Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility"On va où chauffeur? Dans les étoiles..." (Wyatt)
Le Deal du moment : -67%
Carte Fnac+ à 4,99€ au lieu de 14,99€ ...
Voir le deal
4.99 €


"On va où chauffeur? Dans les étoiles..." (Wyatt)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
On avait bloqué les confréries, mais pour pas grand chose, on était tous autant qu'on était à la rue. On devait chercher un autre hébergement, et je remerciais Dieu pour avoir de l'argent sur mon compte grâce à l'héritage et aussi au boulot de nounou que j'faisais, pour pouvoir me payer une chambre d'hôtel. M'enfin, j'avais préparé une grosse valise, on savait pas combien de temps ça allait durer, puis j'avais aussi deux sacs à main, j'étais hyper chargée, y avait mes cours, mon maquillage, mes fringues, enfin bon.. Puis des peluches, et oui. Je tendais ma main, comme dans les films, pour qu'un taxi s'arrêtent, et j'attendais bien 5 minutes avant qu'un veuille bien s'arrêter, je montais à l'intérieur, mettant mes affaires dans le coffre de ce taxi pour me plonger dans mon téléphone portable, c'était n'importe quoi ces histoires de confréries! Bref. Le taxi s'arrêtait quand j'annonçais au chauffeur "Arrêtez-vous devant cet hôtel s'il vous plaît.. Merci." et voilà, une fois arrêté, je sortais, entourant mon cou de ma grande écharpe, ouvrant le coffre pour prendre ma valise, mes sacs et hop, après avoir payé le chauffeur, je m'arrêtais un instant pour lire mes sms en souriant finement.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C’est étrange de voir à quel point les rues que l’on fréquente change. C’est comme une désagréable impression. Comme si quelque chose se passait sous mes yeux, mais que je ne le voyais pas. J’avais beau roulé dans cette ville, je n’y retrouvais pas la sensation de liberté. Revenant de l’aéroport, je venais de dire au revoir à ma mère. Avec une certaine inquiétude, elle me quittait pour rejoindre ma ville natale. Je ne pensais pas que la voir partir me rendrait aussi nostalgique. Elle n’avait passé que quelques jours ici et déjà, elle me manquait. En passant ses journées avec elle, j’avais pris conscience de l’important manque créé par Roswell. L’envie d’y retourner était de plus en plus intense. Perdu dans mes pensées, je n’avais pas vu la jeune femme sur le côté. Il m’avait fallu un feu rouge pour prendre conscience de sa présence. Avec surprise, je découvrais une Maëlys avec les mains pris d’assaut par sa valise. Feu vert. Encore surpris par cette étrange rencontre, je m’empressais de faire demi-tour pour me garer sur le trottoir d’en face. Une fois cela fait, je descendais avec aisance de ma voiture. Claquant la portière, je me dépêchais de rejoindre la jeune femme. Cela faisait plusieurs jours que je ne l’avais pas vu et étrangement, elle réapparaissait dans de mes moments de réflexion. « Vous allez quelque part mademoiselle ? » Un air faussement sérieux, je finissais par sourire. M’avançant vers elle, je lui demandais ce que cela voulait dire. « Qu’est-ce que tu fais ici ? Tu désertes les Cabots ? »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il fallait que je souffle avant de rentrer dans cet hôtel, que je respire l'air frais de Cambridge et prendre le temps de répondre à deux trois sms avant de me retrouver enfermer dans une chambre, que j'allais devoir supporter je n'sais combien de temps. Mais rapidement, je fus dérangé par ta voix, et je me retournais en te regardant arriver vers moi « Vous allez quelque part mademoiselle ? » je regardais l'hôtel d'un coup d'oeil en te souriant finement, contente de te voir là, surtout ce soir, tu m'avais manqué. "Je compte aller dormir.. Il est tard et j'ai plus d'maisons." j'haussais les épaules, pour répondre ensuite à ta nouvelle question « Qu’est-ce que tu fais ici ? Tu désertes les Cabots ? » oh, t'étais pas au courant. Je soupirais alors en te racontant "Le Doyen a décidé de fermer toutes les confréries. Il pense que c'est à cause de "nous" qu'il y a les agressions.." c'était du n'importe quoi. Mais on en payait le prix fort. En y repensant, c'était vraiment la merde, et je plaignais ceux qui n'avaient pas de bourses et qui se trouvaient je n'sais où ce soir. M'enfin. Je rangeais mon portable dans mon sac pour te regarder, comme si je t'avais pas vu depuis des semaines "Comment tu vas? T'étais passé où?"
