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COKA ಇ first date.

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« Sharon ... On reste dans le thème des chats au moins, c'est bien. » Non seulement, Cody avait raison, Sharon ça faisait un peu chat c'est vrai, mais en plus de ça, Marie avait raison également, Sharon faisait un mélange entre chat et ronronnement, si ce n'est pas la classe ça. Dia, c'est un diamant et Sharon, c'est une chatte. Ouaichhh, mes pseudos avaient de belles significations. Okey, j'arrête de me vanter parce que je n'ai pas envie d'avoir la tête plus grosse qu'un pastèque. En parlant de photos, Cody réagissait plus rapidement que son ombre. « Elles sont où les photos ? Dans ta culotte ? » C'était Dia, elle avait une fâcheuse manie de prendre ses culottes pour the perfect cachette et maintenant, son homme la connaissait que trop bien, puisqu'il en avait été témoin cette fameuse nuit. « J'ai voulu la cacher dans ma culotte, mais je me suis dit que tu la trouverais trop vite. » Plaisentais-je en rigolant. C'est surtout Codynosaure Rex, le prédateur le plus redoutable de toute la zizisphère qui aurait été ravi de chercher ces photos, car il ne perd jamais une occasion de retrouver sa femelle aka Kovagin. En venant ici, je n'imaginais pas voir un aussi beau spectacle sur un toit. C'était, coloré aux lumières de l'espoir, de la paix, de la joie, du bonheur, de la bonne humeur, de l'amourrrrr, c'était parfait. Et je le partageais avec l'homme que j'aime, ce mois de décembre est sans aucun doute, le meilleur de tous les mois de décembre qui ont défilé sous mes yeux. God, puis ce feu d'artifice, c'était vraiment magnifique, c'était the moment !. Et comme si mes yeux ne brillaient déjà pas assez, Cody tendis les bras en m'obligeant ainsi à me retourner pour lui faire face. Il m'enlaça rapidement des hanches, me plaquant contre lui afin d'entamer un petit slow. Mamiaaa. Attendrit par ce moment magique, je me laisse guider par ses pas alors que mes mains glissent lentement le long de ses bras, ses épaules terminant par se croiser dans sa nuque. Chaque pas de danse semblait correspondre au battement de mon cœur, comme si tout mon corps vibrait au rythme de cette mélodie invisible. On en oublia le reste. A présent, nous étions plongés dans un monde parfait où il n'y avait que nous. Nos lèvres s'effleurèrent terminant par s'épouser amoureusement et langoureusement. La joie que j'éprouvais à cet instant transpirait par tous les pores de ma peau. Mon pouls s'accélère alors que les secondes s'écoulent. Je quitte ses lèvres à contrecœur pour pouvoir reprendre mon souffle. Et alors, je me perds dans ses beaux yeux, je fonds sous son regard si intimidant, si le monde devait s'arrêter de tourner en cet instant précis, cela ne me dérangera pas. Mais le monde tournait malheureusement, si bien qu'un toussotement se fit entendre pour nous montrer qu'on était pas seul. Mais là n'était pas le plus important, le plus important est ce que je sens au niveau de Kovagin. « Je crois que Codynosaure est en train de grandir comme le nez de Pinocchio, hum. » Et je le sentais se durcir davantage. Faut qu'il arrive à canaliser ses hormones là. Mon sourire se veut moqueur à présent. Et c'est sans attendre que je viens avec douceur passer mes bras autour de sa taille, nichant ensuite ma tête dans le creux de son cou. Pour le provoquer encore plus, je laisse ma langue humidifier sa clavicule, finissant par embrasser fiévreusement son cou jusqu'à aller mordre sensuellement sa lobe d'oreille. De quoi rallonger encore plus Codynosaure. Par notre silence, les autres ont bien compris qu'il fallait nous laisser maintenant. Aller ousttttttttttttt. Ils déposèrent les verres et le champagne sur la table décampant sur-le-champ. Allelujah. Mon visage s'étire dans un malicieux sourire afin de me retourner une nouvelle fois dos plaqué contre son torse. Et là, je me mets à bouger mon popotin sur le Codynosaure Rex de mon chéri. M'enfuyant ensuite vers différentes décorations. « Attrape-moi si tu peux !. » Concluais-je en lui tirant la langue tout en grimaçant. C'est surtout que je voulais le voir courir avec le nez de Pinocchio entre les jambes. Mon dieuuuuuuuuuuu, rien qu'à cette pensée, j'éclate de rire en contournant certaines décorations histoire déchaper à mon homme. « Cody Bande ! Cody Bande ! Il a un nez de Pinocchio au milieu des jambes lorsqu'il bande !. » Chantant ceci histoire de le provoquer afin de le pousser à venir me chercher s'il voulait me faire taire.
