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Grace & Tim ♥ youandme.

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Tu savais que tu allais finir par la perdre si tu ne faisais pas quelque chose pour l'arrêter. Tu savais qu'elle était devenu ce genre de toxico, complètement accroc. Rien que cette image te répugnait, tu ne voulais pas la voir pendant une heure de manque. Tu ne voulais pas la voir avec les yeux rouges, trembler, tu ne voulais pas la voir comme quand tu l'étais. Tu faisais toujours passer les bonnes personnes avant toi. Tu faisais donc passer blondie avant toi, tu pensais plus à sa santé qu'a la tienne et c'était déjà une belle preuve d'amour non ? Tu ne voulais pas en parler, tu ne voulais pas l'avouer, mais tu étais bien trop proche de St-james pour dire que ce n'est qu'une amie. Tu le sais et tu ne veux pas l'avouer, tu ne veux pas souffrir, tu ne veux pas passer pour un faible, tu ne veux pas péter cette belle amitié. Pourtant, tu étais sur le point de le faire, tu n'avais rien trouvé de mieux que le chantage. Si elle voulait te garder, elle devait tout arrêter. Un faux pas et tu partais, tu franchissais la porte et elle n'allait plus te revoir. Les menaces, tu les tenais jusqu'au bout. Tu serais capable de déménager et la laisser seule dans votre appartement. Tu perdais totalement le contrôle, ta tête allait exploser. Car au final tu ne pouvais pas la laisser seule, mais d'un côté si tu pouvais la faire changer, tu ferais tout pour le faire. Et la seule solution en ce moment était le chantage. Seul le chantage allait la faire bouger, tu soupirais, la tête basse, tu empoignais la poignée de la porte. Mais, celle-ci avait été rapide, elle te retenait, elle te tenait le bras, elle ne voulait pas te lâcher. Tu posais ton regard sur elle, elle te le promettait, mais allait-elle vraiment le faire ? Elle allait dans la chambre, prenait chaque seringue qu'elle cassait. Le tout dans la poubelle, elle te promettait, qu'elle n'avait plus rien. Tu savais que ce n'était pas simple et qu'elle avait déjà fait un gros effort, mais tu avais peur qu'elle replonge. Tu avais peur qu'elle retourne en chercher auprès d'une autre personne. Tu la regardais, tu attrapais sa main et tu la tirais près de toi. Tu la prenais dans tes bras comme pour la remercier et la féliciter. « Rien ne sera simple, tu le sais ? » laissais-tu glisser entre tes dents. Tu savais qu'elle allait se sentir différente, qu'elle allait avoir l'impression d'en crever. Tu soupirais doucement, posant ta tête sur la sienne.
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Wow putain Grace, tu ne pouvais pas, tu n’avais pas le droit de le laisser partir, tu risquais d’en crever sinon. Tu n’avais donc pas perdue de temps pour enfiler une serviette autour de toi et de te jeter sur la porte afin de l’empêcher de sortir. Tu le bloquais, tu le retenais et tu étais prête à l’enfermer dans un placard pour le retenir auprès de toi. Tu lui promettais d’arrêter cette merde pour lui tu lui promettais d’être clean jusqu’à la fin de tes jours. Tu avais pris cette décision sur un coup de tête mais si c’était la seule chose à faire pour qu’il ne t’abandonne pas tu le ferais. Tu étais donc partie jeter toutes tes seringues dans la poubelle après les avoir cassé pour ne pas être tenté. Tu étais restais là, jurant à Timoteï que tu n’avais plus rien et il te prenait contre lui. Tu passais tes mains autour de sa taille pour le serrer. Tu ne pouvais pas dire qu’il n’était qu’un simple ami, tu n’aurais peut-être pas pris la même décision pour Eugène ou pour Matthéo. C’était vraiment étrange mais jamais tu n’avouerais quoique ce soit. Tu étais bien trop merdique en amour pour risquais de le perdre. Tu te serrais donc à lui qui te disait que cela n’allait pas être facile de se sevrer. Tu souriais doucement, levant les yeux vers son visage. « C’est la deuxième fois que je tente le sevrage. Il y a à peu près un an de ça j’ai tout arrêté, car eu une tumeur au cerveau à cause de la drogue mais depuis qu’Emrys est partie j’ai pété un plomb et j’ai repris. Mais je te jure, j’arrête tout, de toute manière cela ne fait que deux ou trois mois que j’ai tout repris donc ça ne devrait pas être si compliqué. » Tu caressais doucement sa joue. « Je veux juste pas te perdre, le reste tu me laisses gérer ok ? » Passant un doigt sur ses lèvres, tu lui souriais doucement avant de laisser retomber ta main sur la taille de Timoteï.
