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COKA ಇ first date.

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what the first date it is ?
Coka for the life
L'amour est comme un arbre, ses racines doivent être profondes et fortes afin de tenir tête au vent. Notre amour doit être comme un arbre, nous devons tenir tête au vent et à tous les problèmes et disputes qu'on devra surmonter parce qu'on sait que tout n'est pas toujours rose. Mais notre amour finira par vaincre à chaque fois. Et c'est cela que Bleeker doit s'ancrer dans la tête. Je l'aime et je suis prête à défier tous les vents maudits et si je dois y laisser ma vie et bien ce ne sera pas un problème. On est prêt à tout pour celui qu'on aime n'est-ce pas ? Et bien moi je suis prête à tout. Absolument tout. Je veux me battre jusqu'au bout pour lui, pour nous, pour notre futur. C'est la première fois que je résonne ainsi, première fois que je me projette dans le futur avec un homme. Putain je l'aime et ça doit être suffisant pour que nous puissions surmonter tout ensemble. Parce que Diamantika ne sera rien sans Cody et Cody ne sera rien sans Diamantika. On s'est trouvé, plus besoin de chercher, plus besoin d'attendre, juste de vivre notre histoire à fond. Moi je sais que Cody est le bon, je le sens au plus profond de mon être et j'espère vraiment qu'il le ressent également. Alors, je prie de tout mon cœur pour qu'il ouvre les yeux. Je m'en veux pour la claque que je lui avais donné, mais je ne l'avais pas contrôlé et n'avais pas trouvé d'autres moyens de le réveiller, de le faire prendre conscience qu'il était en train de se gourer. Qu'on ne pouvait pas toujours tout expliquer. Ce monde est un mystère, l'amour, la peur, les sentiments, la haine, la joie... absolument tout. Alors, au lieu de chercher à comprendre pourquoi si, pourquoi ça, à broyer du noir et négativiser (oui oui osef) ce serait une perte de temps, tandis que vivre son histoire et profiter de chaque moment qu'on passait ensemble, de profiter de l'un et de l'autre, de se créer pleins de souvenirs etc... et bien ça, ce n'était pas une perte de temps. A peine ses pieds posés sur le sol de l'église que mon cœur redémarra au quart de tour en sentant la présence du lowell. A chaque pas qu'il faisait, mon cœur répondait dans de mêmes battements si ce n'est plus rapide encore. J'en tremblais d'émotions parce que je ne pensais pas qu'il me rejoindrait. Et lorsqu'il se laissa tomber au sol genoux à terre en s'adressant au tout puissant, au prêtre ou peu importe. « J'ai été con. Je suis con. Un gros con. Un con de compétition. Même pas le genre de con qu'on invite à un dîner, pas un con façon François Pignon. Je suis le genre de con qui aime démesurément une fille et qui fait tout pour la repousser car il a peur. Peur de quoi ? Qu'elle s'en aille ? Même mon troisième téton monstrueux ne l'a jamais effrayé. J'suis con parce que je sais qu'elle va rester. Je sais qu'elle n'a aucune raison de partir parce qu'elle m'aime démesurément. Tout est dans la démesure avec nous. L'amour, le sexe, les prises de tête. Les trois quarts du temps, je sais même pas pourquoi on s'engueule. Et je regrette aussitôt que je hausse la voix. La vérité, c'est que je suis un gros con. Et si je mesure la chance que j'ai de l'avoir, j'ai tendance à sous-estimer la chance qu'elle a de m'avoir. Parce que je ne comprendrais jamais ce qui se passe dans sa tête, j’comprendrais jamais pourquoi Diamantika Kovalevski est tombée amoureuse de Cody Bleeker. Et quand on ne comprend pas, on a tendance à fuir ou à trouver des explications souvent insensées, mais qu’importe puisqu’il faut des explications. J’suis con parce que je devrais commencer à comprendre que certaines choses ne s’expliquent pas, que certaines choses arrivent sans raison et sans préavis. J’ai été con. Je suis con. Je serai toujours con. » J'ouvre les yeux et le fixe sans pouvoir m'en détacher. Au fur et à mesure qu'il parlait, les larmes remontaient sans que je ne puisse les contrôler. Et là, il se tourne vers moi et mon souffle se coupe. « Je suis amoureux de toi Kovache. Amoureux fou, amoureux con. Je suis démesurément amoureux de toi. » La première fois qu'il me le dit de cette façon, première fois que je vois ses yeux briller comme si un feu ardent, mais de passion l'animait. J'essuie mes larmes au fur et à mesure qu'elles coulent. « Pardon, pardon, je ne voulais pas pleurer, mais... j'ai eu tellement peur de te perdre, tellement peur que tu baisses les bras, tellement peur.... Je suis folle de toi, tellement folle que je ne peux plus concevoir une vie sans toi !. Je n'aurais plus aucune raison d'être Diamantika sans Cody... Je ne voulais pas que tu m'prennes pour une pleurnicheuse...mais c'est raté parce que je pleurniche encore. Dia n'est qu'une pleurnicheuse, mais elle pleure parce qu'elle est amoureuse, folle amoureuse, elle pleure parce qu'elle à peur de perdre l'homme qu'elle aime et qu'elle aimera toujours. » On aurait dit une petite gamine, mais osef. Cette fois-ci, j'essuie pour de bon mes larmes et cesse de pleurer. Je me lève et passe derrière le lowell encore agenouillé au sol. Je me penche jusqu'à fourrer ma tête dans son cou, mes lèvres à quelques centimètres de ses oreilles. Mes mains se joignent aux siennes en mode prière. « Faites qu'on soit toujours ensemble, faites que Coka se relève toujours de n'importe quel problème. » Et là, je murmure dans ses oreilles. « Tu n'as pas besoin d'un costume noir, je n'ai pas besoin d'une robe blanche, on a pas besoin de signatures sur des papiers, on a pas besoin d'invités, on a pas besoin de cérémonie, on a pas besoin de bagues. » Restant toujours dans la même position, je continue de murmurer avec douceur. « Moi Diamantika Kovalevski je te prends Cody Bleeker comme époux et je te promets de rester fidèle et de te chérir dans le bonheur et dans les épreuves, dans la santé et dans la maladie, pour t'aimer tous les jours de ma vie jusqu'à ce que la MORT nous sépare. » Et puis, je lui sépare les mains en lui faisant passer une bague invisible au doigt. « C'est fou, c'est bizarre, c'est étrange, c'est farfelu, inhabituel, c'est loufoque... mais après tout, nous ne sommes pas comme les autres n'est-ce pas ?. » Certes je ne devenais pas madame Bleeker devant la société, sur des papiers etc... mais je le devenais à présent devant dieu et pour nous, c'est ce qui comptait non ?. Je lui dépose un baiser sur la joue avant de me redresser.
