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Des sourires...Des sourires par milliers... Tel était mon état depuis ce matin. J'avais rendu visite à Rosa', ma douce petite qui m'avait manqué, là où j'avais aussi reçu un message de mon petit-ami. Ce gros babouin m'avait tellement manqué durant son voyage. Car ouai, monsieur était parti en voyage avec les Quincy, laissant sa petite-amie toute seule à Cambridge, livrée à un possible agresseur qui d'ailleurs, avait fait une nouvelle victime. Cela devenait vraiment inquiétant que ce soit spécialement les confréries qui soient touchées. Quoi qu'il en soit, c'est un petit-ami indigne qui avait osé s'absenter et laisser un graveeeeee manque dans mon cœur. Même un jour loin de lui en faisait une éternité alors pour dire, oui, il m'avait trop manqué. Jamais jusque là, je n'avais connu une satisfaction telle. Les seuls moments où je pouvais éprouver autant de joies, sont certainement ceux que je passais à Noël avec ma famille. Mais rien n'était comparable aux moments que je passe avec Cody, ils étaient uniques et ce, sans comparaison possible. Et qu'est-ce qui me mettais en joie de cette façon ? Mon âme-sœur. Le lowell m'avais donc envoyé un message dédiant cette soirée à notre premier rendez-vous de couple. En effet, depuis que nous nous sommes mis ensemble, aucun rendez-vous n'avait été encore fait et moi je pensais que ce n'était pas le style du jeune homme de faire ce genre de choses, c'est pourquoi je n'avais osé lui en parler, d'où le fait qu'il m'avait surpris. Le hasard de notre rencontre avait bien fait les choses, car depuis, nous ne nous sommes plus quittés. Un lien inébranlable nous unissait. Une femme amoureuse, une femme folle folle folle amoureuse, voilà ce que je suis aujourd'hui. Et le soir venu, je me préparais rapidement. Exactement comme ça, les cheveux, le léger maquillage naturel, tout tout tout pareil.. Et au-dessus de ces vêtements, un long manteau noir à gros boutons et de petits talons argentés aux pieds. Enfin prête, Cody me bipa afin de m'informer qu'il était en bas. J'attrape mon petit sac noir et blanc en descendant rejoindre rapidement mon homme. Je grimpe dans la voiture et lui dépose un smack en guise de bonsoir. « J'espère que je ne t'ai pas fait attendre, te plains pas j'ai été rapide je trouve !. » Oui, ça c'était dit avant qu'il ne se mette à râler vous voyez. Mon regard relooka son accoutrement. « Dit donc, t'as vraiment mis le paquet ce soir, toujours aussi sexy, j'suis chanceuse d'avoir un si bel étalon. » Dis-je en lui tirant la langue avant de me mordre l'intérieur de ma lèvre. Pour l'instant, il ne pouvait rien voir de mon côté à cause de mon manteau. « Et....ne pars plus en voyage sans moi, tu m'as manqué 'spèce de babouin. » Il n'y qu'à voir le nombre d'appels, de messages et de conversations skype etc... Ça aussi je tenais à lui dire même si je sais que bon, on sera amené à faire beaucoup de voyages séparément, godddd je n'avais pas envie d'y penser, quoi que non s'il faut, je le mettrais dans ma valise pour le prendre avec moi ou simplement imposer sa présence. Bon, je savais qu'on allait dans un hôtel pour une soirée romantique, par contre, je n'avais aucune idée du nom de l'hôtel, ni l'endroit où ça se situait. Peut-être voulait-il garder la surprise.
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Et vouaaaaalààààà, Cody Blee-joli-ker était revenu du Pôle Nord, là où il avait fait des bonhommes de neige, de la course en traîneau et le zizicoptère à Dorian Florès dans la VIP room du sauna en plein cœur de la Laponie. Super voyage. Maintenant, Cody, fraîchement de retour à Cambridge, s’impatientait de retrouver son plan-cul/maîtresse/petite amie – dont l’appellation ‘petite amie’ est d’origine contrôlée (comme le vin de Bordeaux) et la seule acceptée par Diamantika à présent. Mais bon, je ne vous cache pas que Cody avait surtout envie de revoir sa Kovache pour une chose. Allez, je rends mon RP un peu intéressant pour mes fidèles lecteurs en y insérant un petit jeu. Faisons un pendu. Quelle est la chose que Cody voulait faire là, tout de suite avec Dia ? _ _ _ _ _ _. MMMHHH, trop compliqué, j’ajoute quelques lettres et voilà ; B _ _ S E R. Vous avez trouvé ? Et OUUUUUUIII, bravo, c’était la question à 100 000 euros ! La réponse est bien évidemment BOSSER. J’espère que tout le monde a trouvéééé, c’était zizi en fait. Bweeeef, pour B _ _ S E R avec Diamantika ce soir, Cody se voyait mal débarquer comme une fleur et sonner à sa porte, avec sa grosse branche en train de bourgeonner quoi. Lui, il n’était effectivement pas un fana des rendez-vous et si son envie de B _ _ S E R n’était pas aussi forte, il n’aurait sûrement pas fait tout ça pour son Eliot préférée. Il savait qu’elle était une grosse romantique de la vie, un peu gnangnan, à se dire je t’aime à tout bout de champ et à pleurer devant Bambi. Très bien, il allait la faire pleurer et abuser de son corps. Pour bosser. Oui oui, en tout bien tout honneur. Ils vont bien bosser ce soir, moi j’vous dis. Ça va bosser dur. Très dur. Il organisa donc un rendez-vous assez simple, une nuit dans un hôtel romantique (dîner, concert de jazz et chambre cocon, tout inclus) loin des regards indiscrets. Juste eux. Ça s’appelait ’l’hôtel de l’amour’. Il avait réservé et il n’y avait plus qu’à consommer. Arrivé le soir, Cody débarqua en bas de chez Diamantika et l’appela pour qu’elle descende vite. Il n’avait rien dit qu’elle lui coupa l’herbe sur le pied en disant qu’elle avait été rapide. Roooh. C’est bon, il ne comptait pas grinchonnouiller, elle pouvait prendre tout le temps qu’elle voulait tant qu’ils B _ _ S A I ENT ce soir. « J’ai rien diiiit, tu es