Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJARIELLE + You are my tuxedo and i'm your bow tie. - Page 3


JARIELLE + You are my tuxedo and i'm your bow tie.

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J'ai dit son prénom en balbutiant maladroitement. Parce que j'ai besoin de lui. Parce que je déteste l'écart qu'il vient de creuser, d'imposer en partant si loin. Il n'est qu'à quelques mètres pourtant, mais je me sens comme vulnérable, seule, fragilisée, abandonnée, sans recours. Je n'aime pas ça. Je déteste ça. Il est le remède à cette sensation d'insécurité qui m'emporte et m'écorche douloureusement au passage. J'ai besoin qu'il revienne, qu'il se rapproche de moi. J'ai besoin que l'espace entre nos corps disparaisse parce qu'il devient trop douloureux, presque insupportable. C'est lui qui a mis cette distance qui me parait démesurément grande et c'est probablement pour cela que ça me fait mal de cette façon. C'est moi, c'est toujours moi qui impose une distance qui m'est confortable avec les gens habituellement. Mais là, rien n'est habituelle. Tout a changé dès qu'il a ouvert la bouche pour me dire les choses les plus douces que je n'ai jamais entendues. Je lui en veux, mais je lui suis reconnaissante de m'avoir montré comme j'ai de l'importance pour lui. Après une hésitation il revient. Il se rapproche de moi puis me serre dans ses bras. Tout s'envole. Je ferme les yeux la tête contre lui. J'aimerais que cette proximité ne s'efface jamais. Le silence est doux, chargée d'émotions, presque apaisant. Et enfin, j'ouvre la bouche. Je lui donne un accès direct à mon coeur. Un accès direct à mon âme. Un accès que personne d'autre n'a et n'aura surement jamais. Je m'ouvre à ma façon. J'étale ma faiblesse à ses yeux. Je le réclame. Je prends par la même occasion conscience de ma dépendance. Jamie est addictif. Je ne le savais pas réellement avant ce moment précis. J'ai besoin de lui. C'est presque douloureux à admettre, mais également tellement libérateur. C'est comme un poids qui s'envole, mais c'est également comme se jeter d'une falaise. Mon corps entier est partagé par ses émotions qui me traversent de haut en bas, plus ou moins violemment. Sa voix annonce qu'il ne partira jamais. Me détachant de lui, je frotte mes yeux avant de venir déposer un baisé sur sa joue. Il sera toujours là, il ne partira pas, affirme-t-il en me caressant la joue. J'ai envie de t'embrasser, Jamie. lâchais-je presque spontanément avant de me morde la lèvre. J'aurais dû me taire. Je devrais baisser le regard ou tout au moins le détourner pour faire disparaître cette envie qui m'arrache l'estomac, me soulève le coeur. Ce n'est clairement pas raisonnable. C'est même idiot. Je crois que je ne suis pas capable de lui donner ce qu'il voudrait et ça me fait mal. Je ne suis pas à la hauteur. J'ai envie de me frapper pour ça. Et de le frapper lui aussi, parce qu'il m'en demande trop. Mais je ne peux vraiment pas. dis-je, le souffle coupé avant de me laisser tomber sur le dos pour arrêter ce contacts visuel qui me torture. Je ne veux pas lui faire du mal. Je ne veux pas me faire de mal, parce que je suis égoïste. Je le veux. Je ne le veux pas. Je ne sais pas. Je veux être proche, puis très loin. Je veux le serrer dans mes bras, puis j'aimerais le frapper, lui dire de s'enfuir le temps qu'il le peut toujours.
