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COKA ಇ first date.

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« Une tronçonneuse dans ta chambre ? T'as fumé la moquette ? Ou la tapisserie ? Berk, y a un truc qui sent fort iciiiii. » En attendant, c'était lui qui semblait être dans les vapes et pas moi. Bah quoi, l'hôtel était déjà chelou, alors ça ne m'étonnerait pas qu'un mec se promène avec une tronçonneuse pour tuer tout ce qui s'offre à ses yeux. Une famille de cinglés moi je dis. « Il coupe du bois en pleine nuit ? C'est pas trop dangereux ? » Et là, je regardais mon petit-ami en mode oui oui ouiii t'as tout compris chéri, on se casse maintenant. Sauf que le valet, il trouva son moment pour ouvrir son clapet. Allelujah il parlait enfin. ET OKEY, c'était peut-être monsieur Tockard avec un nom bizarre qui coupait du bois, mais ça restait bizarreeeeee. « OOOOH, d'où je ne te prends pas comme ma copine ? Tu vas arrêter de râler deux secondes et m'expliquer ce qui se passe Dia ? Tu fais chambre à part, tu me donnes des sucettes, ohhhh, j'veux bien qu'on joue aux cons mais tu vas voir, je peux être bien plus con que toi ! » Je retire mes mains de son chemisier et me redresse. « Tu veux que je te dise, très bien. T'assumes pas m'avoir comme copine, il suffit de voir l'épisode du dîner chez ma meilleure amie. Ensuite, on ne dit pas AU PIED à sa copine, j'suis pas ta chienne !. Et pour terminer, ne fait pas croire au valet que t'as réservé cette chambre rien que pour me sauter !. C'est vulgaire, vulgaire et ça se dit pas à quelqu'un devant SA copine !. » Et là, si le Valet ose ouvrir son clapet, je me ferais un plaisir de l'assassiner de mes propres mains. « J'vois que tu m'as vite remplacé ... Et apparemment il te fait crier plus que moi. OK. J'apprécie. Reste avec ton pote. J’vais pas me battre contre un pénis en silicone. Ça ressemble à un mauvais scénario de porno. » QUOI !. Mon dieu ! Je savais que si Bleeker voyait ça, il en aurait très vite rédigé la conclusion. Voilà, conclusion fait, je me faisais maintenant passer pour une cochonne de film xxxl, par son propre petit-ami. « MAIS NON ! C'est pour ça que j'ai crié, parce que je l'ai trouvé au milieu du lit en rentrant ! Ça m'a choqué !. » Mais le connaissant aussi, il n'allait en faire qu'à sa tête de mule, plus mule que la mienne. « Demandez à monsieur ... Tockard de lui couper du bois. On fait bel et bien chambre à part ce soir. » Et il s'en alla dans sa chambre. Je restais bouche bée. « FINEEEE !. » Criais-je à la nuque de Cody, ouai parce que je ne pouvais pas le crier à sa tronche, il était de dos. « Et arrangez-moi cette porte aussi, puis débarrassez moi ce sextoy !. Et ne me tendez pas votre main pour avoir des billets ou sinon, je vous fais avaler vos doigts !. » Le valet écarquilla des yeux et ne broncha pas un mot. Il se précipita même pour chercher quelqu'un afin d'arranger rapidement la porte. Pendant ce temps, je retire mon manteau et regarde le fameux vêtement. NON. Je n'allais pas troquer ma jolie robe sexy pour ce truc-là. Ça ne datait même plus du 21ème siècle non de diouuu. Une mermaid sexy rappliqua pour nous prévenir de descendre dîner. Okey, là quand même, ils avaient touché le gros lot. Je suppose que ça, c'était surement pour attirer les clients aux masculins. Je la fusillais du regard sans vraiment savoir pourquoi, en fait si, elle était beaucoup trop sexy avec une grosseeeee poitrine et cela allait réveiller les hormones pervers de mon homme. Je sors rapidement de ma chambre et descends avec ma propre tenue afin de m'installer sur la table. La propriétaire me dévisagea et je la dévisageais à mon tour, c'était un combat de dévisagement. Bref, une autre mermaid sexy était calé comme un lampadaire à l'autre bout de la table. Elle ne va pas rester là, si ?. Je soupirais lorsque Monsieur Sperman pointa le bout de son nez et s'était assit en face. Regardant rapidement ailleurs, mes yeux croisèrent un petit groupe de nains en chapeau de noël entrer en rang. Je me suis mise à les compter...un...deux..trois...quatre...cinq...six. Oupss il manque un. CODY BLEEKER, le nain grincheux qui est présentement assit sur la table. Attendez, qu'est-ce que des nains font ici ?. Ils décorent le sapin ? Évidemment. Et bien entendu, il y avait une échelle pour les permettre de décorer le haut du sapin. « Tu devrais aller aider tes amis. Grincheux. » Dis-je sur un ton narcissique. J'appuyais mes coudes sur la table, croisant mes mains et les posant sous mon menton, sourire provocateur aux lèvres.
