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JARIELLE + You are my tuxedo and i'm your bow tie.

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Aujourd'hui, un samedi matin, mon foutu réveil qui habituellement ne sonne pas c'est déclenché à dix heures du matin. Etre levée à dix heures un samedi matin, c'est presque un blasphème dans la religion Arielliste. Pourtant, il n'y a pas beaucoup d'interdit, mais alors gâcher une grasse matinée.. ça mérite la peine de mort et un détour aux enfers. Je crois qu'il va vraiment falloir que je trouve quelqu'un pour me régler ce problème, parce que j'ai beau tout essayer, les alarmes se déclenchent seules et uniquement quand elles le veulent bien, pour mon plus grand plaisir bien sûr. N'ayant plus aucune chance de me rendormir à cause du bruit que mes camarades Mathers, qui commencent également à se réveiller, commencent à faire, je sors du lit péniblement et je me dirige vers la salle de bain. Une bonne douche bien chaude me fera du bien et m'aidera à lutter contre mon mal de tête, qui reste inexplicable puisque je ne suis pas sortie hier. Enfin, j'ai bien passée la soirée avec mes amis de maisons, mais nous n'avons pas fait de grosse fiesta comme à notre habitude, je ne sais donc pas d'où il peut me venir. C'est au bout d'une petite demi-heure que je sors de la douche, enfilant un slim et un débardeur. Le temps s'améliore ces temps-ci et même si je suis encore bien loin de pouvoir me retrouver en jupes, shorts ou robes, ne plus mettre de gros pulls tous les jours me fait plaisir. Une fois habillée, je sors un joint que je range dans une petite boite que je laisse toujours dans le tiroir de ma table de chevet. J'ai besoin de fumer tous les matins, c'est un peu comme pour ces gens accro au café, je ne fais rien de bon si je n'ai pas fumé. J'en profite pour attraper mon téléphone et répondre à mes messages avant de tomber sur une conversation avec Jamie, mon meilleur ami. Cela fait quelques jours que je ne l'ai pas vu et l'air de rien, il a réussi à faire sa place dans ma vie. J'enfile donc une veste noire, assez légère et attrape mon skateboard fidèle compagnon de route avant de claquer les portes de la maison des Mathers. Jamie n'habite pas très loin de la résidence des Mathers, possédant une chambre à la Lowell House. Je m'élance sur mon skate et comme d'habitude une sensation de liberté m'envahi. Je crois que je ne me lasserais jamais d'avoir les cheveux au vent et une brise qui me caresse le visage. Après un dernier tournant à droite j'arrive à la résidence Lowell. J'y entre, mon skateboard sous le bras, salue les quelques Lowells que je connais à force de venir retrouver Jamie ici et me dirige vers sa chambre. Je ne tape pas et entre naturellement. Wsh le moche ! dis-je en souriant, avant de déposer mon skate dans le coin de la pièce et de me laisser tomber sur son lit.
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La nuit dernière n’avait pas été de tout repos. Mais alors, pas du tout. Je n’ai jamais eu autant mal au crâne qu’en me levant ce matin pour juste aller voir s’il faisait jour. J’étais sidéré de voir que la lumière me tapait dans les yeux comme une massue. J’étais même retourné sous les draps de mon lit pour ne pas fondre comme un vampire. Je me faisais pitié à moi-même, alors j’attrapais la paire de lunettes qui était sur ma table de chevet et je les posais sur le bout de mon nez. Comme devenu invincible, je me promenais dans cette chambre étrangement en désordre. Les yeux qui roulaient à chaque fois que je découvrais une chose non identifié. Je voyais même ce petit string rouge en ouvrant mon réfrigérateur. Elle était bien mise en évidence pour que je la voie en prenant ma bouteille d’eau. Ou alors elle ne m’était pas destinée. Je rêvais pour que ce soit le cas. En me regardant dans mon miroir, je voyais que j’étais nu. Et là, comme tout homme qui se respecte, on fait tous cette chose étrange mais aussi très logique pour garder la tête froide et enlever