TOPIC DE GROUPE ✱ Manifestation

Et c'est partie pour les retrouvailles avec toutes les ex SESSION TWOOOO. Dixie excuse moi mais elles me collent au cul c'est pas vrai. [b]Princesse Athenais[/color] arrive telle une furie Tiens tu te mélanges au peuple maintenant ? première pic, tu ne développais que de la rancoeur envers celle qui t'avais jadis brisé le coeur. T'écoutes à peine ce qu'elle te dit, et tu finis par lui répondre Non mais tu t'ais écouté parler avec tes aires de diva ? Tu veux que je te rappelle combien de fois les Eliots on était pistonné ? C'est bien connu. Vous croyez que tous s'achète avec votre argent de merde. Tu vas faire quoi encore là ? filer une grosse liasse de billets pour rouvrir les maisons au doyen ? Avoue le. me chauffe pas Athé.

C'était raisonnable d'avoir peur, non, même si tu étais venu seul alors que William aurait bien pu t'épauler pendant ce moment. Tu serrais fortement ta béquille entre ton poing, tout en repérant de vue quelques Lowells, puis enfin Elizabeth qui te faisait signe. Vous finîtes donc tous autour d'elle, qui semblait vouloir vous motiver à la lutte... sauf que tu étais déjà bien assez remonté comme ça. Tu étais peut-être d'un tempérament calme et tempéré, la panique avait tendance à te faire dire et faire des conneries. Ce fut certainement pour cela que tu pris le haut-parleur de ta vice-présidence, agacé par tout ce que tu avais entendu, tout de même. Nous n'en serions pas là si tout le monde savait se comporter ! Dans l'histoire, seules les Lowells et les Eliotts n'ont rien fait, sachant que nous-mêmes avions été victimes des agressions. Dites-vous que nous sommes sûrement les plus dans la merde dans cette histoire, vu que nous sommes totalement victimes, jusqu'au bout. Tu réalisas, cela dit un peu tardivement, que cela n'allait peut-être aidé, mais cela t'avait fait du bien. Mais bon sang, tu arrivais parfois à te choquer toi-même.

Genre elle me donnait des ordres l’autre blondasse, j’explosais de rire. Puis niveau gamineries, elle était meilleure que moi, alors ça m’faisait vraiment me tordre en deux d’entendre ça. Mais vas-y toi ferme ta gueule, tu sers à rien si ce n’est raconter de la merde, j’me demande comment tu arrives à rester à harvard, tu dois te payer les faveurs du doyen parce que t’es trop conne pour avoir des bons résultats dis-je en me retournant vers Adam. Ah, le chevalier est là, super… tu veux que je t’achète le costume peut-être ? T’as l’intention de courir à la rescousse de ta belle à chaque fois ? dis-je avec mépris à l’égard du jeune homme, relou quoi celui-ci. Et il m’accusait de tricher, bon normal, il croyait ça à cause de moi mais j’allais pas me laisser faire. Intérieurement, j’étais vraiment heureuse. Puis un autre mec (Nemo) venait s’en mêler, great. Genre on est des tricheurs, vas-y, on fait un test de culture générale maintenant, j’vais tous vous battre pauvres débiles ! C’est moche d’accuser les autres pour cacher votre misère. Alors le dopage et la tricherie ça va chez les Winthrops ? demandai-je, soutenant les paroles d’Athénaïs, pour une fois qu’elle était utile celle-ci.

Un test de culture général elle (Caly) te disait ? Ouais, c'est ça. T'allais même pas essayer de te mesurer à elle, elle trouverait encore une nouvelle fois le moyen de tricher, de mettre des antisèches de partout – et merde, tu savais pas comment ils faisaient pour pas que ça se voit, mais une chose était sûr, c'est que tu rirais bien quand il rateront tous leurs examens. « Bizarrement, y a aucun problème chez les Eliots. On triche pas, on ne se drogue pas, on sait se tenir en société contrairement à ces Lowells, et on devrait pas à subir vos conneries. » Putain, les bons devaient toujours payer pour les mauvais.

Ça n'aurait pas été si détestable comme manifestation si y'avait pas eu cette connasse de Calypso. Putain, comment il avait fait Adam pour être avec elle? Avait-il sorti avec elle, ou bien juste été ami? T'en savais plus rien et tu voulais pas plus le savoir. Adam, d'ailleurs, venait à ta rescousse, bien qu'avec cette garce, tu saches te défendre. Ça n'avait jamais été rose entre vous deux. Y'avait d'autres gens qui s'ramenaient à votre petite groupe, qui devenait un gros groupe où tout le monde se lançait visiblement des piques. Adam et cette fille (Athénaïs), une ex si t'avais bien compris la dernière fois. Il s'énervait contre elle, et... Tu l'attrapas par le bras. "Eh, doucement. Elles en valent pas la peine, celles-là." Et t'incluait la Dunster aussi dans le lot, bien que toi, tu ne cesserais pas de l'attaquer, si elle continuait. Et même si elle continuait pas, tu lui cherchais la merde avec plaisir.. Mais vas-y toi ferme ta gueule, tu sers à rien si ce n’est raconter de la merde, j’me demande comment tu arrives à rester à harvard, tu dois te payer les faveurs du doyen parce que t’es trop conne pour avoir des bons résultats Tu t'mets à rire, d'un sarcasme étrangement puissant, pour toi. Tu t'approches d'elle, et tu lui envoies ton poing en plein visage. Au Summer Camp, c'n'était qu'une gifle. Mais là, ton poing il te démangeait et ne demandait qu'à ça ; ô, c'qu'elle disait n'en valait pas la peine, mais t'avais si envie d'le faire, depuis Thanksgiving, que c'était une bonne décision et un bon moment pour le faire, là tout de suite. C'est tout ce que tu avais à dire.