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Oh. Ce n’était pas une tare d’avoir le soldat Bleeker au garde à vous face à l’adjudante chef Kovache. Alors cette dernière aurait pu lui épargner ce commentaire devant les autres, même murmuré. Et certes, il n’arrivait pas à dresser ses hormones. Elles étaient complètement désobéissantes et Cody finirait bien par régler un jour ce léger souci et à imposer son autorité face à son zizi. CERTES. Mais on en reparle de Diamantika qui se déguise successivement en Mère Noël et en chaton, pour ensuite se frotter à lui comme un hérisson sur une éponge Spontex ? ET OUAIS. C’est la faute à Diamantika tout ça. Elle n’avait qu’à être moins baisable ou, tout du moins, arrêter de l’aguicher pour un oui ou pour un non. « Arrête Dia, arrêteeeee … » geignit-il alors que sa langue se pavanait et faisait la roue dans son cou. Elle a pris sa peau pour un drap sale ? Non parce qu’elle la nettoyait autant qu’un tambour de machine à laver quoiiii, la mousse en moins. Quoiqueeeeee, Diamantika avait l’air de baver sur sa gorge. C’est pas une langue qu’elle a, c’est une limace, et moi les limaces, vous savez ce que j’en fais ? PARFAITEMENT. Je jette de l’anti-limace. Et ouuuuuiiii, on déconne pas avec Marie. Encore moins avec Cody. Toute la troupe de joyeux lurons s’éclipsa pour laisser Kovalevski alone avec Bleeker. Du coup, comme elle souhaitait intégrer la Lowell House en septembre prochain (sisi, je spoile), madame offrit un concert privé au président à base de ’Cody bande, Cody bandeee, il a le nez de Pinocchio au milieu des jambes’. Du grand art. Bravo. J’applaudis. Ah. Ah. Ah. « J’vais pas t’attraper, j’m’en fous d’abord ! » Sur ce, il croisa les bras et s’assit par terre en plein milieu du toit. « Est-ce que moi je chante ’Kova mouille, Kova mouille, elle attend qu’on lui fasse des fouilles’ ? NON ! » Alors qu’il pourrait très bien le faireeee, mais il a un semblant de respect pour elle. « Oh puis tu m’énerves ! » Il la voyait se pavaner dans son pyjama de koala hybride mélangé à un rat d’égout qui pue. Du coup, il se précipita sur elle en ouvrant graaaand les bras pour la plaquer comme il l’a appris au cours de ses entraînements de football. Certes, Cody et Dia n’avaient pas les mêmes gabarits maaaaaiiiiis il ne faut pas sous-estimer le poids de l’égo de Kovache. Sauf que Cody voulait la plaquer contre le traîneau du Père Noël derrière elle. Il n’avait pas calculé qu’ils atterriraient dans le décooooorrrrr. C’est ainsi qu’ils se retrouvèrent allongés aux pieds d’un faux Père Noël sur sa banquette de traîneau, Cody sur Diamantika, les deux légèrement assommés. Et puis comme quand Kovache attaque, Bleeker contre-attaque, ses lèvres s’entrouvrirent dans le creux de l’oreille de Diamantika, desquelles une voix suave s’échappa ; « Et là, Cody a toujours le nez de Pinocchio entre ses jambes ? » En efectoooo, il l’avait, d’où la raison pour laquelle son bassin dansa sensuellement avec Kovagin à travers leurs vêtements, et Cody dévorant la gorge de Dia à pleines dents. Il mettait de la frénésie, de la lascivité dont seul un navire sur les flots détenait le secret, dans ses mouvements, dans cet instant, savourant les contractions stomacales de sa bien-aimée contre son bas-ventre, gage de plaisir. Il se tordait alors que chaque particule fine du cou de la vache de ferme passait sous ses lèvres en fusion. Ce n’était pas de la salive qui scintillait sur le bout de sa langue, mais du magma à 2000 degrés, le genre à ensevelir Pompéi en deux minutes top chrono, à recouvrir d’un voile de vapeur tout désir de résistance. Elle rigolait mooooiiins làààà, quand ses hormones étaient mises à rude épreuve. Elle la ressentait, sa frustration ? Nul doute. Puis d’un coup, il s’immobilisa, un sourire sadique s’esquissa le long de ses lèvres pulpeuses. Le brunet leva la tête et pouffa de rire avant de lancer un regard aguicheur à Dia ; « Mmmh, Santa non plus ne porte pas de culotte. Vous en avez des points en commun, c’est fou fou fou ce monde est fou. » À croire que tout le monde pratiquait le naturisme de son appareil reproducteur dans cet hôtel ! Tssssk, aucune tenue ! Au sens propre comme au figuré. Sur ses belles paroles et espérant avoir bien émoustillé sa petite amie, Bleeker se redressa et partit tranquilleeeement les mains dans les poches lalalalala la vie est belleeeeee. En plus, ça fit du bien à Codynosaure qui se détendit un peuuuuu. Et ouais, Diamantika avait fait l’amère expérience de l’arroseur arrosé, sauf que Cody lui épargnait la chanson pourrie, le genre de chanson pourrie qui te reste en tête pendant cinq heures d’examens (merci beaucoup).