toute peur de nos ventres. Je suis partit à la recherche du corps de ma partenaire de la nuit dernière. Avec un peu de chance, elle c’était cassée sans dire un mot. Et c’était bel et bien le cas. En voyant ça, je me laissais tomber sur mon lit, commençant à caresser mon torse avec une de mes mains. M’habiller ne servait à rien, j’allais rester ici toute la journée. Je commençais à me détendre, laissant les bras de morfée me reprendre parmi eux quand j’entendais ma porte s’ouvrir puis se refermer d’un coup. Cette voix, cette expression. « Arielle ! » Je me relevais beaucoup trop vite, en vue de la  chute incroyable tout droit sur cette partie délicate et utile pour mon futur, que j’ai fait. Je faisais des petits sons de douleur et j’espérais juste qu’elle ne regarderait pas cette scène mythique. « Tu peux me passer mon caleçon ? » Au pire des cas, elle ne verrait que mes fesses. Puis si elle voulait voir plus, ça ne me dérangerait en rien, elle était juste la fille parfaite à mes yeux. J’aurais eu beaucoup de chance d’être plus que son meilleur ami, mais j’accepte tout à fait que pour le moment ce ne soit que ça. Parce, je l’aurais un jour, je l’aurais. Puis, elle m'appelait le mode juste comme ça, pour me faire rager, mais au fond d'elle, elle craque sur ma tête d'ange et de bisounours, tout le monde craque pour cette tête d'amoureux débile.
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Jamie et moi, c'est tout une histoire. Une belle histoire. Une douce histoire, qui n'a pas forcément commencé comme il l'aurait voulu. Je ne sais franchement pas comment, mais il a réussi à se faire une place dans ma vie, ce qui n'est clairement pas chose facile. Aujourd'hui, même si jamais ô grand jamais je ne l'avouerais face à lui, il m'est difficile d'imaginer mon quotidien sans sa petite tête brune et son sourire enjôleur. J'avais profondément envie de le baffer lorsqu'il insistait, qu'il cherchait à se trouver une place dans ma vie, mais finalement, même si je refuse de lui donner la place qu'il désire depuis le début, je dois bien admettre que je suis bien contente d'avoir cet idiot sur deux jambes pour changer mon quotidien monotone. Il a quelque chose, un truc en plus qui fait que même malgré moi, je me suis prise d'affection pour lui. C'est justement cette affection qui me pousse à franchir la porte de sa chambre et à me laisser tomber sur son lit comme si j'étais chez moi. Cela fait quelques jours que je n'ai pas eu le plaisir de débarquer à l'improviste et de le forcer à annuler ses plans pour passer du temps avec moi. Je l'ai trouvé dans pas mal de posture, de situation étrange, mais je dois avouer que celle-là ne nous était jamais arrivé. Alors que j'ai pris place dans son lit, il est tombé au sol. Une bonne amie l'aurait surement aidé à se relever, lui demandant s'il avait mal, mais le rire que sa chute m'arrache tend à démontrer que je suis tout, sauf une bonne amie. Un rire qui devient presque sadique lorsqu'il me demande son caleçon. Alors comme ça monsieur Santhome n'a pas passé la nuit seul ? demandais-je d'un ton presque accusateur, mais caché par mon rire. En tout cas, si je vise juste, la demoiselle est partie bien vite, ce qui est une chance pour elle. Je crois que si je l'avais trouvé en compagnie d'une femme elle aurait fini dehors. L'air de rien, Jamie c'est mon Jamie et quand j'ai décidé de le voir, aucune gonzesses n'est en mesure de contrecarrer mes plans. On en a vécu des situations ridicules, mais je crois que celle-ci est l'une des plus belles. Me levant de son lit, je me dirige vers l'armoire et en sort un boxer avant de faire le tour du lit, me retrouvant face à lui. Quel doux plaisir d'enfin voir une partie agréable de ton anatomie. dis-je, arborant un large sourire qu'il ne voit pas. J'ai besoin de le taquiner, tout le temps. J'ai toujours le boxer en mains, mais je ne sais pas si j'ai réellement envie de lui donner. Il est drôle comme ça, allongé sur le sol à geindre de douleur totalement nu.  
