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JARIELLE + You are my tuxedo and i'm your bow tie.

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Je crois pouvoir affirmer que, depuis mes seize ans, la peur a prit une grande place dans ma vie, un grand contrôle qu'elle s'est octroyée sans que je n'ai mon mot à dire. Je l'ai laissé faire son nid, prendre sa place, sans dire un mot. J'aurais dû. J'aurais dû hurler à pleins poumons pour qu'elle se sauve en courant, mais je ne l'ai pas fait. Je l'ai même aidé à s'installer bien au chaud et je lui ai presque cédé les commandes de ma vie. Je le regrette, parce qu'aujourd'hui encore, elle régente ma vie. Je m'en veux de lui avoir fait une place. J'ai beau essayer, je ne parviens pas à la chasser. Je crois qu'il est trop tard, elle est encrée en moi désormais. Elle est presque devenue mon essence même, cette peur de merde. Parce que j'ai peur de tout. J'ai peur de m'attacher aux gens. J'ai peur de l'amour. J'ai peur du contact sociale, parce qu'il conduit toujours à la déception. J'ai peur de la déception, des désillusions. J'ai peur du risque. J'ai peur des sentiments. J'ai peur du rapport à autrui. En fait, j'ai peur de vivre. Et, pour oublier cette peur, je suis armée de mon joint. Qui, lorsqu'on y réfléchi sérieusement, n'est peut-être pas une arme. Parce que se droguer, ça coupe encore plus du monde, il parait. Moi je ne sais pas, mais en même temps, je ne sais rien. Je crois que la seule arme contre la peur, la véritable arme, c'est le courage. Un courage que je n'ai pas, je crois. Si j'en avais, je ne dirais pas des choses idiotes comme celle-ci. Je crois que parfois je le blesse ou du moins que je le déçois, et l'air de rien, ça me pèse souvent. Je ne sais pas pourquoi je me sens obligée de toujours gâcher les choses. C'est comme si je fuyais le bonheur, comme si j'avais un besoin perpétuel de me pourrir la vie quand j'ai tout pour aller mieux. Peut-être que c'est ça ma plus grande peur, le bonheur. Ou moi-même, parce que je suis mon démon. Parce que je me fais du mal, sans raison apparente parfois. Lorsqu'il ouvre la bouche, me caressant le dos de telle sorte qu'une envolée de frisson me parcours le corps à cause de son touché délicat, je sens clairement une froideur, trahissant une déception. Je voudrais qu'on me frappe là, pour me remettre les idées en places. Je n'ai pas le droit de le décevoir, ni même de le peiner. Lui, il ne peine jamais. C'est un bon ami, j'aimerais être aussi bonne avec lui qu'il l'est avec moi, mais j'ai du mal à ne plus avoir peur. Il compte trop pour que je puisse le perdre. Il creuserait un trou dans mon coeur, une nouvelle cicatrice. Je ne veux pas. Sa voix se fait de nouveau entendre alors que sa main est remonté jusqu'à mes cheveux, m'annonçant que l'homme qui comblerait mes désirs finirait mort. Je réprime un sourire alors qu'il vient caresser ma joue. C'est toujours tellement partagé avec Jamie. Je ne me permets pas d'étrangler toutes les gentilles filles avec lesquelles tu passes tes nuits, je te serais donc reconnaissante de ne pas tuer les hommes de mes nuits. dis-je d'une voix mêlant accusation et culpabilité. J'ai envie d'attraper sa main et d'y glisser mes doigts pour qu'ils s'enlacent avec les siens, mais je me retiens, me contentant de déposer ma main sur son torse dénudé. De toute façon, tu n'as rien à envier de personne. dis-je le plus sérieusement du monde.