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Et c’est dans la maison de Dieu que Cody reconnut sa connerie, ses erreurs, ses peines, ses doutes et ses espoirs. Malgré la brise glaciale qui se faufilait en plein milieu de leur cœur, soufflait un vent d’espoir au plus profond de l’âme de Bleeker. Pas réputé pour être très terre à terre, il s’évertuait à chasser l’évidence ; et si Diamantika était la femme qu’il attendait ? Celle qui le respecterait quoiqu’il arrive ? Celle qui ne l’abandonnerait pas à cause de rumeurs ? Celle qui ne tenterait pas désespérément d’en faire un autre homme ? Les trois précédentes histoires d’amour de Cody Bleeker avaient été fortes, puissantes, l’avaient transcendé, l’avaient transformé, puis s’étaient brusquement arrêtées en pleine apogée. Et si Coka suivait la même issue ? À voler trop près du soleil, on finit par s’en brûler les ailes. Du coup, désespérément, Cody cherchait une explication rationnelle à son histoire avec Diamantika. Mais au bout d’un moment, fallait le raisonner, le raisonner de telle sorte à ce qu’il arrête de raisonner. Et pourquoi pas parler de stratégie de rationalisation de la production, de recentrage sur le métier, de stratégie globale régionalisée ? OUUUUPSSS pardon, c’est mon partiel d’économie internationale qui m’a un peu bousillé le cerveauuu lààà, mais tout va bien je te rassurer. Revenons à nos moutons, ou plutôt à nos tourtereaux. Ou plutôt à nos tourteaux, c’est que j’ai une envie de crabe MOUA. Son discours eut pour effet une cascade de larmes sur les joues de Diamantika et Cody tourna la tête sur le côté, incapable d’accepter de la faire pleurer encore une fois. Que ce soit de bonheur, de malheur, de Bleeker de malheur … NON, DIAMANTIKA KOVALEVSKI, TU NE PLEURERAS PLUS. A part quand t’éplucheras des oignons pour faire la popote à ton chéri Codyyyy, là, ouais, chiaaaaleeee, mets-toi les doigts pleins d’oignons dans les yeux et meurs, mouahahaha. Que d’amour dans ce rp.  Il ne répondit pas à son discours sur ses larmes, obnubilé par sa présence autour de lui, dans son dos. Tout son être tressaillit lorsque son souffle se propagea dans le col de sa chemise et que ses mots s’incrustèrent dans son oreille pour se rendre directement dans son cœur. Et il fut en première loge pour assister au mariage le plus beau que toute la terre ait connu, le plus court, le plus simple, le plus vrai. Il s’agissait là seulement de l’union entre deux être, entre deux cœurs blessés qui, au contact de l’autre, pansaient leurs plaies tels des jumeaux prématurés. Sa peau vrombit au contact de ses doigts sur les siens quand elle fit glisser une alliance invisible. Il la sentait putain, il la sentait serrer son annulaire. Il referma son poing et fixa son doigt avant de se tordre le cou – limite – pour river ses prunelles dans celle de sa femme. Oui sa femme. C’était peut-être dur à concevoir pour vous mais pour Cody et Dia, tout était clair comme de l’eau de source des montagnes. Ouais je saissssss, on dit ’clair comme de l’eau de roche’ mais l’eau de ma bouteille est trèèèèèèès claire aussi alors bon. Elle se redressa et il se leva à son tour pour lui faire face et entrelacer ses doigts aux siens. « Moi, Cody Bleeker, te prends toi, Diamantika Kovalevski, comme plan-cul, défouloir, meilleure amie, petite amie et femme. J’te jure de t’honorer matin, midi et soir, de te chérir autant que je peux mais pas pendant le Superbowl parce que là, c’est mort. Ni pendant Grey’s Anatomy, ni pendant les rediffusions de The Beyonce Experience – qui est un super concert de Beyonce, on devrait le regarder ensemble un jour … Je te jure de ne plus mater d’autres femmes que toi … » se reprit-il in extremis « … De ne pas toucher d’autres seins que les tiens, d’arrêter d’ailleurs de les critiquer le weekend parce que je peux pas tout arrêter d’un coup, j’suis un junkie, j’ai besoin de ma dose de critique sur les implants mammaires. Je te jure que je te protégerais quoiqu’il arrive, que je serais toujours là, que tu m’auras sur le dos H24 et pas seulement en levrette … » ET LA vous lisez mon RP et vous vous dites ’mais c’est pas possssssiiiiibleeeee, il a pas osé dire ça quand mêmeeeeeeee’ et BEN SI. Pourquoi ? Et bien, la réponse tient en trois syllabes ; c’est Cody. « … Tant que tu porteras mon nom, pour toujours et à jamais, c’est toi Madame Bleeker. » Puis il lâcha la main de Diamantika, se souvenant d’un truc. Il tapota la poche de son costume et en retira une petite boîte carrée qu’il ouvrit sous les yeux de Diamantika. Une bague de fiançailles. En fait, c’était celle destinée à Joan puisqu’ils avaient parié que si Cody aimait le témoin de Joan – Dia, en l’occurrence – il devrait lui offrir une bague. Et vice-versaaa, il était censé hérité d’un CD de Beyonce. Vous croyez que Joan râlerait si elle apprenait qu’il venait d’offrir SA bague à une autre femme ? Qu’importe. Au pire, Diamantika était riche, elle payerait une bague à Joan pour qu’elle arrête de râler. Il extirpa l’anneau argentée de l’étoffe ivoire– oui, cette bague n’était qu’un simple anneau dépourvu de tout diamant, de toute gravure, un anneau – et le glissa à l’annulaire de Diamantika, en silence. Il avait peut-être fait le serment le plus pourri de toute l’histoire des mariages, mais il offrait une bague à la femme qu’il aimait.