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On ne va pas se mentir, je ne savais pas trop comment j’étais entré si aisément dans la vie de cette petite brune sarcastique, mais franchement je ne voulais en sortir sous aucun prétexte. Elle est cette bouffée d’air frais, ce bonbon à la menthe qui fait toute la différence de temps en temps. Elle me rendait aussi heureux qu’une maman kangourou et dieu seul sait que j’aurais aimé aller plus loin avec elle, la prendre dans mes bras et l’embrasser à longueur de journée. On avait déjà vécu pas mal de choses ensemble, mais je crois qu’au grand jamais elle ne m’avait vu nu comme un vermisseau. Alors quand je sentais son poids plume s’abattre sur mon lit, je n’avais pas eu d’autre choix que de ne pas laisser passer ça comme un truc commun. J’étais tombé, comme une patate qui s’écrase sur le sol, et son rire m’avait bien fait comprendre que, oui, j’allais avoir droit à la plus grosse rigolade du siècle. En lui demandant de me donner un caleçon, je savais bien qu’elle allait se dire que j’avais dû faire un truc insensé hier soir, et elle avait bien raison, malgré le fait que je n’en avais aucun souvenir. Selon elle, je n’avais pas passé la nuit seule, elle était vraiment perspicace comme fille. « Tu vas rire mais, je m’en souviens pas vraiment. » Sa voix m’avait fait comprendre qu’elle n’avait pas trop aimé cela, mais franchement je préférais passer dessus un court instant. « Mais dis-moi, tu ne serais pas jalouse que ce soit le cas tout de même ? » Je souriais, fière de ma bêtise et en même temps vachement flatté qu’elle agisse comme ça. Je n’en attendais certainement pas moins d’elle. Je l’entendais se lever de mon lit, et regardant son déplacement par la vue que j’avais grâce à l’espace en dessous de ce dernier, je voyais qu’elle était finalement aller prendre ce que je lui avais demandé. Bien sûr, au lieu de me le balancer elle avait préférée faire le tour, m’admirant dans toute ma splendeur masculine, pénis contre le sol, j’ambe serré et fesses sorties. Je me détestais vraiment quand elle complimentait mes incroyables petites pommes. Je savais qu’elles étaient belles, j’avais tout fait pour qu’elle soit bien ferme, alors heureusement que c’était le cas. « Tu t’es assez rincé les yeux, j’aimerais bien me mettre dans une tenue plus confortable si tu veux bien. » Je ne posais pas la question, parce que si elle ne me donnait pas mon caleçon dans la minute qui suivait, ben elle aurait un choc visuel à assumer. Elle voulait jouer, et bien je n’avais certainement pas honte de mon corps. Je m’étais ma tête sur le côté, la regardant dans le coin des yeux, arborant un sourire divin avant d’ajouter sur un ton sarcastique. « Sinon je me lève. » Je venais vraiment de dire ça, pour rire bien sûr, sur le coup, mais j’étais décidé à le faire si elle ne voulait pas me le donner. Puis au pire, j’avais toujours une solution de secours, mais ce serait presque de la triche.
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J'ai une fâcheuse tendance à prendre les décisions sur un coup de tête. L'impulsivité est l'un des deux composants prédominant de mon caractère. Un aspect qui se joue beaucoup de moi et qui fini toujours, ou presque, par me pousser à regretter. Je devrais prendre le temps de réfléchir un minimum parfois, ça pourrait m'être utile. Cela dit, je pense que mon côté impulsif n'est pas prêt de me quitter, comme on dit chasser le naturel, il revient au galop. Je crois que nous ne pouvons pas changer certains aspects de nos personnalités, même lorsqu'on le désire réellement. Mais, mon impulsivité n'a pas que des mauvais côtés, elle me pousse souvent à faire des choses au dernier moment qui s'avèrent être génial au final, le truc c'est que je ne préviens jamais, comme aujourd'hui. J'aurais pu envoyer un message au brun pour le prévenir et savoir si je ne le dérangerais pas, mais j'aime la spontanéité. C'est probablement le deuxième trait prédominant de ma personnalité. Celui-là, je l'aime, parce que je crois que sans lui je n'aurais jamais eu l'occasion de voir Jamie s'écraser nu contre le sol. Lorsque je lui demande s'il a passé la nuit accompagné, il me répond qu'il ne s'en souvient pas et me demande si je ne suis pas jalouse. Si tu ne t'en souviens pas, c'est que c'était mauvais. C'est l'expérience qui parle là. dis-je rigolant avant de me lever du lit pour attraper son boxer. Disons simplement que j'aurais été dans l'obligation de la mettre dehors, parce que quand j'ai décidé de te voir, j'ai décidé de te voir. C'est comme ça. annonçais-je, referment le tiroir.  