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Comment ça, elle n’avait plus de maison ? Pour le savoir, je n’eue pas besoin de le lui demander, car elle s’en chargeait elle-même. Ainsi, elle me révélait que le doyen avait fermé les confréries à cause des agressions. Il est vrai que des présidents avaient été mis en cause. Seulement, cela se voyait que ce n’était qu’une profonde arnaque. Certaines personnes se donnaient à cœur joie de proliférer des mensonges. Même si je ne faisais plus à proprement parlé des Winthrop, je me considérais toujours comme tel. De plus, maintenant que j’avais retrouvé mon équilibre, j’hésitais à revenir chez les rouges. Est-ce que cela serait pareil ? Mon meilleur ami n’en faisait plus partie et j’avais perdu un de mes meilleurs amis à cause de sa connerie. De plus, pas mal de monde était partie. C’était des questions que j’allais devoir méditer. « Je n’étais pas au courant de la dernière mesure. » Avec ma mère venue de Roswell et les deux jours que j’avais passé à Paris, je n’avais pas eu le temps de passer à l’université. « Ça va. Je viens de déposer ma mère à l’aéroport. Elle était venue quelques jours ici pour voir Devyn. » Je lui disais ses mots rapidement, mon esprit étant occupé ailleurs. En effet, je réfléchissais au fait qu’elle n’avait plus de maison. Moi-même, je m’étais retrouvé sans maison en quittant la Winthrop House. Seul Elizabeth et Emrys m’avait permis d’avoir un toit. « Ecoute, tu ne vas pas dormir à l’hôtel. Viens à la maison. En plus, y a de la place. Je te laisserais ma chambre et ça ne dérangera pas Lizie et Em’ »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je t'avais croisé, et je ne pensais même plus au fait qu'il fallait que je réserve une chambre, trop longtemps que l'on ne s'était pas parlé et c'était pas bine joyeux ce qu'on se disait. La fermeture des confréries, le fait que ta maman soit partie.. « Je n’étais pas au courant de la dernière mesure. Ça va. Je viens de déposer ma mère à l’aéroport. Elle était venue quelques jours ici pour voir Devyn. » j'esquissais un très fin sourire en te regardant, il ne faisait pas chaud dans les rues, le froid arrivait tellement vite à Cambridge. "C'est super alors, ça s'est bien passé? Elle a vue Torrey?" c'était la maman du petit et ton ex, alors c'était normal qu'elle connaisse ta maman après tout, j'en savais trop rien. « Ecoute, tu ne vas pas dormir à l’hôtel. Viens à la maison. En plus, y a de la place. Je te laisserais ma chambre et ça ne dérangera pas Lizie et Em’ » je tortillais ma bouche pour réfléchir, puis je me mis à sourire "Tu vas pas dormir dans la canapé, t'es dingue, moi oui." j'allais pas te proposer qu'on dorme ensemble, on sait tout les deux qu'on jouait avec le feu alors bon.. J'attrapais mes affaires en te suivant "Mais pas longtemps, j'vais vite trouver autre part, j'veux pas vous faire chier.."
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Elle était contente de voir son petit-fils. On peut dire que nos rapports se sont améliorés et elle accepte doucement le fait que je sois père » J’avais appréhendé la visite de ma mère et finalement, j’en ressortais plus que ravis. Au départ, elle n’avait pas accepté que je sois père, mais Devyn lui avait fait prendre conscience de certaines choses par sa présence. De plus, je m’en sortais plutôt bien à l’université et j’avais un bon métier. En voyant Maëlys dans cette situation, cela me rappelait le soir où j’avais quitté les rouges. Je m’étais retrouvé sans maison, mais Emrys et Lizie avaient été là pour moi. Prenant sa valise, je souriais en écoutant la jeune femme. Devenant plus sérieux, je tâchais de la rassurer. « Maë, tu sais que t’es la bienvenue. Tu peux rester à l’appart autant de temps que tu veux. Alors ne te stresse pas » Je ne voulais pas qu’elle se sente gênée. J’allais prévenir Emrys et Lizie et je savais d’avance qu’ils ne diraient pas non. Vraiment, ils n’étaient pas chiant. Puis, ils ne pouvaient qu’apprécier Maëlys. « Je suis garé juste en face. » Sans lui donner plus de crédit, je me dirigeais vers la route pour traverser. « Une chance que je sois passé par là ! »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Les relations avec la famille, à mes yeux, c'était plus qu'important « Elle était contente de voir son petit-fils. On peut dire que nos rapports se sont améliorés et elle accepte doucement le fait que je sois père » tu devais être content et ressourcé, et j'étais heureuse pour toi, ce petit bout de chou te donnait un réel sens à ta vie et tu étais resté le même.. D'ailleurs, il était où? "Il est chez toi..?" ou peut-être avec sa maman. « Maë, tu sais que t’es la bienvenue. Tu peux rester à l’appart autant de temps que tu veux. Alors ne te stresse pas » j'haussais les épaules "C'est gentil Wyatt, mais j'espère que ça rouvrira bientôt.." j'étais trop habituée à vivre avec les cabots, à me balader en sous-vêtements et à manger des conneries devant des films cuculapraline (a). « Je suis garé juste en face. Une chance que je sois passé par là ! » je te suivais, tirant ma grosse valise en arrivant à ta voiture, j'ouvrais le coffre pour la mettre à l'intérieur et puis je montais côté passager "T'es un peu mon ange gardien, toujours là au bon moment.." même si à nouvel an j'aurais aimé te voir, j'avais été mal, puis Forbes s'était déjà remis en couple, j'en prenais un coup, un coup pour ma fierté..
