TOPIC DE GROUPE ✱ Manifestation

Topic de Groupe

     

✱ QUOI : Manifestation
✱ OÙ : Le Yard, devant les bâtiments administratifs de l'université.
✱ QUAND IG : 06 Janvier 2015.
✱ QUAND IRL : 05 Janvier 2015 jusqu'à inactivité.
✱ QUI : Les étudiants + professeurs.

✱ Merci de faire entre 5 et 10 lignes dans les topics de groupes. (dans les RPs privés vous pouvez faire autant que vous le voulez.)

À vos RPs dans les topics de groupes, merci d'ajouter ceci lorsque vous venez tout juste d'entrer dans un sujet:
IN

Code:

[size=18][color=#6a9e3f][b]IN[/b][/color][/size]

et ceci lorsque vous en sortez:
OUT

Code:

[size=18][color=crimson][b]OUT[/b][/color][/size]

Comme ça, moins de chance de parler dans le vide ou oublier quelqu'un
Merci !

Description

La nouvelle est tombée hier soir : le Conseil d'Administration d'Harvard, suite aux évènements récents, souhaite fermer toutes les maisons d'Harvard. Bien entendu, cette nouvelle fait mouche et les étudiants faisaient partie d'une maison ne sont pas d'accords avec cette décisions et ils ont décidé de se mobiliser pour manifester contre cette décision injuste : c'est vrai, ils sont les victimes, pas les coupables alors pourquoi les punir alors qu'ils se font agresser ? Sortez donc vos pancartes et vos meilleurs slogans pour faire comprendre que vous n'êtes pas d'accord ! ... ou venez soutenir la décision du Doyen si, au contraire, vous êtes d'accord avec cette décision !

     

IN

A peine rentré du ski et on nous annonçais ça. Les maisons seront fermé à partir du 15 nan mais n'importe quoi, tout ça à cause des agressions. On allait se retrouver tout seul, alors que dans les maisons on étais tous plus ou moins solidaire, on avait toujours quelqu’un vers qui se tourner, même si on ne le connaissais pas s'était pas bien grave, s'était juste notre famille. J'comprenais pas la décision s'était juste du grand n'importe quoi. J'étais une des première sur les lieux et j'étais bien motivé à montré ma voix, autant dire que cette journée allé être mouvementé, et peut être même que j'irai plus loin si d'autre suivais, pourquoi pas faire une grève. J'étais contre la fermeture des maisons et j'étais bien décidé.

IN

En temps ordinaire, tu t'en serais moqué, royalement. Ce n'était qu'une manifestation après tout. Mais là, le sujet te concernait, comme une grande partie des étudiants de l'université. Les maisons allaient fermés. T'entendais par là les confréries du campus. En tant qu'ancienne présidente des Omégas dans l'Ohio, tu savais ce qu'une confrérie représentait.. et puis aussi, c'était ton logement, ton petit chez toi, même si en coloc t'avais pas eu la meilleure. Tu t'étais pointée sur le Yard, les mains dans les poches. Pas de pancartes, rien. Tu trouveras bien quelqu'un à qui en chiper une.

IN

Il avait beau ne pas connaître nécessairement tous ceux qui revendiquaient leurs droits à ses côtés, Keran n'en restait pas moins motivé, et dégoûté. Depuis quand pouvait-on priver des victimes d'une chose qui leur tenait à cœur, hm ? Un rictus de dépit étira ses lèvres alors que ses épaules se voûtèrent sous le poids de l'accablement. Certes il se refusait à parler, mais la voix n'était pas le seul moyen qu'il possédait pour montrer son mécontentement. Parce que le garçon, sans surprise, avait bien évidemment retiré son haut pour exposer son mécontentement écrit au marqueur sur son torse imberbe. Non mais, il serait quoi sans les Lowell, on en parle ?

IN

Ivy & Co

Manifestation

Me voilà à peine rentré du ski que j'apprends que toutes les maisons sans exception seront fermées. Cette décision est absurde ! Ok, on doit faire attention mais pourquoi fermer les maisons au lieu de placer plus de surveillance ? Comme des vigiles en plus, des caméras ou je ne sais quoi d'autre mais pas fermer nos maisons ! J'étais décidée à me faire entendre et pas qu'un peu ! Une pancarte à la main, je me dirige vers le lieu de rendez-vous afin de manifester comme il se doit pour montrer mon mécontentement suite à cette décision. Nous n'étions que quelques-uns pour le moment mais, je n'ai aucun doute sur le fait que d'ici quelques minutes toutes maisons non concernées réunies nous ne formerons qu'une seule et même voix pour nous faire entendre.

mocking jay.

