Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility# J5- Si la violence ne règle rien c'est que tu ne frappes pas assez fort (Théo) - Page 2
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# J5- Si la violence ne règle rien c'est que tu ne frappes pas assez fort (Théo)

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Sa réplique sur mon caleçon me fit marrer. « T’en fais pas pour ça, il a déjà fait son petit effet sur plus d’une… » Son ex incluse alors hein… Petit sourire narquois aux lèvres, je m’abstenais de faire ouvertement référence à Elia, l’allusion étant pour moi assez claire. D’ailleurs, j’enchainais ensuite en parlant de la collection douteuse de sous vêtements de la Cabot que le jeune homme avait reconnu avoir en sa possession. « C’est ma meilleure amie alors bien sûr que ça me concerne. » rétorquai-je à mon interlocuteur qui me reprochait de me mêler de ce qui me regardait pas. Tout ce qui touchait à la cabot me touchait indirectement, je voulais pas qu’elle souffre à nouveau donc j’voulais pas non plus qu’elle soit la cible d’un cinglé fétichiste des petites culottes. Mais Théo voyait pas mon amitié avec la brune d’un bon œil, d’ailleurs je comprenais pas pourquoi parce que notre dérapage avait eu lieu après leur séparation, rien à voir avec ce que moi je venais de vivre. Mes paroles durent trahir ma situation, puisque le jeune homme tira aussitôt la conclusion qui s’imposait. « C’est bon ton verre j’en veux pas en fait, tu peux te le mettre ou je pense… » fis-je simplement après ses paroles. J’avais plus aucune envie de rester là à débattre de ma situation de cocu. Théo était surement la dernière personne sur cette terre à qui j’avais envie de confier toute cette histoire, surtout qu’il avait été l’élément déclencheur de notre toute première dispute à Talya et moi. Mais finalement, je n’eus pas le temps de m’éloigner que le verre que le garçon m’avait commandé finit sur mon visage. Je sentais ma colère monter peu à peu en moi. Et perdant patience suite à ses paroles, je me jetais poing en avant sur lui. Coup de bol pour lui, et de pas de chance pour son voisin, mon état ne me permettait pas d’être d’une grande précision, et mon coup, au lieu d’aller se terminer sur son visage comme ce que j’escomptais, il termina sur l’épaule de la personne qui se trouvait à la gauche de ma cible et qui nous tournait le dos. Le garçon qui se ramassa mon poing se retrouva à terre sous le choc. Il se releva ensuite en faisant volte face vers nous pour connaître qui était à l’origine du coup. « Mon ami est vraiment maladroit veuillez l’excuser… » fis-je en accusant Théo.  
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« T’en fais pas pour ça, il a déjà fait son petit effet sur plus d’une… » Fronçant les sourcils, je ne sus pourquoi dans l'immédiat j'avais l'étrange sentiment que le foutu Dunster incluait mon ex-femme dans son expression ''plus d'une'' et cela eut le don de me faire voir plus d'un éclair danser devant mon regard. « Ouais, ben on se demande comme elles ont fait. » répondais-je alors avec un sourire narquois. Surtout vu la dégaine qu'il avait en cet instant même. De plus, il osait m'affirmer qu'Elia souhaitait probablement récupérer ses sous-vêtements et je n'avais pu m'empêcher de lui répondre que si elle les voulait de retour ou non, cela ne faisait absolument pas parti de ses affaires. « C’est ma meilleure amie alors bien sûr que ça me concerne. » Tournant mon visage vers le sien, je maudissais une fois de plus le fait qu'ils soient supposément meilleurs amis avant de rétorquer une phrase bizarre. « C'est ça..On s'appelle et on se fait une bouffe. » Puis tandis que nous allions vers le bar, il avait aussi fait une réflexion qui m'avait laissé perplexe, me faisant comprendre que selon moi, ce qu'il s'était passé entre lui et Talya n'avait été que pure tromperie. Pour moi, il était cocu et je ne me gênais pas pour lui crier au visage. « C’est bon ton verre j’en veux pas en fait, tu peux te le mettre ou je pense… » Foutez le feu à un immeuble, j'avais deviné juste ! Sinon, il m'aurait rétorquer le contraire à mon humble avis. Un grand sourire illuminait mon visage, je me réjouissais de son cas et je ne me faisais pas prier pour qu'il le constate. Mais sitôt les verres commandés, mon adversaire ne put