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MAXILLE ✱ I'm a jerk, but I love you

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Bien sûr que j'étais totalement dérouté par sa question, c'était comme si on me demandait si j'aimais bien respirer. C'est naturel de respirer et c'était devenu naturel pour moi d'aimer Vanille. Tout ce que j'ai bien pu faire, c'était pour amour pour elle et qu'elle me pose cette question.. ça me déroutait ouais, ça me blessait. Je l'avais carrément fait douter de tout par mes agissements et je m'en voulais, genre plus que tout. Mais pas moyen de faire machine arrière malheureusement. Restant silencieuse, je ne savais pas c'était quoi le mieux : faire une confrontation ou laisser ses pensées en suspens. Disons que j'ai tendance à vouloir la confrontation, même s'il s'agit d'une énième dispute, plutôt que laisser le silence nous séparer. « Dis moi ce que tu penses.. J'aime pas ce silence. Bien trop silencieux à mon goût » Quand on est silencieux ensemble, la plupart du temps, c'est parce qu'on s'embrasse ou qu'on dort. Et il était évident qu'on ne faisait rien de tout ça ce soir.
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max florès and vanille s. clayton
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Ou peut être pas. Tu savais quelque part que Max n'allait certainement pas se contenter de ce long silence. Après tout, tu venais quand même de poser le genre de question qui remettait tout en doute. Sans le vouloir, tu venais de remettre en cause les sentiments qu'il pouvait te porter puisque le simple fait que cette question te viennes à l'esprit montrait que tu n'étais plus vraiment certaine de ce qu'il pouvait ressentir. Et bien sûr que ça allait le blesser, sûrement que dans le cas contraire, t'aurais été affreusement blessée mais fallait te comprendre. Fallait se mettre à ta place l'histoire de quelques secondes pour voir à quel point c'était dur pour toi en ce moment. De toute manière, c'était pas nouveau que tu manquais affreusement de tact, ceci n'en était que la preuve. Et comme tu pouvais t'en douter, Max prenait la parole. La confrontation n'étais pas loin mais peut être étais-ce un mal nécessaire ? Tu n'en avais aucune idée. T'étais bien trop perdue dans tout ça pour pouvoir réellement le dire. « Dis moi ce que tu penses.. J'aime pas ce silence. Bien trop silencieux à mon goût » Oh non. Non. Il ne voulait certainement pas savoir ce que tu pensais. Il pensait le vouloir mais si les mots franchissaient tes lèvres, il n'allait pas du tout apprécier. Et pourtant, t'étais quelqu'un d'honnête non ? Tu ne pouvais pas garder tout ça pour toi. Peut être que ça allait péter. Peut être que ça allait exploser mais c'était mieux dehors que dedans non ? « J'pense que je suis toujours fâchée contre toi. Je pense que j'arrive pas à oublier ce que tu as dis et malgré mes efforts j'peux pas te pardonner. J'peux pas. En fait le problème, c'est que j'aurais pu mourir pour toi et que ta première envie, ça été de me quitter juste parce que c'était trop dur pour toi de te sentir coupable. Et je t'en veux tellement que j'arrive même plus à te regarder. » Bien évidement qu'il aurait pas du demander ce que tu pensais.
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Je sais pas pourquoi j'ai dit ça, je savais que j'allais entrainer un conflit et c'était loin d'être l'idéal maintenant.. Mais bon, j'en avais marre. Marre de cette guerre froide. Marre de la sentir distante, marre de ne plus pouvoir lui parler comme d'habitude, de passer des soirées à faire des câlins, rigoler et s'embrasser. Non, ce temps était juste révolu. Alors lancer une nouvelle dispute, ça ne changerait rien au final. « J'pense que je suis toujours fâchée contre toi. Je pense que j'arrive pas à oublier ce que tu as dis et malgré mes efforts j'peux pas te pardonner. J'peux pas. En fait le problème, c'est que j'aurais pu mourir pour toi et que ta première envie, ça été de me quitter juste parce que c'était trop dur pour toi de te sentir coupable. Et je t'en veux tellement que j'arrive même plus à te regarder. » Et là, je sentais mon coeur se briser, littéralement. Genre... ça faisait putain de mal et je ne pouvais rien faire. Au final, j'étais le responsable de mon propre malheur. Retirant mon bras de derrière elle, je déglutissais en ne sachant pas vraiment quoi lui dire. Enfin si, je savais plus ou moins quoi lui dire mais.. était-ce vraiment ce que je voulais ? Non, pas vraiment. « Tu veux que j'parte Vanille ? Tu veux ne plus voir ma tête ? Il suffit que tu me le dises, parce que j'veux pas aller contre ta volonté. Mais si tu me demandes pas, je resterai là, tu sais. Je resterai parce que j'ai espoir qu'avec le temps, ça s'atténuera. Ta douleur, ta peine, ta rancoeur.. tout » C'était peut-être que des illusions, mais je m'y accrochais.
