il voulait maintenant, voilà c'était fait, après ? Il en savait rien, il y a même pas trois mois il n'aurait jamais imaginé en arriver à ce point avec elle, alors à quoi bon se bourrer la tête de trucs qui servent à rien. « S'il y a moi on devrait trouver un bon compromis. » Il lui sourit, caressant sa lèvre inférieure de son pouce avant d'approcher lentement le visage, l'embrassant doucement. Ce baiser était un peu différent des autres, peut-être parce qu'il avait plus de signification que jamais auparavant, en tout cas, Leo le prolongea longuement.
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Évidemment que je m'expliquais mal, il s'attendait à quoi, que j'arrive à tout déballer si facilement ? Même dans ma propre tête la situation était compliquée, alors oui la liaison ne se faisait pas très bien avec ma voix puisque je ne savais pas quoi dire ni comment m'expliquer. Ce n'était même pas le problème de m'exprimer, c'était plus celui de savoir ce que je ressentais réellement à l'égard de monsieur Halberstam. J'acceptais son caractère volage, je l'aimais comme ça et je ne voulais absolument pas le changer, parce que je trouvais ça insupportable de vouloir changer une personne. Si aujourd'hui j'avais envie d'être avec lui c'était pour ce qu'il était et non ce qu'il devait être. Au moins j'essaye de m'expliquer, tu devrais être content dis-je. Puis il me faisait me rappeler de nouveau l'épisode de la piscine tout en approuvant le fait que notre relation était « bizarre », pour une personne qui s'exprimait mal j'étais toujours capable de trouver le bon mot. Contradictoire ce petit Leo, comme d'habitude. Tu crois que je pensais à ce moment-là que j'allais en arriver là ? Je te voyais comme un haricot imbécile. Aujourd'hui, il était toujours un haricot bien évidemment, mais il était tout sauf un imbécile. Bien évidemment ça restait Leo, incorrigible et têtu mais ma vision à son égard avait littéralement changé. Il marquait un point malheureusement, certainement que d'une manière implicite je voulais qu'il arrête de voir autant de filles mais d'un autre côté, je ne voulais pas le changer ni être le boulet qu'il allait se trainer. Je n'étais pas un poids et il était libre comme l'air, je voulais qu'il le réalise et non pas qu'il pense que j'attendais quoi que ce soit de cette relation. Tu veux que je te dise quoi ? Arrête de voir des filles pour mes beaux yeux ? Je veux pas de ce genre de relation, tu fais ce que tu veux Leo, et même si un jour j'en venais à réclamer quelque chose, on en est pas là. Quelque part, au fond de moi j'avais envie de lui dire que oui, j'avais clairement envie de lui imposer quelque chose, mais je ne me risquais pas à cette révélation car elle n'était pas totalement vraie. J'étais encore capable de supporter l'idée qu'il fréquente d'autres filles même si clairement, je commençais à avoir un problème avec ça. Puis je laissais échapper un léger rire de mes lèvres. Je ne m'imposais rien en continuant à le voir, si ce n'est le partage d'une bave que j'aimais plus que bien. Je ne vais pas te planter, tu m'entends ? dis-je en m'approchant de lui, prenant son visage entre mes mains. Je voulais juste être honnête avec toi Leo, je voulais que tu saches que j'avais arrêté de jouer et que... je suis loin de m'imposer quelque chose, au contraire. En tout cas j'espère être une de tes tentations dis-je avec un sourire malicieux. Je n'avais plus envie de parler de tout ça, j'avais dévoilé trop de choses d'un seul coup et il fallait que cela mûrisse dans nos esprits. Dans un soupir je répondais. Pour l'instant, oui, on verra comment ça se passe, mais tu ne vas pas me planter non plus hein ? Et il m'embrassait avec douceur, ce baiser me retournait complètement, parce que malgré mon honnêteté et mes révélations, il m'embrassait, et... quelque chose avait changé. Je lui rendais son baiser, laissant mes mains naviguer sur sa nuque.


