Tamsin&Misha - L'ère adulte.

• Ferme ta gueule. Arrête d'essayer de vouloir te mettre en avant, de te prendre pour un putain de PIMP, lorsque t'arriveras à rendre nostalgique la meuf que t'as serré au CM1, tu pourras venir la ramener. T'es là, à faire le faux humble, à vouloir te faire féliciter deux fois, à toujours parler de toi, de toi, et juste de toi. On en a rien à foutre, on a juste envie de te dégueuler, de te faire sortir par notre gorge et de te regarder te faire bouffer par des pigeons. T'es là, mais t'es pas là, t'es juste un putain de pion, t'as rien à toi, tu vis ta vie sur celle des autres, par procuration. Alors maintenant, réveiller toi, regarde le monde qui t'entoure, car t'as rien compris, et seulement quand tu te seras rendu compte de ça, tu pourras peut-être évoluer, peut-être changer. Je ne prétend pas connaitre le monde, loin de là même, mais, contrairement à certaines personnes de mon âge, j'me suis rendu compte de ce qu'était vraiment la vie, à quel point elle comptait pour moi, et, que pour rien au monde je ne voudrais l'échanger contre celle d'un autre. J'avais peut-être pas eu la vie la plus joyeuse, de nombreuses fois j'me suis retrouvé façe à la mort, et, c'est seulement depuis quelques semaines que j'me suis rendu compte que j'aimais ma vie, et que j'aimais les personnes qui la rendait comme elle est. Tamsin en faisait parti, plus le temps passait, et plus j'me rendais compte que j'étais vraiment attaché à elle, qu'une personne arrivait enfin à me combler, que j'étais vivant, pour une fois... Alors, j'profitais pleinement de cette après-midi en sa compagnie, et ça, même si ont couchaient pas ensemble. J'savais bien que l'envie était présente, que ça soit pour elle ou pour moi, mais, j'ai pas envie de la forcer, j'veux juste que ça se fasse, quand ça sera le moment... "t'es sexy quand tu parle d'commander à manger tu sais ?" J'hausse un sourcil, j'pense elle doit voir de la bouffe partout sur moi en fait, ça doit être ça le truc. Je glisse un baisé sur ces lèvres, un de plus, je ne les compte plus, je les apprécies. "Toi t'es sexy tout court..." C'était ça le truc, y'a certaines filles, elles vont faire des trucs qui vont te dégouté d'elle, et même pas tu voudras les toucher, sauf que pour l'instant, tout ce que disait ou faisait Tamsin me faisait sourire, bêtement, comme un enfant qui découvrait la vie, tout, j'aimais tout chez elle... "faut que tu m'fasse arrêter de t'embrasser.." [...] "dégoûte moi de toi !" Je lâche un petit rire, laissant l'une de mes mains caresser doucement sa joue, et, je réfléchis. Franchement, j'sais pas, et puis, j'ai pas envie de la dégoûté, j'ai juste envie qu'elle soit bien avec moi. "Heu... J'sais pas moi ! Pourquoi j'devrais te dégoûté de moi hein ?" Et, de ma main libre, j'attrapa mon portable, composant le numéro de la pizzeria la plus proche, histoire de commander, sauf que j'allais pas lâcher Tamsin pour le moment, je continue de la bloquer, et putain, si j'devais choisir entre manger une pizza ou elle, mon choix serait vite fait... •