magnifique en plus ce soir ! » Merde. Il n’aurait pas dû faire de compliments. Elle allait se douter d’un truc. Shit shit shit. « Ce manteau te fait un gros cul par contre ! » Voilà, erreur rattrapée. Et en effet, il avait mis le paquet. Il avait sorti son costume de BG, le genre qu’on porte aux mariages, celui-là …….. Mais NOOOON, j’déconne. Ça, c’est quand il se prend pour Dieu. Ce soir il portait ça et avec plus de poils au menton et sans Nina Dobrev. Ils entrèrent dans la voiture et Cody se mit en chemin vers ’l’hôtel de l’amour’, au même moment où sa très chère Dia se plaignit de son voyage en Laponie. Roh prout hein. « Si tu veux plus que je parte, on risque d’avoir un souci alors pour le voyage des Lowell … Et là où on va, pas de skype cochon possible. D’ailleurs, vu qu’on en parle, je trouvais tes seins nettement plus gros à la cam. J’pense que plus la qualité de l’image est pourrie, plus tu as la poitrine de Nabilla. J’devrais te regarder plus souvent à travers une caméra. » Fallait qu’ils fassent une sex-tape. Une autre sex-tape. Ils se rapprochèrent de l’hôtel légèrement excentré par rapport à Cambridge où Cody se gara dans une sombre allée. OK, il faisait nuit, mais ça semblait bien plus sympathique sur la photo. Une fois dehors, ils marchèrent ensemble sur les graviers secs du chemin qui menait jusqu’à l’entrée, le bras de Cody entourant les épaules de Diamantika. Il frappa à la porte et une Princesse Leïa tirée à quatre épingles ouvrit, ce qui surprit Cody. Drôle de maîtresse de maison pour un hôtel de l’amour. « Bonsoir. » fit-elle froidement. Cody regarda Dia, puis la femme ; « Bonjour ! Nous avons réservé une chambre au nom de Superman. » Elle fronça les sourcils puis un mince sourire s’esquissa sur ses lèvres ; « Superman ? Nous n’avons qu’un Sperman dans le registre. » Cody se gratta l’arrière de la tête, désolé. « Ouais, ça doit être moi. » Ah, je n’ai pas précisé mais quand Cody a réservé l’hôtel sur internet, il avait quelques bières au compteur. Il était loin de s’imaginer que ce petit écart serait fatal à ce premier rendez-vous.
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« J'ai rien diiiit, tu es magnifique en plus ce soir ! » Il n'avait rien dit parce que j'avais dit la première et que si je n'avais rien dit, il aurait dit le premier. Vous me suivez ?. Oui bon on continue. Bleeker venait de me faire un compliment, mais le connaissant, il allait le rectifier aussi vite qu'on remettait une pendule à l'heure. « Ce manteau te fait un gros cul par contre ! » Et voilà. Il était beaucoup trop prévisible le mec, bien que ce soir, il m'avait quand même surpris. « Merci... Pour le compliment et pas pour la rectification évidemment. » Et je n'allais pas râler, non non et non, ce soir il n'y aura absolument rien qui me fera râler. Bien que je venais tout de même de râler pour son voyage en Laponie. Pas ma faute s'il m'avait manqué ein. « Si tu veux plus que je parte, on risque d'avoir un souci alors pour le voyage des Lowell ... Et là où on va, pas de skype cochon possible. D'ailleurs, vu qu'on en parle, je trouvais tes seins nettement plus gros à la cam. J'pense que plus la qualité de l'image est pourrie, plus tu as la poitrine de Nabilla. J'devrais te regarder plus souvent à travers une caméra. » Je retire ce que je viens de penser, là, il me donna une TRÈS bonne raison de râler. Il ne va donc jamais me laisser tranquille avec cette affaire de fausse petite poitrine ? Tout ça parce qu'elle n'est pas aussi grosse que celle de son ex. « Je peux te poser une question ?. Quand tu sortais avec ton ex, tu lui tétais les seins ? Non parce que je vais finir par croire que t'es devenus accro aux gros seins de cette façon !. » Sais-t-on jamais. Tout est possible avec Cody Bleeker. Je dis TÉTEUR pour ne pas dire ce mot que je n'osais pas dire dans ce contexte, pourtant c'était facile de le dire en employant sucer le bonbon. Vous voyez, je reste polie. « Et comme tu préfères mes seins à la cam, tu ne les regarderas plus que via la CAM, comme ça, tu seras encore plus satisfait. » Et là, je lui offrais mon plus beau sourire. N'est-ce pas le rôle de la petite-amie de satisfaire son homme du mieux qu'elle pouvait ?. J'en oubliais même de parler de son voyage avec la Lowell House. Si en plus là où il partait il n'y avait pas skype, ce qui veut dire que je ne pourrais pas voir sa face. Bon, je vais me contenter de sa voix et de ses messages n'y pouvant rien d'autre. Puis, il se peut même que je sois plus occupée que je ne le pense avec ce qui se prépare à la Eliot House. Donc, peut-être ne vais-je pas sentir le temps passer. Great. Après de lonnnnnnngueees minutes sur la route, je me demandais si Cody n'était pas en train de se gourer de chemin. Vu qu'en plus, il n'avait pas l'air très certain de lui. Surtout lorsqu'on arriva dans cette ruelle sombre, pénétrant une allée aussi sombre. On se croirait dans l'allée de la famille Addams. Le lowell se gara enfin et nous descendions pour marcher jusqu'à la porte d'entrée. Déjà, l'endroit me donnait la chair de poule. Sérieux, c'était un hôtel de l'amour ou un hôtel de la mort ?. Et il frappa à la porte. Je soufflais un peu dans mes paumes, car il faisait quand même froid. Et lorsque la porte s'ouvra pour laisser place à cette.... « AAH !. » C'était mon cri de peur et de surprise face la tronche de cette femme. Et comme elle me fusilla du regard, je repris rapidement. « AAhahahaha... C'est...Beau, n'est-ce pas...Chéri. » Souriais-je à mon homme style joue le jeu. Chelou nondidiouuuu. D'ailleurs, même son bonsoir me donna une nouvelle fois, la chair de poule. Encore plus, lorsqu'elle nous révéla que le seul registre ici à ce nom, était "Sperman". TCHEUU