s'empêcher de faire une autre remarque concernant mon ex et mon sang ne fit qu'un tour dans mes veines. Ni une ni deux, je prenais un des verres afin de lui balancer au visage. Sorte de petit clin d’œil pour le mojito que je m'étais pris de sa part au début de cette charmante conversation. Enfin, je n'eus pas à attendre longtemps avant de voir monsieur le taureau débouler vers moi mais, ratant sa cible -autrement dit moi-, il vint à frapper la personne qui se trouvait derrière et j'explosais de rire. Rire qui s'arrêta net lorsque le Dunster reprenait la parole. « Mon ami est vraiment maladroit veuillez l’excuser… » Albâtard ! La victime en question s'était retrouvée au sol et s'était bien vite relevée afin de voir qui l'avait agressé, la bouche déformée par la colère d'avoir été dérangé. Je me retrouvais à présent comme sa prochaine cible et sans chercher à savoir si le jaune disait la vérité, je vis son poing se diriger dans ma direction et plus particulièrement vers mon visage. Deux en même pas deux minutes et j'étais refais. Mais ayant de bons réflexes, je l'évitais en mode Matrix en déplaçant mon visage sur le côté, laissant le Dunster qui se situait derrière moi se prendre le coup. « C'est pas bien de mentir. » disais-je alors en explosant à nouveau de rire face à la situation.

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T'avais les yeux rougis, légèrement trop grand. T'avais les yeux bleus et finalement, le regard noir. En ce début d'après-midi, tu ressentais le cachet d'esctasy au plus profond de ton être. T'avais les yeux défoncés, le témoin de ton insouciance. Tu marchais sur la plage, tu te sentais voler. Le sable était ton ami, le soleil te redonnait de l'énergie. Quelques instants plus tôt, t'avais volé ce bouquet de marguerites. Il était beau, puis il te demander de l'aide. Silencieusement, officieusement, ses mots te disaient de donner de l'amour. Tu n'avais pas d'hallucination, c'était simplement ton amour qui prenait le dessus. Quand t'étais sous quelque chose d'illicite, ta nature de femme aimante revenait plus que jamais. Dans ta danse enfantine, ton bouquet dans les mains, tu jouais avec l'eau. Tourbillonnante, tu laissais ton être se ressourcer. T'entendais les vagues, mélodie des âmes. Les oiseaux chantaient, c'était l'alarme. Tu te focalisais soudainement sur des bruits, non loin. Ta vue se perdaient sur des hommes, des coups, la violence. Tu voulais de l'amour, et ces hommes, ils blessaient la Terre. Ils blessaient ton coeur. Tu partais vers yeux, déterminée, les sourcils froncés. Mais bien vite, ta peau respirait l'amour, t'étais détendue, t'étais prête à faire voler l'amour. Qu'importe qui ils étaient, qu'importe l'âge qu'ils avaient, qu'importe l'enveloppe corporelle qu'ils avaient eu. Tu faisais naître la pluie amoureuse. Tu te dirigeais vers celui qui venait de se prendre un coup (Priape). Tu tirais une marguerite du bouquet que fièrement, tu lui tendais. Tu te tournais ensuite vers l'autre jeune homme (Théo), et pour finir, l'inconnu. A genou, les gens autour te scrutaient. Et fièrement, t'observais et tu proclamais à ces trois hommes. "A vous, hommes musclés et bronzés. Je vous donne ces fleurs, pas seulement en témoin de ma bonté, mais pour signe que je suis envoûtée. Je vous ai aperçu, et j'en ai presque perdue la vue. J'étais simplement là, seule avec mes "lalala" quand j'ai senti mon coeur faire profil bas. Il était à terre, complètement dans une autre ère, le temps tué par une meurtrière. Et que l'amour vous porte, comme il me borde, vers d'autres sorts. J'ai l'espoir de vos regards, j'ai le désir d'un amour sous un hangar, et de chasser tous les cafards. Vos êtres m'ont ensorcelés, derrière tant de beauté, de personnalité et d'animosité dans vos ébats musclés. Mais s'il vous plaît, c'est un appel pleuré, cessez les coups mal placés. La violence n'a jamais fait ses preuves, l'amour en revanche c'est comme une pieuvre, ses ventouses envoûtes, l'amour c'est une histoire de prout. De l'amour à la haine, il n'y a aucune peine. Juste des sourires, pour éviter de mourir, car être seul, ça n'a jamais aidé à s'épanouir. Aimez nous, aimez moi, et la vie sera plus belle. Mes amours, je vous aime.". Tu souriais, tu te relevais, et tu dansais un peu autour d'eux, quelques sauts, amoureux, envieux, chaleureux.