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C'est vrai que la jeune femme avait raison sur ce point, elle essayait, c'était déjà pas mal. Même si ces discussions qui nécessitaient que lui-même partage ce qu'il avait dans la tête lui demandaient beaucoup d'énergie, Leo était content de ce qu'il entendait même s'il ne lui montrait pas de suite. Un petit sourire naquit sur ces lèvres à l'évocation de … avant. « Heureusement que tu es revenue sur cette première impression, t'aurais raté quelque chose. Je savais que tu serais folle de moi un jour.  » dit-il un peu moqueur, son grand sourire amusé enlevait tout soupçon sur ce qu'il avait véritablement derrière la tête. Avant il y aurait cru dur comme fer, maintenant il ne jouait plus sur ce genre de choses, elle réservait bien des surprises. Et lui aussi il aurait peut-être raté quelque chose s'il s'était contenté de la laisser pourrir dans le panier à chieuses de son cercle relationnel. Mais chut, elle n'avait pas besoin qu'il lui dise ça aussi, ça fait beaucoup pour une journée. Il hocha la tête, d'un côté il était soulagé garder sa liberté, bien sur qu'il était content et qu'il en appréciait un peu plus Caly, même si au fond, il avait peur de lui faire de la peine. « D'accord, mais quand t'as des réclamations à faire tu sais où me trouver, on en profitera pour voir si mon lit est confortable au passage. » Une sorte d'invitation déguisée, ça serait nettement moins drôle si elle venait à l'improviste quand il était en charmante compagnie mais il ramenait des filles dans son appartement, c'était plutôt l'inverse, avec un bébé à la maison, il faisait attention quand même. Leo se rapprocha de Calypso avec grand plaisir, la regardant en souriant avant de hocher la tête, sourire en coin. « Alors on joue plus, je te fais confiance. » avoua-t-il avant d'ajouter rapidement, enlaçant délicatement la blonde. « T'as pas vraiment le droit d'en douter Thomspers, là tu me tentes particulièrement. » Il rit un peu avant de reprendre un peu son sérieux. « Je vais pas te planter Caly, c'est pas dans mes plans, il y a d'autres choses un peu plus intéressantes à faire tu crois pas ? » Leo l'embrassa doucement, longtemps surtout, frissonnant un peu en sentant les mains de la Dunster dans son cou, lui caressant tendrement ses hanches avant de rompre un court instant leur baiser, sans pour autant la lâcher. « Dommage qu'il n'y est pas de couloirs dans le coin. » Il lui sourit avant de l'embrasser de nouveau. Ô douce bave ! Il la tira un peu plus contre lui, plus de retour en arrière, il en voulait plus avoir à faire semblant de l'embrasser que parce qu'elle le faisait d'abord, d'être attiré par elle « par hasard ». C'était trop tard il l'aimait bien, il lui avait dit, autant rester dans l'ambiance.


