Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLet us do them insane on the beach ✮ Devyn - Page 2
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Let us do them insane on the beach ✮ Devyn

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Devyn & aria
Dire qu'à la base j'étais là tranquillement avec mon bizuteur trop gentil simplement pour me faire bronzer et là, un putain de crabe qui vient me pincer le pied quoi ! Je crois rêver surtout que j'avais rien demander à personne, c'est le comble ! La cerise sur le gâteau. Je suis au bout de ma vie et surtout quand je vois le sang couler. Devyn essaye de me rassurer et je le regarde avec un petit sourire amusé malgré ma petite panique. « J'espère bien ! Mama ! Qu'ais-je fait pour qu'il vienne m'embêter à moi? » Limite je pleure là. Heureusement que Devyn est là et il a l'air plutôt de bien s'y connaître n bobo comme le mien. Je le regarde un peu avec des yeux de merlan frit. Je n'aime pas voir le sang, je ne ferais jamais médecin c'est certain, je suis comme une gamine à la limite de tomber dans les pommes. Je ris alors doucement à ce que venait de me dire mon cher et tendre bizuteur adoré. « Tu es vraiment cruel, Devyn ! Moi qui te trouvais très gentil, je te mettais même en haut d'un piédestal ! » Je plaisantais évidemment, je le trouvais toujours gentil hein. Mais là je n'avais carrément plus envie de retourner dans le sable, je commençais même à marcher pour en sortir, prenant mes affaires au passage, marchant comme une handicapé.
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Devyn & Aria
Tu aurais été quelqu'un d'extraverti, tu n'aurais pas pu t'empêcher de rire aux éclats face à la remarque de ta bizute, sur le fait que le crabe l'ait justement choisi elle pour passer à l'attaque. Pauvre petit crabe, il devait plutôt penser à ne pas finir à la mayonnaise dans une assiette pour touristes. Après, vu ta veine habituelle, cela aurait très bien pu t'arriver à toi aussi, et vu ta maladresse, tu avais bien appris à soigner les différents bobos que cela pouvait occasionner, ce qui expliquait tes compétences en la matière alors que tu n'avais rien d'un médecin. Tu vas pouvoir tous les éloigner de moi si ta chair leur semble si goûteuse. Rien de séducteur là-dedans, tu n'étais pas vraiment de ce genre-là, en couple officiellement et déprimé officieusement. Non, tu te contentais de la conseiller pour les soins tout en la surveillant : ce serait dommage qu'elle fasse un malaise juste là, non ? Tu n'étais pas vraiment monsieur muscles, tu aurais donc du mal à la porter. Elle semblait quand même aller relativement bien, vu la plaisanterie qu'elle sortit sur ton caractère. Je cache bien mon jeu, n'est-ce pas ? Toi, cruel ? Ce serait bien le comble, vu comment tu fuyais celle des autres. Bon, tu doutais qu'elle pouvait t'idolâtrer comme elle l'avait annoncé, mais cela te faisait du bien de plaisanter un peu. Tu l'aidas d'ailleurs à ramasser ses affaires, en prenant une partie dans tes bras tout en ne la quittant pas du regard, retenant toujours un sourire amusé vu sa démarche exagérée. Une fois ceci fait, vous quittâtes la plage, avant de vous poser finalement non loin de l'hôtel où tu avais une chambre : une chance qu'il soit non loin tout de même ! T'excusant avant de t'absenter quelques minutes, tu finis par redescendre avec de l'antiseptique et un pansement avant de t'occuper de sa plaie.
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C'était rare que je me plaignais et que je rouspétais contre les vilaines bêtes qui pouvait nous entourait, mais là j'avoue que mon humeur râleuse avait bien repris le dessus. Je déteste quand on s'en prend à moi et quand bien même si ce n'est qu'une méduse, je m'en contre fous. Là je fais ma chieuse et mon enfant en pleurnichant presque et faillit m'évanouir en voyant le sang, oui c'était quelque chose quand je vois du sang. Je plains ceux qui auront éventuellement besoin de mon aide un jour, parce que c'est certain que je ne suis pas médecin. Je ne pu m'empêcher de rire en entendant les dires de Devyn. « Tu as de la chance cette fois ! C'est moi qui régale à ce que je vois. » Vraiment le jeu de mots était pour le moins débile mais bien trouvé pour le coup. Maintenant, j'étais là à lui dire qu'il est cruel et que je le mettais carrément en haut d'un piédestal, oui vraiment je le trouve bien sympa. Donc bon, je dois avouer que c'était un pure mensonge, je sais qu'il n'est pas cruel du tout au contraire, mais c'était une pur plaisanterie. Je n'avais pas perdu mon sens de l'humour. Je souris amusé à sa réplique. « Vraiment trop bien même. » On quitte alors la plage pour s'installer non loin de l'hôtel. Il s'excuse avant de me rejoindre avec tout le matériel nécessaire pour me soigner. Je m'explose de rire immédiatement pour je ne sais quel raison, c'est sans doute nerveux. « Vraiment besoin de tout ça? C'est grave docteur? » Je me sens un peu moins, comment dire? Paniquée quoi.
