Tamsin&Misha - L'ère adulte.

• Habituellement, c'est moi qui avait toutes les cartes en main, c'est moi qui décidait de comment allait se dérouler les choses, et jamais je n'étais pris au dépourvu, jamais je ne me posais de questions sur le pourquoi du comment, jamais je ne me retournait l'esprit à me demander comment ça se fait, comment j'en suis arrivé là, pourquoi j'ai peur, pourquoi je sent mon coeur battre à une vitesse folle. J'étais à la fois perdu et totalement bien, comblé et appeuré, j'vous assure, plusieurs émotions s'enchainait dans mon petit cerveau, et il n'y avait rien à faire. Du moins, c'est ce que je croyais. Car lorsque ces douces lèvres se reposèrent une fois de plus sur les miennes, tout s'envola en à peine une seconde, toutes mes questions, toutes mes peurs, plus rien, j'étais libéré de tout. J'aurais pu continuer des heures et des heures comme ça, j'aurais voulu l'embrasser encore et encore sans qu'on se pose de questions, sans qu'on soit en train de se demander si c'est mal, si ça représente quelque chose ou non. Ouais... Le plus merdique, c'était ça. J'savais très bien qu'au final, pour moi, ça représentait quelque chose, qu'au final, j'avais envie de plus et que ce n'était pas seulement passagé, sauf que... Est-ce qu'elle avait envie des mêmes choses ? J'savais pas vraiment, car elle ne disait rien à ce sujet, rien à part que ma réponse c'est de la merde. "C'est ta question qu'est de la merde plutôt !" Avais-je répondu en la poussant doucement. La belle brune me demanda ensuite un massage, pretextant qu'étant donné que j'avais dit que c'était elle qui décidait, elle avait fait ce choix. Vas'y, retourne la situation à ton avantage. J'hausse les épaules, après tout, j'suis pas contre. "Okay, ça me va... Allonge toi et enlève ton haut alors..." Et vous croyez vraiment qu'après l'avoir embrassé, j'vais juste avoir envie de la masser ? Pff, grosse blague les gars, grosse blague... Moi ce que je veux, c'est l'avoir pour moi, que ce baiser représente quelque chose... •

"C'est ta question qu'est de la merde plutôt !" Je riais un peu, j'aimais mieux ça. Notre légèreté. Notre amitié simple, sans prise de tête, sans question. J'aurais voulu ne jamais me poser de question, ne jamais demander quoi que ce soit, être sûre de moi, mais j'étais une fille, et bien contre moi, mon cerveau parfois se laissait aller à ce côté trop féminin en moi. Je rétablie notre nous facile et léger, lui demandant un massage. Il fallait bien détourner les baisers avant que j'ai trop envie de lui, non ? "Okay, ça me va... Allonge toi et enlève ton haut alors..." Je souris en coin et le regarde, disant doucement, presque avec une intention sensuelle dans la voix, "enlève le toi.." je sais, je suis horrible. Je veux juste voir ses limites, voir les miennes, et j'avoue que j'ai encore envie de ses lèvres, mais c'est bon, on va pas y passer l'après midi non plus. Je sens mon coeur s'accrocher à l'idée de Misha et j'aime pas ça. Je ne veux pas être trop proche, je ne veux pas que lui le soit. Je sais que si jamais je tente une relation avec lui, je le tromperais ou alors je le quitterais dans quelques mois, et je ne veux pas que Misha quitte ma vie. Pas du tout. Alors je le garde, comme un ami, là, que j'embrasse et qui me masse, parfois.