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Parfois j’ai du mal à la cerner, à faire en sorte qu’elle comprenne que je veux plus que tout ce qu’on a déjà. Je veux toucher les étoiles juste pour lui en ramener une, d’ailleurs, j’avais une grande surprise pour elle, et je ne savais pas si ça allait lui faire plaisir ou non. J’espérais en tout cas, parce que c’était un cadeau universel, que je ne pourrais faire que pour elle. Pour aucune autre, parce que je ne suis pas de ceux qui achète les mêmes choses pour toutes les filles, c’est si puéril et inutile. Je lui disais que l’homme sur qui elle assouvirait ce que je ne pouvais lui offrir pour le moment était un homme mort, et je le pensais très fort. Elle pouvait regarder, mais il ne devait pas la touche. Je connais trop de mec qui abuse des faiblesses comme ça, qui profite sur le dos des autres, et c’est vraiment des connards finis. La seule chose qu’elle me disait, c’est qu’elle n’étranglait pas toutes les filles que je me faisais dans son dos, et qu’elle aimerait que j’en fasse de même avec ses mecs. Ha, la blague. Je suis sûr que si la fille d’hier soir était encore là, elle serait morte les yeux arrachés et les cheveux rasés. Je rigolais sans faire de bruit à cette phrase, mais elle devait le savoir, parce que quand je rigolais, mon torse se serrait un peu tout de même, allez savoir pourquoi il faisait ça ce bouffon. Elle déposait doucement sa main sur mon torse, et je sentais maintenant ses doigts sur ma peau, j’ouvrais un peu la bouche, comme pour m’excuser, mais elle prenait la parole. Je n’avais rien à envier à personne disait-elle. Elle était sérieuse, ça voix avait changé du tout au tout. Plus d’amusement, plus de ricanement. J’aimais qu’on ne soit pas sérieux, ça faisait en sorte que je ne la vois que comme ma petite sœur de cœur, mais là, là j’imaginais embrasser ses lèvres avec la plus grande souplesse du monde. « Arielle, tu n’as rien à envier aux autres aussi. Mais je ne peux pas me contrôler en sachant qu’il y en a d’autre. » Je voulais continuer ma phrase, et c’est ce que je faisais rapidement, je ne voulais pas qu’elle me réponde avant d’avoir tout entendu. « Je ne peux pas imaginer une autre personne posant ses mains sur toi, t’embrassant, te donnant ce que… » J’hésitais, mais sérieusement pour une fois. Je ne savais pas comment continuer ma phrase sans lui dire que je voulais d’elle plus que pour une fois. Que je voulais aller dans la rue et l’embrasser devant tous les mecs de l’université. Que je mourrais pour elle si besoin s’en faisait. J’étais un mec bien, avec elle. Mais quand elle n’était pas là, je déconnais complètement. Alors si elle pouvait toujours être là, ça m’arrangerait beaucoup. Et ça ferait de moi un homme comblé. « Ce que tout homme donne à une femme. » Lâche, j’étais un lâche, un vrai. J’aurais pu faire la déclaration d’amour la plus formelle et la plus adorable du monde, mais je m’étais caché derrière un voile de mec puérile. J’avais envie de me taper dessus si je pouvais, mais elle m’aurait pris pour un imbécile sans hésiter. Je sortais alors ma main de derrière ma tête pour attraper la sienne, séparant nos doigts par ceux de l’autre. Je devais prendre mon courage à deux mains pour une fois, pas faire mon mec louche et étrange. Je prenais une aspiration délicate, même si très existentielle. « En fait, je ne peux pas t’imaginer avec quelqu’un d’autre quand j’aimerais que cette personne, ce soit moi. » Je l’ai dit. Ha ! C’était la chose la plus dure que j’avais fait de la journée, après avoir dû affronter le soleil mais, au moins c’était fait. Si elle ne comprenait pas, là je ne savais vraiment pas quoi faire. Peut-être me tirer une balle. Je ramenais nos mains vers mes lèvres pour déposer sur le dos de la sienne un baiser avant de les ramener sur mon torse. J’en avais peut-être trop fait, elle allait peut-être s’enfuir, ou peut-être pas, j’étais complètement perdu, mais je ne pouvais pas regretter, je pouvais juste être fière de moi.
