MAXILLE ✱ I'm a jerk, but I love you

Je crois que ça faisait plusieurs jours.. enfin je crois pas, c'est une certitude en fait, ça faisait clairement plusieurs jours que je ne m'étais pas senti aussi bien. J'étais accro à Vanille, comme on pouvait être accro à la cigarette. Et quand on est en manque de quelque chose, il est évident que notre comportement change. Si là, la jeune femme m'en voulait, mon humeur était clairement massacrante. Maintenant, nos lèvres se sont réunies et mon humeur n'était que meilleure. Je l'aimais, d'un amour sincère et vrai. Et forcément que l'embrasser me faisait du bien. « J'te pardonnerais toujours tout Florès. » Je m'étais stoppé de l'embrasser pour la regarder, remontant ma main à son visage pour venir lui caresser la peau de mon pouce. Je sais pas ce que ça voulait dire.. et ça me faisait peur en quelque sorte. Certes, ça me plaisait aussi, mais ça me faisait surtout peur. Et si je venais à commettre l'irréparable un jour ? Elle réussirait à me pardonner ? Non, elle ne pouvait pas, l'impardonnable ne pouvait pas être pardonné. Mais je gardais tout ça pour moi, profitant de l'avoir de nouveau à mes côtés, en bons termes. J'étais heureux, qu'elle soit en vie, qu'elle m'aime et qu'on soit enfin bien tous les deux. Déposant une nouvelle fois mes lèvres sur les siennes, je me reculais ensuite pour la regarder, sourire sur les lèvres, discret. « Tu penses que.. je peux rester dormir avec toi ce soir ? » Rien d'implicite en tout cas, je voulais juste pouvoir dormir en la sentant à mes côtés, pouvoir sentir son odeur comme bon me semblait. Les petits détails qui changent une nuit.

You hurt me so much.

max florès and vanille s. clayton

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C'était dingue non ? Dingue de se sentir aussi faible face à une seule et unique personne. Complètement fou d'avoir l'impression de pouvoir sombrer pour lui. Parce que c'était réellement le cas. Tu pourrais sombrer pour Max sans même regarder en arrière. Y avait eu ce truc entre vous. Ce truc qui t'avais hypnotisée dès que tu l'avais vu, ce truc qui t'avais fais sentir dès le premier regard que tu le voulais. Et maintenant ? C'était encore pire. T'étais incapable de te passer de lui, de vivre sans lui. Tu tirais un trait sur tout puisque la seule chose que tu voulais été de partager chacun des tes instants en sa présence. Tu te fichais bien du reste tant que lui il était là. C'était le genre d'addiction pire que la drogue. Le genre de dépendance à l'effet ravageur. Pour une attention de sa part tu donnerais n'importe quoi et.. Et bien sûr que t'étais insupportable avec lui. Que tu crisais pour un rien et que tu faisais parfois de sa vie un enfer avec tes crises n'ayant aucun lieu d'exister. Mais c'était parce que tu réalisais pas encore qu'il était bien à toi. Parce que l'idée qu'un homme aussi parfait puisse être ton petit ami ne s'ancrait pas à ton esprit et que chaque minute tu luttais pour le garder près de toi. Peut être étais-ce idiot de ne faire tourner sa vie qu'autour d'une seule et unique personne mais.. Tu aimais être idiote. Tu aimais te dire que dans dix ans tu serais toujours avec lui. Tu voulais croire au coup de foudre, à la magie de votre histoire. Tu voulais continuer à penser que ce que vous partagiez était spécial et que rien ni personne ne pourrait vous l'enlevez un jour. T'étais amoureuse de Max Florès à un point que personne ne pourrait jamais réaliser puisque même toi tu ne comprenais pas combien cet amour et cette dépendance pouvait faire des ravages. « Tu penses que.. je peux rester dormir avec toi ce soir ? » Et la nuit suivante et encore celle d'après plus toutes celle qu'il voudrait. Peu importait. « Tu penses que tu pourrais rester ici tout le temps ? Juste toi et moi. Tous les jours et toutes les nuits ? »