• Si il y a bien une personne sur terre qui est capable de me manipuler, de faire de moi un objet où je ne sais quoi, c'est bien elle, Tamsin. J'sais que ça parrait bizarre, vachement spéciale et étrange dit comme ça, mais, à ces côtés, j'suis à la fois libéré de toute pression, de tout problèmes, mais, j'suis aussi vachement manipulable, j'me pose des questions, j'fais comme si rien ne se passait, alors qu'au fond, on sait très bien tous les deux qu'un petit truc est en train de naître, si c'est pas déjà fait même. C'est la merde, j'vous jure, j'ai l'impression d'être une bite qui est enfermé dans un sac poubelle, et qu'on empêche de sortir. J'suis comme un lion qui est en cage et qui n'arrive pas à rugir. J'suis perdu en fait, j'suis comblé, et perdu. Tu parles d'une situation. Sauf que je préfère ne pas trop y penser, je préfère profiter de tous ces moments de bonheur et de rire que j'ai la chance de passer en sa compagnie, j'préfère mettre ça en avant plutôt que tout le tât de question qui s'amusent à faire une course de jet ski dans ma tête. Sauf qu'elle ne m'aide pas, je le vois à son regard, à sa façon de me toucher, de m'embrasser, que pour elle aussi c'est pareil, que pour elle aussi, c'est un gros bordel caché derrière un rideau. "enlève le toi.." Je ferme un instant les yeux. Elle me demande de lui retirer son haut pour que je puisse lui faire le massage. Sauf que y'a un problème avec l'intonation de sa voix, elle me dit ça sur le ton d'un "baise moi" limite, j'vous assure. Et putain, au fond, j'en ai rien à foutre de son massage, au fond, j'veux juste la serrer contre moi et l'embrasser. Sauf que je ne fais rien, pour le moment. J'hausse les épaules et j'approche mes mains de son corps. "Okay feignasse..." Avais-je répondu, comme pour penser à autre chose, pour rigoler. Puis, je laissa mes mains venir lui retirer, pour le déposer un peu plus loin sur le canapé, avant de retourner mon regard vers elle et de la voir en soutient-gorge face à moi. "Tu m'soules..." Avais-je lâché avant d'attraper son visage entre mes mains et de l'embrasser sauvagement. J'en pouvais plus, vraiment, tout ce que je désirais, c'était le contact de ces lèvres contre les miennes... •

Je sais que je le torture, je sais que je nous torture. On a pas envie de s'arrêter, pas du tout. Aussi bien lui que moi, je le vois dans ses yeux, dans ses traits, et il a certainement dû le voir chez moi aussi. Je n'avais pas envie de toucher ce point de non retour, ce moment où on assumerait représenter quelque chose, où on sera quelque chose, aussi bien pour nous que pour les autres. En attendant, je teste nos limites, je teste les siennes, je m'amuse. Oui, j'aime le torturer. Il hausse les épaules comme s'il n'était pas tenté par moi et ça me fait sourire. Juste sourire. Il m'amuse, en fait. Faire le gars qui s'en fout, alors que au fond je vois bien que nous partageons la même envie. "Okay feignasse..." j'attends, là, sans bouger. Ses mains passent au bas de mon t-shirt et il le retire, le laissant me dévoilée en soutiens-gorge face à lui. Il met mon t-shirt plus loin et me regarde. Oui, je suis mauvaise. Oui, je ne devrais pas le tenter comme ça. J'en suis consciente, je le sais. "Tu m'soules..." je souris et d'un coup mon sourire s'en va. Mon visage est encadré de ces mains et il m'embrasse. On dirait bien que ce sera pour une autre fois, ce massage. L'une de mes mains passe dans sa nuque et je prolonge son baiser, parce que j'en ai envie autant que lui. Je m'approche encore jusqu'à me coller contre lui, et même le pousser pour passer sur lui, continuant de l'embrasser sans arrêter. Je sais que c'est mal, c'est mal mais je n'arrive pas à m'en empêcher. J'en ai juste envie, et je suis cette envie.