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J'ai toujours eu un faible pour les grands bruns, complètement idiots. C'est presque compulsif, je crois que ça ne s'explique pas réellement. J'ai le don de m'éprendre, ou du moins d'être attiré, par le genre d'hommes complètement je-m'en-foutiste, volage à souhait, sans morale aucune sous prétexte que l'on est jeune et que l'on ne vit qu'une fois, certes. Tu couches à droite à gauche quand tu n'es pas engagée si tu le veux, je ne suis pas la plus crédible pour me lancer sur une morale en ce qui concerne les coups d'un soir, parce que c'est presque uniquement comme cela que ma vie sexuelle trouve une existence. C'est pas mal parfois, parce que je n'ai pas besoin de me livrer, de m'attacher. Mais les hommes qui te font croire monts et merveilles pour aller chasser à peine as-tu le dos tourner, ça me révulse haut plus haut point. Et pourtant, c'est ça. C'est typiquement le genre de mecs avec une pancarte je suis un connard et je vais t'en fais baver ta race qui m'attire profondément. Je ne sais pas, je ne comprends pas. C'est peut-être pour ça aussi, que mes relations ne durent jamais bien longtemps. Parce que quand ce n'est pas lui, c'est moi. Avec Jamie, c'est différent. Il est brun et plutôt grand. Plus que moi en tout cas, mais ce n'est un connard sur deux jambes. Du moins, pas avec moi. Je ne sais pas réellement de quelle façon il se comporte avec ces gentilles filles devant lesquelles il se dénude, mais cela m'importe peu. Je crois que c'est ça, que c'est précisément parce qu'il est différent avec moi que je ressens cet attachement tout particulier envers lui. Jamie et moi avons toujours eu une relation tendue sur un fil. Un fil sur lequel nous marchons. Un fil qui représente cette petite distinction qui fait pourtant toute la différence. Amour, amitié. Amitié, amour. Je n'ai jamais été certaine de rien. C'est dangereux, mais excitant un peu. J'ai peur de franchir la frontière, comme j'ai peur de ne pas la franchir et je me retrouve paralysée. Statique. Pile au milieu. Une position inconfortable, délicate. Je ne veux pas qu'il souffre. Je ne veux pas souffrir non plus. Je crois que je ne sais plus ce qu'est réellement aimer. Tout ce mélange dans ma tête, mes pensées sont confuses, je m'y perds. Je m'y perds trop souvent en ce moment. J'ai l'impression de ne plus pouvoir réfléchir correctement, de ne plus être objective. Je ne sais pas pour quelle raison c'est autant le bordel dans ma tête en ce moment. Encore plus maintenant. C'est peut-être parce que je suis trop proche de lui, la tête sur son torse et ma main qui le parcours de long en large, comme si la route était déjà toute tracée pour mes doigts. L'espace qui nous sépare n'existe plus, nos corps ne font presque plus qu'un. Je viens de lui dire qu'il n'avait rien à envier aux autres, parce que c'est vrai. Parce que j'avais besoin qu'il le sache. Jamie, il a un charme particulier. Un charme que j'aime bien. Un truc qui ne laisse pas insensible. Il reprend la parole, déclarant que moi non plus, je n'ai rien à envier aux autres et je souris bêtement. Il ne s'arrête pas là, apparemment, l'idée que qu'une distance non existante puisse relier mon corps à celui d'un autre homme le dérange. Probablement à la manière dont elle me dérange pour lui. Je respire lentement, me sentant étrangement apaisée. Sa main vient alors chercher la mienne et nos doigts s'enlacent. L'espace entre ses doigts semble fait pour que je puisse y glisser les miens. J'ai presque l'impression qu'il lit dans mes pensées parfois et je le remercie intérieurement d'avoir attrapé ma main. J'aime la proximité qui nous lie, probablement plus que je ne le devrais. Je m'apprête à ouvrir la bouche qu'il reprend, déclarant qu'il aimerait que l'autre personne soit lui, avant de déposer un baisé sur ma main, toujours enlacer avec la sienne. Je peux entendre son coeur battre, de façon presque régulière. Je sais que je devrais lui répondre, mais je suis tellement bien là, que je n'ai envie que rien ne vienne gâcher ce moment et ce doux silence, mais j'ai bien conscience que les secondes qui passent doivent se révéler être une torture pour lui. Sérieusement ? demandais-je ne sachant pas quoi dire d'autre. Je suis perdue, complètement noyé dans une foule de sentiments contradictoires, mais je me sens bien et je n'ai pas envie de bouger. J'aimerais arrêter le temps et rester contre lui de cette façon pour une éternité.
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J’étais à moitié nu, couché sur mon lit, la tête d’Arielle sur le torse. Si une personne passait la porte maintenant, je ne saurais vraiment pas quoi dire, pas quoi laisser cette personne penser. J’aurais aimé qu’on me voit avec elle, donc je pense que j’aurais juste sourit à cette apparition, mais en même temps, j’aurais été déçu, parce que ça aurait cassé ce moment presque intime que nous vivions, en ce moment même. Arielle était pour moi comme une drogue que je ne voulais pas arrêter. Je me devais de la prendre sans arrêt pour continuer ou sinon je déraillais complètement, je devenais un simple mec en manque d’elle. Quand je lui avais déclaré ce que j’avais sur le cœur, je ne me rendais pas tout de suite compte de ce que ça pouvait impliqué. Et les minutes qui