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Tu soupirais, oui car t'en avais complètement marre de toutes ses histoires. Tu avais envie de retrouver cette Grace que tu connaissais quand l'autre était encore là. Oui, tu ne lui donnais même pas de prénom ou de surnom, tu le détestais. Car au final tu connaissais parfaitement l'histoire qu'elle avait eue avec cet homme. Tu ne l'appréciais pas, tu n'avais pas envie de le voir tourner autour de cette jeune femme. Elle n'était pas totalement la tienne, mais cela n'allait pas tarder, du moins elle vivait au même endroit que toi, tu partageais ton lit, ta baignoire, ta nourriture et bien d'autre chose. Tu baissais les yeux, tu voulais éviter son regard, tu voulais éviter chaque sentiment que tu avais. Elle entourait ses bras autour de ta taille, et posait sa tête contre ton torse. Elle était là, écoutant les battements de ton cœur. Comme si ton cœur battait pour elle, à chaque fois qu'elle s'approchait de toi, ton cœur s'emballait. Parfois beaucoup, parfois moins. Mais, tu savais que ne pouvais pas te permettre de la perdre. Elle n'avait pas tort, elle avait réussi à s'en débarrasser une fois, mais elle était retombée dedans en moins de quelques jours. Elle était fragile, bien trop fragile. « Et tu recommences alors que tu sais que tu as choppé cette merde ? » lançais-tu méchamment. La colère n'avait pas disparu, elle était toujours là en moi. À chaque phase qu'elle prononçait, je prenais la mouche. Car j'avais peur pour elle, peur de la perdre, peur qu'elle souffre. « Je te laisserais vivre quand je saurais que tu iras parfaitement bien. » Tu frottais tes cheveux, les emmêlant les uns entre les autres. Tu te vengeais de ce qu'elle avait fait quelques minutes avant. Une douleur immense traversait tes côtes, tu savais que cela allait durer pendant un long moment. Une petite grimace se pointait sur ton visage, tu ne pouvais pas le cacher, cette douleur était trop importante. Tu devrais prendre ce médicament, tu devais te soulager.
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Timoteï était au courant de tout en même temps comment lui cacher quoique ce soit alors que vous viviez ensemble et que tu étais toujours fourrée dans ses pattes. Il pouvait même parfois en avoir marre de toi mais jamais il ne te le disait. Il était parfois méchant et dur avec toi mais jamais il ne te disait de le lâcher ou de t’éloigner de lui et encore heureux, car de toute façon tu n’en serais pas capable. Tu le regardais alors que tu lui disais que c’était promis, que plus jamais tu ne toucherais à cette merde qui te pourrissait le cerveau, le corps et quelques-unes de tes relations. Mais hors de question de briser quelque chose entre Timoteï et toi. Tu étais donc dans les bras de Timoteï. Ton cœur risquait d’exploser un jour. A force de battre si vite dès que Timoteï te touchait il risquait d’exploser en mille morceaux. Tu respirais doucement son parfum, avant de relevais ton visage vers Timoteï. Tu caressais doucement sa joue, passant un de tes doigts sur les lèvres de Timoteï en lui disant qu’il fallait qu’il te laisse gérer la suite. Il te disait qu’il en était hors de question, qu’il te laisserait vivre une fois que tu irais parfaitement bien. « Mais je n’ai pas envie que tu me laisses vivre enfin tant que ce n’est pas sans toi. » Tu lui souriais doucement, avant de voir le visage de Timoteï qui se déformait. Tu fronçais les sourcils. « Tu as mal ? » Tu posais une main sur ses côtes sans trop appuyer, tu te libérais de son emprise pour venir attraper ta boite d’antidouleurs sur ta table de chevet. Tu lui balançais cette boîte. « Tiens prend ça, ça ira mieux. Ne t’en fais pas, je ne suis pas accro aux antidouleurs non plus c’est pour mes côtes à cause de l’autre enflure. » De toute manière qui pouvait bien être accro aux antidouleurs ? Tu ne le savais pas encore mais Timoteï si. Tu allais ensuite dans la salle de bain afin de retirer cette serviette. Tu ressortais de la salle de bain sans serviette de toute manière, tu n’avais plus rien à cacher il avait vu la moindre parcelle de ton corps tout à l’heure. Tu prenais des sous-vêtements que tu enfilais ainsi qu’un mini short de nuit et un débardeur. Tu te mettais ensuite en tailleur sur ton lit et tu te roulais une cigarette, cela n’allait pas te tuer. « Bon, moi qui voulais jouer au twister ce soir c’est mort, tu es vieux et cassé de partout. » Tu rigolais en le regardant avant de coller ta feuille pour refermait la cigarette et l’allumais.