mais c'est quoi cet endroit !. Et monsieur Bleeker évidemment plus cinglé que n'importe qui, se fit passer pour "Sperman". Discrètement, je lui donnais un coup de coude sur sa côte. Tu n'as pas de raison de flipper Dia, si ça se trouve, ce n'est que de l'extérieur le problème. Sauf que, lorsqu'elle nous invita à entrer, je regardais autour de moi. Tout était bizarreeeeeeee ici. Néanmoins, les rires d'une petite fille me détourna de toute peur et c'est avec un large sourire que je quittais les bras de mon homme pour aller à l'encontre de cette petite fille, sûrement la fille des propriétaires. « Hey... » Dis-je en m'abaissais à son niveau et sur le point de caresser ses cheveux d'un noir ébène magnifique. Contre tout attente, la petite fille releva la tête et me fusilla également du regard. Tenant sa poupée dont elle venait de couper les cheveux à l'aide d'un petit ciseau en jouet. O..key. Je lui souris et me relève rapidement. T'as aucune raison de flipper Dia, ce n'est rien qu'un hôtel, un peu chelou, mais un hôtel. Je rejoins Cody et repasse sous son bras. Là, j'étais mieux on va dire. « Je trouve cet endroit assez...étrange Cody. » Lui murmurais-je pour pas que l'autre là m'entende et décide de venir me faire le même modèle de cheveux qu'elle pour avoir critiqué son hôtel. Du coup, je me la ferme et j'avance. Vivement qu'on se retrouve en tête-à-tête.
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NOOOOOOOOOOOOON, Cody ne verrait pas les seins de Diam qu’à la cam, ROH. Il s’empresserait de débattre sur ce sujet plus tard, là c’était trop taaaaaarrrrd puisqu’ils s’apprêtaient à rejoindre leur nid d’amour pour la nuit. Ce fut une agréable – ou pas – marâtre qui les accueillit. Elle était aussi chaleureuse qu’une décharge publique et au moins aussi souriante que Grumpy Cat. A part ça, très mignoooonne, sisisiiii, je vous jure. En plus, la décoration était très sympa. Vieillotte, certes, mais sympathiqueeee. Le petit côté rustique avec les boiseries et la tapisserie antique jaunie par la fumée de cigare donnaient un style qu’on n’avait l’habitude de voir. Cody songeait sérieusement à prendre des photos pour s’en inspirer afin de refaire touuuute la décoration de la Lowell House. NOOOOOOOOON j’déconne, c’était à chier, ça brûlait les yeux et cette maison puait la mort. Mais Cody s’disait que c’était peut-être l’odeur de l’amour. Après tout, Diamantika au réveil après une folle nuit d’amour, elle ne sentait pas la rose. Au contraire, d’elle émanait une odeur de transpiration mêlée à une haleine de chacal. J’vous jure que ça sent au moins aussi bon que ce hall. Alors que Cody régla quelques détails au sujet de la chambre et du règlement de la note, Diamantika alla faire connaissance avec la petite fille de la maison. Cody esquissa un petit sourire avant de détourner son regard sur la vieille, espérant que ce sourire soit communicatif … Et ben non, elle continuait à faire la gueule et tendit le registre que Cody s’empressa de signer d’un magique sUperman. « Le dîner est dans une demi-heure. A 20h30 précises. Des vêtements sont mis à disposition sur votre lit, je tiens à ce que vous les enfiliez pour le repas. » Cody acquiesça d’un signe de tête, légèrement intimidé par son ton glacial et l’atmosphère que dégageait cet hôtel. Dia, apeurée, revint se glisser dans les bras de Cody. Il posa ses lèvres sur sa tempe et lui glissa ; « On va passer une nuit inoubliable. Compte sur moi. » Il savait ce qu’il avait réservééééé. Là, ils allaient monter leurs affaires et prendre un bon dîner aux chandelles. Cody commanderait des fruits de mer pour leurs vertus aphrodisiaques et ils feraient l’amour comme des bêtes au coin de la cheminée. Super programme. La marâtre, après avoir réglé quelques papiers, tendit une clef ; « Je vous laisse en compagnie d’Alphonse-Raymond, notre valet. Il sera chargé de vous montrer votre chambre. » Cody suivit du regard la personne qu’elle désignait. Alphonse-Raymond avait tout d’un groom style Spirou et Fantasio, sauf que ses vêtements en lambeaux semblaient au moins aussi vieux que la maison elle-même, comme s’il était né avec ces vêtements et qu’au fil des années et de sa croissances, ils s’étaient échancrés de toute part. Le Lowell le salua d’un signe de tête et le suivit à l’étage, en tenant fermement la main de Diamantika. Il les laissa devant une porte en bois brut, tendant la main sûrement pour recevoir son petit pourboire. Naturellement, Cody donna un coup de coude à Dia ; « Tu t’en occupes mon amour de ma vie ? C’est toi la riche. » Et c’est lui qui paye l’hôtel. Donc elle paye le valet. C’est donnant-donnant. Pendant ce temps-là, Cody entra dans la chambre et posa son sac de linge au sol. « Putain. » lâcha-t-il subitement en voyant que leur suite romantique n’avait absolument rien d’une suite romantique. « Putain putain putaiiiiin ! » Une voix aiguë surgit de nulle part, faisant sursauter Cody. Il posa sa main sur son coeur, sentant que ce dernier n’allait pas tarder à rendre l’âme. Puis, au fond de la chambre, il remarqua une cage en fer dans laquelle se trouvait un vieux perroquet rouge. « Putain putain putain ! » Et à Cody de gueuler ; « Mais ta gueule ! » Du coup, naturellement, le perroquet répéta ; « Ta gueule ! Ta gueule ! Ta gueule ! » PUTAAAAAIN, Cody allait tordre le cou de ce piaf et le noyer dans les toilettes s’il ne fermait pas son grand bec. « DIA ! » appela le Lowell pour qu’elle lui vienne en aide. Là, c’était le bout du rouleau. Enfin, pas tout à fait. « Ta gueule Dia la putain ! La putain ta gueule ! Ta gueule Dia ta gueule ! » OK, LÀ C’ETAIT LE BOUT DU ROULEAU. Mais où étaient-ils tombés encore … ? Cody allait se plaindre à Trip Advisor.