passaient devenaient une torture inhumaine. J’avais peur qu’elle parte. Qu’elle se lève, récupère ses affaires et ferme la porte sans même me laisser reprendre mes paroles. J’avais peur qu’elle ne veule que de l’amitié entre nous, et franchement, qui pourrait lui en vouloir, je suis un vrai con, comme tout les autres mecs. De temps en temps je laisse parlé mon deuxième cerveau qui se trouve entre mes jambes, plutôt que le vrai. Je m’en voulais de la faire souffrir avec les autres, je ne voulais certainement pas hanter son esprit le soir, si jamais elle pensait à moi et qu’elle se dise que j’étais entrain de partager un moment avec une blonde, une brune ou une rousse. Je ne voulais pas qu’elle ait ce genre de pensées à mon égard, mais au pire des cas, je ne pourrais rien y faire. Sa question rhétorique me faisait sourire. Ce sérieusement me paraissait si sincère que je prenais aussi un peu de temps pour y répondre. Bon, d’accord, j’avais commencé à ouvrir la bouche après quinze secondes écoulées. « Sérieusement. » Que répondre d’autre, franchement. Je regardais nos mains enlacées et je souriais de bonheur. Emmenant ses dernières jusqu’à sa tête pour toucher le bout de son nez avec mon index. Je voulais la faire rire, mais je voulais aussi que ça reste aussi sérieux que ça entre nous. Le moment était parfait pour faire une entrée à la Jamie Santhone. Je la faisais se coucher sur le dos après avoir séparé nos mains pour mon plus grand désespoir, et je me mettais sur le côté pour pouvoir la regarder dans les yeux. J’allais encore une fois faire la déclaration de ma vie, et je ne pensais pas que j’allais regretter ça. Si elle n’était pas contente de ce qu’elle entendait, elle serait partie plus tôt, or, là elle était restée avec moi, et je ne l’en aimais que plus pour ça. Mon regard se perdait dans le sien, et je posais ma main anciennement en admiration contre la sienne sur sa joue, n’arrêtant pas le contact visuel entre nous. Caressant cette douce Arielle avec mon pouce, je collais mon front au sien avant de fermer les yeux et de caresser du bout de mon nez celui qui lui appartenait. « J’aimerais que tu sois la seule, comme je voudrais être le seul, Arielle. » Ma main se déplaçait de sa joue à son cou, pour finalement longer son bras et enlacer de nouveau nos doigts. J’aimais cette sensation, être avec elle, complètement. Ne plus être maître de mes mots. Sentir la sincérité dans chaque parole qui sortaient de ma bouche.
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J'ai beau étudier la psychologie, autrement dit, la science du comportement humain, relativement à chacun, je ne suis toujours pas capable de comprendre de quelle façon les mécanismes de mon cerveau se mettent en place, ni même pourquoi ils agissent de la sorte. J'ai pourtant choisi ce domaine d'étude, avant la musicologie, pour être en mesure de comprendre tous les rouages du cerveau humain. De mon cerveau, pour être exacte et de ce que ça pouvait engendrer sur le comportement. Je crois que j'étais un peu en mal d'identité et que la psychologie a été un moyen de parvenir à ma quête. Du moins, je le croyais. Après trois ans d'études, il me semble que je suis toujours en quête de réponses et de mon identité. Je ne suis pas certaine de l'avoir trouvé encore, du moins, pas complètement. J'aimerais trouver qui je suis, pour pouvoir avancer dans la vie. Si je sais qui je suis, je finirais par comprendre les rouages de mon petit cerveau et donc à comprendre son influence sur mon comportement en société. J'ai beau faire appel à mes connaissances, je suis actuellement incapable de comprendre ce que je ressens. C'est juste un flux d'émotion qui me traverse de part en part, qui virevolte dans mon corps, le submergeant totalement. Je n'ai pas souvenir d'avoir déjà vécu une chose aussi forte un jour. Ca montre bien toute la singularité de Jamie à mes yeux. Il est le seul à me chambouler de cette façon, au point d'en perdre les mots et ma capacité à réfléchir. Tout ce que je suis en mesure de faire, c'est écouter et observer. Il répond à ma question, avec le même mot. Sérieusement. Un frisson me glace l'échine. Tout mon corps semble ressentir le moindre de ses mots. C'est étrange, inexplicable. Je ne sais toujours pas quoi dire, la tête posée sur son torse, mais je crois que je n'ai pas besoin de dire grand chose. Il me chatouille le nez de son index, j'en ris timidement. Sans dire un mot, il me fait comprendre que je devrais m'allonger sur le dos, brisant ainsi notre étreinte. L'espace entre mes doigts redeviens désespérément vide. Je ne peux m'empêcher de regarder ma main, éprouvant une sensation de vide