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Ô, mon aimé, tout mon être s'embellit chaque fois que vous posez les yeux sur mon augure silhouette. Laissez-moi poser mes lèvres sur chaque partielle de votre peau, faire glisser ma langue dans vos recoins les plus cachés, faire découvrir à mes mains vos formes avantageuses. Dès lors, tout ne sera qu'extase de sens et passions entre deux âmes-sœurs. Ô, je vous aime, mon omelette et je vous désire. Oui oui, Cody c'était son omelette, sa délicieuse omelette parce qu'il avait des œufs. OKEY JE SORS. Du coup, je venais de faire un tout autre serment parce que parler d’œuf ahem. Et après lui avoir passé au doigt, une bague invisible et m'être redressée, je fixais mon mari, oui Cody Bleeker était enfin mon mari, le mien et pas celui de Joan, puis peu importe qu'elle soit Bleeker par la loi et pas moi. L'essentiel, c'est que nous le savions, nous l'acceptions et nous le formions à présent, lui et moi. Il se redressa à son tour et m'attrapa les mains. Mon cœur tambourinait aux sons d'un tam-tam indien, mes mains sont moites, mon corps fut parcouru d'un énorme frisson. C'était le plus beau jour de ma vie. « Moi, Cody Bleeker, te prends toi, Diamantika Kovalevski, comme plan-cul, défouloir, meilleure amie, petite amie et femme. J’te jure de t’honorer matin, midi et soir, de te chérir autant que je peux mais pas pendant le Superbowl parce que là, c’est mort. Ni pendant Grey’s Anatomy, ni pendant les rediffusions de The Beyonce Experience – qui est un super concert de Beyonce, on devrait le regarder ensemble un jour … Je te jure de ne plus mater d’autres femmes que toi … De ne pas toucher d’autres seins que les tiens, d’arrêter d’ailleurs de les critiquer le weekend parce que je peux pas tout arrêter d’un coup, j’suis un junkie, j’ai besoin de ma dose de critique sur les implants mammaires. Je te jure que je te protégerais quoiqu’il arrive, que je serais toujours là, que tu m’auras sur le dos H24 et pas seulement en levrette … » Je l'écoutais, mais je ne pouvais pas m'empêcher de rire, de rire aux éclats tant ce serment était assez...unique on va dire. D'ailleurs, il me plaisait parce que je pouvais m'en vanter, c'était un serment bizarroïde, mais ça restait un serment pas comme un autre, pour un mariage pas comme les autres, pour des mariés pas comme les autres et pour une histoire d'amour pas comme les autres. Je riais, je riais de tout cœur, de bon cœur. Ce mariage est le plus parfait des mariages. Simple, beau, magique, vrai, mais surtout UNIQUE. Quoi rêver de plus sérieusement ?. « ... Tant que tu porteras mon nom, pour toujours et à jamais, c'est toi Madame Bleeker. » Termina-t-il en beauté. Moi, madame Bleeker ?. Madame Bleeker moi ?. Oui oui je me répétais de différentes manières pour voir qui est le plus joli esthétiquement vous voyez ?. Okey, je ressors. Ah, mais non, faut que je finisse ce rp sinon Marie va m'tuer. Le lowell lâche ma main et mon regard ne le lâche plus, me demandant ce qu'il faisait à tâter sa veste. Lorsque soudainement, il sortit une petite boite dans laquelle il retira une bague de fiançailles. J'écarquillais les yeux en le regardant me passer la bague au doigt. Je lève la main et la regarde de plus près. « Cody... Elle est magnifique... Mais comment... ? » Ou dirais-je qu'est-ce qu'elle faisait dans sa veste ?. Et avec un large sourire, je croise mes bras autour de son cou en noyant mon regard dans le sien. « J'ai découvert votre secret Mr Bleeker, vous êtes un magicien ein ?. » Murmurais-je en pressant mes lèvres sur les siennes afin de sceller le baiser du mariage. Oui normalement c'était "Vous pouvez embrasser la mariée" mais chez Coka c'était, "Vous pouvez embrasser le marié". Un baiser transmit de tout mon être, de tout mon soûl, de tout mon amour et ma passion. Même qu'entre deux baisers, je murmurais. « Madame... Bleeker. » Sourire et joie aux lèvres. Dia Bleeker. Dear God, just perfect. Je stop le baiser à contrecœur. « Homme voudrait-il maintenant prendre une douche avec femme ? » Sa femme. Nondidiouuuuuuuu, je n'allais pas pouvoir dormir la nuit et autant dire que ça me faisait trop bizarreeeee d'avoir une bague au doigt, mais tellement heureuse. Cette bague aurait été en plastique, en jouet ou peu importe, qu'elle aurait toujours été magnifique à mes yeux. Parce qu'il vient simplement de mon mari et tout ce qui vient de mon mari est magnifique. J'attrape mon sac et lui attrape la main pour retourner à l'hôtel de la mort. A peine nous avons mis les pieds que des félicitations et des confettis se ruaient sur nos têtes. EUHHHHHHHHHHHHHH ?. Je donne un petit coup de coude à mon homme et lui murmure discrètement. « Ils nous espionnaient, ce sont des malades... Des fous. » C'est quoi c'est gens ? Des aliènes ?. Pas rassurant du tout. Mais je leur offrais mon plus beau sourire quand même parce que voilà, je suis heureuse et ce premier rendez-vous s'est transformé en super first date. Le plus parfait.
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Vous imaginez la gueule du prêtre si Cody avait balancé un tel serment en plein mariage ? Et la tête des parents de Diamantika aiaiaiaiaiaiaiaiiiiiieeee. Chez madame B., ça serait passé crème, voire même crème chantilly avec des petits copeaux de chocolat – parce que c’est trop boooon et y a pas d’heure pour s’faire plaisir – mais les non-Bleeker auraient tiré une tête façon The Mask quand il voit une jolie fille, sans les yeux en forme de cœur et la piscine de bave à leur pied. Cody se souvint ensuite au bon moment de la bague dans sa poche. Ça devait faire quelques semaines qu’elle s’y trouvait, au lendemain du mariage en fait. Il avait acheté cette bague parce que, visiblement, Joan avait gagné son pari et mérité la bague qu’elle chérissait tant. Mais il n’avait jamais trouvé le temps, le courage et encore moins l’envie pour aller la lui donner. Offrir une bague à une nana, c’est pas rien. Elle avait une valeur plus symbolique qu’autre chose puisque ce n’était qu’un anneau en argent – quoique pour le porte-monnaie de Cody ça représentait un investissement assez conséquent. Il la glissa au doigt de Diamantika à qui cette bague sembla plaire puisqu’elle lui sauta au cou. Elle ne lui laissa pas le temps de répliquer puisqu’elle l’embrassa. Oulalalaaaaa, fallait qu’il rectifie un truc car sinon, elle allait croire que ça faisait quelques jours qu’il se promenait avec une bague dans sa poche pour lui faire sa demande … ALORS QUE NON. Ce moment était parfaitement improvisé, ce n’était qu’une coïncidenceee. Mais il lui dirait en temps et en heure, là il ne pouvait pas, elle était en train de lui baver dans la boucheee mmmh la cracra. DIAKAKA. De leurs lèvres en fusion jaillit une vague de bien-être dans l’estomac de Cody qui se sentait revivre jour après jour aux côtés de Diamantika. Ses bras s’insinuèrent sous le manteau de l’Eliot et enserrèrent sa taille, la ramenant contre lui. Un nuage de chaleur se répandait tout autour d’eux alors qu’ils venaient de se marier. OK, pas officiellement, ça ferait de Cody un peu un polygame quoi. Mais voiiiiiiiiiiilàààà, pour eux, c’était tout comme ! Ce mariage avait bien plus de valeur que le commun des mortels ne pouvait concevoir. « Madame Bleeker, oui … » Puis elle l’invita à prendre une douche avec lui – décidément, elle y tenait à sa doucheeee heiiiiin – ce à quoi Cody répondit ; « Ouais, homme voudrait bien surtout que femme commence vraiment à puer. » Oui elle puait. Elle puait L’AMOUUUUUUUUUURRRRRR HAAAAAAN. Berkkkk, je commence à devenir gnangnan moi il faut que je me ressaisisse de la saucisse. Ils retournèrent dans le hall de l’hôtel là om les confettis, les cotillons et les sifflets étaient de sortie. OKKKK, que pasaaaaaaaaaaaaaaa, y avait un mort ou quoi ? AH NOOOON, des ’vive les mariéssssss’ surgirent de toute part. « Ce que j’aime ici c’est l’intimité qu’on a. » murmura Cody avec ironie en se pinçant la lèvre quand Alphonse-Raymond se jeta à son cou. Euuuuuuuuuuuuuuuhhhh. Gêné par toute cette effusion d’amour, le brunet parvint tout de même à demander en paraissant le plus agréable possible ; « Et alors, on a gagné quoi du coup ? Un repas gratuit ? Pas de frais sur les peignoirs qu’on utilisera ? » Et la patronne, bien plus souriante que toute à l’heure, annonça ; « Une nuit gratuite dans la plus belle chambre du manooooooooooir ! » Euh wow, mais pourquoi étaient-ils si enjoués pour une même-pas-vraie demande en mariage ? WEIRD. On attrapa les mains des deux amoureux et les guidèrent d’escaliers en escaliers jusqu’à une porte. « Voilà pour vous, tout est à notre charge. » déclara le valet en leur faisant une petite révérence. Ils avaient tous fumé de l’herbe en écoutant du John Lennon, c’est pas possible autremeeeeeennnnnt. Cody entra dans la chambre après Diamantika et veilla bien à verrouiller la porte après eux pour pas qu’il y ait de nuisibles qui entrent, et par nuisibles j’entends évidemment valet sadomasochiste, anglais pervers, bûcheron nocturne. La chambre était bien plus spacieuse que les autres. Elle avait été aménagée dans le toit, sous les combles, si bien que de magnifiques poutres en bois traversèrent la largeur de la pièce à plusieurs endroits. Au fond, se trouvait la salle de bain. Dans la chambre étaient installés un grand lit à baldaquin et une cheminée en vieilles pierres. Un feu dansait déjà dans le foyer.  Et là, Cody éclata de rire ; « Mais ces gens sont tarés ! C’est pas possible, il y a une arnaque … On se fout de nous … » Et sur ce, pris dans un élan de paranoïa, Cody se mit à inspecter de fond en comble la chambre à la recherche d’éventuelles caméras. Pourquoi leur offrirait-on une chambre pareille, sinon ?
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Je cite, Marie confond maintenant bague et blague et après elle ose se moquer de mes fautes. Tu vas finir par être contaminée mouhahahahahahaha. Pour une fille, le mariage est une cérémonie grandiose où elle pourra porter la magnifique robe blanche et ressembler à une princesse, mais pour Diamantika, faire un mariage invisible avait une meilleure signification tant qu'elle le faisait avec la personne que son cœur a choisie. Alors, peu importe qu'il ne soit pas ancré sur des papiers, du moment que pour eux tout était claire, tout était parfait et tout était vrai. Je ne pourrais mettre aucun nom sur ce que je ressentais à cet instant précis. Porter le nom Bleeker, avoir une bague au doigt qui en est la preuve du mariage et de la promesse faite entre ces deux amoureux fous, c'était magique. Ce premier rendez-vous n'était finalement pas une catastrophe, au contraire. « Madame Bleeker, oui ... » Oui, Madame Bleeker, l'unique, la vraie, la seule à avoir le droit de porter son nom parce que voilà, c'était mon mien. Et que si quelqu'un osait le toucher, toucher SON MARI et bien, Dia fera un carnage. Je serai sans pitié, n'hésiterais pas à faire sortir les griffes et ça faisait très très très mal. Parole de Madame Bleeker. Après lui avoir offert un baiser, j'insistais sur la douche que monsieur avait refusé quelques minutes plus tôt. Bah ouai, j'y tenais à cette douche. « Ouais, homme voudrait bien surtout que femme commence vraiment à puer. » J'éclate de rire, mais n'importe quoi. Je ne pue pas, au contraire je sens la rose, enfin, du Nina Ricci plutôt. « N'importe quoi, c'est toi qui pue comme un putois en fait, c'est pour ça que je veux absolument la prendre cette douche. » Rajoutais-je en faisant mine de boucher mon nez. J'enchaîne avec un rire et le ramène à l'hôtel où nous avons été accueillis festivement. Nous montrant carrément qu'ils nous avaient espionné. Sérieusement, ils veulent quoi de nous à la fin ?. « Ce que j'aime ici c'est l'intimité qu'on a. » Mais je suis tout à fait d'accord avec mon homme. On avait tellement d'intimité que si on respirait, ils arriveraient à les entendre. Seriously. Ou alors, c'est que ça fait tellement longtemps qu'ils ne reçoivent plus personne, qu'ils doivent se sentir tellement seuls, d'où le fait qu'ils ont décidé de ne pas nous lâcher. Pas étonnant que personne ne vienne ici. « Et alors, on a gagné quoi du coup ? Un repas gratuit ? Pas de frais sur les peignoirs qu'on utilisera ? » Demanda mon mari à la propriétaire qui s'empressa de répondre en nous offrant la meilleure chambre de cet hôtel. Si on peut encore appeler ça, un hôtel. Le valet nous guida et je ne peux m'empêcher de penser à la scène que j'avais vue entre lui et la masochiste là. Je grimaçais tant cette image me donnait la chair de poule. 'fin, nous sommes arrivés et il faut avouer, qu'elle est meilleure que les deux autres. En quelques heures, nous avons déjà squatter trois chambres. Hum qui dit mieux ?. Le lowell verrouilla la porte et rétorqua rapidement. « Mais ces gens sont tarés ! C'est pas possible, il y a une arnaque ... On se fout de nous ... » Je suis également de son avis. Et même que je me suis mise à inspecter les lieux avec lui. M'abaissant sous le lit, je remarquais deux cartons. Je fis sortir un et devinez quoi ?. C'était des costumes assez sexy. Il y avait de tout, infirmière, marin, mermaid, femme de chambre, lapine, mère Noël...etc...OH MAIS OUI. Je voulais lui faire une surprise pendant le voyage de classe et lui offrir une nuit de moi en mère Noël, mais puisqu'il y a déjà un costume ici, pourquoi pas ?. J'attrape les vêtements et les cache derrière mon dos, puis je repousse le carton sous le lit en attrapant l'autre. HANNNNNNNNNNNNNNNNNNN. Olalalalalalalala, je n'aime pas ce qu'il y a dans ce deuxième carton pitingggggggg. Un carton remplit d'objets sexuels, style, fouet, bâton de policier, menottes, chaînes etc... Je suis certaine que ça, c'est pour satisfaire le sado et la maso de cet hôtel. Olalalalalalala, je repousse à nouveau le carton vite fait en grimaçant. Vaut mieux pas que Cody voit ça. « Installe-toi confortablement, je serais de retour dans quelques secondes. » Je file dans la salle de bain en cachant le costume et une fois à l'intérieur, je me libère de mes vêtements pour me transformer en mama noël. Chapeau de Noël sur la tête, j'ouvre enfin la porte et m'y cale en une pause sexy. « Alors ? J'suis comment en mère Noël ?. » Avançant à pas sensuels, je grimpe sur le lit et m'arrête au-dessus de lui, mains sur mes hanches. « T'as été sage cette année Cody ?. » Un large sourire se dessine sur mes lèvres tandis que j'hausse trois fois des sourcils, style, "t'as vu, t'as vu". Même en maman Noël Dia restait sexy et d'ailleurs, la jupe était tellement de taille baisse qu'on voyait un petit bout de mon tatouage, ce qui rendait encore plus sexy, le costume.