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Hé oui, Aria servait apparemment de restaurant de luxe pour crabes, et ce de manière gratuite en plus de cela, que demander de plus ? Les crustacés devaient en être particulièrement ravis. En plus, cela leur offrait de la diversité les pauvres, il ne devait pas avoir l'habitude des petits harvardiens... quoiqu'il te semblait qu'Aria était australienne donc ta théorie ne valait absolument rien. Plouf. Tout cela pour dire que si tu n'étais pas forcément doué pour la soigner, tu l'étais apparemment un peu plus pour lui changer les idées.  Tu avais même réussi à lui tirer un sourire alors que cela semblait être bien mal parti. Bon, par contre, revenir avec de quoi soigner sa blessure qui semblait bien la tracasser et la voir éclater de rire en te regardant... c'était limite vexant. Bon, d'accord, soyons honnête : tu ne savais vraiment pas ce qu'il fallait faire, hormis par ta propre expérience de maladroit, et tu avais eu aussi envie de la rassurer. Tu avais l'air de trouver ça grave alors... Je ne voulais pas prétendre ne pas m'en soucier. Bon, d'accord, tu te mis à rougir bêtement et à te sentir stupide maintenant, bonjour l'évolution.
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Non mais là je n'arrivais juste pas à croire que je fasse partie d'un bon goûter pour les crabes. Au départ paniquée et à la limite de m'évanouir, heureusement que Devyn était présent pour me rassurer, bien que je l'avais un peu déstabiliser par ce comportement enfantin. Faut dire que ça faisait un mal de fou au départ et que surtout ce n'était pas agréable de sentir un pincement horrible et d'y voir du sang coulait encore moins... Néanmoins, mon bizuteur se comportait en parfait médecin et de le voir arriver avec tout ce matériel afin de me soigner me provoque un rire. Sa réponse fut adorable en soi et je lui souris. « Oh c'est gentil ! J'avais juste peur de ce que pouvait provoquer ce pincement de crabe.. M'enfin j'ai de la chance d'avoir un bon médecin à mes côtés. » Ce bon médecin qui commençait d'ailleurs à avoir les joues touts roses. J'espère ne pas l'avoir blessé ou quoique ce soit d'autre avec mes répliques à la con. « Merci de te comporter si gentiment avec moi. » Après tout il aurait pu me laisser vider de mon sang et prétendre ne pas être médecin.
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Toi, un bon médecin ? La bonne blague. Tu n'avais jamais fait aucune année d'étude là-dedans, ni même une formation de premiers secours. Tu avais tout appris sur le tas, et tu te sentirais bien ridicule si un véritable médecin venait à arriver et soignait Aria. Et, en plus de cela, elle te remerciait pour tes pitoyables petits efforts ? Ce n'était pas ça qui allait t'aider à être moins rouge en fait, mais c'était tout de même relativement flatteur. Certes, c'était peut-être parce que tu étais son bizuteur, qu'elle était trop gentille ou qu'elle était affaiblie par sa blesssure, mais c'était quand même plutôt chouette.C'est normal, je ne vais pas te laisser te vider de ton sang. La blague. Tu ne pus t'empêcher cependant de rire légèrement avant de commencer à la soigner, tâchant de ne pas lui faire mal. Quelques minutes plus tard et une belle petite poupée remplaçait son orteil. Et sinon, du coup, hormis cela... Quoi de nouveau dans ta petite vie ?
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Mon bizuteur pouvait se comporter en véritable médecin gentil comme il est. Manquait plus que la blouse blanche et les bons outils, bien que là en revanche, il avait du matériel, assez en tout cas pour soigner ma blessure de toute évidence j'ai toute confiance en lui. J'avais la vague impression qu'on était sur une scène de crime à élucider là et je me crois dans les experts ou une série dans le genre avec tout ce sang qui coule et qui finit sur le sol. Enfin, heureusement plus de peur que de mal. Sa réponse n'est en moins pas étonnante et je ris légèrement avec lui. « Ouais c'est compréhensible. Du coup, ça a tout gâcher de l'après-midi à la plage que je comptais passer. Mais bon heureusement que tu es là quand même. » Cela doit faire mille fois que je répète que j'étais contente qu'il soit là, à présent il devait en avoir marre, mais c'est la vérité et puis pas que parce qu'il me soigne, j'apprécie beaucoup Devyn. Il m'a fait un beau pansement à l'orteil et mon sourire s'élargit, répondant par la même occasion à sa question. « Ben écoute je profite du spring break comme tout le monde pour m'amuser, même si au fond de moi j'suis folle amoureuse de quelqu'un, mais je ne sais pas si c'est réciproque... Et toi? » Et oui, en ce quatrième jour de spring break je n'avais pas encore parler à Dwight de mes sentiments envers lui.