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La situation avait dégénéré. En même temps vu mon état, vu les moqueries de Théo à l’encontre de Talya, mes piques en référence à la nuit que j’avais passé avec Elia, ça avait finit par déraper. J’avais lancé le top départ en frappant Théo, du moins en essayant de le faire. Le coup avait atteint une toute autre cible et je m’étais bien vite empressé d’accuser le winthrop. La victime riposta alors, visant ce dernier, mais il était très certainement en meilleure forme que moi puisque ce fut à mon tour de recevoir un poing en pleine tronche après l’esquive habile du jeune homme. Aïe ! Une vive douleur envahit mon arcade et je chancelais un peu à cause du choc reculant de quelques pas, entendant à peine le rire de l’autre crétin. Heureusement que l’alcool dont j’étais imbibé devait avoir son petit effet anesthésiant. Je relevais la tête serrant les poings, prêt à foncer sur celui qui se marrait, mais une jeune femme que je ne connaissais pas déboula entre nous. La demoiselle me tendit une marguerite avant de faire de même avec Théo et l’autre type. Si moi j’étais bourré, elle, elle était perchée. Elle devait pas carburer qu’à la vodka. Son discours peace and love me laissa un instant sans voix. J’échangeais un regard interloqué avec les autres : « Quelqu’un se dévoue pour l’emmener à l’hosto ? » demandai-je en me retenant de rire, avant de masser mon œil qui m’élançait malgré mon alcoolémie. Alcoolémie qui devait surement avoir trop baissé d’ailleurs, je fis signe au barman. « J’voudrais un mojito et de la glace pour mon œil s’il vous plait. » avant de me tourner vers la barjo qui avait débarqué. Après tout, elle avait empêché la situation de dégénérer davantage avec son discours de tarée. « Hey la hippie, tu veux boire quelque chose ? » lui demandai-je alors.
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On était rentré d'Hobbinton à 13 h et je m'étais rendu immédiatement sur la plage où une fête avait lieu. J'avais rencontré Swan, une mather que j'avais fait la connaissance durant la course culotte mather/cabot et dont je venais de retrouver. On avait papoter, bu du punch et bien rigolé. Je m'apprêtais à rentrer à l'hôtel et trouver une autre compagnie quand je vis sur mon chemin que mon ex Théo était au bar de la plage avec mon meilleur ami. Aoutch ! Je ne sais pas pourquoi mais je craignais le pire. Je savais que les deux dans un même périmètre c'était pas bon signe alors je m'avançais vers eux alors que je vis une jeune femme s'approchait d'eux aussi. Que voulait-elle ? Aucune idée mais je continuais à avancer vers les deux hommes. Je rêve où vous êtes ensemble et ça a l'air de bien se passer ? Bon ok j'avais pas vu le moment où ils avaient failli se foutre dessus aussi. Prenant Théo dans mes bras pour le saluer, je fis de même avec mon meilleur ami alors que je fis un signe de tête à la jeune femme que je ne connaissais pas. T'es un peu chaud toi non ? demandais je inquiète à Priape. Chaud dans le sens qu'il avait bien bu, qu'il sentait l'alcool et que je le connaissais si bien que je voyais facilement qu'il avait beaucoup bu. Il était assez grand, mais j'aimais pas trop ça. Surtout sachant qu'il avait réussi a paumer sa carte bleu, ses clés et son briquet y a quelques jours. La veille il avait tout récupéré, mais il avait tout perdu quand même, ça pouvait se reproduire.