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Même toi, t'arrivais pas à réaliser ce que tu venais de dire. Les mots étaient sortit, comme ça, sans que tu contrôle vraiment l'impact que ça pourrais avoir. Bien sûre que tu pensais tout ça. T'étais fâchée contre lui, en colère, peut être un peu trop. Tu te repassais en mémoire cette fâmeuse discussion à l'hôpital comme pour te torturer chaque jour et ça berçais toutes tes indécisions du moment. Au final, t'avais peur qu'il parte vraiment, qu'un beau jour, il ferme la porte sans plus jamais revenir. Tu savais même pas comment tu pourrais faire sans lui. C'était trop dur, inconcevable. Et pourtant, t'arrêtais pas de te répéter que ça allait arriver. Qu'il s'embarasserait certainement pas d'une pauvre fille comme toi incapable de marcher. Alors t'avais mal, plus que jamais. Tu souffrais de tout ça et t'avais pas les mots pour lui dire. Tu le tournais autrement de sorte à ce que ça lui fasse mal, de sorte à ce qu'il souffre lui aussi parce que toi, tu brûlais intérieurement et t'arrivais pas à arrêter ça. T'arrivais pas à lui dire à quel point t'avais peur de le perdre, à quel point ça t'bouffais de penser qu'il pourrait te laisser alors tu lui faisais mal parce que c'était la seule chose que tu ressentais. « Tu veux que j'parte Vanille ? Tu veux ne plus voir ma tête ? Il suffit que tu me le dises, parce que j'veux pas aller contre ta volonté. Mais si tu me demandes pas, je resterai là, tu sais. Je resterai parce que j'ai espoir qu'avec le temps, ça s'atténuera. Ta douleur, ta peine, ta rancoeur.. tout » Paraitrait que le temps efface tout. Alors peut être avait-il raison, peut être que ça finirais par s'atténuer. Peut être que ta rancoeur partirait et que t'aurais plus aussi mal de le regarder. C'était trop d'indécision encore une fois, un trop plein de supposition sans avoir la conviction que ce serait le cas. Tu voulais pas vivre comme ça et pourtant, tu ne pouvais pas non plus vivre sans lui. Alors peut être un peu trop en colère, tu tournais la tête vers lui un éclair de colère brillant dans tes yeux. « J'ai pas dis ça. J'ai jamais dis que je voulais que tu partes et t'es putain de chiant à transformer mes paroles. Tu sais ce que ça fais d'avoir tous les jours la trouille que tu débarques en me disant que c'est terminé ? Tu sais comment j'me sens là ? Est ce que tu comprends à quel point c'est dur de t'aimer malgré tout et d'avoir la constante impression que de ton côté ça s'efface ? J'pourrais entendre que tu veux que ça se termine, j'pourrais comprendre que tu ne veuille plus perdre ton temps avec moi mais l'plus affreux c'est d'être plus mal à l'idée de te perdre plutôt qu'à celle de ne plus marcher. »
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J'avais mal, je souffrais de cette situation. Et pourtant, je faisais pas énormément pour l'arranger. En fait, j'avais peur de la confronter, de savoir ce qu'elle pensait de tout ça, de moi.. et de nous. J'avais peur qu'elle vienne à me détester et de ne plus pouvoir être avec moi. Je l'aurais mérité, pour être honnête, si elle venait à rompre.. mais je suis pas certain que je pourrais m'en remettre. Après tout, j'étais tombé amoureux de Vanille Clayton. Irrémédiablement, c'était si puissant que j'en avais peur, de cet amour. Il pouvait être destructeur, comme l'avait prouvé notre altercation à l'hôpital. J'avais totalement merdé ce jour là et les conséquences étaient plus importantes que je ne l'aurais cru. Elle m'en voulait, elle me détestait et elle... elle ne pouvait carrément plus me voir. Comment on pouvait former un couple quand la femme qu'on aime ne peut plus nous voir ? C'était déchirant... ouais, j'en pouvais plus de tout ça et je cherchais donc à la confronter pour savoir ce qu'elle souhaitait réellement. Rompre ? J'espérais pas. Arranger les choses ? Ca m'irait bien comme solution. Mais maintenant, j'appréhendais ses paroles qui avaient le même effet que des coups de couteau