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
D’une certaine manière, j’espérais que les confréries ouvrent à nouveau. Depuis mon entrée à Harvard, je faisais partie des Winthrop. Les quittés n’avait pas été facile. « J’espère aussi. Sur ce coup-là, le doyen a été con » Cela n’allait qu’empirer les choses. Prenant l’initiative de mettre sa valise dans mon coffre, je m’installais derrière le volant. Maëlys disait me voir comme son ange gardien. Tournant mon visage vers elle, je ne pus cacher mon sourire. « C’est un job plutôt agréable » Il fallait toujours que je fasse le con. Même quand les situations étaient sérieuses. Insérant la clé, je démarrais la voiture. Le trafic avait l’air d’être assez fluide. Ce qui nous éviterait de passer plus de quinze minutes dans une voiture. « Bon, je te préviens, c’est le bordel. Alors, on range son côté de femme maniaque ! » Toutes les filles étaient à mon yeux maniaques. Sauf les cas particulier. Du moins, elles l’étaient toujours plus que moi. « Ce soir Devyn ne dors pas à la maison, mais je l’ai dans deux jours. Le lit est dans ma chambre. J’espère que ça ira pour toi » Vu qu’elle gardait des enfants, cela ne devrait pas lui faire peur. En parlant du lit, ce n’était pas un lit en bois et mignon, mais plus les lits pour bébé dépliable en bleu marine.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« J’espère aussi. Sur ce coup-là, le doyen a été con » oh ça oui, c'était pas en arrêtant les confréries que les agressions allaient cesser, mais bon, ce n'était que mon avis. Enfin bon, je me retrouvais rapidement dans ta voiture, je préférais cette option plutôt que d'aller à l'accueil aller demander une chambre, pour je ne sais combien de nuits.. Tu étais un ange « C’est un job plutôt agréable » t'étais toujours là pour moi, depuis tant de temps maintenant.. Je souriais à ta remarque "T'en a pas marre d'être gentil avec moi?" pas que j'voulais que tu sois méchant.. mais bon, c'était fou la patience que tu avais. « Bon, je te préviens, c’est le bordel. Alors, on range son côté de femme maniaque ! » je toussotais "Tu sais, je suis trèèèès bordélique. Donc j'men fiche. Demain, y aura des affaires à moi partout et tu vas me maudire!" je me retenais de rire, m'attachant, tu prenais la route et les paysages de villes la nuit défilaient. « Ce soir Devyn ne dors pas à la maison, mais je l’ai dans deux jours. Le lit est dans ma chambre. J’espère que ça ira pour toi » j'hochais la tête en te regardant, pendant que tu conduisais "Il est adorable.. En c'moment, j'ai pleins d'enfants autour de moi, Aliénor la petite que je garde, puis ma cousine Siloé est venue à Harvard et y a sa petite soeur, elle a 6 mois, c'est un ange. Donc Devyn ne me dérange pas, bien au contraire.." je laissais la radio de ta voiture se faire entendre.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Les affaires des nanas, je n’y avais pas pensé. A part ma sœur, je n’avais vécu avec aucune autre fille et Elizabeth ne compte pas vraiment puis-ce qu’elle range plutôt bien ses affaires. Sauf pour la salle de bain et le temps d’attente. Là, c’est une autre affaire. « Prend pas trop la confiance petite ! » D’une main, je lui ébouriffe les cheveux tout en restant concentré sur la route. Continuant de parler, elle me parlait des enfants qu’elle gardait. « Aliénor la fille d’Andrew ? Je ne savais pas. Pourtant, je suis son parrain » Jusqu’à maintenant, je n’avais pas été un parfait parrain, mais avec la naissance de Devyn, je voyais les choses différemment. Continuant de rouler, je ne tardais pas à arriver à Central Square où se trouvait mon appartement. « On est arrivé ! » Me garant dans le sous-sol de l’immeuble, je descendais de ma voiture pour prendre la valise de Maëlys dans le coffre. « T’as de la chance, je crois qu’il n’y a personne pour le moment » J’étais dans un appartement bien au-dessus de mes moyens, mais Emrys avait acheté l’appartement et il ne voulait pas me faire payer de loyer. Chose que j’avais eu du mal à accepter. Fermant à clé ma voiture, j’intimais la jeune femme de me suivre dans l’ascenseur. Le chemin jusqu’à l’appartement fut assez rapide. Une fois arrivé devant la porte, je l’ouvrais d’un coup de clé. « Et voilà ! »
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)