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Personne n'était au courant de tes conneries, personne ne savait que tu avais encore mal. Que ces putains de côtes te faisaient encore souffrir le martyre. Personne ne se doutait de ce que tu prenais pour aller mieux. Tu n'avais jamais de cerne, tu ne te tenais jamais le ventre, tu étais là. Toujours présent pour les autres, quelques jours après ton accident, tu n'avais déjà plus mal. Et personne n'avait compris que tu te droguais à ces petites pilules. Tu en prenais parfois deux pour calmer la douleur et souvent tu en utilisais environ six dans une seule journée. Alors que tu ne devais pas en prendre plus de trois, tu étais sérieusement cinglé dans ta tête. Mais, tu t'en foutais, ces petites choses pouvaient te soigner en seulement quelques minutes. Tu laissais la jeune femme te tripoter au niveau des côtes, elle savait que rien ne s'était bien remis après mon accident. Elle était certainement la seule à savoir de suite ou poser sa main. Elle appuyait doucement, une grimace remontait encore sur ton visage, tu te pinçais les lèvres. Tu ne voulais pas lui montrer que tu souffrais, non tu ne voulais pas passer pour un faible. C'était la dernière chose que tu voulais, rester fort c'était ce que tu t'obligeais à être. Ne jamais pleurer, ne jamais montrer ta douleur, ta souffrance. Vivre avec, c'était ainsi que je voyais ma vie, c'était ainsi que ma vie se résumait. Tu te forçais de sourire et tu lâchais « Oui et ça depuis mon accident. ». Alors qu'elle te ramenait sa boîte, tu souriais, tu savais parfaitement que ce genre de médicament ne te faisait plus rien depuis un long moment. Ce que tu prenais était certainement les plus forts qu'il existait. Mais tu prenais tout de même la boîte où elle venait de t'envoyer, mais tu la reposais directement sur la table. « Ça me fera rien tes petits antidouleurs. » Tu ôtais comme tu pouvais ta veste et tu attrapais rapidement sans qu'elle s'en aperçoive un flacon que tu glissais dans la poche de ton jean. Tu ne pouvais pas en prendre devant elle, elle comprendrait que ce ne sont pas des choses qu'un médecin m'aurait prescrites juste après mon coma. Tu la regardais se changer et se poser sur son lit, tu restais debout devant elle. Tu rigolais comme tu pouvais et tu l'examinais, pointant des doigts ses nombreux hématomes. « C'est toi qui dis ça ? Tu es foutu de partout aussi. » Tu lui tirais la langue, tu ne voulais en aucun cas la blessée avec tes paroles.
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Timoteï souffrait, il ne disait rien, car il ne disait jamais rien mais tu pouvais lire sur son visage qu’il souffrait. Tu fronçais les sourcils, lui donnant tes antidouleurs avant qu’il ne se mette à rigoler. Tu te retournais pour le regarder la boite d’antidouleurs était déjà sur la table et il te disait que ceci ne lui ferais rien. Allant entre la salle de bain et ta chambre afin de t’habiller, tu ne lui prêtais à peine attention. « Mais alors tu prends quoi ? » Tu rigolais toute seule dans la salle avant de revenir. « Si tu me dis que tu te drogue ça serait hilarant je trouve monsieur Robins ! » Tu lui pinçais la fesse en passant à côté de lui avant d’aller t’asseoir en tailleur sur ton lit et de te rouler une cloque que tu allumais. Tu le regardais de ton lit, lui disant qu’il était foutu de partout et il rigolait avant de te pointer du doigt. Tu rigolais doucement. « Je suis vivante, tu verrais ta tête tellement que t’as mal on dirait tu vas mourir. » Tu secouais doucement la tête. « Oh je sais, viens-là ! » Tu te levais, lui tirant le bras tu venais l’allonger sur ton lit. « Retires ton t-shirt je reviens. » Tu lui souriais avant de partir en courant dans la salle de bain écrasant ta cigarette dans un cendrier au passage. Tu retournais les placards de la salle de bain pour y trouver une petite fiole. Tu l’as sortais et revenait jusqu’à lui au bout de quelques minutes pour revenir te mettre à califourchon sur lui. « Ma grand-mère à Boston, elle mettait toujours ça sur le corps de mon frère, Eden quand il revenait après s’être battu. Et une fois, il est revenu avec une côte cassée et ça avec un petit massage ça lui a soulagée la douleur. Je ne te dis pas que tu n’auras plus jamais mal mais je peux au moins essayer de te soulager non ? » Tu le regardais avec un petit sourire aux lèvres, tu voulais vraiment faire quelque chose pour lui et puis de toute façon ton gros cul le bloquait de tout mouvement.