J'étais pas un adepte du coup de foudre. Enfin, je ne l'avais pas vraiment expérimenté avant de rencontrer Vanille. Dès le moment où je l'ai vue dans la piscine, j'sais pas, un truc s'est passé. Quelque chose d'assez étrange ouais, parce que dès cette première rencontre, j'avais fait en sorte que nos lèvres se rencontrent. Et même que j'avais eu cette envie de la revoir. Après, on a eu Halloween, qui était assez étrange puisque qu'elle avait eu sa première fois avec moi. N'empêche, quand on y repense.. je suis le seul avec qui elle a couché. Si ça, c'est pas me flatter, je sais pas ce que c'est. Même ce Trung n'a pas eu l'occasion d'aller plus loin avec elle. Et franchement ça m'arrange, ne serait-ce que pour ma santé mentale. Savoir déjà qu'il a pu foutre sa langue dans la bouche de Vanille... ugh. Ca me donne envie de vomir. (dans ma bouche hein, sinon c'est pas drôle *siffle*) Quoiqu'il en soit, j'étais clairement soulagé de la savoir de nouveau bien avec moi, me laissant l'embrasser, toucher même.. et le mieux, qu'elle puisse me regarder avec ses yeux de femme amoureuse. Sérieux, pour un mec, c'est une des plus belles choses. Voir la femme qu'on aime nous regarder avec les yeux qui montrent tout l'amour qu'elle peut ressentir, ça fait bondir le coeur fort.. vraiment fort. « Tu penses que tu pourrais rester ici tout le temps ? Juste toi et moi. Tous les jours et toutes les nuits ? » Je me mordais doucement la lèvre, la regardant alors avec des yeux comme si j'allais la dévorer dans les secondes à venir et finalement, je hochais la tête. Ouais, j'avais envie de ça, envie de la sentir contre moi à chaque minute dont la nuit est constituée. J'en avais envie et je ne pouvais tout simplement pas refuser. « Je peux oui, je veux même » disais-je en scellant ce deal par un baiser sur ses lèvres. Je reposais ma main sur sa hanche, la glissant doucement sous son t-shirt pour caresser sa peau. Putain, ce contact m'avait tellement manqué, c'est dingue.

You hurt me so much.

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Parce que c'était sûrement la chose que tu désirais le plus au monde. Pouvoir passer chaque seconde de ta vie rien qu'avec lui et ça, même si ça consistait à faire un trait sur les autres. C'était idiot, peut être trop naïf et peut être même que tu finirais toute seule à agir de la sorte mais.. T'y pouvais rien. C'était l'effet Max en fait. Il avait canalisé tes pensées sur lui et tu pouvais rien faire pour y échapper. C'était juste comme ça. « Je peux oui, je veux même » Deal. T'allais maintenant l'avoir pour toi tout le temps. Y aurait plus une seule journée ou tu serais séparée de lui et c'était tellement mieux comme ça. Tellement mieux de savoir que tu pourrais profiter de son contact à chaque instant. Sa main glissait sous ton tee shirt et tu frissonnais malgré toi dingue de ses caresses. Ça t'avais manquée putain, plus que ce que tu aurais imaginée et tu gardais le contrôle de ses lèvres avec l'envie irrésistible de lui. Tu pouvais pas t'coller à lui, à vrai dire, t'arrivais pas vraiment à bouger alors tu l'attrapais par le tee shirt tirant fermement pour le bouger. Ou au moins pour lui faire comprendre ce que tu voulais. Et pour accentuer le tout, tu glissais tes mains sur son torse redoublant d'ardeur dans tes baisers. C'était étrange han ? Tu savais même pas comment ça allait s'passer maintenant que t'étais légèrement diminuée mais.. Tu voulais essayer. Tu le voulais et de toute façon, fallait bien passer par là non ? Puis quoi de mieux pour fêter vos retrouvailles. T'étais amoureuse de lui et tu voulais le posséder de toutes les manières qui soient. C'était pas possible autrement.