ça fait tellement longtemps qu'on s'embrasse qu'on a du battre une sorte de record. On pourrait même créer notre propre livre des records, juste à nous. On compterais nos baisers échangés, combien de personne on a connu et avec combien on a couché.. ouais non. On va oublié. Ce serait super bizarre et puis j'ai pas envie de savoir combien d'autres filles il a connu. Je veux pas. Je veux être la seule dont il se souvient, la seule avec de l'importance. C'est égoïste ? "Toi t'es sexy tout court..." je riais et secouais la tête. N'importe quoi. Bizarrement là, il avait rien bu pour dire ça. J'étais pas sexy, j'étais juste moi, Tamsin avec son visage rond de bébé, et puis le reste quoi. Trop de niaiserie et j'me dis que je devrais peut-être arrêter, que ça commence à faire beaucoup pour une après-midi, un début de soirée même. Je lui demande de me dégoûter de lui, mais rien du tout. Il pose une caresse sur ma joue, et je me laisse totalement faire. La tendresse me manquait, et il me comblait assez, là. "Heu... J'sais pas moi ! Pourquoi j'devrais te dégoûté de moi hein ?" je hausse les épaules comme si je ne le savais pas. J'avais envie de lui dire que c'était pour pas que je m'accroche trop fort à lui, mais j'ai préféré me taire. Il attrape son téléphone et compose le numéro, sans pour autant me lâcher. Je riais un peu, et le regarde de manière taquine, une douce idée à l'esprit. J'attends que le téléphone décroche de l'autre côté et j'embrasse sa nuque sensuellement, glissant l'une de mes mains à son entre jambe en le caressant doucement. L'idée ? Qu'il ne puisse pas résister au téléphone très longtemps. Je veux que le type à l'autre bout du fil comprenne qu'il se passe des choses pas très saines ici. Je vois bien que je ne fais pas assez de dégâts, alors je glisse ma main lentement dans son jean. Alors, on tient combien de temps entre mes baisers et mes caresses ?

• J'sais pas ce qui ce passait dans ma tête, je n'avais aucune idée du pourquoi du comment la jeune femme me faisait cet effet là. J'veux dire, c'était vachement étrange, elle était belle, putain ouais elle était super belle, un beau sourire, des yeux parfaits, des formes parfaites, et puis, elle n'était pas conne, elle était intelligente. Elle avait tout pour elle, tout pour réussir, tout pour plaire, tout pour me plaire... Elle était cette petite perle rare que tu croises qu'une fois dans ta vie, cette illumination qui t'éclaire et t'en ferait presque mal aux yeux. J'voulais passer le plus de temps avec elle, je voulais continuer des après-midi comme celui qu'ont avaient passé, et, j'voulais que toutes les questions qui nous ronges de l'intérieur trouvent des réponses clairs. J'pense pas que ça soit ce soir qu'on aura des réponses, alors, autant continuer d'être heureux à deux et voir plus tards pour les réponses. Du coup, j'attrape le téléphone et je compose le numéro pour commander des pizzas, mais, j'crois que j'aurais du m'éloigner de la jeune femme, car lorsque je sent ces lèvres se déposer dans ma nuque et sa main venir me caresser par dessus mon jean, j'la regarde avec des gros yeux. "Déconne pas arrête ça !" Avais-je lâché avant que le type au bout du téléphone réponde. "Alo... Bonjour, j'vous appelle pour me faire liiivrer aah" Ouais, là, elle a abusé, j'ai senti sa main se glisser à l'intérieur de mon jean pour continuer ces caresses. J'vous jure qu'on fois que j'ai raccroché, elle va prendre cher. Du coup, j'me retrouve au téléphone, avec des frissons de malade qui parcourent tout mon corps, à essayer de tenir une conversation alors que la seule chose que je désire, c'est raccrocher et la laisser continuer... "Je disais... J'voudrais hm... Des pizzas..." J'essayais de continuer tant bien que mal, mais j'vous jure que c'était une torture... J'avais beau la regardé avec de gros yeux, ça la faisait sourire... •