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Hannnnnnnnnnnnn mes amourssssssss ne croyez pas cette vilaine rumeur, je ne compte pas quitter la Eliot House, nondidiouuuuuuu. Par contre, Marie et Cody essaient de me recruter parce qu'ils savent que je suis tellement badass, que je ramènerais encore plus de membres chez eux. Okey je sors. « Arrête Dia, arrêteeeee ... » NON ! Chez moi arrête veut dire, continueeeeee Dia, ne t'arrête surtout pas. En plus, je savais bien qu'il aimait ça, mais monsieur faisait genreeeee. Du coup, je continuais un petit instant sachant très bien qu'il allait devenir fou fou fou, Bleeker fou fou fou. Je savais qu'au moindre touché de ma part, il s'excitait comme pas possible. C'est ça d'avoir une copine super sexy qui en plus de ça, comble les nuits à la perfection. Lui comme moi, sommes chanceux de s'être croisés parce qu'on se complétait. Pour le provoquer davantage et l'exciter encore plus, je m'étais mise à frotter mon popotin contre son Codynosaure Rex et autant dire que là, il en était affamé. C'est pourquoi, j'avais préféré m'échapper de son emprise sachant qu'il allait finir par me dévorer toute crue. « J'vais pas t'attraper, j'm'en fous d'abord ! » Monsieur grincheux is back. Je lui tirais à nouveau la langue style. GROS NUL QUI NE SAIT PAS COURIR. « Est-ce que moi je chante 'Kova mouille, Kova mouille, elle attend qu'on lui fasse des fouilles' ? NON !.... Oh puis tu m'énerves ! » J'arquais un sourcil avant de rétorquer. « Elle est nulle ta chanson !. Je préfère, 'Kova mouille, Kova mouille, elle attend qu'on lui fasse des nouilles'. J'adoreeeeeeeee les nouilles !. » Et là, fallait pas que je le provoque parce qu'il a sortis les crocs et s'est mise à courir vers moi. Je tournais autour d'une espèce de mini jardin avec des nains. Le jardin où Cody est née et où il y a toute la famille Bleeker. Ah merdeeeeeee, je suis une Bleeker Now. Quoi qu'il en soit, il finit par me rattraper. Ouai bon quand Cody courait c'était comme s'il sautait de grandessssssss marches, NORMOL qu'il me rattrape quoi. Sauf qu'il me poussa je ne sais où, manquant sa trajectoire et monsieur gaffeur me fit tomber sur la banquette arrière d'un traîneau. Ça faisait maaaaaaaaaaaaaaaal. Mais bien vite, il me fit oublier la douleur. Le loweel commença à se frotter contre moi, GODDDDDDDD je sentais Codynosaure appeler, provoquer, caresser diablement Kovagin à travers nos vêtements. « Et là, Cody a toujours le nez de Pinocchio entre ses jambes ? » Ma respiration s'accéléra d'un coup, mes muscles se contractèrent, des papillons d'hormones naissaient au creux de mon ventre. TORTUREEEEEEEEE. Incapable de dire quoi que ce soit tant je respirais rapidement, je secouais positivement de la tête, c'était un OUI. Cody avait toujours son nez de Pinocchio entre les jambes et nondidiouuuu, il avait réussi à m'exciter avec pas grand-chose, juste une danse sensuelle contre mon corps. Et, il aggrava mon cas en se transformant en Damon Salvatore ou Klaus Mikaelson, dévorant ainsi ma gorge et la suçant jusqu'à la dernière goutte de sang. « CODY !. » Criais-je tant j'étais excité. Je voulais lui demander de stopper au risque de ne plus pouvoir me stopper moi-même. Mais c'est tout ce que j'avais pu lâcher. Un Cody d'une voix tremblante sortant de mes lèvres chaudes. Cette étreinte était intense et chargée d'émotions, alors que d'une profonde inspiration, j'humectais le parfum enivrant de mon petit-ami. J'aurais pu mourir à cet instant le cœur léger, mais apparemment, ce dernier battait à la chamade et ne comptait pas s'arrêter, bien au contraire, il tambourinait dans ma poitrine à l'unisson avec le sien. Et au moment où je comptais m'abandonner à ses douces tortures, monsieur se releva en pouffant de rire. « Mmmh, Santa non plus ne porte pas de culotte. Vous en avez des points en commun, c'est fou fou fou ce monde est fou. » Il s'éloigna et je grognais aussi fort qu'une louve en chaleur. « Ce n'est pas DRÔLE ! Sale tricheur ! » De plus, j'avais pris soin de remettre ma jolie petite culotte et mon soutif assorti, plus sexy que les costumes de mère Noël et chat. Je contournais le jeune homme pour arriver face à lui. Je pause une main sur son torse en repérant une petite tente de camping derrière lui. Posant une main sur la fermeture éclaire de mon pyjama, je la fais glisser jusqu'à mes fesses et laisse tomber le vêtement le long de mes jambes. God il faisait froidddddddddddd. Néanmoins, j'essaie de tenir. « Je ne porte toujours pas de culotte ?. » Il pouvait voir maintenant que j'en portais une, très sexyment aveuglante. Je repose un doigt sur son torse et l'oblige à marcher à reculons. Puis, une fois au niveau de la tente, je le pousse à l'intérieur et je referme derrière nous. « J'ai froid, femme demande à être réchauffée toute suite ! Enlève tes vêtements !. » Dis-je en affichant un large sourire. Marchant à quatre pattes, je grimpe sur lui à califourchon et tout en déboutonnant sa chemise, je frotte mon bassin contre le sien. « Femme n'a plus froid, elle est en chaleur maintenant ! Enlève tes vêtements !. » Dia délirait en mode excitation puissance mille. Elle va le dévorer tout cru. La chemise enfin déboutonnée, je pose mes mains froides sur le bas de son ventre, remontant sensuellement jusqu'à son torse, continuant toujours de faire danser mon bassin. « J't'aime. » Et toute suite après ça, j'épousais ses lèvres pour l'empêcher de parler. Un je t'aime inattendu, mais qui avait besoin de sortir tant ce soir j'étais heureuse.