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Vu l'état de cet hôtel et surtout l'odeur d'insécurité qu'il dégage, je ne suis plus très certaine de vouloir passer la nuit ici. Je veux dire, il est encore temps, on peut toujours aller voir un autre hôtel. Là, je ne m'en sentais pas du tout en sécurité. Je préfère encore dormir dans la voiture, ça ne me dérangerait pas du tout de dormir dans la caisse de Cody pour notre premier rendez-vous. Même que, je me sentais nettement plus en sécurité dans la voiture de mon homme que dans cet hôtel, me demandant même si s'en était un. Si ça se trouve, c'est une sorte d'hébergement à l'ancienne. Vous savez, les familles qui louent leurs chambres pour quelques nuits histoire de se faire un peu d'argent. Où est-ce que Cody Bleeker nous a encore fourré ? Parce que seul Cody Bleeker pouvait faire ce genre de choses. Le Boulet number one quoi. « Le dîner est dans une demi-heure. A 20h30 précises. Des vêtements sont mis à disposition sur votre lit, je tiens à ce que vous les enfiliez pour le repas. » Hannnnnnnnn ? Quoi ? Pourquoi doit-on se vêtir de leurs vêtements d'abord ? C'est quoi ça ? Mais où est-ce qu'on est BLEEKER !. « On va passer une nuit inoubliable. Compte sur moi. » Dit-il en déposant ses lèvres sur ma tempe. « Je n'en suis pas si certaine... » Murmurais-je d'une petite voix ou dans le sens qu'on n'oubliera pas cette affreuse nuit. Vous voyez, maintenant je n'ose même plus lever la voix, car cette femme me donnait la chair de poule, sans parler de cet hôtel. « Je vous laisse en compagnie d'Alphonse-Raymond, notre valet. Il sera chargé de vous montrer votre chambre. » Même ce valet me faisait peur. Non vraiment, j'avais envie de rebrousser chemin, mais c'est sans compter sur Cody qui me serrait beaucoup trop fort la main. Je ne pouvais donc pas me hasarder à regagner la voiture. Puis, il semblait avoir tout réservé, alors je ne voulais rien gâcher. Aller, encore un petit effort. Le valet nous déposa enfin devant notre porte et il nous tendit la main pour avoir son pourboire. « Tu t'en occupes mon amour de ma vie ? C'est toi la riche. » Le petit coup de coude du lowell me signala que c'était à moi de le faire. Le contraire m'aurait étonné en fait, surtout que c'est monsieur qui avait décidé de nous organiser un rendez-vous et donc évidemment, c'est Dia qui jouaient les gentlewoman. Je fis sortir rapidement un billet et le déposa dans sa main, mais le mec avait toujours la main tendue. J'arquais un sourcil et bien vite, son regard m'obligea à reprendre un autre billet. Là, monsieur le valet était satisfait et s'en alla. ARNAQUEUR OUI !. Je me retenais de le crier de vive voix en préférant le crier dans ma tête plutôt que de me faire décapiter en morceau. GOD ! Et si on avait atterri dans une demeure ou hôtel de cinglés ?. Quoi que Cody y trouverait surement sa place. Pénétrant enfin dans notre chambre et... SURPRISE !. Tellement surprise, que je laissais tomber mon sac à terre tout en ouvrant grandement les yeux. « C'est... ça notre chambre ?. » Cette chambre reflétait même une cage à proie pour une torture sans fin. Ils pourraient au moins entretenir leurs chambres non de dieuuuuuu. Et au même moment, des « Putain putain putaiiiiin ! » suivirent celui du lowell. Je sursautais attrapant le bras de mon homme, le cœur sur le point de rompre. Mes poiles s'hérissaient jusqu'à mon cuir chevelu. Je tournais également la tête pour m'apercevoir qu'il ne s'agissait juste que d'un perroquet. La pression redescendit d'un seul coup et je me suis mise à rire. « DIA ! » Cria mon bien-aimé surement pour que je lui vienne en aide. Mais non, c'était entre lui et son nouvel ami. Quoi que lorsqu'il répéta soudainement... « Ta gueule Dia la putain ! La putain ta gueule ! Ta gueule Dia ta gueule ! » J'écarquillais les yeux, ouvrant grand la bouche. Pitié, je ne venais pas de me faire traiter de putain par ce perroquet n'est-ce pas ?. « CODY ! C'est un sale cochon pervers ce perr... » Mon doigt tendu vers le perroquet, je n'eusse le temps de terminer ma phrase qu'il répéta derrière moi. « Cody c'est un sale cochon pervers ! Ta gueule Dia la putain ! Cody c'est un sale cochon pervers ! » Mais WHATTTTTTTTTT ???? Ce perroquet c'est un sale cochonnnnnn pervers nondidiouuuuu. Sayez, on venait de se faire un nom gratos dans cet hôtel. Soudainement, je pose mes doigts sur les lèvres de Cody. « CHUT ! Plus de gros mots !. » Parce qu'en fait, on aggravait nous-mêmes la situation, ce perroquet ne faisait que nous répéter. « Appel le service pour qu'ils viennent l'enlever d'ici avant que je ne fasse un meurtre. » Car se faire traiter de putain, ce n'est pas très joli, même sortant du bec d'un perroquet.