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J’avais bâti un mur, un vrai mur invisible entre nous quand je m’étais rendu dans ma salle de bain, et je m’en étais voulu pour ça, mais maintenant, je la tenais dans mes bras et je ne voulais pas la lâcher, elle était si in sécuritaire, je ne savais pas comment m’y prendre pour retrouver ce qu’on avait quand elle est arrivé. Et pourtant ça me manquait déjà de ne pas voir son sourire enjôleur. Elle était une petite fleure dans une immense forêt d’incertitude. Quand j’entendais sa voix sortir de nouveau et me dire qu’elle voulait m’embrasser, mon cœur se serrait quelque peu. J’en avais aussi envie, pourtant je sentais le " mais " arriver rapidement sur moi. Elle se mordait la lèvre, comme si elle regrettait ses mots, et je savais que je n’avais pas à lui répondre de suite, j’attendrais qu’elle finisse, et qu’elle m’arrache le cœur un peu plus. Je sentais qu’elle était indécise, presque meurtri de mes mots, et ça m’aurait fait sourire dans une autre situation, avec une autre fille, mais pas avec elle. Puis, finalement elle reprenait la parole exactement comme je le sentais aller. Elle ne pouvait pas. J’en aurais presque lâché une larme si j’écoutais mon cœur, ça me frappait en plein cœur. Pourquoi faisait-elle ça ? Pourquoi est-ce qu’elle s’infligeait autant de douleur alors qu’elle méritais d’être heureuse. Je la voyais se laisser tomber sur le dos. Elle se couchait sur mon lit, et moi j’étais toujours assis sur mes genoux. Je cherchais quoi faire pour ne pas l’embarrasser plus, je cherchais comment faire pour qu’elle s’ouvre une bonne fois pour toute. Je la rejoignais, me couchant sur le côté pour continuer de la regarder, passant un de mes bras de l’autre côté de son corps. Me mettant en hauteur pour la regarder face à face. Elle n’allait pas aimer ce qui allait suivre, mais je n’aurais aucun regret de continuer. Je commençais à descendre petit à petit, finissant par coller mes lèvres sur le coin des siennes. Ce n’était pas un vrai baiser, mais au moins elle le sentirait un moment. Retournant sur ma position de côté, je sortais de son champ de vision de face pour ne plus l’embêter encore. « Arielle, j’ai beaucoup trop perdu à attendre sans dévoiler mes sentiments, j’ai beaucoup perdu en laissant l’histoire se dérouler devant mes yeux sans réagir. Je ne veux pas que tu vives ça. Pas encore. » Je posais ma main sur sa joue, ramenant son visage du côté où je me trouvais et j’esquissais un sourire. Je ne voulais pas que ça devienne étrange entre nous, ni même qu’elle soit dans une position de doute intense, mais que faire quand on veut quelque chose et que cette dernière n’a pas l’air de savoir ce qui est bon ou mauvais pour elle. Je ne voulais pas qu’elle continue à gâcher sa vie, mais qui étais-je pour ça ? Personne. Personne d’important apparemment. Elle ne pouvait même pas me dire clairement les choses, elle rajoutait des suppositions dans ma tête. « Je vais t’embrasser, parce que j’en ai envie. Pas parce que je veux que tu te sentes mal. Je vais le faire pour comprendre. » Je penchais ma tête vers la sienne, touchant ses lèvres si douce des miennes. Je me sentais enfin en vie, proche de la seule qui comptait à mes yeux. Je ferais tout maintenant pour la garder à mes côtés. Je ne voulais pas mettre fin à ça, mais je ne voulais pas aller trop vite, alors je décollais nos lèvres à une lenteur impressionnante. Puis j’ouvrais de nouveau les yeux et je replaçais une mèche de ses cheveux derrière. Elle était une certitude maintenant, je ne voulais qu’elle.
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Je crois qu'il ne sait pas dans quelle galère il s'embarque. Je crois qu'il ne voit que les bons côtés de ma personnalité. Il connait la douce Arielle, celle qui rigole pour rien, toujours de bonne humeur. C'est la facette de ma personnalité qui ressort dès qu'il pointe le bout de son nez, qu'importe le contexte. Mais, ce n'est pas ce que je suis réellement. Je suis profondément perturbée. Désorientée. Je ne sais presque jamais ce que je fais, ni même pour quelle raison je le fais. L'impulsivité régente ma vie. Je ne suis pas quelqu'un de bien. Je ne suis pas une belle personne. J'ai du sang sur les mains, de la culpabilité pleins le coeur. J'ai l'âme noirci au fusain. J'ai le coeur anesthésié. J'ai une morale dégradée. Je suis une droguée. Une grosse droguée. Je ne tiens pas deux jours sans fumer. J'ai un besoin d'adrénaline fou, simplement parce que je suis morte de l'intérieur. Je provoque le danger pour me sentir vivante. Je suis méprisante, alors que je suis la plus méprisable d'entre tous. Je suis lâche. Je suis mauvaise. Je suis démunie, profondément meurtrie par la vie elle-même. Je la déteste d'ailleurs, la vie. Elle a un goût amer. Je ne sais tout bonnement pas ce qu'il me trouve. C'est un soleil Jamie. Il est gentil, doux et attentionné. Il est drôle et protecteur aussi. C'est quelqu'un de bien qui mérite une vraie reconnaissance. Et, je ne suis pas cette personne. Je le voudrais pourtant. Je l'aime beaucoup Jamie, mais je sais que je lui ferais bien trop de mal. Je pourrais l'embarquer dans ma descente aux enfers et je m'y refuse catégoriquement. Je préfère sombrer seule. Jamie, ce serait une perte énorme pour ce monde, même s'il ne le sait pas forcément. Je ne veux pas le dégrader, je ne veux pas lui faire du mal et pour cela il n'y a qu'une solution, je dois me tenir loin de lui. Me laissant tomber sur le dos, ma raison me hurle de me lever et de partir, parce que j'ai pris la bonne décision, mais