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Putain. Mais ça le gavait ce genre de nanas. Diamantika savait très bien à quel gaillard elle avait à faire au moment où elle s’était mise en couple. Elle espérait quoi, que Cody devienne un vrai CANARD avec elle juste parce qu’ils avaient décidé d’officialiser ? Franchement ? Danae lui avait fait le coup, elle avait voulu le modeler comme le petit ami parfait qu’il devrait être. Mais excusez-le, Bleeker était dans l’incapacité de se métamorphoser en copain niais, accro aux dîners aux chandelles et mendiant de petits noms pourris à la Mon Chéri ou sucre d’orge. Pour Cody, un Mon Chéri était un chocolat et un sucre d’orge une friandise ou, éventuellement, Codynosaure. Ouaip, une friandise, quoi. Non, Cody rote devant sa copine, il pète, il a tout le temps envie d’elle et n’est affectueux que lorsqu’ils sont tous les deux dans l’intimité. Il n’allait pas s’excuser de ne pas être démonstratif en public. Si Diamantika n’acceptait pas sa pudeur, alors il valait mieux qu’elle rompe maintenant ou se taise à jamais. Merde. Cody était blessé par la critique de Dia, en fait, mais vraiment blessé. Dans son égo. Dans son cœur. Blessé. Naïvement, il la pensait différente de ses ex et il se rendait compte qu’elle était bonne à être relayée dans la même catégorie. Déception. « Peut-être que tu devrais retourner au marché des petits copains parfaits et repartir avec le bon, cette fois. J’suis encore sous garantie. Excuse-moi si je réponds pas à tous tes besoins ! » lâcha-t-il, glacial, sous le regard incrédule du valet qui fixait successivement Dia puis Cody, Cody puis Dia. Breeeeefffff, après avoir bien gueulé l’un sur l’autre, chacun repartit dans sa chambre. Le brunet n’avait plus que pour seule compagnie le perroquet roi des insultes que le groom n’avait pas pu débarrasser, à cause de cette suite de péripéties. Quelques minutes plus tard, il descendit à son tour à la salle à manger, là où Kovache était déjà installée. Il prit la place en face d’elle, sans pour autant lui adresser un regard. Il ne décolérait pas. La première à parler à l’autre fut Dia qui ne put contenir une remarque cinglante. Les coudes posés sur la table, les poings joints, il tourna la tête vers les apprentis décorateurs et demeura impassible, indifférent face à ses provocations. Il haussa les épaules et attrapa un bout de pain dont il commença à mâchouiller la mie avant de répondre à son tour ; « Et si tu les rejoignais pour jouer le rôle de Blanche-Neige ? Blanche-Neige et les Sept Mains, tu connais ? Tu pourrais intégrer ton meilleur ami en plastique comme septième nain ! Il pourrait être Atchoum. Quand il éternue, ça éclabousse et il vaut mieux avoir un mouchoir sous la main pour l’essuyer. » DE-GUEU-LASSE. Une des soubrettes à grosse poitrine s’installa à côté de Cody mais, aussi étonnant que cela puisse paraître, il ne plongea pas du tout son regard dans son décolleté. Puis, le voisin de l’autre côté de la mermaid réclama la corbeille à pain à côté de Cody. Ce dernier, serviable comme il était, lui tendit la gamelle mais, par mégarde, toucha les nénés de sa voisine avec son bras. « OH PARDON ! » s’écria Cody en baissant systématiquement les yeux sur les bouées de sauvetage de la jeune femme. Enfin, bouée de sauvetage … à ce niveau, c’était carrément un canoë de sauvetage ! Il mit sa main devant sa bouche et fit ; « J’voulais pas vous toucher ! J’vous promets ! Mais … Ils sont vrais ?! » Ce à quoi la servante répondit que non. Et du coup, jetant un bref coup d’œil à sa petite amie, Cody déclara ; « Ah je vois ! Ma copine aussi est très branchée silicone. Mais pas dans les seins. Elle a un petit ami en plastique. » Et la réponse ne se fit pas attendre. Rougissante, la servante réagit au quart de tour ; « Oh mince zut, elle a trouvé Bobby ? Je … J’ai fait une pause dans mon travail et … Vous êtes dans quelle chambre mademoiselle ? j’suis vraiment confuse, ne le dites pas à ma patronne ! S’il vous plaît. » Berrrrrkkkkkkkk, Cody fit une grimace horrifiée en apprenant que ce sextoy dégueulasse s’appelait Bobby. IMMONDE. Il recracha son bout de pain dans son assiette. Charmant.
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Bon sang je m'en fiche qu'il ne se comporte pas en petit-ami niaise, juste qu'il arrête de se montrer vulgaire en parlant de SA copine, où même devant SA copine. Qu'il est un peu de respect c'est tout. Respecter, ce n'est pas la mer à boire si ?. Non, alors il pourrait au moins faire un petit effort. Je n'attends pas de mots doux, je m'en fiche, mais je ne veux pas non plus de la vulgarité sur ma personne. Manquait plus qu'il aille raconter à tous ses potes à quel point j'ai un cul parfait etc, etc... « Peut-être que tu devrais retourner au marché des petits copains parfaits et repartir avec le bon, cette fois. J'suis encore sous garantie. Excuse-moi si je réponds pas à tous tes besoins ! » Il ne comprenait pas, dès qu'on disait quelque chose à Cody, il le transformait à sa manière. Je l'ai simplement demandé d'arrêter de me traiter comme une chose presque insignifiante, d'avoir un peu de respect et monsieur a cru que je lui demandais de devenir Le Gentleman Célibataire. Il m'énerveeee quand il faisait ça putain. « Mais arrête de prendre les choses à ton sens merde. Je ne t'ai pas demandé de devenir le parfait petit-ami, je ne t'ai pas aimé pour ce que je veux que tu deviennes, je m'en fiche putain, je t'aime comme t'es. Je te demande juste d'avoir du RESPECT. Tu me dis au pied comme une chienne et devant ce valet, tu me fais passer pour une fille que t'as ramené ici ce soir uniquement pour passer sur mon corps... » Le respect, c'est trop lui demander ?. Il est vrai que nous nous provoquant en public avec des mots, mais de mon côté, je n'ai jamais dépassé les limites. Manquait plus que je dise à qui veut l'entendre que Cody est parfaitement baisable, qu'il a gros cul sexy et poilu et un monstre parfait comme zizi. Franchement, je ne lui demande pas la lune, juste de laisser la vulgarité de côté lorsqu'il parle de sa petit-ami. C'est tout. Et si monsieur ne pouvait pas vivre sans moi comme il le prétendait, il pouvait bien faire des efforts non ?. Un couple, ça se construit à deux et non à un. S'il a si honte de moi pour je ne sais quelle raison, qu'il aille reconquérir son ex ou une autre. Pff. Assise sur la table, je venais de lui faire une remarque à propos de nains. « Et si tu les rejoignais pour jouer le rôle de Blanche-Neige ? Blanche-Neige et les Sept Mains, tu connais ? Tu