Conversation vidéo Coka

(TG TG TG TG !) Si si, Cody c'était un objet, Cody c'était mon objet à moi toute seule, je joue avec Cody quand bon me semble. Nah plus sérieusement, ce n'était pas un objet, mais il m'appartenait tout de même point barre !. « Peu importe c'que t'es, tu m'appartiens, un point c'est tout. » Et j'aimais bien me la jouer autoritaire par moment, même si ça ne marchait que très rarement avec lui. Ouuuuuhhh, apparemment, je venais d'énerver le petit homme qui s'empressa de hausser la voix. Le truc, c'est que j'aimais bien le voir énervé, il était tout autant sexy. « JE T'AIME AUSSI CODY ! » Ouaichh, Dia ou comment le provoquer encore plus. « C'est juste pas un sujet de conversation nondidiou ! Arrête d'parler de ton caca. Berk. » Et je ne voulais pas non plus savoir que son caca avait l'odeur d'un caniveau ou peu importe, sujet clos. « Tu m'as vu en machine distributrice de sexe ou quoi ? Quand je ne bosserais pas surement, rho et puis arrête de penser QUE sexe toi ! Spèce de pervers accro au sexe. T'aurais dû tourner du porno !. » Fis-je en lui tirant la langue avant de reprendre « Je ne laisse jamais ce genre de choses dans la salle de bain, il y a un tiroir juste pour eux dans ma coiffeuse et au fait, que je ne te suprenne pas à tourner autour de mes culottes ein !. » Sait-on jamais ce que monsieur pervers est capable de faire.

Pour Cody, c’était un hooooonneur d’appartenir à Diamantika, du moins parce qu’il savait que cette appartenance était réciproque, puisque l’un comme l’autre était très possessif. « Je trouve quand même que tu t’occupes assez mal de tes affaires. » Ouais, Cody s’auto-qualifiait d’affaire now, la vie est belle, les oiseaux chantent, son Skype fait pouet pouet. Quand elle gueula qu’elle l’aimait, il mit ses mains sur l’objectif de sa webcam pour qu’elle ne voit plus qu’un écran noir, style ’je ne te vois paaaas, je ne t’entends pas lalalilalaaaaaaa’. « Pardoooooon, tu disais ? » demanda-t-il, l’air narquois, avant de reprendre sérieusement quand son caca fut évoqué. Ou pas. Bon, changeons de sujet. « Alors, ce que tu es en train de dire, c’est que j’ai rien à gagner d’un point de vue bunga-bunga en venant vivre avec toi ? Et c’est comme ça que tu espères me convaincre ? » Le youpilouboumboum ne fait pas tout dans un couple, mais beaucoup quand mêmeuuuuuh. C’est l’essence. Cody est la pompe et Dia le réservoir (comparaison glamour I know). « Tes culottes ne m’intéressent pas, figure-toi. » fit-il avec une grimace. Berk. Elle le prenait pour un psychopathe ou quoi.

Voilà que monsieur se comparait à des affaires maintenant. Mais, je ne suis pas d'accord avec ses propos et d'ailleurs, j'en grimaçais. « Je n'ai jamais pris soin autant de mes affaires auparavant, alors que depuis que je t'ai, c'est différent. Tu l'vois pas c'est tout, t'es aveugle !. » Et j'insiste pour que monsieur prenne vraiment rendez-vous chez afflelou, qu'est-ce qu'il attendait déjà ?. Anyway, alors que je le provoquais, Bleeker posa ses mains sur la webcam dans le but de me cacher la vue afin de faire semblant de n'avoir rien... entendu ?. « Chéri, si tu veux faire semblant de n'avoir rien entendu, ce sont tes oreilles qu'il fallait boucher et non la webcam ! » Sayez, il confondait l'ouïe, à la vue maintenant. « J'disais qu'on fera l'amour quand tu voudras spèce de sexaddict !. Ça va, t'es content là ?. » Je roulais des yeux, le provoquant again and again, même que je me redresse à genoux et je baisse mon mini short d'un seul côté où il y avait le tatouage dans le seul but de lui montrer un petit morceau de ma culotte hyper sexy noir avec un noeud papillon rose. « T'es certain que mes culottes t'intéressent pas ? Elle est belle celle-là non ?. » Mon visage ornait un malicieux sourire tandis que je remontais mon short.