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Alooouuuuurs comme çaaa, Diamantika aime les nouilles ? Goooood to know ! Comme ça, si un jour ils en arrivaient à faire un dîner aux chandelles, il lui préparerait un jambon-pâte, madame sera contente avec ça si elle aimait taaaannnnt que ça les nouilles ! Ah, c’est vrai que sa nouille préférée, c’était celle de Cody. Et Cody, il n’avait pas un spaghetti entre les jambes ni même un macaroni, noooon, il avait un cannelloni bien bien biennnn gastronomique. C’est tellement dégueulasse ce que je dis pardonnez-moooooooooooi. Donc, Cody se vengea sur Diamantika pour qu’elle arrête de l’émoustiller en l’émoustillant à son tour, ce qui émoustilla évidemment le Bleeker même si s’émoustiller n’était pas le but de son émoustillement forcé de Diamantika. Vous avez suivi où je la refais ? OK, je refais. Donc Cody, trop émoustillé, décida d’émoustiller à son tour Diamantika, ce qui l’émoustilla mais émoustilla à son tour le Lowell alors qu’à la base, il ne voulait pas s’émoustiller en émoustillant Dia. C’est plus clair ? Wesh, je savais qu’en le répétant, ça irait mieux, ça passe comme papa dans maman. Le pire, c’est qu’en la touchant à peine – ou en l’émoustillant, c’est jamais que la dixième fois que je le dis en cinq lignes – elle criait son nom dans son oreille. Mmmh, tu t’améliores Cody, bientôt on pourra te surnommer the master of sex, tu décrocheras même un diplôme que tu exhiberas fièrement au mur de ta chambre, à côté de ton diplôme de Harvard, si tu passes un jour la première année. Wesh. Ça fait rêver. Tout comme aïe aïe aiiiieeeeeee, Diamantika se déshabilla NARMOL sur le toit. Elle se débarrassa de son pyjama moche – tant mieux – là, sur le toit, alors que n’importe quand un des vicelards du manoir pouvait se pointer en prétendant avoir perdu son slip de poche. « Mais si tu portes une culotte, c’est bien, et HEUREUSEMENT que tu portes une culotte ! Rhabille-toi enfin, les étoiles pourraient te voir ! Regarde-les, elles clignotent ! J’suis sûr qu’elles se rincent l’œil en s’astiquant leur zizi d’étoile sur toi. Rhabille-toi, allez, alleeeeezzzz ! » À peine eût il terminé son discours qu’il s’apprêta à se baisser pour qu’elle enfile sa peau de kangourou mais elle le retint d’un doigt sur le torse. Gné ? Il arqua un sourcil, la mine emplie d’incompréhension, alors qu’il recula d’un pas presque mécanique jusqu’à la tente. Et puis Diamantika vint le sauter dessus en l’ordonnant de la réchauffer. Euh OKKKK. Dans cette tenue, c’est quand elle veeeeuuut. Et puis, la seconde d’après, alors qu’elle arrachait sauvagement la chemise de son homme, elle informa Cody Bleeker sur les conditions climatiques actuelles du Diamantikaland ; grrrrrrroooosssseeeees chaleurs. Et dans la République Démocratique du Kovagin, ça devait être les fortes pluies, voyez ce que je veux dire face Enfin j’dis çaaaa, mais au Codynosaure-Uni, on atteignait un pic de température. Surtout un pic en fait. « Femme devrait un peu me laisser me déshabiller aussi, oh putaaaain … » C’est qu’elle le rendait fou là, à danser une rumba sur lui. La danse de l’amour, la danse de l’amour, ah ça oui, Codynosaure en recevait de l’amour, à tel point qu’il en étouffait, il suffoquait, il voulait voir la lumière du jour. Son épiderme, son derme et son hypoderme étaient en éveil, ils pétaradaient, si bien que chaque couche de sa peau se mélangeait pour une orgie que même le plus grand bordel parisien ne pourrait concevoir. Les mains glaciales de Kovache hérissaient chaque poil de Cody sur leur passage – et dieu sait qu’une épilation ne serait pas du luxe chez Cody Bleeker – comme si elle injectait en lui une résine spéciale comme Olivier de Carglass sur un pare-brise. Puis d’un coup, elle lâcha un je t’aime qui fit sourire le président Lowell, mais ce fut de courte durée puisque l’Eliot décida de le faire taire avant même qu’il n’ait eu l’idée de formuler la moindre phrase. OKKKK, s’tu veux Dia. Cody plaqua systématiquement ses mains sur le popotin de Kovache, la paralysant dans ses mouvements. Fallait juste qu’elle arrête de seconde de faire sa Nicki Ménage sur lui, stoooopp please please pleaaaaaseee. Ses mains lascives remontèrent le long de sa croupe, franchissant l’obstacle de ses vertèbres pointues le long de la courbure de son dos. Lentement, il prolongeait ce baiser, s’emparant incessamment de ces lèvres qu’il ne connaissait que trop, maintenant. Alors, il arracha son soutien-gorge d’une main de maître – à croire qu’il a fait ça toute sa vie le mec, et ouaaaaaaiiiiis – qu’il balança … Ben non, qu’il ne balança pas en fait parce que la tente était trop petiteeeeeeeeee donc le soutif rebondit contre la paroi de la tente et revint tel un boomerang au niveau de son oreille. Narmooool. De ses gros bras, il enveloppa Diamantika afin de choyer sa poitrine contre la sienne, se délectant d’un moment de répit avant que les choses sérieuses ne commencent. Ben ouais, à ce stade, c’était inévitable. Les paupières grandes ouvertes, Cody perdit son regard au travers de la toile, admirant les mille et une lumières qui transperçaient les fines mailles de la tente. Il y avait les étoiles ainsi que les faisceaux bleus et mauves des décorations de Noël. Coïncidence ? Je ne crois pas. Il apposa ses lèvres sur sa joue pour un tendre bisou, marmonnant tout contre sa peau ; « Dia Bleeker … » ça sonnait bien, non ? Il se plaisait à le dire. Et pour un jaloux maladif comme lui, il ne pouvait que se réjouir de posséder encore un peu plus Diamantika.