• En temps normal, dès que j'ai envie d'une fille, je n'attends pas, je lui fais savoir, et, le premier ou le premier soir, elle finit dans mon lit, pas me donner ce dont je désire. Sauf que Tamsin, c'était différent, j'avais pas envie d'elle comme j'ai envie d'une autre, j'avais pas envie d'elle juste pour me vider, prendre mon pieds et tchao. Non. J'avais envie d'elle car elle m'attirait, j'avais envie d'elle car j'aimais sa façon d'être, que ça soit généralement, ou avec moi. J'aimais sa façon de faire, son petit sourire, j'aimais quand elle passe ces journées avec moi, à ne rien faire, à glander, à rigoler, j'aimais ces petits massages qu'il m'arrivait de lui faire. J'aimais chaque moment passé avec elle, et, petit à petit, un nouveau sentiment avait fait son apparition. A trop jouer avec le feu, on finit par se brûler, et là... J'm'étais complètement cramé, de la tête au pieds. C'était compliqué, vraiment trop compliqué pour moi. Habituellement, tout était très simple, tout allait s'en se poser de question, mais là... Cette fois ci, c'était vraiment différent. J'pense que j'voulais plus, j'voulais plus que cette amitié, j'voulais plus que ces massages, j'voulais beaucoup plus, j'voulais qu'elle soit à moi en fait... Alors, j'avais tout laissé tombé, mes pensés, le bien, le mal, et, j'avais saisi son visage entre mes mains pour venir l'embrasser. Deux solutions s'offraient à moi, soit elle me refoulait, pretextant que c'était mal, soit elle continuait dans ma lancé, et, la deuxième solution fû la bonne. Elle était venu coller son corps contre le mien, me poussant doucement sur le canapé pour qu'elle puisse se retrouver sur moi, et, nos lèvres continuaient de jouer ensemble. Je laissais mes mains caresser doucement le dos de la jeune femme, venant chercher sa langue à l'aide de la mienne. J'ai besoin de ça, de ce contact, j'ai besoin de la sentir contre moi, et, pour la toute première fois depuis longtemps, j'me sent enfin revivre... •

Nous voilà donc là, sur le canapé, à s'embrasser comme deux adolescents. Je suis contre lui et je continue mes baisers. Nous sommes restés comme ça une bonne partie de l'après-midi, à rien faire d'autre qu'à avoir des gestes d'attentions envers l'autre. J'ai posé des baisers sur sa mâchoire, dans sa nuque, j'ai mordiller tout ce que je pouvais sur son visage, laissant à chaque passage une marque de moi, un souvenir. N'embrasse personne d'autre que moi. C'est fini. J'avais marqué ma place, j'avais fais mes marques sur Misha et je voulais qu'elles restent. Je voulais qu'il se souvienne de mes baisers, de ma tendresse, de ce moment. Qu'il garde le souvenir de mes lèvres sur lui. Je ne voulais pas qu'on aille plus loin, je ne voulais pas juste devenir une sorte de plan cul pour lui, je ne voulais pas être réduit à ça. Je voulais être plus que ça, signifier plus, ou ne rien faire. Dire que je n'en avais pas eu envie serait mentir, j'avais voulu le déshabiller, profiter de son corps, embrasser chaque partie, mais il fallait que cette distance, cette barrière invisible entre nous reste. Vers la fin de l'après-midi, j'ai murmuré contre ses lèvres, "j'vais peut-être.. devoir rentrer.." peut-être. C'est sur même. Chaque seconde de plus avec lui était une torture pour moi. Je l'embrasse encore, j'ai pas envie d'arrêter mais il le faut. "j'ai.. prévu de faire des.. pâtes ce soir et.. elles m'attendent.." murmurais-je entre deux baisers.