mon corps ne semble pas de cet avis. Il est devenu lourd, presque impossible à bouger. Je m'en veux de m'être autant ouverte. Je m'en veux de frapper son coeur avec une massue. Il est précieux Jamie. Je ne devrais pas lui faire ça. Je sais que je le blesse et pourtant, il me rejoint. Il ne m'abandonne pas, même après ça. Il s'approche et dépose ses lèvres sur le coin des miens. Je le maudis mentalement d'avoir osé parce qu'à cause de ça j'ai encore plus envie de l'embrasser. Je le regarde essayant de lui faire passer toute la désapprobation que je ressens, mais rien n'y fait, il n'est déjà plus dans mon champs de vision. Sa voix me parviens avec un message presque pleins d'espoir, de protection auquel je ne peux répondre. Il aurait raison si j'avais une certitude, celle de l'aimer comme il faut. Mais je ne l'ai pas. Il reprend de nouveau, annonçant qu'il allait m'embrasser, pas pour me faire du mal, mais parce qu'il en avait envie. Sans que je n'ai le temps de dire quoique ce soit, ses lèvres se déposent sur les miennes de façon lente et délicate. Mes yeux se ferment et je lui rends son baiser naturellement avant qu'il ne se détache. Ma main me démange, elle aurait aimé courir dans ses cheveux bruns. Jamie est toujours pleins de petits gestes presque invisibles, mais qui font toutes la différence. Il replace une de mes mèches de cheveux et un sourire m'échappe. Je me suis sentie complète, puis incroyablement vide en deux minutes de temps. J'aimerais l'embrasser de nouveau, mais paradoxalement j'ai envie de l'étrangler pour avoir osé. Il s'est avancé et s'est fait du mal seul, ce que je ne voulais pas. Il aurait dû s'en tenir au coin de mes lèvres. Je soupire légèrement, épuisée par cette dualité qui ne me quitte pas. Tu fais chier, Santhone. dis-je sans pouvoir faire disparaître ce sourire idiot de mon visage, envolant lui-même ma crédibilité. On va faire quoi maintenant, hein ? demandais-je sérieusement cette fois, laissant mon sourire se fané. Il a tout compliqué et je ne sais toujours pas si je dois le frapper ou le remercier.
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En collant mes lèvres aux siennes, je me rendais compte que c’était magique. Mes sentiments ne voulaient plus tourner autour des autres. Dans mon esprit, il n’existait qu’elle, ses grands sourires qui me sont dédiés, ses yeux si perçants que je ne me lasserais jamais de les admirer, ses lèvres si douces et tendre que je les embrasserais jusqu’à ma mort, ses cheveux qui me donnent envie de les caresser toute la journée. Je ne voulais pas tout gâcher, mais elle m’aurait donner une claque pour que j’arrête si elle ne voulait pas que ça se fasse, et là, nous avions partagé un baiser pire que romantique. Un vrai, un beau, un sentimental baiser que j’avais provoqué. Parce que j’aimais provoquer mon destin. Si je ne l’avais pas fait aujourd’hui, je l’aurais fait demain, ou dans une semaine tout au plus. Je ne peux pas me passer d’elle. Son soupire me fait paraître pour un égoïste, mais j’aimais bien l’être, alors que elle ouvrait la bouche pour me dire que je faisais chier, ou plus poétiquement, que je lui tapais sur les nerfs, et que son sourire sortait au même moment, je souriais avec elle. « Je sais, mais en même temps, je ne serais pas moi si ce n’était pas le cas. » Je rigolais. Elle était vraiment trop adorable quand elle se faisait du souci. Puis je sentais dans sa phrase que le sérieux revenait. Elle me demandait ce qu’on pouvait bien faire maintenant, et je n’en avais aucune idée, ou peut-être que si. Mais je devais lui montrer que les choses n’avaient pas changé, qu’elle pouvait toujours être elle comme je serais toujours moi. Puis une idée malsaine et franchement drôle venait à mon cerveau, je relevais le haut de mon buste pour m’asseoir sur mes fesses et je me tournais vers elle dans un élan fougueux. J’esquissais un sourire un peu maladroit mais à la fois pervers, parce que mon idée me rendait super heureux. « Ben voyons, maintenant on va se marier, avoir des enfants et mourir vieux. » Je commençais à rire fort, parce que cette idée était absurde, puis je me mettais de nouveau à côté d’elle, mon corps couché sur le côté et j’attrapais sa mâchoire avec ma main, la faisant dire oui de la tête, une marionnette ? Ouai un peu. Puis je rapprochais ma tête pour l’embrasser une nouvelle fois. Doucement, sûrement, mais intensément. J’y mettais tout l’amour que je pouvais éprouver, je ne savais même pas pourquoi j’avais fait ça. Par impulsion sans doute. Je déposais de nombreux petits baisers sur ses lèvres, comme si je ne m’en lassais plus, mes yeux étaient clos, et j’avais une seule envie… Remercier le seigneur de mettre habillé plus tôt, parce que j’aurais été en position de ne plus me contrôler et elle aurait vu à quel point je l’aimais. Enfin, loin de là que je commence à avoir envie d’abuser d’elle, non, non pas Arielle, pas comme ça, pas maintenant. Puis, je savais me tenir quand même, je n’étais pas un petit coureur de basse catégorie. J’arrêtais les baiser, rouvrant les yeux sur les siens. « Je vais te dire ce qu’on va faire, on va vivre. » Puis je descendais ma main qui tenait sa mâchoire jusqu’au milieu de son bras pour avoir assez de force pour la ramener vers moi, pour la prendre dans mes bras. Pour que sa tête soit dans le creux de mon cou. Pour que je ne souhaite qu’une chose, que ce moment soit le seul que j’ai à vivre. Pour que le temps s’arrête et que nous restions ainsi à jamais. Je voulais la sentir contre moi, l’avoir collé à mon corps, l’aimer un peu plus fort.