indéfinissable avant de me tourner vers lui. Nos yeux se croisent et ne se lâchent pas, c'est presque comme si détourner le regard m'était impossible. L'une de ses mains vient caresser ma joue doucement pendant qu'il colle son front au miens et ferme les yeux avant de faire entendre sa voix. Il veut être le seul. Il veut que je sois la seule. Mon coeur loupe presque un battement. Je suis soulagée, heureuse, confuse, terrorisée. J'ai envie de rester là, de ne pas bouger, comme j'ai envie d'attraper mes affaires et de me barrer de là en courant. Mes sentiments s'embrouillent entre eux, s'opposent, s'allient et tout devient un méli-mélo de choses non définissables. C'est étrange, presque douloureux, mais paradoxalement plaisant. Je ne sais pas quoi faire et cette nouvelle distance me déplaît. J'aurais voulu rester contre lui, encore un peu. Parce que j'aime son odeur. Parce que j'aime être proche de lui. Parce que j'étais bien là. J'avais trouvé ma place. Je prends une profonde inspiration. Jamie.. dis-je, d'une voix presque inaudible. Je ne sais pas, je ne sais plus
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Mes doigts serrant les siens, je ne savais pas si elle allait apprécier mes paroles, mais j’aimerais en tout cas que ça lui fasse quelque chose plutôt que rien du tout. Je voyais en Arielle bien plus que les autres filles, je voyais en elle une échappatoire, un moyen d’être enfin heureux et paisible. Pourtant, quand elle prononçait mon prénom, je ne sentais qu’un horrible malaise s’installer entre nous. Je n’avais jamais souhaité qu’elle le dise ainsi, j’avais l’impression d’être bête et idiot. Ma tête tombait sur mon matelas, ayant glissé de sur la sienne avec désespoir. L’odeur de son shampoing me rendait fou. Je lâchais ses doigts, me décollant d’elle pour aller m’asseoir sur le bord de mon lit. « Je suis désolé. » Je ne savais pas quoi dire d’autre, vraiment. Je me sentais mis à nu. Elle remuait en moi un sentiment inexplicable et terrifiant. J’allais la perdre si je continuais mes conneries et je ne souhaitais ça pour rien au monde. Je posais mes coudes sur mes cuisses, plongeant mon visage dans mes mains avant d’en sortir juste mes yeux. Je faisais la plus grosse connerie du monde, je la m’étais dans une position perturbante. « Je voulais pas être trop brusque. » Je prenais une respiration, je parlais dans mes mains avec une voix faible mais audible pour elle. « Fais ce que tu veux avec qui tu veux, tu es libre. » Je me le vais de mon lit en prononçant les premiers mots, et quand c’était au tour des derniers, mes mains c’étaient retrouvées sur mes hanches comme pour montrer que ce que je venais de dire était une belle connerie rempli de mensonges et que je me détestais pour l’avoir dit. Je n’avais aucun droits sur elle, aucun. Elle valait mieux, non pire que ça, elle valait quelqu’un qui pourrait la comprendre mieux que j’y arrivais. Parce que, ne nous mentons pas, je ne comprenais rien à la situation. Normalement elle aurait dû être flattée et pas gênée. Je faisais toujours tout à l’envers avec les filles qui m’intéressaient vraiment. Je n’arrivais jamais à rester concentré pour ne pas tout foirer. Je me retournais vers elle, allant jusqu’à ma commode pour en sortir un jean et un tee-shirt. Et je déposais juste mes mains dessus comme si j’allais la casser, en l’envoyant valser très loin dans ma chambre. J’étais en colère, sans même avoir de véritable raison. Et je n’avais pas envie de craquer devant elle. Je ne voulais pas lui montrer à quel point je n’étais pas bien, alors je respirais un bon coup et je sortais d’un des tiroirs, en dessous de mes chaussettes, une enveloppe blanche. Je me dirigeais vers elle et la déposait à ses côtés sur le lit. « C’est pour toi, j’espère que t’aimeras, au pire ça fait rien. » Ma phrase était froide mais, comment me reprendre pour pas qu’elle s’en aille. Je voulais la garder ici pour la journée. Pour toujours si c’était possible. Dans l’enveloppe se trouvait une feuille lui annonçant qu’une étoile portait son prénom. J’avais été dans le romantique, dans le fou, dans l’absurde, mais je voulais que ce soit quelque chose de spécial. J’allais dans la salle de bain, laissant la porte ouverte pour continuer de garder un œil sur elle, et j’enfilais mon pantalon rapidement. Mon tee-shirt un peu moins, parce qu’en passant ma tête dans le trou, j’avais les boissons de ma nuit précédente qui se faisaient sentir. Je n’allais pas vomir, pas maintenant, pas devant elle. Je la regardais avec un visage triste, et rempli de déception, mais en même temps je ne pouvais m’en vouloir qu’à moi-même. Elle n’avait rien fait elle.