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Tu ne faisais que des gourdes depuis le début et tu allais finir par te faire cramer. Mais au lieu de t’inquiéter, tu gardais toujours ton calme immense. Tu ne stressais pas, tu ne réfléchissais même pas un plan pour cacher ce petit flacon qui se trouvait dans ta poche. Non, tu restais comme tu étais d'habitude, d'un calme olympien, du moins tant que personne t'énervait. Tu restais droit devant elle, fumer, elle ne faisait que ça. Mais, tu ne disais rien car tu en faisais de même, malgré que tu avais réduit tes stocks et donc ta quantité. Tu commençais à te lasser de ces clopes, tu avais beau changer de marque, rien n'y faisait. Tu savais que tu allais bientôt arrêter, cela faisait déjà un nombre d'année que tu fumais. Tu voulais tenter autre chose, mais quoi ? Quand elle parlait, elle avait toujours ce sourire sur ses lèvres, elle oubliait même ses douleurs et ses problèmes qu'elle t'avaient dis une heure auparavant. Cela te faisait plaisir, tu ne la voyais plus souffrir, pendant un instant. Tu ne savais pas si cela allait durer, mais tu savais que pour le moment elle pensait plus à toi qu'a autre chose. Me droguer ? Je rigolais à sa phrase et je la regardais « Qui te dis ça ? Il y a tant d'autre chose pour calmer une douleur. » Encore une mensonge de plus que tu venais d'inventer, tu ne voyais pas quoi répondre de mieux pour cacher ton secret. Elle te tira par le bras pour que tu t'allonges sur son lit. Enlever ton t-shirt ? Tu te demandais ce qu'elle allait bien te faire. Tu exécutais ce qu'elle t'avait demandé, enlevant donc ton t-shirt. Tu pouvais constater toujours cette marque au niveau de tes côtes ainsi qu'une grande cicatrice qui s’enlèvera certainement jamais. Tu posa ta tête contre l'oreiller et t'attendais que ta princesse revienne. La jeune femme revenait toute contente courant à moitié dans l'appartement avec un flacon dans la main. Elle posa ses fesses sur mes jambes, me bloquant totalement. « Si tu veux tenter, essaye. Je ne suis jamais contre un massage surtout venant de toi. » Au lieu d'être sérieux, tu étais toujours le contraire. Toujours à faire des vieilles remarques, mais c'était ça qui faisait ton charme. Tu faisais rire tout le monde et c'était certainement ça qui faisait craquer les filles.
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Ce soir Timoteï restait avec toi, de toute manière il resterait avec toi jusqu’à la fin de tes jours, il n’avait pas le choix enfin si il l’avait mais il t’aimait trop pour te laisser comme une vieille chaussette ou un mouchoir usagé qu’on jette à la poubelle. Et tu t’accrocherais trop fort à lui pour finir comme ça aussi. Enfin bref, tu avais remarquée qu’il avait mal et tu te devais de l’aider après c’était comme ça que ça fonctionnait non ? Il était là pour toi et toi tu étais là pour lui-même si finalement c’était bien l’une des premières fois que tu allais faire quelque chose de vraiment utile pour lui étant donné que Timoteï ne dit jamais, ne se plaint jamais et fais toujours passer les autres avant lui c’est exactement ce qu’il venait de faire avec toi pour une énième fois. Tu lui demandais alors de t’allonger après lui avoir demandé s’il se droguait mais il te répondait que non. En même temps, il n’allait pas te faire la morale et se droguait par derrière ou alors il méritait vraiment des claques. Il s’était donc allongé et quand tu revenais de la salle de bain, il avait retiré son t-shirt. Tu te mettais donc à califourchon sur lui, lui demandant s’il était d’accord. Il était d’accord et il en rajoutait un peu pour te taquiner. Tu levais les yeux au ciel en souriant, tout en allumant la télévision qui se situer derrière toi. « C’est pour que tu ne t’ennuie pas et que tu ne t’endormes pas. » Tu riais doucement, déposant du liquide du flacon sur ta main tu venais frotter tes deux mains entre elles pour ensuite venir les poser sur les côtes de Timoteï. Massant délicatement avec tes pouces, tu n’osais pas y aller plus fort de peur de lui faire mal. Tu faisais bien pénétrer l’espèce d’huile tout en massant Timoteï. Tu passais un doigt sur sa cicatrice plutôt impressionnante mais tu ne disais rien, tu continuais. Ta tête penchée sur le torse de Timoteï, tu cherchais un bleu, un hématome mais rien de tout ça c’était bizarre. Tu relevais ensuite ton visage pour le regarder. « Je ne te fais pas mal ? » Tu lui souriais, tout en continuant ton massage. S’il avait mal il se serait plaint non ? Tu jouais à la petite infirmière et ça te plaisait. Une nouvelle vocation en perspective peut-être.