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Arrivés dans leur nouvelle chambre pour la nuit, Cody s’attendait à tout sauf ça. Certes, ce n’était pas la suite de Céline Dion au Caesar Palace. MAAAAAAIIIIIS cette chambre était très cosy et y régnait une chaleur enivrante. La lumière était tamisée, la décoration sobre et rustique. Cody ne s’y connaissait pas trop en décoration mais il y avait un mélange harmonieux entre le côté ancien et les meubles IKEA. Très sympaaaa, vraiment, vraimeeeentttt. Mais sentant l’arnaque à plein nez – peut-être que la chambre aussi a besoin de prendre une douche – le jeune homme parcourut toute la pièce de fond en comble à la recherche de micro caméras. Sait-on jamais, ces psychopathes d’hôtes auraient pu en cacher une derrière n’importe quel bibelot et filmer tous les jeunes couples s’aventurant dans ces lieux. Peut-être même qu’ils avaient une bibliothèque complèèèèteeeee remplie de sex tape ! Ouais noooon, fallait qu’ils fassent gaffe, déjà que le surveillant de la piscine avait dû bien se marrer en visionnant les caméras de surveillance hein, enfin si elles existaient ! Pendant ce temps-là, Cody ne prêta pas attention à Dia, jusqu’à ce qu’elle lui dise de s’installer en attendant qu’elle revienne. Il arqua un sourcil et haussa les épaules, s’exécutant. Il retira ses chaussures et se jeta sur le lit, s’enfonçant la tête dans un coussin en flanelle ultraaaaa mouuuu, ultra douuuux ! On aurait dit du PQ COKA ಇ first date. - Page 3 2109348208 Mais c’en était paaaas, vous imaginez si Cody dormait dans un tas de PQ ? Enfin je ne critique pas, mon chat – Gus – le fait des fois mais il lui manque quelques cases à cet abruti de chat. Il dort dans le PQ, il plonge dans les toilettes, what else ? AAAAH, les chats ! Cody s’était finalement assis dans le lit, les jambes tendues, le dos contre les oreillers qu’il avait mis debout contre le mur. Ainsi, ça lui faisait un genre de petit fauteuil dans son lit à baldaquin. Puis, Diamantika débarqua dans l’encadrement de la porte, habillée en Mère Noël. Quoi … EN MÈRE NOËL ??! Les yeux de Cody sortirent de leurs orbites et dansèrent la macarena à trois kilomètres de son visage face à ce spectacle. Et plus elle s’approcha, plus Cody se sentait défaillir. Mais pas tout Cody défaillait, vous pensez bien que Codynosaure levait la tête pour profiter de la vue heing. Quel coquin celui-là. C’est pas un pénis, c’est un périscope le mec. « Mais où t’as trouvé ce truc ? Ne me dis pas que c’était dans la chambre ? » Et là, il éclata de rire en la voyant approcher sur le lit, levant la tête alors qu’elle était presque debout au-dessus de lui. Et il ria de plus belle quand elle s’improvisa Santa Claus sous ses yeux. Il calma son éclat en frottant ses yeux emplis de larmes tellement il était MDR quoi. « Oh, si t’es Mère Noël et que je suis ton mari, alors je suis le Père Noël. Et c’est à moi de demander si t’as été sageeee, oh oh ohhhhh ! » Son imitation du Padre Nowel n’était pas tip top mais c’est pas graaaaveeee. Il posa ses mains sur les hanches de Diamantika, dégageant du coup celles de la jeune femme. Du pouce, il dessina le chapeau du C et du B à l’orée de la jupe de Kovache, appréciant plus que jamais le tatouage qu’elle s’était faite en cette belle journée du 26 novembre. Chaque fois qu’il voyait cette marque sur sa peau, tous ses doutes quant aux sentiments de Diamantika s’évaporaient et il savait que jamais il ne la perdrait. Parce qu’elle l’aimait. Au point même de graver ses initiales sur sa peau alors qu’ils ne se fréquentaient que depuis trois mois. « Bon, et Kovagin, tu l’as libéré délivré ? » Nonnnnn promiiiis, je ne vais pas massacrer ENCORE la reine des neiiiigeeees, c’est boooooon ! Ses mains brûlantes quittèrent ses hanches et s’aventurèrent sous la cape de velours rouge, se précisèrent sur le galbe de ses fesses, où il découvrit que sa petite amie était toute nue sous son déguisement. Mammaaaa miaaaaaaa. « Ah ouais, donc Kovagin est lui aussi en mode Noël ? » Face à sa mine décontenancé, il se mit à chanter en Lowell qui se respecte ; « Ben oui, il chante ’vive le vent vive le vent d’hiver, boules de neige et jour de l’an et bonne annééééé grand-mèreeee’ ! » Elle devait le prendre pour un alien. Il grimaça ; « T’as raison, on laisse grand-mère où elle est. » Valait mieux. Et après ça, il lui vola un tendre baiser sur le bout de ses lèvres.