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Absurde. Totalement absurde. Incohérent. Bordel de merde, c'est quoi ça ? Faudrait prendre deux minutes et m'expliquer pour quelle foutu raison mon corps ne m'obéit plus. M'expliquer le pourquoi du comment, mon cerveau semble inerte et ma bouche parle toute seule. Je me sens comme coincée dans un corps sur lequel je n'ai aucune emprise. Je ne comprends pas. Je ne comprends jamais rien à rien de toute façon. Il est là, ses yeux dans les miens, me racontant de sa voix si agréable à entendre tout un tas de choses qui en feraient sourire plus d'une. C'est beau. C'est touchant. Tellement que ça me submerge. Je suis comme entraînée par un tourbillon de sensations nouvelles qui me coulent. Pourtant, ce n'est qu'à demi oppressant. Je ressens l'angoisse de la noyade, l'insécurité, mais d'un autre côté, j'ai cette sensation si douce et agréable de flotter sur l'eau, d'être comme déconnecté du monde. Cette dualité de sentiments me pousse à hésiter. Je tiens à Jamie comme jamais je n'ai tenue à personne, c'est une évidence. Un aveugle le verrait. Jamie, c'est un repère, une base. Jamie, c'est en quelque sorte l'équilibre de ma vie. Il est singulier, je l'aime pour ça. Il me comprend presque mieux que personne. Il est là quand j'ai besoin de réconfort. Il me fait rire. Il est doux, attentionné. Il me porte de l'attention et pourtant je suis là, hésitante. Presque incrédule suite à cette déclaration bouleversante. Je compte pour lui. Je compte comme je n'ai jamais compté. C'est plaisant. Plaisant et terrifiant, parce que je pourrais lui faire du mal. Il mérite tellement mieux Jamie. Il a besoin d'une fille bien, douce et gentille qui le comprendrait mieux que personne. Il a besoin d'un rayon d'un soleil, pas d'une idiote dépendante de l'herbe magique que je vends un des gars de la mather house. Il a besoin qu'on l'aime comme il doit être aimé et je ne sais pas si je suis capable de l'aimer assez fort, assez longtemps, sans avoir peur. Alors que je lâche son prénom d'une voix tintée de peur, tout s'écroule. Il me lâche, se recule, s'enfui presque. J'ai la sensation que le monde s'écroule. Que mon monde s'écroule. Je n'ai pas besoin qu'il s'en aille. J'ai besoin qu'il soit là, près de moi. J'ai besoin qu'il me tienne la main. J'ai besoin qu'il arbore son doux sourire qui me rend incroyablement heureuse. Il fait des allés et venues, semble s'énerver et je suis là, incapable de rien. Je culpabilise et les larmes me montent presque aux yeux. Je lutte, je les repousse, je dois être forte. Il me dépose une enveloppe blanche, puis file dans la salle de bain. J'ai un moment d'hésitation. Je voudrais qu'il soit juste là, à côté de moi. Finalement, je l'ouvre. Un petit bout de papier m'annonce officiellement que le monde compte aujourd'hui une étoile portant mon prénom. Ma vue se trouble, mes joues deviennent humides malgré moi. J'ai tout foiré. Tout, parce que cette cicatrice me fait mal, même trois ans après. Ja.. Jamie. balbutiais-je maladroitement. Je devrais clairement bannir son prénom de mon vocabulaire et me décider à y intégrer des expressions révélant mes sentiments.
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Je n’avais pas l’habitude d’être aussi stressé et désorienter. Je faisais une randonnée dans ma chambre tellement j’allais et je venais, c’était presque ridicule de me voir dans cet état. Pourtant je savais que si je faisais ça, c’était pour elle, pour sa douceur, son sourire, pour tout ce qu’elle m’apporte dans la vie. Elle était une fille parfaite et moi un pauvre minable qui ne pouvait pas penser avec son cerveau ne serait-ce que cinq secondes. Je m’en voulais de lui faire ça. Je la regardais de ma salle de bain, et je voyais qu’elle était émue de mon cadeau, mais je n’en faisais rien, je restais dans cette pièce comme si un mur incassable nous séparait. Je l’avais créé ce mur. J’en étais totalement responsable et je l’assumais avec toute la tristesse que je pouvais éprouver. Elle disait de nouveau mon prénom et là je ne savais plus quoi faire. J’arrêtais de la regarder, lançant un regard noir dans mon miroir. J’étais partagé entre l’envie de la prendre dans mes bras et aller m’asseoir dans mon sofa pour rester là comme une pauvre âme inerte. Elle me faisait mal. À chaque fois que je posais les yeux sur elle je souffrais. Je me posais des milliards de questions à la fois, je ne savais pas quoi répondre à l’entente de mon prénom qui résonnait en moi. Et là, ça faisait comme une lumière qui s’immisçait en moi. Elle pleurait. Sa voix avait été tremblante et généralement, une personne parle ainsi quand les larmes montent où qu’elle coule déjà. Et rien qu’à la pensée de la rendre si malheureuse, je commence à douter de moi. Peut-être que je ferais mieux de la laisser partir, d’arrêter mon manège pour qu’elle m’aime au point où je l’aime tant. « Arielle… » Je ne savais pas quoi dire, pas quoi penser. J’étais au même stade qu’elle, et je m’asseyais sur le bord de ma douche, laissant des larmes couler sur mes joues, laissant le moment me submerger de douloureuses sensations. Je lance un dernier regard vers elle, et je l’admire encore un petit peu. Je ne savais pas quoi dire alors que j’admirais ses lèvres, ses joues, ses