Je ne pensais à rien d'autre qu'à m'amuser, et à détendre l'atmosphère. Depuis que ses questions sont venus se poser sur nos lèvres, j'ai l'impression qu'on avait été figé, que le temps ne passait plus. Nous étions juste nous, là, présents, et on s'embrassait. Le plus drôle dans tout ça, c'est que ça me suffisait. Alors qu'il décroche le téléphone, je commence mes tortures et ses yeux deviennent deux fois plus gros que leur taille initiale, et moi je ris. "Déconne pas arrête ça !" ça ne m'arrête pas et j'entends un homme à l'autre bout du fil. Intéressant, et drôle. "Alo... Bonjour, j'vous appelle pour me faire liiivrer aah" Je souriais grand, fière de moi, sans pour autant arrêter. Ma main dans son jean continue sa torture et moi, j'en apprends des choses sur lui. Je n'avais jamais eu accès à cet endroit de son corps, je n'avais jamais osé réellement, pas comme ça. Je découvrais quelque chose de nouveau, et si je pouvais en profiter pour m'amuser un peu, je n'allais pas dire non. "Je disais... J'voudrais hm... Des pizzas..." je souriais et murmurais doucement "quatre fromages pour moi.." moi et mes goûts glamour. Je continuais ma douce torture, et me lançais dans un plan bien plus diabolique. Quelque chose d'encore plus gênant. Je n'arrêtais ni mes caresses à son entre jambe, ni mes baisers dans sa nuque. "Hmm" que je gémissais doucement d'abord, puis continuait dans ma provocation, simulant, "oui là c'est bien.." je me retenais d'exploser de rire, vraiment. "encore ! hmm" ça doit être le gars de l'autre côté qui va être content.

• Pour la première fois de ma vie j'me retrouve dans ce genre de situation. Je ne contrôle rien, je ne décide plus rien, et, j'suis légèrement perdu. En réalité, j'ai toujours fait en sorte d'avoir le contrôle sur tout, que rien ne m'échappe, rien ne sorte du droit chemin que j'avais fixé, mais, avec la jeune femme, tout était différent, j'avais appris à m'y faire, et, au fur et à mesure des semaines, des mois même, je m'étais rapproché d'elle, et, j'étais devenu ce gars qui ne savait pas trop ce qu'il ressentait, ce gars qui ne connaissait pas l'amour et qui n'aurait pu mettre un nom sur ces sentiments qui s'affolait à l'intérieur de lui. J'aimais passé du temps avec elle, j'avais eu la chance de goûter au doux parfum de ces lèvres, et, désormais, je ne pouvais plus m'en passer. J'me retrouve au téléphone avec le gars qui va prendre notre commande de pizza, et madame décide de passer à l'action, tout d'abord en s'amusant à me caresser l'entre jambe puis en déposant de doux baisés dans ma nuque, mais, pas seulement... "Donc heu... Ouais... Deux quatres fromages du... Putain du coup excusez moi..." Et là, elle se met à gémir, genre normal. Mes yeux double de volume une fois de plus, elle est vraiment en train de faire ce qu'elle fait là ? Car putain, c'est de la torture, et j'pense qu'elle peu sentir le bien que ça me fait entre ces mains... "Hmm... Ouais... Livrez les heu..." Et bim, un frisson de plus, et, c'est vachement dur de se concentrer, du coup, ma main qui est libre vient se placer devant la bouche de la belle brune histoire que ces gémissements passent un peu plus inaperçu... Et, tant bien que mal, j'pense que j'vais finir par réussir à donner l'adresse de chez moi pour pouvoir être livrer... Du moins, j'éspère... •