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Un lutin ! Que dis-je, une naïade des bois qui avait carrément du se paumer de direction. J'observais la nouvelle arrivante, le visage sur le côté, plutôt absorbé par la vue de ses cheveux roses bonbon que par autre chose. Pour revenir en arrière et faire un petit topo, Priape m'avait balancé son verre sur la tronche, puis j'avais appris implicitement qu'il était cocu -ce qui m'avait rendu accessoirement, très joyeux- puis je lui avais proposé un autre verre que j'avais fini par lui balancé en plein visage à cause de ses sous-entendus sur mon ex-femme et enfin, le Dunster en tentant de me refaire le portrait avait raté sa cible pour taper un autre client qui s'en était ensuite prit à moi mais qui me ratait pour frapper le jaune en plein visage. Fiou, que d'histoires. Et à présent Barbie en personne nous faisait acte de présence. « Mais qu'est-ce que... » murmurai-je en lui lançant un regard choqué face à son flot de paroles très bizarres et la marguerite qu'elle me tendait. « Quelqu’un se dévoue pour l’emmener à l’hosto ? » Un éclat de rire s'échappa de mes lèvres. « Dévoues-toi, t'aurai bien besoin de finir ta soirée là-bas. » Surtout vu le coup qu'il venait de se prendre. Priape se commanda alors un autre verre ainsi que de la glace avant de proposer un verre à notre nouvelle recrue, ne se souvenant peut-être plus que cinq secondes auparavant, il était en rage contre moi. « Je rêve où vous êtes ensemble et ça a l'air de bien se passer ? » Scusa ma ? Me tournant, je n'eus pas besoin de voir le visage pour reconnaître la voix, ni même respirer l'odeur pour comprendre qui me touchait. « T'es un peu chaud toi non ? » disait mon ex. Puis, hein, pardon ? Malheureusement, ce n'était pas à moi qu'elle disait cela, sinon à l'autre golio en face. Non pas, celle aux cheveux roses, mais bien celui à l’œil bientôt au beurre noir. « Bien sûr ! On s'éclate ici, c'est l'aventure ! C'est Copacabana. » répondis-je simplement en croisant mes bras sur mon torse, légèrement énervé de les voir si proche.
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T'étais complètement perchée, pourtant tu remarquais les remarques un peu étranges des inconnus. D'un côté, tu ne pouvais en vouloir à personne, t'étais là, complètement défoncée à faire des déclarations d'amour. Qu'est-ce qui t'arrivais ? Tu savais pas trop, du moins t'étais consciente sans trop t'en préoccuper. Une fille (Elia) venait de faire son entrée, un coup de tête et toi, tu lui donnais une marguerite. Puis un des inconnus te proposait un verre. Tu savais pas trop quoi dire, mais soit. Tu souriais, un regard bienveillant envers lui. "Oui je veux bien." Il t'avait appelé la hyppie, tu trouvais ça jolie. Tu enlevais quelques marguerites du bouquet, tu les bloquais dans les fils de ton bikini. T'étais toute fleurie, tu aimais bien toucher. Tu te trouvais belle, tu respirais l'amour, tu respirais la joie. Tu sentais le climat un peu tendu, tu sentais l'arrivée de la fille provoquer une nouvelle vague d'animosité. Tu voulais à nouveau faire une déclaration, à la fille. Tu commençais à te tourner vers elle, tu te mettais à genou, à nouveau. Puis tu commençais avec quelques mots. "Et toi jolie fille, avec tes belles chevilles, je me sens comme une anguille. J'ai envie de te serrer dans mes bras, de ce pas, parce qu'avec toi, je sens que tout peut être comme un oeuf au plat. Tendre, moelleux et gouteux." Finalement, tu te redressais et regardais l'inconnu. (Priape) "Je peux toujours avoir un verre ?" que tu demandais comme une enfant en sautillant.
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« Dévoues-toi, t'aurais bien besoin de finir ta soirée là-bas. » Je servis mon majeur en l’air à Théo en guise de réponse. Scène que manqua de peu Elia qui déboula quelques instants après en s’étonnant de notre bonne entente. « Je rêve où vous êtes ensemble et ça a l'air de bien se passer ? » Bien se passer ? Je n’aurais pas dit ça vu qu’on avait manqué de déclencher une baston générale. Mais ce fut le winthrop qui répondit avec des propos chargés d’ironie. Moi, je me mis à ricaner en voyant que l’inconnue aux marguerites (Amy) recommençait son petit numéro avec Elia, s’agenouillant devant elle avant de lui chanter un de ces refrains perchés dont le sens m’échappait, malgré mon taux d’alcoolémie élevé. Etat d’ébriété qui n’échappa pas à ma meilleure amie. « Chaud comme une baraque à frittes ma belle. » lui répondis-je avec un sourire puis alors que le serveur me tendait un sac de glace pour mon œil, je l’attrapai et le posai sur mon arcade en ajoutant : « Mais comme tu vois je suis en train de me faire refroidir. » Le barman déposa également le mojito commandé devant moi. « Tu veux quelque chose à boire aussi Elia ? » Puis je me tournais vers l’inconnue aux cheveux roses qui sautillait en réclamant la boisson, m’arrachant un nouvel éclat de rire : « Bien sûr que tu peux avoir un verre. Et nous, on peut avoir ton nom ? » demandai-je avec curiosité.