yeux et sa bouche. Elle était loin, et cette distance me tuait à petit feu. Je me levais, essuyais ce qui coulait sur mon visage et allait dans sa direction. Quand j’arrivais face à mon lit, je commençais à marcher sur mes genoux. Lorsque j’étais à proximité d’elle, je l’enlaçais comme jamais auparavant. « Parle-moi Arielle. Parle-moi s’il te plaît. Ton silence va me tuer. » Ma tête s’enfonçait dans ses cheveux et je fermais mes yeux avec une force évidente, mon cœur pleurait en même temps que mon âme et que mes yeux. Elle me frappait de plein fouet, et je savais que si elle continuait je ne ferais que m’enfoncer un peu plus dans les méandres de ma vie. Je repensais à ma nourrice. Je l’avais perdu sans même lui dire combien elle comptait pour moi. Je ne voulais pas que ce soit la même chose avec Arielle, et j’étais content d’une chose, si je devais la perdre aujourd’hui, je n’aurais aucun regrets, aucune peine à avoir, à ressentir en permanence, parce qu’elle sait, elle sait qu’il n’y a qu’elle dans mon cœur et que ça ne changera jamais. Je pouvais être un enfoiré de première, qui baise tout ce qu’il voit, comme un adorable ourson en peluche, plein de tendresses et d’attention particulière qui ferait de moi un véritable prince de conte de fée, mais avec elle je ne pouvais être que moi, que Jamie.
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Depuis qu'il est entré dans ma vie, j'ai souvent eu la fâcheuse tendance de lui mettre des barrières. Je me suis montrée cassante, méchante parfois, mais même avec un comportement exécrable, il a toujours été là. Je le malmène un peu trop parfois et le pire, c'est que bien souvent je m'en rends compte trop tard. Mais, il est là, il tient le coup, il s'accroche. A sa place, j'aurais surement baissé les bras depuis bien longtemps, mais pas lui. Je ne sais pas d'où lui vient cette détermination, ni ce que je peux avoir de particulier à ses yeux. Il est certain que je représente quelque chose de singulier pour lui, comme il représente quelque chose différent pour moi, le simple fait d'être devenu meilleurs amis le prouve, mais je ne comprends pas pour quelle raison il s'accroche comme ça. C'est presque comme si à chaque fois je lui mettais un obstacle, un truc pour le faire lâcher prise. Je crois que c'est presque un héros Jamie, parce que je lui en fais voir de toutes les couleurs. Je m'en veux souvent d'ailleurs parce que je sais que je pourrais le perdre à cause de ça. Je crois que ça fonctionne un peu par période chez moi. Pendant plusieurs temps je peux me montrer très douce, gentille et nous arrivons à passer de vrai beaux moments. C'est magique quand tout va bien. Il a toujours son sourire sur le visage, il passe beaucoup de temps avec moi et ça me rend heureuse. C'est un peu comme si j'étais complète dans ces moments là. Puis, il y a des moments comme ceux-là. Je m'approche, puis je lui mets un mur sans forcément le vouloir. C'est une fois de plus la peur qui prend les commandes. Puis l'incertitude. L'incertitude, parce que je ne sais pas ce que je ressens pour Jamie. Je n'ai été amoureuse qu'une seule fois en vingt ans et ce fut d'une fille. Un amour que j'ai profondément refoulé, au point d'en oublier ce qu'il fait ressentir. Ce flux d'émotion qui me traverse forme un tout que je ne parviens pas à nommer et j'ai peur de me tromper. Quoique, sans dire un mot j'ai déjà fait une erreur. Il est parti. Il m'a lâché et c'est presque frustrant. D'autant plus lorsqu'il me donne cette enveloppe me révélant une nouvelle fois à quel point je peux avoir une place différente. Sans que je ne puisse rien y faire, je pleure. Je déteste ça, encore plus devant lui. Je me suis toujours maîtrisée, mais là, la vague émotionnelle s'écrase tellement fort contre mon coeur que je ne peux rien refouler. Tout ce qui sort de ma bouche est son prénom, parce que j'ai besoin de lui. J'ai besoin qu'il soit près de moi, maintenant. Après une certaine hésitation que je peux comprendre bien qu'elle me peine, il s'approche et me prend dans ses bras. Il me serre contre lui et bordel, ça fait tellement de bien d'être contre lui, de sentir son parfum. C'est comme si j'étais à deux doigts de me jeter d'une falaise et qu'il m'avait tenue la main, juste à temps. J'ai le souffle court, la vue brouillée et je m'en veux mentalement d'en être rendu à cet état avec lui, de lui infliger cette douleur à lui aussi. Je reste sans un mot, espérant me calmer, mais sa voix me supplie de dire quelque chose. Mon silence va le tuer. Le tuer. Je l'ai fait une fois, pas deux. Je ne veux pas revivre le scénario catastrophe que j'ai pu vivre il y a presque trois ans. J'ai juste.. je marque un temps d'arrêt, la gorge serrée. J'aimerais pouvoir poser une certitude, lui affirmer que tout va bien, mais ce n'est pas le cas. Jamie, je ne lui ai jamais menti et je n'en ai pas envie, pas maintenant. Juste envie que tu restes près de moi. Relevant la tête, je me frotte les yeux comme je le peux avant de le regarder attentivement. Je pourrais rester des heures entières à contempler les traits de son visage. Finalement, j'avance ma tête et viens déposer un bisous sur sa joue. C'est presque un remerciement silencieux. Je crois que jamais auparavant je ne me suis montrée si ridiculement sincère.