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Effectivement, il n'avait pas tort : heureusement que j'avais changé d'avis, mais quelque part, je n'avais pas vraiment eu le choix. Les choses s'étaient déroulées si... naturellement. Comme une évidence, quelque chose d'inévitable et d'imprévisible. Leo était la dernière personne qui, quelques mois auparavant, m'aurait fait ressentir cela. Pourquoi avais-je changé d'avis ? Et pourquoi ce baiser à la piscine ? Je ne savais pas, une impulsion, une simple envie qui m'avait amené à l'endroit où j'étais actuellement. Cette envie était également à l'origine de ma nouvelle addiction : la bave de monsieur Halbsertam. Folle de toi ? À ce que je vois, tu aimes vraiment te faire des illusions à mon égard dis-je en rigolant. Il me disait que le jour où j'aurais des « réclamations » je pouvais lui en parler, malheureusement ce n'était pas aussi facile que ça. Parce que le jour où j'aurais réellement une réclamation, le genre sérieux, je devrais réfléchir à comment lui annoncer mais surtout si c'était la chose à faire. Imposer quelque chose n'était vraiment pas mon but et à présent je préférais poser le pour et le contre lorsque je prenais une décision dans mes relations, histoire de ne pas le regretter ou de ne pas faire n'importe quoi. À présent, je savais que Leo me plaisait, que l'idée de le retrouver dans le lit d'une autre ne me plaisait guère sans pour autant m'importuner au point de non retour, c'était déjà un bon début. Puis il m'aimait bien aussi, chose non négligeable. Je frottais son nez légèrement avec contre le mien, geste affectif sans réelle justification. D'accord, mais même si je n'ai pas de réclamations, je pourrais venir tester la qualité de ton lit ? dis-je en faisant la moue avec un sourire espiègle. Non pas que je désirais fortement la chose qui se trouvait devant moi, mais oui, j'avais bien envie de me retrouver dans un lit avec lui. Je souriais de nouveau à sa remarque, me mordant légèrement la lèvre inférieure. Moi aussi, enfin je vais essayer de te faire confiance. Et je vais continuer à te tenter alors. J'étais presque rassurée lorsqu'il me disait qu'il n'allait pas me planter, je voulais le croire, au plus profond de moi-même mais... ça restait Leo. L'éternel séducteur et malgré toutes ses paroles, le doute planait toujours au-dessus de notre relation et je ne pouvais l'ignorer. Si je pense, pourquoi tu as décidé de me voir ici ? dis-je en grognant presque, parce que clairement, on ne pouvait rien faire ici. Les couloirs c'était d'accord, les grottes avec des touristes partout, non merci. Je ne pouvais m'empêcher de rigoler. Effectivement... mais tu sais j'ai une très belle chambre d'hôtel. Moi aussi j'étais capable de faire dans l'implicite. Il me tirait contre lui, et je passais mes mains dessous son tee-shirt de manière discrète. Tu ne peux pas me faire ça à chaque fois, vraiment c'est... Je l'embrassais de nouveau repensant au moment où j'étais partie de chez lui parce qu'on ne pouvait rien faire, comme maintenant.

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« Je suis jamais très loin de la vérité Thomspers, jamais ! » Quoiqu'il vivait dans la plus grande incertitude quand il s'agissait de Calypso, un instant elle était une fille comme les autres, l'autre un chieuse pur produit, et une autre il ne trouvait rien à redire, bien au contraire. Alors des illusions, oui et non, comment savoir ? En tout cas une chose était sure, il voulait avant tout laisser de côté ces histoires un peu trop sérieuses pour lui de côté. Enfin tout ce qu'elle avait pu dire, il le gardait dans un coin de son esprit, il ne pouvait pas nier tout ça, il y avait eu trop de choses avouées, il ne pour pas l'ignorer. Ne serait-ce dans son comportement envers la jeune femme. Il avait véritablement cru qu'ils passaient pas loin de tout arrêter. Leo sourit, détendu et un peu troublé de toute cette complicité qui le surprenait toujours un peu. « Mes draps te seront toujours ouverts. » glissa-t-il au creux de son oreille avant de poser ses lèvres furtivement sur sa mâchoire. L'éternelle question de la confiance, à vrai dire il était tout à fait conscient de l'effort considérable qu'il lui demandait. Le jeune homme lui donnait toutes les raisons de douter, il devait donc y travailler, il savait aussi qu'ils n'allaient pas faire long feu si elle ne lui faisait pas un minimum confiance. « T'as pas grand