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Non mais avouez que je fais une parfaite mama Noël pas vrai ?. Appelez-moi au 10- PISHHTESSSKBOUM. Euhhh ça c'est Cody qui vient de casser mon tel parce que monsieur est jaloux, il ne veut pas que j'offre mes services, franchement. Okey, je deviens folle et ce rp va devenir complètement fou. Tout comme le sont déjà les auteurs. Hein Marie, hein Moi aka Chérine. Pfiouuuuu. Donc me voilà au-dessus de mon mari à sortir le grand jeu de la femme du père Noël, elle en avait marre de rester caché et maintenant, on comprend pourquoi son mari la cachait. Parce qu'elle était trooooooooooop sexy comparé à la grosse barbichette blanche du kikinoël ce qui veut dire le mâle quoi, le père Noël rhoooo, je n'aime pas répéter plusieurs fois le même mot vous voyez, donc Kikinoël on voit toute suite de qui il s'agit ein. « Mais où t'as trouvé ce truc ? Ne me dis pas que c'était dans la chambre ? » Siiiiiiiiiiiii c'était dans la chambre, mais il n'avait pas besoin de le savoir. « T'es pas le seul magicien t'sais, chéri. » Fis-je accompagné d'un sourire provocateur. Et voilà que mon homme se met à rire aux éclats. J'accompagnais ses rires parce que j'adorais le voir ainsi et encore plus lorsque c'est moi la cause. J'aimerais le voir rire comme ça tout le temps et je ferais en sorte que cela arrive tout le temps. « Oh, si t'es Mère Noël et que je suis ton mari, alors je suis le Père Noël. Et c'est à moi de demander si t'as été sageeee, oh oh ohhhhh ! » Là, c'était à mon tour d'éclater de rire. C'est la pire imitation que je n'ai jamais vu de toute ma vie. « N'essaie pas de t'improviser Père Noël pour ta fille, je crois qu'elle finira en larmes ou en rires captant immédiatement que t'es un fake ! » Mon dieu, tellement que je riais là, je sentais de gros fourmillements au ventre. Mais je tentais de me calmer, surtout lorsqu'il commença à caresser ma peau avec ses doigts magiques. Il caressa du pouce, mon tatouage. Pour ceux qui ne le savent pas encore, ce tatouage porte les initiales CB aka Cody Bleeker. Preuve que lorsqu'on aime réellement, le temps ne compte plus. Peu importe que ça ne fasse qu'une semaine, un mois ou plus, quand tu sais que c'est le bon, quand tu l'aimes d'un amour différent, unique et puissant et bien, le temps n'a plus d'importance parce qu'à cet instant, tu arrêtes de compter les jours, seul l'instant présent à ses côtés compte. « Bon, et Kovagin, tu l'as libéré délivré ? » J'écarquillais les yeux lorsque j'ai senti ses mains sur mes fesses, prenant conscience que j'avais oublié de remettre ma culotte. Voilà pourquoi je me disais depuis t'aleurs que je sentais une brise froide là-dessous. Je croyais que ce costume avait un ventilo invisible. « Ah ouais, donc Kovagin est lui aussi en mode Noël ? » Je secouais négativement de la tête, laissant mes joues devenir rouges de honte. Tellement, que je me suis assise immédiatement sur le lit en cachant mes parties intimes avec la petite jupette. « Ben oui, il chante 'vive le vent vive le vent d'hiver, boules de neige et jour de l'an et bonne annééééé grand-mèreeee' !.... T'as raison, on laisse grand-mère où elle est. » OMG OMG OMG, mais il est taréééééééééééé, ce n'est pas possible. J'explose de rire en me tordant sur le lit. Mon dieu, mon mari est un extraterrestre venu de la planète cinglé. « Mais...mais... T'es complètement fou Bleeker. J'ai hérité d'un extraterrestre pour mari. Nondidiouuuuu ! Elle est où ta soucoupe volante là ?. » J'en riais même jusqu'aux larmes tellement je n'en pouvais plus. Mais petit à petit je me calme, même si ce n'est toujours pas ça. Et soudainement, je lui ferme les yeux. « Je vais faire un tour de magie, garde les yeux fermés d'accord ?. Triche pas !. » Je fais sortir le carton de costume sous le lit et me rends avec dans la salle de bain. Le cachant bien dans un coin, je fis sortir le costume ou plutôt lingerie de chat blanc. Celui là n'avait pas besoin de culotte puisque s'en était une en même temps, je l'enfile et rajoute la queue blanche derrière. Je sors de la salle de bain en grimpant de nouveau sur le lit et en marchant à quatre pattes jusqu'aux cuisses de mon homme où je m'y recroqueville en mode chat. « Miaou-miaou. » Ça veut dire ouvre les yeux chéri. Une fois les yeux de mon cher mari ouverts, je passe les miens en mode chat potté, le fixant, mains pliées sous mon menton. « Miaou-miaou. » Répétais-je en glissant mon crâne sous son menton, contre sa gorge pour faire un câlin style chat quoi. On va se passer des ronronnements parce que je ne savais pas les faire. « Miaouuuuuuu. » Lançais une dernière fois avant de glisser sensuellement ma langue sur son cou, remontant lentement jusqu'à sa lobe d'oreille et là, je me laisse tomber sur le lit en éclatant de rire. Je n'en pouvais plussssssssss.
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Comme d’habitude, Diamantika inspirait tout un tas de connerie à Cody Bleeker qui se mit à chanter une comptine de Noël, narmooooolllll. Le commun des mortels se serait empressé de défaire le paquet cadeau voire même d’enfiler ses boules sur son sapin de Noël mais nooon, pas Codyyyyy, il respirait l’innocence ce mec, et ouaaaaiiis ! En même temps, sur Kovache, c’est un grand emballage pour un si petit cadeau heeeeiiing. Ouais, le Lowell avait promis qu’il allait se calmer niveau critique mammaire … MAIS PAS MOI. Je ne suis pas Cody. Nous sommes deux entités bien distinctes, Marie n’est pas Cody et Cody n’est pas Marie, mais Cody est mari alors que le mari n’est pas Marie. Et ouais, vous avez capiche ? Tant mieux parce que moi PAS ! Mais tant pis, on s’en fout, la vie est belle, yoloooooo. « Ma soucoupe volante est dans le jardin ! Mon chauffeur personnel l’a garé toute à l’heure. Non, ce n’était pas le bûcheron qu’on entendait mais le bruit des réacteurs à thermo-fusion. J’t’aurais bien amené dedans mais j’suis un macho donc pas de femme à bord, ça pourrait causer des accidents et j’veux que ma soucoupe volante reste une soucoupe volante. » Call me Codyti. Ben ouais … La contraction de Cody et E.T. l’extraterrestre quoi ! Roooooh faut tout vous expliquer à vous. Contraint par sa petite amie, Cody clôt ses paupières. « D’accord. Tant que tu n’en profites pas pour me découper en morceau. J’suis pas convaincu par le goût de Codynosaure transformé en boudin blanc. Déjà que le goût de Codynosaure ne m’inspire pas beaucoup, enfin à ce niveau-là tu t’y connais mieux que moi et … » Grand moment de solitude. Ouip, parce que Cody continuait à parler de sa zigounette alors que Diamantika était déjà partie loin looooiiiin pour se changer. Il comprit qu’elle s’en était allée au moment où elle revint et que tout son poids fit bouger le matelas. Elle revint en mode petite chatte, c’en était ridiculement sexy. Bon OOOOKKK, c’était surtout ridicule, Cody ne pouvait s’empêcher de rire en la voyant affublée de la sorte, miaulant à tout va. « Ouiiiiii miaou-miamiaou ! » fit-il en se tapotant le ventre pour calmer son éclat mais … Impossibleeeee. Et là, elle lui donna des coups de tête, moutonnant son cou, sa gorge. Il manquait plus que les ronrons et l’haleine de poisson et il s’y croirait. Ses lèvres décuplèrent ses émotions et il frémit quand elle se logea contre son oreille. Il s’empêcha de perdre pied en glissant une main dans ses cheveux, juste avant qu’elle ne s’écroule à côté de lui sur le lit. « Arrête de rigoler c’est moi qui rigole ! » grogna-t-il en se penchant sur elle et plaquant furtivement ses lèvres sur les siennes, à plusieurs reprises, pour la faire taire. Il plaqua également sa main sur ventre, s’aventurant sous la lanière qui parcourait son ventre en hauteur. « On se calme, on se calmeeee. » lâchait-il en se retenant de rire à son tour. « Non mais ça m’intrigue, où tu trouves des costumes pareils ? » Et ne voyant pas d’autres possibilités, il se rapprocha machinalement du bord du lit et se pencha vers le sol pour attraper le carton qui se trouvait en dessus. Sauf que, évidemment, il ne restait que le carton avec certains objets pas du tout catholiques. Cody poussa une grimace horrifié avant d’y extirper une paire de menottes. Il la montra avec un air sadique à Diamantika, sans pour autant avoir l’intention de les lui enfiler. Noooon, Bleeker n’était pas branché ce genre de trucs, c’était trop weird pour luiiii ! Et puis quand on a un gros zizi, pas besoin d’artifices heeeeeeeeeeeein. Il se coucha de nouveau sur le lit, sur le flanc, accoudant son bras au matelas pour appuyer sa tête sur sa main. « Tu réalises que tout a commencé avec … ça ? » Si Dia ne l’avait pas pris en otage sur son lit, peut-être qu’ils n’en seraient pas là aujourd’hui, et ouiiii. A croire que Cody souffrait d’un syndrome de Stockholm, qu’il était indéniablement tombé amoureux de sa geôlière.  