• J'étais bien, pour la première fois depuis longtemps, j'me sentais enfin en vie, je pouvais ressentir tout ce qui était possible de ressentir en fait, je sais, c'est étrange dit comme ça, mais, c'était le cas. J'étais loin d'être le genre de gars à avouer ces sentiments, à dire ce qu'il avait sur le coeur, et, surtout, quand j'appréciais quelqu'un. C'était pas moi, j'étais pas comme ça, et, j'pense pas que ça changerait maintenant. Je le montre, avec des gestes, avec des petits mots, des regards, mais, les je t'aime et tout ça, c'est pas le genre de mot que j'suis habitué à dire, puis, j'vais pas lui sortir un je t'aime alors qu'au final, je ne sais même pas si c'est de l'amour que je ressent pour elle, j'sais même pas ce que c'est l'amour de toute façon, alors comment en être sûr ? Comment savoir ? Alors, je préféra ne rien dire, profiter de ces moments de tendresses, de ces lèvres contre les miennes, de son corps contre le mien, sans pour autant aller plus loin, sans pour autant lui retirer sauvagement tous ces vêtements et coucher avec elle. J'vais pas dire que j'en ai pas envie, loin de là même, chaque baisé, chaque parcelle de ces lèvres contre ma peau m'arrachaient des frissons, mais, j'me contrôlais, j'voulais lui montrer que je n'étais pas un chien qui était incapable de se controler. Alors, ont avaient passé un bon moments comme ça, à se sourire, à s'embrasser, à laisser nos mains caresser nos corps. "j'vais peut-être.. devoir rentrer.." [...] "j'ai.. prévu de faire des.. pâtes ce soir et.. elles m'attendent.." Et ça, jusqu'au moment où elle me sort ces deux phrases. J'peux pas m'empêcher de lâcher un rire, sérieusement ? Elle veut rentrer faire des pattes ? Je dépose un doux baisé sur ces lèvres avant de laisser mes mains venir prendre les siennes et mes pieds passer autour de sa taille. "Des pattes ? Sérieusement ? Si tu restes ici, on peu commander quelque chose, ou alors... J'ai des pattes dans les placards si tu tiens vraiment à en faire..." J'ai même un tablier si tu veux te mettre nue en dessous et faire à manger comme ça. "Et puis, si t'as pas remarqué, j'te bloque là... T'oserais pas me fraper pour pouvoir partir ?" Ouais, j'voulais pas qu'elle parte, j'voulais juste passer le reste de la soirée avec elle, sans pour autant coucher avec, sans pour autant parler de ces sentiments qui nous brûlent de l'intérieur... •

Je n'aurais pas dis non à rester plus longtemps, je le sais, je me connais, mais je ne pouvais pas. Je ne pouvais pas parce que chaque seconde de plus me laissait des idées, des sentiments pour Misha, et je ne voulais pas me le permettre. J'aurais tellement aimé bloquer tous les sentiments existants chez moi, j'aurais voulu le rejeter, lui dire non dès le départ, devenir froide, méchante, distante. J'aurais du. J'aurais vraiment du. Il attrape mes mains et m'enroule avec ses jambes, et moi ça m'amuse. Je ne vois pas le piège, ça m'fait rire c'est tout, "Des pattes ? Sérieusement ? Si tu restes ici, on peu commander quelque chose, ou alors... J'ai des pattes dans les placards si tu tiens vraiment à en faire..." Je riais en secouant la tête, j'ai promis aux pattes de mon placard à moi de rentrer, c'était pas pareil. "Et puis, si t'as pas remarqué, j'te bloque là... T'oserais pas me frapper pour pouvoir partir ?" Je fais une petite moue, "eh bah.." si, en fait si. Totalement même que j'oserais. Je le regardais en souriant en coin, approchant mes lèvres des siennes sans rien faire, sauf murmurer, "tu m'saoule.." je frôle ses lèvres sans l'embrasser, attrapant sa lèvre inférieure pour la mordiller doucement, et lentement être de plus en plus sauvage, avant d'arrêter, "j'pourrais.. te priver de bisou.." je pose quelques baisers sur sa mâchoire, "ou j'pourrais te donner envie et ne rien faire ensuite.." je souriais un peu, et le regardais, "ou j'pourrais faire des pattes.." ou alors il peut commander. ça marche aussi.