chose à faire pour me tenter, quoique je crois que tu me tentes moins que toute à l'heure. » Provocateur, il posa presque aussitôt ses lèvres contre celles de la blonde, mensonge mensonge, elle était très forte dans le jeu de tentation elle n'avait pas de soucis à se faire avec ça. Il réfléchit un instant, avant de hausser les épaules. « J'y ai pas trop réfléchi, tu m'as surpris, j'ai été obligé de te voir de suite, à contre cœur ça va de soi. » En réalité, quand il avait vu le message de Caly, il s'était pas mal moqué du lieu ou du monde qu'il pouvait y avoir, le plus tôt était le mieux et c'est tout. Mais chut, elle en savait déjà trop, elle allait le prendre pour un gros faible. Il voulait garder un semblant de dignité. « Tu crois que je pourrais éventuellement la voir ? Histoire de comparer avec la mienne. Tu pourras voir la mienne aussi, que ce soit équitable. » Il lui sourit, avant de reprendre là où ils s'en étaient arrêtés. « C'est quoi ? » Un sourire espiègle animait son visage. Il l'avait déjà la réponse, c'était frustrant, terriblement frustrant. Leo ne voulait pas que madame Thomspers se contente de passer ses mains sagement sous son tee-shirt, voilà. Il posa ses mains sur les fesses de la jeune femme avant de soupirer. « Ta chambre me semble désespérément loin et j'espère que ta chère épouse ne traîne pas dans le coin. »
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Monsieur Halberstam jamais loin de la vérité, c'était la blague du jour. Non vraiment, digne d'un carambar. Enfin de la petite blague qu'on pouvait lire sur l'emballage, vous voyez ce que je veux dire. J'aimais bien en fait quand il m'appelait Thomspers, ça rendait bien lorsque ça sortait de sa petite bouche, pour une fois que quelqu'un ne déformait pas mon nom de famille. Il souriait, il était moins crispé à présent que notre conversation « sérieuse » était terminée. Je me sentais plus légère et plus sereine suite à nos échanges mais quelque part, j'avais encore une tonne de questions sous la dent. Parce que c'était Leo et même si j'y voyais plus clair, je ne savais pas où cette histoire allait nous mener et honnêtement je préférais arrêter d'y penser là maintenant. Il était avec moi, il m'embrassait et c'était tout ce qui devait importer à présent. J'avais toute la vie pour réfléchir à notre relation - si je pouvais l'appeler comme ça -, alors je souriais également au jeune homme. Très bien alors, j'ai bien l'intention d'aller les déranger très prochainement dis-je. Puis j'écoutais sa petite provocation, il était incorrigible, vraiment. Il voulait jouer à ça, très bien. Il me connaissait assez pour savoir que j'allais répondre, je soupçonnais même que c'était la raison pour laquelle il agissait de la sorte. Je regardais furtivement autour de moi. Puis, je déboutonnais délicatement les premiers boutons de ma chemise dévoilant une partie de ma poitrine. Je penchais la tête délicatement en arrière, passant une main dans mes cheveux. Tu disais ? Je me mordais la lèvre avant de l'embrasser, me collant sûrement trop à lui. Je comprends, ça doit pas être facile de passer du temps avec moi. Mais je savais que tu ne pouvais résister à l’envie de me voir. Je le narguais ouvertement, surtout avec la vue qu’il avait à présent sur mon décolleté. Je voyais des regards étranges derrière Leo, mais clairement, je m’en fichais, seul son regard m’importait. Je ne savais même pas pourquoi je faisais ça, par simple provocation, mais aussi pour lui répondre, et… parce que j’avais envie de le mettre dans mon lit, là maintenant. Tout simplement. J’avais envie de lui enlever ce tee-shirt qu’il portait, de déboutonner son short et de l’embrasser encore et encore. Enfin, pas que ça quand même, mais ça ne servait à rien de rentrer les détails, je venais d’être très explicite déjà. Ça peut se faire, je suis assez libre dernièrement, tu as de la chance. J’essayais de lui expliquer à quel point cette situation était… frustrante et presque douloureuse. C’est horrible, vraiment. Il déposait ses mains sur mes fesses, je le laissais faire avant de déposer une nouvelle fois mes lèvres sur les siennes, collant ma poitrine dénudée contre son torse. Certes, je n’avais pas des seins énormes, mais ça faisait l’affaire. Désespérément loin oui, je vais commencer à croire qu’on s’acharne sur nous. Je l’embrassais une nouvelle fois, de manière plus intense.

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