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Bon, pour la nuit romantique, on y repassera. Là, cette chambre, elle avait plus une ambiance Rome Antique que romantique, m’voyez. Et en plus de cela, les voilà contraints de partager leur nid d’amour avec un perroquet. Et pire encore, un perroquet malpoli qui traitait Diamantika de putain. TOUT VA BIEN. Au moins, ça donnait une idée à Bleeker ; pour leur prochaine dispute conjugale, il fallait qu’il investisse dans un somptueux ara qui engueulerait Dia à sa place. Ce serait moins fatiguant pour Cody qui prenait de l’âge et pour qui ça devenait compliquer de lever le ton de la voix sans s’échauffer les cordes vocales. Très très très bon plan. « Elle avait l’air plus sympa sur l’annonce. » fit remarquer Cody comme pour se désolidariser de l’hôtel dans lequel il venait d’amener sa petite amie. Puis Dia traita le perroquet de pervers en mettant le prénom de Cody dans la même phrase, donc naturellement le brunet se fit traiter de pervers. Il se facepalma le visage et hocha la tête de droite à gauche, légèrement gavé par ce piaf à deux centimes. Dia suggéra d’appeler le service d’étage, ce que fit Cody en se précipitant dans le couloir avant que notre très cher Alphonse-Raymond ne se volatilise ; « Hep ! On a besoin d’aide ici ! » siffla Cody alors que le valet de chambre accourut jusqu’à l’entrée de leur chambre. Le jeune homme exposa le problème en désignant le problème d’un geste vif de la main ; « J’ai réservé une chambre pour deux personnes. C’était pas mis dans l’annonce que je voulais un threesome avec un perroquet. Déjà, si j’arrive à avoir juste une twosome avec ma copine ce serait pas mal, mais vous savez, les femmes … » Cody se tut, se demandant pourquoi il parlait de sa vie sexuelle à un illustre inconnu et, surtout, devant la principale concernée. « Tu es très belle mon diamant de mes nuits. » lâcha subitement le Lowell en s’adressant à Diamantika avec un sourire presque faux-cul. Vous remarquez qu’il lui donnait des petits mots d’amour que lorsqu’il avait besoin d’elle, comme par exemple à ce moment-là avec le valet qui tendit de nouveau la main sans ajouter mot. Ah ouais, fallait le payer pour qu’il les débarrasse de ce perroquet ? « Vous savez, votre oiseau à deux balles, on peut aussi l’envoyer aux producteurs de Top Chef ! J’suis sûr qu’ils feront du perroquet rôti à la sauce Béchamel DE-LI-CIEUX ! » Imperturbable, il tendit encore la main et, de nouveau, le brunet donna un coup de coude à sa gosse de riches de petite copine. Oui, il extorquait Diamantika, il en avait honte, vraiment. Ou pas. Pendant ce temps-là, Cody jeta un coup d’œil aux vêtements qu’ils devaient porter. C’était très moche. On aurait dit les fringues de Papy Marcel et pour Dia, celles de Mamie Huguette. Hors de questions qu’ils enfilent ça. Plutôt faire du naturisme !
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« Elle avait l'air plus sympa sur l'annonce. » Sympa ? Ça c'est tout sauf un endroit sympa. Si on sortait vivant d'ici, je vais devoir enquêter sur d'où Cody faisait ses recherches parce que sérieusement, il était plus chelou que ces personnes ici présentes. « Hep ! On a besoin d'aide ici ! » Gueula le babouin dans les couloirs afin de rappeler le valet. Ce dernier ce pointa assez rapidement, quant à moi, je me demandais pourquoi personne ici ne conversait, il n'y a qu'à voir le valet, il obéissait sans broncher un mot. C'est trop bizarre. Et depuis que nous avons mis les pieds ici, nous n'avons vu aucune autre clientèle à part nous. Encore trop bizarre. « J'ai réservé une chambre pour deux personnes. C'était pas mis dans l'annonce que je voulais un threesome avec un perroquet. Déjà, si j'arrive à avoir juste une twosome avec ma copine ce serait pas mal, mais vous savez, les femmes ... » Je le fusille du regard. Il m'énerveeeeeeeee, à croire qu'il me prenait encore pour son plan cul. Okey, okey. DIA VA SE REBELLER NOW. « Tu es très belle mon diamant de mes nuits. » Et c'est repartit. Encore une fois, il me faisait payer le pourboire. En même temps, je m'y attendais, petit-ami indigne ouai et encore faut-il qu'il me prenne comme copine. C'est vrai qu'il avait organisé tout ça, mais peut-être que ce n'est pas significatif pour lui, qu'il cherchait juste à faire plaisir à son PLAN CUL QU'IL VA BOSSER toute la nuit ein. « Vous savez, votre oiseau à deux balles, on peut aussi l'envoyer aux producteurs de Top Chef ! J'suis sûr qu'ils feront du perroquet rôti à la sauce Béchamel DE-LI-CIEUX ! » Je roule des yeux et pendant que monsieur faisait le tour de la chambre, je faisais sortir quelques billets, plus qu'il n'en faut en fait. « Vous avez une autre chambre de libre s'il vous plait ?. » Le valet me montra du doigt, la chambre d'en face. Je dépose donc son pourboire en plus des autres billets pour la chambre. Il alla chercher les clés et revint pour ouvrir. Pendant ce temps, je me dirige vers le lit et attrape le fameux vêtement qu'on devra porter, bien que je ne l'ai pas encore regardé. « Si tu voulais faire plaisir à ton plan cul avant de te la sauter à la poêle, C'EST RATÉ !. » OUAI, DIA SE REBELLE. Il n'assumait pas du tout cette relation, il n'y a qu'à voir le dîner chez ma meilleure amie. « Je te laisse faire ton twosome avec le perroquet ! Et quand t'auras fait la différence entre un plan cul et une copine, peut-être que j'arrêterais de râler.... Amour de ma vie. » Sarcasme, même s'il n'y avait que du vrai dans ce surnom. Et BAM !. Je claque la