plantés dans mon corps. « J'ai pas dis ça. J'ai jamais dis que je voulais que tu partes et t'es putain de chiant à transformer mes paroles. Tu sais ce que ça fais d'avoir tous les jours la trouille que tu débarques en me disant que c'est terminé ? Tu sais comment j'me sens là ? Est ce que tu comprends à quel point c'est dur de t'aimer malgré tout et d'avoir la constante impression que de ton côté ça s'efface ? J'pourrais entendre que tu veux que ça se termine, j'pourrais comprendre que tu ne veuille plus perdre ton temps avec moi mais l'plus affreux c'est d'être plus mal à l'idée de te perdre plutôt qu'à celle de ne plus marcher. » J'en pouvais plus, j'avais limite du mal à respirer et tout ce que je voulais, c'était remonter à la surface. Juste.. ouais, remonter à la surface, retrouver une bulle de bonheur avec elle, où rien d'autre n'avait d'importance. Juste elle et moi. « Je vais pas partir Vanille, » disais-je le regard détourné, parce que là je pouvais juste pas la regarder. « Je vais pas partir parce que j'en ai juste pas envie, même si tu me détestes, même si tu peux plus m'voir. C'est juste au dessus de mes forces de te quitter. J'ai essayé parce que j'ai paniqué... parce que ça me semblait être la seule solution » Je déglutissais difficilement avant de finir par me redresser pour marcher dans la chambre, faisant les cent pas. « Tu sais ce que ça fait que de perdre la femme qu'on aime ? Moi je le sais... je l'ai déjà vécu. J'ai... » Je soupirais avant de finalement déposer mon regard sur ma petite amie. « Elle est morte, un accident de voiture.. et j'aurais du l'en empêcher, c'était mon rôle. Tout comme pour toi.. et j'ai juste l'impression que tu serais tellement mieux sans moi, parce que j'apporte que le malheur. Ce qui s'est passé samedi, c'en est la preuve »
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Ouais ben voilà. C'était sortit. T'avais enfin sortie ce que t'avais sur le coeur et même si tu gardais certaine chose, l'essentiel était là. T'avais juste la trouille de le perdre parce que t'étais tombée irrémédiablement et irrévocablement amoureuse de lui. C'était comme un coup de foudre agissant au premier regard. Ce qui au départ n'était considéré que comme un crush par la plupart des personnes avaient finit par devenir le truc le plus beau et le plus fort que t'avais jamais vécut. Le souci avec ça, c'était que par la même occasion, c'était aussi le plus destructeur et que tu le veuilles ou non, ça te consumais à l'intérieur te laissant plus ravagée que jamais. Personne ne pouvait savoir ni même comprendre à quel point tu souffrais à ce moment là. A quel point t'avais mal. Et non, ce n'était pas à cause de cet handicap qui allait te bousiller la vie ni même l'idée de ne plus pouvoir te tenir sur tes deux jambes. Non. Tu souffrais uniquement parce que t'avais la sensation de le perdre et que c'était le truc qui te déchirais le plus au monde. Clairement, ta vie n'avait plus aucun sens sans Max et ça, qu'il le veuille ou non. Si un jour ses sentiments venaient à disparaître, s'il finissait par partir, tu serais juste anéantis parce que t'étais incapable d'imaginer ce que ça pourrait être sans lui. T'avais créé cette dépendance et te l'arrachais serait comme te broyer tes organes vitaux. Il était ton souffle, ta raison et tant d'autre chose en même temps. « Je vais pas partir Vanille, » Peut être pas maintenant, mais tu partiras. Parce que tu vaux tellement mieux que moi. Pensées secrètes. « Je vais pas partir parce que j'en ai juste pas envie, même si tu me détestes, même si tu peux plus m'voir. C'est juste au dessus de mes forces de te quitter. J'ai essayé parce que j'ai paniqué... parce que ça me semblait être la seule solution » Et c'était pas ce que tu voulais entendre. Encore une fois, il tentait de justifier ses actions de la semaine passé. Action que de ton seul avis tu trouvais lâche purement et simplement. « Tu sais ce que ça fait que de perdre la femme qu'on