pourrais intégrer ton meilleur ami en plastique comme septième nain ! Il pourrait être Atchoum. Quand il éternue, ça éclabousse et il vaut mieux avoir un mouchoir sous la main pour l'essuyer. » Vous avez vu ?. Je préfère ne pas répondre à ça et l'ignorer en tournant la tête vers les nains. Soudainement, une des mermaids prenait place à côté de MON HOMME. What the fuck. Je la fusillais du regard et encore plus, lorsque monsieur toucha ses seins sans faire exprès. « OH PARDON !... J'voulais pas vous toucher ! J'vous promets ! Mais ... Ils sont vrais ?! » Évidemment, la petit-amie devait regarder son petit-ami parler de seins avec une autre demoiselle et après, il se plaignait du pourquoi je râlais. Je lançais un regard éclair à la miss bigboobs, style, t'approche pas de lui. Je venais même d'attraper la fourchette que je serrais assez fort en implantant les bouts dans la table sans m'en rendre contre. Euhhh ? Je comptais faire quoi avec cette fourchette ?. Lui percer les yeux évidemment. « Ah je vois ! Ma copine aussi est très branchée silicone. Mais pas dans les seins. Elle a un petit ami en plastique. » Je rêve !. J'allais me lever lorsque la demoiselle affirmait que le sextoy lui appartenait. Je regarde mon petit-ami l'air de dire, ça va ? T'es tranquille maintenant ? Ça t'as fait du bien de m'accuser ?. Puis soudainement, un grand homme fit son entrée. J'avais l'impression qu'on jouait une pièce de théâtre et que les personnages plus chelou les uns des autres faisaient leurs apparitions un par un et c'était autour de cet homme aux allures de Gentleman ou même d'un Lord Anglais. La grande moustache roulée sur les côtés, la pipe à la bouche, la canne dans une main et un verre de lunette sur un œil d'où pendait un fil noir. On aurait dit le moyen âge. Il salua tout le monde et s'avança vers moi. L'homme se pencha pour me faire un baise main. Moi, je fronçais les sourcils parce qu'il me faisait flipper. Je retire rapidement ma main et le regarde s'asseoir à mes côtés. Je rêve où il était en train de me relooker si ?. God, sa grande moustache me faisait flipper. « Laissez-moi devinez, je suis certain que vous portez un prénom aussi sublime que votre beauté. » J'arquais un sourcil. Victor Hugo est sortit de sa tombe ou comment ça se passe ?. « Caca, je m'appelle Caca. » Alors ? C'est toujours aussi sublime que ma beauté ?. « Je plaisante... Vous pouvez m'appeler Diamantika. » Et évidemment, le mec n'avait pas remarqué que j'étais en couple avec le babouin en face. Comment l'aurait-il deviné après tout, monsieur était occupé à parler seins avec sa voisine bigboobs. « Diamantika ? Vous êtes aussi belle qu'un diamant, si ce n'est plus. Il vous va à ravir ce prénom. Victor, pour vous servir. » Non qu'il ne dise pas Hugo à la suite please. Dit-il en enlevant son chapeau pour une mini révérence. God, il avait gelé ses cheveux et fait une longue raie au milieu. Là, je ne pu m'empêcher d'éclater de rire. L'homme me regardait tout étonné. « Vous savez, on est au 21ème siècle, la raie au milieu pour un homme ce n'est plus à la mode. » Son regard frustré m'obligea à me la fermer sur-le-champ. S'il comptait m'inviter à danser, ce ne sera surement plus le cas vu la remarque que je venais de faire et surtout d'avoir explosé de rire à sa tronche. Tant mieux, je ne comptais pas danser.
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Alors comme ça, Diamantika voulait que Cody soit moins vulgaire ? TRES BIEN, il allait être MOINS vulgaire. Il allait être plus ci, moins ça, parce que Duchesse Kovache de Johannesburg décidait que les choses devraient se passer comme ça. En vrai, elle ne se rendait pas compte de tout ce que Cody faisait pour elle. Déjà, se mettre en couple et – surtout – s’afficher comme un couple aux yeux de tous. Concevait-elle que ça mettait en péril la demande de visa de Cody, que ça rendait son mariage avec Joan limite obsolète ? De même, il avait accepté de rencontrer son père, sa meilleure amie alors que, merde, Bleeker détestait ce genre de trucs. Mais que voulez-vous, Diamantika avait besoin de matérialiser son amour avec Cody à base de statut Facebook, de ’je t’aime’ à tout va et de RESPECT. Et pour elle, il suffisait qu’il ouvre la bouche pour lui manquer de respect. Non mais au contraire. S’il ne l’aimait pas autant il ne la regarderait pas, il ne lui ferait pas une seule remarque, il n’essayerait pas de rire d’elle. Mais à croire que son sens de l’humour s’était envolé au moment où Cody était entré dans l’Eglise. Tant pis. Il fallait bien que le Lowell se rende compte un jour que la petite amie qui ne se prend pas la tête et qui l’accepte comme il est est un mythe, une utopie, à des milliers de kilomètres de Diamantika Kovalevski. Il la trouvera un jour, la bonne, celle qui lui correspond. Assis à table, Cody discutait donc avec la mermaid de ses boobs quand un baron anglais débarqua tout droit sorti d’un livre de Conan Doyle. Il tenta de pécho sa petite amie mais ce fut visiblement soldé par un échec à cause de la remarque pas si glamour de Kovache pour le dissuader de tenter plus. S’il n’était pas fâché contre elle, il l’aurait checké, liké, tout ce que vous voulez. « La seule raie pour laquelle cette jouvencelle a le béguin est celle de mon trou de balle. » Et Cody lâcha cela tout naturellement avec une voix de prince, le ton soutenu, le dos bien droit et les épaules bien carrées. Et il la provoqua, l’air de dire ’alors Kovache, c’est moins vulgaire pour toi ?’. « Si vous me le permettez, j’aimerais bien reprendre un peu de cette pâte farineuse dorée au four. » La mermaid le dévisagea, fronça les sourcils et demanda ; « Le pain, quoi ? » Cody se mit à rire comme un grand seigneur sur son cheval pendant un jeu de paume, rien de très viril quoi. « Ohohoh, j’ignorais que vous l’appelez comme ça dans cette contrée fabuleuse. Vous savez, je viens du grand nord canadien moi, c’est à peine si on a l’électricité ! » Et il se remit à rire de plus belle. Quel jeu d’acteur ! Bravo ! Fabuleux ! Fantastique ! « Ne vous dérangez pas, je vais attraper ce magnifique panier en osier. » Et bim, il lui retoucha les seins sous les yeux ébahis de sa petite amie. Toujours sans faire exprès. Ce n’est pas un parechoc qu’elle avait la bonne, mais carrément un pare-buffle ! Il tendit ensuite la corbeille de pain à Diamantika avec un grand sourire qui sonnait faux ; « Désirez-vous un peu de ce met, très chère ? Ou vous contenterez-vous de Bobby, il a l’air de tellement bien vous combler ce petit sacripant ! » Elle allait le frapper.