• J'me souviens, étant jeune, bien que je ne sois pas un vieux marchant avec son putain de déambulateur et qui passe son temps à se plaindre de la vie, de sa jeunesse perdu et j'en passe, et bien, j'ai longtemps enchainé les soirées les plus arrosés les unes que les autres, et, l'alcool ainsi que le sexe était, pour moi, une occupation, une espèce de drogue à laquelle j'étais devenue accro, comme le con que j'étais. J'voyais en ça un moyen de m'évader, de quitter ce monde à ma façon et de voir la vie sous un autre angle, de tout faire d'une façon différente. Sauf que désormais, je m'étais calmé, les grosses soirées où tu finis par regarder les gens se vomir dessus car l'alcool n'a plus aucun effet sur toi, j'évite de trop y foutre les pieds aux risques d'y oublier mes chaussures. Coucher avec des filles n'importe où et n'importe quand, j'fais en sorte d'arrêter. En réalité, dernièrement, la seule que je désire, c'est Tamsin, la seule qui arrive à me faire penser à autre chose qu'au sexe quand je la vois, c'est elle. J'ai à la fois envie de coucher avec, mais, j'me dis que pour le moment, je ne dois pas le faire, j'dois attendre que tout soit plus clair entre nous pour le faire, attendre que cette part de mystère qui nage autour de nous se barre. Je venais de la bloquer, comme pour l'empêcher de quitter ma maison, je voulais passer le reste de la soirée avec elle, et, après ce moment de tendresse qu'on venait de passer, je comptais pas la laisser maintenant, alors, ces pattes, elles attendront. Je l'écoute me répondre, mordant sensuellement ma lèvre, et, je ne pouvais m'empêcher de sourire quand j'entendis la fin de sa phrase. "Tu pourrais faire des pattes ici ouais..." Avais-je lâché, continuant de la bloquer, et laissant mes lèvres aller déposer de doux baisés dans sa nuque. "Où alors, j'peux commander un truc que t'aimerais manger..." Histoire que ça soit plus rapide aussi, du moins, rapide, je sais pas, mais mangeable déjà, car, j'vais pas vous mentir, je n'ai jamais eu la chance de gouter un plat cuisiner par Tamsin, à chaque fois, on se fait livrer ou on mange dehors... Je sent son corps contre le mien, et, la seule chose que je veux manger, c'est elle... Sauf que je ne peux pas, je n'ai pas le droit. La seule chose qui m'est autorisé est de l'embrasser et de laisser mes mains passer doucement sur son corps, c'est tout... •

J'étais quand même coincée entre ses jambes. Si ça, ça me donnait pas des idées, je savais pas ce qu'il me fallait de plus. Non vraiment, j'avais envie de lui, mais j'avais pas envie de lui de cette manière. Je voulais que ce soit mieux, que ce soit vrai. Pas que ce soit incertain et sur un canapé bien trop petit, quoi que. Là, j'avais le dessus, alors ça m'allait peut-être. Non. Non Tamsin. Je voulais que ce soit plus fort avec Misha s'il se passait quelque chose, et en même temps j'avais peur de devenir accroc à lui. Ca me faisait tellement peur de devenir dépendante de quelqu'un. Je ne voulais pas l'être, alors je me dis que si j'évitais d'aller trop loin, c'était plus facile à combattre. "Tu pourrais faire des pattes ici ouais..." Si j'avais été un chat, je serais actuellement entrain de ronronner. "Où alors, j'peux commander un truc que t'aimerais manger..." je souriais, d'accord, j'adorais être là. J'aimais me trouver dans ces bras, j'aimais entendre sa voix murmurer des trucs aussi con que parler du plat qu'on allait manger ensuite. Je souriais, "t'es sexy quand tu parle d'commander à manger tu sais ?" par définition, dans ma tête, il l'est tout le temps. Sauf à la piscine, peut-être. Hm, quand il fait caca aussi, j'pense. Je vais revoir ma définition. Je pose un baiser sur ses lèvres, "va pour une pizza ou du chinois.." et je pose des baisers sur son menton doucement, "faut que tu m'fasse arrêter de t'embrasser.." je relève la tête et souris, "dégoûte moi de toi !" parce que je vais continuer toute la nuit et j'ai jamais passé autant de temps à faire ça depuis un moment. Parce que je veux pas tomber amoureuse et parce que j'ai peur que ce soit déjà un peu le cas.