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Okey, moi qui venais d'avoir faim et sur le point de manger des spaghettis et bien, me voilà au régime ce soir. Marie m'a coupé l'appétit, j'aurais peur d'avaler ces spaghettis maintenant. Je vais plutôt me concentrer sur ce rp que penser à mon ventre, même si je me connais, car je ne vais pas pouvoir résister longtemps. Je ne peux tout simplement pas dormir sans manger. Je vais peut-être me contenter d'un fruit ce soir. C'était la minute "on s'en fout". Retirant mon vêtement, Cody pu enfin constater que je n'étais pas toute nue sous ce pyjama trop mignonnnnn. Je ressemblais à l'un des télétubbies. « Mais si tu portes une culotte, c'est bien, et HEUREUSEMENT que tu portes une culotte ! Rhabille-toi enfin, les étoiles pourraient te voir ! Regarde-les, elles clignotent ! J'suis sûr qu'elles se rincent l'oeil en s'astiquant leur zizi d'étoile sur toi. Rhabille-toi, allez, alleeeeezzzz ! » Et là, j'éclate de rire. Un rire qui résonna assez fort. « Les étoiles n'ont pas de zizis ! Ce ne sont pas des mâles. On dit UNE étoile !. » Cody Bleeker venait de travestir ces pauvres étoiles. Comme je les plains. Mais là n'était pas la partie la plus intéressante, celle qui l'était, c'était sous cette petite tente décoratif. C'était l'image de Dia qui se frottait à la Bob l'éponge sur le bassin de son petit-ami, cherchant à provoquer une éruption volcanique au niveau de son bas ventre. Dia cherchait à exciter son homme à son maximum pour qu'ils se dévorent passionnément. Et elle avait réussi sa mission. « Femme devrait un peu me laisser me déshabiller aussi, oh putaaaain ... » Sayez, homme était excité maintenant et ne voulait plus qu'une chose. La fusion de nos deux corps. On va se transformer en Super Saïyen et former un COKA. « T'es trop lent Bleeker !. » C'est pourquoi, je m'occupais moi-même de le déshabiller. Et avant de passer aux choses sérieuses, je voulais libérer, délivrer ma langue de ce "je t'aime" qui pendait au bout depuis t'aleurs. Le lowell posa ses mains sur mon popotin me canalisant en stoppant ma danse sexy. Peut-être qu'il n'en pouvait même plus et qu'il allait finir par se libérer avant même qu'on commence la partie de oléééé olé olé olé, olé olé. COKA ಇ first date. - Page 4 1116103942 Aoutchhh. Il remonta lentement ses mains le long de ma colonne vertébrale et mon sang ne fait que bouillir, électrisant mon corps. Ce dernier s'empressa de dégrafer mon soutif pour le balancer je ne sais où et quant à moi, je fourrais ma tête dans son cou histoire de reprendre un peu mes esprits et calmer mes hormones de femme en chaleur. Lorsque que soudainement, il murmura au creux de mon oreille. « Dia Bleeker ... » J'ouvre grandement les yeux en me redressant d'un large sourire. « C'est moi, c'est moi !. » Oui c'était moi, oui j'étais sa femme par le pouvoir de l'amour et non de la loi. « Fière de l'être. » Murmurais-je en frottant doucement mon nez contre le sien. Mes mains logent sa ceinture que j'enlève délicatement et balance. M'attaquant ensuite à son pantalon et son boxeur. Oui Dia est passée maîtresse de l'art du déshabillage, car en même pas une minute, ils se sont retrouvés nus comme un ver. Mes mouvements de danse à la bohémienne reprirent. L'intensité de mon regard plongeait dans le sien avec une telle passion que j'eusse l'impression de m'y noyer. Mon visage se rapprocha de celui de mon mari tandis que mon cœur battait dans mes oreilles et mes doigts remontaient le long de ses bras se posant dans sa nuque avec douceur. Je l'aide à s'asseoir, moi toujours sur lui. Nos lèvres se frôlèrent, se caressèrent, se touchèrent puis se quittèrent, se taquinèrent à nouveau, se provoquèrent, s'émoustillèrent et aux derniers instants, j'hausse mes sourcils deux fois pour lui donner le feu vert. Mes pupilles se dilatent fixant intensément les siennes, alors que je me mords sensuellement la lèvre inférieure.
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En parlant de fruits, certes, Cody avait un gros cannelloni dans le caleçon. Mais avec une autre perspective, on pouvait aussi très nettement affirmer que Bleeker avait une corbeille à fruits dans le boxer. Et ce n’est pas le grand Arcimboldo qui dira le contraire. C’est pas une merguez et des pois chiches qu’il voit au niveau de son service trois-pièces, noooon, il voit une belle banane bien mûre et deux gros kiwis. J’aurais pu dire citron aussi mais bon, l’épilation intégrale, lui pas connaître. Sur ces jolies paroles, revenons-en à nos deux petits cochons qui s’en allaient dangereusement trouver le grand méchant loup. « Mais non ! J'suis pas lent ! C’est toi qui a pas de patience ! » gueula-t-il pour couvrir le son de sa voix. Ben bieeeeeennnnn, ils allaient s’engueuler maintenant ! Non mais c’est Cody et Diamantika, ils s’engueulent pour un oui pour un non mais c’est ça quand on s’aime d’un amour si intense que chaque particule fine de son cerveau s’ébouillante à la moindre remarque. Puis, dans un moment de répit, il murmura son nom, son nouveau nom, car oui, elle était sa femme. A ses yeux, elle était la seule, l’unique, celle qui portait un anneau à son doigt, la seule qui avait le droit de divorcer de lui. Oulalalaa, en parlant de divorce, Cody s’imaginait déjà se battre pour avoir la garde de Cody et Cody (ndlr ; ses boobs, pour ceux qui viennent juste de commencer à suivre nos aventures). « Présente, monsieur ! Qu’on dit. Pas ’c’est moi c’est moi’, dans ce cas, c’est moi c’est moi aussi tu vois, quand tu dis c’est moi je sais pas que c’est toi, oh dieu Jésus Marie Joseph Saint Pierre et Miquelon. » Là, ce fut quand, nus comme des gens nus, Diamantika se remit à mouvoir sur son corps, obligeant Kovagin à flirter avec Codynosaure. Ses muscles se contractaient, ses sens étaient en éveil. Il étira le cou, ferma les yeux les paupières closes pour canaliser tout ce déluge qui s’empara de ses cinq sens. Putain, il n’avait pas fini de l’engueuler en plus quoi, merde merde merdeeeee. Même si le feu était vert, Cody démarra en première et demeura quelques secondes. Ses doigts brûlants empruntaient la route de ses cuisses, circulation fluide, quoique perturbée par quelques bourrelets et des nids de poule qu’on appelle couramment cellulite. Mais ça vaaaa, cette route de campagne était sympaaaaa, surtout quand Cody prenait le chemin de ses reins, divaguant sur ses hanches, sur son ventre, son bas-ventre, son tatouage. Cody ne se lasserait jamais de le regarder, de l’admirer, de dessiner ces boucles et ces virages à l’encre noire, se disant que son musée du Louvre et sa Joconde se trouvaient sous ses yeux et qu’il était l’unique touriste très chanceux à avoir décroché son ticket d’or. Il effleura son visage de ses lèvres pulpeuses, aux aguets, branchées à des antennes magnétiques qui décryptaient chaque vibration de sa peau. Il les inscrivait sur une échelle sismique et là, il pouvait dire que leur échange charnel allait provoquer un tremblement de terre à la frontière entre le Codynosaure-Uni et le Diamantikaland. Et enfin, il entoura sa taille de ses hanches, caressa du bout de sa bouche son nez puis ses lèvres, sans les embrasser. Il fermait les yeux, bercé par le langage de leurs corps désirant de s’unir pour le pire et surtout pour le meilleur. Voilà le meilleur. Il attira Kovache, la reine au royaume de son cœur, tout contre son buste à chaud, à feu et à sang, puis l’empala sur le trône doré sur lequel elle devrait siéger à vie. Sans jamais bouger, si ce n’est que de haut en bas. Peut-être bien qu’il n’était que le fou du roi qui, par une magie indétectable, parvint à séduire la reine. Mais il se sentait à son tour roi puisqu’il l’aimait. Il leva la tête et croisa son regard fougueux, brillant, luisant. Il chavirait alors que les pointes des cheveux de Diamantika effleuraient son visage transpirant de bonheur. Enlaçant toujours sa taille de ses bras musclés, il entreprit de lever et descendre la voile le long de son mât, s’emparant des lèvres de Dia avec une douceur presque inattendue, vu l’enchaînement de péripéties pour en arriver à cette étreinte au fond de cette tente.