Cracher sur l'occasion de passer du temps en tête à tête avec elle ? Clairement pas non. Je sautais sur l'opportunité qui m'était donnée, de l'avoir rien que pour moi, sans ses colocataires de la Dunster ou encore sa famille ou ses amis. Non, elle n'était que pour moi et elle le sera dorénavant tous les soirs. Vanille c'est la mienne, personne ne pourrait y changer quoique ce soit. (heeeeeein, tous les voleurs de Vanille.) Du coup, pour sceller ce qu'on venait de s'arranger, je m'étais mis à l'embrasser de nouveau - parce que je m'en passais tout simplement pas - et ma main venait trouver refuge sur sa peau douce, celle qui ne cessait de m'appeler tout à l'heure pour que je la recouvre de ma main (bah ouais, c'est connu que les cellules humaines parlent à Max). Me sentant alors attiré très soudainement par elle, ouais, elle me tirait mon t-shirt, je venais me positionner au dessus d'elle, faisant bien attention à ses jambes. C'est pas parce qu'elle n'en a plus l'usage qu'elles doivent être négligées. Nos baisers devenaient de plus en plus ardents et je n'arrivais juste plus à me contenir tant la passion se déchainait en moi. Evidemment que j'avais envie de tout ça, ça faisait plus de deux semaines qu'on avait pas été intimes elle et moi, et j'avais envie de ça bah.. assez souvent, donc maintenant que la fenêtre était ouverte, je sautais dedans à pieds joints. « Tu... la pilule c'est bon ou on doit encore prendre des préservatifs ? » demandais-je par curiosité alors que je venais lui retirer son t-shirt à la hâte. Mon dieu, j'avais juste hâte, même si une part de moi appréhendait, on l'avait juste jamais fait avec des jambes en moins.

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Ouais ouais, tu voulais le posséder. C'était quand même mieux que de dire que t'avais envie qu'il te fasse sauvagement l'amour non ? Et puis c'était pas toi. T'étais pas une tigresse ou quoi et tu te voyais vraiment ma lui dire hé, on baise ?. Non mais fallait avouer que c'était plus pathétique qu'autre chose alors que c'était juste dans tes pensées. Tu préférais même pas imaginer ce que ça pourrait donner si jamais tu le disais à haute voix. En attendant, c'qui était bien avec lui, c'était qu'il comprenait assez rapidement puisqu'il venait se placer au dessus de toi en.. Il faisait attention à tes jambes là ? Est ce qu'il fallait que tu lui expliques que tu les sentais plus ? Il pourrait jouer du tamtam dessus que ça te ferais pas broncher. Il pouvait même tenter de s'en servir comme guitare pendant que tu dormais que ça te réveillerais sûrement pas. Jolie image nop ? « Tu... la pilule c'est bon ou on doit encore prendre des préservatifs ? » - « Non c'est bon, c'est bon. » Putain, c'était la première fois que t'allais le faire sans protection. Enfin non, la deuxième puisque Halloween avait été un peu à la hophop on s'lance mais bref, c'était comme une première fois quoi. Et tu savais pas quoi faire. Tu pouvais juste bouger les bras comme un pantin. C'était con han ? Peut être que ça allait être moins bien pour le coup. Puis peut être qu'il trouverait ça chiant et qu'il aurait plus envie de toi comme maintenant. Ok relax, c'était pas le moment d'encore te faire des films. Il retirait ton tee shirt en deux secondes (tellement que ça pourrait entrer dans le livre des records) et toi, tu faisais la même chose de son côté reprenant ses lèvres d'assaut. C'était dingue ce que ça pouvait manquer de pas faire ce genre de chose en fait.