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Je ne sais plus quoi faire ni quoi penser étendue face à lui alors que nos lèvres viennent d'entrer en contact. Je ne m'entends même pas réfléchir, noyer sous une vague de sentiments qui ne m'épargne malheureusement pas. Je ne suis plus habituée, et ce depuis bien trop longtemps, à ressentir autant d'émotions d'un coup et aussi fortement. Je crois que je l'ai sous-estimé. Je pensais l'avoir rangé dans une case, avoir mis de l'ordre dans ma vie après qu'il y soit entré de force, mais je me suis trompée. Il semble que ce soit lui qui décide de la case, de l'étiquette que notre relation doit porter. Et encore une fois il le fait d'une façon douce et délicate sans trop forcer les choses. Il a toujours été doué pour cela. Je ne sais pas comment il procède, mais ça fini toujours par fonctionner comme il veut. Il voulait entrer dans ma vie, il y est entré. Il voulait être proche de moi, il s'est rapproché. Et là, sans même me demander l'autorisation, il change l'étiquette, déjà presque entièrement décollé, de notre relation. Elle se retrouve sans nom, en suspens parce qu'il a besoin de mon accord pour en coller une nouvelle et je ne sais que penser. Tout ce que j'arrive à lâcher, c'est qu'il me fait chier un peu à venir foutre le bordel dans ma petite tête brune. Une pensée que mon sourire scotché sur mon visage rendait complètement non crédible et je m'en rends compte grâce à son sourire. Il est vraiment radieux quand il sourit de cette façon. Il ouvre la bouche déclarant qu'il savait parfaitement qu'il me tapait sur les nerfs, mais ajoutant qu'il ne serait pas lui si ce n'était pas le cas. De nouveau, le sourire idiot s'agrandit jusqu'à en devenir presque trop large pour mon visage et je ne peux m'empêche de le frapper légèrement au niveau de son bras. Mon sourire se fane dès que je reprends un peu de sérieux, m'inquiétant de ce que nous allions faire maintenant. J'avais peur que tout soit complètement chambouler et qu'un malaise s'installe entre nous créant de nouveau un mur que je n'aurais certainement pas la force de détruire. Je le regarde se redresser avant de se tourner vers moi pour me répondre que désormais nous allons nous marier, avoir des enfants et mourir vieux J'écarquille les yeux, totalement incrédule de ce que je viens d'entendre, jusqu'à ce qu'il éclate de rire. Un soulagement me prend tout entière, mon coeur a presque loupé un battement, mais qu'il peut être bête quand il veut. Je n'ai même pas le temps de souffler de soulagement qu'il s'est rallongé et qu'il joue avec ma tête me faisant dire oui comme une vulgaire marionnette. Je tire la langue en signe de désapprobation, les enfants, le mariage et mourir vieux, très peu pour moi. Sans crier gare il approche de nouveau ses lèvres pour les déposer sur les miennes d'une façon douce, bien loin de ce que j'ai pu connaitre jusqu'à présent. Mes yeux se ferment et mes lèvres joignent ses mouvements jusqu'à se retrouver inonder de petits baisés me faisant doucement rire. On dirait un enfant qui dit au revoir à sa mère lui faisant un million de baisés en deux secondes sur la joue. Il s'arrête alors avant d'ouvrir ses yeux et de me déclarer que nous allions vivre, tout simplement. Ses mots me transpercent le corps et une vague de liberté, d'intensité le parcours vivement. Il descend alors la main qui tenait mon visage jusqu'à mon bras pour me tirer vers lui, me trouvant désormais à demi allonger sur lui, la tête au creux de son cou. Tu peux oublier les gosses. dis-je, lâchant un léger rire. Je me sens apaisée, porter pas un doux flux de sensations agréables. Je suis presque à deux doigts de m'abandonner à lui. T'es stupide parfois. J'espère que tu le sais. dis-je, le plus sérieusement du monde. Il a tout de même manqué de me causer un arrêt cardiaque.