porte, remercie au passage le valet, puis je rentre dans l'autre chambre aussi vite que Bip Bip et la verrouille avant que Cody ne vole en mode superman pour m'empêcher de rentrer. Me retournant, c'était le choc... « AAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH !!! » Criais-je comme si je me faisais assassiner, mais en fait, c'était parce que je venais de voir un sextoy en plein milieu du lit. Il paraissait tellement réel que je me suis imaginé le fameux trailer du film hyper flippant du bijou de famille coupé du corps de son maître et qui se baladait tout seul à la recherche de vous savez quoi, pour vous savez quoi. Je m'approche du lit en attrapant un bout de drap le secouant pour balancer le sextoy au sol. Non di diouuuuuuuuuuu, mais c'est quoi cet hôtel de merde. GODDDDDDD ! Et si on était filmééééééééé ? Et si ce sont des cochons pervers qui adorent regarder en live, des couples faire crac crac boum boum pour leur propre plaisir ?. Gad gad gad. Ressaisis-toi Dia. C'est peut-être un oublie ou une cliente en manque de sexe qui a dû le perdre par erreur. Je me devais d'ouvrir la porte et de signaler cette erreur, mais si j'ouvrais, Cody n'hésitera pas à plonger sur la porte en mode poisson de mer. Non. non, non, non. Du coup, je m'assoie sur le bord du lit en regardant autour de moi. Cette chambre était quand même un peu mieux que l'autre. Mais ça ne changeait pas que je ne me sentais toujours pas en sécurité.
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Une fois de plus, Cody demanda à sa petite amie riche de satisfaire le valet. Ce mec gagnerait la palme du meilleur négociateur au monde sans même avoir besoin de dire un mot. Il ne parlait pas mais il se faisait du fric, aaaah ça c’est sûr ! Cody, dos tourné, jeta un coup d’œil à l’accoutrement qu’ils devraient enfiler pour aller dîner dans quelques minutes. Ah ouais, la demi-heure était bientôt terminée d’ailleurs, il faudrait qu’ils se grouillent pour bouffer avec la famille Adams. Cody se voyait déjà au beau milieu d’un repas style Scary Movie 2, avec une espèce d’homme à tout faire un peu weird qui ferait des gâteries à la dinde de Noël sous leurs yeux. En fait, rien ne l’étonnerait venant de cet hôtel un peu beaucoup chelou. Non mais l’hôtel de l’amour, n’importeeee quooiiiii. Puis, se retournant, il vit que Diamantika garnit généreusement la main du groom avant de piquer son câble sur Cody JUSTE parce qu’il avait dit le mot de trop, à savoir qu’il voulait avoir un twosome avec elle ce soir. Euuuuuh, c’était plutôt flatteur qu’il est sans cesse envie d’elle, non ? Et ce n’était pas la considérer comme son plan-cul non plus étant donné qu’elle connaissait tout des sentiments à son égard. Abasourdi, il la regarda partir avant de comprendre qu’elle avait décidé de faire chambre à part tonight. EUUUUUUUUUUH NO WAY. « KOVACHE ! Au pied ! » Est-ce que, quand on dit ’au pied’ à une vache, elle obéit ? Réponse ; NON ! Elle claqua – littéralement – la porte au nez de Cody qui tomba sur ses fesses au moment où le bois émit un fracas contre l’encadrement. Il martela la porte de ses poings en lui ordonnant toujours d’ouvrir ; « Tu n’vas pas m’faire la gueule parce que j’ai envie de toi Dia ! J’y peux rien si j’ai le Codynosaure qui joue du saxophone en mode Lisa Simpson quand j’te vois ! Allez Diaaaaa, ouvreeee, promis j’me contenterais que d’une sucette ce soir et on n’en parlera pluuuus ! » Sentant une présence derrière lui, Cody tourna la tête et vit que le valet le fixait … Intensément. Le Lowell désigna du pouce la chambre de Dia et, gêné, précisa ; « De ma copine, la sucette. Pas de … Bref … » Au même instant, un cri surgit de l’intérieur. Dia. Elle était en danger. ET MERDEEE. Cody tenta d’ouvrir la porte et il tira tellement fort sur la poignée qu’il l’arracha et elle lui resta dans les mains. Le problème, c’est que ça ne déverrouilla pas pour autant la porte, bien au contraire. « J’arrive Dia ! JE VIENS TE SAUVER ! » Il donna de nouveau des coups de poings sur l’obstacle de bois avant d’y aller carrément à coups d’épaule, prenant son élan pour défoncer la porte. Mais à part un mal d’épaule, ça ne faisait pas grand-chose. Sa race. Son ventre se tournait et se retournait, le grand 8 dans son estomac. Et si elle se faisait agresser ? ça devenait monnaie courante à Cambridge ! Et rien n'était pire que l'impuissance que vivait Cody face à ces événements. Dia était en danger et il ne parvenait pas à briser cette fichue porte ! Et là, Cody n’entendait plus un bruit à l’intérieur, ce qui l’inquiéta au plus haut point. Il préférerait encore l’entendre crier, preuve qu’elle était vivante. Son estomac se serra. Il déglutit. « Dia ?! QUI QUE VOUS SOYEZ LIBEREZ-LA ! Elle a un père ultra puissant et il va vous zigouiller la gueule ! Et faites une rançon au lieu de tuer Dia, il est riche, très riche, super riche, un richard de première ! Sans parler de son petit ami qui a vu tous les James Bond et les Jason Bourne et donc qui connaît toutes les techniques pour traquer les connards ! » Puis, à force de foncer sur la porte avec une frénésie telle qu’il s’en déchirait presque la chair de ses bras, cette dernière craqua sous son poids et tomba à plat contre le sol. Il avait carrément cassé les gongs de la porte, ce con. Sans trop comprendre ce qui venait de lui arriver, il se retrouva couché sur la porte, à l’intérieur de la chambre de Dia, complètement assommé. « Maman … » gémit-il en s’allongeant sur le dos, fixant le plafond l’air ahuri.  