Je n'avais jamais couché avec une handicapée. Non pas que Vanille en était une. Bon si elle l'était clairement en ce moment, mais j'osais espérer que ça allait être uniquement temporaire. J'avais du mal à me faire que cette situation serait définitive. Ca voudrait dire fini les balades main dans la main ? Et ouais. Ca voudrait dire aussi fini les sorties en amoureux, les voyages assez aventureux. Dire que j'aurais aimé aller au Bali ou un pays asiatique en sa compagnie. Marcher des heures pour se retrouver dans une bulle, reculée de toute civilisation. Ouais, c'était le genre de trucs que je voulais pour nous deux, mais ça nous avait été retiré à cause d'une folle à la gâchette facile. Bitch. « Non c'est bon, c'est bon. » me rassurait Vanille à propos de la pilule. Donc c'est bon, pas de préservatif. Ouais donc on ajoutait à tout ça un niveau de stress supplémentaire. Mon dieu c'était devenu si difficile depuis quand ? Moi j'aime quand c'est simple hein.. Respire un bon coup Max, ça ira bien. Pense pas à ses jambes, ni à sa pilule. C'est elle qui compte, et toi. Rien d'autre vieux. Nos t-shirts se retrouvaient bien assez vite sur le sol de la chambre et je devais m'occuper d'une grande partie du reste, puisqu'elle ne pouvait pas vraiment bouger. Alors je descendais du lit, regrettant presque immédiatement le contact que j'avais avec elle, pour m'occuper de son pantalon et du mien. Je me dépêchais, afin de pouvoir la retrouver de nouveau dans mes bras. Sauf qu'évidemment, je galérais pour mon pantalon vu que... bah j'suis tombé à la renverse quand j'ai voulu retirer la jambe où se trouvait ma blessure. « Aoutch! Rien de grave, je vais bien tout va bien! » Je me dépêchais de retirer ce bout de vêtement avant de revenir sur elle, sans la ménager. Je capturais de nouveau ses lèvres, prenant soin de nous recouvrir de la couverture que j'avais éloigné pour la déshabiller.

You hurt me so much.

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Et dans ce genre de chose tu voulais clairement dire coucher avec lui. Ouais ouais. Et non, t'étais pas devenu une accro au sexe comme Samantha dans sexe and the city. T'allais pas non plus réclamer qu'il te fasse l'amour tout le temps h24 mais fallait quand même avouer que t'étais un peu impatiente de retrouver cette intimité avec lui. Parce que ouais, mine de rien ça faisait un moment et tout ça à cause du iatchbi. Tristesse (pas besoin de faire un copyright, c'est moi.) Bref. Donc ouais là t'avais vraiment envie de lui même si tu pouvais rien faire parce que t'étais un peu diminuée pour le coup. Et tu parlais pas de ta taille qui étais plus ou moins la même que celle de Marine mais plutôt de la non fonctionnalité de tes jambes. C'était handicapant pour une handicapée. AHAHAH. T'es trop drôle. Re bref. Et t'avais l'impression que vous accélériez le truc comme deux pauvres personne en manque ce qui était peut être le cas après tout. Max se levait du lit pour te déshabiller avant de faire la même chose pour lui et.. Bah tu ricanais parce qu'au final, il était encore moins douée que toi et pourtant, lui il avait au moins une de ses jambes fonctionelle. Un couple d'éclopés, classe. « Aoutch! Rien de grave, je vais bien tout va bien! » Ouais ouais. Tout irait sûrement mieux si vous étiez pas des idiots tout les deux mais peu importe. Il revenait sur toi remontant la couverture sur vous et tu passais tes bras autour de sa nuque puisque de toute façon, c'était la seule chose que t'étais capable de faire. Tu revenais l'embrasser comme si le seul contact de sa bouche t'avais affreusement manquée et merde, t'allais vraiment finir par manque de souffle si tu continuais comme ça.