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Et si moi je ne l'aimais pas tel qu'il était, je ne serais jamais tombée amoureuse de lui. Je n'aurais jamais accepté tous ses défauts. Merde quoi, ce n'était pas le seul à faire des efforts. Et c'est là que monsieur Raie au milieu du crâne se pointa pour nous la jouer sérénade avec de belles paroles sucrés à mon encontre. J'avais plutôt envie de rire qu'autre chose. Même que je lui fis une petite remarque un peu déplacé sur sa raie au milieu de son crâne. Bah quoi, à notre temps, ce n'était plus courant. Et bien-sûr, mon petit-ami rajouta son grain de sel. « La seule raie pour laquelle cette jouvencelle a le béguin est celle de mon trou de balle. » Je roule des yeux et soupire discrètement. « Si vous me le permettez, j'aimerais bien reprendre un peu de cette pâte farineuse dorée au four. » Il me narguait avec ses manières-là, j'en suis certaine. Je posais mes mains sur les bouts de ma robe serrant assez fort entre mes doigts. « Ohohoh, j'ignorais que vous l'appelez comme ça dans cette contrée fabuleuse. Vous savez, je viens du grand nord canadien moi, c'est à peine si on a l'électricité ! » Cette situation avait l'air de l'amuser. Tant mieux, pas étonnant que Cody Bleeker s'amuse, il était aussi chelou que tout ceux ici présent, NORMOL quoi. « Ne vous dérangez pas, je vais attraper ce magnifique panier en osier. » Dit-il avant d'attraper ce panier et de toucher à nouveau les seins de cette autruche au bigboobs. Okey, ça c'était exprès. Une fois ça passe, mais deux fois, c'est totalement calculé. Great !. Et monsieur me tendit le panier sous le regard de l'autruche et la raie au milieu du crâne. « Désirez-vous un peu de ce met, très chère ? Ou vous contenterez-vous de Bobby, il a l'air de tellement bien vous combler ce petit sacripant ! » J'écarquille les yeux. Putain, il m'énerve là, il m'énerveeeeeee. Je prenais sur moi sérieux, je prenais vraiment sur moi. L'homme me regarda bizarrement. Surement que lui aussi devait maintenant me prendre pour une cochonne et madame l'autruche devait être contente que son Bobby soit si appréciable. Bref, je secouais la tête en poussant le panier hors de ma vue. « Non merci. » Aussi sec qu'un linge au soleil. Je pousse ma chaise en arrière et me lève. « Je vais sauter le repas, je n'ai plus très faim. Bon appétit à tous !. » Et à Cody ça faisait style, étouffe toi avec ce pain et ce bigboobs si tu veux. Ensuite, je pris mon envole jusqu'à ma chambre, mais avant d'y entrer, j'avais envie de faire le tour de l'hôtel et voir ce qu'il y avait dans cette demeure assez morbide. Les bras croisés derrière le dos, je parcoure différentes salles. On est bien d'accord pour dire que cet hôtel était en fait une grande demeure. Donc, on est bien d'accord pour dire qu'en fait, Cody m'avait envoyé dans une demeure d'hébergement. En passant devant la fenêtre d'une salle, je fis marche arrière en regardant à travers celle-ci. Qu'est-ce que je vois ?. Le Valet qui se tapait la propriétaire et en plus, la meuf était attachée des mains de chaque côté sur deux espèces de piliers. Une masochiste et un sadochiste Oh My Gaddddddddddddddd. Et en plus, elle riait putain, elle adorait ça la cochonne, je me disais pourquoi elle avait soudainement disparu. Et là, j'entends des claquements. Oh non, ne me dîtes pas qu'il lui donnait la fessée GOD !. Je me bouchais les oreilles en me mettant à quatre pattes pour passer histoire de ne pas me faire repérer. On voyait quelque peu ma culotte parce que ma robe était quand même assez courte et je n'avais pas fait attention à Victor qui était juste derrière moi et qui me relookait. Nonnnnnnnnnnnn mais c'était dégueulasse. Et lorsque je me redresse enfin et me tourne, le choc !. Je vois Victor avec une drôle de tête et une bosse sur son entre-jambes. Obsédéééééééé va !. J'enlève mes talons et je courre jusqu'à ma chambre. Je me jette sur mon lit en essayant de chasser tout ce que je venais de voir. Pourquoi est-ce que je reste encore ici en fait ?. Nous sommes dans une auberge de cinglés pervers et qui font des trucs cochons entre eux. Merde. Et c'est là que Cody Bleeker m'a emmené ?. Ouai, je passais une soirée I-N-O-U-B-L-I-A-B-L-E. Je me lève et pose mon popotin sur le tapis devant la cheminée allumée. J'attrape le drap blanc du lit et la passe sur moi en mode voile très long de mariée. Comme ça, je me réchauffais même la tête. Et soudainement, mon ventre fit un énorme gargouillement. Oh nonnnnnnnnnnn. Maintenant, j'avais faim. GREAT !.