« L’aveugle t’emmerde. » Wesh, Cody était en mode hyper sympathique aujourd’hui, comme vous pouvez le constater. Anyway, elle se moqua de lui parce qu’il cacha la webcam au lieu de se – logiquement – boucher les oreilles mais c’est surtout elle qui n’a AUCUNE imagination, tsssk, fallait tout lui expliquer. « Oui, mais je savais qu’en te privant de mon joli visage, tu le vivrais comme une punition, voilà tout. » répondit-il uniquement pour le plaisir de la contredire. « Ouais j’suis content. Attends, je rédige le contrat et tu viendras le signer demain. » Il tenait à ce qu’elle respecte ses engagements. Alors, il tendit le bras vers la petite table posée près du canapé et attraper le paquet de post-it jaune et un stylo, sur lequel il écrivit tout en parlant ; « Je … Soussignée … Diamantika Kovalevski … Déclare … Que … » Au même moment, après qu’il ait dit qu’il s’en foutait de ses culottes, Diamantika décida de se redresser pour lui montrer un bout de son sous-vêtement. Il leva le nez vers elle, le capuchon du stylo au coin de la bouche, et marmonna en haussant vivement les épaules ; « Ouais c’est bien. » Puis il reprit ; « Mon … Mari … Pourra … Me faire l’amour chaque soir jusqu’à ce que la mort nous sépare, si nous sommes amenés à vivre ensemble. Et tu signeras là. » termina-t-il en montrant le post-it devant l’objectif. Imperturbable le Bleeker.

Il était sympathique mon homme ce soir vous ne trouvez pas ?. Est-ce parce qu'il n'a pas eu son câlin du soir ?. Il ne pouvait s'en prendre qu'à lui parce que monsieur mettait des siècles entiers à se décider pour venir vivre avec moi. « T'as avalé quoi ce soir ? Avec tes "je t'emmerde" à tout bout d'chant. » Et Cody n'aimait pas que moi, Diamantika puisse avoir le dernier mot, non, fallait toujours qu'il me contredise juste pour avoir le dernier mot. « Et qu'aies-je fait pour mériter cette punition ?. » Sérieusement, c'est un démon ce mec, aucune pitié pour la femme que je suis. Pleureeeeeeeeeeeeeeee. Mon homme rédigea un contrat pendant que moi, je lui montrais ma petite culotte toute mignonne. Mais en fait, il m'envoya clairement chier en haussant les épaules et en restant tout à fait indifférent à mon sous-vêtement. Cruelle vie. Puis, il me montra enfin son post-it où était écrit qu'il me fera l'amour tous les soirs jusqu'à ce que la mort nous sépare. « Demain j'ai une très longue journée de cours et le soir j'dois faire du babysitting, après demain je suis invitée à passer toute la journée et la nuit chez une amie, en fait, j'ai une semaine très surchargée, la signature attendra j'ai bien peur. » Dia ou comment fuir le post-it, mais bon, je plaisantais évidemment. « Chaque soir ? Non mais t'veux que j'arrive comment en cours tous les jours ein ?. » Seriously, faut qu'il revoit le contrat là, ça ne va pas oh !. Je ne pourrais pas lui faire l'amour tous les soirs, tcheuuuu, je dois bosser aussi.

« J’ai avalé un boooon gros bol d’amour. » répondit-il avec un graaand sourire Colgate mais légèrement hypocrite. « J’aime pas quand tu dis que tu m’aimes en public. C’est tout. » Et elle le savait. Oui en public, parfaitement, les mouches écoutent leur conversation, je le précise. Diamantika chercha des excuses pour ne pas signer ce post-it et Cody ne lui en tint pas rigueur, déclarant à son tour ; « Et je ne viendrais pas vivre chez toi tant que tu ne l’auras pas signé. C’est bêêêêête, vraiment très bête dis-moi. » T’façon, quand Dia n’était pas dans les parages, il n’avait pas la zigounette qui frétillait et le cerveau qui s’embuait. C’est juste quand il était à côté d’elle qu’il avait un besoin incessant de lui arracher ses fringues et de lui faire l’amour comme une bête. Elle dégageait un truc. Comme le bouc dégage une odeur pestilentielle pour attirer les chèvres. ET CA MARCHE. Plus tu pues, plus tu pécho chez les chèvres, un truc de ouf. Bref, madame gémit encore, elle se plaignait de ne pas pouvoir étudier à cause de ses exigences. Il roula des yeux et s’indigna ; « Oh ça va, j’peux faire ça rapidement si tu veux, en cinq minutes c’est plié ! c’est pas comme si ça allait te bloquer toute ta soirée. » C’est vrai, il peut se montrer très arrangeant avec elle.

Lui ? Avaler un gros bol d'amour ?. Euh, j'crois pas non. « T'as une façon différente de voir l'amour toi !. » Cody aimait en insultant, Cody aimait en grognant, Cody aimait en boudant, Cody aimait en vannant. Amour vache oui. « T'as qu'à t'boucher les oreilles et fermer les yeux pour n'pas entendre ni voir en public lorsque je le dis ! Homme des cavernes. » Oui je le savais, mais il y a juste que je ne pouvais pas le cacher à certaine personne, puis voilà, je n'avais même pas besoin de faire quoi que ce soit, CS s'en chargeait de tout de toute façon. « Abus de pouvoir ! Toi et tes chantages, pfff. Sale tricheur !. » Godddddd qu'est-ce qu'il m'énerve à avoir tout le temps le dernier mot. Je veux que cela change un jour pitié. Bon, passons à la vitesse supérieur. Je pose mon cul contre le lit et je déboutonne mon short pour le glisser le long de mes jambes et ensuite, je retire mon décolleté attrapant mon chemisier blanc manches longues que j'enfilais. Pour terminer, je dégrafe mon soutif, l'enlève et le balance un peu plus loin en prenant soin de déboutonner trois boutons de mon chemisier parce que c'est comme ça que je dormais. Je me rallonge donc à plat ventre en écoutant mon cher mari. « Ouai, mais non, en cinq minutes tu me videras de mes forces et j'serais plus en mesure d'bosser. J'aurais trop la flemme. » Sériously, qui aurait envie de bosser après avoir fait l'amour ?.