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A peine arrivée que la jeune femme que je ne connaissais pas Amy me tendit une marguerite. Je haussais un sourcil avant de capter que les deux jeunes hommes en avaient une aussi dans leur main. Mais c'était pas suffisant pour elle, elle s'agenouilla et se mit à me citer des phrases en rimes. Phrases que je comprenais vaguement. Moi aussi j'avais de l'alcool dans le sang, alors je captais pas tout. Meeeerci dis je de façon surprise. Je m'étais ensuite adressé au dunster qui me semblait pas sobre. Ca se voyait comme le nez au milieu du visage. « Bien sûr ! On s'éclate ici, c'est l'aventure ! C'est Copacabana. » Je regardais mon ex qui répondit en premier et je compris qu'il y avait peut être une ironie dans sa façon de parler. Alors que Priape répondit à ma question.  « Chaud comme une baraque à frittes ma belle. » « Mais comme tu vois je suis en train de me faire refroidir. » Etant pas du bon côté, je m'approchais de mon meilleur ami et lui enleva le sac de glace qu'il avait posé sur son oeil. Je pouvais voir qu'il était amoché. Je me tournais vers Théo aussitôt. C'est de toi ? lui demandais je. Je me disais bien que tous les deux ensemble ça ne pouvait pas être aussi calme. C'était trop beau pour être vrai. J'attendais une réponse avant de le "gronder", au cas où ça ne serait pas de lui. « Tu veux quelque chose à boire aussi Elia ? » Je hochais la tête pour confirmer et je commandais un sex on the beach au barman alors que mon meilleur ami demanda le nom de la jeune femme. Quant à moi je touchais le visage de mon meilleur ami doucement pour voir si je sentais une bosse sur son oeil, puis je reposais le sac de glace sur son oeil, laissant ma main dessus le sac, puis je regardais Théo pour savoir si c'était bel et bien lui le responsable de l'oeil de Priape.




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Finalement, l'arrivée d'Elia la propulsa comme étant la prochaine victime de la nouvelle recrue aux cheveux roses. Je restais perplexe, l'observant lui faire une pseudo déclaration. Hilarant, vraiment. Enfin, elle demanda le verra que le jaune lui avait proposé, tandis qu'Elia lui avait posé une question dont la réponse eut le don de m’énerver. « Chaud comme une baraque à frittes ma belle. » Je voyais jaune, je voyais vert, je voyais multicolore. Il fallait à tout prit que Barbie me file son secret et ce à quoi elle se dopait afin que je ne redescende d'un grade. Positionnant la poche de glace sur son œil, il recommença sa tournée de proposition de boisson vis-à-vis d'Elia avant de demander son nom à l'inconnue. Mais le pire, était que mon ex-femme s'occupait à tripoter son charmant meilleur ami. « C'est de toi ? » Elle s'était retournée vers moi comme prête à m'agresser si ma réponse ne lui plaisait pas. « Non, de celui de derrière. » dis-je alors avec un regard dur en faisant référence au type que Priape avait tapé et qui s'était vengé. La jeune femme se commanda une boisson de fête tandis que moi, ben je voyais toujours rouge. Surtout vu comment elle s'occupait de lui et que lui semblait kiffer ça. Théo, contrôle-toi ! Ou pas. « Mais attends... » dis-je alors en repoussant doucement sa main du visage du jaune ainsi que les glaçons. « Ça tu vois..C'est de moi. » Et ni une ni deux, mon poing s’abattit pour la première fois sur le visage de mon ennemi. « Voilà. » répliquai-je avec un ton ironique avant de me détourner et de partir furax, mes soupçons confirmé. « Bonne journée ! Et salut l'hippie ! »
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