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Offusquée par le comportement de Cody Bleeker, Diamantika proclama la fin du repas pour elle et s’en alla. Le brunet leva les yeux au ciel et soupira. Jamais contente celle-là. A un moment elle ne veut absolument pas que Cody soit vulgaire et l’instant d’après, elle râlait pour qu’il arrête de parler en petit prince dans son grand palais. ELLE L’ENEEEEEEEEEEEEEEERRVEEEE. Lui non plus n’avait plus trop d’appétit maintenant qu’elle était partie. Sans Diamantika, Cody se sentait comme le Colonel Moutarde au Cluedo. Sans Diamantika, Cody se sentait comme la carte piège au jeu du Mémo. Sans Diamantika, Cody se sentait ce putain de rond situé pile au milieu de la ligne de croix au Morpion. Sans Diamantika, Cody se sentait comme le mec face à sa chaise vide à une soirée Meetic. Sans Diamantika, Cody ne voyait donc pas l’intérêt de rester au beau milieu de cette famille de fou. Sans Diamantika, Cody n’était qu’une ombre insignifiante qui disparaissait au fur et à mesure que le soleil se couchait. Alors, il demeura une dizaine de minutes silencieux avant de s’excuser auprès des hôtes. Toutefois, alors que tout le monde se trouvait encore dans la salle à manger – à part Alphonse-Raymond qui fessait la patronne et Victor qui reluquait (et pas relookait, c'est pas Lagarfeld le mec :sifle:) Kovache – Cody fit un petit crochet par la cuisine et prit sous son bras l’assiette de dessert. Peut-être qu’avec ça, il se ferait pardonner par Diamantika. Quoique … Ouais non, il ne réclamerait pas son pardon puisqu’elle avait au moins autant de choses à se reprocher que lui. Il monta quatre à quatre les marches et s’avança jusqu’à la porte de la chambre de la jeune femme. Il s’apprêta à toquer la porte, ses articulations effleurèrent le brut du bois – d’ailleurs, on peut applaudir la rapidité de la réparatiooooonnn – mais il se ravisa. Doucement, sans émettre aucun son, il actionna la poignée et se faufila à l’intérieur tel un petit poisson dans l’anus d’un concombre de mer – et vouuuiiii, on en revient toujours à luiii, un exemple pour la société ! Et lààà, Ô surpriiiiseee ! Dans cet hôtel, il n’y avait pas seulement la famille Adams, des arnaqueurs, des sadomasochistes (bon, ça commence à faire beaucoup de cas sociaux, ils étaient tombés dans un hospice ou quoiii) il y avait aussi … DES FANTÔMES BOUUUUUH. Cody espérait que ce soit Jasper. Enfin non, Casper. Jasper c’est le président Dunster, enfin ça ce serait cool qu’il soit en fantôme lui – et donc mort – car ça ferait un concurrent en moins pour la coupe des maisons MOUAHAHAHAH président Lowell sort de ce corps. Cody s’approcha de la silhouette encapuchonnée et donna trois coups de pieds dans le petit peton de Diamantika qui dépassait en disant, à chaque coup ; « Toc, toc, toc. » Puis avant de se prendre un vent par l’hôte de ce drap puisqu’il se doutait bien qu’elle n’ouvrirait pas la porte de sa tente si facilement, il s’assit en tailleur par terre face à elle, souleva le drap pour le glisser au-dessus de sa tête et se recouvrir avec. Il déposa l’assiette de petites pâtisseries entre eux et déclara en prenant une voix d’homme préhistorique ; « Homme fort est rentré de la chasse pour nourrir femelle et enfants. » Donc Diamantika, Cody, Cody. Avec son pouce, il poussa l’assiette vers sa petite amie. « Mange. » ronchonna-t-il avec une petite moue. Puisqu’il était dos à la cheminée, il avait toute sa colonne vertébrale qui se transformait en grillade, à moins que ce soit les yeux de braise de Kovache qui le rende complètement merguez. « Bon, c’est pas le premier rendez-vous que tu espérais, je pense. » reconnut-il en décontractant tous ses muscles, un peu blasé par toute cette pression qu’ils se foutaient mutuellement. Quoi ? C’est vrai. Cody craignait que leur mise en couple fasse perdre toute cette innocence qui les caractérisait tant. « Qu’est-ce que tu attends de moi, Dia … » l’invoqua-t-il en caressant délicatement sa main de ses doigts, l’autre main massait tendrement sa cuisse sous sa robe. Son souffle n’était qu’un infime courant d’air sous la chaleur étouffante de ce drap, imprégné par les flammes dansantes derrière eux. Il soutint son regard d’un sérieux implacable. Ils ne quitteraient pas leur prison de coton sans avoir eu les réponses attendues.
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Je vous explique, je dis relookais parce que j'aime mieux le dire comme ça que reluquait, c'est plus joli, c'est un mélange de Look et Re, le tout conjugué. Puis ne cherchez pas à comprendre certains de mes mots, j'adore faire un mélange pour l'esthétique vous voyez. Enfin bref. Je venais de me faire RELOOKER par Victor le pervers. Cody avait un concurrent ici, même que Cody avait beaucoupppppp de concurrents ici. C'était tous des tarés et des pervers cochons et à commencer par le perroquet. J'avais qu'une hâte, que cette nuit se termine et qu'on rentre chez nous vivant si possible sans que l'un de nous soit agressé. Caché sous mon drap en mode Casper le fantôme ou encore la dame blanche, je sentais quelque chose me tapoter à plusieurs reprises. J'allais sauter lorsque j'entendis la voix de mon homme. Putingggggg il m'a fait peur. « Toc, toc, toc. » Je ne suis pas làààààààààààà. Je restais sans voix, la tête baissée. Je n'aimais pas quand on se disputait comme ça. Je n'aimais pas le sentir à des millénaire de moi. Sans autorisation, il entra dans ma tanière secrète et referma le drap sur nous. « Homme fort est rentré de la chasse pour nourrir femelle et enfants. » Quand je vous dis que cet homme est en fait, un homme des cavernes, vous me croyez maintenant n'est-ce pas ?. « Mange. » Dit-il en en poussant une assiette de dessert vers moi. Owwwwwwww, mais c'est trop mignonnnn. Oh God ! Comment lui en vouloir avec ça franchement et regardez-moi sa petite moue en prime. Mamamiaaaaaaa, je suis tellement faible. « Bon, c'est pas le premier rendez-vous que tu espérais, je pense. » Demanda-t-il alors que je secouais négativement de la tête. Ce n'est effectivement pas le premier rendez-vous que j'attendais, mais en même temps, il n'avait pas à faire tout ça, je veux dire, c'est vraiment trop mignon d'avoir voulu organiser quelque chose, mais je voulais qu'il soit naturel et vous avez vu, les rendez-vous ne nous réussissaient pas du tout. Le strict minimum m'aurait suffit franchement. Juste que nous deux. Même qu'aller assister à un de ses matchs favoris m'aurait suffit du moment que j'étais avec lui, le reste ne comptait pas. Je coupe un petit morceau de tarte et le mange toujours sans dire un mot. « Qu'est-ce que tu attends de moi, Dia ... » Ses doigts qui caressaient chaque partielle de ma peau avait le don de m'apaiser, de me réconforter et de me faire perdre la tête. J'avale le morceau de tarte que je mâchouillais pour enfin ouvrir la bouche. « Je n'attends pas que tu sois le petit ami parfait... Je veux juste que tu ne parles pas de moi avec cette petite vulgarité, tu fais croire à ce Valet que t'as réservé cette chambre juste pour me sauter, tu me dis au pied comme si tu parlais à une chienne, tu parles de seins avec une autre femme sous mes yeux... Tu parles de ta copine en train de jouer avec un sextoy devant des inconnus alors que c'est faux, Kovagin est fidèle à Codynosaure... Tu m'critiques la poitrine devant ma meilleure amie... Mais je me tais parce que j'sais que t'es comme ça, parce que je t'aime. T'en as pas conscience, mais ça me touche parce que je veux être parfaite pour toi, je veux te plaire dans tous les sens du terme, je veux que tu sois fier de dire "c'est ma copine", je ne veux pas qu'une autre te plaise plus que moi... Et je veux juste, juste un petit rikiki de respect...juste ça... » Je joins mon index à quelques centimètres de mon pouce pour lui montrer que je ne veux pas la mer à boire. Je soulève l'assiette que je dépose sur mes cuisses en m'approchant de lui, glissant des fesses. Je presse doucement mes lèvres contre les siennes et entre chaque smack, je murmure. « Excuse-moi. » Chose que je répétais plusieurs fois avant de stopper. « Et moi, je te promets d'y aller doucement avec toi, d'y aller avec plus de tact, car je me rends compte que j'y vais un peu fort. » Et à mon tour, je déploie une petite moue accompagné d'un petit sourire, style, me pardonnes-tu ?. Je coupe un morceau de tarte, l'attrape entre mes doigts et le positionne devant les lèvres de mon homme. « Ouvre la bouche... J'sais que t'as pas mangé. » Et qu'il n'aurait pas mangé sans moi. On n'est rien l'un sans l'autre, alors je savais qu'il avait dû quitter la table juste après moi. La preuve en est là. Goshhhh l'était troppppp mignonnnnnnnn. « Et il n'est pas trop tard pour sauver ce premier rendez-vous, ça te dirait de prendre une douche avec moi ?. » Notre première douche en quelque sorte. Je frotte mon nez contre le sien terminant par manger quelques bonnes choses de cette délicieuse assiette ramené avec amour par mon amoureux en le faisant également manger.