"Donc heu... Ouais... Deux quatres fromages du... Putain du coup excusez moi..." J'ai envie de clairement exploser de rire, mais je sais que si je le fais, ça sera moins drôle au final. Alors je continue dans ma connerie, je gémis encore, et il ne trouve plus ses mots. "Hmm... Ouais... Livrez les heu..." Sa main se pose sur ma bouche mais je continue quand même mes gémissements contre sa main. Je tente de les rendre plus forts pour qu'on puisse les entendre, mais il est décidé à ce que ces bruits restent entre lui et moi seulement. Pas grave, mes caresses le torturent toujours un peu et je sais que ça fait son effet, je le sens. Si j'ai peur de me faire violer ? Ouais, totalement. Je sais que je joue avec le feu, mais j'aime ça. Voir mes limites, les siennes. Jusqu'où il peut tenir, et s'il peut tenir. Sincèrement, s'il y tiens après toute cette torture, c'est qu'il tiens réellement à moi. Je lui demanderais d'attendre s'il en peut plus, voir sa limite, voir s'il m'écoute. En attendant, je continue mes caresses, pire encore, ma main se glisse carrément dans son boxer. Alors, tu tiens toujours avec ça ? Je souris bien malgré sa main et je plonge mes yeux dans les siens. Je sais qu'il a envie de moi, mais je veux juste voir comment il réagit avec toute cette frustration qui le tiens prisonnier.

• J'vais devenir fou, honnêtement, j'vais péter un câble et devenir totalement fou. J'sais pas comment j'vais faire pour me retenir, mais, c'est vachement chaud, je ne sais même pas comment je fais pour ne pas balancer le téléphone plus loin dans la pièce et ne pas lui sauter dessus, là, maintenant, tout de suite, sans attendre les pizzas, sans rien attendre, lui sauter dessus, la déshabiller, la laisse me déshabiller, nous retrouvez nues, nos deux corps l'un contre l'autre, à se laisser aller, à ne plus se poser de question, à laisser nos envies prendre le desssus. Sauf que ce n'était pas possible, je le savais bien, je savais qu'elle faisait ça pour me rendre fou, pour voir jusqu'à où j'irais, jusqu'à quel moment je pourrais tenir, et, même si c'était plus que dur, même si c'était une torture, je devais lui montrer qu'au final, je pouvais attendre, qu'au final, on ne coucherait pas ensemble tant qu'on aura pas de réponse à nos questions, tant qu'on restera dans le doute. "Excusez moi j'suis en train de faire des... Travaux et... Tenir une conversation en même temps c'est..." Et j'arrive même pas à finir ma phrase que je sent sa main se glisser dans mon boxer pour attraper directement l'engin et me rendre encore plus fou. Elle peu pas faire ça, putain non elle a pas le droit. Je lâche un léger soupire, car putain, ça me fait du bien, mais, je garde ma main plaquer contre sa bouche, essayant de la calmer tant bien que mal, mais c'est... Limite impossible. J'arrive tout de même à lui donner l'adresse, et, j'attends que ce dernier la trouve sur son gps pour pouvoir raccrocher... Je remonte rapidement son visage vers le mien pour lui voler un baisé pendant que le gars au bout du fil cherche... Putain, dépêche toi de trouver que toute cette torture s'arrête... •

"Excusez moi j'suis en train de faire des... Travaux et... Tenir une conversation en même temps c'est..." Il est tellement peu crédible. Des travaux ? Quel genre de travaux, au juste ? J'ai envie de rire, de me moquer de lui, mais je préfère le torturer, c'est un jeu encore plus amusant de l'entendre se retenir au téléphone. Je continuais ma douce torture dans son boxer, découvrant quelque chose de nouveau chez lui, alors que je l'entends réussir enfin à donner son adresse. Il était pas trop tôt. Depuis le temps qu'il a du mal à aligner deux mots, j'ai cru qu'on allait jamais réussi à avoir l'adresse. Je sens sa main insister pour que je m'avance et il me vole un baiser. Je souris contre ses lèvres et l'embrasse de nouveau avec plus d'envie qu'il m'en a donné. Je retire lentement ma main de son boxer, la remontant sur son torse. Je mentirais en disant que je ne veux pas de Misha. Moment de répits, je le laisse respirer, je le laisse croire que j'arrête la torture. Puis d'un coup, je glisse de nouveau ma main à son entre jambe, où elle était loger quelques secondes auparavant. Je dépose des baisers sur sa mâchoire et souris un peu, "s'il trouve pas dans trois secondes, j'me remet à gémir.." je déposais un ou deux baisers, "trois.." je continuais, "deux.."