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what the first date it is ?
Coka for the life
« KOVACHE ! Au pied ! » DANS TES RÊVES !. Et voilà maintenant que monsieur me traitait comme une chienne. Chers lecteurs adorés, vous voyez à quel point Dia est maltraitée n'est-ce pas ?. Ne serais-ce pas un abus de pouvoir ?. Vous compatissez n'est-ce pas ?. Je suis maltraitée, malmenée, on me traite de putain(e), on me traite de chienne, ça devient vraiment dangereux de traîner avec Cody Bleeker. Et à ce stade, je vais finir par devenir aussi cinglé que lui, même tellement folle, que l'asile me refusera. Bref, je venais de m'enfermer dans l'autre chambre en l'interdisant de m'approcher ce soir. Parce qu'au fond, même si je connaissais ses sentiments, il agissait différemment, c'était comme si tu disais, "il l'a dit, il l'a pas fait". C'est beau de me dire je t'aime, mais ce n'est pas beau de se comporter en parfait idiot avec la femme qu'on aime. Une copine ne veut pas dire "se faire maltraiter et ne pas assumer d'en avoir une devant les autres", une copine, ce n'est pas "SON POTE". C'est une femme qui a besoin de son homme et non pas qu'il la manque de respect devant les autres. Une copine, ce n'est pas un moulin à sexe. Une copine, ça besoin d'une sécurité et de câlins. Il pouvait me traiter de tous les mots qu'il voulait, mais pas me faire passer pour la fille super baisable devant ses potes. Non, on ne parle pas comme ça de sa copine devant les autres. Et dieu qu'il m'énerveeeeeeee quand il se met à critiquer mes seins et par moment, même si je ne le montre pas, ça me fout les boules de ne pas avoir une poitrine comme son ex. Ouai je suis jalouse, mais c'est parce que je l'aime, je l'aime tellement que je deviens raide dingue quand quelque chose ne lui plait pas chez moi. « Tu n'vas pas m'faire la gueule parce que j'ai envie de toi Dia ! J'y peux rien si j'ai le Codynosaure qui joue du saxophone en mode Lisa Simpson quand j'te vois ! Allez Diaaaaa, ouvreeee, promis j'me contenterais que d'une sucette ce soir et on n'en parlera pluuuus ! » Et il continuait. Tiens, en parlant de sucette. J'attrape mon sac et fais sortir un des sucres d'orges en sucette que j'avais ramené. Je ne manquais jamais de prendre un truc sucré partout où je vais. Je m'approche et la glisse sous la porte pour la donner à Cody. Il voulait se contenter d'une sucette non ? Et bien voilà, monsieur avait sa sucette maintenant. « Tiens, suce la toute la nuit si tu veux, ça t'occupera !. » Comment c'était weird de dire "Suce la toute la nuit" Goddd. Là, le valet doit trouver qu'il existe des gens plus chelou qu'eux dans ce monde. Limite Cody et Dia pourrait remplacer à eux seuls, tous les habitants de cet hôtel morbide. Et ce fut l'apocalypse lorsque je vis ce sextoy au milieu du lit où j'allais dormir. Au départ, j'ai vraiment cru que c'était un vrai zizi, j'ai vraiment eu peur que ce sextoy abuse de moi comme dans ce fameux trailer. Oui, je ne me souviens plus du titre tellement que ça m'avait choqué. Non, mais vous imaginez un zizi qui se détache de son maître les soirs et rampe en mode chenille pour aller offrir du plaisir à des femmes pendant leurs sommeils ?. My gad, on doit interdire ce genre de film, ça choque les petits et les grands. « J'arrive Dia ! JE VIENS TE SAUVER ! » J'allais répondre lorsque j'entendis un bruit de... Tronçonneuse ?. TRONÇONNEUSE ! Sayezzzzzzz je sais où on a atterri. Mierdaaaaaaaaaa, on va mourirrrrrrr. Nous sommes dans le remake de massacre à la tronçonneuse. Une famille cinglé qui a dû kiffer ce film aussi cinglé et maintenant, reproduit la même chose comme des cinglés. Du coup, j'ai plongé sur le lit et glissé sous le drap tremblante comme une feuille. « Dia ?! QUI QUE VOUS SOYEZ LIBEREZ-LA ! Elle a un père ultra puissant et il va vous zigouiller la gueule ! Et faites une rançon au lieu de tuer Dia, il est riche, très riche, super riche, un richard de première ! Sans parler de son petit ami qui a vu tous les James Bond et les Jason Bourne et donc qui connaît toutes les techniques pour traquer les connards ! » Ayant bouché mes oreilles pour ne plus entendre ce bruit de tronçonneuse, je ne pouvais guerre entendre les cris de Cody. Seulement, ce gros BOUM ! M'obligea à retirer mes mains de mes oreilles, de sauter hors du lit et de m'emparer de la première chose que je trouvais sur mon passage afin de m'en servir comme une arme dangereuse et devinez c'était quoi ?. LE SEXTOY !. « VOUS APP.... » Oh ben non, ce n'était que Cody et le valet. Cependant, mon regard logea la pseudo arme et mon visage se transforma en géante tomate rouge, rouge, rougeeeeeeee. Je balance l'objet plus loin. « BEURKKKKKKK !. » Dis-je en courant vers Cody allongé sur la porte qu'il venait de casser. BONJOUR JE SUIS HULK TON SAUVEUR. Je m'accroupis et serre sa chemise entre mes doigts. « Bébé faut qu'on se casse d'ici ! Je te jure ils veulent notre peau, ils veulent nous transcender ou tronçonneusé, peu importe ! On se casse s'il te plait, s'il te plait, s'il te plait. Je viens d'entendre la tronçonneuse là. Ils font quoi avec une tronçonneuse dans un hôtel, hein hein hein ?!. Rentrons pleaseeeee. » Et là, le valet émet un raclement de gorge avant de toussoter et de prendre ENFIN la parole. « Ce bruit de tronçonneuse, c'est Mr Tockard, il s'occupe des cheminées. Il récupérait surement du bois pour vous allumer votre cheminée. Mais comme madame Sperman a fait chambre à part, je suppose qu'il va devoir vous allumer la votre également ?. » Mr Tockard ?. Ça ne faisait pas style "monsieur tocard" si ????. Mamannnn j'ai peur lààààààà. Il doit vraiment être cinglé comme tout le monde ici, ce n'est pas possible. « Et je ne suis pas sa femme !... Juste sa copine, enfin, faut-il qu'il me prenne déjà comme tel. » Grognais-je. Monsieur avait déjà une madame Sperman enfin Bleekerman.