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Peut-être que Cody avait des œillères style cheval de traie – cousin de Joan le poney – mais ça ne l’empêchait pas de se rendre compte quand il merdait carrément avec Diamantika. Et en fait, ça arrivait assez souvent mine de rien, bien trop à son goût. Encore, cette fois, ça va, il ne ressentait pas le besoin de démolir une porte ou quoi que ce soit. Il était relativement calme, il débarquait même sous le drap de sa copine avec touuut un plateau de petites pâtisseries. Diamantika ne semblait pas trop suspicieuse mais bon, moi, à la leur place j’me méfierais. Vous avez vu la famille de psychopathe ? Qu’est-ce qui prouvait que ce n’était pas des Space Cakes ces trucs ? Peut-être qu’ils lisent le journal de Harvard heiiiiingggg, eux qui ont eu l’excellente idée de fournir la recette des Space Cakes ! C’était pas l’article le plus intelligent. Mouuuaaaa, à leur place, j’aurai plus mis en avant l’interview du président Lowell. C’est quoi son nom déjà ? Mmmmmmmmmh, j’ai un trouuuu. Et Cody, lui, avait un trou dans son cœur, un trou qui béant qui s’élargissait à mesure que les décibels de la voix de Diamantika claquait contre son tympan, le déchirait, le malmenait. Pour résumer, elle le trouvait vulgaire, ingrat, irrespectueux. Rien que ça ? Il n’était pas loin du misogyne. Elle ne lui laissa pas le temps de parler et s’excusa. Elle était tellement mignonne, tellement parfaite. Même dans la douleur elle trouvait la voie pour ramener la couverture sur elle. « C’est moi. » cala-t-il entre deux de ses baisers. « C’est moi. » répéta-t-il entre deux nouveaux baisers. « C’est moi. » BON OK ELLE ALLAIT LE LAISSER PARLER OUI OU MERDE. Puis alors qu’il pensait pouvoir placer sa petite réplique tel un acteur sur scène, elle lui mit maintenant un morceau de tarte dans la bouche. OKKKKKKKK. Et maintenant, elle lui proposa de prendre une douche pour sauver ce rendez-vous. OULALALALALA. Codynosaure dansait la cucaracha dans son pantalon làààà. Mais chuuut, calme tes ardeurs Codynosaure. « Non. » lâcha subitement Cody, histoire de biiiiien refroidir l’ambiance. Ils avaient beau être à deux centimètres des flammes, sa phrase balança un froid glaciaaaal, Mistral et Tramontane faisaient leurs rebelles wesh. « Prends ta douche, j’t’attendrais ici. Puis tu risques de plus avoir envie que je te rejoignes, parce que … » Il pouvait parler, là, c’est bon ? Il s’humecta les lèvres, hésitant. Ses doigts parcoururent la gorge de la jeune femme et se logèrent dans le creux de son cou alors qu’il rapprocha son visage du sien. Il se sentait en sécurité sous ce drap, protégé par ce voile qui les coupait littéralement de ce monde de fou. Et il parla, ravalant une bulle de salive qui éclata au fond de sa gorge. « Si tu penses sincèrement que je ne suis pas fier de sortir avec toi, c’est que t’es carrément à côté de la plaque. Regarde-moi Dia, regarde-moi bien. Mets de côté tes sentiments et, juste, regarde-moi. Toi, tu aimes le gars qui enchaîne les blagues à la con pour te faire rire, qui te fait l’amour comme jamais tu as été possédée auparavant, qui gagnerait des millions s’il était rémunéré un dollar par gaffe. Pas le gars qui te vanne en public et qui n’est pas capable de se tenir à sa place quand tu le présentes à ta meilleure amie ou à ton père. Et ce gars-là, il sera toujours là, que tu le veuilles ou non. Je suis plus que fier que Diamantika Kovalevski soit tombée amoureuse de moi. Mais ça ne durera pas. Les amis de Danae n’arrêtaient pas de dire que je n’étais pas assez bien pour elle, que je ne la méritais pas. Et ne me mens pas, je sais que tes amis critiquent le tas de graisse qui te sert de petit copain. Alors je crois que je cherche à leur donner raison. Pour toi. Pour moi. Je t’aime beaucoup. Beaucoup. Beaucoup. Mais combien de temps ça durera ? Diamantika et Cody tomberont de leur petit nuage et ça fera mal quand ils toucheront le sol. » Cody était rêveur, Cody voyait les choses en grand, Cody avait des rêves démesurés, Cody visait trop haut, toujours trop haut. Cody voulait toucher les étoiles, Cody foirait ses calculs et loupait toujours les comètes de peu. Cody ceci, Cody cela. Mais s’il y a bien une chose sur laquelle Cody gardait les pieds sur terre, c’est par rapport à sa relation avec Diamantika. Elle était trop bien pour elle, tellement bien que c’était inévitable, qu’il y aurait toujours quelqu’un pour se mettre entre eux. Ouvre les yeux Dia, merde. Il avait envie de l’engueuler, de lui lobotomiser le cerveau jusqu’à ce que cela s’ancre profondément dans sa matière grise. S’il y avait une chose que Diamantika devait retenir dans sa chienne de vie, c’est ça ; Coka, c’est juste trop beau pour être vrai. Vient un moment où ça leur explosera à la gueule. « Va prendre ta douche. J’t’attendrais là. » répéta-t-il en se découvrant du drap.