Je ne sais pas réellement si l'on peut nommer ça jalousie. Enfin, si. Surement, mais probablement pas dans son sens. Qu'il couche avec des greluches ne me dérange pas, néanmoins qu'il soit accompagné quand j'arrive m'exaspère. Faisant le tour du lit, je me retrouve parfaitement placé pour le voir étalé de son long au sol et l'envie de jouer me démange. Le son de sa voix résonne de nouveau, lançant que je m'étais assez rincé l'oeil et que si je ne lui donnais pas, il se lèverait. Dans ce cas, lève toi. J'prendrais ça comme cadeau d'anniversaire. dis-je, affichant un sourire malicieux. Parfois, j'aime un peu trop jouer, surtout avec lui. La frontière qui nous sépare est tellement mince que je ne peux m'empêcher d'y mettre un pieds avant de revenir en arrière et d'à nouveau y mettre un pieds. Un jour tout va s'accélérer et j'serais emportée, j'en suis certaine.
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Le sol. Comment parler de cette merveilleuse chose bien dure qui commençait vraiment à devenir pesant. Je n’avais jamais été aussi en contact avec ce dernier et franchement la non-intimité que nous partagions me manque de plus en plus en ce moment. Je n’avais jamais vu a quel point il pouvait être si propre avant aujourd’hui, mais bon, je ne pouvais pas vraiment dire quoi que ce soit, parce que j’avais des lunettes de soleil sur mon nez. Je n’aimais pas qu’on se moque de moi, ça me touchait au plus profond de mon cœur. Non sérieusement, ça m’énervait à me donner envie de sauter sur Arielle, là, maintenant, tout de suite. Elle parle de mon oubli et du fait que ça devait être terriblement mauvais pour que tout souvenirs soient partit de mon esprit. Non mais franchement, elle était drôle à me faire la morale comme ça, surtout en essayant de défendre l’hypothèse qu’elle n’était pas jalouse. À d’autre, je n’y croyais pas une seconde. Sa phrase était bancale et elle disait implicitement que quand elle venait me voir, ce n’était pas pour me voir avec une de mes conquêtes. Sérieusement, je devrais tester ça un jour, me promener avec une fille devant elle, juste pour voir si Arielle va lui arracher les cheveux ou les yeux en premier. « Sérieusement Arielle, ta jalousie fait de moi un homme heureux. » Je souriais, même si elle ne pouvait pas trop le voir sur le moment. J’étais à la limite d’embrasser mon sol. Dégueulasse. Je me retenais, sinon elle allait envoyer un tweet avec ça sur le net. Ou pire, mettre mes fesses sur instagram. Quoi que, ça me ferait plus rire qu’autre chose, je ramasserais le jackpot de mentions j’aime. Je savais que ça ne la dérangeait pas que j’aie des aventures, mais bon, on ne va pas se leurrer longtemps, une fille reste une fille et les filles, elles aiment rester au top du classement de nos esprits. Arielle était en top position, c’était sûr et certain même. Je la menaçais, lui disant que si elle ne me le donnait pas, j’allais me lever et récupérer mon dû au prix de son innocence, mais elle me lançait le défi de me lever. J’esquissais un sourire sournois. « Qu’il en soit ainsi. » Ramenant ma mais de libre vers la couverture de mon lit, je la prenais et la traînait avec force jusqu’à ce qu’elle recouvre mes fesses. Me m’étant à quatre pattes, je faisais tout pour qu’elle ne voie pas mon appareil intime et d’une main je refermais le drap sur ma taille. Me levant enfin, je me m’étais face à elle, prenant mon caleçon de ses mains délicates. Je me dirigeais vers la salle de bain en enlevant le drap d’un coup, la laissant sur la vue de mes fesses bien ronde. J’entrais dans cette petite pièce, enfilant rapidement ce truc qui se matin me semblait bien compliqué à mettre et je ressortais, comme un prince. Il suffisait d’un bout de tissu pour que je me sente comme un super héro. Je m’approchais d’elle pour la prendre dans mes bras et embrasser son front. J’étais si romantique, mais elle compte tellement pour moi. « Si jamais tu veux voir plus que mes fesses, va falloir le demander plus gentiment Arielle. » Je souriais avant de la lâcher et de m’allonger sur mon lit, lunette toujours sur le nez. J’avais la flemme de fermer les rideaux, donc tant pis.