aime ? Moi je le sais... je l'ai déjà vécu. J'ai... » Alors quoi ? C'était l'instant confidence ? « Elle est morte, un accident de voiture.. et j'aurais du l'en empêcher, c'était mon rôle. Tout comme pour toi.. et j'ai juste l'impression que tu serais tellement mieux sans moi, parce que j'apporte que le malheur. Ce qui s'est passé samedi, c'en est la preuve » Incompréhension. Il ne comprenait pas. Il se croyait fautif de tout alors qu'il ne l'était pas. Et c'était insupportable de le voir agir comme ça, de le voir se bouffer pour des trucs dont personne ne pouvait l'accuser. « C'est quand que tu comprendras ? T'es pas coupable ou fautif. Ni de SON accident ni de MA paralysie. C'est le destin Max, tu peux pas empêcher un accident de voiture comme tu pouvais pas empêcher cette prise d'otage. » Et putain, fallait vraiment qu'il se le mette en tête avant que tu essaies de le tuer toi même pour mettre un peu trop tes nerfs à vif. « Est ce qu'un foutu jour tu seras capable de voir ce qui est bénéfique ? J'ai jamais été aussi heureuse que depuis que je suis avec toi. Et peut être bien que parfois j'suis trop excessive et que je t'agaçe quand j'crise pour pas grand chose mais je t'aime. C'est pas l'genre d'amourette de lycée qui deviendra complètement platonique dans deux semaines. C'est de l'amour. Je t'aime plus que n'importe qui sur terre et je donnerais tout pour toi Florès. J'veux juste que tu la fermes, que t'arrête de te rendre coupable et que tu continues à m'aimer parce que c'est tout ce que je demande. »
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On allait enfin au fond du problème. On mettait carte sur table, même si ça faisait mal, parce que c'était nécessaire. Après tout, on était amoureux l'un de l'autre, on s'aimait, même si on se déchirait. C'était d'ailleurs parce qu'on s'aimait qu'on était dans un tel état, des vraies loques. Aussi bien elle que moi. Et pour remédier à tout ça, on devait faire face à nos problèmes, aussi douloureux soient-ils. Alors que je m'étais levé, profitant de ma motricité quand elle, elle n'avait pas le choix que d'être immobile sur son lit, je m'étais stoppé pour la regarder, alors que je mentionnais une ex, du passé. Mon premier amour, celle qui m'a été enlevé parce que je n'avais pas été capable de l'empêcher de prendre le volant. « C'est quand que tu comprendras ? T'es pas coupable ou fautif. Ni de SON accident ni de MA paralysie. C'est le destin Max, tu peux pas empêcher un accident de voiture comme tu pouvais pas empêcher cette prise d'otage. » Je pouvais pas concevoir un monde où le destin me prenait tous les gens que j'aimais. Ma mère -même si je ne sais pas si elle est encore en vie quelque part ou non-, mon ex... Vanille. Je pouvais juste pas, non, concevoir qu'on veuille me l'enlever, parce qu'elle est ma moitié à présent. Pas le genre de moitié comme Dorian peut l'être, c'est celle qui me comble sous tous les aspects, malgré ses défauts. « Est ce qu'un foutu jour tu seras capable de voir ce qui est bénéfique ? J'ai jamais été aussi heureuse que depuis que je suis avec toi. Et peut être bien que parfois j'suis trop excessive et que je t'agaçe quand j'crise pour pas grand chose mais je t'aime. C'est pas l'genre d'amourette de lycée qui deviendra complètement platonique dans deux semaines. C'est de l'amour. Je t'aime plus que n'importe qui sur terre et je donnerais tout pour toi Florès. J'veux juste que tu la fermes, que t'arrête de te rendre coupable et que tu continues à m'aimer parce que c'est tout ce que je demande. » Je sentais mon coeur prendre un rythme infernal dans ma cage thoracique et j'arrivais tout simplement pas à le calmer. L'énervement ? Je pense pas. Mes sentiments pour elle ? Clairement. Ouais, mon coeur battait pour elle et seulement elle. Je m'approchais d'elle, m'installant de nouveau sur le lit à ses côtés, restant à genoux. Attrapant sa main dans la mienne, je venais la poser sur mon coeur, afin qu'elle le sente elle-même, à