• J'suis pas le gars qu'on peu contrôler facilement, j'suis loin d'être manipulable, loin d'être influençable. J'suis plutôt le contraire, l'enfoiré provocateur qui manipule et qui fait croire aux gens ce qu'ils désirent entendre pour arriver à ces fins. J'suis un fils de pute, un enculé de merde, un connard, qui se calme, nottons le, depuis l'accident, j'fais en sorte d'être quelqu'un de bien, bon, pas totalement non plus, faut pas trop m'en demander, mais, j'avais changé, j'avais dit au revoir à toute cette haine qui était au fond de moi, et, j'avais réalisé à quel point je tenais à Tamsin. Je le savais déjà avant, j'vais pas mentir, mais, depuis, un tout nouveau sentiment avait fait son apparition, un sentiment sur lequel je ne pourrais placer de mot... Mais passons, le temps finira par nous dire ce que c'est... Putain, il faut toujours que j'me foute dans des merdes pas possible, et, là, c'était le bouquet final je crois... "s'il trouve pas dans trois secondes, j'me remet à gémir.." Et là, elle se met à commencer un décompte. "S'teuplait fait pas ça c'est de la torture déconne pas !" Commençais-je à limite la supplier. Bordel, qu'il trouve ma putain d'adresse dans son putain de gps, qu'il trouve et qu'elle arrête, que je ne fasse pas tout foirer en lui sautant dessus car mes pulsions auront prit le dessus. Et là, pile au moment où elle allait dire le chiffre zéro, il me dit que tout est bon, et, j'explose de joie limite. "AHAH PARFAIT !" Avais-je gueulé, un sourire victorieux sur les lèvres. Il m'annonça ensuite qu'on serait livrer dans environ trente minutes, avant de raccrocher, je retire donc ma main de devant la bouche de la jeune femme, et, prenant son visage entre mes mains, j'la fixe droit dans ces petits yeux. "La prochaine fois que t'es au téléphone, fait en sorte d'être dans une pièce où j'pourrais pas rentrer..." Une menace ? Non, pas du tout, loin de là même, juste, un avertissement. J'pense que du coup, elle va pouvoir enlever sa main de mon boxer, que je retrouve mes esprits... •tive; left: -3px;width: 400px; border-bottom: 4px dashed #FFFCFC;">

"S'teuplait fait pas ça c'est de la torture déconne pas !" trop tard, le décompte est lancé. Je dépose quelques baisers de plus et je décompte encore. Jusqu'à ce fameux zéro, le dernier, tout dernier. Celui qui me permet de m'exprimer librement, de montrer ô combien je prends mon pieds dans les bras de Misha, ô combien j'aime ça. "AHAH PARFAIT !" Merde, j'aurais du faire un décompte de deux, à une seconde près je l'avais. Il explose de joie limite, et moi ça m'amuse. Il raccroche et me regarde, et j'ai mon petit sourire aux lèvres. Sa main se retire de ma bouche et il encadre mon visage avec ses mains. Il me fixe et moi je fonds. Là, actuellement, à me regarder comme ça, il est encore plus sexy que jamais. "La prochaine fois que t'es au téléphone, fait en sorte d'être dans une pièce où j'pourrais pas rentrer..." Je riais un peu, passant ma langue sur mes lèvres avant de répondre, "j'veux voir de quoi t'es capable." alors la prochaine fois, c'est moi qui passe un appel, exprès devant lui. Juste pour savoir où sont ses limites, pour savoir jusqu'où il va. Je resserre doucement mon emprise dans son boxer, mais juste assez. Pas lui faire mal, mais juste qu'il sente que je suis encore là, et je ne compte pas retirer ma main. Oh non. Je continue mes caresses et approche mon visage du sien pour attraper ses lèvres. Je cesse mon baiser et murmure contre ses lèvres, doucement, "j'veux être la seule à avoir accès à ça.." et je serais la seule.