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J’étais un idiot, mais un idiot heureux. Tout ça par sa faute, elle me rendait comme ça, tout guilleret et amoureux. Je lui en voulais de ce qu’elle faisait subir à mon cœur, mais je ne l’abandonnerais jamais. Même pas pour la plus grande souffrance possible et inimaginable. Quand je lui disais que je ne serais pas moi si je ne l’embêtais pas, elle me tapait sur l’épaule, et je faisais semblant d’avoir mal, fronçant les sourcils et faisant une moue tristounette, mais je retrouvais vite mon grand et beau sourire qui lui était totalement dédié aujourd’hui. Je devais lui mettre les idées à l’envers, la vue dans une horizon étrange, et je le savais bien, c’est ce qui me faisait tant plaisir. J’avais joué le jeu du mec sûr de ce qu’il voulait et de ce que nous allions faire maintenant en lui parlant de mariage, d’enfant et de vieillesse. Mais pour le moment, je m’imaginais très peu tout fripé. Son visage, j’en étais sûr, ne bougerais pas avec le temps, il resterait le même. Radieux en toutes circonstances. Quand je faisais de ce dernier une marionnette, elle me tirait la langue, et ça me faisait avoir des éclats de rires. Elle pouvait être drôle la jeune quand elle le voulait. Mais je ne pouvais m’empêcher de déposer de nouveau mes lèvres sur les siennes. C’était idiot, je le savais, mais je ne pouvais pas y résister. J’y succombais encore et encore, lui déposant de court baiser à la fin, comme si nous avions cinq ans. Quand j’arrêtais, je lui déclarais que nous n’allions que vivre, rien de plus. Je la ramenais vers moi, callant sa tête dans le creux de mon cou. Son corps a moitié couché sur le mien. Je voulais rester comme ça encore longtemps. Puis j’entendais de nouveau sa voix et je souriais comme un idiot parce qu’elle me demandait d’oublier les enfants. Elle le disait en riant, donc ça me mettait directement de bonne humeur. « Oui, puis qui aime les gosses. » Je rigolais à mon tour. Et elle continuait, en me déclarant que parfois, oui parfois j’étais stupide. J’aurais aimé la reprendre pour lui dire que ce n’était pas que parfois, mais souvent. Mais je me taisais, car ce serait me diminuer moi-même, et j’aimais être fière de ce que je faisais. « Si c’est la stupidité qui m’a fait t’avoir, je suis fière de l’être et je recommencerais encore et encore. » Je souriais et je commençais à caresser ses cheveux. L’odeur de ses derniers se levait dans l’air et je m’en délectais. Elle était vraiment parfaite comme fille, mais elle ne se faisait pas assez confiance pour le voir. Et heureusement pour elle, son ami bientôt plus qu’ami Jamie était un mec qui aimait montrer aux autres leurs valeurs. Je prenais une mèche de ses cheveux et la plaçait en haut de ma lèvre supérieur, juste en dessous de mon nez. Attrapant mon portable dans ma poche, je me m’étais sur l’appareil photo avant d’en prendre une. « Une moustache ça m’irait… » Je faisais une pause très courte. « Pas du tout. » Je replaçais sa mèche de cheveux avec les autres et je posais mon téléphone sur ma table de nuit à côté de mon lit. De ma main gauche, j’attrapais la sienne pour lier nos doigts une nouvelle fois. Je souriais en les mêlant entre eux. Puis j’avais une petite pensée pour ses lèvres et je ne pouvais pas m’en empêcher. « Nos baisers me manquent. » Ouai, j’étais du style à réclamer encore et encore. Mais cette fois, j’aurais aimé qu’elle fasse le premier pas, qu’elle me montre qu’elle en voulait autant que moi. Etait-ce possible ?