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Ses paroles au sujet de ma pseudo jalousie me travaillent un peu. Je ne pense pas être jalouse, sachant que je ne me mets pas hurler dans tous les sens ou que je n'arrache ni les cheveux, ni les yeux de toutes les demoiselles avec lesquelles il passe la nuit. Je le pourrais facilement pourtant. Je peux me montrer terriblement méchante parfois et il est certain que si j'étais vraiment jalouse ces filles auraient du soucis à se faire, mais ce n'est pas le cas. Il couche à droite à gauche si ça lui chante, puisque je fais un peu la même chose. Ce n'est pas ça le problème. C'est simplement que j'ai horreur de devoir partager. Jamie est à moi. Il est mon meilleur ami et par conséquent, j'estime que lorsque je décide de le voir seul, j'en ai le droit et ce qu'il soit prévenu ou pas. Il est vrai que j'ai un côté possessif en ce qui concerne le brun toujours allongé au sol, mais je ne pense pas que cela relève de sentiments amoureux. J'ai tellement connu l'abandon, parce que même mon propre frère m'a laissé seule, que je suis méfiante maintenant. Il a pu entrer dans ma vie, mais il ne déroge pas à la règle. Je dirais même qu'il la subit plus que les autres, parce que l'attachement que je lui porte est particulier et que j'ai besoin de savoir qu'il ne m'abandonnera pas pour la première venue. Moi je ne le ferais pas. Je ne le laisserais jamais derrière. Je crois qu'en fait, j'en ai fait une priorité sans vraiment en avoir conscience. Alors que j'essaie de lui expliquer ce qui peut se produire en moi en faisant le tour de son lit boxer en main, il m'annonce que ma jalousie fait de lui un homme heureux. Un sourire idiot se plante sur mon visage et je ne peux le réprimer. Je crois que je ne me comprends pas. Je ne réponds pas et lui dis que s'il le veut, il n'a qu'à se lever. Ca sonne presque comme un défi. Un défi qu'il accepte. Il tend alors le bras et tire la couverture du lit afin de camoufler ses fesses et accessoirement son intimité avant de faire volte-face, de me tirer le boxer des mains et de filer se changer dans la salle de bain. Tout ceci en deux temps trois mouvements. C'est ce qu'on appelle se faire baiser tiens. Quelle arnaque ! lançais-je à haute voix. Il est vraiment petit joueur quand il veut. Et malin aussi. Je souffle doucement lorsqu'il réapparaît et m'enlace déposant un bisous sur mon front avant de se laisser tomber sur le lit et de me dire que si je désire en voir plus, je dois le demander gentiment. Bah voyons. Me laissant tomber à mon tour sur le lit je ne peux m'empêcher de lancer une pique, que je regrette immédiatement. Donc en fait, toutes les meufs que tu ramènes, elles ont juste eut à être gentils ? Très sélectif tout ça. Je me mords la langue dès que je les mots ont glissé sur mes lèvres. Comment se prendre un million de réflexions sur une jalousie tiens. Bravo Arielle. Me tournant vers lui, j'arbore un beau sourie. C'est à toi d'être gentil. C'est mon anniversaire Santhone. Hop, tout nu et plus vite que ça ! ordonnais-je avant d'exploser de rire. Comment passer pour une obsédée de dix ans d'âge mentale ? Comme ça. Heureusement que c'est lui, il a l'habitude de me voir diminuée mentalement. 