quel point j'étais fou d'elle. « Tu sens... à quel point je t'aime ? C'est toi, Vanille, qui le fait battre comme toi. Toi et uniquement toi.. C'est aussi pour toi que je ferai des efforts parce que je veux pas t'perdre, je veux que tu aies envie de me regarder et de crier au monde que tu m'aimes, que tu gueules à pleins poumons que c'est moi et personne d'autre.. J'veux que tu sois fière de dire que t'es ma petite amie » J'inspirais, rapprochant doucement mon visage du sien, laissant mon regard plongé dans le sien. « Et je veux surtout pas que tu penses que je t'abandonnerai de sitôt. Tu es à moi Clayton, il est hors de question que je te laisse filer. » Sur un coup de tête, je déposais mes lèvres sur les siennes, sans trop savoir si la surprise allait la faire me repousser ou au contraire, répondre à ce baiser. Seul les prochains instants me le diront.
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Là, t'étais à bout de souffle. T'avais sortie une putain de tirade de tu ne sais ou mais fallait croire que ton coeur avait parlé pour toi. Tu pouvais pas être plus claire avec lui, tu pouvais pas faire de meilleur déclaration que celle là, du moins, pas pour le moment. Tu baissais les yeux incapable de dire autre chose. Tu voulais vraiment te battre pour lui, pour récupérer ce que vous partagiez avant tout ça et tu savais que la plupart des choses ne dépendaient que de toi. Rien n'irait mieux si tu ne lui pardonnais pas. Il fallait que tu fasses un effort, que tu passes l'éponge sur son erreur puisqu'après tout, tu pouvais comprendre la situation dans laquelle il s'était trouvé d'un seul coup. Tu pouvais pas continuer à t'éloigner comme ça parce que tout ce que t'allais gagner, c'était le perdre lui et tu ne pouvais pas concevoir que ça arrive. Très honnêtement, si la situation aurait été moins tendu, t'aurais été sûrement prise d'un fou rire en le voyant faire les cent pas à cloche pied. Pour le coup, t'avais juste envie de le frapper de fournir tant d'effort alors qu'il avait besoin de repos. Et il revenait vers toi s'mettant à genoux sur le lit avant d'attraper ta main qu'il posait contre son coeur. « Tu sens... à quel point je t'aime ? C'est toi, Vanille, qui le fait battre comme ça. Toi et uniquement toi.. C'est aussi pour toi que je ferai des efforts parce que je veux pas t'perdre, je veux que tu aies envie de me regarder et de crier au monde que tu m'aimes, que tu gueules à pleins poumons que c'est moi et personne d'autre.. J'veux que tu sois fière de dire que t'es ma petite amie » Tu fermais les yeux quelques secondes essayant d'imprégner toutes ses paroles. Est ce qu'il était normal que tu ais envie de pleurer à ce moment précis ? L'émotion peut être. Un trop plein d'émotion sûrement. Et quand tu réouvrais tes paupières, il s'était considérable approché de ton visage. Si bien que tu te perdais dans son regard comme tu avais tant l'habitude de faire parfois.« Et je veux surtout pas que tu penses que je t'abandonnerai de sitôt. Tu es à moi Clayton, il est hors de question que je te laisse filer. » C'était ça que tu voulais. Qu'il te rassure. Qu'il te rassure une bonne fois pour toute et fallait croire qu'il fallait juste que ça pète avant. Tu sentais ses lèvres se poser sur les tiennes et.. En fait t'étais juste surprise. T'avais l'impression que tu ne l'avais pas embrassée depuis une éternité. Depuis la prise d'otage a vrai dire. Y avait pas eu les circonstances et vous aviez passés plus de temps à vous déchirez qu'autre chose. Mais tu pouvais pas nier que tu t'sentais mieux là. Vraiment mieux, Tu reculais légèrement ta tête et peut être qu'il devait être en train de penser que tu le repoussais mais ce n'était pas le cas. Non. Tu passais doucement tes doigts sur sa joue avant de revenir à la charge l'embrassant un peu plus passionnément. Pour rattraper l'absence de baiser. Pour retrouver ce truc si spécial entre vous. « Je t'aime. » Et tu l'embrasses encore. Je t'aime, je t'aime.