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« Mais non ! J'suis pas lent ! C’est toi qui a pas de patience ! » Non du tout, je vous jure, Cody était plus lent qu'une tortue, une heure se serait écoulée et monsieur n'aurait toujours pas terminé ce qui aurait laissé suffisamment de temps aux moustiques pour me piquer partoutttttt. Non, dans ce genre de situation, il vaut mieux laisser les femmes s'en occuper. Même Flash s'avouera vaincu. Battu par une femme grâce au pouvoir du sexe. « Présente, monsieur ! Qu'on dit. Pas 'c'est moi c'est moi', dans ce cas, c'est moi c'est moi aussi tu vois, quand tu dis c'est moi je sais pas que c'est toi, oh dieu Jésus Marie Joseph Saint Pierre et Miquelon. » Il délirait ma parole. Ahhhh je comprends pourquoi, simplement parce que j'étais en train de danser la samba sur son bassin. Il devenait fou, fou fou. Le lowell pourrait parler des heures à dire n'importe quoi juste sous l'effet de mon Sexy Dance 3. Ouichhh, Set Up 3 peut remballer et aller se cacher. Sexy Dance 3 estTHE BEST. Mon petit-ami assit, les choses sérieuses pouvaient commencer. "Fin le film quoi. ACTION !. Il caressa mes cuisses, mes hanches, mon ventre, puis redessinait les contours de mon tatouage. Je déglutis, car il me faisait perdre la tête. C'était en moi qu'un volcan était sur le point d'exploser. Mon cœur se met à battre si fort dans ma poitrine qu'il allait finir par en sortir. L'une de mes mains vient avec douceur, caresser ses cheveux et c'est avec tendresse que je le regarde. Moi, Dia Kovalevski, maintenant Bleeker, tendre avec un homme, il n'y avait vraiment qu'à ce petit chanceux que cela pouvait arriver. Mon autre main se pose sur le haut de son front, glissant lentement en redessinant les contours de chaque particule de son visage, son front, son sourcil, son œil, sa joue, son nez, ses lèvres, je voulais m'en imprégner again and again parce que c'était toujours plaisant de redécouvrir son corps. Il déposa ses lèvres sur mon nez, puis sur mes lèvres sans pour autant m'embrasser. Front contre front, je pouvais sentir son souffle m'envelopper, me réchauffant ainsi. Et tout à coup, il m'attira contre son buste afin de pouvoir posséder son trône. A cet instant, j'ai eu le besoin de le serrer longuement contre mon cœur en fermant les yeux. L'ambiance, l'odeur, lui... Je ne bougeais plus malgré le fait d'avoir unis Codynosaure et Kovagin. Dans ce moment de passion, je reculais la tête et remontais l'une de mes mains pour caresser la joue de mon mari, avec douceur. Un baiser s'enchaîna avec la preuve que je ne voulais plus détacher mes lèvres des siennes souhaitant lui témoigner tout l'amour que j'avais pour lui. Puis... au même moment, je recommençais à danser. Déhanchant à la Esméralda, mais toujours en douceur, je retirais mes lèvres des siennes pour que nos regards se croisent et nos sourires s'échangent. Il n'y a rien que je puisse aimer davantage que ces moments entre nous, seuls, fronts collés à se sourire et à s'échanger des mots qui n'ont de sens que pour nous, à faire les fous et retomber en enfance, s'engueuler avec passion et se réconcilier avec amour. Il n'y a rien que je puisse aimer davantage que lui, tout simplement. J'aimais tant cette proximité, son odeur attirant, cet amour qu'on se transmettait l'un à l'autre à travers nos souffles, à travers nos doigts ou par l'intermédiaire de nos baisers. Je l'aimais tant cet homme. Jamais tant sa façon de me faire l'amour, sa façon de me montrer qu'il m'aime, sa façon d'être tout simplement. Je ne l'aime pas pour ce que je veux qu'il soit, mais pour ce qu'il est. Et aimer de cette façon, je n'avais jamais connu jusqu'à sa fracassante entrée dans ma vie. Je recolle mon front contre le sien alors que ma respiration s'accélère, mes halètements deviennent plus intenses arrivant jusqu'aux gémissements que j'essaie d'étouffer pour ne pas attirer l'attention sur nous. Mes mains se pose sur son torse que je caresse fiévreusement en remontant jusqu'à ses épaules et les gardant ici afin de m'en servir comme appui pour mes mouvements qui se voulaient plus rapides maintenant, mais toujours sensuels. Ceci dit, la sueur commençait à perler mon corps et mes cheveux s'humidifiaient au fur et à mesure qu'on se transmettait nos chaleurs.