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Tu commençais limite à t'endormir, tu étais tellement crevé. La neige te crevait, elle ne faisait pas grand-chose, mais le froid te fatiguait. Tu t'endormais comme une grosse masse le soir, et cela arrivait que tu fasses des petites siestes en plein milieu de la journée. Heureusement que Grace arrivait, sinon encore quelques minutes et tu partais dans un profond sommeil. Tu n'en pouvais plus de cette douleur, tu avais mal précisément à un endroit, tu ne savais plus si c'était dans ta tête ou réel. Tu pensais que c'était les deux, tu ne pouvais plus faire du sport sans avoir mal, tu ne pouvais plus coucher avec une demoiselle sans souffrir. Mais, tu savais que dès que tu ne prenais pas ce médicament. Tu savais que tu t'étais foutu dans une belle merde, mais tu ne voulais pas lui dire et encore moins lui expliquer. Tu laissais la jeune femme se mettre au-dessus de toi, plus précisément en califourchon. Tu rigolais, du moins tu essayais de rire en la voyant monter sur toi avec son magnifique flacon dans la main. Elle allumait d'un seul coup la télévision et c'était certainement ça qui t'avait tiré de tes rêves. Tu ouvrais de nouveau grand les yeux et tu la regardais, elle chauffait l'huile entre ses mains et commençait à me masser. Tu serrais les dents, tu ne voulais pas lui montrer que la douleur était bien là, encore pire quand elle appuyait doucement dessus. Tu lâchais un soupire de souffrance, serrant au maximum tes dents. Fermant tes poings et fermant les yeux. Tu ne disais rien, tu souffrais en silence comme à chaque fois. Elle prenait bien son temps pour faire entrer l'huile, elle massait merveilleusement bien et c'est seulement quelques secondes après qu'elle réagissait. Avais-je mal ? Tu souriais, mais ce n'était pas un sourire naturel, mais plus forcé. « Noon, pas du tout. » Elle devrait faire kiné, elle gérait plutôt bien en massage. L'huile commençait à chauffer petit à petit, produisant une douceur impressionnante.
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Un massage. Tu allais lui faire un massage pour le soulager et puis cela ne te dérangeait pas du tout, tu adorais masser les gens. Tu étais donc revenue toute contente alors que Timoteï commençait déjà à s’endormir. Naméoh il faisait quoi là ? Tu lui grimpais donc dessus puis tu allumais la télévision pour qu’il se réveille et cela marchait parfaitement. Après quoi, tu entamais ton petit massage. Tu ne faisais attention à rien jusqu’à ce que ton regard tombe sur les poings serrés de ton ami. Tu le regardais, lui demandant s’il avait mal mais il te répondait que non. Tu continuais donc jusqu’à sentir l’huile chauffer sous tes doigts c’était bon signe. Tu relevais quand même une dernière fois la tête. « Si t’as mal dis-le mais ne me colle pas un coup de poing s’il-te-plait, il a réussi à éviter le visage si tu pouvais en faire autant. » Tu riais doucement, terminant ton massage. Tu déposais ensuite un baiser sur le front de Timoteï et tu te levais pour ranger ton flacon, te lavais les mains et lui ramenais un petit gâteau et un verre de lait. « C’est toujours ce que ma mamie faisait un mon frère après peut-être que ça marche. » Tu riais doucement, t’asseyant à côté de lui. Tu prenais ton téléphone pour répondre à quelques sms puis tu le reposais sur la table de nuit, te levant à nouveau tu prenais des chamallow que tu avais acheté avant le voyage et tu venais te mettre sous le couette en mangeant tes friandises. Tu regardais Timoteï du coin de l’œil. « Retires ton jean s’il-te-plait, ça fait une matière bizarre sur mes cuisses. » Tu riais doucement avant de te stopper. Cela voulait dire que tu étais collée à lui. Tu te décollais alors doucement comme si tu étais gênais puis tu fixais la télévision sans rien dire de plus.
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