Je crois que c'était la première fois que je me sentais si vivant depuis l'événement. Enfin je veux dire.. ouais, clairement, j'ai pas eu tant d'occasion que ça que de me prouver que j'étais vivant depuis la prise d'otages, mais là ouais, je l'étais clairement. Je m'étais réconcilié avec Vanille, on se déshabillait.. ouais, tout allait bien dans le meilleur des mondes. Sauf qu'il y avait ce léger point noir sur le tableau : Vanille avait perdu l'usage de ses jambes et j'avais ce putain de problème à la jambe. Autant dire que c'était pas forcément le top du top quand on se retrouvait tous les deux à devoir se déshabiller. Mais on y arrivait, avec de l'envie et de l'acharnement, on y arrive. Après m'être cassé la gueule et m'être relevé, je la rejoignais dans le lit pour capturer de nouveau ses lèvres, nous glissant tous les deux sous la couverture pour un peu plus de chaleur et d'intimité. Mais là, il nous restait quand même quelques trucs à retirer... je le ferai quand le moment sera opportun. Là, tout ce que je devais faire, c'était.. être prêt quoi. Et je ne l'étais pas encore tout à fait. Du coup les baisers qu'on échangeait étaient assez efficaces et ça arrivait petit à petit. Doucement, je me mettais à dévier mes baisers, nous laissant à tous les deux prendre le soin de récupérer notre souffle, et puis ça me permettait de retrouver sa peau, celle de son cou, celle de sa clavicule. Ouais, des bouts de peau que j'aimais bien embrasser pour le plaisir de l'embrasser. J'étais juste au top à présent et je venais retrouver ses lèvres qui, en aussi peu de temps, avaient créé un manque indescriptible. Puis forcément, mes mains venaient se réfugier au niveau de ses hanches descendant à présent pour descendre le bout de tissu qui m'empêchait d'aller plus loin avec elle. Je m'étais décalé afin de pouvoir le lui enlever entièrement, le glissant le long de ses jambes inertes. Puis quand ce fut fait, et bien je me positionnais de nouveau sur elle pour reprendre les baisers.

You hurt me so much.

max florès and vanille s. clayton

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Puis ça serait bête non ? Ouais, ça serait carrément con que tu meurs par manque d'air même si c'était peu probable que ça arrive là maintenant. Puis à part rentrer dans le top dix des tops les plus merdiques ça t'avancerais à rien. Donc ouais, fallait que t'arrête de l'embrasser au moins pour quelques secondes histoire de pouvoir retrouver de l'air. Ce que tu faisais d'ailleurs et la bouche de Max, elle, déviait sur d'autre partie de ta peau t'arrachant des frissons. God ce que tu aimais ça. C'était dingue. Tellement dingue d'aimer autant ses baisers et ses caresses. D'être aussi réceptive à chacun de ses touchers. Tu le désirais plus que n'importe quoi à ce moment précis. Comme toujours d'ailleurs. Il remontait jusqu'à tes lèvres et ses mains descendait jusqu'à ton dernier sous vêtement qu'il faisait glisser doucement le long de tes jambes. Et c'était tellement bizarre de rien sentir du tout. Comme s'il ne se passait absolument rien. Pourtant, tu faisais pas de remarque sur ça. Ça péterais plus le moment qu'autre chose et même si t'étais une pro dans ce domaine, là t'allais clairement t'absenir. Il se replaçais de nouveau au dessus de ton corps et tu souriais contre ses lèvres avant de légèrement lui mordiller celle-ci. « Je t'aime Max. » Ouais, t'avais ressentis le besoin de le lui dire la maintenant tout de suite. Parce que c'était le cas et parce que de toute façon, tu ne le lui dirais jamais assez. Tu pourrais bien le répéter une centaine de fois par jour que ça ne serai jamais assez. Non, jamais assez. Tu faisais glisser tes mains le long de son dos profitant de chaque parcelle de sa peau comme tu le pouvais l'embrassant encore et encore comme si c'était une question de vie ou de mort. C'était inexplicable ce que tu vivais avec lui, vraiment. Jamais t'aurais cru pouvoir trouver un truc aussi fort mais clairement, ça te prenais aux tripes. Depuis le premier jour et ça, que tu le veuilles ou non.