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« Ma soucoupe volante est dans le jardin ! Mon chauffeur personnel l'a garé toute à l'heure. Non, ce n'était pas le bûcheron qu'on entendait mais le bruit des réacteurs à thermo-fusion. J't'aurais bien amené dedans mais j'suis un macho donc pas de femme à bord, ça pourrait causer des accidents et j'veux que ma soucoupe volante reste une soucoupe volante. » Cody était en train de délirer, moi j'étais en train de délirer, nous étions en train de délirer et vous, vous êtes obligés de lire tout ça parce que voilà, vous nous aimez quand même malgré tout. Puis Coka for the life n'est-ce pas ?. Quoi qu'il en soit, je laissais mon mari parler tout seul. « D'accord. Tant que tu n'en profites pas pour me découper en morceau. J'suis pas convaincu par le goût de Codynosaure transformé en boudin blanc. Déjà que le goût de Codynosaure ne m'inspire pas beaucoup, enfin à ce niveau-là tu t'y connais mieux que moi et ... » Et il délirait encore. Je ne pouvais m'empêcher de rire derrière la porte de la salle de bain. Ouai, je connaissais Codynosaure dans les plus brefs détails, mais on va se passer de vous donner le pourquoi du comment. Dia cherchait simplement à satisfaire son homme à son maximum de sorte qu'il ne trouve pas le besoin un jour, d'aller voir ailleurs ou même, qu'il matte du porno. Aussitôt revenue en mode chatte, je me suis mise à miauler comme un vrai chaton, mais en mode plus sexy vous voyez ?. Mon homme éclata à nouveau de rire, lâchant. « Ouiiiiii miaou-miamiaou ! » Là, je me retenais de rire, mais mon dieu j'en pouvais plus parce qu'il imitait très très très mal le chat. Limite là, c'était un chat sur le point de se faire cuisiner à la marmite ou de se faire castrer en fait. Cependant, comme je suis en mode chat, le coup de langue était obligatoire et ce qui semblait plaire à mon mari puisque je le sentais frémir du bout de ma langue. Great !. Mais, arrivée à un stade, je ne pouvais plus me retenir, sooooo, je me suis laissée tomber sur le côté en riant. « Arrête de rigoler c'est moi qui rigole ! » Le lowell se pencha rapidement vers moi pour plaquer ses lèvres à plusieurs reprises sur les miennes en tentant de me faire taire, mais en vain. Malgré ses baisers, des rires continuaient de résonner dans la pièce. « On se calme, on se calmeeee. » Dit-il après avoir logé une main sur mon ventre sous la lanière argentée et blanche qui ornait mon ventre en hauteur. Par réflexe, j'avalais doucement mon ventre, prise d'un frisson et de petits fourmillements vers le bas. « Non mais ça m'intrigue, où tu trouves des costumes pareils ? » Je hoche négativement de la tête dans un sourire provocateur, style, non non non je ne dirais rien et au même moment, il se pencha sur le côté pour glisser sa main sous le lit afin faire sortir le fameux carton à cochonneries. Codybabouin s'empara même des menottes en s'accoudant sur le lit et les brandissant sous mon regard. « Tu réalises que tout a commencé avec … ça ? » Et quand je m'en rappelle, je ne peux m'empêcher d'avoir le sourire aux lèvres. Je glisse doucement jusqu'à lui tout en lui arrachant l'objet des mains que je jetais derrière pour qu'il retourne dans son carton. « Oui et j'avais demandé à Sharon, une amie, de piquer une paire auprès de son père comme ce dernier est policier, c'était juste pour cette nuit là. Maintenant, elle est retournée chez son propriétaire. » Non arrêtez, je ne suis pas shyzooooooooo, Sharon c'est mon amieeee. « Et puis je t'avais maquillé, immortalisant ce moment par des selfies. J'ai encore les photos. » C'était de bon souvenirs et malgré qu'au départ il s'agissait d'une vengeance, on s'était bien amusé. Puis cette vengeance s'était au fur et à mesure transformé en amour. Avec un grand A ouaichhh. Une main se perdit dans ses cheveux y jouant avec, du bout des doigts. « Et aujourd'hui, je suis une Bleeker dans l'âme. » Oui oui fière. L'une de mes jambes vient entourer ses hanches l'obligeant à s'allonger sur son dos tandis que je me redresse à califourchon sur lui. Mes mains se hissent dans les siennes que je plaque contre le lit. Nos doigts s'entrelacent et mon corps commence à danser sensuellement sur le sien alors que mes lèvres dévorent passionnément les siennes. Et au moment où je glissais lentement ma bouche dans son cou, on frappa plusieurs coups à la porte. « Non, non, non pas maintenant...rhoooo. » Soupirais-je en me redressant. « Ordonne-les de ne plus nous déranger, god. » Fis-je en descendant du lit. Olalalalalala, Cody avait une bosse entre les jambes. Hummm, Codynosaure était en train de se réveiller le pauvre. J'entre immédiatement dans la salle de bain pour me changer pendant que Bleeker s'occupait de voir qui tapait, sauf qu'en ouvrant la porte, toute la clique de l'hôtel entrèrent sans invitation dans la chambre. Ils avaient des verres de champagne et du champagne en mains. « J'espère que vous ne comptiez pas dormir tout de suite, nous voulons vous montrer le plus bel endroit de l'hôtel. » Dixit la masochiste. Je sortais enfin de la salle de bain vêtue d'un pyjama gris à capuche. Je relève la capuche sur ma tête et m'approche de mon homme. « Il se passe quoi ici ?. » Curieuse, j'arquais un sourcil en regardant la propriétaire ouvrir une porte...de notre chambre ?. Euhhhhhh. Elle nous demanda de les suivre, chose que nous avons fait. Nous avons même emprunté de petits escaliers jusqu'à arriver au...toit ?. Cependant, ce n'était pas un toit comme les autres puisque effectivement, elle actionna un bouton et tout s'alluma. « Wow !. » Murmurais-je en regardant autour de moi. C'était si joliment décoré au thème de Noël. Il y avait même de petits fauteuils, une balançoire joliment décorée. C'était vraiment le plus bel endroit de l'hôtel. « Et comme notre hôtel a vu naître un mariage assez spécial, nous avons décidé de vous offrir quelque chose en avance. » Et au même moment, une lancée de feux d'artifices vue le jour. Plaquant mon dos contre le torse de mon homme, je lui attrape les bras que j'entoure autour de moi entrelaçant nos doigts à la vue de ce beau spectacle. Finalement, les habitants de cette demeure sont bizarres, cinglés et j'en passe, mais ils ne sont pas méchants.