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Et voilà, je venais de m'excuser parce que je me rendais compte que j'y allais un peu fort avec lui, que je devrais m'y prendre avec un peu plus de tact, plus de douceur et pas démarrer au quart de tour à chaque fois que j'entendais une vanne vulgaire à mon propos. Même que je venais de lui proposer une douche pour sauver ce rendez-vous catastrophique. Monsieur cria un "Non" qui m'électrifia. « Prends ta douche, j't'attendrais ici. Puis tu risques de plus avoir envie que je te rejoignes, parce que ... » J'avais le cœur qui battait à mille à l'heure, même qu'il était en ébullition, m'attendant au pire. « Si tu penses sincèrement que je ne suis pas fier de sortir avec toi, c'est que t'es carrément à côté de la plaque. Regarde-moi Dia, regarde-moi bien. Mets de côté tes sentiments et, juste, regarde-moi. Toi, tu aimes le gars qui enchaîne les blagues à la con pour te faire rire, qui te fait l'amour comme jamais tu as été possédée auparavant, qui gagnerait des millions s'il était rémunéré un dollar par gaffe. Pas le gars qui te vanne en public et qui n'est pas capable de se tenir à sa place quand tu le présentes à ta meilleure amie ou à ton père. Et ce gars-là, il sera toujours là, que tu le veuilles ou non. Je suis plus que fier que Diamantika Kovalevski soit tombée amoureux de moi. Mais ça ne durera pas. Les amis de Danae n'arrêtaient pas de dire que je n'étais pas assez bien pour elle, que je ne la méritais pas. Et ne me mens pas, je sais que tes amis critiquent le tas de graisse qui te sert de petit copain. Alors je crois que je cherche à leur donner raison. Pour toi. Pour moi. Je t'aime beaucoup. Beaucoup. Beaucoup. Mais combien de temps ça durera ? Diamantika et Cody tomberont de leur petit nuage et ça fera mal quand ils toucheront le sol. » Au fur et à mesure qu'il parlait je serrais les poings, j'avais envie de lui crier de se taire, de crier de toutes mes forces parce que là, là, c'était comme s'il était en train de marteler mon cœur à coup de marteau, le brisant petit à petit jusqu'à ce qu'il tombe en morceau et qu'il n'y reste plus rien. J'étais tellement en colère. « Va prendre ta douche. J't'attendrais là. » Je serre les dents. Au bout du rouleau. J'en peux plus. « Tais-toi, tais-toi...Tais-toi...tais-toi...tais-toi... » Au fur et à mesure que je parlais, ma voix se cassait. Le drap tombe et l'une de mes mains s'écrase violemment contre la joue du lowell. Une claque que je n'ai pu contrôler. « Tu m'as emmené ici pour dire que nous deux ça va pas durer ?. Mais t'es qui TOI pour prédire l'avenir hein ?. Tu dis que tu m'aimes, mais tu dis q'ça ne durera pas ?. Putain, tu baisses les bras à peine commencé.... Waw tu m'aimes tellement Bleeker. MENSONGE ! La vérité c'est que tu ne m'aimes pas assez pour te battre pour notre couple, tu ne m'aimes pas assez pour que nous deux ça dure, tu ne m'aimes pas assez pour te voir avec moi... Ce que les autres disent, mais putain je m'en balance ! Ce n'est pas leur vie, c'est la mienne ! Ce n'est pas eux qui me font vivre, je vole de mes propres ailes. Ce sont mes choix, ce sont mes décisions, c'est MA VIE ! Et si j'ai choisi d'être avec toi, personne ne pourra m'en faire changer d'avis PERSONNE ! TU ENTENDS PERSONNE, MÊME PAS TON CARACTÈRE DE MERDE PARCE QUE JE NE SUIS PAS MIEUX, JE NE SUIS PAS PARFAITE ET JE N'SUIS PAS DANAE !. » Criais-je en me redressant et en plongeant mes pieds dans mes chaussures tout en rhabillant mon manteau. « Faut croire que finalement, tu peux vivre sans moi, faut croire que finalement, tu peux te passer de moi, faut croire que finalement, notre histoire elle ne représente que ça à tes yeux ! Pour en décider déjà de la fin. » Accompagnant mes paroles à mon geste rikiki de tout à l'heure. « La vérité c'est que t'es pas réaliste, t'es juste PESSIMISTE !. » Je voulais bien faire des efforts pour être plus douce avec lui, mais si lui n'en faisait aucun et s'il a décidé de la fin à peine commencé, pourquoi devrais-je en faire. Il ne tenait pas à moi, il ne tenait pas à notre histoire comme moi j'y tenais, comme moi je serais prête à me donner corps et âmes pour cette relation, pour qu'elle dure, pour qu'on traverse tous les problèmes ensemble. Faut croire que je suis la seule à y tenir réellement et à y croire. J'attrape mon sac et sors de cette chambre et de cet hôtel de merde. M'aventurant toute seule dans la nuit noir, j'ai fini par me perdre. Sauf qu'une lumière attira mon attention et plus j'approchais, plus je pouvais distinguer une petite église. Une fois devant la porte, je la pousse doucement et y entre. Il n'y avait apparemment personne. Je regarde autour de moi tout en avançant. Puis, je termine par laisser tomber mon sac m'asseyant au premier rang. Fermant les yeux en joignant mes mains, j'entrelace mes doigts au niveau de mes lèvres, cherchant du réconfort parce que mon cœur brûlait, je brûlais tout entière. Je ne suis rien sans lui, je peux plus vivre sans lui et je n'ai aucune raison d'être Diamantika sans lui. J'ai besoin de lui, j'ai besoin qu'il croit en nous.