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Les choses à plat. Voilà ce qui se passait. Soit tout se passait mal et ça pouvait amener à une déchirure bien plus importante que la précédente.. ou les choses s'arrangeaient. J'osais espérer que les choses s'arrangeaient entre Vanille et moi parce que je ne pense pas que je pourrai supporter encore cet éloignement fantôme mais bel et bien présent. Elle me manquait, chaque fibre de mon corps la réclamait. Un contact, si minime soit-il, qui me montrait que son corps était également en manque de moi. Alors que je lui disais clairement mes sentiments actuels à son égard, lui avouant explicitement que je ne partirai pas, mes lèvres venaient trouver les siennes en espérant qu'elle ne me repousse pas. J'avais envie de ce baiser. Genre vraiment envie. Je ne l'avais pas embrassée depuis... deux semaines. C'était long, loin, et je rattrapais le temps perdu. Elle comme moi devrions savoir qu'on ne devrait pas perdre notre temps dans des futilités. Genre.. on a été victimes d'une prise d'otages donc on a vu presque la mort quoi. Sauf que ses lèvres se détachaient des miennes sans que je puisse crier gare et je sentis la panique m'envahir. C'est seulement quand je sentais sa main caresser ma joue que je comprenais qu'elle ne me repoussait pas, au contraire. Souriant, je la dévorais du regard avant de sentir de nouveau ses lèvres contre les miennes. Là, je me sentais mieux, carrément mieux, totalement mieux. « Je t'aime. » Je me mis à sourire malgré les baisers qu'elle me prodiguait, qui étaient bien plus d'envie que le mien, c'était une certitude. Preuve de son pardon ? Seules ses paroles me le diront. « Tu m'pardonnes.. d'être si con ? » demandais-je à la jeune femme alors que je continuais de l'embrasser, laissant mon corps s'allonger à ses côtés et ma main se poser sur sa hanche pour la rapprocher de moi.
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Est ce que tu avais été stupide de lui en vouloir pour.. Si peu ? Parce qu'au final, peut être que tu n'avais juste pas été compréhensive vis à vis de ce qu'il pouvait ressentir. Peut être que c'était ta faute. T'avais ce petit côté égoïste qui faisait que le souci était peut être que tu n'avais pensée qu'à toi sans même chercher à envisager ce que lui avait vécut de son côté. Tu savais plus vraiment au final. Peut être que tout les reproches étaient à te faire à toi et non à lui. C'était une possibilitée non ? Ouais. Tu voulais plus penser à ça. Ni à la douleur ressentit ni au calvaire que ça avait été de s'éloigner de lui. Tu voulais juste continuer à ressentir ce que tu ressentais la maintenant tout de suite. Autrement dit, le soulagement de sentir ses lèvres contre les tiennes. T'étais déjà plus vivante maintenant ce qui prouvait une fois de plus que sans lui tu n'étais plus rien. C'était dingue. Comme si tu n'avais vécu qu'à moitié jusqu'à pouvoir être dans ses bras. C'était pas l'air qui t'étais vital mais lui. Il t'étais vital et tu l'aimais plus que quiconque. Et entre deux baisers, il reprenait la parole pour peut être se conforter dans l'idée que tout allait bien. « Tu m'pardonnes.. d'être si con ? » Puissance mille même. Il s'allongeait à tes côtés te rapprochant de lui et tu pouvais sentir son corps contre le tien. Une de tes mains se glissait sous son tee shirt alors que tu continuais à jouer avec ses lèvres comme pour rattraper tout le temps perdu. « J'te pardonnerais toujours tout Florès. » Tout. Sans exception. Même si c'était la pire des trahisons. Parce que dans tout les cas, tu ne pourrais jamais te passer de lui. Jamais.
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