Cody avait une étrange façon de voir l’amour, c’est vrai, mais Diamantika mentirait si elle disait que ça ne faisait pas un tant soit peu parti de son charme légendaire – ou pas du tout légendaire d’ailleurs heing. Du coup, le jeune homme pouffa de rire avant de prendre un ton charmeur à la Antonio Banderas version Chat Potté ; « C’est pour ça que tu m’aimes, bébé. » Et s’en suivit un tango des sourcils comme ça Ouais, Cody était peut-être gros (hein CS) mais très souple de son arcade sourcilière. « Oh, arrête de te plaindre ! Femme d’homme des cavernes ! » Ce qui faisait d’elle une femme des cavernes. CQFD. « C’est pas du chantage, je négocie mon déménagement, nuance. » Quand on prend un appart, on signe un bail, non ? Bien. Cody signait un contrat s’assurant de la régularité des devoirs conjugaux de sa petite amie / femme / plan-cul / Striptea…SEUSE. Elle se changeait devant lui, NARMOL. Pour pas s’émoustiller comme un puceau devant son écran, il tourna la tête et regarda le match avant de fixer de nouveau son écran quand elle fut réinstallée. Sympa la vue plongeante sur son absence de seins. « Ouais, c’est vrai que toi tu t’endors direct après l’amour. » Codybleeker, nouvelle marque de somnifère ! Vous pouvez le tester quand vous voulez, puisque Dia se faisait désirer pour signer son post-it.

Mamamia comment c'était trop bizarre de l'entendre dire "bébé". J'en grimaçais de stupeur même. Non mais faut dire que monsieur m'avait tellement habitué à autre chose que là, même s'il me provoquait, ça faisait toujours zarbieeee. « Malheureusement oui. » Et je roulais des yeux afin d'appuyer mes dires, mais je le provoquais et il le savait parce que c'était notre jeu favoris ça. « J'me plains pas, c'est toi qui te plaignais y'a deux secondes là ! Détournement de situation. Puis non, moi Dia fille de la ville ! Toi Cody, homme des cavernes !. Toi homme des cavernes, moi femme de la ville okey ?. » Alalalalalala, heureusement que je ne faisais pas ça devant quelqu'un, car on m'aurait prise pour une folle. Le lowell affirmait qu'il ne faisait pas de chantage. Pas du tout du chantageeeeeeee ? Gad !. « Si c'est du chantage !. D'ailleurs, puisque tu négocies, négocions. 4 fois par semaine ça t'va ?. » Ouaich comme ça, j'avais trois jours pour bosser tranquillement. Et nondidiou là, j'allais finir par me téléporter chez lui et l'assommer avec une massue s'il continuait à mater la télé rien que pour ne pas s'émoustiller devant son écran. Bon aller, faut pas non plus qu'il bande en plein milieu de salon. « Tout à fait, faut que je reprenne des forces, alors quoi de mieux que dormir pour ça ein ? Et arrête d'looker mes seins à travers mon chemisier. » Ouai, je m'attendais maintenant à un truc du genre "on ne voit rien avec ton absence de seins". N'importe quoi, j'avais la taille qu'il fallait et là, ça formait un espèce de cœur parce qu'ils s'écrasaient -et se serraient- contre le lit.

Malheureusement tsssssssk. Nawak.  Cody ne répondit pas et, par souci d’imitation, roula à son tour des yeux style ’tu m’exaspères à t’exaspérer parce que je t’exaspère’. ça vaaa, vous suivez jusqu’à maintenant ? « Et bien ça règle notre souci ! Tu vis dans ta ville et moi je reste dans ma caverne. Comme ça, tout le monde est content ! » ET VOILAAAAA, ils n’emménageaient donc pas ensemble, c’est plié, c’est réglé, ohé ohé matelots ! À son tour, Diamantika négocia. « OK, va pour quatre. Dans ce cas, les trois autres nuits, je les passerais chez ma mère. » Comme ça, deux des trois femmes de sa vie se partageront la garde de Cody. Superrrrr. Bon, madame B. risquait de râler et ça risquait de monter à quatre nuits par semaine, puis cinq, puis six, puis plus du tout de garde partagée. « Ben … Tu pourrais nous faire un café pour qu’on se requinque un peu et puis on referait l’amour ? C’est bien comme plan aussi, non ? » Super plan Cody ! Merci moi ! « Euh … Arrête de faire ta prude. Tu t’es changée juste parce que t’avais envie que je te mate. » soupira-t-il avant de fixer sa télévision. Mouahahaha, ça allait marqueeeerrr, son équipe gagnait tout à coup !