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Ses mots sortaient, transcendaient la pièce, Cody ne les contrôlait plus. Ils étaient un torrent si puissant que même les roches s’effritaient sous cette pluie battante. « Tais-toi, tais-toi…Tais-toi. » répéta-t-elle en serrant les dents, s’entêtant à ouvrir un mince parapluie de silence comme si ça allait suffire à ralentir le déluge. Mais non. Rien n’arrêtait Cody Bleeker dans sa psychose, dans sa peur des lendemains avec Diamantika. Il fallait qu’elle ouvre les yeux. Combien de temps ça allait durer ? Les matins ne seront pas toujours roses, le soleil ne sera pas tout le temps au zénith, le ciel ne sera pas toujours bleu, Codynosaure ne sera pas toujours en phase avec Kovagin. Si leur relation était une habitation, elle serait un bâtiment public. Construite sur un terrain vague longuement délaissé de toute présence humaine, ensemble, Cody et Diamantika avaient creusé les fondations et levé au plus haut possible les murs de ce gigantesque immeuble. C’était un gratte-ciel qui grattait – littéralement – le ciel. Il le caressait, l’effeuillait et, parfois même, il touchait la lune et en tapait cinq au soleil. Parfois. Mais … Hey. Ces gigolos n’avaient pas pensé à recouvrir l’immeuble d’un toit. L’eau passait au travers et chaque tempête, ils les prenaient en pleine. Ce soir, ils s’abritaient sous un drap. Mais ce drap ne sera pas toujours là pour les protéger. La preuve, le drap vola et la main avec, laissant une joue en feu derrière elle. Machinalement, Cody posa sa main dessus et demeura paralysé. La Méduse venait de l’aveugler, il ne pouvait plus bouger. Plus réagir. Seul son cœur, armé contre toute attaque, se débattait et cherchait à briser cette prison de pierre en martelant sa cage thoracique, attentant à son sternum, à sa chair, à ses pectoraux, à sa poitrine. Il voulait sortir au fur et à mesure que Diamantika l’assourdissait de ses mots. Et elle partit, ne lui laissant pas le temps de s’exprimer. Putain. Il avait merdé. Encore. Et il n’était pas sûr de recoller les morceaux cette fois-ci. « Je t’aime … » murmura-t-il alors qu’elle était déjà sortie de l’hôtel. Peut-être de sa vie. A son tour et avec une minute de retard, il se leva et se mit à courir comme un dératé dans tout le couloir et dans l’escalier. Sauf que dans l’escalier, ça ne pardonna pas et écopa d’une chute rocambolesque, atterrissant couché au pied d’Alphonse-Raymond. Cody grimaça et articula quelques mots ; « Elle est p… » Il répondit avec un grand sourire ; « Elle est sortie. Elle a dû aller tout droit, toujours tout droit. » ça donna à Cody un semblant d’énergie et se redressa en lâchant un ; « Merci ! » Avant de se mettre à courir dehors. Mais un petit détail n’échappa pas au valet qui gueula pour être sûr que Cody l’entende ; « J’ai pris votre valise en otage ! Au cas où vous déciderez de partir sans payer les frais pour la porte ET LES DESSERTS ! » Ce à quoi Cody cria à son tour ; « JE M’EN FOUS ! JE L’AIME ! » Lui aussi se perdit dans le noir mais lui aussi fut guidé par la petite lumière qui émanait de l’église. Il priait pour que Diamantika soit à l’intérieur. Son cœur tambourinait alors qu’il poussait la porte grinçante et … Bingo. Sa silhouette, même de dos, il la reconnaîtrait entre mille. Elle ne se retourna pas mais Cody savait très bien qu’elle l’avait entendu, qu’elle sentait sa présence. Lentement, Bleeker marcha dans l’allée, terrifié à l’idée de perdre à jamais la femme qu’il aimait. Quand son pied tapait trois fois contre le sol, son cœur tapait trois cents fois contre sa poitrine. Il marcha, marcha, marcha, arriva à son niveau. Et là, il s’agenouilla en plein milieu de l’allée, face à l’autel, les mains en prière. « Pardonnez-moi mon père parce que j’ai péché. » Non non, Cody n’avait jamais été croyant, loin de là, il ne croyait guère à un être supérieur – en dehors de son égo démesuré, ça va de soi. « Qu’avez-vous fait mon fils ? » Wesh, c’est Bleeker qui répondit avec une voix plus graveee, décidément, ses talents d’imitateur sont de sortie ce soir. « J’ai été con. Je suis con. Un gros con. Un con de compétition. Même pas le genre de con qu’on invite à un dîner, pas un con façon François Pignon. Je suis le genre de con qui aime démesurément une fille et qui fait tout pour la repousser car il a peur. Peur de quoi ? Qu’elle s’en aille ? Même mon troisième téton monstrueux ne l’a jamais effrayé. J’suis con parce que je sais qu’elle va rester. Je sais qu’elle n’a aucune raison de partir parce qu’elle m’aime démesurément. Tout est dans la démesure avec nous. L’amour, le sexe, les prises de tête. Les trois quarts du temps, je sais même pas pourquoi on s’engueule. Et je regrette aussitôt que je hausse la voix. La vérité, c’est que je suis un gros con. Et si je mesure la chance que j’ai de l’avoir, j’ai tendance à sous-estimer la chance qu’elle a de m’avoir.  Parce que je ne comprendrais jamais ce qui se passe dans sa tête, j’comprendrais jamais pourquoi Diamantika Kovalevski est tombée amoureuse de Cody Bleeker. Et quand on ne comprend pas, on a tendance à fuir ou à trouver des explications souvent insensées, mais qu’importe puisqu’il faut des explications. J’suis con parce que je devrais commencer à comprendre que certaines choses ne s’expliquent pas, que certaines choses arrivent sans raison et sans préavis. J’ai été con. Je suis con. Je serai toujours con. » Il fixait le vitrail de l’Eglise au-dessus de sa tête avant de la tourner vers Diamantika ; « Je suis amoureux de toi Kovache. Amoureux fou, amoureux con. Je suis démesurément amoureux de toi. » Ses lèvres tremblaient, ses yeux clignaient. Sa joue était toujours en feu. Tout comme son cœur. Tout comme son cul. Mais bon, en parler, ça casserait vachement le romantisme de la situation.
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