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Si on me demandait ce qui me plait le plus chez Jamie, je répondrais presque sans hésitation aucune que c'est avant toute chose sa simplicité et son optimisme. Il n'est pas du genre prise de tête à rallonge et semble capable d'apprécier chaque petite chose que la vie lui offre tous les jours. Il voit toujours le verre à moitié remplie et ne s'arrête pas au premier obstacle. Il a une force de convictions que je trouve impressionnante si bien que quand il veut quelque chose il l'obtient à chaque fois, du moins avec moi. C'est presque comme si il était fou d'amour de la vie et y voyait toute la beauté que je ne vois plus depuis trop longtemps. Il a cette façon d'apporter de l'importance à chaque petit détail du quotidien qui me fait sourire de manière stupide à chaque fois. Jamie voit la beauté un peu partout, le bon côté des choses à chaque fois, ne se démotive pas et je trouve cela remarquable. Ce sont de belles qualités, pour une belle personne. C'est peut-être l'une des plus belles personnes qu'il m'est été donné de voir d'ailleurs. Il a un truc particulier. Un truc qui ne se décrit pas et j'aime vraiment ça. La tête dans son cou, je lui demande de renoncer aux potentiels enfants avant de rire doucement ce a quoi il répond positivement demandant même qui aime les gosses. Je me retiens de rire et de le mettre devant l'évidence. Il aime les enfants, tout simplement parce qu'il est lui-même un grand enfant. C'est un peu comme si il avait arrêté de grandir parfois. Il a une insouciante déconcertante que j'envie dans mon coin par moment. J'aimerais retomber en enfance, à l'époque ou mon seul soucis était de savoir si oui ou non j'allais accepter de prêter mon jouet à Ruben. Je souris doucement à sa remarque presque contradictoire avant de lui annoncer qu'il est idiot. Idiot dans le sens enfantin. Sa voix parvient alors à mes oreilles annonçant qu'il était fier de lui, puisque cette stupidité lui avait permis de m'avoir. M'avoir. Un frisson me parcours le corps, sans trop de raisons. Une once de peur qui refait surface surement, mais qui est rapidement balayé par ses bêtises. Il attrape mes cheveux et s'en fait une moustache se demandant si ça pouvait lui aller. La question ne se pose même pas. Si un jour tu te mets à porter la moustache, je prendrais ça comme un acte démontrant que tu me bannis de ta vie. dis-je d'une voix grave avant de rire doucement. La moustache c'est vraiment un truc qui ne lui irait pas. Sa main vient ensuite chercher la mienne, emplissant de nouveau l'horrible vide qu'il avait laissé entre mes doigts, ce qui me provoque un sourire béat. Je les regarde attentivement. L'emboitement est parfait. J'aimerais que nos doigts restent liés de cette façon, parce que ça me fait un bien fou de combler ce vide. C'est sa voix qui fini par détourner mon attention, réclamant à demi-mots que je l'embrasse. Un élan m'emporte et je me redresse avant de passer à califourchon sur lieu, séparant alors nos mains, sans ressentir de douleur cette fois. Je lui souris largement, laissant apparaître ma dentition avant de me pencher vers lui venant déposer un baiser sur sa joue droite, puis un sur sa joue gauche avant de me rapprocher de sa bouche. Je la frôle doucement, me mordant la lèvre inférieur, ne traduisant pas du regret cette fois, mais plus une envie. Une envie que je retiens. Je relève alors mon visage, affichant un sourire amusé. C'est dommage. dis-je, souriant encore plus grand qu'avant. Ca va finir par me déformer le visage de passer du temps avec lui. 
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Arielle, c’était la femme que je voulais garder pour toujours. Pas parce qu’elle était jolie ni quoi que ce soit, mais parce qu’elle était spéciale et incroyablement franche avec moi. Elle pouvait me faire n’importe quoi, même prendre un couteau pour me tuer, que je l’attendrais dans là-haut pour être avec elle. Pourtant, si elle faisait ça, elle perdrait la seule personne qui l’aime plus qu’il ne s’aime lui-même. Quand elle disait que si jamais un jour elle me voyait avec une moustache ça signifierait que je ne voudrais plus d’elle, je commençais à rire et à lâcher des larmes tellement c’était drôle à mes yeux. Elle reprenait son sens de l’humour et ça me réchauffait le cœur. J’étais heureux quand elle l’était et triste quand des larmes coulaient sur son si beau visage. Furieux quand elle me heurtait et anéanti quand c’était l’inverse. « Je ferais attention alors, je ne voudrais pas avoir à te perdre pour ça. En plus c’est moche. » Nos mains s’enlaçaient, et j’avais enfin l’impression d’être en pleine communion avec elle. Je ne voulais pas quitter cet état de plénitude. C’était si parfait. Et j’en profitais même pour lui dire que je voulais l’embrasser encore, lui faisant comprendre que là, elle avait le libre choix de ce qui pourrait advenir de ma demande. Elle avait une emprise sur moi assez incroyable. Cette fille me rendait dingue, dans le bon sens bien sûr. Je ne me voyais pas passer une journée sans la voir maintenant, même si je me doutais que ça allait arriver. Dans une scène assez rapide pour que je loupe le déroulement en un claquement de cils, Arielle se trouvait à califourchon sur moi, comme si de rien était. Mon ventre se nouait et mon cœur battait la chamade comme si j’en avais toujours rêvé. Mes mains ne collaient plus les siennes, et ça me donnait un sentiment d’abandon, je comprenais ce qu’elle avait de vivre plus tôt quand je lui avais fait le coup plusieurs fois, et ça me déplaisais de ne plus jouer avec ses doigts comme un enfant. Parce oui, je suis un véritable