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J’aimais l’embêter à lui parler de jalousie, j’imaginais son petit nez se retrousser sous mes paroles, parce que bizarrement, je trouvais ça trop mignon qu’elle puisse vouloir me voir sans les autres. Je couchais à droite à gauche, ça je n’en étais pas trop fière, mais je le faisais quand même. Ne serait-ce qu’avec une de mes colocataires en ville, je le faisais dès que j’avais la tête à ça. Mais si jamais Arielle m’envoyait un message en pleine acte pour venir la voir, je serais prêt à tout mettre en pause juste pour admirer ses sourires doux et à la fois bien interrogateur. Je ne savais pas si elle était aussi attachée à moi que je l’étais à elle, mais rien qu’en la voyant arriver aujourd’hui à l’improviste, je savais que c’était le cas, plus ou moins. J’avais joué la carte du drap pour ne pas avoir à mettre un malaise entre nous. Je ne voulais pas dévoiler toutes mes cartes en une petite matinée comme celle-ci. Contrairement aux autres, j’aimais que les choses aillent doucement avec Arielle. Elle était spéciale, elle n’était pas comme les autres, et c’est ce que j’aimais avec elle. Je pouvais faire n’importe quoi, je savais qu’elle ne m’en voudrait pas, ou alors si peu. Je n’arrivais pas à croire que certaine personne ait pu la laisser partir sans la retenir dans leur vie, je ne comprenais vraiment pas comment c’était possible. Je n’imaginais même plus ma vie sans cette petite boule d’énergie, et j’en étais fière. Je tenais à elle, vraiment beaucoup. J’aurais tant aimé pouvoir poser mes lèvres seulement sur les siennes, sans jamais avoir à aller ailleurs, juste avec elle. Un rêve, une idylle, un futur inventé et plein d’espoir. Je ne pouvais pas partager mes envies avec elle, ou du moins, pas celles-ci. Quand j’étais dans la salle de bain, j’entendais sa petite voix se plaindre et j’en esquissais un sourire. Oui, je venais de l’arnaquer comme il se fallait, mais j’étais de nature joueur ce matin, alors à quoi bon ne pas y aller à fond. Quand je reviens dans la pièce, j’ai le geste le plus tendre du monde. Je tiens la personne la plus importante pour moi, et j’embrasse son front. Mais je ne pouvais pas rester ainsi trop longtemps, alors je la lâchais pour rejoindre mon matelas. Et elle en faisait de même, se mettant à côté de moi, ce qui me faisait sourire de nouveau. Je lui disais une phrase débile et elle réagissait au quart de tour, en me parlant du fait que je suis sélectif et en me demandant si toutes les meufs que je baisais étaient gentille. Je rigolais, un pouf de rire. C’était vraiment trop drôle de la voir agir comme ça, et je me disais qu’elle devait regretter ses paroles, mais bon. « Arielle. » Je disais simplement son prénom, la regardant se tourner vers moi. Ma tête était entièrement concentrée sur la sienne. Mes yeux dans les siens. Je l’aurais presque embrassé, j’ai bien dit presque. Puis elle reprenait la parole, m’ordonnant de me déshabiller pour son anniversaire. Je posais un doigt sur son front, la poussant vers l’arrière pour qu’elle se retrouve couchée sur le dos. Quand c’était fait, je me tournais vers elle, pour finalement me retrouver au-dessus. Mes mains placés à côté des ses épaules. Un sourire collé aux lèvres. Position de self contrôle, elle n’avait plus rien à ordonner, je la maîtrisais parfaitement. « Tu sais, que ce soit ton anniversaire ou non, les ordres ne m’ont jamais mené nulle part. Puis je crois que la vue paradisiaque sur mes fesses était déjà un cadeau de renom et parfaitement admirable, donc… Non je ne me mettrais pas tout nu pour toi ma petite Arielle. » Je descendais doucement ma tête et lui faisait croire que j’allais l’embrasser, avant de déposer un baiser sur sa joue, je sortais de sur elle, me couchant de nouveau à côté.