electric bird.
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Honnêtement et il n’était pas question de mauvaise foi, Cody ne voyait absolument pas pourquoi Diamantika s’énervait contre lui. Qu’avait-il fait de mal ? Rien ! Il l’invitait dans un hôtel pour une nuit inoubliableee, il était même prêt à se dévouer corps et âme pour lui donner le plus bel orgasme qu’elle n’aura jamais en dehors de lui NARMOL, le petit ami parfait ce mec. Tout le monde voudrait avoir un Cody Bleeker dans sa vie, même si son site internet ’adopteuncody.con’ n’avait pas fait l’unanimité auprès de la gente féminine et on s’demande bien pourquoiiii. Dur retour à la réalitéééé. Mais bon, Cody ne se plaignait pas puisqu’il avait une Hedwige petite amie – grincheuse certes – mais Hedwige. Comment çaaa, ma phrase n’a aucun sens ? Ben si ! Hedwige, la CHOUETTE de Harry Potteeeer, Diamantika était Hedwige, Diamantika était chouette quoiii ! Roh, faut tout traduire avec vous. Et ouiiii je fais des petites boutades comme çaaaa hihi je suis une coquinetteeeee. Breeeefffff, quand j’dis ça, la virilité de mon Lowell prend un sacré coup n’empêche, au moins autant que la porte qu’il défonça avec son épaule. BOUUUUUH, il venait de faire de la compote avec ses os, ou bien de la purée Mousseline. Il se retrouva couché au milieu de la pièce sur la porte qu’il venait de démolir alors que Diamantika accourut jusqu’à lui … Armée. Il ne vit pas encore l’arme puisqu’il avait son cerveau au moins autant en compote que son épaule. « Une tronçonneuse dans ta chambre ? T’as fumé la moquette ? Ou la tapisserie ? Berk, y a un truc qui sent fort iciiiii. » grimaça-t-il alors qu’elle le secouait comme un prunier pour qu’il se bouge. Alors, le valet se mit enfin à parler pour leur expliquer d’où venait le bruit de tronçonneuse. Cody arqua un sourcil. Attendez … Ce dernier venait quand même de casser la porte et lui, le groom, demeurait imperturbable comme si ça arrivait touuuuus les jours que les clients explosent le mobilier ! NAWAK. « Il coupe du bois en pleine nuit ? C’est pas trop dangereux ? » eut-il le temps de caler avant que Diamantika grogne comme quoi Cody ne la considérait pas assez comme sa copine. EUUUUUUHHHHHH. Il se redressa pour s’asseoir en chef Sioux sur la porte et rétorqua, offrant le spectacle d’une dispute conjugale au valet qui se régalait (il était à deux doigts de sortir la caméra) ; « OOOOH, d’où je ne te prends pas comme ma copine ? Tu vas arrêter de râler deux secondes et m’expliquer ce qui se passe Dia ? Tu fais chambre à part, tu me donnes des sucettes, ohhhh, j’veux bien qu’on joue aux cons mais tu vas voir, je peux être bien plus con que toi ! » Il soutint son regard sans sourciller, voulant se montrer dur. Il en avait marre de la voir minauder sans comprendre ce qu’elle lui reprochait. Et puis, machinalement, son regard se posa sur le gode à terre. Il arqua un sourcil et afficha une moue blasée. « J’vois que tu m’as vite remplacé … Et apparemment il te fait crier plus que moi. OK. J’apprécie. Reste avec ton pote. J’vais pas me battre contre un pénis en silicone. Ça ressemble à un mauvais scénario de porno. » Et après on dit que c’est Cody le chaud lapin ? Alors qu’à peiiiiine s’était-elle enfermée dans sa chambre qu’elle avait copulé avec son zizi en plastique. En plus Codynosaure n’avait riiiiien à lui enviiiier ! Il était beau, grand, fort, solide comme un roc ! Alors que le sextoy il lui fallait des piles pour qu’il fasse vrrrrbrrrrrvrrrbrrrrrrr. Nul nul nuuuuuuuuul. Ouais j’imite bien les vibromasseurs ! Ce sera le clou du spectacle de mon One Woman Show ! Cody se leva en posant sa main contre le mur – il peinait à trouver son équilibre – et s’adressa au valet ; « Demandez à monsieur … Tockard de lui couper du bois. On fait bel et bien chambre à part ce soir. » Et il se retourna sans même accorder un regard à Kovache.
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