enfant, mais je suis très mature pour mon âge mental. Je la voyais se pencher vers moi et déposer un premier baiser sur une de mes joues. Mes mains se glissaient le long de ses jambes pour venir attraper ses haches. J’aurais presque joué au cheval pour elle là, mais elle déposait un second baiser sur ma joue délaissée. Du même mouvement, ses lèvres passait en frôlant les miennes mais sans vraiment les faire se toucher, j’étais déçu et un peu contrarié, mais elle était joueuse, donc ça m’allait parfaitement. Elle mordait sa lèvre inférieure avant de m’afficher un merveilleux sourire amusé et triomphant. Elle venait de me donner encore plus envie de l’embrasser et c’était la pire des tortures, mais je souriais quand même, m’avouant vaincu. Dommage, oui en effet. Mais j’avais la main maintenant, elle était sur moi, elle se lâchait, elle acceptait mes mots précédents, mes déclarations. Et c’est tout ce qui comptait pour moi. « Ha ouai ? Carrément ? » Je rigolais, avant de lever mon buste pour être presque face à elle, pour une fois qu’elle était légèrement plus grande, je n’allais pas la faire tomber sur le côté. Je déposais un baiser tendre dans son cou. Non, pas un mais plusieurs. Puis je me frayais un chemin sur son épaule avec l’aide d’une de mes mains qui repoussait de plus en plus la manche de son haut. Je souriais entre chaque petit baiser passionné. Avant que je n’attrape délicatement sa nuque et que je ne décolle mes lèvres de son corps pour rapprocher son visage et l’embrasser une nouvelle fois. Mais j’y allais avec passion, langoureusement mais lentement. Je m’amusais, parce que j’avais toujours un sourire sur mes lèvres. J’arrêtais le baiser et je lui offrais un petit bisou sur ses dernières avant de me coucher de nouveau. « On va voir qui craquera en premier maintenant. » Je souriais de toutes mes dents. J’étais fier, fier de ma connerie.
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Allongée tout contre lui, réduisant l'espace au néant il se met à jouer avec mes cheveux pour se faire une moustache. L'air presque hésitant il semble se demandait le plus sincèrement du monde si les poils au visage pourrait lui apporter un charme. Clairement, j'ai une tendance non caché pour les hommes portant la barbe, mais Jamie n'a pas le visage adéquat et il serait dommage qu'il s'enlaidisse de la sorte par simple pulsion. Je me sens donc obligée de lui notifier ma désapprobation en affirmant qu'il me ferait fuir si un jour il adoptée ce look avant de rire légèrement. Un rire à demi faux, à demi vrai. Il perdrait de son charme s'il osait laisser naître sa barbe. Sa réponse me fit sourire. Un sourire qui s'accentue lorsqu'il attrape ma main. Jamie, je ne sais pas comment il fait, mais chaque fois que quelque chose me pose problème, il parvient à faire tomber la barrière pour me permettre d'avancer. La peur qui me paralysée jusque là semble s'être dissipée depuis qu'il a posé ses lèvres sur les miennes pour la première fois. Pourtant, bien qu'il ait balayé cette peur qui me tordait l'estomac, il n'a fait apparaître aucune certitude. Il n'y a plus l'envie et je la laisse me gouverner. Elle dirige chacun de mes gestes, me faisant passer à califourchon sur le brun. Je lui embrasse les joues et me contente de frôler ses lèvres alors qu'il réclamait que je l'embrasse. La situation s'est de nouveau inversé et l'envie de jouer qui m'avait prise en entrant dans cette chambre, le trouvant nu étendu de tout son long sur le sol, me prend de nouveau. Un sourire traduisant toute la fierté que j'éprouve en le laissant sur sa faim s'installe sur mon visage. Mais il n'en reste pas là. Il joue également. Se redressant il se met à déposer des petits baisés dans mon cou. Mon corps tout entier frissonne. C'est probablement la partie de mon corps la plus sensible. Mes yeux se ferment, laissant ses lèvres continuer leur course dans mon cou alors que je passe mes mains dans ses cheveux bruns. Lorsqu'il détache ses lèvres de la peau de mon cou mes yeux s'ouvrent de nouveaux. J'aurais aimé qu'il continue un peu plus. Mais si ses lèvres quittent mon cou, elles s'activent toujours sur mon corps, se frayant un chemin jusqu'à l'une de mes épaules, s'aidant de sa main pour tirer le tissu qui la recouvre. Mon corps trahi l'effet qu'il me fait, frissonnant de haut en bas alors que ses lèvres reviennent à mon cou. J'aimerais qu'il continue, mais paradoxalement je ressens un léger soulagement lorsqu'il détache ses lèvres de ma peau. Il ouvre la bouche, l'air fier de lui, me lançant presque un défi. Je souris légèrement. Tu es certain de vouloir jouer ? demandais-je, me mordant la lèvre inférieure. Elle finira en sang un jour, c'est certain. Sans lui laisser le temps de répondre, je glisse mes mains sous son tee-shirt, les laissant explorer son corps un instant, mes yeux dans les siens. Je lutte férocement contre l'envie de déposer mes lèvres sur les siennes et de l'embrasser passionnément. Je ramène mes mains vers le bas de son torse, agrippant son tee-shirt afin de le lui retirer. Mes yeux se baissent instinctivement pour observer son corps une nouvelle fois, le détaillant un peu plus cette fois. Je crois que je n'avais jamais remarqué comme il est attirant, probablement parce que je me voilée la face. Ma main droite vient se déposer sur son buste, retraçant les lignes apparentes, pendant que mon regard se plonge à nouveau dans le siens. Il a un regard intense, vraiment. Je ferme mes paupières, coupant ainsi le contact visuel avant de me pencher légèrement vers lui pour l'embrasser sur le coin de sa bouche. Au final, c'est surement plus facile pour lui que pour moi.