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Bouh bouh bouuuuuuuuuuuuuuuuuuuh. La schizophrénie c’est mooooche, surtout depuis le temps que je cherchais une raison valable pour t’interner et bien … JE L’AI TROUVE ! Prépare-toi à voir débarquer chez toi dès demain à la première heure une troupe d’hommes en blouse blanche. Et nooooon, ce ne sera pas Casper avec ses trois oncles ! Mais bien des médecins qui vont te donner des médicaments pour que tu sois aussi réactive qu’une patate dans un filet. Et pour info, une patate n’est pas réactive, à part quand il y a des vers qui vivent dedans mais prenons l’hypothèse que cette patate est inhabitée, c’est une patate hantée, bouuuuh bouuuh bouuuuh ! Et NON, pas hantée non plus par Casper et ses trois oncles, tu me fais chier avec Casper Marie ! Oui je me parle à moi-même par l’intermédiaire de ce RP, c’est toujours bon d’entretenir une conversation avec soi-même. « Sharon … On reste dans le thème des chats au moins, c’est bien. » ben oui, Sharon, c’est la contraction de ’chat’ et de ’ronronne’, Sharon quoi COKA ಇ first date. - Page 3 3850463188 Je le dis souvent moi, j’dis souvent ’ouuuuh c’est mon petit Gugusssss, il ronne mon bébé chat, heinnnn tu sharon tu sharoooonneeeees tu sharouuuuneee-roune’. Mon petit frère s’improvise psy parfois et m’accuse d’infantiliser notre chat mais bon, il est tellement con ce chat je ne pense pas qu’il comprenne quelque chose. Il veut juste qu’on lui caresse les fesses et qu’on lui gratouille le ventre. Bref, faut que j’arrête de raconter les péripéties de ma vie. « Elles sont où les photos ? Dans ta culotte ? » Ben quoi, c’était un peu l’endroit de prédilection, j’sais pas si vous vous rappelez du premier épisode de la longue série à suspense Coka. Cody avait envie de vérifier. D’ailleurs, sa main reprit son rôle de 00-sexe et tenta de s’infiltrer à hauteur du bas-ventre de Diamantika, là où elle le fit tournebouler en le coinçant entre ses cuisses. Cette mission fut un échec. Cody fut emprisonné, retenu en otage par la sorcière Diamantika qui assiégea ses lèvres du charme de ses baisers. AAAAH, Cody Bleeker désarmé. Pourtant il tenta de se débattre, ondulant, donnant des coups de bassin à Dia – à moins que ce soit simplement pour suivre les pas de sa danse sensuelle qu’elle entamait sur son corps. Heureusement, l’espion James Band avait toujours un complice pour le dépatouiller, un complice qui ferait fléchir Diamantika sitôt qu’il entrera dans l’arène, je parle bien sûr du Codynosaurus Rex, le prédateur le plus redoutable de toute la dinosphère et la zizisphère réunies ! Malheureusement, la porte frappa et Cody grogna. Le piiiiiireee, ce fut que Diamantika s’en alla, genre vas-y Cody démerde-toi avec çaaaaa. Mais putaaaaaiiiin, Cody n’était pas en état d’ouvrir une PORTE, même sa clef ne voulait pas rester dans sa serrure, si vous voyez ce que je veux direeee. Alors que Diamantika qui ouvre une porte en chaton sexy, ça serait mieux passé. Il grommela et se leva après avoir vérifié qu’il n’avait pas trop de faux-plis vous-savez-où … Non, c’est boooooon. Il ouvrit et tout un régiment entra dans leur chambre. Le valet – qui était devenu leur meilleur pote – serra même Cody dans ses bras et … Fuck. Vu le regard qu’il lui lança par la suite, il avait senti que Cody était au top de sa forme. Bweeeeeeeffff, quelques minutes plus tard, Cody, Dia avec en guest la Compagnie Créole se retrouvèrent sur le toit, joliment décoré aux couleurs de Noël, quand, soudain, un feu d’artifices éclata. Cody leva les yeux vers le ciel et enlaça sa petite amie, jouissant de ce spectacle. Et il jouissait de manière pas sexuelle du tout, bande de pervers cochons roh. C’était magnifique, ils étaient comme dans un rêve. Finalement, Cody n’aurait pas pu rêver de mieux comme premier rencard. Alors que, franchement, ils revenaient de loin, là. Puis, alors que les pétards éclataient toujours dans le ciel en centaines de vermicelles de couleurs, le brunet tendit les bras pour contraindre Diamantika de se retourner et l’enlaça par la taille. Ses pieds se mirent à bouger par terre, enchaînant quelques pas de danse pour un slow langoureux, rythmé par le feu d’artifices qui retentissait de plus belle. L’espace d’un instant, il oublia qu’il y avait toute une assemblée qui les observait comme s’ils mataient une comédie romantique dans une salle de cinéma. L'espace d'un instant, il oublia qu'il bandait et qu'elle portait un pyjama ridicule. L’espace d’un instant, ils étaient que tous les deux pour le plus féérique des moments. L’espace d’un instant, il chercha ses lèvres et les effleura quelques secondes sans les embrasser, respirant et avalant son souffle comme un nuage de lait. Et l’espace d’un instant, il l’embrassa tendrement. Il dansait toujours alors que le feu d’artifices prit fin. Il n’y avait plus de chanson, plus de boum, plus de clac, plus de piou, juste le rythme de leurs cœurs qui battaient à tambours battants. C’était la plus belle des mélodies.
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