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Bon, apparemment, tu étais équivalent à une bonne après-midi passé à la plage. Du peu d'expérience que tu en avais, cela voulait dire qu'elle était vraiment très satisfaite de te voir, n'est-ce pas ? Tu avais de nouveau retrouvé ton petit sourire en coin sans t'arrêter de rosir, tout en prenant soin de ton orteil meurtri qui se retrouva magnifiquement entouré d'un pansement, une véritable petite oeuvre d'art (ou pas) qu'Aria pourra exposer fièrement (ou pas, là encore). Vous en étiez enfin arrivés à discuter plus tranquillement, tandis que tu t'étais tranquillement assis à ses côtés sur le petit muret, projetant du soleil qui vous tombait droit dessus. Bon, il semblerait en plus que vous alliez faire dans les histoires d'amour, ce qui n'était pas franchement gagné de ta part, surtout que tu n'avais jamais parlé de tout cela avec elle. Une chose à la fois cela dit : tu allais déjà lui parler de son propre cas.Tu n'as qu'à essayer de lui en parler et de voir sa réaction. Bon, j'espère que ce sera réciproque tout de même sinon ça va être dur... mais tout garder en soi ne t'aidera pas à mon avis. Tu eus cependant un soupir après ta remarque : cela te rappelait en même temps la manière dont toi et William vous étiez mis en couple, ce qui vous aviez amusé au final même si tu n'en avais aps du tout mené large sur le coup et les jours qui avaient suivi. A ce propos... C'était à ton tour de parler, non ? Je crois que mon petit-ami ne souhaite pas tant que cela me voir, donc je me divertis en essayant de tout oublier ici alors qu'il a préféré rester à Harvard. Le bonheur absolu quoi.
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Quel gentleman mon bizuteur pouvait se comporter, enfin en même temps il n'allait pas me laisser crever hein. En effet, il m'avait concocter un très joli pansement à l'orteil et je n'avais pas pu m'empêcher de sourire comme un enfant, j'étais très fier de mon bizuteur pour le coup. Après ce joli pansement fait, parce que bon il était un vrai artiste, il n'est pas Lowell pour rien. Bref, on parlait de tout et de rien mais apparemment on en vins à parler d'amour surtout, enfin c'est moi qui avait ouvert ce sujet si intéressant soit-il. Je me confie à propos de mes sentiments envers Dwight à Devyn et il me conseille. Il était rare qu'on se confie l'un à l'autre mais il était venu le temps de le faire. Je prend en compte ses conseils. « Tu as raison... Il va falloir que je lui parle, j'attends juste le bon moment... Je ne veux pas l'effrayer non plus. » Oui parce que si ce n'est pas réciproque ou qu'il ne veux pas se poser, j'ai peur du déroulement de la conversation. Entre autres, qu'on en arrive à ne plus se parler. Néanmoins, il fallait que je lui parle face à face et que je prenne mon courage à deux mains. C'est au tour de Devyn à présent, de se confier et je l'écoute attentivement. Sa situation était plus compliqué par contre et je vais essayer d'être la bonne amie pour le conseiller à mon tour. « Comment ça il ne souhaite pas te voir? Tu lui a parlé dernièrement? Afin d'éclaircir la situation... Il a sûrement d'autres raisons de ne pas être venu. Te poses-tu pas les bonnes questions sûrement. » Cela aurait pu être par rapport à des raisons personnelles...
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Tu n'avais jamais été tellement du genre à te confier sur des sujets personnels. Toi, ton truc, c'était plutôt écouter les problèmes des autres et tenter de les aider, aussi peu doué sois-tu dans le domaine. Cela réconfortait tes amis, et cela te réconfortait aussi assez égoïstement, vu que tu te disais qu'il y avait toujours pire que tes problèmes dans la vie. Là, pour le coup, c'était plutôt des confidences joyeuses de son côté, ce n'était pas cela qui t'aiderait à relativiser... mais soit, tu l'acceptais volontiers. Il faut juste éviter de lui dire "En fait, j'avais oublié de te le dire : je t'aime", cela passerait mal effectivement. Tu plaisantais, tu plaisantais... Mais toi, tu avais fait comprendre (involontairement) à William que tu l'aimais en l'embrassant sur la bouche en étant ivre alors niveau tact... Tu n'avais pas tellement à donner de leçon. Tu eus cependant un soupir en entendant la remarque d'Aria. Tu te l'étais dite tellement de fois que tu avais l'impression de t'entendre... mais tu ne pouvais pas t'y résoudre, c'était plus fort que toi. J'en sais rien. On s'est vu avant de partir, il ne m'a dit qu'à ce moment-là qu'il ne souhaitait pas venir, et qu'il préférait rester seul à Harvard pour se reposer. Mais il savait que c'était important pour moi de changer d'air en ce moment, et lui aussi avait été enthousiaste à l'époque, cela nous aurait rappelé le Summer Camp. Et là... Je n'ai pas réussi à l'avoir depuis notre arrivée comme s'il... Comme s'il refusait de te répondre, comme s'il avait voulu couper les ponts en profitant de ces vacances alors qu'il avait toujours été joignable habituellement, quelque soit l'heure du jour ou de la nuit.
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