Plus les gens arrivaient plus je reconnaissais certains lowells et leur présence me rassurait, non pas que je les connaissais, la plupart n'étaient que des visages que j'avais entrevu à la maison ou dans les couloirs mais j'aimais savoir que je n'étais pas la seule à venir représenter nos couleurs. Seule au milieu de la foule je commençais déjà à entendre des disputes et des insultes autour de moi et pendant un instant je regrettais d'être venu. Je n'était pas du genre à chercher les embrouilles mais si quelqu'un voulait me chercher c'était sur qu'on allait me trouver. Elizabeth, ma bizutrice me fit signe de la rejoindre et je me retrouvais dans un petit groupe de lowell, je me demandais ce qu'elle pouvait bien ressentir. Vice-présidente un jour et maintenant plus rien. Un garçon (Devyn) que je ne connaissais pas vraiment lui pris soudainement le haut parleur des mains et j'eu un mouvement de recul, ne m'attendant pas à ce qu'il se mette à protester. Toujours se méfier des plus silencieux. je me retournais vers les autres lowell. "J'arrive pas à croire qu'ils nous font ça, je viens d'arriver mais vous vous êtes là depuis longtemps et j'imagine que vous vous y êtes vraiment attachés. C'est chiant et injuste, merde!"

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On avait reçu une mot du doyen. Chaque confrérie apparemment. J'en avais parlé avec ma soeur et en effet, c'était bien le cas. En cette occasion, les étudiants ainsi que les professeurs avaient organisés une manifestation. Je lui avais dit de ne pas venir. Je savais que ça allait dégénérer. Des Eliot et des Mather dans le même lieu déjà. Je ne voulais pas qu'elle ait un problème avec mes petits neveux ou mes petites nièces. Mais une autre qui ne devait pas être là voulait absolument participer à la manifestation. Bon, j'avais finalement accepté de l'y accompagner. Je poussais Swan, ou plutôt, son fauteuil roulant. On se mélangeait à la foule sans lâcher la Mather des yeux. Je m'inquiétais quand même beaucoup pour elle. « Je m'en faire certains... ». Je disais ça à Swan, en parlant de la Dunster (Calypso) qui l'ouvrait beaucoup trop concernant les Mather. De quoi elle se mêlait ? Non mais sérieusement. Selon le communiqué du Doyen, nous étions bien les seuls à ne pas être mentionnés dedans. J'hallucinais. Je rêvais éveillée. « On va s'en faire quelques une je pense ! ». J'en étais même certaine et j'étais heureuse que mon homme soit blessé pour le coup et ne puisse pas venir à cet événement qui allait très certainement se transformer un bagarre générale et qui n'allait mener à rien finalement.

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Ah, ma petite Dixie se réveillait enfin, j’me demandais si elle était malade à ne pas réagir. Bon, certes, un poing dans la tête ça ne faisait jamais de bien, mais j’étais robuste et il en fallait un peu plus pour me mettre à terre. Néanmoins, je grognais. Allais-je rendre le coup ? Répondre par la négative à cette question, c’était mal me connaître, mais j’voulais pas le faire immédiatement. Et de la violence en plus de tout ça ? BRAVO LES MATHERS ! criai-je afin que tout l’monde puisse entendre. Après on s’étonne que le doyen décide de fermer les confréries si certains sont violents ! Mais vas-y, tu peux continuer Dixie, montre le vrai visage de ta maison, histoire que tout l’monde comprenne que c’est VOTRE faute ! On est là pour arranger les choses, pas les empirer, tu comprends rien toi vraiment. dis-je toute fière à l’intérieur. J’avais gagné, elle avait tapé, je pouvais l’accuser. Vraiment elle avait aucun sang-froid la pauvre petite, deux petites paroles et j’arrivais à la manipuler comme du beurre. Pathétique.

Oui je suis en fauteuil roulant et oui je suis à une manif alors que je suis limite squelettique et branchée de partout à l'hôpital. Mais là l'heure était grave. J'avais fait un bordel pas possible pour qu'ils me laissent une permission de deux ou trois heures pour que Jade me conduise à la manifestation contre la fermeture des confréries. Jamais au grand jamais je voudrai voir ma maison devenir rien du tout, c'était du foutage de gueule et même en fauteuil roulant avec une poche de protéine pour m'alimenter sur mes genoux branchée à mon bras j'me battrais jusqu'au boût. Jade poussait donc mon fauteuil vers le groupe d'élèves qui s'étaient rassemblés au point de RDV et il y a avait déjà pas mal de bordel. J'ai reconnu Caly, la grande amie de Lizzie qui s'en prenaient à Dixie et Adam, waaw elle est cinglée celle là. J'ai voulu me lever oubliant que je ne pouvais pas pour pouvoir me mettre entre elle et eux mais impossible je resterai assise pendant tout le long. Ouais, steuplait va fermer la gueule de ceux qui disent de la merde, surtout la grande blonde là, sinon je l'écrase.