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Les choses sérieuses commençaieeeeenttttt, maintenant on arrêtait de rigoler, wesh. Posez vos pop-corn les p’tits loups, je ne veux plus entendre un seuuuuul bruit de machouillage SVP. Pas un bruit, pas un souffle, pas une respiration, crevez, mourez étouffer s’il le faut mais laissez Cody et Diamantika copuler en silence. En plus, il ne fallait pas trop qu’ils fassent de bruits because je rappelle qu’ils étaient sur le toit d’un manoir peuplés d’irréductibles gens chelous, pervers, sadomasochistes à leurs heures et peut-être même qu’ils avaient équipé tout leur hôtel de caméra espion. Gosh, ils étaient vraiment dans un bout de paradis au milieu d’un enfer. C’est comme s’ils partageaient un Bounty au sommet d’un volcan en éruption. Ben oui, Bounty un goût de paradis COKA ಇ first date. - Page 4 4205929361 Breeeef, reprenons où nous en étionsssss. Les halètements de Diamantika se faisaient gémissements qu’elle tentait tant bien que mal d’étouffer, de taire, de mettre en sourdine. Mais n’est pas Charlie Chaplin qui veut et Cody, dans un désir de boursoufler son égo – parce qu’il n’y a pas de raison que Codynosaure soit le seul à faire un tour en montgolfière ce soir – redoubla d’effort, couvant la belle amazone de ses gros bras, la plaquant contre son corps chaud et brûlant alors qu’il se cambrait douloureusement pour la posséder encore plus. Toujours plus. Ses yeux s’embuaient sous la respiration saccadée de Diamantikaaa, sa bouche plaquée contre son front, se perdant parfois contre ses paupières avant de retourner à sa place. Elle barbotait sur les flots de l’océan Bleeker, océan qui se déchaînait alors que les conditions climatiques se réchauffaient. Il la contraint à se cambrer en arrière, lui se pencha en avant, goûtant à sa gorge en feu, agrippant sa main contre sa nuque, fourrageant sa chevelure humide alors que ses lèvres acheminaient des baisers jusqu’à sa poitrine. Elle bondissait contre la bouche de Cody, il sentait son cœur battre à tout rompre comme s’il avalait quelque chose de vivant chaque fois qu’il posait ses lèvres sur son sein gauche. Elle avait la chair de poule, c’en était renversant. Puis, il l’attira de nouveau contre lui, posa son menton contre épaule et l’enlaçant fortement contre lui. Soudain, il ouvrit les yeux et c’est là qu’il vit … Une ombre. A travers la toile. « Dia … » lâcha-t-il alors qu’elle gémissait. Euh OKKKK, c’est pas trop le moment làààà ! Soudain, l’ombre s’en alla en courant. PUTAIN mais c’est pas vrai ! Cody s’arrêta, s’immobilisa, avant de murmurer, le souffle coupé ; « J’vais les frapper. Les découper en rondelles et les transformer en pâté pour chien. » Ouais, c’est le genre de phrase archi romantique que toute femme rêve d’entendre en plein ébat. « Ils nous mataient putain ! » s’écria Cody en incitant Diamantika à dégager ses cuisses même s’ils étaient trèèèès loin d’en avoir fini, même si c’était frustrant, même si ceci, même si cela. Cody enfila seulement son pantalon et se précipita hors de la tente, criant et s’adressant au pervers qui les écoutait depuis le début ; « Hey toi ! ça te branche d’écouter aux portes ?! Tu veux peut-être nous rejoindreee heeeeiiiinnnggg, alleeeez, approche si tu l’oses ! » Là, Bleeker avait les nerfs en feu. Le gars – ou la nana d’ailleurs – avait raison de se cacher car son sang ne faisait qu’un tour et il était prêt à cogner.
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Cody valait tous les remèdes du monde, ce beau Lowell...Définitivement, était celui qu'il me fallait. Celui que je voudrais pour toujours et à jamais. Impossible pour moi d'imaginer ma vie sans lui. Même loin de lui. Jamais plus je ne supporterais d'être séparée de l'homme que j'aime. Mon cœur tambourinait dans ma poitrine, on aurait crue que mon corps tout entier était possédé par un cheval de compétition tant les mouvements de mon homme se faisaient intenses. Il me serrait contre lui tellement fort que j'ai cru un instant, cesser de respirer. Il m'obligea à me pencher vers l'arrière tandis qu'il s'empara fougueusement de mon cou, descendant ses lèvres jusqu'à mon sein gauche, j'en perdais la tête, un frisson sauvage s'empara de moi, j'en avais la chair de poule. Pendant qu'il jouait avec l'un des jumeaux Bleeker, l'une de mes mains vint se poser dans sa nuque que je caressais dans un premier temps, tirant un peu plus fougueusement sur le bout de ses cheveux. Mes gémissements se faisaient un peu plus fort, tant je n'arrivais plus à les étouffer, surtout lorsqu'il y allait plus fort, toujours plus en profondeur. Mais bien vite, il recula et alors son regard vient saisir le mien à une telle intensité que je sentais le sol se dérober sous moi. Désarçonné par l'amour qui s'en dégage, par la force et l'union, je gémissais d'un plaisir absolu. Son visage entre mes mains, je cueille ses lèvres avec joie. La seule chose qui m'effraie actuellement, c'est sa perte. Je sais que je n'ai pas de pouvoirs sur-humains et que malheureusement, je ne pourrais pas le protéger des décisions que prends la vie, mais je préfère sacrifier ma propre âme plutôt que de m'imaginer vivre sans lui demain. C'est comme ça, c'est lui et personne d'autre. Et c'est ce que je lui montrais à chaque fois que je lui faisais l'amour, à chaque fois que j'embrassais ses lèvres, à chaque fois que j'entourais ses épaules de mes bras pour chercher un câlin, à chaque fois que je lui parlais, à chaque fois qu'on était ensemble tout