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Jamie, dès que je l'ai vu, j'ai compris qu'il avait quelque chose de particulier. Pour être totalement honnête, il m'a de suite intrigué, mais dès qu'il a ouvert la bouche et qu'il a commencé à me draguer de façon plutôt singulière, j'ai eu envie de claquer sa tête contre un poteau métallique et de lui rouler dessus avec un bus, histoire d'être certaine de ne plus être embêté. Une pulsion meurtrière que j'ai réellement eu du mal à contrôler au début, mais finalement, je dois avouer sa persévérance a payer. L'alcool a quand même pas mal aidé, parce que sans mentir j'étais bien retournée quand j'ai accepté de lui parler sans devenir froide, cassante voir carrément méchante. On pourra dire ce qu'on veut sur les effets néfastes de l'alcool, ça aide franchement à sociabiliser. Je crois sincèrement que si je ne buvais pas aux soirées, je me retrouverais complètement asociale. Quoique d'une certaine façon je m'en rapproche. Depuis le décès de Ruby, qui était ma meilleure amie et accessoirement ma première expérience de type lesbien suivi de celui de ma grand-mère et de l'abandon de mon frère, je me suis repliée sur moi-même. J'ai connu un passage à vide. Un énorme passage à vide et mon seul réconfort fut Gabriel. Gabriel et les soirées. Gabriel et l'alcool. Gabriel et le joint. C'est à cause d'un manque affectif que j'ai commencé à développer mes travers. Me retrouver totalement abandonné, trahi par la personne que j'ai toujours aimée plus que n'importe qui dans ce monde. Cette personne qui m'a affreusement écorché. Je lui ai donné tout mon amour et lui l'a piétiné. Mon frère m'a bousillé le coeur. Mon frère m'a bousillé de l'intérieur. Mon frère m'a marqué à vie. Mon frère m'a fait la plus grosse, la plus belle et la plus douloureuse des cicatrises. Belle, parce qu'elle m'a appris la vie. Belle, parce qu'elle est la marque d'un an le souffle coupé. Belle, parce que même si elle est là, je ne suis pas partie. J'ai survécu. Difficilement, mais j'ai survécu. C'est à cause de ça, de l'année en apnée, comme sur un fil tendu entre la vie et la mort à vacillé comme une flamme vacille au vent, que je suis devenue ce que je suis. Une fille méfiante, froide, voir méchante. Une fille qui change du tout au tout pourtant, quand la tête brune à la voix magnifique est dans les parages. Il est spécial, parce qu'il a su faire tomber tous mes murs sans forcer, sans que je ne le vois. Jamie, c'est un putain de voleur. Il est s'est infiltré comme ça, sans un mot et il m'a volé ma carapace. Il m'a mise à nue, complètement, de façon lente et délicate. D'une belle façon. Jamie, c'est le genre de mec qui fait des tours de force ni vu ni connu. Et, Jamie, je crois que je ne peux plus m'en passer. Allongé près de lui, je ne peux m'empêcher de l'observer longuement, repensant à certains moments avant de finalement fermer les yeux et de revenir sur terre, parce que Jamie, il ne le sait pas, mais il m'emporte à chaque fois. Les rouvrant à l'entente de mon prénom, juste mon prénom, je ne dis rien, j'esquisse juste un léger sourire, à moitié perdue entre le je suis désolée et le mais, ce n'est pas de ma faute. Puis, sans crier gare, je lui ordonne de se mettre nu avant de rire bêtement. C'est un truc qui ne serait surement jamais produis si je n'aimais pas débarquer à l'improviste. Immédiatement, il me fait basculer de telle sorte que je me retourne allongée sur le dos alors qu'il me surplombe. Je le regarde et une fois de plus une vague de sensations que je ne cherche même pas à décrypter m'emporte. Je souris à ses paroles, parce que je suis comme lui, les ordres très peu pour moi. Et, il n'est pas totalement que la vue de ses fesses n'était déjà pas mal. Alors que je m'apprête à préparer une réponse en béton, il se penche vers mon visage. La distance entre nos corps est réduite à néant ce qui est complètement alertant, amis étrangement, je ne bouge pas. Cela ne dure que quelques secondes, pourtant j'ai l'impression que le temps se fige. Finalement, il dépose ses lèvres sur ma joue et se réinstalle à côté de moi. Il provoque beaucoup de réaction chez moi, mais je n'en ai eu une comme celle là. Dommage dis-je, me tournant vers lui pour déposer ma tête contre son torse. C'est un moment étrange, chargé d'une émotion bien trop forte. C'est presque paralysant. Je crois que ça me fait peur. Je demanderais à quelqu'un d'autre. Je suis certaine de trouver de quoi me rincer l'oeil. dis-je, laissant la peur prendre le dessus. Je viens de démolir à coup de masse un moment presque magique. Je me mords la lèvre, regrettant pour la seconde fois mes paroles. Quelle stupidité, bordel. 