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J’embrassais son cou avec tendresse, et je savais que ça lui plaisait à partir du moment où elle a commencé à passer ses mains dans mes cheveux. J’aimais sentir ces derniers se laisser caresser, surtout si c’était avec une attention particulière comme en ce moment. J’aimais vraiment le fait qu’elle y passe ses doigts et qu’il s’y perde, en me laissant quelques frissons de bonheur parcourir mon corps. J’étais sensible des cheveux, je trouvais que c’était une partie agréablement surprenante, et c’est pour ça que je continuais d’aller chez le coiffeur, pour les massages crâniens. Ceux d’Arielle étaient plus doux, plus soignés, et ça ne leur rajoutait que de la valeur. Elle continuait, jusqu’au moment où je m’étais de nouveau allonger sur le lit. Elle me faisait fondre quand elle mordait sa lèvre, vraiment, ça me faisait comprendre que quelque part, tout ceci n’était pas pour la déplaire. Elle me demandait si j’étais certain de vouloir jouer, et quelque part en moi, j’avais une délectation de cette proposition si aguichante. Pourtant, je ne voulais pas devenir un parmi tant d’autre. Comme je ne voulais pas qu’elle devienne une de mes conquêtes. Je voulais que ça continu avec le temps, qu’on ne se perde pas à cause de ce jeu. « Oui, certain. » Avais-je dit en sentant ses mains entrer sous mon tee-shirt. Elles étaient si douce, et ça me faisait avoir des frissons un peu partout. Je souriais comme un enfant. Parce que de toute manière j’en étais toujours un au fond de moi, même si les enfants ça craint un peu, il fallait que je sois un homme un vrai aujourd’hui, que j’assume mes sentiments, que je mettes mes peurs entre parenthèse un certain temps. Je sentais ses mains me parcourir, étudiant point par point comment j’étais jusqu’au moment ou elles descendaient et elles agrippaient ce pauvre haut apparemment plus très utile pour le moment, vu qu’elles me l’enlevaient avec je dois le dire, un peu d’aide de ma part. Ses yeux qui peut de temps auparavant restaient plongés dans les miens commençaient à descendre pour admirer mon torse, et je me concentrais sur mon plafond quelque seconde, car il fallait l’avouer, je n’étais pas du style à tout le temps me venter de mon physique, je préférais rester discret parfois. Mais je revenais sur Arielle, plongeant mes yeux dans les siens. Sa main se posait sur moi et elle retraçait les lignes de mon corps. Elle se penchait vers moi et mon cœur battait la chamade, réellement. Je voyais ses yeux se fermer, mais je n’en faisais pas de même, la laissant poser ses lèvres dans le coin des miennes et je posais en même temps mes mains dans son dos, me relevant pour que nous soyons chacun bien face à l’autre, je la regardais, et j’admirais chaque recoin de son visage pour les imprimer à jamais dans ma mémoire. Je commençais à passer mes mains de haut de son dos au bas, afin de me frayer un chemin sous on tee-shirt tout aussi imposant que le mien. Je lui enlevais avec une douceur sans nom, et j’avais maintenant une vue imprenable sur son ventre si plat et sur sa poitrine encore muselée d’un soutien gorge. Je ramenais mes mains vers ses hanches, et j’embrassais de nouveau son cou si fin. Laissant une de mes mains glisser dans le bas de son dos, tandis que l’autre, montait vers sa nuque. La caressant, la chatouillant aussi quelque peu. Je souriais tout en embrassant sa peau si chatoyante, et d’un geste limpide, je collais mon torse au sien complètement, afin que ma tête soit près de son oreille, lui murmurant quelques mots. « Que faisons-nous maintenant ? » Embrassant le coin de sa mâchoire.
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