simplement. Cody Bleeker, t'es mon mari pour toujours et tu m'as promis de le rester jusqu'à ce que la mort nous sépare, alors tiens ta promesse, tiens la ou sinon je disparaîtrais de ta vie, je quitterais cet endroit et m'en irait très loin, loin, car rester là où tu es sans pouvoir te toucher, t'embrasser, te dire à quel point c'est toi que j'aime, te faire l'amour, t'aimer encore plus fort chaque jour, me tuerais à petit feu, je ne le supporterais pas. Une promesse est une promesse. Et en pensant tout ça, je quitte ses lèvres pour les poser sur son épaule et le serrer très fort contre moi. D'ailleurs, il me serra également de la même façon. Mais sans que je ne puisse comprendre quoi que ce soit, il cria soudainement. « Dia ... » Dia gémissait de plaisir, elle était absente alors repassez plutard, merci. Néanmoins, je me penche en arrière pour lui faire face. « J'vais les frapper. Les découper en rondelles et les transformer en pâté pour chien. Ils nous mataient putain ! » God ! Je quittais ses cuisses me retirant sur-le-champ en rhabillant immédiatement mes sous-vêtements et mon pyjama. Je vous jure, de nos jours, on ne pouvait plus copuler en paix. Je rejoins mon homme qui était en mode Jules César. Et devinez qui était ce voyeur ? Monsieur Victor, ce même monsieur qui avait maté ma culotte et maintenant mon corps, enfin surtout mes fesses. Rhooooo, ce gros pervers. Il sortit d'ailleurs de sa cachette. « Excusez-moi on m'a chargé de venir vous demander si vous n'aviez pas besoin de quelque chose et... J'ai entendu du bruit, puis, je me suis approché pour voir, je sais je n'aurais pas dû, je suis désolé, j'ai été surpris... » Je laissais Cody s'occuper de lui, m'approchant du bord en regardant le ciel. Nous n'avions même pas senti le temps passer et là, le soleil se levait. Victor me rejoignit au bord et posa quelques doigts sur les bouts de mes cheveux humides qu'il entourait en venant me murmurer quelque chose à l'oreille. « Si un jour votre mari vous brise le cœur, venez me voir, je m'occuperais soigneusement de vous... » Je tourne la tête et lui souris en rajoutant. « Vous feriez mieux de retirer votre main de mes cheveux, car il est capable de vous découper en rondelle et vous transformer en pâté pour chien. » Un conseil à ne pas prendre à la légère. Il retira bien vite ses mains et décida de s'en aller. Moi, je me penchais sur le bord en croisant mes bras dessus et en y déposant mon menton. Admirant ce beau lever de soleil.
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Ben voulàààà, c’était trop beauuuu pour être vraaaai ! Après avoir passé la soirée à se courir après, à s’épouser, à s’embrasser, à s’engueuler, à être embarqué à droite, à gauche, par une armée de pèlerins pervers, Cody et Diamantika ne pouvaient définitivement PAS se reproduire tranquille, en paaaaaaiiiix. Le pire, c’est que Bleeker sentait que la fin était proche, que l’émulsion sacrée s’approchait à grands pas d’eux, qu’elle frappait même à la porte de l’attente pour leur dire ’saluuuut, c’est moi L’Orgasme, je viens pour vous faire crier, crieeeeer’. Et là j’ai envie de chanter ’et j’ai crié, criééééééé, Aline pour qu’elle revienneeeeuuuuuh’ mais bon si Cody se met à crier Aline en plein ébat avec Diamantika, j’en connais une qui va râler hein. Bon, c’est pas une surprise, Dia râle tout le temps de toute manière. Elle a dû naître en râlant et en pleurant. Elle a vraiment tout pour plaire cette Eliot, me direz-vous, c’est à se demander comment Cody était tombé amoureux de ça. Mais il l’était. Assurément. Définitivement. Et donc, bien que L’Orgasme sonna deux fois à l’entrée dans la tente, c’est l’ombre d’un certain Victor qui passa et repassa devant la toile de la tente, en mode incognito. ET BIEN SIIIIII. Le sang de Cody ne fit qu’un tour, si bien qu’il ne réfléchit pas une seconde avant d’enfiler seulement son pantalon et de lui courir après. Apparemment, il lui fit peur et Cody revint sur ses pas en retournant au tipi récupérer ses affaires, énervé et frustré par ce qui venait de se passer. Et pendant qu’il avait le dos tourné, il ne soupçonnait pas une seconde que Justin Bridou – aka le gros cochonou – sortit de sa cachette pour faire des avances à sa petite amie. EUUUUUHHHH, la surprise quand il se retourna ! Heureusement, Victor décampa vite fait bien fait et Cody le fusilla du regard avant de s’approcher à son tour de sa Kovache. Elle fixa le lever du soleil et là, Bleeker prit conscience que la nuit était terminée. Et que ce fut la nuit la plus naze de toute l’histoire de l’humanité. Il s’assit contre le muret à côté de Dia, dos au spectacle, alors qu’il enfila sa chemise – qu’il ne boutonna pas tout de suite – et qu’il retira son pantalon pour enfiler ses sous-vêtements. « J’suis désolé. J’ai complètement fait foirer notre premier rencard. » Il pouffa de rire, blasé par sa faculté innée à tout foutre en l’air. Il avait un appétit de dingue pour la destruction. « La prochaine fois, on se colle devant un film chez toi ou chez moi et on fait RIEN. » Super programme. Bon, pour finir ce rendez-vous sur une note plus joyeuse, il esquissa un grand sourire sincère et ajouta ; « Hey, Dia, t’as deux poussins sur un mur et tu n’en veux qu’un. Tu fais quoi ? » Il lui donna un coup de coude dans l’épaule, assez fortement pour que ses bras dégagent du rebord. « T’en poussin. » OKKKK, la blague pas drôle. Mais Cody était effondré de rire, il n’en pouvait plus de lui.
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