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Je ne voulais pas faire mal à Arielle, l’abandonner de si tôt. Je ne voulais pas la perdre, la ranger dans une case, parce qu’elle est juste inclassable comme fille. Elle mérite le meilleur possible. Je ressens pour elle plus que de l’amitié je pense, ça me trotte dans la tête. Surtout quand je me suis mis au dessus d’elle, j’avais vraiment envie de l’embrasser. Cette accessibilité, cette intimité de mon corps presque collé au sien, et de mes lèvres qui ont collé sa peau si douce. Sa joue est douce, douce comme la soie. J’adorais ses joues, ça lui donnait un certain charme en plus. Je la voyais comme une possible copine, mais je ne voulais certainement pas faire les choses mal avec elle, car je risquerais de la perdre. Quand j’avais dit son prénom, j’avais souris. Ça me rappelait le dessin animé que je regardais avec la fille de ma nourrice quand j’étais petit. Je m’activais à chaque fois que je voyais qu’elle ne pouvait pas parler pour séduire le prince. Genre, elle pouvait pas trouver un bout de papier pour lui expliquer la situation, non mais n’importe quoi, aucune logique cette sirène, franchement. Puis, j’imaginais ma Arielle se coiffer avec une fourchette et je rigolais intérieurement. Elle disait que c’était dommage, quoi ? Elle voulait que je l’embrasse, sérieusement ? Que je me déshabille juste pour elle ? Que je l’aime comme elle devrait l’être ? Mais je ne savais même pas si je n’allais pas me prendre une bonne baffe derrière. Je ne voulais pas la heurter, ça me ferait trop mal. Elle se tournait et déposait sa tête bien chevelue sur mon torse, et je passais mon bras dans son dos, le caressant doucement et avec une attention particulière. Elle disait qu’elle demanderait à quelqu’un d’autre si je ne voulais pas le faire. Je soupirais. Franchement, ça me touchait très particulièrement qu’elle me dise ça. Comme si je n’étais pas à la hauteur. Je passais ma main libre derrière ma tête, me couchant sur cette dernière. Regardant le plafond comme si je venais de me prendre la pire humiliation du monde. J’aurais tout fait pour elle, et mon côté gentleman en prenait un grand coup. Pourtant je coupais mon regard pour regarder dans sa direction, remontant ma main qui caressait son dos jusqu’à ses cheveux. Les caressants à leur tour. Je ne la détestais pas pour ce qu’elle venait de dire, j’étais juste un peu déçu. Oui, beaucoup même. « Si tu le dis Arielle. Si tu le dis. » Elle pouvait entendre ma déception dans ma voix, parce que je n’avais pas envie de la lui cacher, au contraire, je me montrais honnête avec elle, ouvert d’esprit et patient. Si elle voulait tant se rincer l’œil, j’en connais pas mal qui aimerait que ce soit sur eux. Elle était attirante, intelligente et passionnée. Tout le monde rêve d’une fille pareille. « Sauf que, je préfère que tu saches, ce mec sera un homme mort. » Je ne mentais pas. Si je le croisais le bâtard sur qui elle allait faire sa connerie, je le tuerais. On ne touche pas à Arielle. Pas sous ma protection, pas tant que je tiens à elle ainsi. Et croyez-moi, je ne comptais pas la lâcher de si tôt, elle me donnait trop d’espoir, trop de rêve. Je voulais lui dire. Lui dire que c’était dur pour moi de faire des one night, de ne pas avoir à seulement être avec elle. De partager ce qui lui revient de droit avec d’autre. Ça me rendait malade de voir à quel point je pouvais tenir à elle. Je poussais ses cheveux vers l’arrière, pouvant apercevoir la joue que j’avais embrassé un peu plus tôt. Je souriais. Avant de caresser cette dernière.
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