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Comment dire à quelqu’un qui est si proche de vous, si existentiel, que vous avez toujours eu une once de sentiments plus proche de l’amour que de l’amitié. En serrant Arielle, je me posais un tas de questions, et je repensais à la première fois où je l’avais vue, et où elle était rentrée dans ma vie. C’était il y a un petit moment quand même, et j’avais trouvé cette fille particulièrement jolie. Quelque chose m’attirait vers elle comme du miel attire les winnie l’ourson. Et je lui avais parlé, ou plutôt je l’avais dragué à mort pour être sûr qu’elle ne m’oublie pas. Et comme je le sentais venir depuis le premier mot que j’avais dit, elle m’a refoulé dans un élan destructif. Mais, je ne m’arrête jamais au coup d’essai avec une fille, parce que sinon ça ferait de moi un lâche indéterminé. Tout ça pour dire qu’il ne faut certainement pas s’arrêter au coup d’essai, car j’aurais pu louper tout un tas de choses si je n’avais pas provoqué les rencontres suivantes, j’aurais peut-être même manqué la fille qui ferait de moi un vrai gentleman. Quand sa voix résonnait dans mes tympans, je ne la serrais qu’un peu plus. La tête dans sa chevelure, je sentais son odeur et c’est tout ce qui m’importait sur le moment. Elle voulait rester près de moi, et je ne voulais pas la lâcher, ceci est donc le meilleur des compromis. « Je ne partirais jamais Arielle. » Ça commençait bien tout ça, je recommençais les phrase de lover malgré que j’avais une flèche dans le cœur, et ce n’est certainement pas elle qui va me dire de me taire. Je la voyais relever sa tête et porter ses mains jusqu’à ses yeux, comme pour imiter les petits bébés, elle les frotte avant de me regarder dans les yeux. Au début je suis hésitant, je ne donne pas suite à son regard, puis je sens cette pression monter en moi et je décide de rentrer dans le contact visuel. Ce dernier me tuait encore plus, parce que je voyais ses yeux humides et j’aurais préféré n’avoir qu’imaginé qu’elle pleurait. Ça semble si réel maintenant. Je regarde son visage se rapprocher, et ses lèvres déposer un baiser sur ma joue, je souris en coin à cette petite action, ça me faisait toujours de l’effet ce genre de choses. « Je serais toujours là, quoi qu’il arrive, je ne partirais pas de ta vie. » En disant ceci, je posais ma main sur sa joue, la caressant de mon pouce seulement. J’avais un sourire aux lèvres, mais plus je la caressais, plus je perdais ce petit truc de joie qui était sur ma figure. Je la regardais dans les yeux, et j’avais vraiment envie de lui dire deux mots. Je ne pouvais pas, je ne devais pas, alors plaçant ma main à l’arrière de sa nuque, je la ramène un peu plus vers moi, et là je dépose un baiser sur son front. Une larme coulait de mes yeux parce que j’avais dû refouler une grande envie pour ne pas lier mes lèvres aux siennes. Mais je devais prendre sur moi pour ne pas tout gâcher une nouvelle fois. Je la décollais un peu, la remettant comme avant cette action, et j’essuyais cette joue embarrassante, elle devait avoir remarqué que j’avais pleuré, mais au pire des cas, ce n’était pas bien grave, une larme n’a jamais tuée personne, pas vrai ?
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