IN

Bon, la Mather, tu n'y vivais plus depuis Avril. La Mather, elle ne te correspondait plus entièrement ; plus de drogue, bien que tu y aies touché quelques fois depuis le voyage au Canada. Depuis que tu savais que tu attendais un enfant... Pas touche. Hors de question de mettre en péril cette grossesse prévue, provoquée et attendue par nul autre que toi... Bref, là n'est pas le sujet. Tu appartenais tout de même encore à la Mather malgré ces aspects différents qui t'en séparait, et cette nouvelle de la veille comme quoi les confréries fermeraient le 15 janvier avait été tout un choc. C'est donc sans gêne et prête, sans savoir trop à quoi t'attendre, que tu t'présentas sur les lieux de la manifestation. En arrivant, tu reconnus Olive qui était là pour la même chose, évidemment. Sinon quoi? Tu lui souris en arrivant avec un carton - t'en avais un, toi. "Alors... prête à manifester?" Ça faisait un bail que tu n'l'avais pas vue, elle.

IN

Tu avais vraiment pensé que tout irait mieux, vu que tu avais été au fond du trou avant les vacances : c'était cependant sans compter ces fichues agressions qui venaient mettre le bazar dans la vie bien organisée d'Harvard. Fermer les maisons ? Fermer la Lowell et nous mettre à la rue ? C'était une honte ! Bien sûr qu'ils allaient aider au relogement, mais rien n'était gagné dans cette histoire. Tu étais avec William, et rien ne garantissait que tu puisses prendre un logement étudiant avec lui pour le coup, et c'était surtout cela qui te flanquait une peur bleue. Tu avais peur pour la confrérie aussi, celle qui t'avait permis de t'épanouir, tu ne voulais pas qu'elle disparaisse à cause d'abrutis qui pensaient pouvoir tout détruire de l'intérieur. Ils avaient joué... Ils devaient bien s'en réjouir maintenant. Et toi, tu étais là, au milieu de tous ces gens rassemblés dans le même but : faire flancher l'administration.

Quelques personnes étaient déjà sur place, et les gens continuaient d'affluer. Dixie te reconnus et vint à tes côtés. Putain, ça faisait un bail que tu ne l'avais pas vu, t'étais même étonnée qu'elle te reconnaisse. Alors... prête à manifester? Tu sors les mains des poches de ton baggy et les lève pour montrer toute absence de pancartes, affiches et autres bidouille de manifestation. J'suis surtout là pour renflouer l'effet de masse, mais ouais. Comme si un petit bout de femme comme toi pouvait changer la donne. Mais t'étais peut-être cette personne présente qui faisait que vous seriez 1000 et non pas 999. Eh ouais ! Et puis ta casser la voix à hurler des slogans et tout le machin, non merci.

J'suis surtout là pour renflouer l'effet de masse, mais ouais. Beh.. Une personne de plus, et une autre en plus, et puis une autre, ça fait des centaines, qui s'ajoutent à d'autres centaines et forment des milliers de personnes. Si vous vous rassembliez tous et toutes ensembles, peut-être cela aurait-il un effet positif pour vous, les gens des confréries? Au moins, il faut essayer pour savoir c'que ça va donner. Évidemment, qu'il faut essayer. Qui ne tente rien n'a rien, comme on dit. "Tu veux ma pancarte?", lui proposes-tu. T'étais plus du genre à crier et à soutenir plutôt qu'à trainer une affiche partout...

IN
C'est comme si les problèmes, le malheur et le crime me suivaient partout où j'allais. Tout ce que j'avais voulu en venant ici, c'était de tout recommencer, d'avoir une nouvelle vie loin de mon passé et maintenant il fallait que des agressions prennent lieu pile au moment où je venais étudier ici? Je n'aimais pas les foules et les personnes qui crient sans cesse mais j'avais tout de même décider de participer à la manifestation. Après tout si les maisons fermaient je me retrouvais à la rue, sans logement. Il était impossible que je paye juste la moitié d'un appartement en ville et je venais seulement de rejoindre les Lowell, je n'avais pas déjà envie de les quitter. Je savais que cette maison représentait bien plus pour les autres membres et j'étais décidée à les aider aussi. Les mains dans les poches, je me frayais un chemin entre les personnes déjà bien remontés en espérant que tout allait bien se passer, si on pouvait dire ça comme ça.